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M des Sens

M des Sens

Homme Dominateur.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 08/02/21
Un vieux texte, d'un passé....Qu'un post sur le Forum m'a remémoré sur le sujet de la musique.. (https://www.bdsm.fr/forum/thread/5644/Le-BDSM-dans-la-musique/) Il y a des matins que l’on aime bien, et qui reste à jamais présent en soi… Ce mardi matin en fait parti comme les précédentes passions enivrantes bien sur qui ont précédées ce matin. 6h du matin, Paris s’éveille doucement… Après le passage de la porte, qui se referme derrière moi, j’allume machinalement une cigarette, le cœur encore rempli d’émotions pour reste tout près…. Peut-être, comme sans vouloir vraiment partir et vivre, revivre tout ses émois de la nuit… Quelle douce odeur cette première cigarette du matin, encore que, est-ce vraiment le matin ou le prolongement de la nuit…? Je descends la rue, me menant à la voiture. Le sourire recouvre mon visage, le cœur tout léger. Les rues sont vides à cette heure fort matinale. Seuls les premier travailleurs se pressent à rejoindre le bus ou le métro les menant au travail... sans doute. Paris, au petit matin, a ce goût si étrange, un visage si particulier, j’en avais presque oublié la beauté après une décennie… Les premiers cafés ouvrent leurs portes, et les saveurs du café chaud parfument agréablement mon chemin. A mesure que je m’approche de ma voiture, le retour à la dure réalité se fait plus présent. Mais les images reviennent inlassablement et si délicates, me faisant oublier presque ce retour à ma prison d’orée. Je passe sur le pont surplombant la gare Saint Lazare, je m’attarde un peu, regardant les passagers descendent des trains… Les voilà déjà courant, pressés de rejoindre le métro pour éviter une foule, qui a cette heure-ci, est plus qu’improbable. Il est amusant de voir les lumières des appartements « Haussmanien » qui illuminent d’avantage la rue…et d’y voir les décors si impressionnant et si variés… du moderne au baroque, contraste, je pense, purement parisien… Les souvenirs de mon passé s’entrechoquent avec la nuit passée… Souvenirs plaisants, apaisants. Souvenirs de ses derniers verres pris à pareille heure du matin alors que les percolateurs se mettent en marche… Les Noctambules croisent les « Diurnes » mais semblent s’éviter… Ma voiture n’est pas loin, et les brumes de la nuit sont encore bien présentes, Senteurs, odeurs, chaleurs sont aussi irréelles que cette nuit…nuit tant voulu et tant réconfortante, tant apaisante, tant…tant… Je monte dans la voiture, allume la radio… et là… comme si une magie opérait, une chanson passe sur les ondes… Une chanson qui me fait dresser les poiles, vibres à plus d’un titre, et qui là, prend encore plus d’importance… « With or Without You » de U2 Je souris, écoute avec grande attention chaque mot, chaque son, fermant les yeux et me laissant enivrer de cette chanson. Les images, il y en a des tonnes qui défilent dans ma tête… Un sourire, des sourires qui s’échangent… Des mains, des corps qui se rapprochent, et s’éloignent pour mieux revenir, se fondre en un… Je souris à nouveau, mon cœur est si pris, si vibrant des instants passés…mon corps entier encore couvert de la chaleur...mais je dois partir, il est l’heure… Les images changent Les corps qui s’éloignent, les sourires se font plus triste, les voix plus troublées par le départ… « With or Without You » disait la chanson…. Je parts, et à mesure que je passe devant les quartiers fréquenté la veille, je souris à nouveau, un peu triste que tout cela soit finit…mais si bien…un paradoxe, mais un délice à vivre malgré tout… Et très vite, je quitte ce quartier... Boulevard Haussman, place Vendom, La Condore… la réalité vient vitre effacer, quelques peu, ce passé si ressent… Je me souviens avoir dit à haute voix… il faut que l’on aille là ou encore là…mais hélas, pas aujourd’hui ni demain…. Mais pas grave cela sera un autre jour, un autre moment… Puis l’autoroute fait sont apparition. Je file vite, mais pas trop, non pas par peur du Radar, mais pour rester …encore un peu dans ce doux sentiment si précieux, pour ce moment si….si… Pour ce moment qui ne serait qu'un futur, comme si ce matin n'était pas encore venu ... qu'il sera juste demain.
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Par : le 28/11/18
(Photo du Net) Au premier abord, il est vrai que cet objet est bien emblématique et soulève bien des interrogations. J'avais parcouru plusieurs fois "Histoire d'O" pour comprendre le fait de l'utiliser... Que pouvait-on avoir comme plaisir de marquer par celui-ci le corps d'une personne ? que pouvait-on ressentir à infliger ou encore à recevoir ? Bien des questions qui restaient en suspendent, mais que Serge et Claire allaient sans nulle doute, me faire découvrir... Serge me demanda "Dit un chiffre..." Je compris de suite que cela allait correspondre au nombre de coups qu'il infligerait à Claire... "Dix.." dis-je simplement, en pensant que cela était déjà pas mal... Il sourit et me dit que cela n'était pas encore assez, et que Claire méritait plus... Mais mériter plus pourquoi ?...enfin Il me dit alors "Cela sera 30..." 30...ou lala… et ben, il n'y va pas avec le dos de la cuillère... Le premier coup tomba sur le séant de Claire, lui faisant pousser un petit cri entre douleur et plaisir... Puis le deuxième... Et ainsi de suite... Serge marquait toujours une petite pause entre chaque coup, me laissant voir apparaître les traits rouges sur les fesses de Claire. Arrivé au Quinzième coup, Serge s'arrêta, me regarda et d'un large sourire… me tendit la cravache... Je pris donc cette cravache et un peu penaud, j'appliquais le premier coup... Ce fut bizarre et surtout je ne savais pas à quelle intensité je devais assener les coups... Et bien sûr ce premier coup était très en deçà de l'intensité que Serge avait eue et il me le fit comprendre... Le deuxième coup, plus fort, fut encore une fois bizarre… mais là que ne fut pas mon émerveillement en voyant la réaction de Claire... Elle poussa un cri délicieux, serrant les chaînes de ses mains, et je vis également et avec beaucoup d'admiration ses fesses se resserrer contre le Plug… les hanches se cambrer pour retomber doucement… et ensuite de voir le corps attendre le coup suivant... En un mot un spectacle qui ne laisse pas de marbre. Je continuais alors se terrible tourment, appréciant à chaque fois plus la réaction de Claire. Car je dois bien avouer que d'assener des coups ce n'est pas un plus envoûtant, voir même troublant, mais le résultat… c'est tout autre chose... Quand le dernier coup fut assener, Claire restait repue de ses troubles. Elle était comme détendue, certes, encore tremblante, mais elle était "calme", heureuse de ce châtiment. Sa Fleur était des plus détrempées, ses fesses bariolées, ses jambes encore tremblantes… mais encore une fois, quelle belle vision... Je pensais que cela était terminé… mais Serge me réserva un dernier "cadeau"... Alors que je me remettais de ses émotions très particulières de cette première incursion dans un aspect que je ne connaissais qu’au travers de mes lectures, Serge et Claire me réservaient un dernier présent… Claire était encore toute chose et semblait reprendre un peu ses esprits. Serge, qui était resté à ses cotés tout au long de ce supplice, me pris la cravache des mains. Puis, la déposant au près de Claire, il caressa ses formes rougies comme pour la soulager des maux passés. Il se mit alors sur le cotés, me laissant toujours admirer le résultat de mes faits, puis vint effleurer le Plug… Il s’amusa un temps, a le faire tourner délicatement… J’aperçus Claire qui, se redressait quelque peu et commença à nouveau à repartir dans un délice de sensation que traduisait les mouvements de son corps. Puis, tout en tournant l’objet, commença à l’extraire doucement, délicatement, comme s’il fut une fleur très précieuse. Quand il fut totalement retiré, je vis Claire redresser le bassin, afin de rendre plus visible encore cet antre si convoitée par les hommes… Serge mis alors ses mains sur chacune des fesses et les écarta doucement. L’entré était très écartée et restait bien ouverte… je me souviens encore de cette image qui me marqua beaucoup… je savais le corps capable de prouesse incroyable, en terme de dilation, mais la ce fut la première fois que j’ai pu voir en réel ce fait. Non pas que je n’avais pas connu avant les plaisirs de disposer de ce précieux, mais là, le voir ainsi ouvert comme une belle rose, c’était saisissant et envoutant. Serge, alors, me dit simplement avec un grand sourire : « Il est tentant de pouvoir en disposer, non ? … Il est à toi… prend le, prend là » Wouah…ils avaient déjà fait tant pour moi, j’hésitais, mais la tentation était trop grande et l’offre irrécusable … Je m’avançais alors, et pris possession de cette antre. J’avais pour habitude d’y venir avec beaucoup de délicatesse, car c’est un endroit des plus sensibles et qui demande beaucoup de préparation, mais là, la préparation était plus que faite, si je puis dire… Mais je m’engouffrais doucement, guettant la réaction de Claire, non pas pour en percevoir la jouissance, mais plus si cela pouvait la gêner…un peu ridicule au vue de ce qu’elle avait déjà subit… Ce fut un véritable délice, pour nous deux, surement plus pour moi bien sur, mais un moment vraiment inoubliable … Je me souviens également encore ressentir cette antre se refermer sur ma fierté lorsque Serge retira ses mais des fesses de Claire, Ou encore quand mon corps venait à la rencontre des fesses de Claire, encore chaude des maux…une sensation bien particulière sur mon corps que j’aime encore aujourd’hui ressentir quand l’occasion m’est donnée. Et encore, lorsque l’appel du corps de Claire pour venir en elle plus profondément, lui arrachant la jouissance au travers de bouche… Moments véritablement inoubliable… Oui ce fut un véritable plaisir, un véritable cadeau, la cerise sur le gâteau comme on dit bien … Il est des plus difficiles de retranscrire tout ce que j'ai pu ressentir, vivre durant cette soirée ... D'une part, par ce que cela fait, longtemps....heu mince je suis vieux....sourire (pas tant que cela quand même) Et d'autre part, qu'il est encore plus difficile de mettre des mots sur des sensations si intenses, si fortes... Enfin voila ce que fut ma première réel expérience avec une femme d'O, qui m'ouvrit alors les portes d'un jardin de délices passionnants et envoutant... Et comme le disait Monsieur Charles Trenet : Et que oui les yeux brillent de milles feux en cette passion
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Par : le 19/10/19
Paris était encore endormit… Le jour n’était pas encore à l’aurore Et le silence régnait dans les ruelles qui en bordaient notre hôtel… Elle était encore endormie… Après biens des combats, elle s’en était assoupie … Attachée encore de ses poignets à ses chevilles… Elle avait ainsi trouvée sommeil profond sur le ventre…. Assit sur le fauteuil, regardant ma belle, je repassai nos ébats Revivant presque chaque instant, comme s’ils furent encore présents…. Mirant son postérieure … Rougit encore des traces de cette badine… J’en souriais, revoyant la scène et ce plaisir partagé des Maux de Douceurs que je lui offrais En appréciant chaque fait « Marquant » dans des plaisantes sonorités qu’elle m’offrait Je la regardai, dormante, apaisée de ses maux de vies au travers de ces instants volées que nous nous offrions…quand la vie nous le permettait Je portais à mes lèvres la tasse de café, buvant lentement ce nectar noir… Un sourire me vint…en humant ce doux parfum et cette liqueur… Me renvoyant à cet instant où mes lèvres se posaient en sa Rose bien ouverte… D’où en coulait sa Divine Rosée que j’aimais tant à m’y abreuver … L’image de cette « Fleur » sublimement offerte à mes tourments de langue…et de doigts… Ces frissons qui la parcouraient et l’enveloppaient… Mon regard se posa alors sur cette Antre dont j’avais seul la clé…. J’y vis, légèrement dépassant, encore l’instrument de « torture » à télécommande dont je lui avais offert les troubles faits…. J’en souris de cette présence… Et me vint alors cette idée d’un réveil matin…dont la sonorité est nettement plus plaisante… mais tout autant réveillant... Sans bruit je me levai pour prendre mon objet de convoitise…. Puis, reprenant tranquillement ma place dans ce fauteuil au pied du lit…. Je regardai encore cet Être endormie…. J’appuyai sur le bouton qui ne lançait qu’une vibration…au plus bas niveau J’entendis le sourd vrombissement… Elle ne bougea pas… Je changeai alors de niveau…et à nouveau Ne lança qu’une vibration… Je vis alors juste ses fesses se contracter…un court instant… De nouveau j’appuyai sur le bouton… Ses bras se contractèrent…mais attachés, ils firent vite stoppés dans leurs courses… Je recommençai alors…. Ses jambes et bras se contractèrent … Mais à nouveau, tout Quatre furent stoppés net… Je vis un sourire se dessiner sur son visage…mais elle gardait toujours les yeux fermés… Un souffle de réveil accompagnait son éveil en douceur… Je changeais alors le type de « réveil » passant d’une simple vibration à une séquence alternative… Aux douces pulsions répétitives d’intensités …espacées de deux-trois secondes… Et à nouveau, j’appuyai sur ce « réveil à distance »…. Peu à peu les contractions fessiers se faisaient plus présent…au rythme des séquences…. Un doux balancement de son bassin se faisait également entrevoir… Je regardai ses mains, qui agrippaient alors, ces liens la tenant fermement … Ses yeux étaient toujours fermés, mais son visage était souriant, d’un petit sourire de complaisance de ses instants livrés… Elle s’étirait comme une Chatte…étendant ses bras, relevant sa croupe dans un doux soupire de satisfaction…d’un réveil bien doux…. Je laissais ce rythme doux un temps. Regardant, mirant ma belle dans cette danse d’éveil Elle avait à présent la tête dans l’oreiller, les bras tendus, les mains agrippées à ses liens…sa croupe levée appelant à bien d’autres tourments… Je mirais encore ce spectacle délicieux, d’un réveil malicieux…. Détaillant chaque parcelle de son corps qu’elle m’offrait sans pudeur…. Je souriais d’aise de ce qu’elle m’offrait d’elle… Je me décidai alors de quitter ma place de choix pour me rapprocher d’elle… Je pris place sur le rebord du lit, à hauteur de sa croupe… Elle tourna son visage en me lançant un regard plein de désirs….et de plaisirs « Chut, et profite ma belle… » Au même instant, je claquai son séant « Reste totalement Allongée… » Elle ne se pria pas pour s’écrouler …de tout son long dans cette couche… Le vrombissement régulier se faisait toujours entendre… Et cette Belle, à présent éveillée, avait ce souffle particulier d’un plaisir de plus en plus présent… Je pris alors cette Badine qui restait encore au sol…de nos affres passés Caressant son corps nue de ce « terrible » objet de tentation…Elle en avait le souffle de plus en plus haletant… La badine dessinait l’ensemble de ses courbes… Montant et descendant tout au long… S’attardant sur les marques encore présentes…sur ces Lunes Puis, doucement, elle prit le chemin de sa fleur… Dessinant cette douce fente devenue bien brillante… Je m’amusai à m’attarder sur cette dernière, ressentant par moment le tremblement provoqué par cet intrus en elle… Puis,…la badine fendit l’air pour s’abattre sur l’une de ses lunes au même instant que le vrombissement se fi t entendre…. Un « Hummm » de complaisance sorti de la bouche de ma belle…. « Encore…. Mon Magicien…. » « Tsts….Chut….Ne dit rien »…. Au même instant je changeai la vitesse de son « tortionnaire » interne…la rendant plus rapide mais gardant toujours cette constante de rythme…. Je voyais les mains de ma Belle se cramponner plus encore à ses liens… Les Jambes se contractèrent…à rythme régulier Elle devenait peu à peu tremblante, frissonnante…mais surtout emplie de plaisirs….. Le souffle suivait la cadence du vrombissement…. Je sentais cette Belle monter de plus en plus dans l’intensité reçu du plaisir…. Je changeais alors le rythme du « vibrant », jouant sur l’asynchrone des intensités… J’en repérais le rythme le plus fort…. Et… D’un coup, à chaque passage de cette instant, la badine marquait son territoire temporaire…. A chaque « Marque » la Belle en poussait un gémissement de plaisir… Le souffle se transformait rapidement en gémissement permanent…. Et de Belle s’éveillant, je la voyais se transformant en Chatte miaulante…. Son corps se dressait à chaque « claque » s’apposant… Tout son corps se transformait en tremblement de terre ou d’éruptions volcaniques, le son en était des plus présents…. Rapidement, elle arrivait à son point culminant…de non-retour…. Elle devint raide, tendue sur ses bras et ses jambes…totalement tremblante, totalement haletante et surtout miaulante à souhait…. Puis d’un coup…dans un rugissement ultime…. Elle s’écroula…. Je souris alors de mon œuvre matinale…arrêtant ce supplice vrombissant… Détachant délicatement ses liens… Retirant ce « tortionnaire » interne…délicatement…. Je me mis à nouveau dans le lit…tout contre elle…encore tremblante et essoufflée… Je l’entourai de mes bras… Son corps était totalement inerte…. Mais son visage arborait un délicieux sourire de bien être…. Et j’en étais heureux… Je lui déposais un doux baiser contre sa joue…. Et très vite je la sentie partir dans le pays des Songes….
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Par : le 27/11/18
(Photo du Net) Le diner se déroula de façon plus sobre que l'apéritif…enfin presque... Alors que nous étions, Serge et moi, attablés confortablement, dégustant un délicieux repas bien à la française…Claire quant à elle, avait une tout autre place. Cette place au premier abord semblait, ...me semblait des plus dégradantes, humiliante même pour elle. Elle était aux pieds de Serge, sa laisse toujours près de lui, qu'il avait pris soin de mettre à un pied de sa chaise. Elle avait en guise d'assiette, devant elle, une gamelle d'eau et une gamelle du même repas que nous, mais coupée finement… Elle avait, toujours en elle, son Plug et les pinces que Serge avait retirées un temps pour éviter, je présumais alors, la douleur que cela occasionnait. Serge, au cours du repas, lui donnait parfois des morceaux de son assiette, et la flattait par une caresse délicate dans les cheveux de Claire...Je crois d'ailleurs que c'est à ce moment que j'ai pu voir depuis le début, un bout du regard de Claire... Pour le digestif, Serge me réservait encore une dernière surprise… Alors qu’il dégustait un petit digestif et que nous échangions encore des petites histoires… Il demanda à Claire, qui avait perdue sa laisse et sa charmante chaine…devenir près de lui. Il lui indiquait alors une petite table mise contre le mur. Claire semblait excitée et heureuse… Serge lui souriait, et lui dit simplement… « Punition !!»… Serge avait pris deux petits bracelets de cuire qu’il avait mis à Claire puis simplement de sa position désigna à Claire un petit guéridon.. J’attendais simplement assit dans le canapé buvant tranquillement un digestif… Et j’observais la scène… Serge fit poser les mains de Claire sur le Guéridon. Il ouvrit une petite trappe sur le dessus d’ou deux chaines étaient cachés. Il les relia aux bracelets. Serge serra les chaines et fit plier le buste de Claire, afin de mettre en évidence ses fesses qui me faisaient fa ce. Puis il fit avec son doigt, après l’avoir trempé dans son verre, tomber quelques goutes sur le haut des fesses de Claire… Puis de sa main, fit « voyager » ses goutes en un filet se dirigeant vers l’antre, toujours occupé de ce plug… Puis au moment où je m’y attendais le moins…il frappa fermement une fesse de Claire... Je me souviens du bruit de la claque, des marques laissées par la main et les chaines qui bougeaient… Claire se raidit d’un coup… Il prit alors dans un autre tiroir du guéridon, un plug plus gros que le précédent, je me souviens encore de la différence de taille… Je me disais, ce n’est pas possible, il ne va pas lui mettre cela… Je me souviens également quand il retira le premier plug, qu’il me fit un temps observer cette ouverture belle et à la fois dégradante pour Claire, mais malgré tout au combien envoutant… Avant de mettre à nouveau ce deuxième plug, il prit soin de mouiller ce dernier dans un pot qu’il avait sur l’étagère qui, je l’appris plus tard contenait un lubrifiant. Puis il apposa sans ménagement ce nouvel ami pour Claire, qui malgré tout poussa un léger cri qui se rapprochait quand même d’une certaine douleur et non d’un plaisir…enfin je pensais cela… Puis Serge s’amusa un temps avec les des fesses de Claire afin de bien faire ressentir cet instrument en ce lieu souvent interdit. Puis il m’appela, je croyais que tout était fini et qu’il allait me demander de l’aider à détacher Claire ou je ne sais.. Quand je le vis prendre, dans un recoin, un tout autre objet qui là…m’arrêta un instant…. La cravache…
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Par : le 05/09/17
Histoire d'un passé....bien éloigné, d'un monde que j'ai connu, qui me fit "naître" et "Être" .............. Je m’approchais du premier bocal. La main un peu tremblante, j’y plongeai la main pour en ressortir un petit bout de papier plié en quatre…. Serge, mon « Mentor » en ce Jardin des Sens, se trouvait derrière moi….et je me souviens de son ricanement moqueur à mon sujet…. …. Je dépliais le papier… En de belles lettres, dans un style d’antan, y était écrit…simplement… Je montrai à Serge ce bout de papier, avec une petite fierté.. J’avais donc le droit de me présenter devant le deuxième bocal… Je tendis le papier à notre hôte de « Cérémonie »… A nouveau, je pris un papier… Dans la même écriture, le mot « Bukkake » s’y trouvait….avec un nota bene… Là, fut mon étonnement, je ne savais ce que c’était… J’ouvris des yeux des plus étonnés, et me tourna vers Serge en lui montrant, alors que lui-même venait de tirer le même papier de « Participant »… , me dit-il en rigolant…. Je déplaçais alors vers le troisième et dernier bocal, tendant, une fois encore ce papier de providence ou de malchance.. Peut-être… Un simple numéro se trouvait présent…: Étrange jeu de chance, mais, je savais que j’allais encore découvrir biens des choses en mes pas de ces jeux de Sens… D’autant que, Claire et Serge avaient, tous deux, un malin plaisir de se jouer de moi en ne me dévoilant que peu de temps avant « l’évènement » ce qu’il allait se passer… …. Je me retrouvai avec une multitude de questions quant à ce fameux « Bukkake »… Une pratique ? Un accessoire ? Et puis, à quoi pouvait bien servir ce numéro….. Mais l’heure n’était pas encore aux réponses…Je le savais… Nous étions là, dans cette somptueuse demeure, avec d’autres convives depuis près de 2 jours… Nous avions reçu l’invitation d’amis pour fête l’anniversaire de la Dame des lieux… J’adorai ces petits week-ends, qui étaient pour moi, la découverte, à chaque fois, de ce Jardin d’indécence …et qui plus est, toujours dans des situations vraiment différentes de ce que j’avais pu vivre jusqu’alors… Le thème de ce week-end, en sus de l’anniversaire de notre convive, était l’époque napoléonienne…. Et j’avoue, pour la gente féminine, les tenues de cette époque laissaient libre évasion du regard sur les belles robes d’époques…invitation à s’engouffrer sous cette longueur trainante….et laissant deviner les courbes, en de beaux balcons, des Monts de ces Dames… Mais l’heure fut de se préparer pour l’apéritif….qui sonnait le début des « festivités » encore inconnues …. pour moi Serge et moi, nous nous étions rendues directement aux bars. Vêtu comme des Nobles de cette époque... En bottes de hussard, qui claquait à chacun des pas, un « pantalon » d'époque bien moulant, blanc, rehaussées sur le devant par des boutons dorés, disposés sur chaque flan, permettant de laisser l'ouverture facile pour l'accès à cet « instrument » fort utile quand le besoin physiologique se fait présent....(mais pas que...)...Une chemise tout aussi blanche et à l'encolure droite, qui donnait à la tenue de tête un aspect bien strict...Une veste des plus cintrée, dessinant bien le corps, très haut sur le devant, presque à hauteur de nombril, et très longue sur l'arrière, presque comme une queue-de-pie...Le col en était tout aussi droit que celui de la chemise... Serge avait agrémenté sa tenue identique à la mienne d'un beau couvre-chef, et d'une belle canne, qui, plus tard, servit à ses fins sur sa belle Claire.... A l'arrivée au Bar, nous avions reçu une cocarde, que nous devions arborer sur notre veste...Chaque cocarde correspondait à un thème qui allait suivre... La mienne avait juste une Lettre « B », certaines avec un numéro en plus, d'autres des lettres différentes....Certaines avec « S », je compris, plus tard signifiait « Spectateur », d'autres avec « F », signifiaient « Fouet »..... Lorsque je reçus la mienne, en échange de ce fameux passe, on me dit que je devais également profiter pour trouver le « 3 » qui m'était associé.... L'ambiance était des plus conviviales près du bar. J'admirai les belles, mais aussi les messieurs dans ses tenues vraiment plaisantes. Les discussions étaient des plus variées, allant de la vie de famille aux trouvailles nouvelles de certains à user dans ces Passions des Sens. J'aimais me retrouver dans ces genres de rencontres, entre découvertes et vivre un jeu de rôle le temps d'un week-end grandeur nature...Un dépaysement total et des plus variés. J’aperçus alors, une damoiselle, dans une belle robe d'un vert « Pistache », très élégante dans cette tenue qui arborait la fameuse cocarde que je devais trouver... Elle n'était pas tellement à mon gout physiquement, certes, pas laid, mais loin de mes propres critères de la gente féminine.... Je m'approchai d'elle pour me présenter...et entamait la discussion lui indiquant qu'Elle devait être celle qui devait m'accompagner pour ce fameux « Bukkake », dont, encore je ne savais vraiment rien.... Je me souviens qu'elle fut très amusée que je ne connaisse pas cela.... Ce qui eut le mérite de me détendre ...car il faut bien le dire, malgré cette tenue que j'arborai avec fierté, je n'en menais guère large sur la suite des évènements...Je savais bien qu'il s'agissait là, d'un jeu de Sens....mais parfois, difficile d'appréhender les choses que l'on ne connait pas.... Elle prit soin de m'expliquer les rudiments de base de ce « terrible » tourment... Elle ajouta simplement, que son rôle, serait qu'elle œuvrerait en lieu et place de ma personne, pour en « tirer » ma Sève, sentence appliquer à la personne tourmentée....et qu'elle s'y appliquerait des mieux qu'elle puisse en espérant satisfaire aussi ma personne dans ce plaisir manuel.... J'avoue que cela me déconcertait quelque peu, mais j'étais aussi présent pour découvrir tous les chants de ce Jardin de Luxure et que l'envie d'en savoir, de gouter plus m'était des plus présent... Notre conversation fut coupée par notre hôte. Il nous invitait tous, une trentaine de personnes, à le suivre à l'extérieur, et que le début des supplices allait commencer ...Pour la tourmentée.... Une petite estrade était là, dans le jardin, déjà présent, une tribune de discours en son coin. Une mise en scène d'un bourreau cagoulé trainant au bout d'une chaine la suppliciée s'avançait vers cette estrade. Notre hôte, dans un grand discourt de juge, annonçait ce qui allait se dérouler.... ... Bien sûr, cela n'était qu'un jeu, ou tous étaient là pour participer, tous étaient volontaires dans ce scénario anachronique... Mais il faut l'avouer, cela est des plus déconcertant... Mais cependant, l'excitation, le plaisir subtil des jeux, de la mise en scène m'étaient là...et je n'allais pas partir sans profiter de ce sublime séjour d'en-temps... Notre hôte continua en invitant à monter sur l'estrade les « bourreaux » affublés de cocarde « F ». Mon numéro « 3 », qui se prénommait Muriel, était à mes côtés. Elle se « crocheta » à mon bras, un sourire plaisant se dessina sur mon visage, qu'elle me rendit, et nous continuions ainsi, sagement à écouter.... Ils étaient trois, chacun leurs tours, ils se présentèrent. Montrant, et démontrant leurs matériels et arts particuliers du maniement d'un instrument qui n'est pas à la portée de tous. L'un d'eux donnait des conseils sur les différentes techniques. (Je me souviens de son accent très prononcé Australien...qui donnait à la scène un côté particulier et très cinéma) Un autre, au pied de l'estrade, invitait certains à user, dans le vide, de leurs instruments de torture.... J'aimais ces côtés aussi, de découverte et de pratiques. Un enrichissement vraiment plaisant sur les divers Pans de cette Passion. Et qui plus est, permettait aussi de savoir, comprendre, mesurer potentiellement les risques ou pas de certaines pratiques. Tout comme aussi savoir si l'on peut fléchir vers ses affres. Après le temps des démonstrations et explications, notre hôte indiquait au bourreau encagoulé, qu'il était temps, à présent de se rendre vers la première sentence de la suppliciée. Chacun emboîtait le pas à cette « funeste » tête de cortège. Il était amusant, de voir que malgré un côté lugubre, ce cortège était très joyeux, et quelque peu indiscipliné. Entre rires de certains, et les coupes de champagne qui claquaient, il avait plutôt l'air d'heureuses retrouvailles....et non de « funestes » suppliques prochaines pour notre tourmentée.... Au fond du grand Jardin de la propriété était disposé des lanternes-tempête qui formaient un grand cercle touchant cette « terrible » potence.... Lentement, l'ensemble des convives prit part tout autour du cercle, à l'extérieur, pendant que le bourreau cagoulé, œuvrait dans l'attache de la suppliciée... Les trois compères désignés bourreau de la sentence, prirent part dans le cercle, déposant leurs attirails de tortures sur une table déposée là. Chacun leurs tours, vérifiaient la distance séparant tant la foule amassée que celle de leur cible de choix.... Ce n'est pas parce que cela est une « torture » qu'il ne faut pas prendre de précaution quand même... Puis l'encagoulé s'éloigna, le Maître de Séance, prit la parole. Il annonça alors à la pénitente le sort qui lui était réservé et le nombre reçu de « Marque ».....En disant ces mots, il dénuda le dos de la Belle...En releva la chevelure longue, qu'il attacha soigneusement sur le haut de sa tête.... Se recula en sortant du cercle.... .... Et les premières marques apparurent rapidement..... Des applaudissements venaient parfois ponctuer les prouesses gestuelles qu'effectuait le tortionnaire... Parfois, l'on entendait une rumeur d'exaltation, parfois d'étonnement.... Cela m'était étrange voir étranger, mais j'avoue avoir plus apprécié la gestuelle dans le maniement de pareil instrument que de la scène en elle-même... Encore aujourd'hui, même si je trouve parfois beaux ces actes, je n'en suis cependant nullement Friant dans l'acteur...et surtout pas du tout intéressé outre mesure.... J'admirai la capacité de la Belle ainsi torturée et j'étais des plus admiratifs des marques laissées.... La séance fut terminée dans un tonnerre d'applaudissements. Puis le Maître de cérémonie invitait, qui le souhaitait, à mirer le résultat sur la Belle toujours attachée.... Puis après un temps de « dégustation » de cette Belle attachée...elle fut détachée... Notre hôte recouvrit cette suppliciée...et nous indiquait qu'il fallait retourner à la demeure pour prendre encore quelques verres avant de passer à la suite....
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Par : le 19/01/17
La vie est une drôle d’histoire… On ne sait jamais sur quel chemin elle nous mène … Le mien, de cette vie passée, m’a amené dans biens des contrées et des mondes… Parfois avec le sourire parfois sans…Parfois en faux-semblant… Cependant j’en ai appris la chose que je suis… Être vrai est ce qui m’est nécessaire…. Dans ce Jardin qui est le mien, je désire y Être… J’y ai grandi, je m’y suis fait… Un matin de vie, j’en avais pris la clé vers d’autres… Mais mon passé, mon Être m’a rattrapé… Alors j’ai repris le chemin me menant à ce qui me fait Etre… Je m’y suis retrouvé… J’y ai vécue des mots merveilleux… J’y ai vécue des Maux des plus douloureux… Je me suis perdue aussi….Et pas qu’une fois…. Mais … Mais j’y suis Moi… Vrai, sans artifices, certes, comme tout Être, avec des défauts…. Mais j’y suis Châtelain de mes Sujets de vie… Vivant comme jamais…Certainement avec trop d’Extrêmes d’Être… Et aujourd’hui…Même si l’Ombre est… Même si les Maux sont…. Même si je suis dans l’Ombre…. Je suis Moi… Extrême de mon Être Extrême de Mon Amour… Extrême de tout ce que je suis…. Car je Suis ainsi En mon Jardin des Sens… Cultivant mon Être… Dans mon Château des Ombres….
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Par : le 14/02/19
Je ne sais combien cela à durée... Mais cela était des plus agréables que de partager, en silence avec une personne, même inconnue, des émois communs, une tristesse de cœur…tout aussi commune Elle s’absenta une nouvelle fois…en son téléphone posé et le sourire présent. .. Nous arrivions presque à mon avant derrière arrêt. .. Elle revint pour prendre ses affaires. .. Elle s’assit un instant, Rangeant ses petits effets personnels Elle se leva… Elle mit sa veste. .. Le couloir était bouché. .. Le train s’arrêta …j’entendis les portes s’ouvrir … Le couloir commença à se vider… Elle me regarda… Je lui souris… Et d’un coup…se rapprocha de moi… Me pris fort dans ses bras… M'enlaça comme je n'avais plus ressenti cela... Hormis lorsque chaque fois, d'un café pris ... Amicalement...Mon Envouteuse et Moi On se prenait dans les bras... Pour ne pas pleurer l'un devant l'autre... Et que nos corps, fort se ressente comme si c'était la dernière fois... Et à mon oreille elle me dit… « Merci de vos mots et de votre silence….Merci simplement de comprendre …J’espère qu’Elle vous reviendra…Gardez espoirs … On ne sait ce que l'avenir peut réserver. Vous savez les femmes sont parfois des plus étranges....Si elle vous a aimée, comme vous semblez l'aimer encore...Alors rien n'est perdue...Seul le temps vous dira vraiment...» Je fis un sourire crispé, une petite moue caractérisée… Lui indiquant mon plus grand doute en ces mots derniers… Même si au fond de moi, l’envie est plus que là…. Je lui souris une dernière fois… Elle me sourit simplement… Déposa sur ma joue un délicieux et doux baiser amical…qui dura un peu M'enlaça une dernière fois... La foule continuait à descendre… Certains passagers regardaient cette scène de pure tendresse…avec un regard tout aussi tendre… « Vous allez rater votre sortie, Mademoiselle… » Elle sourit… « Au revoir Monsieur, Vous êtes un homme Bon et généreux….Merci d’être Ainsi… Et surtout ne changer pas...Pour rien au monde» Elle partit promptement… J’entendis tout juste le signal de la fermeture de la porte… Le regard des passagers, encore présent, sur ma personne étaient de tendresses adorable… Je la cherchais au travers de la fenêtre… Une derrière fois... l’apercevoir… Je la vis rapidement… Un geste d’au revoir de sa part… Et je souris, humble et ému de son geste… Si simple, si réconfortant, même l’espace d’un instant… Je remis mon casque… Dans une mélancolie des plus présentes…Les yeux certainement des plus rougis… Et je repensais à ces derniers mots… Presque les mêmes que mon Envouteuse m’avait dit, quelques temps auparavant… « Vous êtes une personne gentille et bonne »… Arf…Certes… Mais comme on le dit souvent… « Trop Gentil, trop bon….Trop Con »…. Mais qu’importe, je ne peux me changer…je suis ainsi… Le train continua …ainsi jusqu’à mon arrivée finale… En descendant de mon train, rejoignant ma voiture… Je repensais à cette Damoiselle, me réconfortant….simplement… Alors je souris, je me réjouis de son geste si désintéressée si ce n’est de me partager de la chaleur du Cœur…. Je pris le chemin pour reprendre mes Chairs laissées à leurs Grands-Parents… Arrivant chez eux…La porte s’ouvrit … Et mes deux enfants me sautèrent dans les bras…. « Tu nous as manquée, Papa… »…. Et d’un coup, mes Maux s’envolèrent… Enfin…s’estompèrent…Le temps d’être ensemble pendant ces Vacances scolaires… Même si le soir venant, quand je les emmenais à leurs couchés, Seul, dans ce Lit, je repensais à ce Passé qui m’est Maux…A cette Envouteuse qui ne m'est plus... Et je revoyais ce sourire de cette Damoiselle… Et je m’endormais avec ce souvenir fugace d’une Belle Damoiselle enserrant tendrement cet Etre d’Ombre que je suis à présent… Et pour longtemps... Je le sais tout aussi présent que cela est
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Par : le 16/03/22
(Photo du Net) Je m’asseyais en face d’Elle, après avoir pris l’air en cette fin de repas… Profitant de la douceur du soir, d’un café/clope que j’aime à prendre en ces instants… La journée nous avez été fort agréable, comme d’habitude, quand on se retrouvait. Profitant ainsi, de ces moments volés de notre quotidien qui nous séparait de plusieurs centaines de kilomètres Le soleil avait été présent et nous avions profité de cette belle journée pour nous promener en bord de mer. Elle me regardait de son regard si Bleu et si délicieux tout en me toisant, provocant, assise sur la méridienne qui me faisait face. Elle avait profité de ma pause pour se changer. Et m’avait fait l’honneur envoutant de se vêtir de sa belle robe bleue aux motifs noir qui dessinait si bien ces courbes. J’aimais la voir ainsi parée pour moi, pour Elle aussi bien sûr, mais je savais qu’Elle le faisait, en cet instant, pour mon plaisir de la voir ainsi Femme..Femme. Son quotidien ne lui permettait guère d’être ainsi vêtue et Elle n’avait, jusqu’avant de me connaître, réel intérêt en ce genre de tenue si ce n’est pour des événements plus familiaux qu’autres choses. J’adorais la voir ainsi vêtue de cette robe longue… Cela lui donnait une démarche des plus appréciable…Et j’en profitais souvent pour regarder sa démarche de petit pas qui mettait alors en valeur, toute sa féminité, son séant agréable que marquait ses hanches…. - Arf…ces hanches…que j’aimais les prendre en certaines positions…un délice que de pouvoir les prendre en main pour la guider, la posséder dans des envoûtants va et viens…- J’aimais aussi la voir s’asseoir, prenant délicatement sa robe pour relever cette dernière dans une grâce remarquable. J’aimais aussi pouvoir mirer ces monts si bien mis en valeur par cette étoffe qui étroitement enrobait ces derniers laissant juste apparaître cette fente qui attire et attise le regard… Je la regardais, le sourire contemplatif de cette Belle taquine…au regard si…si… "Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux"..Me dit-elle d’un sourire coquin… Je souris…Penchant cependant légèrement la tête, fronçant les sourcils… Je vis un instant d’hésitation dans son regard… Elle répéta sa phrase… Je souris de plus bel… "Tstssss, peux mieux faire...", dis-je d’un air un peu plus ferme… Je vis à nouveau une certaine hésitation s’emparer d’Elle…puis souris, d’un sourire signifiant qu’Elle avait compris… "Vous pouvez faire de moi, ce que Vous désirez…Je Vous appartiens… " Je me mis à rire… "Bon allez, je Vous l’accorde…Mais…faudra faire mieux la prochaine fois…. " Elle se mit à rire, ayant cette fois compris mon désir en ces mots… "Oui, Maître…" Je fronçais à nouveau les sourcils… "Oui, Mon... Maître…" Nous nous mîmes à rire en cœur…. Je restais un moment encore à la regarder… Les images, dans mon cerveau, fusaient à un rythme effréné... ...La plaquer sur la table, soulever sa robe pour découvrir son séant et l’en faire rougir pour ce petit ‘affront’…- Plaisant...- ...Ou bien, regardant la porte de mon cagibi…Mettre la croix de Saint-André… - Non trop long – ...Ou encore la faire venir à moi, en rampant comme une Délicieuse Chienne… - Non trop…Embêtant avec sa robe…- ...Et bien d’autres images encore… "Ohoh….c’est quoi cette lueur dans Votre regard, Mon Maître ? "… Je lui souris… « Levez-vous ma chère », lui demandais-je en me rapprochant d’Elle… Je lui pris la Main pour l’aider à se relever de la méridienne... En profita pour lui déposer un baiser sur ses lèvres adorable…une fois dressée devant moi Puis, je posais mes mains sur ses épaules dénudées…en la tournant légèrement pour qu’Elle ne puisse me voir quand je reviendrai avec les objets qui m’étaient apparu … "Ne Bougez pas, et surtout ne vous retournez pas…cela ne serait pas du Jeu…hein !! …C’est Qui-qui hein ?... " "C’est Bibi.. " Me rétorqua-elle dans un rire taquin… " Mouaip, on verra qui est vraiment.. Bibi…Tout à l’heure…Ma chère… " Je déposais un doux baiser sur l’une de ses épaules dénudée…Et parti dans la chambre prendre ces objets de ma convoitise…
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Par : le 12/07/15
Après une très petite matinée de boulot, me voilà m'en retournant dans ma prison. Mais l'envie n'est pas de rentrer tout de suite... Je quitte ce charmant lieu qui m'accueil pour quelques jours, et je prends le métro Porte d'Auteil. En attendant le métro, je regarde sans regarder les quelques personnes mirant la venue de la rame. Une demoiselle me sourit, je lui retour un sourire et subitement j'ai l'envie de parcourir un lieu haut en couleur de par sa renommée et pleins d'émotions et de souvenirs d'il y a quelques temps. Me voilà arrivé sur les Champs, je remonte lentement cette longue avenue, et les souvenirs m'inondent de fort bons moments...Mais le Cœur à ses raisons et blessé par une absence de plus en plus réel sur bien des points je préfère vite m'en détourner. Je marche lentement, écoutant la musique, je croise de charmantes personnes aux sourires angéliques. Et je me sens plus léger malgré les maux qui m'obsèdent. Rapidement j'arrive, près de Saint Lazare, mais j'hésite de passer par ce chemin, me rappelant tant de belles choses et d'enivrants moments.... Il est presque l'heure de midi et la foule commence à se faire plus présente dans les rues parisiennes. Je m'assois un instant dans un petit parc près de l'Opéra. Et je rêve assis à l'ombre des arbres de moments à deux, chaleureux et parfois fougueux...de cette fougue ravageuse des sens qui m'habite et m'obsède...mais j'ai ce mal au ventre, cette petite boulle qui me rappel la réalité de ma situation et qu'il faut vite effacer. Aujourd'hui et depuis près de dix ans, je subis les envies au lieu de vivre pleinement mes envies...Mon avenir très proche et qui se rapproche, me permettra enfin de vivre cela et non plus subir. Aujourd'hui encore je subis et cela me coût tant de bonheur auxquels j'aspire que cela ne fait que renforcer une fois encore que ma décision est bien la bonne. Après un repas rapide près de Drouot, je me faufile dans les petits passages très typiques parisiens des années folles, ou l'on peut encore croiser des boutiques aux improbables clients venant acheter des cannes faites mains ou encore de belles broderies d'autres fois sous des verrières éclairant les passages. Puis je remonte une petite Rue piétonne, dont les magasins s'étendent sur les pavés de la rue. Presque à la hauteur d'un marchand de fleurs, Trois charmantes demoiselles viennent en ma direction... Et là, de part leur charmante allure et minois, une envie me prend de les voir sourires...une envie aussi de faire ce que j'ai envie sans me soucier de la suite...et peut être aussi de me faire sourire aussi égoïstement que de m'enivrer de leurs joies et de la surprise de ce que je puis faire. Je me permets délicatement et avec tact, d'interrompre la promenade d'entre 12H et 14H. Surprises, et un peu déconvenues de mon approche au premier abord, qu'un homme puisse les déranger ainsi, surement encore pour leur demander leurs numéros de téléphones... Mais quels joies et plaisirs tout personnel, quand dans leurs yeux et sur leurs visages j'ai pu y lire la surprise et l'émotion combinés au moment où je leurs offris une rose à chacune... Elles restaient des plus bouche bée de par mon action...je leurs souris alors simplement et les remerciaient de ce petit rayon de soleil qu'elles m'offraient simplement...me faisant oublier pour un petit moment tout les maux que je vis... Elles voulurent me remercier de ce présent en m'offrant un café, mais je déclinais l'offre poliment...et je pris alors congés d'eux, les remerciant une dernière fois de ce petit moment de douceur. Je continuais alors mon petit bonhomme de chemin vers la gare de l'Est, tout heureux et léger d'avoir fait et vécu l'envie du moment plutôt que de subir les envies. Mesdames, qui me lisez, si un jour au détour d'une rue parisienne, vous êtes abordée par un homme vous offrant simplement des fleurs, ordinateur sous le bras...juste pour un sourire...souriez lui, il n'attend rien en retour si ce n'est, ce petit moment si indescriptible mais enivrant de voir de charmantes dames lui sourire, et de vivre ses envies quand il en a envie....
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Par : le 27/08/18
Il y a des matins que l’on aime bien, et qui reste à jamais présent en soi… Ce mardi matin en fait parti comme les précédentes passions enivrantes bien sur qui ont précédées ce matin. 6h du matin, Paris s’éveille doucement… Après le passage de la porte, qui se referme derrière moi, j’allume machinalement une cigarette, le cœur encore rempli d’émotions pour reste tout près…. peut-être, comme sans vouloir vraiment partir et vivre, revivre tout ses émois de la nuit… Quelle douce odeur cette première cigarette du matin, encore que, est-ce vraiment le matin ou le prolongement de la nuit… Je redescends la rue, me menant à la voiture. Le sourire recouvre mon visage, le cœur tout léger. Les rues sont vides à cette heure fort matinale. Seuls les premier travailleurs se pressent à rejoindre le bus ou le métro les menant au travail sans doute. Paris, au petit matin, a ce goût si étrange, un visage si particulier, j’en avais presque oublié la beauté après une décennie… Les premiers cafés ouvrent leurs portes, et les saveurs du café chaud parfument agréablement mon chemin. A mesure que je m’approche de ma voiture, le retour à la dure réalité se fait plus présent. Mais les images reviennent inlassablement et si délicate, me faisant oublier presque ce retour à ma prison d’orée. Je passe sur le pont surplombant la gare Saint Lazare, je m’attarde un peu, regardant les passagers descendrent des trains…Les voilà déjà courant, pressés de rejoindre le métro pour éviter une foule, qui a cette heure-ci, est plus qu’improbable. Il est amusant de voir les lumières des appartements « Haussmanien » qui illuminent d’avantage la rue…et d’y voir les décors si impressionnant et si variés… du moderne au baroque, contraste, je pense purement parisien… Les souvenirs de mon passé s’entrechoquent avec la nuit passée… Souvenirs plaisants, apaisants Souvenirs de ses derniers verres pris à pareille heure du matin alors que les percolateurs se mettent en marche…Les Noctambules croisent les « Diurnes » mais semblent s’éviter… Ma voiture n’est pas loin, et les brumes de la nuit sont encore bien présentes, Senteurs, odeurs, chaleurs sont aussi irréelles que cette nuit…nuit tant voulu et tant réconfortante, tant apaisante, tant…tant… Je monte dans la voiture, allume la radio…et là…comme si une magie opérait, une chanson passe sur les ondes…Une chanson qui me fait dresser les poiles, vibres à plus d’un titre, et qui là, prend encore plus d’importance… « With or Without You » de U2 Je souris, écoute avec grande attention chaque mot, chaque son, fermant les yeux et me laissant enivrer de cette chanson. Les images, il y en a des tonnes qui défilent dans ma tête… Un sourire, des sourires qui s’échangent… Des mains, des corps qui se rapprochent, et s’éloignent pour mieux revenir, se fondre en un… Je souris à nouveau, mon cœur est si pris, si vibrant des instants passés…mon corps entier encore couvert de la chaleur...mais je dois partir, il est l’heure… Les images changent Les corps qui s’éloignent, les sourires se font plus triste, les voix plus troublées par le départ… « With or Without You » disait la chanson…. Je parts, et à mesure que je passe devant les quartiers fréquenté la veille, je souris à nouveau, un peu triste que tout cela soit finit…mais si bien…un paradoxe, mais un délice à vivre malgré tout… Et très vite, je quitte ce quartier...Boulevard Haussman, place Vendom, La Condore…la réalité vient vitre effacer, quelques peu, ce passé si ressent…Je me souviens avoir dit à haute voix…il faut que l’on aille là ou encore là…mais hélas, pas aujourd’hui ni demain…mais pas grave cela sera un autre jour, un autre moment… Puis l’autoroute fait sont apparition, Je file vite, mais pas trop, non pas par peur du Radar, mais pour rester …encore un peu dans ce doux sentiment si précieux, pour ce moment si….si… Pour ce moment qui ne serait qu'un futur, comme si ce matin n'était pas encore venu ... qu'il sera juste demain.
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Par : le 11/02/19
Mes yeux machinalement se posèrent sur ce petit calepin… « Quand la scène fut terminée, le projecteur s’est braqué sur moi…Comme un rayon de Lumière et de chaleur…Et cela me faisait penser à toi…Un mois que je n’ai de nouvelles de ta part….Et ce petit rayon me fit un terrible Frison, car d’habitude c’est toi qui étais derrière ce Spot… Mon téléphone ne sonne plus de tes messages…Et je suis triste de ne plus rien savoir de toi…Tes joies, tes peines, tes pensées….» Arf, cruel absence, cruel dilemme d’un silence que l’on espère moins pesant…Mais qui nous est plus terrible que tout…Combien je comprenais l’émoi de la Belle Damoiselle… « Nos amis me disent de ne pas m’inquiéter, tu es juste de l’autre côté de la mer… et que prochainement tu reviendras…Ce n’est l’espace que d’un mois encore…Mais ton Silence m’est d’une torture incroyable… » Arf, les Amis…. Chanceuses qu’est cette Damoiselle…Je me suis rendu compte, en mon Histoire, qu’avec du recul…on voit combien certains que l’on pensait Amis sont des plus Faux…parfois même médisant de Mots… Etrange le comportement de certains…Mais ainsi est l’Etre humain… On me pousse même parfois à devoir haïr ...Mais pourquoi donc ?....Pourquoi faire ?... Le Tome de cette histoire est fermé….Un choix qu’Elle a fait… Elle connaît le « reproche » fait…Le reste n’étant que conséquence…Et Elle sait aussi ce qui m’est envers Elle…enfin je crois… Un autre Tome s’ouvre…dans un autre contexte, c’est tout… L’avenir dira de ces choix faits…Et de ce que nous serons l'un pour l'autre... « Bientôt, cela sera notre date de rencontre, j’irai là où l’on s’est embrassés la première fois…Je regarderai le ciel, vers chez toi…Et j’espère que mon téléphone sonnera… » Délicieux mots pour la personne qu’elle aime…L’émoi de cette particulière attention me toucha profondément… Elle revient le sourire un peu présent…s’assit… D’émotions et touchés par la lecture de ces mots… Je retirais mon casque… « Mademoiselle, excusez-moi de vous importuner …Je n’ai pu résister à lire vos mots et Maux…J’espère que vous ne m’en voudrez pas de cette lecture et intrusion en votre vie privée… » Je sentis une certaine méfiance et gêne en mes mots « Rassurez-vous, ce n’est que pour vous encourager à vous épancher ainsi dans l’écriture quand de maux votre vie est…je fais de même ...Et encore plus aujourd’hui, cela est un très bon exutoire ...je ne connais pas votre histoire je ne désire pas la connaître, mais je sais combien cela aide…quand nos cœurs sont en douleurs… » Elle fut surprise de mes mots… Je lui souris simplement… Et me souris en retour… « Je vous souhaite son retour rapidement…et de ces mots qu’aujourd’hui vous lui écrivez, n’ayez craintes de lui partager à son retour, il n’en sera que des plus honoré de Vous » « Merci Monsieur ... » Je lui souris à nouveau…. Et je remis mon casque, replongeant dans mes songes… Le train continu son chemin… Elle me semblait plus détendue. ..Écrivant encore plus… Et étrangement, plus amoureusement… De temps à autres nous échangeons regards et sourires…sans autres mots… Elle me donna envie d’écrire … De mon ordinateur, je commençais un nouveau texte…de mon présent ressentie… Je sentais parfois son regard se poser sur mes propres mots… Je prenais cependant garde à ne pas trop dire de cette univers si atypique… Et à mesure de mes mots, phrases…. A mesure de ces propre propos en ce petit Calepin… Nous échangeons encore sourires et regards…
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Par : le 08/09/19
(Image du Net) Nous évoquons souvent nos histoires, nos passions, nos déchirements dans les affres des sens… Mais par-delà ces sens, il y a aussi l’à-côté, ce que nous sommes, quel que soit notre couleur, capables de faire. Et souvent, pour les "Guidants", nous évoquons peu cet à-côté…. Et je vous livre un de mes aspects…sur cet à cotés…qui je suis certains est loin d’être unique… Nous avions fait connaissance sur un site de rencontre spécialisé dans cette passion des sens, pour ne pas le nommer. Elle m’avait abordée, non pas pour répondre à mon annonce, mais plus dans le bût de mettre des réponses à ses maux de la vie de tous les jours, mais aussi de comprendre ce qu’au travers de mon « Château » était ma vision de ces affres, qu’elle avait connue d’une façon dans sa vie passée. Mariée depuis plusieurs années, elle se posait maintes questions sur ces maux, sur ces envies qui lui revenaient de ce passée de vie. Elle essayait de comprendre pourquoi, d’un mari, qu’elle me révéla violent, elle aspirait à autre chose…mais que de Violence cependant elle en appréciait certains aspects… Il était certain que de notre relation, nous ne pouvions présager de la suite…car de distances nous nous séparant, nous avions…et malgré sa ravissante personne, je n’en aspirai guère plus… Mais la vie ne peut être présagée…et de fils en aiguilles notre relation naquis et vit le jour par le hasard d’une rencontre des plus fortuite…mais le sujet n’est pas en cela…. Après un an de passions et de patiences, entre coupés de maux et de délicieux mots, j’avais réussi à lui faire comprendre la nécessité de se séparer de son mari… non pas pour que notre relation soit plus grande et unique…mais pour sa sécurité et celle de ses enfants Elle avait réussi à déménager sa petite famille, cependant elle ne resta pas loin de ce sombre personnage…. Mais j’étais rassuré d’une part par son chemin fait et que d’autres parts, elle avait emménagé juste à côté d’une amie commune… J’étais rassuré à ce pas et ceux qu’elle dessinait tant pour elle, divorce, etc., mais aussi que nous avions pris le partie que je me rapprocherai d’Elle dans les prochains temps…. Non pas pour vivre sous le même toit, mais non loin…. Ainsi, J’aspirai protéger davantage sa personne, le temps que tout soit finalisé pour Elle, et que son Mari ait pris le partie de cette nouvelle situation et pris d’autres vents… Et bien sûr, perdurer dans notre relation… Nous avions dessiné l’espoir de sa venue, durant le week-end précédent, le soir même pour que nous puissions profiter de ce 14 juillet sur Paris…. Ma journée devait être une succession de réunions, et m’offrait guère loisir de pouvoir suivre notre conversation, quant à sa venue et autres…. Nous avions l’habitude de parler d’échanger tout le temps, par tous les moyens que nous avions…un lien permanent que nous aimions entretenir, et qui comblait ce manque de présence physique entre chacune de nos rencontres…. Au départ de ma première réunion, le soleil brillait dans nos échanges…comme à chaque fois… Quand, au milieu de celle-ci… « Il est là,…il n’arrête pas de passer devant la maison…j’ai peur…que dois-je faire ? »….. Je pris congés rapidement de la réunion, pour l’appeler immédiatement…mais je ne pouvais guère m’absenter longtemps… Au téléphone, sa voix était tremblante et j’en fus encore plus blessé devant cette impuissance dont j’étais « victime »… Cependant, je fis en sorte de l’aider en lui conseillant de prendre le téléphone toujours avec elle et de mettre en « raccourci » le numéro de la Gendarmerie…ainsi que de celui de son amie, qui malheureusement n’était pas présente…. Je lui conseillai bien sûr de s’enfermer à double tour et de surveiller son approche… Je tentai de la rassurer avec le peu de moyens dont je disposais… Mais il n’en était pas à sa première intimidation, et déjà par le passé, il eut à faire à la Gendarmerie… après lui avoir volé son sac… et toutes ses affaires… Difficile de pouvoir, juste par l’argumentation, calmer, rassurer celle que l’on a, celle qui s’offre entièrement à Vous….Mais pas d’autres solutions dans l’instant… Cependant, elle me rassura après quelques minutes de discussions, en m’indiquant qu’elle suivrait mes consignes et que si d'aventure…elle me préviendrait Je dû me résigner à retourner en réunion, non sans avoir la tête à cet hypothétique malheur pouvant lui arriver… Pendant toute la matinée, je lui envoyais des sms, elle aussi pour nous tenir informé de l’évolution… La journée s’écoulât ainsi…entre sms, appels téléphonique…. Et l’angoisse certaine qu’un malheur peut, à chaque instant de la matinée, se produire… Je ne prenais pas la peine de regarder les horaires de trains, les connaissant déjà par cœur…et je réfléchissais, comment m’arranger pour m’éclipser de bonne heure pour prendre la route… Même s’il y avait 4 heures de route, même si, me trouver face à face avec son mari, bien mieux bâti que moi….et également l’inconfort de ma petite voiture…et même si je ne m'étais jamais rendu chez Elle....j’étais prêt à tout pour la protéger… En fin de matinée, elle me rassura, me prévenant qu’elle avait réussi, par téléphone, à calmer son Mari… Mais je lui évoquai le fait de ma probable venue…. Tout le reste de la journée fut ainsi…entre discussion et échanges de mots doux…sur cette probable venue, qu’elle n’aspirait pas…simplement pour éviter une quelconque confrontation… Il est certain, qu’en pareille situation…le cerveau bouillonne, les sens sont plus qu’en éveille…et le moindre vrombissement du téléphone en devient presque torture…. En fin de journée…il n’est plus question de ce 14 juillet ensemble…afin, une fois encore éviter le pire de son mari… J’en étais triste…mais comprenait son choix…. Résigné je me rentrai chez moi alors… Mais le doute persistait encore en moi de ce sombre individu et de ses actes… Je décidai, malgré son désir de me rendre chez elle, n’est-il que pour la savoir en sécurité… J’outre passais donc son choix… Pris mes affaires, et je pris ce chemin d’enfer…. À mi-chemin, je lui indiquai que je venais…Elle entra dans une rage…que je ne pouvais contenir en lui répondant tout en conduisant…. Je m’arrêtai plusieurs fois sur la route, essayant de la raisonner … Je pris aussi contact avec son amie, pour lui demander ce qu’il en retournait…mais elle n’était pas sur les lieux…. Ce qui me fit, que confirmer le besoin de « Savoir » par mes propres yeux que tout allait bien…. Il me restait encore une heure de route….et la nuit était déjà bien avancée Je l’appelai pour calmer sa « Rage » à nouveau…mais pas de réponse…. Je lui envoyai un dernier message « Je viens, Point…Tu es prête et tes affaires aussi, je t’emmène avec moi…Sinon j’aviserai »… Cette dernière heure me sembla interminable…entre les maux de la savoir potentiellement en danger, ceux également de me trouver devant ce dernier personnage… Une multitude de songes les uns plus rudes que l’autre…. Il me restait cependant un dernier point qui contribuait aussi à mes troubles… Je ne m’étais jamais rendu encore chez son nouveau « Chez Elle », certes je connaissais là où Elle demeurait précédemment, et avais sa nouvelle adresse…Mais j’étais dans l’inconnue de savoir si je trouvais… Elle venait d’emménager dans une résidence des plus récentes, et même les « Googles Map » et autres cartographies n’avaient su m’indiquer le chemin…. J’escomptai trouver une carte, un plan dans son village pour m’indiquer le bon chemin…Mais l’heure n’était pas encore à cela…. La route défilait, et j’arrivais enfin à la sortie d’autoroute… Je regardais mon téléphone…mais aucune réponse de sa part…. Je m’approchai de la ville, et mon premier trajet était de me rendre à son ancienne demeure pour constater ou non si la voiture de son homme était présente…. Passant devant la maison, j’y constatai la lumière encore allumée, une ombre de forte taille y était…me confirmant la présence de ce lugubre personnage…et qui fut rehaussée par la présence de la voiture de ce sieur…. J’étais rassuré déjà de le savoir ici et non près de mon Elle….Et j’étais rassuré aussi de ne voir sa voiture… (Il faut dire qu’elle avait le Don de se mettre dans des situations des plus ubuesques comme se rendre chez lui malgré ce qu’il lui faisait subir….) Je prenais alors la route vers l’endroit où elle demeurait….Il me restait plus qu’à trouver sa demeure… Mais ma peine ne fut guère récompensée…arrivant dans le village…je cherchai un plan… Mais pas de telle indication…. Vu l’heure tardive, hélas, personne ne se trouvait dans les rues… Je m’arrêtai alors une dernière fois, près de la Mairie, après avoir fait plusieurs fois le tour du village…. Regardant mon téléphone…sans aucune réponse…. Je pris le temps…de fumer une cigarette…contemplant avec une tristesse certaine ce beau ciel étoilé…Mais avec au moins le réconfort de savoir ce lugubre non chez Elle…. Je tentais un dernier appel…. Sans réponse… Je repris la route…simplement Et tout le long du trajet, je tentai de ne penser à rien… Mais les images de nos Passions revenaient sans cesse, accompagnées de ces questions que l’on se pose quand on se retrouve « Porte close »… 2h30 du matin, il me restait environs 150 klms…Mon téléphone sonne….un sms …C’était Elle…. Elle me demandait où j’étais…. Je pris la première aire d’autoroute… Me gara…. Et je l’appelai… Elle ne répondit pas de suite… Après plusieurs appels et SMS, Elle dérocha enfin… Elle m’expliqua qu’elle s’était endormie et n’avait pas entendu le téléphone…mais elle ajouta…qu’elle ne pensait pas que j’étais réellement venu… Mon sang bouillit instantanément… Je lui raccrochai au nez tout de Go… Une rage, un désappointement immense me submergèrent… Comment pouvait-elle penser pareille chose me concernant ? ? Comment pouvait-elle penser que je n’avais fait telle chose, alors que j’étais en train de faire tout pour me rapprocher (déménager) pour Elle ????? Comment, pourquoi…. Maintes questions qui fusent dans la tête…à une rapidité…. Le téléphone sonna à nouveau… C’était Elle qui rappelait J’ignorai son appel…. Elle rappela…plusieurs fois… Je fini par décrocher…. Elle s’excusa pendant une demi-heure…au téléphone…. Je lui proposai de faire demi-tour…malgré la fatigue…malgré les Maux…malgré…malgré…. Je me retournai donc, seul…chez moi… certes rassuré de la savoir sans Danger… Mais avec une amertume…certaine…et des dessins « gris » de notre devenir… A ses lumières vacillantes d'une si belle relation soufflée par la tourmente des incompréhensions .....
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