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Salouna

Homme switch. Vit à Yerres, Île-de-France, France. 36 ans. est célibataire.
Je me décris
Dom de tempérament (j'aime orchestrer & mener les choses avec rigueur) mais "Switch" de Philosophie: Il ne me déplait aucunement de concéder certaines latitudes à une femme dès lors qu'elle m'ouvre ses frontières dans la chatoyante perspective de cristalliser une relation belle & singulière.. C'est du moins ainsi que s'est faite mon exaltante initiation à la domination; cette exaltation est corrélée à celle de ma partenaire.
Je suis en quête d'une demoiselle qui chercherait à faire émulsion de ses flux souterrains, troubles, incertains. L’accompagner dans cette quête intérieure...
Se vouer, lâcher prise, sans se soucier des redondants archétypes propres au BDSM. Cheminer à deux dans une forme d'élévation du corps et de l’esprit.
Présenté ainsi, cela pourrait sembler un tantinet grandiloquent mais c'est pourtant ce à quoi j'aspire, sans faire aucunement l'impasse sur la sphère ludique, légère et joyeuse que j'attends éperdument d'une acolyte d'alcôve.
Je recherche de préférence une demoiselle assez novice en la matière (j'entends, qui ne se soit pas déjà engoncée dans des protocoles routiniers en la matière) afin que l'expérience soit réellement intense et exaltante. Du reste, explorer de nouvelles terres, déployer quelques latitudes avec des femmes d'expérience..
Charpenté (1m85 pour 98 kilos), je n'use de cette relative puissance physique que lorsque le climat, le contexte et l'état d'esprit mutuels s'y prêtent.
Si la perspective de subir certains actes de dépravation provoque en toi une véritable éruption intérieure, une authentique libération exaltante, nous irons alors sur ce terrain-là, territoires sinueux de l'aventure intérieure et se souciant mutuellement de ne jamais se perdre de vue.
Je suis un homme vacciné et dépisté, garanti sans IST ni MST et j'aimerais que les femmes qui me sollicitent soient relativement clean..
Je ne manque ni d'imagination, ni de malice, ni de ferveur sans déroger pour autant à une certaine intransigeance. Du reste, ma part animale est tout aussi prégnante que ma part cérébrale. Contemplation et connivence sont des passerelles essentielles vers l'extase, selon moi. Dès lors qu'un rituel, qu’un cheminement est entamé, j'éprouve un besoin viscéral de l'accomplir absolument.
Je suis soucieux de ne pas écarter la part émotionnelle qui tisse une relation de qualité.
Cette dimension peut m'amener à hisser une relation vers une forme de sacré. Ce qui ne dilue en rien la dimension charnel et liquide dont je raffole tout autant.
J'aspire à conjuguer autant que possible nos paysages et sous-sols; que les corps deviennent buvards l'un de l'autre, qu'ils se sculptent, se taillent, voire s'entaillent.. Je précise toutefois que je ne suis point maso..
Photographe, musicien et auteur (ainsi qu'enseignant en Lettres & Philo), j'aspire un tout petit peu à ce que les personnes qui me sollicitent aient une personnalité crépitante et un art consommé de la conversation. Je suis ouvert à tout type de profils, car philanthrope de cœur. Mais toutefois misanthrope de raison: bien que de nature espiègle et spontanée, je suis paradoxalement souvent sous contrôle de moi-même dans un contexte intime. C'est pourquoi j'envisage la pertinence de la soumission à titre d'abandon, de lâcher-prise. Notamment pour le plaisir exquis de contempler une femme révéler soudainement son vrai visage, la voir soudainement s'abandonner à son intériorité bouillonnante..
Mon tempérament est toutefois d'avantage accès vers la domination, aussi bien dans ma manière d'orchestrer les choses au quotidien que de prendre l'ascendant dans l'intimité.
J'ai une personnalité franche, affirmée, enchainant projets divers et variés (j'ai notamment réalisé des courts-métrages, des disques, des expos, des pièces de théâtre, des oeuvres plastiques et textiles). J'aime encadrer des êtres et les diriger; ériger des concepts et les cristalliser.
SI ma carrure participe à une certain ascendant naturel en présence d'autrui. Néanmoins, l'idée de vaciller devant une femme ne me déplairait pas.
Les deux tiers des inscrites sur ce site semblent ne pas dépasser la trentaine. Au fil de ma vie amoureuse et sexuelle, les femmes avec qui j'ai partagé une intimité avaient en moyenne une quinzaine d'années de moins que moi. Les trois dernières compagnes que j'ai fréquentées étaient d'ailleurs particulièrement jeunes (27, 24 et 18 ans). Ces dernières avaient énormément de tempérament et d'initiative. Je n'ai jamais été le grand méchant loup et n'ai jamais eu de coup-d'un-soir, n'ai jamais quitté (ni trompé) une demoiselle. J'ai le plus souvent vécu des histoires passionnelles.
Je n'ai jamais couché avec une femme qui n'ai pas su en amont me faire rire et m'émouvoir.
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Je ne suis ni dominateur de vocation ni soumis de caractère. Je considère qu'il n'y a pas domination lorsqu'on se retrouve face à des êtres d'emblée soumis. Je ne crois pas, du reste, qu'une personne de nature soumise chemine véritablement à travers sa soumission, contrairement à un switch.. Quoiqu'il en soit, partager un moment unique avec une demoiselle qui ne se serait pas encore aventurée dans certains méandres de son intériorité bouillonnante serait un privilège.
Je suis en quête d'une relation belle et intense qui chemine - se cristallise- au fil de rituels habités par une ferveur, une ivresse galvanisantes.. A mes yeux, l'intimité est sacrée, c'est pourquoi je ne saurai débuter une relation sur des échanges superficiels.. Mais l'aspect spirituel, conceptuel, ne cède rien à la sphère purement charnelle et animale. J'aime répandre mes fluides dans la chair et sur le corps de ma soumise et j'aime que ma partenaire en fasse autant.
Je ne suis pas masochiste et de ce fait, pas vraiment emballé par les dominatrices sadiques.
J'aime toutefois l'idée d'être pris d'assaut, débordé, malmené, investi et pillé charnellement par une femme ; j'y vois l'occasion de vivre une expérience singulière et exaltante.. Je vibre à l'idée de contempler une demoiselle sortir de sa bienséance pour s'abandonner à mes dépens, et devenir soudain le vecteur de son intériorité. Contempler le partenaire se libérer d'une intensité intérieure qui trépignait depuis des lustres et l’accompagner dans la cristallisation de cette irruption..
Et je caresse tout autant la perspective d'exercer cette emprise sur une demoiselle qui jouirait de s'abandonner à moi..
Devenir le peintre, la toile du peintre; cheminer..
Je suppose qu’une relation en trio décuplerait le champs des possibles et je serais prêt à m’y risquer si je suis le seul homme. Je suis trop prédateur pour considérer salutaire qu’un autre mâle puisse prendre l’ascendant.
J’adorerais vivre une expérience suivie avec deux femmes.
Ce que je cherche
INTRODUCTION
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Mon exaltation est corrélée à celle de ma partenaire, c'est pourquoi je peux aussi bien endosser le rôle de dominateur que de soumis.
Ce que j'attends d'une dominatrice correspond à ce que j’aspire à incarner à titre de dominateur.
Mais en ce moment je suis plutôt en quête d'une jeune femme Switch, brat ou soumise..
Je sors d'une relation intense et belle avec une jeune femme de 19 ans, brutalement sabotée par sa famille.
Après une période de détresse sentimentale particulièrement douloureuse c'est désormais tout un brasier ardent inassouvi qui me dévore de l'intérieur.
C'est pourquoi, plutôt que de ronger mon frein, j'aimerais sans trop tarder me lancer dans une nouvelle relation singulière et grisante.
Je ne suis ni dominateur de vocation ni soumis de caractère !
Ceux qui se prétendent dominateurs en affrontant des êtres d'emblée à leurs pieds prêtent à sourire.
Je considère également avec intérêt et excitation la possibilité de me soumettre car dans l'intimité je tiens un peu trop souvent les rênes. Si je suis plutôt du genre à imposer ma vision au quotidien, l'idée de laisser une femme prendre l'ascendant dans un cadre intime me semble une perspective excitante & enrichissante : partager un moment unique avec une demoiselle qui ne se serait pas encore aventurée dans certains méandres de son intériorité bouillonnante.
Concernant les dominatrices en herbe, je dois dire que je suis d’avantage émoustillé à l’idée de composer avec un duo de jeunes beautés insolentes ou de moins jeunes d'autant plus perverses et malicieuses..
Je ne suis pas masochiste et de ce fait, pas vraiment emballé par les dominatrices brutales à tendance phallique : un embout plastifié de corde à sauter accompagnant une fellation peut suffire à tenir un homme en joug..
J'adore être à la merci d'une main qui me masturbe avec autorité.
Une simple tape sur les fesses m’est désagréable à moins qu’elle soit infligée par une femme possédée par un désir ardent de l’infliger.De même, en tant qu’homme grand et baraqué, je ne saurais dominer une femme sans la volupté délectable de lui faire absorber la vibration de mon corps.
Cette énergie vive et primitive déchargée avec aplomb, cette soudaine détermination à pointer un tout autre visage que son masque sociétal.. Voilà comment naît en moi l'exultation érotique.. Quelle que soit notre posture, c’est la stupeur occasionnée par les audaces de notre partenaire qui transforme notre sang en lave..
Du reste, un outrage bien amené peut me faire renoncer à tous les tabous ! Je cède volontiers ma pudeur pour sentir monter en moi ce nectar incomparable qu'est l'adrénaline!
J'aime l'idée d'être pris d'assaut, débordé, malmené, investi et pillé charnellement par une femme ; j'y vois l'occasion de vivre une expérience singulière et exaltante.. Je vibre à l'idée de contempler une demoiselle sortir de sa bienséance pour s'abandonner à mes dépens, et devenir soudain le vecteur de son intériorité. Contempler le partenaire se libérer d'une intensité intérieure qui trépignait depuis des lustres et l’accompagner dans la cristallisation de cette irruption..
Et je caresse tout autant la perspective d'exercer cette emprise sur une demoiselle qui jouirait de s'abandonnerait à moi..
Devenir le peintre, la toile du peintre; cheminer..
J'aime répandre mes fluides dans la chair et sur le corps de ma soumise et j'aime que la femme qui me domine en fasse autant. Qu'elle irradie d'insolence en m'adressant son crachat, sa cyprine, son urine, qu’importe pourvu que je sois aux premières loges pour recevoir l'expression vive, pure et intense de sa matrice..
Qu’une femme vienne asseoir son cul sur ma gueule lorsque je squatte nonchalamment son canapé, ou que je vienne lui fourrer ma verge dans la bouche lorsqu’elle s’étend lascive sur mon tapis. Qu’elle me gifle le visage ou que je lui gifle les seins.. Je suis pour une parité !
L’idéal étant cette conjugaison parfaite, l’intensité de baisers sauvages exacerbant la collision des peaux: l'Amour..
J'ai rédigé une soixantaine de pages consacrées à ma philosophie, à ma psychologie et mes désirs concernant le BDSM.
je suis en train de rédiger une forme courte et optimisée de ce blog, disponible plus bas..
Pour le reste, j'évolue dans le domaine des Arts & des Lettres. L'essence de ma personnalité est particulièrement bien cristallisée par le prisme de mes créations photographiques, musicales, graphiques, cinématographiques et textuelles (brunothievet.c0m).
Vous pouvez éventuellement me rejoindre sur FB ou IG (bruno_thievet)
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PANTHERES
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Je veux me répandre sur toi comme une poutrelle de feu,
propager mon onde sur ton corps alangui..
Panthère de rêverie,
je viens frotter mon ventre sur ton écrin de mirage.
Les copeaux de mon âme pénètrent tes reliefs ;
je suis ton piège à loup décapsulant tes alcools d’ivresse ,
Je suis l’étoffe lourde qui vient boire à ton étang de nudité.
Je t’attrape au cou comme un jeune tigre joueur ,
tes mains empoignent mon torse mûr.
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Ma peau est à point,
tannée par la ferveur de tant d’années de passions.
Je veux planter mes orages dans tes perles d’abysse
aux mystères pédants,
troubler le reflet dérangeant de tes grands yeux félins..
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Tigresse, tu peux lâcher ton râle, je défenestre ta pudeur.
Les parfums de l’amour fermentent dans un ballet de gestes,
de cantiques éperdus.
Tous mes wagons sauvages viennent claquer sur ta rame ;
mes canaux électriques se tendent comme des arcs
et tu me plantes ton haleine jusque dans les tripes..
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Tu me décoches tes discours en regards impétueux :
– Achève-moi, que j’absorbe enfin ta matrice ;
crache ton encre-crème à mon sexe carbone !
Tes pupilles débordent de fuel ; j’attrape un ange-mateur
par les paluches
et je le broie dans ta chevelure qui s’agite soudain
comme un nid à serpents ;
je casse le diable en deux et je poivre ton corps !
Montre-moi tes dents de hyène échaudée et j’inverse tes pôles,
je te brode à l’épaule un murmure-baiser..
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Ma langue mutine câline tes commissures de cuisses,
puis je remonte à tes crocs qui capturent mes lèvres.
Mon aréole soudain -impaire et passe- devient l’ostie de messe basse :
je te chuchote à l’oreille tes propres aveux
dans l’ascension de la jouissance..
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Culmine ma belle, culmine !
Je te rejoins soudain dans l’albédo violemment déployé..
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Oooh, j’adore l’écho de ton timbre vibrant
lorsqu’il va pour découdre tout un pendant de ciel !
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Je m’assoupis -relax- bordé par ton aisselle fumante..
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PREAMBULE
Tout est affaire de connivence.
Mon exaltation est corrélée à celle de ma partenaire, c’est pourquoi je peux aussi bien endosser le rôle de dominateur que de soumis, bien que je ne sois ni dominateur de vocation ni soumis de caractère !
Le rapport de domination/soumission me semble relativement inhérent au dialogue charnel. Du moins, mes fantasmes sont souvent emprunts de cette dichotomie..
J’aspire le plus souvent à partager un moment hors du commun avec une demoiselle qui ne se serait pas encore aventurée tout à fait dans les méandres de son intériorité bouillonnante..
C’est la stupeur occasionnée par l’audace du partenaire qui transforme notre sang en lave ! Cette énergie vive et primitive déchargée avec aplomb, cette soudaine détermination à pointer un tout autre visage que le sempiternel masque sociétal ; voilà, à mon sens, comment s’acheminer vers la quintessence érotique !
Je veux répandre mes fluides dans la chair et sur le corps de ma soumise et je veux que la Femme qui me domine en fasse autant; qu’elle irradie d’insolence en m’adressant sa bave, sa cyprine, son crachat, son urine, qu’importe ! pourvu que je sois aux premières loges pour recevoir l’expression vive, pure et intense de sa savoureuse matrice..
Pourvu que les corps s’entremêlent, se savourent, se délectent, se dévorent, se déversent, se giflent, s’étranglent de plaisir !
J’aime l’idée d’être pris d’assaut, débordé, malmené, investi et pillé charnellement par une femme; j’y vois l’occasion de vivre une expérience singulière.et.exaltante..
Je vibre à l’idée de contempler une demoiselle sortir de sa bienséance pour s’abandonner à mes dépens, faire de moi le vecteur de son intériorité.
Dans l’absolu, il s’agit de contempler sa partenaire se libérer d’une intensité intérieure qui trépignait; puis l’accompagner dans un processus de cristallisation qui donnera sens à la relation.
J’aspire tout autant à exercer cette effusion sur ma complice. Je m’attarderai sans doute moins sur cet état de fait ici, car dans l’intimité, les femmes m’assignent le plus souvent au rôle d’assaillant !
Lorsqu’on se conjugue à l’autre avec ferveur, avec bonheur, lorsque communion se fait, l’amour, le vrai, est là ; il s’agit de pure dévotion à l’autre.
C’est ce qui m’a amené à vouloir digresser sur quelques fantasmes.
Je précise tout de même que ce blog n’a pas pour objectif d’amuser la galerie durant l’apéro. Si il y a bien un sujet difficile sur lequel s’épancher sans être laborieux et relativement ridicule (pour ne pas dire pathétique) c’est bien celui-là ! Il me fallait une certaine témérité pour me lancer là-dedans..
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FANTASMES
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LA BASE
Une femme bi-sexuelle, ouverte aux trios (HFF), potentiellement fontaine qui a des orgasmes vaginaux et aime la sodomie, c’est un peu ce à quoi aspire tout homme en recherche d’une partenaire sexuelle.
Et, tant qu’à faire, excitée par les odeurs & «saveurs» masculines..
Les misandres contemporaines multiplient les tutos pour expliquer aux hommes comment recourir au clito, comme si leur verge faisait désormais parjure. Ainsi, la dernière femme avec qui j’ai couché ne songeait même plus à éprouver un orgasme vaginal avant que je lui en offre un, en guise de cadeau de bienvenue ! Bon, pour tout dire, ce n’est jamais la première fois la bonne avec moi. Je pense que je ferais un assez mauvais “coup d’un soir” (ce que je n’ai jamais été d’ailleurs). J’ai besoin de me familiariser à l’autre, d’en faire une première expérience sensorielle et émotionnelle pour véritablement bien faire les choses dans la foulée (quand l’alchimie est là, je peux remettre le couvert quatre fois, avec des séances pouvant durer deux heures -j’aime déguster, faire mijoter, chaque recoin du corps de ma partenaire-)..
Certaines femmes aiment prendre les choses en main d’entrée de jeu, ce qui peut s’avérer fort grisant lorsqu’elles savent y faire (ce n’est pas toujours le cas)..
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SUCCUBE & INCUBE
J’aimerais qu’une femme dont je viens à peine de franchir la porte m’adresse un sourire en coin, glisse insidieusement vers moi pour m’embrasser et aventure ses mains sous mes vêtements. Lorsqu’on veut coucher avec moi, il vaut toujours mieux me saisir au vol avant que je me cache derrière mes interminables tirades qui ne sont que les paravents de ma pudeur.
Elle pourrait tout autant choisir de me laisser sobrement entrer chez elle, pour, dans un second temps, surgir cul nu, venir s’asseoir sur mes genoux en frottant son pubis très langoureusement au mien. Cela, sans se départir d’un regard de braise..
Elle mettrait dès lors un point d’honneur à me faire jouir dans chacun de ses orifices, partout sur son corps, à me vider tout à fait de mon énergie sexuelle en se réjouissant d’avoir absorbé toute ma substance..
La charmante furie aurait la satisfaction délectable que mon corps ait absorbé comme un buvard toute sa cyprine et toute la bave de ses grands coups de langue..
Plutôt que de l’encourager par une litanie passablement prévisible de «oui, ouI, oUI, OUI !!» j’adopterais possiblement une déferlante de «non, noN, nON, NON, NOOOON !!!!», histoire de l’encourager à exulter dans son rôle démoniaque !!
Il s’agira tout autant pour moi d’incarner l’Incube ; l’homme qui dépose sa semence et sa salive dans chaque recoin du corps de la Nymphe, scellant son vilain parfum en elle. Je conçois difficilement de faire l’amour sans friction des chairs et mélange des fluides.
Je me suis toujours attaché à l’idée que ma semence soit absorbée par le corps de ma partenaire, comme si ma douce intégrait ma ‘’signature intime’’ en elle..
Jouir dans son dos, sur ses seins, dans son cou, sur ses pieds ; éjaculer dans son éminence charnue, après avoir lustré sa fente et ses lèvres .
Frétiller de voir une belle attelée à récupérer la petite liqueur ornant son vagin pour la déposer comme un alcool rare sur ses lèvres, sur ses seins et un peu partout ailleurs. Dans ces dialogues sauvages nous nous sentons éminemment vivants.
Peu importe l’orifice par lequel je la débute, par laquelle elle se termine, pourvu que ma muse rentre chez elle totalement submergée par des odeurs de baise.
Il s’agirait de l’imaginer prendre le train pleine de vapeurs intenses puis déambulant dans les rues traversée de vibrations aux échos tenaces..
Idéalement, en vue d’une rencontre avec une nouvelle amante, il s’agirait de ne pas se masturber plusieurs jours durant. En vue d’exulter au moindre attouchement ; frétiller au dessein d’éjaculer abondamment dans le corps de la belle. Cette dernière pourrait d’ailleurs embarquer une amie pour partager la vendange..
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HFF
Je caresse le même fantasme que la plupart des garçons : à savoir coucher avec deux jeunes femmes pour clôturer idéalement une petite soirée à la cool ; baiser avec deux ingénues rencontrées dans une forêt, au sortir d’une fiesta en plein air ou dans les étages d’une vaste demeure.
Batifoler avec deux sœurs jumelles, deux cousines ; batailler avec deux dominas.. J’aime également la perspective de tripoter une lesbienne et la pénétrer devant sa nana avant d’entraîner cette dernière dans la spirale de sa curiosité mal placée.
J’avais suggéré à ma dernière amante de dévenir ma complice et ramener chez moi une amie à ”dévorer” ensemble..
L’idéal serait de faire expérience d’une relation d’amour à trois. J’imagine d’avantage des jeunes femmes élancées, en fin de vingtaine, début de trentaine (n’ayant pour l’heure, jamais eu de compagne de plus de 27 ans).
Avoir plusieurs enfants de ces deux femmes dans une seule et même grande maison serait un tableau sans doute un tantinet fantasque, mais j’adorerais !
Pour créer une émulsion avec les femmes, j’en passe fréquemment par le prisme des Arts et des Lettres ; je laisse souvent monter en moi quelques extravagances..
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SUBLIMER
Cela fait un bon quart de siècle que je m’attèle à la photo de portrait mais je n’ai jamais eu jusque là de muse érotique. A savoir une femme que je photographierais régulièrement pour évoquer la sensualité, la sexualité dans toute sa fiévreuse splendeur.. Quel bonheur ce serait, d’avoir enfin une complice attitrée avec qui explorer pulsions et visions lubriques ; les cristalliser, portés haut par un enthousiasme débridé !
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INCITATION A LA DEBAUCHE
Je m’imagine grimper les étages d’un immeuble parisien et trouver la porte légèrement entrouverte; franchir le palier et découvrir la pote que je venais voir assise sur sa table ronde, écartant lentement sa cuisse pour m’encourager à la rejoindre..
Faire escale chez une ingénue pour converser et la voir déployer insidieusement moult postures & gestuelles racoleuses jusqu’à se masturber outrageusement face à moi..
Arriver chez une fille faisant mine d’attraper une bouteille dans son frigo et dévoilant ainsi la nudité d’un joli cul bien ferme sous sa jupe plissée; stagnant dans le bac à bouteilles afin de m’inciter à l’empoigner par les hanches..
J’ai un faible pour la femme allongée sur le flanc, qui me présente son dos en silence, attendant un rien fébrile que je la déborde, que j’aventure ma main dans son corsage puis sa bouche et enfin son cul…
La sensation de cette masse douce qu’on malaxe en silence est un instant d’extase.
J’aime l’idée qu’on ne possédera jamais ce sein; que la seule façon de posséder une femme finalement revient à immortaliser l’ineffable émanation de sa féminité par le prisme de créations littéraires et artistiques.
Je me souviens de cette compagne qui s’était éclipsée dans ma salle de bain un bref instant pour revenir contre moi, s’emparant de ma verge pour l’enfoncer dans son orifice le plus étroit. Certaines femmes sont beaucoup plus agréables à pénétrer par cet endroit là que d’autres..
Il n’est pas déplaisant lorsque vous dormez dans une vaste maison, qu’une ingénue de la chambre voisine vienne vous souhaiter bonne nuit en cherchant insidieusement votre bouche, présentant une nuisette un peu trop échancrée ainsi qu’une main bien baladeuse..
Je recommande d’ailleurs aux adeptes du ‘french kiss’ d’avoir l’initiative avec moi car le frein de ma langue est assez court et pas toujours aisé à ‘dégonder’..
J’apprécie également qu’on aventure une main sur ma cuisse sous la table d’un bar ou d’un salon..
Quand je suis vraiment en confiance avec une pote, je pourrais tout à fait me foutre à poil devant elle ou venir la désorganiser gentiment, passant en vrac les mains sous ses vêtements, dans son corsage et son pantalon, tandis qu’amusée, elle persisterait un temps encore à me faire la parlote..
Dans un autre genre, passer voir une ex avec qui on avait couché jadis dans le dos de son conjoint (cela m’est arrivé une seule et unique fois en compagnie d’une femme avec laquelle j’avais scellé jadis des fiançailles jamais rompues, ce qui me permettait de me considérer légitime)..
Menacer la belle de tout révéler à son homme si elle ne conçoit pas de passer à la casserole sur le champs (le bonhomme étant absent tout le week-end pour un voyage d’affaire)..
Bien entendu il s’agirait d’un faux chantage jaugé sur la tenue subtilement explicite qu’arbore cette ex, qui n’attend que d’être salopée..
Et vice versa !
Etre visitée par une ex qui m’adresserait d’entrée un regard hostile, vaguement inquiet, désapprouvant l’objet de sa propre venue. Nostalgique des moments de dépravation partagés jadis, elle souhaiterait être souillée à nouveau se laissant déjà débordée..
J’aime assez l’idée d’être un peu sali également..
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FACESITTING
Alors que je me serais allongé un moment sur son canapé pour me détendre, l’ingénue viendrait s’asseoir sur mon visage, sans culotte sous sa jupe, le temps de lire quelques pages d’une revue ou de croquer une pomme..
Je développerai cette séquence dans un contexte assez salace un peu plus tard..
Je m’attarde pour l’heure sur cette pomme que certaines femmes demandent parfois à croquer en défiance de leur conjoint ..
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CONCRETISER UN TABOU
J’aime qu’une dame m’accorde les faveurs que son compagnon a tenté d’exiger d’elle en vain. Du moins, lui prodiguer les soins torrides qu’il n’a osé lui proposer, d’autant plus si le monsieur est allé assouvir ces choses avec une autre par lâcheté..
Incarner la revanche d’une femme ; concrétiser avec elle un de ses plus grands tabous, moyennant éventuellement quelques gages..
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GAGES
Ma partenaire se plairait à me faire quelques concessions (pouvoir malaxer ses seins, embrasser sa bouche) contre de petites libertés salaces qu’elle décréterait pouvoir se permettre à mon endroit.
Et j’outrepasserais volontairement les limites qui me sont octroyées pour être d’autant mieux recadré en sentences lubriques..
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LA CORDE A SAUTER
Parfois ce serait simplement œil pour œil, dent pour dent : me faire outrageusement sucer tout en me prenant une poignet de corde à sauter dans le séant, cela après avoir préalablement empalé mon dard dans la bouche de la belle, ainsi que chaque embout plastifié dans ses orifices..
Les femmes aiment souvent sentir le sexe d’un homme palpiter comme un cœur dans leur bouche..
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BLOWJOB
J’aime les demoiselles qui vous embrassent intensément dans la pénombre et se mettent à genoux pour vous prendre en bouche. D’autant plus lorsqu’il s’agit de passer rendre visite à une vieille complice dans la soirée..
Je m’imagine souvent intercepter dans la nuit une femme de retour des toilettes pour l’abaisser à mes tibias.
Je visualise aussi très bien une petite squatteuse en chemise de nuit étendue sur mon canapé, la tête posée sur mon ventre, matant vaguement une série en ma.compagnie. Dans la quiétude de la soirée, sa tête viendrait se rapprocher innocemment.de.mon.pubis..
Constatant mon excitation, la coquine sortirait mon sexe de mon pantalon pour le porter à sa bouche. D’une main baladeuse je viendrais pour ma part échancrer sa tenue, afin de palper la rondeur de son sein et la moiteur de sa vulve..
J’aime enjoindre une nymphette à me prendre en bouche mais également à me lécher le cul ; à me pénétrer de sa langue.
A moins qu’elle me contraigne : je me souviens d’une compagne qui sans criait gare, s’était mise à me lécher énergiquement l’anus avant d’y glisser un doigt tout en me suçant la queue. Cet entrain inattendu m’avait décontenancé et beaucoup plu.
Concernant les jeux de bouche, j’aime particulièrement donner la becquée à une ingénue, plonger mes doigts dans un pot de compote de pomme ou de chocolat chaud et déborder de plus en plus du cadre de sa bouche pour transformer bientôt son corps en vaste toile picturale et gustative..
Se glisser en l’autre, de tout temps, de la préhistoire à nos jours.
Le goût des petites cavernes est ancestral..
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IRRUMATION
Venir engouffrer ma verge dans le gosier de mon amante alors qu’elle se prélasse sur un tapis d’herbe ou de salon, se masturbant les yeux clos..
Lui étaler éventuellement toute mon odeur de bas-ventre sur le visage.
Tenter dès lors d’atteindre un orgasme simultané.
Venir se branler de temps à autre dans cette bouche, comme un sagouin.
Je considère avoir toujours trop de scrupules à entraver une certaine bienséance..
Et je n’aime rien tant qu’une femme qui entrave également les protocoles..
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HANDJOB
Après m’être plus ou moins dessapé suivant la volonté de ma partenaire, me dresser face à sa personne tandis qu’elle empoignerait ma verge à mi-hauteur pour la branler (il est déconseillé de choper ma queue en son sommet pour cause de prépuce récalcitrant..).
La belle porterait une veste recouvrant à peine ses seins nus, afin que je puisse m’exciter de les voir s’agiter quelque peu.. Les yeux maquillés, elle planterait son regard dans le mien pour mieux me défier; se délecter de ma fébrilité.
Au moment où je tenterais d’entrouvrir sa tunique, elle viendrait insidieusement titiller mon téton gauche (le droit, de son point de vue) pour précipiter mon éjaculation. Elle m’adresserait éventuellement de petites considérations accablantes, n’étant plus qu’un jouet fébrile dans sa main vaillante..
La demoiselle ne manquerait pas une miette des expressions nuancées de mon visage au moment de me faire jaillir sur sa main..
Dès lors, elle pourrait passer sa langue sur le revers de ses phalanges, diriger ses doigts à sa bouche, sur son mamelon, vers son entre-cuisse ou dans son arrière train..
Elle pourrait tout aussi bien se voir tenter de me finir en ‘blowjob’ ; telle une succube triomphante, elle pourrait alors invoquer la nécessité impérieuse d’hydrater ses lèvres. Ou avancer sèchement qu’elle souhaite me traire pour boire mon lait..
J’aime les femmes qui savent se montrer un peu sèches tout en restant crédibles et charismatiques..
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SADISME
Prendre de petits coups éparses, des pincements et des morsures tandis que mon pantalon viendrait de chuter à mes chevilles, la demoiselle cherchant dès lors à me faire chanceler jusqu’à ce que je tombe à ses genoux.
En cas de protestation de ma part pour retirer mes effets, je me ferais instantanément giflé.
Ces gifles pourraient par la suite devenir arbitraires, parfaitement gratuites, notamment lorsque je serais enfin aux pieds de la dame.
Il est particulièrement excitant de contempler des femmes bien élevées sortir brutalement de leurs bienséances pour mettre un homme à leurs genoux..
Dans le cas où le froid amènerait mes couilles à durcir, la lady pourrait se permettre de les attraper dans sa main pour faire acte d’autorité, voire se permettre un «ballbusting», à considérer que tout le plaisir dépend ici de la manière de faire monter l’adrénaline (mais je précise tout de même que j’ai les ‘parties’ plus sensibles que la moyenne du fait de varicocèles)..
J’aime l’idée de voir le pubis d’une femme et ses cuisses charnues me surplomber.
Elle saisirait mon visage en pressant sur mes lèvres comme sur une bouteille souple pour m’entrouvrir le gosier et baver sur ma langue.
C’est alors que je recevrais son crachat; au visage et dans la bouche.
En cas de protestation de ma part, je pourrais être tenu de laver ses chaussures ou encore être précipité dans un petit bureau pour me faire fesser avec une règle. Je ne suis pas maso, mais l’excitation de la belle peut s’avérer contagieuse et me faire même d’ailleurs oublier le caractère assez ridicule de la posture.
Recevoir son orteil dans la bouche, embrasser ses chevilles, éjaculer à ses pieds ; je pourrais bien aussi me retrouver la tête coincée comme dans un étau entre ses cuisses, voire tête au sol sous son pied, à proximité de quelque sécrétion ou linge odorant..
Exécuter ainsi chaque volonté d’une femme me demandant de m’allonger par là ou de l’enfiler par ici :
La voir venir tranquillement s’asseoir sur mon visage, le temps pour elle de consulter son insta, ses textos..
La jupe serait trop courte et le sexe dénudé; la vulve légèrement humide, répandant sur mon visage un singulier fumet de cyprine animale aux légers accents de transpiration et d’urée..
Puis se levant avec un grand sourire de satisfaction, elle ferait mine de s’éloigner pour revenir vers moi et me tirer par le bras afin de me faire glisser sur son parquet.. C’est alors qu’elle déposerait à nouveau son sexe sur mon visage en s’accroupissant face à moi et porterait ma bouche à son sexe de ses mains fermes pour m’inciter à le lécher. Bientôt elle agiterait sa croupe énergiquement pour que ma langue puisse passer de son clito à sa rustine plissée..
Une fois rassasiée de ce petit jeu, elle attendrait que ma bouche éprouvée s’ouvre une ultime fois pour faire jaillir sa ”cyprisse” de femme-fontaine dans ma bouche.. Elle se relèverait alors pour me surplomber de toute sa superbe volupté, les seins suspendus comme des obus, afin d’achèver de déverser ses fluides sur mon visage et mon torse. Enfin, elle empoignerait ma queue pour se la carrer énergiquement en bouche ou dans son antre, histoire de me faire venir en elle..
Ce sadisme serait délicieusement réversible:
Il s’agirait de pilonner la belle en levrette en l’attrapant par les cheveux, puis de la retourner comme une pièce de viande, gifler ses seins, son visage, serrer son cou d’une seule main tout en la baisant sèchement. Imposer des gorges profondes, des sodomies à quatre pattes, mon corps en surplomb.
Remettre le couvert encore et encore tout en fessant âprement son insolent fessier, quand bien même elle se débattrait. Cela jusqu’à dilater durablement chacun de ses orifice
L’attacher en forêt à un arbre, et après un long moment à la laisser hagarde, la fouetter avec des feuillages et des branchages entremêlés..
Et qui sait, si l’histoire s’avère belle et puissante, lui inscrire un petite totem à même la peau, à même le sang..
Un seul pacte, celui de l’adrénaline..
Le parfum du vice lui va si bien !
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POST-LOLITA
J’apprécie les nanas fringuées en post-lolitas -jupette et culotte de coton- qui veulent se faire fesser intensément et attraper par les hanches, puis par la bouche afin d’être pilonnées. Certaines d’entre elles jouissent de se sentir dépossédées de leurs corps et abusées sans ménagement. Je souscris à cela d’autant plus si le week-end s’étend sur trois jours, afin que je puisse déformer leurs chairs de mon onde et imprégner leurs corps de mon odeur.
Les demoiselles apprécient d’entendre leur corps claquer, telle une grande voile dans la volupté du vent. Elles veulent se perdre dans un tourbillon de sensations..D’ailleurs j’apprécie beaucoup celles qui n’hésitent pas à exacerber leur sensualité dans une danse rituelle, sacrificielle (je songe à Lune de Fiel).
J’aime celle qui prend un temps infini pour relever sa robe légère et dévoiler son cul sublime, avec un regard ainsi qu’un sourire appuyés et malicieux. J’apprécie également celle qui ne paye pas spécialement de mine et qui dévoile pourtant sous ses vêtements un arsenal de dentelles fines ébouriffant. La lolita qui se pointe en first Lady, c’est bon aussi. Et vice versa, vices réversibles !
Mais ce que je préfère plus encore, c’est cette demoiselle qui pose un doigt délicat sur sa lèvre inférieure en levant des yeux faussement apeurés, pour mieux m’inviter à jouir à sa bouche; sur sa langue impeccable.
Dans le même genre d’état d’esprit ludique, baiser une jeune femme en levrette contre une armoire avec un miroir latéral non loin, lui restituant la scène. Là encore, la charmante pourrait se donner le plaisir de cabotiner..
Je ne m’offusquerai pas si une effrontée me demande de composer un rôle de beau frère ou même de beau père..
La connivence des vices jusqu’au vertige..
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PERTE DE REPERES SENSORIELS
J’aime lécher un clito dans le sens des aiguilles d’une montre tout en doigtant le vagin dans le sens inverse, cela, en caressant également du bout d’un doigt l’anus de bas en haut.. En général, cette perte de repère cumulée à une conjonction de stimuli engendre souvent un abandon délectable.
Mais pour ma part, je ne passe pas les commandes de mon corps à la première venue..
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SAPIO ou PAS
Je ne laisse pas une femme prendre l’ascendant sur moi si elle ne dispose pas des capacités à le faire; autrement dit, si elle est dépourvue d’esprit, de répartie, de charme, de charisme.. Une demoiselle gauche, vile, inculte ne saurait me mettre en condition, notamment si elle a tendance à écorcher outrageusement la langue française et à écouter de la musique de merde, ce qui est de plus en plus courant chez les jeunes femmes ne dépassant pas le quart de siècle.
A moins que je recherche précisément une personne de ce genre pour satisfaire une envie soudaine et passagère.. En matière de filles agressives, j’opterais pour un binôme de décadentes sinon un trio d’arrogantes !
Il est parfois salutaire d’être puni pour ses manquements..
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LA PUNITION SALUTAIRE
Je ne suis pas soumis de caractère sinon parfois un peu trop diplomate.. C’est pourquoi je considère sans doute que la soumission sexuelle peut avoir des usages judicieux qui dépassent le simple contexte rituel ou ludique..
Tu éprouves un frétillement sexuel qui demande à être épanché mais ta douce a des règles trop importantes ce soir là ou ne souhaite simplement pas se lancer dans des ébats à rallonge. Elle consentira dès lors volontiers à te gober le vit. Tu pourras, le cas échant, lui demander instamment de le faire: certaines petites vicieuses adorent qu’on leur donne des ordres.. et toi tout autant, pourvu que ta belle en impose un tant soit peu..
ll est tout aussi constructif qu’excitant de subir quelques sévices lubriques orchestrés par une pote qu’on aurait contrarié malgré soi, plutôt que de se trouver confronté à une tension sourde et latente engendrant une brouille durable.
Je préfère qu’une femme s’adonne à quelques sévices sur ma personne plutôt que de rester sur une frustration. En particulier si je ne lui ai pas donné satisfaction durant une approche sexuelle, alors même qu’elle trépignait de jouir intensément.
Une ‘femelle’ agacée épanche plus chichement son énergie primale. La cristallisation des abîmes intérieurs d’une femme est chose fascinante pour un homme.
Il est tout à fait jouissif, dès lors, de prendre une femme au mot lorsqu’elle vous déclare échaudée que vous mériteriez une bonne correction !
Et parfois, rien de mieux qu’un tandem pour doubler le plaisir..
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TANDEM
Du tandem de jeunes beautés insolentes à la volupté sauvage jusqu’aux femmes felliniennes bigarrées, vaguement défraîchies; en passant aussi par ces quinquas aux yeux coquins et au sex appeal préservé.. Sans oublier les ‘sexas sexy’, tout en dégaines malicieuses et sourires en coins.
Dans certaines postures, on ne sait plus trop qui domine et qui est soumis…
Se retrouver avec un couple de femmes dans une baignoire, nettoyé délicatement par leurs quatre mains. Jusqu’à ce qu’une d’entre elles m’enfonce insidieusement -délicatement- un, puis deux doigts dans le cul, et enfin sa longue langue agile et chaude.. Sa comparse, quant à elle, s’attelant consciencieusement à me sucer..
Les salles d’eau sont souvent propices aux épanchements vicieux..
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URO
Se faire pisser au visage sous le regard satisfait et malicieux d’une belle me surplombant.
J’ai eu, il est vrai, une rêverie assez récurrente consacrant une femme, le pied posé sur un rebord de baignoire ou de chaise, ouvrant doucement sa cuisse comme un rideau de théâtre pour m’uriner au visage avec une délectation non feinte.
La jeune femme se trouvant, notamment, surélevée par rapport à mon corps agenouillé, voire adossé, porté en arrière par son joli pied..
Me surplombant, elle serait là à m’observer, arborant un petit rictus amusé, le regard pétillant de malice..
Je l’imaginerais bien aussi me présenter son cul pour s’abandonner au plaisir intense de ‘lâcher sa vessie’ après s’être retenue trop longtemps.
La tendance actuelle est au peegasm: des femmes se retenant d’uriner le plus longtemps possible pour exulter au moment de lâcher les vannes..
J’aimerais qu’une furie me prie instamment de m’allonger dans sa baignoire pour s’accroupir au dessus de moi, me présenter son sublime cul et ouvrir les portes du Canadair en poussant un râle de satisfaction.
Je raffole de l’idée qu’une femme puisse faire autorité de son pied nu sur mon épaule pour m’affaisser contre un mur ou un rebord de salle de bain. Et dès lors, m’uriner au visage avec un sourire en coin. Me choper par les cheveux de l’arrière crâne pour m’obliger à boire, accompagnant la tension du moment de quelques mots salaces et autoritaires..
Voir défiler un ensemble de femmes dans un jardin de nuit pour réitérer l’expérience.. La satisfaction étant d’offrir à ces gentes dames le plaisir conjugué d’une exultation du corps et de l’esprit par le vice ainsi assouvi..
Et de temps à autres, inverser les rôles..
Gloire aux filles qui aiment ruisseler ! Les concours de tee-shirt mouillés improvisés durant lesquels certaines nanas se font gentiment courser par un ou plusieurs mâles, bouteille à la main.
Les filles urinant devant vous en pleine nature ou qui vous rejoignent brusquement dans la salle de bain au moment où vous pissez, histoire de vous aider à viser, puis, constatant que vous bandez, propose leur bouche, leur torse, leur antre pour vous soulager.. C’est très animal, une femme accroupie. Cela tranche avec le penchant glamour de ces demoiselles.. Le contraste est tellement fort qu’il en devient beau..
Ne serait-ce qu’une femme vous tirant par la main dans le lointain perdu d’un champs de blé pour soudainement retirer ses vêtements de société et devenir tout à coup sous vos yeux le bel animal sensuel de la terre, sous le regard majestueux du ciel.
Rien de tel pour se salir sainement que d’officier au sein de la nature..
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SOUS-BOIS & RIVAGE
Faire l’amour passionnément au milieu des herbes hautes, dans les tréfonds perdus d’une forêt, et pourquoi pas sous des trombes d’eau, parsemés de granules de terre et de tous nos fluides déployés dans l’exaltation débridée des odeurs de sous bois. Miser le lot entier de nos audaces dans un bodypainting vertigineux de terre, de cyprine, de feuillages et de salive; de pluie, de pisse, de petit bois et de foutre; de parfums et d’odeurs.. Marquer l’instant d’un éternel écho: une onde folle adressée à Dieu, si il en est, et au Cosmos !
Un peu plus tard, s’enlacer sur un rivage, conjuguant les va-et-vient de nos sexes humides avec ceux des vagues..
Le désir qui nous amène spontanément à nous conjuguer se cristallise parfois d’une multitude de stimuli..
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J’AIME/ J’AIME PAS
J’aime la fermeté du cul et des seins qu’ils soient coniques, en pommes ou comme des sacs lourds. J’aime les aréoles très nettes, d’un rose doux et clair; j’aime les tétons qui pointent chichement comme si ils restituaient une allégresse.de.vie.
J’aime les garçonnes brunes lorsqu’elles sont grandes et élancées. J’aime les pubis bruns bien dessinés, triangulaires et denses; graphiques. J’aime certaines lèvres plutôt que d’autres lorsqu’elles me donnent envie d’emblée de faire l’amour; d’être en amour. J’aime les cuisses charnues qui se touchent; les hanches et la chute de reins, prononcées. Un léger rebondi du ventre pour poser sa tête et amortir les coups de verge.. Quelques grains de beauté dispersés majestueusement. J’aime les jolis pieds délicats, notamment lorsqu’une très fine chaîne orne leurs chevilles.. J’aime les petits nombrils en creux, les décolletés de dos et d’épaule, les nuques dévoilées, à nue. J’aime les femmes dont j’ai retiré le haut, qui esqivent mon baiser pour m’inciter à les dominer. Je n’aime rien tant que contempler les jambes soyeuses et impeccables des jeunes beautés déambulant dans de petits shorts en jean. Difficile également de résister à ces demoiselles qui vous parlent avec assurance tout en arborant un tee-shirt de coton blanc à travers lequel on voit distinctement les aréoles pointer, si joliment dessinées.. La beauté naturelle est toujours éloquente, subjuguante, désarmante.
Quant à la laideur..
Je n’aime pas les rides au front, les odeurs d’arrière-train trop sales et âpres. J’abhorre les oreilles excessivement grandes et les longs nez crochus, bossus. J’exècre les sourcils trop épilés et peints à la truelle ainsi que les ajouts de cils et d’ongles démesurés. Je n’aime pas les clavicules et les vergetures trop apparentes, les femmes squelettiques et celles empesées dans de trop larges bourrelets.. Je trouve effroyable tous ces regards dénués d’âme, vides, désincarnés. Je conchie les nénettes inconstantes qui sont légions.. Et certaines femmes puent plus que les hommes.
Une femme au parfum enivrant et délicat, c’est le genre d’hameçon dont tout homme raffole.
Nous autres garçons aimons ces nénettes en bandes qu’on croise tard le soir..
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RENCONTRES NOCTURNES
Je m’imagine parfois déambuler dans un vaste parc la nuit, revenant d’une fête nocturne comme il y en a souvent en Eté. Et croiser des jeunes femmes un brin alcoolisées.. L’une d’elles m’expliquant que sa copine est très inexpérimentée mais désireuse de profiter de la vibration du soir pour s’abandonner..
Et moi, de dépuceler sa bouche, et éventuellement sa chatte et son cul tout au long d’une nuit dantesque..
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Durant ma jeunesse, il m’est arrivé de déambuler dans la pénombre le long d’une rive et de tomber sur une demoiselle qui s’est arrêtée pour converser avec moi. J’étais dans un camping au sein d’une bande de gars avec qui je passais ma ‘conduite accompagnée’.. Elle digressait vaguement sans avoir quelque chose de notoire à raconter, parlait sans doute pour me retenir un peu, et au milieu de cette nuit d’Eté j’aurais été sans doute mieux inspiré de l’embrasser chaotiquement, de sentir son coeur battre et sa langue entrer dans ma bouche, lorsque ma main aurait fait tomber sa bretelle de robe puis sa.petite.culotte.
J’aurais raffolé de m’enchevêtrer dans les bras d’une jouisseuse, parmi les fougères, plongés dans la pénombre de la nuit, sous la clarté vicelarde de la lune.
Saisir le corps bouillant de sa compagne pour la prendre en levrette au beau milieu de l’apesanteur somnolente de la nuit..
Et lorsque chacun aurait regagné ses pénacles, il s’agirait de s’évader à nouveau..
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LE TELEPHONE ROSE
J’adore inventer des contes lubriques et fantasques pour exciter ma compagne et l’écouter se masturber au téléphone.. C’est un peu comme chuchoter à l’oreille de la belle lorsqu’elle partage mon lit.
Certaines demoiselles ont un don pour réaliser des parades très chaudes en visiophone.
Les parades sont multiples et souvent constructives..
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LA PARADE SOCIETALE
Se rendre charmeur auprès des copines de ma partenaire tandis que cette dernière fait de même avec mes potes.
Histoire que lorsque la soirée s’achève enfin, l’émulsion fructifie au lit !
Et qui sait, aller se perdre un peu du côté obscur..
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L’AMANT
Devenir voyeur ; contempler mon amante réaliser sous mes yeux un de mes fantasmes (éventuellement inassouvi) avec un autre.. ou vice versa
J’ai une ex que je me plaisais à imaginer chauffer les ouvriers venus retaper sa baraque. Et d’encourager moi-même ces types à épancher leurs pires penchants..
J’avoue, du reste, que je ne serais pas opposé à l’idée de me retrouver être la proie d’un gang bang féminin.. Je me suis déjà imaginé être pris en flagrant délit de mater un groupe de nanas dans des douches et que ces dernières se vengent..
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LE GANG BANG
Je raffolerais qu’un groupe de femmes s’attelle à titiller chacune de mes zones érogènes, comme si l’ensemble de ces dames, de ces filles ensemble, n’en formaient qu’une seule, tentaculaire..
Me faire lécher le nombril, les tétons, les doigts, les orteils, le cul, la bite, simultanément et prendre une succession de langues, de nichons et de vulves en bouche et à chaque extrémité de mes doigts..
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J’avais jadis écrit une nouvelle érotique qui s’achevait par une scène d’orgie où un homme condamné par une maladie, se faisait dévorer par un groupe de femmes.. Un peu comme dans ces tribus cannibales qui font voeu de récupérer l’énergie vitale du défunt, tel un ultime hommage..
Parfois je me demande si la quête d’ivresse et d’adrénaline doit passer par toutes les audaces..
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PRALINE
La moindre odeur d’excrément me donne la nausée et pourtant, dans le contexte sexuel, l’adrénaline suscitée par la stupeur peut primer. Je m’imagine toujours que plus une femme adoptera un comportement insensé et inattendu, plus l’adrénaline occasionnée aboutira à une forme de plaisir délectable.
Ainsi, il m’est déjà arrivé de me représenter allongé au sol, contemplant une femme s’accroupir au dessus de moi, m’offrant un panoramique de son sublime cul (un beau cul est de rigueur), avant de déféquer, sans crier gare sur mon visage. J’ai même parfois imaginé que, emporté par un vertige, une ivresse insensée, la demoiselle attarde ses doigts sales dans ma bouche, les enfonce dans mon cul; m’oblige à lui nettoyer sa rondelle souillée accroupie sur ma gueule..
Je ressasse l’idée d’être tenu en joug sous le pied d’une femme, notamment si c’est pour me parler durablement avec insolence, me porter, enjouée, vers une de ses sécrétions laissée au sol, ou encore dans son sac de linge répandu, ses petites culottes exhalant leur lot d’odeurs démentielles !
Le partage d’odeurs m’a toujours fasciné..
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PARTAGE
La femme qui se prend l’odeur de foutre d’un homme dans la chatte pendant qu’un autre lui déverse la sienne dans la bouche. Le mari qui regarde sa femme se faire prendre par un autre. La cousine qui se fait baiser par le copain de sa sœur. La mère par le copain de la cousine. Et la sœur, la mère, la cousine, la femme du mari et celle du gang bang par ma charmante personne XD
Qu’est-ce qu’on peut faire comme bêtises sur un coup de tête, n’est-il pas ?
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LE RETOUR DE L’EX.
Jusque là, chacune des femmes qui m’ont quitté au cours de mon existence, sont revenues vers moi, avant tout par nostagie de la luxure qui nous unissait.
Je me souviens de cette compagne qui semblait bouder en revenant chercher des giffles sur ses seins et ma queue dans sa bouche. Ca la contrariait d’aimer se salir avec moi, encore et toujours.
La dernière qui est partie et qui avait su si bien ressusciter mon hypophyse, j’aimerais m’étendre à nouveau sur son dos dénudé et attraper sa petite gueule, la tourner vers moi pour l’embrasser sauvagement.
A moins qu’elle me regarde inquiète de me voir fondre à nouveau dans son cou et son épaule pour les mordre comme un animal qui s’apprête à fondre sur sa proie..
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PULSION & COUP DE TETE
Il m’arrive parfois en donnant un cours à une adulte gracieuse ou en buvant un verre dans un bar avec une pote d’être pris du désir fulgurant d’embrasser la demoiselle.. J’aimerais tant oser parfois fondre sur des lèvres sans retenir ma pulsion !
J’apprécie qu’une femme risque sa main sur ma cuisse durant une soirée, ou dans un bar, sous la table, en présence de convives. Que cette main s’attarde pour me jauger. J’aimerais rendre la politesse en caressant l’intérieur d’une cuisse soyeuse à peine recouverte d’une jupette d’été. J’apprécierais aussi que la main féminine me guide jusqu’aux abords humides de son intimité.
Parfois même, en tête à tête avec une jeune femme qui décèlerait trop bien que je suis sous son charme, il serait si bon qu’elle plonge discrètement ses doigts dans sa vulve et qu’elle me les pose sur les lèvres;
qu’elle me fasse goûter l’âme de son corps..
Courser une fille qui s’est planquée dans une maison et prendre plaisir à la tenir en joug, puis à la dessaper. Sentir son coeur battre alors qu’elle se débat mollement, trop mouillée déjà entre les jambes pour faire correctement semblant de se défendre.. La demoiselle, hagarde, ivre d’envie de se faire prendre, en jouirait d’autant plus violemment. Faire éclater les boutons de sa chemise blanche, dégonder son soutien-gorge et déployer ses seins, retirer sa petite culotte sèchement de sous sa jupe et entrer enfin dans ce cagibis exigu pour.l’enfiler.sans.préambule..
J’aime l’onde de choc qui résulte de la pénétration. J’ai déjà capté le regard inquiet d’une amie qui attendait pourtant instamment que son cul cède sous la pression, s’affaisse et s’écarte sous les assauts frénétiques du mâle..
Une femme ne jouit jamais autant que lorsqu’elle ouvre en grand la porte de ses coffres à son cambrioleur pour mieux se laisser piller à outrance !
Baiser la bachelière fraîchement majeure qui vous chauffait à mort depuis des mois, ou l’étudiante de la Sorbonne, si tu préfères: la prendre en vrac, sur son bureau, sur sa chaise et sur son lit.. pour la féliciter de sa progression de notes..
Rejoindre une femme qui s’exhibe à la fenêtre d’en face..
ben alors
Et il conviendra d’ailleurs d’achever cette longue énumération de fantasmes sur cette allégorie. Car c’est bien moi qui exhibe mes fantasmes à la fenêtre du net !
Il est bien évident qu’un fantasme consiste à faire coïncider une idée avec la réalité d’un moment adéquat et surtout avec une partenaire en connivence..
Je vais d’ailleurs refermer mes considérations sur mon dernier poème en date, qui cristallise assez bien mon feu intérieur..
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MINOTAURUS INEST
-Veneris monumenta-
J’aimerais que tu te postes à nouveau
au sommet de mon lit
le dos apposé contre le mur de mon salon,
quasi-nue.
Un quart de siècle nous sépare en âge,
mais tes yeux francs, intemporels, presque mystiques
m’adressent un familier langage..
Laisse-moi déposer ma joue très doucement
dans le creux de ton cou,
être la plume qui rejoint son nid..
Je suis un enfant, une panthère, une brise d’Eté;
je suis un grand soleil près d’un refuge aux portes de coton..
Ta bouche est une fleur sauvage,
qui parfume mon âme de papillon.
Vois mon aile silencieuse se poser
sur la soie de ton épaule chaude !
Le temps suspendu
infuse mon âme à ta presqu’île;
Mon souffle sur ta peau me grise:
tu es ma vapeur d’absinthe !
Ta chevelure est désormais
un vaste champs moissonné
à mon vexillum externum.
Ton épiderme irradie contre le mien
comme un pain chaud sorti des braises !
Aucun des chats sacrés de l’antique Egypte,
n’a transporté autant de lumière que ta peau :
Hathor, Isis et Rê se sourient et se taisent
lorsque je te caresse.
Tes deux pyramides sont des flacons de rivages.
Fais-moi boire de ton lait; enfante ma déraison !
Mes griffes de faucon ratissent ta nuque;
je porte mes dents à ton cou,
je mordille ta chair tel un vampire avide..
Je suis ton Minotaure, ton Lucifer, ton Dracula !
Mes doigts délicats viennent broder d’audaces
un incertain langage à même tes seins..
Des alcools de prune et de poire coulent à présent de tes tétons;
je t’attrape au cou, tel un canidé, pour te tirer lentement vers moi;
je sens tes fioles d’effluves infiltrer mon cœur;
Ta bouche capture la mienne comme une proie fébrile.
Tes bactéries s’engouffrent dans mon sang, restaurent ma matrice..
Je vois des gouttelettes d’eau fines
bouillir sur ta peau
puis s’évaporer au diapason de tes soupirs..
Tes aréoles crantées pénètrent souplement mon torse.
C’est alors que le grand mât du Drakkar se lève
et tu l’absorbes sans tarder tout entier en toi,
dans ta forêt d’éponges.
Ta rosée coule déjà du septième ciel convoité.
La chambre se tapisse d’un rouge-violacé..
Je sens ton odeur animale qui s’abat comme une tempête:
tu plantes tes yeux intenses
tel des ancres dans l’océan de mon âme.
Je me retourne tout entier sur toi,
ragaillardi par ton puissant courant.
Ta bouche carmin
a faim
de recevoir l’écume de ma lèvre.
Je t’ensevelis d’une vague puissante
et j’engouffre encore davantage
ma corne de Minotaure
dans le tréfond de ton corps.
Voici l’offrande de nacre:
de multiples orages tonnent dans ta chair
Tu tressailles d’accueillir dans ton caveau
ma liqueur de perle.
L’onde de choc de ma queue
se prolonge tel un écho parmi tes dunes.
Tu m’enfonces tes ongles dans le dos si profondément
que je sens distinctement ton nom se graver sur mes os.
Je plante à mon tour mes dents dans ta jugulaire
tandis que tes canines percent mon épaule.
Je m’abreuve, tu me bois,
nous nous embrassons follement
pour partager ce vin de messe.
Je ramasse au sol des caillots de raisin
et je les porte à ta petite gueule affamée.
Tu les dévores en me dévisageant.
Ta bouche coule infiniment
jusque dans ton nombril
et abreuve les petits papillons
qui palpitent dans ton ventre.
Le coutelas divin de ton sourire en coin
me suggère un sacrifice à venir
Tu t’éclipses dans la salle d’eau
et déjà tu m’inspires
de vilaines rêveries..
Relevant une pièce d’étoffe
trop ajustée à tes hanches
tu me laisses entrevoir
l’arrogante colline hirsute.
M’empoignant le vit en me fixant des yeux,
tu veux me voir céder à proférer
mes ordres rabaissants.
Ta bouche lascive de succube
réclame la lie de mon calice !
Ta main est un nid à serpents;
elle me caresse et me compresse
pour que je crache enfin
tous mes mots volcaniques.
Tu m’engloutis de ta gueule de fauve
pour m’assassiner de plaisir.
Des torrents hypnotiques se répandent en moi,
tandis que tu bois toute ma fontaine.
Démon repu, tu m’adresses un sourire.
Je suis une comète
dans la galaxie de tes yeux fauves.
Aucunement je n’ai la beauté d’Artemis,
mais je peux être un grand forgeron de volupté !
Fais de moi le gardien secret de tes moiteurs,
l’arboriste de ton plus secret jardin..
Je l’avoue, je suis parfois jaloux des visiteurs
que tu salues de ton candide balcon.
Tous ces mirages, si laborieux, sont autant de déserts..
Et si chaque homme est fait de sable,
je serai ton désert de Mojave,
ton Dasht-e-lout, ta Kébili.
Je serai le Queensland bouillant
au milieu des montagnes de feu.
Mon orgueil est un empire suintant,
et tu le sais toi qui réapparais
dans une robe andrinople..
De ton dos je m’approche;
tes ourlets, déjà, se pourfendent de flammèches..
Je veux sédimenter encore à ton épaule;
j’entrevois tes doux seins dans l’écorchure de ta robe;
ta bretelle s’affaisse ainsi que ta chute de reins;
soudain, le bas de ta robe s’enflamme
Tes doigts fraîchement vernis
soulèvent avec une insolente lenteur
le tissu embrasé !
Le bas de ton dos est désormais tatoué
d’obscurs hiéroglyphes;
«Sois indécent» chuchotes-tu.
J’ai besoin de lécher ta petite béance,
comme un chien des enfers !
Tes canines d’orque scintillent dans le miroir;
Tu lèves un bras au ciel;
tes doigts gracieux s’éventaillent et s’enroulent
tandis que la chambre prend feu.
Je pointe à mon tour vers le ciel un index
qui se change en verge féconde;
et tandis que les parois de ton éminence charnue
s’abandonnent à mon autorité,
j’enfonce un doigt séminal à ton nombril..
Des Jigokubana naissent soudain dans tes cheveux;
une nuée de papillons pourpres et ocres
comme sortie des enfers,
vient butiner chacune de tes mèches,
éteignant les feux alentours
de battements d’ailes..
Des abeilles rouge-ponceau surgissent à leur tour.
Tu étires ta langue en récupère de tes doigts un étrange miel
que tu portes aussitôt à mes lèvres, à mes seins;
de mon gland jusqu’au galbé séant.
Tu n’aimes rien tant que me sentir palpiter dans ta bouche;
tu me dégustes infiniment, tandis que des plumes d’ange
tombent très lentement sur nous comme une fine pluie;
tandis que des sirènes au lointain
nous chantent leurs plus doux sortilèges..
Sois mon alcool, mon brasier, ma folie,
sois ma déesse et ma putain,
Sois le petit matin des longues nuits.
Le soleil s’attarde sur mon torse
lorsque tu le caresses.
Je veux te voir tournoyer en riant
dans des champs de coquelicots mutants.
Sidère-moi;
écorche-moi de souvenirs violents !
Fais de moi le buvard de ta cyprine et de ta lave,
de ton urine et de ta bave.
Baise-moi comme si j’allais crever demain.
Je veux mourir et ressusciter dans tes bras..
Je veux tes hanches et tes pieds dans ma bouche,
ton cul sur ma gueule et ma queue dans ta main.
L’un dans l’autre, je veux nous mélanger
encore et toujours !
Je veux tes mamelons sauvages, ta peau soyeuse,
tes épaules et ton cou..
Je veux surtout tes yeux cosmiques au fond des miens
tes cuisses et ton pubis amarrés à ma taille,
quand je viendrai cent fois sur toi pour te donner mon âme !
Je rêvasse, je me languis, je me dilue..
Entends-moi s’il te plait, rejoins-moi !
Viens contre mon épaule et contemplons
les derniers instants de ce monde-ci !
Je veux me noyer sans fin dans des étreintes folles;
je veux brûler d’ivresses, célébrer le feu qui me porte
et qui m’emportera jusqu’à l’ultime crémation !
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Pratiques
Fétichisme, Shibari / bondage, Contrainte (menottes, chaînes ...), Discipline (Fessée, fouet, cravache...), Enfermement (placard, cage, coffre...), Asservissement (valet, soubrette ...), Exhibition forcée, Suspension (harnais, cage ...), Brûlure (cire ...), Stimulation par sex-toy, Electro-stimulation, Piétinement (pieds nu ou talons ...), Uniforme (médecin, militaire, religieuse), Infantilisation (autoritaire ou maternel), Etouffement maîtrisé, Urolagnie, Scatophilie, Facesitting, Adoration (cérémonial, dévotion ...), Mise en scène (des fantasmes : knidnapping, viol simulé, ...), Autres pratiques (voir "Ce que je cherche")
En quête de
Une Maîtresse, Une soumise, Partenaire de jeu, Une aventure, Une relation durable, Une amitié
Orientation sexuelle
Hétéro
Info de base
Statut de situation sentimentale
Célibataire
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Dernière connexion:
02/04/24
Membre depuis:
21/08/12
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