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MM
Ça devient hard…
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1
Il y a 33 minutes

Idaelle
vous trouvez ?
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Il y a 30 minutes

MM
Surtout par ce que l’on imagine ensuite!
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Il y a 29 minutes

MM
Tu nous fait la revue de ta bibliothèque ?
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Il y a 28 minutes

Idaelle
C'est un dessin d'Alex Varenne
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Il y a 12 minutes
soyez prêt à vous donner pleinement pour m'obéir, me satisfaire et combler mes exigences.
sinon ce n'est vraiment pas la peine .:.
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On pourrait presque voir l’image en 3D, avec l’imaginaire qui va bien… et peut être aussi les lunettes à se prendre les rondeurs en pleine face…
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La photo est subjuguante, comme une onde de choc en marée noire, faisant tache d’huile…
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Il y a 23 heure(s)
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C’est une super artiste à faire découvrir, très inspirée… et prolifique avec sa série sur les femmes.
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Intéressons-nous à la vue de profil..je vous conjure de vous arrêter un instant sur le galbe de ces fesses..la douceur de ces cuisses et le détail de ces mollets. Le dos joliment dessiné et son visage à moitié caché.
Gloups..une poupée articulée que n importe quel adulte adorait voir au pied de son sapin 😋
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Frida Castelli est une artiste italienne dont les illustrations mêlent sensualité, tendresse et émotion pour raconter une histoire d’amour très personnelle. Son style à l’encre et à l’aquarelle transforme l’intimité en poésie visuelle, toujours douce, humaine et sans voyeurisme.
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13/12/25
A l'aube du temps..ce fruit pourrait être celui défendu..a l abri des regards a aspirer sa chair.
Excellente pub pour les productions fruitières - l’image attire obligatoirement le regard 
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Il convient d’ajouter, avec le même souci éthique qui traverse cette réflexion, que les animaux ayant prêté leur image aux illustrations accompagnant cette œuvre n’ont fait l’objet d’aucune forme de maltraitance. Leur participation s’est déroulée dans le strict respect des règles dictées par les normes contemporaines de protection animale, veillant à leur bien-être, à leur tranquillité et à l’absence totale de contraintes inutiles. Chaque prise de vue, chaque esquisse, chaque scène imaginée a été pensée dans un cadre éthique où la dignité animale demeure une priorité absolue.
Loin de reproduire les dérives que le texte dénonce, ces illustrations cherchent au contraire à honorer l’animal pour ce qu’il est : un être vivant doté de sensibilité, et non un simple accessoire visuel. Elles témoignent de l’effort conscient de créer sans exploiter, d’observer sans imposer, et d’offrir un regard artistique qui ne se fait jamais au détriment de ceux que l’on représente.
Il serait naïf de réduire cette œuvre à une simple scène de confort domestique.
Ce serait méconnaître la radicalité du geste.
Nous sommes ici face à une mise en crise du regard contemporain, une tentative , presque courageuse , de ralentissement iconographique dans un monde saturé d’urgences visuelles.
La figure ne pose pas : elle habite. (en un seul mot ndlr)
Elle occupe l’espace avec une assurance tranquille, presque politique.
Le canapé devient un lieu de résistance molle, un anti-podium, où le corps revendique le droit à l’inaction élégante.
Chaque courbe est pensée, mais jamais démonstrative.
Chaque couleur agit comme un rappel : rien ici n’est innocent, surtout pas le rose.
Cette œuvre ne demande pas l’adhésion.
Elle exige une disponibilité intérieure.
Elle ne se regarde pas rapidement, elle se subit.
Et si certains y voient une provocation, c’est peut-être qu’ils n’ont pas encore fait le deuil de la verticalité. Ecrit par un commissaire d’expo absolument insupportable























