Déplacer pour recadrer votre photo

Yugo

Trans switch. Vit à Rouen, Haute-Normandie, France. 20 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 12/06/25
Mon esprit n'a jamais eu des schémas de pensée très droits, ils sont tout au minimum dotés de quelques courbes. Mon goût pour la soumission physique a d'après mes propres conclusions, un revers de médaille. Elle n'est ni parfaite, ni absolue, un mélange exquis de détails et de sous-entendus. Elle cherche à s'abandonner au contrôle et pourtant voudrait le garder, un mélodrame intérieur qui perturbe l'entourage aussi bien que son auteur. Il aurait d'après lui, le privilège de notre relation, un homme d'apparence fétiche, aussi bien dans son corps que son esprit. Une âme fébrile et dépendante qui me laisserait selon lui, lui donner des ordres, de simples demandes auxquelles il répondrait en chanceux.  Pourtant il en serait incapable, incapable de dire "je veux" et de m'y contraindre. Son âme construirait des ponts entre mon corps et ses mots, un marionnettiste qui contrôlerait la marionnette sans en avoir conscience. Ce serait trop tard, mon esprit se ferait attendrir et son corps recevrait prisonnier, le mien.  Il serait d'une douceur presque innocente au lit, me regardant comme sien, en manque de confiance, il ferait tout pour plaire, un cœur en souffrance qui a besoin d'être aimé. Seulement un simple regard de sa part et j'aurais ce besoin protecteur. Sachant ses pensées, je ne lui mentirais pas, la vérité est ma devise, je me soumettrai alors à lui, lui disant parfois, qu'il devrait s'autoriser à explorer ses désirs. Il aurait l'impression d'être tout chanceux devant moi, une souris devant la grâce du dragon, je verrai dans ses yeux tous ces désirs refoulés qui ne demandent qu'à sortir et exploser. Soumis à son corps il saurait désormais que mon mental lui était favorable à l'épanouissement, il serait une force de caractère exposée par son partenaire. Un toutou docile, un bichon frisé à mes pieds, un peureux, en apprentissage pour s'affirmer.
109 vues 1 like
Par : le 10/06/25
Mon esprit n'a jamais eu des schémas de pensée très droits, ils sont tout au minimum dotés de quelques courbes.   Mon goût pour la domination mentale a d'après mes propres conclusions, un double tranchant.  Elle n'est ni parfaite, ni absolue, un mélange exquis de détails et de sous-entendus. Elle cherche a obtenir le contrôle et pourtant voudrait s'en affranchir, un mélodrame intérieur qui perturbe l'entourage aussi bien que son auteur.   Il aurait d'après lui, le contrôle de notre relation, un homme d'apparence puissante, aussi bien dans son corps que son esprit. Une âme forte et indépendante qui me laisserait selon lui, lui donner des ordres, de simples demandes auxquelles il aurait accepté de répondre en généreux.  Pourtant il en serait incapable, incapable de me dire "non" et d'y désobéir. Son cœur tisserait des fils entre son corps et mes doigts, une marionnette qui se donnerait au marionnettiste sans en avoir conscience. Ce serait trop tard, son esprit me serait prisonnier et son corps penserait emprisonner le mien.    Il serait d'une domination presque bestiale au lit, me marquant comme sien, interdit de voir ailleurs ou de faire quoi que ce soit sans son autorisation.  Pourtant une simple demande de ma part et il serait contraint de l'accepter. Sachant ses pensées, je ne lui mentirais pas, la vérité est ma devise, je me soumettrai alors à lui, lui disant parfois, que c'est ainsi seulement parce que j'en ai décidé et pas autrement. Il aurait l'impression d'être tout puissant devant moi, un dragon devant une souris, malheureusement pour lui, il ne suffirait que du bon cheveux, pour que la souris prenne avantage. Dominant mon corps il saurait désormais que mon mental lui était impossible à corrompre, il serait une force de caractère attendri par son partenaire.   Un toutou féroce, un doberman à mes pieds, bien éduqué pour attaquer à la moindre menace.
102 vues 0 aime
Par : le 08/06/25
(C’est la première fois que je fais ça, j’espère que ça plaira au moins à quelqu’un + un dessin qui m’a pris 8h, je voulais illustrer mon propos)   Toute la journée tu m’as accompagné tel un gentil toutou, me suivant lors de mes achats en ville. Pendant que tu attends à la sorti du magasin, une flopée de sac dans les mains, j’en sors, passe devant toi sans un regard. - Allons-y…   Tes pas se mettent à suivre les miens, jusqu’à un parc, il n’y a déjà pas grand monde et la végétation abondante aide à se sentir seul au monde. Je me dirige vers une pelouse sous un arbre isolé. - Au sol. Mon regard est fixe et sans émotions, tu poses les sacs contre l’arbre et t’allonges sur le dos. - Les jambes. Mon pied accompagne ton mouvement et tu relèves tes genoux, tes chevilles à tes fesses. Tu comprends vite où je veux en venir et tu places tes mains sur tes genoux, m’offrant un magnifique siège doté d’accoudoirs.   Je m’assois alors sur ton ventre, me reculant et frottant mon bas du dos contre la bosse de ton pantalon. Ton regard est rivé sur moi, tu n’arrives pas à lire sur mon vissage si ta position me plaît et ça t’excite d’autant plus. Je retire alors mes chaussures tout près de ton visage, ma divine odeur parvenant à tes narines, mon gros orteil se place sous ton menton et dans un élan de gratitude je dis : - Tu as été un bon chien aujourd’hui…   Mon regard se fait plus doux et séducteur, mon orteil remonte et se pose sur ta lèvre inférieur. - Mais un bon chien n’est pas seulement une décoration, il se doit d’être pratique et de plaire. Je soulève alors ta lèvre supérieur. - Comme d’habitude… J’ouvre ta bouche, y scrutant chaque détail. - Tu es très propre… Je suppose que tu n’attends qu’une chose…   Ton regard se fait suppliant et sans t’en rendre compte, tu acquiesces. - Ne bouge pas. Je fais basculer ta tête en arrière, ton mouvement m’ayant visiblement dérangé. Après un certain temps dans cette position désagréable.   Je te laisse te remettre plus à l’aise et me languissant d’être léché, je t’offre enfin mes pieds.
279 vues 2 aime