Le lien est établi.
À genoux, à la bonne hauteur, tu plis.
Fini la Chipie, tu t'incline en douceur, face à ta Déesse.
Fini la taquine. Tu ne dis mots, et ton corps commence à parler pour toi.
Tes cambrures résonnent à mes envies, et mes doigts dessinent sur ta peau.
J'effleure de mon souffle tes désirs, et dans ton silence, les gémissements résonnent...
Les pointes de tes monts appellent ma bouche , mes dents, et ma bouche, qui se veut taquine à mon tour.
Tu ne ris plus, tu implore... Sous ma langue qui dessine ton corps.
Et ton doigt se fond dans ta bouche, lorsque la mienne effleure à peine ton vénus.
Tes Ô affluent et mes doigts glissent. Et ma langue de goûter ce délice.
Ma main prend forme sur ton cou, toi cambrer, puis ma bouche se mêlant à la tienne...
Tu es si douce, si délicieuse à visiter. Mes mains apprennent ton corps par cœur, pour ne jamais oublier.
Des heures s'écoulent sous les mélodies de mes partitions.
Puis tu te blottis dans mes bras.
Tu es à moi.
Tu es si belle lorsque tu m'appartient...
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Il est l'obéissance pure même.
Elle est la petite rebelle belle.
Ils sont si différents et pourtant ils se complètent si bien, pour moi qui les tiens, tout deux sous mes deux colliers.
À moi de les guider tout deux afin de leur permettre de s'épanouir chacun dans leur bdsm qui est aussi le mien.
Il m'aura fallut longtemps avant de trouver mon bon équilibre de Déesse.
Tiff d'une main, Elio de l'autre, et nous voilà partis pour une histoire exceptionnelle.
Je pensais cela introuvable, presque irréel.
Le Soumis parfait, d'une dévotion absolue dans la bienveillance et confiance mutuelle.
La Soumise parfaite, d'une espièglerie certaine, qui se veut taquine pour mieux se retrouver blottie contre moi.
Lui qui est revenu après une pause vanille se prosterner à mes pieds, à la bonne hauteur.
Elle, une rencontre, qui m'est apparue dans un instant complètement inattendu..
Sans eux je ne suis qu'une femme ordinaire. Et les voici qui m'élèvent dans mon épanouissement personnel.
Bdsment la plus chouette aventure qui se dessine.
Je ne suis pas une domina ordinaire il est vrai. Mais tout deux sont extraordinaires.
Merci Tiff, merci Elio...
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Tu avais décidé de te ranger à ta vie vanille.
Je t'avais prévenue qu'il te serait difficile de renoncer à notre monde, mais j'ai respectée ce choix.
Quelques nouvelles toutefois. Je te sentais résister avec difficulté.
Puis il y a eu cette après-midi où nous prenions des nouvelles et où tout à dérapé. Nos désirs étaient plus forts que notre sagesse. Et tu n'as pas résisté à l'idée de te soumettre à moi.
Tu n'as pas su résister à l'envie de me montrer à quel point ta petite queue de salope bavait de désir de te soumettre. Je ne t'ai pas retenue car je te désirais catin comme je t'ai toujours aimé, désireuse, offerte.
Mon corps n'a fait qu'un tour et à frissonner comme il ne l'avait plus fait depuis ton départ.
Nous avons fait semblant ensuite de n'avoir pas vécu cet instant magique irrésistible entre nous. Et avons fait semblant que ce n'était pas réel, comme nous avions si bien su le faire à notre premier voyage.
Et nous revoici ce soir au point de départ. Toi de retour sur le site. Nous échangeant tatonnant. Est-ce bien, est-ce mal. Que faire face à nos désirs l'un pour l'autre. À cette soumission si parfaite dont tu sais faire preuve. À toutes ces choses qu'il te faut vivre maintenant réellement. Passer cette infiniment peu mais tant à la fois. Pousser un peu plus fort cette porte où je t'attend pour que tu vives enfin ce pourquoi tu es fait...
Je t'attend, à ta place, à la bonne hauteur de ma taille à genoux nu dans cette petite culotte en dentelle noire que je t'ai offert à Saint Lazare.
Viens et vivons la suite que nous voulions.
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Journée découverte.
Nous partons plus ou moins à l'aventure de cette forêt que tu as choisis.
Durant le chemin de te taquine, je viens glisser ma main et te caresser la queue pendant que tu nous conduis. Tu es si obéissant et docile que tu ne dis rien, tu souris juste, et tu me feras juste remarquer que je suis coquine.
Nous arrivons à l'endroit désiré, il nous reste plus maintenant qu'à nous trouver un petit coin discret.
Tu prends nos affaires et nous entamons la promenade. Nous marchons tranquillement, pas un chat, ou juste quelques vélos sur le grand chemin, tu as bien choisis le jour. Nous continuons 10 minutes, puis je décide de tourner à droite vers un petit chemin.
Plus nous avançons, plus nous nous éloignons des risques de trouver promeneurs. 5 minutes passent et nous décidons de pénétrer au cœur de cette forêt sans chemins cette fois. Nous trouvons un petit coin isolé par les arbres et feuillages. Je décide que c'est ici que nous nous poserons.
Nous y sommes, enfin, ce moment que nous attendions tant est enfin arrivé !
Les frissons m'ont parcourus durant tout ce temps jusqu'à cet instant, où tu commence à te déshabiller. Là c'est tout mon corps qui chantonne, de ces grands frissons qui ne s'arrêtent plus. Je te veux !
Toujours aussi élégant avec tes beaux portes jarretelles et bas noir en résille. Te voici enfin nu. Je t'aide à installer ton collier à vis, minutieusement pour ne surtout pas la perdre dans les feuillages.
Au tour de tes poignets qui entourent ce fin arbre courbé, qui s'épouse parfaitement à tes bras. Je ferme les menottes à vis aussi.
Le feu brûle en moi, je sens cette puissante adrénaline qui monte, c'est tellement fort, tellement bon.
Je prend la badine, me rapproche, et le premier coup tombe sur cette peau douce de ton petit Cul de Chienne ! Tu commences à compter. Et plus tu comptes et plus les sensations augmentent en moi. 10, 11, 12, 23, 24, 25, mon corps frissonne lorsque le tien flanche au rythme de la badine. 36, 37, 38. Tu es si beau, si endurant, et tu t'affranchis de ce qui t'était destiné. 49, 50 ! Je baisse la badine.
Pause. Ma langue vient à la croisée de la tienne, et nous échangeons des baisers. Je te veux tellement, je te désir !
Coquine m'as tu dit dans la voiture. Attends !
Je m’accroupis et cette fois c'est ma bouche qui enveloppe ta queue toute excitée. Je ressens aussi ton désir, et je te veux plus fort.
Stop ! Assez de douceur accordée, où en étions nous dans nos comptes ?!
51, 52, 53, Au fur et mesure, je tiens la mesure, et me perfectionne dans cet art que tu m'as fait découvrir la semaine dernière. 65, 66, 67, ma main vient se poser sur ta queue qui mouille, et je commence ce doux mélange de caresses à ta queue et douleur de la badine continuant le jeu.
Nous y sommes, parfaitement en osmose dans cette nature . Je n'avais jamais vécue une telle situation , et n'imaginais pas que l'on puisse se sentir aussi bien, en parfaite harmonie.
98, 99, 100 ! Je te prends dans mes bras, quelques baisers échangés, puis c'est la relâche, je te libère enfin.
Que d'émotions, jamais connus avant toi. Je savais que le volcan dormait en moi, et toi tu lui donne un sens pour qu'il se contienne et ne parte pas en tout sens.
Tu sais que je naît dans cette pratique, et tu me fais confiance. Nous avançons dans cette découverte de nous, et nous nous découvrons en union.
Te rappelles tu ce que nous nous étions dit ?! Après avoir retiré tes bas et mis complètement nu, il nous reste un dernier détail... Nous étions convenus à 160 coups de badine accumulés cette semaine.
Tu retourne à l'arbre, sans y être attaché cette fois, libre de fuir. Tu as le mot de secours, à tout moment tu peux arrêter, et pourtant tu es bien là, si courageux et droit dans les règles que nous nous sommes fixées.
101, 102, 103... Mélanges de caresses, de baisés, de badine. 125, 126, 127... Tu es toujours là à compter, ne pas fuir, droit. Je suis si fière de toi !
158, 159, 160 !
Je mesures la chance que j'ai de t'avoir rencontré et de t'avoir laissé pousser la porte de mon monde, qui en se découvrant tout deux est le tiens aussi.
Je mesure la chance de nous être donnés cette chance unique de nous lier. Mélange de douleur, de douceur, d'attachement déjà présent. Aucune préméditation. Nous nous accordons de vivre pleinement cette union, dans l'harmonie de nos sens, de nos désirs qui se rejoignent,
Je suis si fière de toi, tellement Adam.
Tu es si beau lorsque tu m'appartiens !..
.#photoperso
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Nous voici à l'aube d'après notre rencontre.
J'ai en moi encore les frissons qui ont parcourus mon être et résonnent encore en moi.
J'ai ta peau au bout de mes ongles.
Ta langue qui frémit encore dans mon jardin secret.
L'excitation qui perdure de mes coups à ton Cul.
Réelles sensations qui parcourent mon être de te savoir entièrement miens.
Tu fautes encore, de n'avoir jamais avoir connus l'appartenance totale.
Et je suis là pour te rattraper lorsque tu ne sais où tu te plonge.
Malgré les punitions qui vont tomber tu le sais, je suis là aussi pour t'envelopper. Pour te rattraper en douceur de tes vertiges, que je receuille..
Tu es si beau lorsque que tu m'appartient !
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Deux...
C'était le nombre de jours à attendre pour se rencontrer enfin.
Deux...
C'est ce que nous sommes depuis hier enfin.
Un...
C'est ce que nous faisons depuis ce matin.
Et pourtant nous avons eu peur, en laissant toutes nos affaires à l'intérieur, en voulant pousser la porte pour boire un verre dans le jardin, oubliant la clé à l'intérieur.
C'est dire que l'on était perturbés par cette rencontre, sourire.
En attendant le propriétaire pour nous ouvrir, nous nous sommes installé et avons profité de ce moment pour boire notre verre (heureusement que tu avais déjà sorti le champagne et les verres) et discuter tranquillement. Nous ouvrir l'un à l'autre, avec sérieux mais aussi tinté d'humour et de rire à cette situation qui nous marquera pour toujours !
Marques ?!...
C'est ce qui c'est imprégné sur ta peau.
Je ne connaissais pas la canne et tu m'as fait confiance. Cinquante coups, c'est le rituel que tu souhaitais pour officialiser ton appartenance. Qu'il en fut ainsi, et nous avons triplé au résultat ce matin pour mon plus grand plaisir, pour ta plus grande douleur, qui me fit frissonner à chaque coup de canne percutant ce joli petit Cul que tu détiens. Qui aujourd'hui est le miens, car désormais tu m'appartiens.
Ce n'était pas jeu, pas une séance, pas juste une aventure. C'est l'ouverture officielle de notre unions. Ce don de toi, de ton corps, de ton appartenance, de ta dévotion, de tes futures jouissances, de ton âme, que tu me confis avec confiance.
La certitude que je serais là, pour t'accompagner vers ces chemins que j'ai à te faire découvrir moi aussi. Le soin que je prendrais à t'élever plus haut dans des domaines que tu ne connais pas encore.
À deux nous allons avancer, apportant l'un à l'autre ce que chacun à besoin. Et nous allons vivre enfin !
Ne faisant plus qu'Un.
#amz999
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Es tu celui que j'attendais depuis...
Tu es venu à moi avec un tel respect.
Et je n'ai pas procédé comme avant. J'ai voulue échanger directement de vives voix cette fois ci. Entrer directement dans le vif du sujet.
Nos profils se parlent. Mes envies sont tes désirs, et tes besoins répondent aux miens.
Je prends possession de toi aussitôt après avoir raccrocher, et tu t'executes, docile et obéissant à souhait.
Une spontanéité mutuelle où je te veux à genoux nu, avec ton collier et ta laisse.
Et je te trouve beau dans cette appartenance.
Avec toi je ne tâtonne pas, tout est fluide. Comme le fluide que tu as déversé ce soir en public, en conférence dans ton pantalon. Plein de honte de ne pas avoir pu te retenir face moi qui étais bien présente malgré la distance.
La connexion est bien là entre nous.
Il nous reste deux jours avant le grand moment.
À travers ta soumission renaissent des frissons en moi que je pensais éteins depuis lui.
Où allons nous? Là où l'on se complétera, là où nous nous nourrirons l'un de l'autre.
Vas tu pousser la porte dans deux jours et entrer dans mon monde réel...
#photoperso
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Me faire tomber les chaînes,
De sorte qu'elles ne reviennent.
Leurre que tu es rêver,
Me laisser emporter.
Tel un chat qui à chaud,
N'a pas peur de l'eau.
Me glisser sur ta peau,
Ressentir notre Ô !
Oser l’inavoué,
Sans peur de risquer.
Car j'ose te donner,
Sans vires tu... Elle était...
Ma confiance.
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Subtils langages de nos langues
Avides, qui glissent et tanguent.
A ton corps qui me demande
A mes maux qui te les rendent.
Ton corps est un délice
Où mes gestes ont leurs vices.
Sur ton corps avide et lisse
Où mes promesses s'y glissent.
Viens à moi en émois
Sous mes coups des liens plissent,
Sur ta peau vierge, je me glisse
De mes maux sur ta police.
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Nous échangeons par messages. Je me prépare pour cette soirée que je vais passer avec elle, et tu le sais. Tu sais que ce soir je vais froisser son lit.
Je te partage mes essayages, mais tu ne vois pas tout. J'ai le plaisir de voir ta queue de Salope bander à la vue de mes photos, que tu m’envoies à des directives que je t'ai donné, et toi bien obéissant, tu t'y attelle si bien.
Enfin prête, de mon côté je prends ma voiture pour finir ma journée de travail.
Toi maintenant dans ton train, moi en voiture.
Nous continuons à échanger, je t’envoies des vidéos où je te donne des directives à venir comme le désirs que tu t'occupes un peu plus de ta chatte en chaleur ainsi que de tes tétons.
Puis je filme ma jupe que je soulève, où tu peux enfin redécouvrir mes dessous, mes bas résilles. Et une excitation te parcours lorsque tu t’aperçois que je porte une culotte en dentelle entrouverte.
Je fait glisser mes doigts sur mon jardin secret que tu reçois de pleins fouet faisant monter ton désir. Je t'ai donnée l'ordre d'aller au toilette du train, afin de te caresser la queue bavante à souhait sans jouir. Toujours obéissant tu t’exécutes. Et le résultat est parfait. Je te sais dans ce train tout excité, sans que personne autour ne puisse imaginer la petite chienne que tu es, Ma chienne, la queue au bord de vouloir jouir sans n'y être autorisé.
Ton train arrive à quai, nous avons fais le voyage ensemble, comme j'aime t'y accompagner. Pour que tu ne sois plus jamais seul lors de tes trajets.
Je dois partir moi aussi, elle m'attend pour que je viennes froisser ses draps. Et tu le sais impuissant, mais obéissant.
J'aime tant lorsque tu m'appartient!..................
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Lorsque nos corps en sur expos
Se lient un soir d'Ô,
Lorsque tu gagnes au jeu de l'oie
Que mon corps accepte ta loi.
Lorsque tu perds sous mes doigts
Tout tes repères,
Lorsque je gagne ton corps
Tendu, m'offrant nos accords.
Lorsque tu m'appartiens
Que mes chaînes font tes liens,
A tes poignets et tes chevilles liées
Tu es alors ma destinée.
Toujours liés de plaisirs avoués
Entre nous ces secret inavoués.
Ton corps offert à mes plaisirs innés
A nos désirs de t’enchaîner.
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J'ai très envie de voir ton petit Cul de Chienne bordé de cette culotte noir en dentelle entrouverte sur ta peau que je t'ai offert à notre première rencontre. Je te veux cambré, à quatre pattes, les jambes écartées.
Tu t’exécute sans rébellion, toujours aussi docile. Tu t'installes au bas du lit et tu écartes tes jambes offrant une vue délicieuse sur ta Chatte déjà chaude à l'idée de ce que tu peux subir.
Je m’accroupis pour venir glisser ma langue sur celle-ci qui s’entrouvre déjà de désir. J'entends tes gémissements de Chienne à l’affût de la moindre caresse de ma langue qui peut maintenant s'introduire tellement tu la désir.
Je viens ensuite devant toi, et je m'assois sur le lit, puis je te t'ordonnes de sucer comme une bonne Salope, la queue de mon double gode ceinture installé sur moi.
Des vas et viens incessants se font sentir dans ta bouche gourmande, et tu es toi, de plus en plus affamé.
J'aime te voir t'appliquer, t'activer à la tâche. Je peux même apercevoir ta queue dégoulinante, coulante à souhait comme j'adore tant la voir.
Je décides de me relever et revenir ensuite derrière toi. Délicatement dans un premier temps je te pénètre la Chatte sans que tu ne puisses rien y faire. D'ailleurs as tu seulement l'envie du contraire.
Mes mains sur tes hanches, je te prends. Tout doucement, puis doucement, puis plus vite, puis de plus en plus fort.
Te sentant si offert, je décides cette fois de te percuter, te défoncer, te piner, et je t'entends gémir à la fois de douleur et de plaisir sous mes coups de reins de plus en plus rapides. Pendant que je t'ordonnes de te branler sans jouir. Juste ta queue qui déborde, qui dégouline et toi qui me supplie tant tu veux jouir mais sans y avoir droit. Hummm.
Tu es si beau lorsque tu m’appartiens !!!!!...................
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