Je te demande et je te vois t'allonger sur le sol, si docile sur le dos... Tu portes un tee-shirt et un jeans.
Je te prends délicatement les mains, pour te les relier et les attacher au dessus de ta tête, en silence.
Tu peux lire dans mon regard ce sourire à malice, même si tu ne connais pas encore mon désir.
Je viens m'allonger, à côté de toi juste collée, puis je frôle tes bras de mes mains, redescendant doucement et venant les passer sous ton tee-shirt et caresser ton corps durant de longues minutes. Tu ne dis rien, tu ressens, en silence.
Je me lève soudainement et pars fouiller dans mon sac à malice, puis de reviens vers toi, les mains derrière le dos.
Je te chuchote de fermer les yeux, ce que tu exécute comme tu sais si bien obéir.
Puis je viens me poser sur toi à califourchon, mets une main derrière mon dos et te souffle de ré ouvrir tes yeux.
Je te montre enfin l'objet du délit à venir sans que tu ne saches rien de plus.
Ce sont des ciseaux... Je frôle tes bras avec, puis ton tee-shirt, pour arriver au bas de celui-ci.
Les deux lames s’entrouvrent et viennent se coincer sur ce bas pour se rejoindre et ainsi commencer à découper ton tissu.
Les ciseaux remontent délicatement jusqu'à ton col pour le faire céder.
Te voilà torse nu maintenant, et je te regarde, je te contemple, sourire aux lèvres.
Je balance les ciseaux à terre puis mes doigts viennent glisser sur ta peau, laissant des traînées de griffes sur celles-ci.
Ils viennent jusqu'à tes tétons déjà pointant de désir.
Je sais que tu es dressé sous ton jeans, je le ressent. Tu mouille, tu baves comme une Chienne appelant que je vienne te malmener ces petits bouts qui pointes.
Je les prends du bout des doigts et les presses, légèrement, puis de plus en plus fort, je les fais rouler avant d'y planter mes ongles.
Je sais que sous la douleur naît une excitation bien plus profonde. Alors pour atténuer celle-ci, je me penche pour apposer sur tes tétons ma bouche, ma langue. Je les aspire, et toi tu désir plus fort
Ma malice étant toujours présente, je commence alors à les mordiller, puis à resserrer les dents au fur et à mesure que je te sens parti dans cette montée de plaisir douloureuse où tu te lâche en toute confiance. Appelant, suppliant des soupirs de désirs.
Tu es si beau lorsque tu es désireux !!!..............
292 vues
9 aime
Sentiment me-li me-lo monte…
J’ai passée le présent au futur imparfait,
Mais je conjugue l’espoir d'un cafard d’un soir.
Aujourd’hui mes demains ne sont plus mes hiers,
Ce soir, mes deux mains fondent ma prière.
L’âme en peine… S’enchaîne… A peine…
Ce soir j’ai le cœur qui craque
But i come back…
189 vues
7 aime
Je te vois, je te ressens. Et ces bavures dont tu assures, sont si pures, des pour vu qu'elle en reste si dure.
Désirs eux, ont eux aussi que tu te redresses ! Sous mes yeux qui te langue hissent.
Nos demains se glissent, là serrant fort contre ta p'Ô !
Demain nous aurons pour de beau, nos maux !
223 vues
13 aime
Elle avait des envies, sur son idéal de vie...
Mais lui avait réussit à confondre cet idéal contre un réel bien présent, Il lui avait prouvé le plus simplement, le temps d'un voyage, qu'il était là malgré le fait qu'ils n'étaient pas encore.
Elle ressentait sa peau, elle ressentait son regard, elle ressentait son envie, d'être possédé par elle, tout comme elle désirait le posséder, pleinement, entièrement, sous son emprise.
A travers leurs suggestions naissait un présent, nouveau mais bien réel cette fois,
Et ils étaient en suspension de ce qu'ils voulaient vivre pleinement.
Elle allait lui ouvrir la porte de son monde, pourvu qu'il sache qu'en faire.
En échange d'elle, elle demandait juste à être vécue, pleinement, sans attente de souminateur, juste lui tel qu'il s'était offert à elle, le plus simplement du monde,
Où allez t-ils atterrir ? Elle attendait la suite, le corps empli de frissons, d'émotions enfin vivantes, qui la parcouraient enfin, elle se sentait renaître d'un silence trop longtemps retenu. Avait-il lui, perçut enfin, ce son qui sortait de son silence ?...
256 vues
15 aime
Ce matin je me suis réveillée avec le corps en feu !
J'ai apaisé celui ci par des caresses et je me suis fait jouir profondément intensément.
J'avais en tête mon futur, allongé sur le sol, les chevilles et les poignets attachées.
Moi, le regard plongeant dans le sien, silencieuse, debout la jupe relevée, la culotte entrouverte sur le côté, au dessus de lui, et lui profondément souillé par ma pisse qui coulait doucement sur sa queue raide, profondément souillé sur son corps vêtu de ma propre lingerie féminine en dentelle.
Je le voyais beau! Tout trempé de celle ci, ne pouvant pas se changer, parce que je lui donnais l'ordre de rester vêtu comme cela pour toute la soirée. Pour qu'il n'oublie jamais... Qui je suis...
209 vues
13 aime
Elle est moi.
Elle était de nature calme, On la disait déstabilisante par cette attitude, car elle pouvait être très calme et douce tout en étant autoritaire. Pouvant être tendre, mais aussi ferme et autoritaire, touchant même au sadisme lorsque qu'elle avait envie de marquer.
Lorsque vous la croisiez simplement, elle était ange, pourtant le feu était bien présent en elle, mais elle avait choisie d'attendre après s’être cherchée longtemps, Attendre la bonne personne. Que ce ne soit plus une aventure, une séance, un jeu.
Elle ne jouait plus. Elle voulait sa moitié opposée, celle qui serait marquée, à la fois par son amour, sa tendresse, et par ses marques à vifs. Elle ne voulait plus se justifier, car elle savait où elle allait. Il faudrait l'accepter et oser franchir cette porte sans crainte qu'elle, elle n'ose pas.
Tout était là, elle avait prévenue pourtant il y a longtemps, que ce volcan dormait en elle, Elle était déstabilisante en effet. Elle attendait maintenant que cette moitié la voit et s'agenouille enfin la reconnaissant comme Telle, avec sa personnalité particulière qui lui appartenait. Et elle ne changerait pas, elle resterait calme, ferme, pure, tendre, dure, et volcan se réveillant...Je ne changerais pas !
Je me suis découverte très jeune, avec le livre de Vivant Lanon.
Je me voyais être celle qui le faisait naître. Et chaque fois qui'il l'adorait, je me surprenais à le vouloir. Je ne voulais pas finir ce livre dont je n'apprécie pas la fin (je n'en dirais pas plus pour qui souhaiterait lire ce livre).
Je voulais Mon Vivant ! Alors je me suis vite connectée sur mon Minitel à la recherche de mon Vivant.
J'ai vécue des aventures à tâtons, pour vivre une histoire de six mois, magnifique.
Mais ayant été jeune maman à 21 ans, puis 26 ans, j'ai tout plaqué pour m'occuper de mes 3 louveteaux.
Je me suis mise à l'écart pour devenir une bonne petite Vanille. Mais je me suis perdue, je ne trouvais plus ma place. J'ai sacrifiée (à tort ou à raison) ma vie de femme bdsm jusqu'à récemment fin décembre 2024. Mes enfants sont grands maintenant, et malgré le fait que mes derniers vivent encore sous mon toit, je peux enfin vivre pour moi et mon futur de femme.
Deux mois d'aventures à me (re) chercher, pour finir à comprendre ce qui brûle en moi.
Je ne suis pas une expert, je ne suis pas une séance, je suis moi ! Voulant vivre une belle histoire (car à mes yeux elle le sera) avec un seul homme.
Oui je m'étais plongée dans mes abysses, je m'étais perdue. Je m'étais noyée lentement.
Personne ne le voyait,
Montrer ce qui plaisait au monde, tout allait bien, mais au fond il n'y avait plus rien. Le temps s'arrêtait durant des heures, perdue, seule dans mes silences. Revenir à la vie le temps de faire semblant, puis replonger l'instant suivant.
J'allais bien, j'étais si loin...
J'ai vécue tant d'histoire qui finissaient mal à l'évidence. Normal, je n'étais pas à ma place.
Puis il m'a fallu un dernier électrochoc ! Dernière souffrance ultime pour comprendre.
Comprendre que j'avais toujours vécue pour les autres. Mais moi dans tout cela ?
Je suis alors partie 3 jours seule face à la mer, face à moi même, face à ce silence où j'aime me plonger pour me vider, et ainsi mieux remonter.
Je suis rentrée et j'ai enfin compris, que la vie Vanille ne me convenait pas/plus. Et j'ai choisie de revivre, d'être enfin moi !
Me voici maintenant préférant restée seule jusqu'au jour où je trouverais celui qui sans rien me demander en échange, sans rien dire m'acceptera telle que je suis.
En attendant, je parcours le mur, en silence. Il se peut qu'un jour quelqu'un(e) y perçoive le son qui en ressort.
Alors en attendant tranquillement, me voilà ici, me livrant à vous, à tâtons, au grès de quelques lignes, de textes, de photos.
222 vues
12 aime