SAraSakuraKajira

Au fil du temps qui s'écoule, la vie émerge, Tel un bourgeon qui s'épanouit, une fleur qui s'ouvre. Dans l'éclat des saisons, la beauté se déploie, Comme une brise légère qui caresse la joie. La fleur de cerisier, fragile et éphémère, Symbole de l'émerveillement, de l'instant éclair. Dans sa délicate splendeur, elle nous rappelle, Que la vie est un précieux présent qui étincelle. Ses pétales délicats, teintés de rose délicieux, Dansent au gré du vent, tels des papillons joyeux. Elle nous enseigne la fugacité du temps qui passe, Et l'importance de saisir chaque instant avec audace. Comme la fleur de cerisier qui brave les éléments, Dans la fragilité, elle révèle sa résilience éclatante. Elle nous guide sur le chemin de la résistance, Et nous rappelle que la vie est une danse. Dans l'ombre de l'arbre en fleurs, nous trouvons l'abri, Un havre de paix, où les rêves sont infinis. La fleur de cerisier nous tend la main, Pour nous révéler le pouvoir doux de l'incertain. Dans ses pétales qui se dispersent doucement, Nous percevons que la vie est un précieux fragment. Comme la fleur de cerisier qui fleurit et se fane, Nous devons embrasser chaque instant comme une offrande. Ainsi, la vie et la fleur de cerisier se rejoignent, Dans une poésie éternelle qui nous étreint. Profitons de chaque jour qui se dévoile, Et laissons-nous emporter par la beauté qui s'étoile. Il était une fois Il était une voix Il était une voie .....d'O Je vieillis https://youtu.be/g3ILqax9rGs?si=BM_JZOdRlaFFVRvQ

Histoire d’en rire… À priori, il y a encore des dominants qui confondent « soumise » avec « poupée gonflable »… Comme si les femmes, du moment qu’elles se définissent comme étant une femme soumise, devaient oublier aussi bien leur caractère que leur intelligence. Pour en revenir au petit et bref échange que j’ai eu avec ce « MonsieurDom » … et à MON HUMBLE AVIS ce (soi-disant et surement autoproclamé) dominant est à ce point si peu sûr de lui qu’il ne peut et pourra dominer qu’une poupée gonflable… et son dégoût n’est autre que le rappel de son incompétence à dominer une soumise qui sait réfléchir par elle-même.

BonAnniv, Sara !