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Mademoiselle_Lane

femme soumise. Vit à Strasbourg, Alsace, France. 45 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 21/09/21
Ceci est le premier chapitre d'une série... Il s'agit d'un prélude.. Avis aux amateurs, ils seront peut être deçu mais pour une fois ce n'est pas une nouvelle pornographique mais une partie d'un petit roman que j'écris au fil du temps... Dessin personnel..... *********************************************************************** München 1937 Le fond de la musique était entrainante. La voix de Fats waller jouant Ain’t Misebehavin m’entrainait. Habillée d’une robe longue noire avec mon sautoir, le rouge à lèvres dessinant mes lèvres, mes cheveux savamment crantés, j’avais suivi Claudia à cette soirée. Les hommes habillés d’une grande élégance, le vacarme, le champagne, la bière, la fumée du cigares laissait régner cette période de bar clandestin, où je me sentais moi-même clandestine dans cette période de mouvance. Le temps était à la fête et non à la tristesse. Je devais me trouver une place pour m’intégrer à cet univers. Je sentais le regard des hommes sur mon décolleté, tentant de m’aborder et je feignais l’indifférence. J’avais rencontré Claudia un après-midi au café, d’une blondeur incroyable, elle avait les traits fins. Elle attirait tous les regards. Ses yeux bleus vous transperçaient. Elle avait un style incroyable. - Hallo, Mein Name is Claudia ! Sie sind ein Husche Mädchen. Je la regardais en souriant. - Vielen Danken, aber mein deutsch is schlecht. C’est là qu’elle me dit.. - Oh mais je suis française ! toi aussi ! que c’est bon de voir une compatriote ici !. - En effet, je me sentais un peu seule. Je tente de rejoindre mes grands parents en Pologne. - Je suis arrivée hier et j’ai envie de découvrir cette ville, elle est sublime ! Pardon, je ne me suis pas présentée, Véronika. - Eh bien enchantée Véronika ! Laisse moi te montrer cette sublime ville ! Demain, je dois aller à une fête privée organisée par des hauts placés, viens ! - Je ne sais pas.. Allez viens, tu t’amuseras et qui sait tu feras de belles rencontres, belle comme tu es. - Soit.. d’accord. Claudia portait cette robe blanche, on aurait dit un ange. Et moi le côté sombre dans ma robe noire. Nous contrastions tellement nos physiques étaient opposés. Elle si mince, moi pulpeuse, elle petite, moi grande. Elle avait ce don de faire que vous saviez que vous allait l’aimer, cette facilité de contact. Soudain, je sentis une main m’attraper par le bras et m’emporter vers la piste de danse. Un allemand très grand très charmant, si souriant.. je me laissais embarquer par toute cette folie. Nous étions à la fois dans un lieu luxueux mais où les gens avaient classe mais simplicité. Je ne comprenais pas un traitre mot de ce que me disait cet allemand qui était aussi bien éméché mais je passais une soirée divine. Soudain Claudia me choppa par la bras. - Viens Véronika. Regarde là bas… il y a Franz. Il est si charmant, tu devrais aller faire sa connaissance ! - Mais pourquoi ? - Tu ne devrais pas rester seule Véronika. Profite et trouve toi un protecteur. - Mais je ne veux pas, je veux avoir mon indépendance. - Les hommes voudront toujours ta beauté, te posséder alors à toi de prendre les rennes et de choisir avec qui tu seras. Tu sembles être une jeune femme intelligente. Profite des hommes qui voudront profiter de toi. Je ne voyais pas où elle voulait en venir. Elle me prit alors par la main, et me fît courir à travers cette foule vers cet homme. Arrivé à sa hauteur, elle feint de tomber, d’être saoule. Je voyais son manège. Je me sentais quelques peu gênée. Cet homme ce Franz, portait un uniforme, il avait une telle prestance. J’aurai dit la quarantaine, assez grand, châtain clair. Il était en plein échange avec d’autres militaires. L’intrusion de Claudia les stoppa dans leur élan. - Entschuldidung, Meine freudin hat zu viel alkool getrunken. - Kein Problem me répondit ce Franz. Claudia se redressa et regarda Franz dans les yeux, lui adressant son plus grand sourire avec ses yeux de biche perdue. Je voyais bien son jeu. Franz paraissait gêné. Je ne voyais pas ce qu’elle lui trouvait. Je n’avais jamais aimé dépendre des hommes pour l’aspect financier. Je voulais garder ma liberté mon indépendance. Les temps était si rude, ma situation était si compliqué. Je ne mangeais pas à ma faim, je devais faire attention à tout. Je ne savais même pas comment j’allais encore quitter Munich. J’avais quitté Strasbourg mais mes économies partaient si rapidement. J’étais partie avec les maigres affaires que j’avais. Claudia tentaient d’engager la conversation, mais ce Franz ni les autres ne semblait intéressés par elle ou moi. Leur conversation semblait si sérieuse. Je ne comprenais pas tout. Pourquoi Claudia jouait-elle à ce jeu là ? - Claudia, je vais au toilettes, je reviens je vais me repoudrer le nez. En repartant des toilettes, dans ce long couloir plus ou moins sombres, je croisais Franz. - Fraulein ? - Fraulein, entendis-je plus fort. Je me retournais, il était là face à moi. - Vous êtes franzosich ? - Ya, ich bin Franzosich. Ich kömme Von Strasburg. - Ah ja, je parle un petit peu français… Son visage s’était illuminé à l’idée de parler français. - Möchten Sie Champagne Trinken ? _ Hum ja, gern. Je me laissais embarquer, sa prestance était impressionnante et surtout il n’était pas lourd. Il semblait sincèrement gentil. Au loin je vis Claudia me faire un grand sourire. Elle était restée avec un autre militaire du groupe. Assez séduisant je dois le reconnaitre. Je me laissais emporter par la musique, la danse enivrante, les bulles de champagne me rendant si pétillante. Franz était d’une agréable compagnie même si je ne comprenais pas tout. Franz m’avait embarqué sur la piste. Tout tournoyait autours de moi. Les discussions sérieuses avaient laissé place à la fête. Franz et ses amis abusait de ce champagne coulant à flot. Claudia, elle s’amusait toujours avec cet homme. J’étais ravie pour elle. Elle semblait bien s’amuser. Elle avait cet intelligence à feindre ce côté quelque peu nunuche. Toujours laisser croire aux hommes qu’on est stupide me disait-elle. On valsait, tout tournoyait… ma tête me tournait. - Franz, stop, ma tête tourne… - Venez… Il m’enlaça pour me soutenir mais son étreinte indiquait qu’il voulait davantage. - Franz… ich.. - Chut.. Il tenta de m’embrasser. Je me dégageai farouchement. Je protestais en français en oubliant mon allemand ; - Mais pour qui vous prenez vous ! - Vous, jolie.. J’allais rejoindre Claudia, je voulais rentrer. Je ne voulais pas que cette soirée vire à une situation que je ne pouvais maitriser. Claudia était saoule, et je me méfie des hommes saouls. - Veronika… me chantait-elle. Ah ma chérie, viens on va finir la soirée chez Gutner ! - Je… non… allez viens ! Je ne voulais pas la laisser dans cet état. - Tu es impossible ! d’accord mais je viens pour toi ! Soudain il y eu une soudaine agitation, les lumières s’éteignèrent. Une descente de police. Je vis Claudia se faufiler. Des cris de partout puis des détonations. Les gens courraient dans tous les sens. Je perdis Claudia de vue. Nous nous retrouvions séparés. La foule m’emporta vers le couloir des toilettes. Quand en arrivant je vis Franz, allongé au sol. - Franz ! Wie geh’ts ? Je l’attrapais par le col. - Franz !! réveillez-vous ! Je me relevais, et je vis du sans s’échapper. Je paniquais. Ma seule idée a été d’aller au toilettes pour me réfugier. Je tentais plus bien que mal de me nettoyer les mains. La police faisait une descente dans cette soirée clandestine. Je ne comprenais pas tout ce qui se passait. Je respirais profondément pour ne pas céder à la panique. Franz était blessé, moi dans les toilettes, et s’ils me trouvaient ? Soudainement, j’entendis la porte des toilettes être défoncée. Un policier était face à moi, me prenant par le bras, fermement. Je me laissais faire, il me conduisit à l’intérieur du bar où ils avaient rassemblés les gens. Le chef de la police, enfin celui que je supposais m’être au vue de son uniforme, de son regard et de ses pas scrutait l’horizon. Le policier me présenta à lui et je compris à son allemand qu’il disait : - Celle là était dans les toilettes. Que fais-je ? Elle était à coté du corps. Sans ménagement, il me prit par le bras et on m’emmena avec les autres femmes. Il resta à mes côtés. Plus tard, on nous emmena dans un camion. Je voyais les lumières s’obscurcirent… je tremblais. Je n’avais plus revu Claudia. Je n’avais aucun papier sur moi. J’avais perdu mon sac dans la cohue. Les larmes commençaient presque à perler. J’étais en compagnie d’autres femmes allemandes. Qu’allait il se passer?. Je trésaillais. - Schnell ! On me poussa vers une sorte de caserne de police assez lugubre. De vieux murs en pierre assez épais. Des lumières froides au plafond. Quand je vis un des policiers venir vers moi, je compris que j’étais dans de sales draps. Il me prit par le bras et me poussa vers une pièce avec une table et quatre chaises. D’une froideur à vous glacer. -Sitzt ! Je m’assis, attendant avec peur. L’homme que j’avais aperçu à la soirée, le supérieur pénétra dans la pièce. Son regard me glaça. Il s’adressa en allemand. Je ne comprenais pas ce qu’il me disait. - Je m’appelle Veronika L. je suis française. Je suis désolée mais je ne comprends pas ce que vous me dites. Je ne cessais de répéter mais il faisait mine de ne pas comprendre. Je sentais son agacement. Il se leva, venant vers moi. Il m’empoigna les cheveux alors que j’étais assise pour me pencher la tête. Je sentais qu’il m’insultait dans sa langue. Mon niveau n’était pas assez élevé pour comprendre. Mes larmes commençait à perler. Soudainement il me gifla. Je tentais de me protéger avec mes mains, ne sachant comment me sortir de cette situation. Quand soudain, un homme pénétra dans la pièce. Un homme grand, blond, des yeux implacables, bleus. D’une élégance qui me fit oublier où j’étais. - Herr Lintzer. Stop! Jetzt! C’est tout ce que je compris. J’avais saisi qu’il faisait un rapport à son supérieur. Puis l’homme qui m’avait giflé, ce Herr Lintzer quitta la pièce. Je me suis sentie soulagée, heureuse que ce dernier quitte cette pièce. - Mademoiselle Lane. C’est bien cela ? - Oh vous parlez français.. oui c’est bien cela. - Mon pfficier m’a indiqué qu’on vous a trouvé non loin du corps d’un officier allemand. Vous vous cachiez dans des toilettes. Où sont vos papiers pour prouver votre identité ? - Eh bien dans la panique ils sont restés dans les toilettes je pense. Je ne me souviens pas. - Cela ne joue pas en votre faveur. Vous êtes suspectée de meurtre. - De meurtre ? mais je n’ai jamais tué qui que ce soit. Parlez vous de Franz ? Je ne me souvenais plus de son nom de famille. La peur m’avait complétement tétanisée. Je n’arrivais plus à retrouver mes moyens. Mes mains tremblaient, tout comme mes jambes. Il semblait à la fois si doux, rassurant et e l’autre si intransigeant. - Ainsi vous connaissez Franz ? - Oui je l’ai connu ce soir. Mon amie Claudia m’accompagnait, c’est lors de la soirée que je l’ai rencontrée. Elle vous racontera. C’est une jeune femme blonde, très jolie, assez petite. - Nous n’avons pas de Claudia. - Elle habite.. euh.. je lui donnais l’adresse où j’étais allée pour la rejoindre. - Nous allons vérifier. Mais en attendant vous êtes suspecte. Je vais devoir vous interroger. Je vous conseille de mieux coopérer car sans cela, la tournure de l’interrogatoire ne vous plaira pas. - Mais je coopère !! - Levez vous je vous prie et mettez vos mains sur la table. - Je… d’accord. Je me levais, me mettant dans la position qu’il avait indiquée. Il se leva et se positionna derrière moi. - Ecartez vos jambes. Je vais vous fouiller. Je me retournais, trouvant cette situation impossible. Je me retrouvais face à son torse. Je sentais son eau de cologne jusqu’à mes narines. Un homme prenant soin de lui. Il en était presque rassurant et à la fois sa froideur me faisait tressaillir. Je levais ma tête pour le regarder droit dans les yeux. - Que voulez vous fouiller, vous voyez bien que je ne porte que ma robe. Rien de plus. Mon sac est, je pense rester dans les toilettes.. - Retournez vous et mains sur la table ! Maintenant! Le son de sa voix.. je ne pouvais qu’obéir. Je plaçais mes mains sur la table, mes jambes légèrement écartées. Je sentis qu’il se pencha contre moi commençant à me palper le corps. Il commença à mettre mes cheveux sur le cotés, à descendre le long de mon dos, passant mon fessier pour descendre jusqu’au mes chevilles. Il remonta alors ma robe. - Je vous en prie arrêter, ne me touchez pas ainsi. - Vous nêtes pas en mesure de donner des ordres ici ! taisez vous. Malgré sa fouille, ses gestes n’étaient aucunement déplacés. - Rasseyez vous. - Je vais être très clair, pour moi vous êtes une espionne qu’on traque depuis quelques temps. Je me devais de voir si vous n’aviez pas une arme sur vous. Vous semblez maline. Vous êtes belle, franz s’est laissé prendre au jeu,, moi pas. Des témoins vous ont vu ensemble ! Alors ne me la faites pas avec votre joli minois. Ca ne marche pas. J’aime mater des femmes comme vous. - Pardon ? mais vous vous trompez. Il est vrai que j’ai danser avec Franz mais rien de plus. Il se leva et ouvrit la porte. - Conduisez là en cellule. Maintenant - Je vous en prie.. arrêtez vous vous méprenez. On me conduisit dans une pièce dont une partie des murs étaient en pierre et l’issue était à travers les barreaux. Un lit picot et une vieille couverture. On me jeta vulgairement dans cette pièce. Je ne comprenais pas ce qu’on me disait. Je me voulais pas me laisser abattre. Je repensais à ce que Claudia me disait. Si seulement elle était là ! Le coup de grâce fut quand on me mit des fers au poignet. Comme si l’on pouvait s’échapper de ce lieu !!! Je tentais de me reposer. J’étais épuisée. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était. Je m’assoupis. Quand je me réveillais, il était là, l’homme qui avait commencé à m’interroger. Depuis combien de temps m’observait-il ?je me sentais en sécurité malgré moi avec lui. - Levez-vous. - Je vous en prie, cessez cela, je n’ai rien à voir avec ce dont on m’accuse. Je commençais à pleurer. Il me saisit avec sa main ma mâchoire et me dit. - Tu es douée petite espionne, mais je te démasquerai. Cela prendra le temps qu’il faut. Ce contact, sa chaleur me décontenançait et je voulais pour autant quitter ce lieu. Comment sortir de ce cauchemar. - Venez vous assoir à la table, je vous prie. Il montrait cette politesse qui faisait que je lui obéissais sans réfléchir. - Je crois que c’est votre sac. - Oh oui ! c’est bien lui. - Nous avons retrouvé un petit pique à l’intérieur, identique à celui qui provoqué les blessures à votre ami Franz. Je commençais à voir rouge. - Ce n’est pas possible ! je ne l’ai pas tué ! retrouvez Claudia. Elle pourra témoigner de tout. - Nous n’avons retrouver aucune Claudia. - Les amis de Franz.. euh.. je ne me souviens pas de leurs noms, vous parleront d’elle, je n’invente rien. - Ahhh vous êtes réellement douée douce Fraulein. Je vais vous faire craquer. Je compris au son de sa voix qu’il ne plaisantait pas. Il prit alors mes menottes, tira dessus. Je me laissais faire, telle une poupée, ne sachant plus quoi faire. Je voulais sortir de tout cela. Qu’on me libère. - Je vais vous laisser la journée pour réfléchir. Ce soir, nous dinerons ensemble. Je le regardais interdite. Je m’attendais tout sauf à cela. Quand il quitta la cellule, je pleurais. Plus tard, des femmes venaient à moi. On me tira de ma cellule et on m’emmena me laver. Je laissais alors mes affaires et sans aucun ménagement on me poussa à la douche, qui était si froide. Je tremblottais. Je regardais mon visage dans le miroir. Je ne me reconnaissais plus. Je ne m’étais jamais sentie aussi seule. On me ramena à ma cellule aussi glacée que cette douche. Je remettais ma robe de soirée, je n’avais rien d’autres à porter. Quand il réapparut, avec ces plateaux repas, cette bouteille de vins et ces verres en cristal… Chapitre 2 à suivre
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Par : le 30/01/17
Nous arrivons chez mon maître. Il me pousse à l'intérieur de son antre, sans ménagement et la douceur dont il a fait preuve quelques minutes auparavant se transforme en puissance et intransigeance dans ses gestes, son regard et sa parole. - A mes pieds, de suite, m'ordonna t il. Il m'empoigna les cheveux avec une force, tout en m'obligeant à marcher à quatre pattes jusqu'au canapé. - Deshabille toi de suite, adosse toi contre le canapé et écarte bien tes jambes de chienne. Une fois exécutée ses ordres, je m'offrais à lui. Il s'agit en face de moi, dans son fauteuil chesterfied marron. J'entend le son du cuir dans qu'il s'asseoit dedans. - Ecarte moi ta chatte et ton anus avec tes doigts que je puisse bien de voir. - Tu aimes ça, hein? montrer tes trous en espérant être prise, me questionna t il. - Oui Maître. Maintenant, tu vas te préparer à m'accueillir. - Ouvre moi ta chatte davantage, écarte bien tes petites lèvres. - Mieux que cela ce n'est pas suffisant, tu n'es pas assez ouverte ma petite putain. Je le sens s'énerver. Puis il se lève et reviens avec un speculum. Je vais vérifier que chacun de tes trous soit propre, et bon à à la consommation. Il me mis un baillon et me regarda avec froideur. Je frémis. Il fit claquer un gant, et commença son examen. Je sentie le bec en métal, froid me pénétrer. Il me massait doucement le ventre durant cette opération. Puis il commença à écarter ma chatte doucement, doucement, et toujours un peu plus.. un peu plus jusqu'à ce qu'elle soit béante. Il s'amusa à y mettre quelques doigts et me narguant en me disant: - Voila un bon garage à bites. Je pense que deux rentrent facilement dans ta chatte de pute. Puis il me laisse ainsi les jambes relevées, la chatte grande ouverte. Il est parti se servir un verre, et revient avec un glaçon qu'il insère délicatement dans ma chatte. Je suis toute déconcertée par ce que je ressens. Sentir le glace fondre au fond de mon gouffre vaginal. Il admire son spectacle tout en sirotant son verre. Je veux que tes orifices soient propres. Ils doivent être vérifiés régulièrement. C'est pourquoi je t'examinerai toujours en profondeur comme il faut. Je ne veux rien négliger : ta bouche, ton anus, ta chatte, tout doit être propre. Tiens en parlant de ton anus, sache que ce soir je n'utiliserai que ton fion tout serré. Il se rapprocha de moi et pris mes joues dans sa main droite et mis une pression. - Est ce bien claire, petite chienne? Je pris un regard appeuré et lui fit un signe affirmatif de la tête. Il me regarda encore une fois ainsi, sortie son téléphone pour me prendre en photo. - que c'est bon de prendre ma putain en photo ainsi exposée. Puis il me retira doucement le speculum et me massait doucement le clitoris. - Garde tes jambes écartées. Il s'agenouilla et me lecha. Il passa avec délicatesse sa langue puis écarta de son pouce et majeur mes lèvres pour donner libre accès à mon clitoris tout gonflé. Il l'aspira, le lécha tout en introduisant un doigt dans mon cul. Il s'amusa aussi à me claquer la chatte, me suprenant. je voulais refermer les jambes mais j'essayai de me contrôler à les gardes ouvertes. Il releva la tête et m'ordonna de me caresser les seins, doucement et de remonter jusqu'à mes tétons. Maintenant, tu vas les pincer, assez fort puis relacher, ainsi de suite, pendant que je m'occupe de toi. Mes seins commencèrent à pointer et mon excitation se faisait ressentir, je mouillais.. Je sentais mon maître se délecter. Puis il releva la tête, voyons que je ne faisais que profiter de ses douces caresses. Voici que je ne faisais pas correctement ce qu'il me demandait, il prit dans chacune de ses mains mes tétons et les pinça.. encore plus fort et les tira vers l'avant. J'avais envie de crier mais je ne pouvais pas. Il me regarda et me gifla. Il se releva, m'empoigne à nouveau et m'emmena jusqu'à la salle de bain. Là, il me fit mettre face contre terre, le cul relevé. Il me donna la fessée me donnant envie d'échapper à sa punition. Puis il transforma la fessée en une caresse apaisante. - Ecarte ton cul avec tes main. Expose bien ton anus. - Il se saisit d'une poire de lavement qu'il avait rempli d'eau. Il enfonça la pointe dans mon anus et commença à appuyer sur la pompe de la poire, afin que le liquide reste en moi. - Tu as intérêt à tout bien gardé en toi. Il renouvella l'opération une seconde fois. J'avais une envie terrible de tout lacher, d'uriner aussi. Il fit me redresser et me mis sr les toilettes. - Allez tu peux pisser de ton anus. Je t'autorise. J'étais si honteuse de le faire devant lui. Je n'aime pas cela. Puis il me jeta à terre à nouveau pour que mon cul soit bien relevé. Il se mit debout au dessus de moi, Je ne pouvais voir ce qu'il faisait. - quelle bonne position de chienne, tu vas être prise pour la chienne que tu es. J'ouvris mon cul pour lui offrir comme il se doit mon petit anus. Il y introduit doucement un premier doigt. Il fit des vas et vient avec une douceur comme pour prendre la température. Puis il passa sa main sur ma chatte. Il amena sa main à ma bouche : - Lèche, il sera dommage de ne pas profiter de ton excitation. Puis il mit le bout de son gland à l'orée de mon orifice. Puis il s'engouffra. J'étais si serré, j'en avais mal. Il pris son temps, tout en me claquant les fesses. Puis mon cul cédé sous la pression de son sexe gonflé. Il commença quelques va et vient, doucement pour que mon anus s'ouvre. - J'aime te sodomiser ma chienne. Puis il accentua son emprise. Il se stoppa et me prit dans l'autre sens, tout en m'agrippant par les cheveux, afin que je me cambre, que je mette en avant ma cambrure et ma groupe, pour m'enculer bien à fond. - Demande moi de te défoncer. - Maître, défoncez moi le fion, s'il vous plait. - Plus fort ma salope - Maitre, défoncez moi le fion, s'il vous plait. - Qu'est ce que tu es? - votre chienne, maitre. Puis il m'encula encore plus fort tout en me fessant. - Enfonce toi deux doigts dans ta chatte. Je sentis que mes doigts dans ma chatte, appréciai de ressentir la queue de mon maitre en train de me besogner. - Maintenant caresse aussi ton clito . Je commençai à ne plus en pouvoir tellement c'était bon. - Maître, j'ai envie de venir, s'il vous plait. - C'est bon je t'autorise à jouir ma salope. Une immense vague m'envahit, incontrôlable. Je n'avais plus de force à rester dans cette position. Il continua à me pilonner jusqu'à sortir et éjaculer sur mes fesses. Il saisit une serviette juste à coté puis me retourna. Je pleurais.. il essuya du pouce mes larmes, me releva et m'emmena à son lit, pour que je me repose à ses côtés
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Par : le 02/05/20
l redescendit. Il ota me donna quelques bonnes fessées. Je ralais à travers mon baillon. - Va y parle.. Je t’écoute.. - Je suis désolée Monsieur avec une voix quelque peu masquée. - Il me gifla de plus belle. - Tu vas m’écouter petite garce ? - OUii Monsieur.. Il me detacha. Je me mis sur les genou et me prosternait à ses pieds. Je tentais une démarche pour attirer ses douces faveurs. Mais je sentais à son attitude que j’allais être encore punie. Il posa alors son pied sur ma nuque. - Tu vois, j’avais prévu d’être plus doux avec toi, mais au vu de ce que tu fais, tu comprends bien que je vais devoir te punir. Le comprends-tu ? - Oui .. Monsieur. - Allez relève moi ton cul de chienne. Il se retourna vivement. Puis des deux mains me fessa lourdement. J’en avais des fourmillements. Je refreina mon envie de crier.. mais je ne voulais pas. - Je t’ai amené ton repas. Mais tu comprendras qu’au vu de ta situation, tu vas manger comme une brave petite chienne de luxe. IL m’avait rapporté mon collier, ainsi que ma laisse. - Voilà, ma petite chienne prêt à prendre son repas. Il tira sur la chaine pour me ramener à lui. C’est là qu’il me tendit dans sa main une gamelle. J’étais à genoux. - Tu vois, je vais être indulgent, je vais te donner à manger. Tiens toi bien droite et mange avec finesse et raffinement. Je souriais car parfois je donnais à mon chien à manger à la fourchette. - Tire la langue pour réclamer.. allez. Je sortais alors ma langue et avec douceur, il me faisait déguster, me délecter de différents mets raffinés. Bouchées par petites bouchées. Toujours en position d’attente que mon Maître me nourrisse, à quémander comme je quémanderais sa queue, à avoir ce regard de désir pour qu’il continue à s’occuper de moi. Mon repas terminé, il déposa l’assiette au sol. - J’ai soif, Monsieur. Il tira sur la laisse, la mise bien courte pour maintenir mon cou bien droit. Il m’incita à marcher à quatre pattes jusqu’à la gamelle déposée face au lit. Devant la gamelle que je constatais vide, il me dit. Il s’agenouilla à ma hauteur. Il plongea son doux regard dans le mien. Tira à nouveau sur la laisse pour me susurer à l’oreille. - Je te laisse le choix petite chienne. Que préfères tu ? - Eau.. ou Champagne. Je ne pue m’empecher de sourire.. - Champagne, Monsieur. - Ne bouge pas, cambre toi bien… je reviens. Il savait toujours montrer sa bienveillance que j’aimais tant. Il revint avec une bouteille de Joseph Perrier, chamapgne que j’affectionne. Il versa le chamapgne dans ma gamelle. - Allez, bois. Tout en le regardant je m’abaissais avec ce regard fougueux, plein de désir.. Je voulais le rendre fou autant qu’il me rendait folle. Je lapais ce doux nectar qui allait me rendre encore plus pétillante. - Regarde ce que j’ai pour toi.. dans ma main.. Je regardais ces framboises avec des yeux gourmands. En général j’aime les plonger dans le champagne.. une expérience que je vous recommande afin de faire pétiller ce dernier davantage. Je m’avançais vers ces fruits des plus tentants. J’ouvrai ma bouche pour me servir avec le plus de sensualité animale possible. Je souriais. Ces moments complices me rendaient heureuse. C’est là qu’il me rejetta au sol pour me faire reprendre ma place. Il me griffa alors le dos puis me redressa. Derrière moi, il tenait mes poignets ferment dans le dos d’une main forte. De l’autre il me maintenait droite laisse courte. Sans douceur il me faisait marcher vers le lit où il me jetta dessus telle une poupée. Il se saisit d’une corde puis m’encorda les bras, puis les mains attachés dans le dos. Mes seins étaient magnifiés par les cordes qui les enlaçaient. J’aimais ces moments érotiques hors du temps. Il me redressa. J’étais complètement à sa merci. Mon torse était posée contre le matelas, mes jambes, elle était au sol. Mon cul offert. C’est là qu’il me fouilla de ces doigts experts à nouveau, comme il aime le faire. Puis sèchement il me pénétra. Je sentais mon petit fion céder rapidement. Ses doigts ayant préparé le terrain. Il relava au mieux mon fessier pour me prendre comme il se faut, avec profondeur, comme s’il voulait me transpercer. Je criai, je hurlai. Plus il me possédait, plus il me fessa en même temps. - Voilà ce qu’il te fallait ! Un coup de bite dans ton cul de chienne. Regarde moi ça.. Il me saisit par la queue de cheval pour me redresser. - Alors, tu aimes ça ? te faire prendre comme ça ? tu en veux plus ? - Oh.. oui Mon.. Monsieur , répondais je complètement haletante. Incapable de parler correcterment à chaque butée. Je sentais ma taille s’engouffrer contre le matelas. Puis il me rejeta en maintenant ma tête appuyée contre le matelas. Je sentais ses gouttes de transpiration tomber comme la pluie sur moi. C’était si intense, si sauvage, mais que dire.. Puis soudainement il s’alongea sur moi.. - Ton corps appelle à tous ces vices. Que vais-je faire de toi ? Il me fit tourner sur mon flanc. Il se saisit de mes seins fermement. Il me griffait, me giflait, parfois mettait ma main sur ma bouche où mes cris de bonheur s’évanouissaient dans le silence. Nous nous possédions l’un l’autre. - Je veux te remplir de tout le bonheur que tu me donnes. Te montrer combien je suis fière d’être avec la chienne que tu es. Son souffle était fort, je sentais son cœur battre si rapidement. L’homme avait laisser place à cet animal que j’aimais. Celui qui prendrait, qui possédait.. simplement. Son autorité était naturelle. Il éjacula en moi avec une telle force. Je sentais son abandon.. autant que le mien. Après cette jouissance, je le sentais trembler. Il reprit alors rapidement ses esprits au bout de quelques minutes. Il m’attachait assise, les bras dans la longueur contre les barreaux du lit. Il m’encorda le cou également au barreau. Je ne pouvais pas me mouvoir. C’est là qu’il me banda à nouveau les yeux et me rebaillonna. Il partit sans dire un seul mot, me laissant ainsi interdite. J’aimais quand il était dans son rôle dominant à me laisser ainsi.. mais pour combien de temps. Le désir montant.. toujours et encore avec l’absence. Je tentais alors de me libérer, mais les liens étaient si bien fait. Je m’étais résolu à attendre. Quand je sentis soudainement une main saisir mon menton, puis d’un revers mettre une gentille gifle, puis une seconde.. - Brave petite fille… Je le sentis monter sur le lit. Il s’était agenouillé de part et d’autres de mes cuisses. Il s’était emparé de chacun de mes tétons. Il les pressait, les tiraient vers lui. Les cordes mettaient en valeurs mes seins triomphants. - Aie.. criai- je, complètement surprise. Il commença alors à s’en occuper, à les travailler… Je ne pouvais le voir ni savoir ce qui allait m’attendre. C’est là que je sentis la morsure du paddle s’abattre sur moi. D’abord sur mes seins puis sur mes cuisses, puis ensuite sur mes jambes. Il s’était retiré me voyant me dandiner. Cela l’amusait. Je laissais échapper quelques cris. Il alternait entre douceur et fermeté. Parfois il m’effrayait à mettre des coups dans le vide. Mes sens étaient totalement en éveil. Il enleva le gag ball et y introduisit un gode que je devais sucer comme ci c’était son sexe. Il me faisait baver litterallement. Il y mettait une intensité, un certain cœur à l’ouvrage. A regarder le fruit de son éducation. Soudain il remplaça le gode pour me fourrer de ses doigts. Il ouvrait ma gueule pour voir si sa chienne était bonne à sucer. Ma poitrine se soulevait. Tout était si intense. La fatigue me gagnait, lui était je le sentais en pleine frénésie. JE ne pouvais lutter.. je ne pouvais que me laisser faire. N’étais ce pas ce que j’aimais au fond. Être cette petite poupée. C’est là qu’il me détacha. Avait il senti ma fatigue rien qu’en m’observant. - Je vois que tu es bien fatiguée. Je vais te mettre au lit petite servante. Va faire un brin de toilette avant de te coucher. Je me levais, les jambes en coton après les différents assauts que j’avais subis, mes bras étaient un peu douloureux. Je me regardais à travers le miroir. J’avais une mise bien fatiguée. - Pose tes mains sur l’armoire, écarte moi tes jambes. Il prie alors le gant de toilettes, le trempa et d’une douceur infinie commença à nettoyer mon intimité. Je le voyais derrière moi à travers le miroir. Mon cœur battait. J’avais qu’une envie, me retourner, le serrer dans mes bras.. Mais je voulais savourer ce moment si … si.. longs soupirs… Il me faisait la toilette, même si cela était rudimentaire. - Maintenant, va t’asseoir sur le lit. Il se saisit de ma creme pour le corps que j’avais sorti de mon sac puis commença par me masser en premier les pieds.. il était à mes pieds. Son regard intense plonger dans le mien. Je ronronnais de plaisirs, de détente. Puis doucement il passait ses mains sur mes mollets, toujours en remontant avec cette douce fermeté il s’attardait sur le creux de mes genoux. Je ne pouvais que chavirer. Il remontait encore et encore… Puis il s’assit alors derrière moi, pour s’occuper de mon dos. Il prenait son temps pour me masser, passer ses doigts sur ma cicatrice, celle qui parcourait tout ma colonne vertébrale. Puis il s’attarda sur mes petites cervicales. Je penchais alors ma tête en arrière, la posant contre son épaule. Il passa alors sa main sur ma gorge. Je me sentais complètement à nue face à lui. Complètement nue.. mise à nue. Cette sensation de ne pas à avoir se cacher, à se montrer juste soi. Puis d’un main coquine, il s’occupa de mettre de la creme sur mes seins, en les pinçant légèrement. Il devinait alors mon sourire de plaisir. C’est là que d’une infinie douceur il prit mon elastique des cheveux pour le faire glisser avec tendresse afin de les libérer. Il y passer ses doigts pour les démeler. - Attends, ne bouge pas. Il avait saisi ma brosse à cheveux et me peigna les cheveux. C’est là qu’il me borda. J’avais qu’une envie c’est qu’il vienne avec moi dans le lit.. pour me réchauffer, me réconforter. Il laissa une bougie allumée. Je regardais les ombres dansées sur le mur. J'étais bien emitouflée; - Bonne nuit petite chienne. Il monta les escaliers, me laissant seule, à mes songes et mes pensées les plus douces. Cette journée aller se mêler à mes rêves et à mes futurs écrits. J’étais épuisée. Je m’endormais comme un bébé. Allait il me rejoindre ? je vous laisse imaginer la suite …. Qu’auriez vous voulu… qu’il fasse ?
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Par : le 01/05/20
Par avance désolée pour les fautes.. j'ai besoin de me repentir… ************************************************************************************************** A mon tour de le surprendre. Il savait tant faire preuve d’imagination. Je lui avais demandé à le voir. Il me manquait. Malgré sa longue journée, il avait accepté. Pour cette soirée, je voulais créer une atmosphère comme il se doit. Je vais vous faire pénétrer dans mon boudoir. L’an passé j’ai décoré l’ensemble de ma chambre. Très douée, paraît il pour la création d’ambiance pour des événements, je voulais cette fois ci essayer de faire une chambre avec mes moyens. Il m’était inconcevable de refaire ma chambre sans mobilier qui a du vécu, de l’âme. Tout avait commencé après une longue période difficile. Refaire son intérieur c’est un peu comme faire le ménage dans sa tête. J’avais tout chiner. Le lustre mongolfière en crital de baccarat qui donnait une sublime atmosphère au plafond quand il était allumé, une sorte de ciel étoilé artistique. Au fond, j’avais tapissé le mur d’un papier peint en velours noir avec des imprimés baroques argentés. Le reste des murs était dans un bleu canard que j’affectionne tant. Sur la doite, j’avais disposé un manteau de cheminée en bois pour apporter une touche chaleureuse où dans l’antre, j’avais disposé plusieurs bougies dans des écrins métalliques. Sur cette dernière, un vase plein de plumes d’autruche. Face à ce manteau de cheminée, de l’autre coté du mur, une armoire chinoise avec des sculptures représentant les fleurs des cerisiers jouant avec le vent, ainsi que des oiseaux exotiques. J’aimais ouvrir les portes de cette armoire laissant présagés milles objets interdits. Sur la partie supérieure, mes plus beaux corsets, sur sur la partie inférieure, je vous laisse deviner .. une sorte de chasse aux trésors. Face à mon lit, un sublime miroir chiné dans une brocante dans un style art nouveau que j’affectionne tant. 165 cm par 125 cm. Légèrement tiqué pour regarder dans le miroir des scènes probablement interdites que vous pouvez vous imaginer. Un peu plus loin, des crochets porte vêtement avec cette forme de coquille St Jacques, complètement dorés. A coté de ce dernier, un fauteuil crapaud invitant à s’y reposer. Pour cette soirée spéciale où Monsieur me faisait l’honneur de venir, j’avais pris soin d’allumer lumières chaleureuses tamisées ainsi que des bougies. Il y régnait une atmosphère particulière. Tout en préparant avec soin tout ce que mon maître mérite, j’avais mis en toile de fond de la musique baroque qui me transporte. Le pouvoir de la musique est incroyable, voyageant dans nos esprits égarés, voulant jouer ces personnages passés où on s’imagine tant d’intrigues, le libertinage loin des conventions religieuses imposées. Vous êtes-vous déjà intéressé€) à la naissance du mot libertinage ? . J’avais pour cette soirée mis mes rajouts de cheveux noirs pour ressembler à la vénus de Boticelli mais en version bien sur moins angélique. Sur ma peau, la douceur de la soie me caressait. Un déshabillé de soie violette, avec de longues manches japonaises, où la dentelle noire apportaient une douce d’élégance fine. Ce deshabillé se refermait à la taille avec un nœud. J’avais pris soin d’appliquer une huile dorée sur mon corps, j’appliquais quelques paillettes dorées que j’aimais utiliser lors de mes effeuillages, et pour parfaire le tout des notes parfumées rappelant l’ambiance des jardins italiens où la fleur d’orangers et des citronniers nous exalter. Escale à Portifino. Un parfum qui porte bien son nom.. Je prie alors mon papier à lettre. J’aime écrire avec ma plume. Cher Monsieur, Je vous attend à l’étage. Je dois faire preuve de repentance. J’espère que Monsieur saura m’absoudre de mes pensées pour me remettre sur le bon chemin. Bien à vous. Mademoiselle Lane J'avais placé le mot à la porte d'entrée. J’entendis sa voiture se garer, je vérifier que tout était parfait. C’est alors que je m’installais sur le prie-Dieu que j’avais acheté dans cette petite brocante. Je l’avais mis juste face au miroir. Je m’étais agenouillée, prenant bien le soin de placer mon deshabillé, mes cheveux et ma position pour en faire un tableau. Dans mes mains, ce petit chapelet se frayant un chemin parmi mes doigts pour m’enchainer sur le chemin de ma repentance. J’entendis ses pas monter les escaliers. Mon cœur battait si fort. Je baissais ma tête. Il avait ouvert la porte. Je ne bougeais pas. Il régnait une atmosphère presque irréelle. En musique de fond, Vivaldi. Staber Mater. C’est là que je le sentis face à moi. Je ne bougeais pas. Je sentis alors ses doigts effleurer ma joie, une si douce caresse. Je me laissais aller à la poser contre eux. Puis il rapprocha sa main vers ma bouche. Je la baisais naturellement pour lui montrer ma reconnaissance, ma passion et ma dévotion. - Vous m’appelez Monseigneur, ce soir. Ainsi, vous semblez prise dans des prières qui semblent bien vous tourmenter ma chère. Que vous arrive-t-il bel enfant ? - C’est que.. je.. je laissais échapper un soupir hésitant.. c’est que voyons-vous Monseigneur, depuis notre dernière entrevue, je ne cesse d’avoir des pensées charnelles. Je pense à vous, à vos mains sur mon corps. Tout mon être vous réclame. Je ne peux lutter Monseigneur. - Je vois. Quelle pécheresse vous êtes. Une femme si pure que vous, pêcher dans la luxure. Nous allons travailler à votre vertue afin de vous rendre la plus parfaite des servantes. Rougissante car je voulais que cela, je ne bougeais toujours pas. C’est là qu’il caressa mes cheveux. - Veuillez mettre à nue votre dos et restez agenouiller tout en pensant à votre repentance. - Oui, Monseigneur. Je laissais tomber la soie sur mes fesses. Avec douceur, il mis mes cheveux sur le coté. Doucement, il se dirigea vers mon armoire à secrets. - Il vous faut expier ma chère. Je pense que 10 coups de fouet sur votre dos vous feront le plus grand bien. Vous allez les compter et je veux que vous réclamiez le suivant avec gratitude. - Oui.. Monseigneur. Je sentis alors le premier coup .. - 1 – Monseigneur. Je vous remercie.. Continer à me flageller comme je le mérite. - 2 – Merci Monseigneur, encore je vous prie… - 3 – Mon souffle s’est retenu, il avait frappé fort.. Merci Monseigneur.. je vous.. en prie… encore - 4… pour aller jusqu’à 10… IL ne disait aucun mot. Quand sa main vint sur mon dos pour me cajoler j’oubliais tout. - Redressez-vous je vous prie. Et otez moi de tout ce superflu. Tenez vous bien droite, soyez fièrement dressée. Les bras derrière votre tête. Il s’était emparé des pinces à sein. Je ressentis cette douleur excitante. - J’aime quand vous êtes ainsi, sur le point de rupture ma chère. Il est tant de vous réchauffer. Il avait allumé une bougie. Il la passa devant mes yeux. - Pas un bruit, pas un mot. Prenez votre chaine qui rattache vos seins dans la bouche. - Je vous prie de bien relever votre tête pour tirer au mieux votre chaine, sinon je me chargerai de tirer dessus moi-même. Je vis la cire de la bougie couler sur mon sein droit.. Une première goute, juste pour prendre la température.. Puis une seconde, une troisième. Il la rapprochait. Je sentais cette chaleur, cette sensation de brulure qui laissait place à cette parure éphémère. - Voilà une belle œuvre ma chère. Sentez vous la chaleur de ce désir ?. Je suis certain que votre con est en émoi. Une créature comme vous ne peut se contenir. Il vérifia l’état de mon excitation. - Hum, je n’ai même pas à y mettre mes doigts que vous êtes déjà dégoulinante Mademoiselle. Laissez tomber votre chaine de votre bouche. Il s’en empara et tira vers lui. Je sortis un cri vif. - Chut.. Pecheresse ! vous méritez tout cela. Levez vous. Il m’empoigna par les cheveux et me mit face au miroir. - Regardez vous ? Que voyez-vous ? - Je… - Alors que voyez-vous ? - Je vois une femme incapable de se contenir Monseigneur. Une femme qui a des pensées bien peu chastes. - Hum.. en effet c’est bien le cas. Quand on voit tous ces atouts. Ces seins, ses fesses ( il me les malaxait), cette bouche, vous êtes fait pour cela. Vous êtes un succube. Allez assumez ce que vous êtes.. Une chienne lubrique. Je le regardais à travers le miroir avec un sourire pervers. - Oui Monseigneur, je suis une chienne lubrique. Votre chienne lubrique. - Allez venez. Il me poussa sans ménagement vers les portes vêtements. Il prit ma main droite et l’attacha au premier puis ma main gauche au second. - Voilà. On a va calmer vos ardeurs. Quelques coups de badine, et un moment pour réfléchir à votre condition, à ce que vous voulez. Je pense que cette soirée va vous laisser les marques de mon affection. Vous me comblez par votre imagination ma chère. Toutefois, vous en payez les conséquences. Je sentais chaque coup de badine sur mon postérieur. Je ne pouvais m’y soustraire. IL m’avait parfaitement bien attaché. - Voilà qui est mieux ce rouge à vos fesses. Je vois que vous m’avez préparé mon verre à Whisky… Parfait. Je vais vous plugger le cul, vous muselez.. et je m’occuperai peut être de vous après. Après tout, la patience est une vertue, ma douce pecheresse.. Il sortit de sa veste un écrin. - Voici votre nouveau chapelet.. Il s’agissait d’un rosebud certi d’une pierre rouge. Votre fion sera le meilleur des écrins. - Ouvrez votre bouche ma chère. Bien sur je n’aspirais qu’ à cela.. Elle était déjà ouverte comme pour laisser échapper mon désir. Il s’amusa à me faire entrer et sortir dans ma bouche. - Je vois que votre vertue est complètement perdue ma chère. - Baissez votre tête !. C’est alors qu’il se leva et quitta la pièce. Il était allé prendre une douche. Quand il pénétra dans la chambre, j’avais envie de sentir la chaleur de ses mains sur moi. La chair de poule s’était emparée de moi. Il me détacha m’attacha les poignets, puis me tira à lui. Il me chuchota à l’oreille. - Sers moi un verre de Whisky comme j’aime. - Oui Monsieur. Les mains attachés, tout était moins simples. Il s’était assis sur le fauteuil à regarder, à m’observer, à me déshabiller du regard même si j’étais nue. J’aimais le regarder droit dans les yeux. Son sourire en coin, son sourire pouvait en une fraction de seconde laissée place à cette intransigeance où aucune de mes suppliques pouvaient lui faire entendre raison. Je m’avançais vers lui, puis naturellement je prie ma place devant lui. Il avait pris soin de placer un cousin pour mes genoux. Je m’agenouillais, tenant le verre entre mes mains, comme si c’était une offrande. - Baissez les yeux ! Ne me regardez pas et tenez donc le verre plus haut ! - Oui.. Monseigneur. Il tenait son verre tout en le reposant sur l’accoudoir. - Pour se repentir, il faut savoir se courber ma chère. - Allez, prosternez vous ! Je me mis à ses pieds ainsi, fière de toute son attention, d’être à ma place, le centre de son attention. - Léchez et baisez mes pieds. Je veux sentir votre langue de chienne me servir comme il se doit. Je me rapprochais de lui, de ses pieds.. Je sortis ma langue et je commençais la tâche que Monseigneur m’avait demandé. Après tout, lé vénération fait partie du chemin de la repentance non ?. J’aime me sentir à ses pieds, ainsi, Une fois qu’il eut satisfaction il me releva pour me prendre dans ses bras. J’aimais m’abandonner ainsi. J’aimais la liberté de lui donner son pouvoir sur moi. Ce lâcher prise qui faisait que notre relation était si forte si complice. Toujours assis, moi agenouillée, il me caressait le dos, les cheveux comme on caresserait une brave chienne. - Retournez donc à vos prières maintenant. J’allais me réinstaller sur le prie-Dieu. Je crois que je n’ai jamais été autant agenouillée que ce soir là. - Gardez bien votre bouche ouverte pour recevoir votre pénitance . Il s’était mis face à moi. Je voyais son sexe dressé prendre la direction de ma bouche. J’aimais me délecter de sa queue. La lécher, la prendre totalement ou juste m’occuper du bout de son gland. IL me laissait prendre parfois le contrôle mais cela ne durait jamais bien longtemps. Il rentrai sa queue bien au fond, mis sa main sous ma gorge. Puis de l’autre me maintenant par la tête. Je ne pouvais plus bouger. J’étais presque sur le point de vouloir vomir. Il était rentré dans cette frénésie où ma bouche était à son service, et utilisée comme ma chatte ou mon cul. Pour mieux me prendre avec profondeur, il me tenait par la tête et y mis un rythme si infernal que je bavais avec une telle difficulté à respirer. J’étais abasourdie. - Tu vois ce qu’on fait aux petites pécheresses sans vertus. Je vais te montrer comment on se met dans le droit chemin. Toute une éducation pour satisfaire son Maitre. La catin de son Maitre. Regarde toi.. en train de baver à manger cette queue. Gourmande en plus.. encore un pêché de plus ! Paresseuse aussi, car je fais tout le travail ! Puis dans une certaine frénésie, il me leva. Déplaça le prie dieu et me remit en position. .Il mit sa queue dans ma chatte bien baveuse de mouille, le rosebud toujours en place. - Je veux que tu me regardes à chaque coup que je t’offre. Que tu me supplies, de t’en donner davantage. Que tu me dises ce que tu es. - Monseigneur. Je vous en supplie. Baisez moi bien fortement comme je le mérite. Je veux vous sentir me remplir complètement. - Continue ! J’entendais ses couilles claquées. C’était violent intense. Il me claquait les fesses, me forçant à bouger mon petit cul comme pour le rendre encore plus fou. - Allez remue mieux ton cul que ça ! Cherche ma queue, implore… - En même temps il mis ses bras autours de mon cou me cambra. - Tu es ma chienne, ma pute. - Oui, Monsieur, je suis votre chienne, votre putain. J’aime que vous m’utilisiez comme bon vous semble. J’aime être à vos pieds. Mon cul, ma chatte et ma bouche ainsi que mon âme vous sont dévoués. - Fermez là maintenant ! On se regardait à travers le miroir. - Quelle petite vicieuse si innocente. J’espère que votre repentance est à la hauteur de vos attentes, mais je crois qu’il vous faudrait bien d’autres séances. Il m’avait prise avec une telle frénésie.. il avait joui fortement. - Ce soir tu dormiras attacher contre moi. Je songe même à t’attacher jambes écartées prête à subir tous les assauts. Il me releva et me jeta sur le dos sur le lit. Il leva alors mes deux jambes pour avoir accès à mes fesses et me put s’empêcher de me corriger. D’un coup sec, il m’écarta les jambes. - Ne bouge pas ! Il commença à passer ses doigts sur mon petit clitoris qui était bien sensible. - Hum tes lèvres sont si enflées. Hum mes doigts y rentrent comme dans beurre. Il commença alors à placer sa langue sur mon sexe. Je defaillais par cette délicate attention. Quand il entamait cette danse avec sa langue si légère et ses doigts bien épais au plus profond de moi.. bien profondément. Je ne pouvais m’empecher de me dandiner comme la bonne petite putain que je suis. A prendre cette jouissance qu’il m’offrait. Il me maintenait maintenant fermement les jambes. Je sentais la jouissance me gagner tout doucement. - Monsieur, je vais jouir, c’est si.. - Prends tout le plaisir que tu mérites. La vague qui arriva me submergea d’une telle intensité, d’un telle bonheur. J’étais épuisée. Au bout de quelques secondes, je sentis les larmes monter, les traces de mon plaisir coulaient de partout.. Il m’avait choyé en me bordant puis se coucha contre moi. J’étais aux anges contre celui qui provoquait ce désir si intense.
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Par : le 14/02/21
Le froid glacial de ces derniers jours inspirait une envie de cocooning. Malgré la situation actuelle où je ne me sens pas vivre, ce soleil hivernal apporte malgré tout un peu de gaité. Ma journée de fin de semaine était des plus douces. - Ce soir, j’aimerai bien regardé un film ça te tente, lui demandais je ? - Humm oui, je te laisse choisir ce qui te plait me répondit il en m’embrassant tendrement le front, tout en se levant pour aller à la cuisine. Mon choix s’était porté sur un vieux film romantique, ce besoin de douceur, d’amour « Orgueil et Préjugés. J’aimais énormément ces films se déroulant dans une époque passée de la fin du XVIIIeme siècle. Il y règne toujours une atmosphère particulière dans des lieux souvent sublimes, sans parler des costumes. Nous étions installés confortablement dans le canapé. Je portais ma petite robe noire avec des collants noirs sur lesquels j’avais remis des chaussettes hautes dont une était ornés par une rose rouge. Une ambiance tamisée comme à notre habitude. Nous avions juste le temps de savourer l’instant présent. J’étais allée chercher des plaids et quelques oreillers pour être bien confortable. Au départ, lui était assis sur le canapé, moi, la tête posée sur ses jambes. Tendrement blottie contre lui. J’aimais caresser sa cuisse à travers son jean. Elles étaient fortes, musclées. Je sentais sa main parcourir mes cheveux, caresser mon front, mon visage. Je fondais littéralement quand il caressait ma nuque, mes épaules. Le film avait commencé. Je me réjouissais tant de le regarder avec lui. Nous avions l’art, surtout en matière de films de ne pas avoir des goûts similaires. Je savourais donc ce moment. Comme à son habitude, il ne semblait pas très concentré sur le film. Au bout d’une vingtaine de minute, il se levait déjà pour aller se faire un cacher. Un lion en cage. Quand il revint s’asseoir au niveau de mes pieds, il prit le temps de savourer son café. Par moment il posait sa main gauche caressante sur mes chevilles. Quand il reposa la tasse sur la table basse, il saisit mes pieds pour les mettre sur ses cuisses. Il me jeta un regard bienveillant et un sourire qui me faisait fondre. - Regarde le film ma chérie. Je savais que ce genre de film n’était pas son genre. Il le regardait pour me faire plaisir. Ses mains étaient divines quand il me massait les pieds. Je sentais la force de ses doigts vigoureux faire des pressions me déconcentrant de mon film tellement c’était bon. - Regarde ton film dit-il en me taquinant. - Hum c’est si bon … - Alors raison de plus, détends toi et profite. Que dire j’étais aux anges ! J’étais complètement détendue. Il s’allongea alors contre moi, dans mon dos passant un bras sous mon cou. Il mit son bras autours de ma taille et se lova contre moi. Il était si tendre, si tactile aussi. - Hum ton odeur ma chérie. Je sentais sa respiration se calmer. Le film continuait et je sentais qu’il l’ennuyait.. Je n’osais plus bouger, il s’était endormi. J’aimais le sentir ainsi mais j’étais à la fois vexée car il s’était une fois de plus endormi.. Lorsque je sentis sa main m’enlacer, et sa bouche parcourir mon cou pour m’embrasser, je compris que son réveil après probablement provoqué en lui une certaine excitation. Je sentais son bassin bouger contre moi. - HUmmm.. tu sens comment elle est dure, me murmura-il ? - Humm.. je.. - Chut, regarde ton film ma chérie… Il plaqua mes fesses contre lui avec ses mains. Je sentis alors mon sexe se contracter. Posant sa main sur ma gorge, il m’embrassait encore et encore.. - Hummmm - Regarde ton film… dit il en souriant. Tout en caressant mon visage, il engouffra son pouce dans mon bouche. Avec dévotion, je le suçais. J’aimais ses doigts, les lécher, les avoir en moi quelque soit mes orifices. Le sentir ainsi me rendait docile, hypnotisée par ses caresses. Je tournais alors la tête vers lui. - Regarde ton film me dit il… Il remontait de sa main savante ma robe. Avec douceur, il descendait mon collant sur mes cuisses, puis ma culotte. - HUmmmm disais-je en me dandinant. - - Regarde ton film ! J’ondulais mon corps contre lui. Il me provoquait. Il faisait mon excitation pour me déconcentrer de mon film. Il y parvenait. Sa main était revenue sur mon visage. Avec le revers, il caressait ma joue, tout en venant se blottir contre moi. Quelle frustration m’avait-il provoquée ! Je continuais à me déhancher pour lui faire comprendre mon état… - Regarde ton film me taquinait-il. - Je.. Il appuya sur ma joue pour me forcer à ne plus bouger ma tête et regarder la télé. Il ne bougeait pas durant plusieurs minutes pour m’observer. Je le sentais satisfait de savoir dans quel état il m’avait mis. Lorsque je sentis ses lèvres dans mon cou, j’avais bien évidement rendu les armes. Sa main conquérante, il s’aventura vers mes seins. Quand cette dernière se fraya un chemin sous mon soutien gorge il commença à le tenir bien fermement, me laissant échapper un cri. - Tais-toi, je ne veux rien entendre, regarde ton film ma chérie. Avec dextérité et perversité, il s’amusait avec mes seins. Il les malaxait avec rudesses, alternant avec des caresses. Quand il s’attardait sur mes tétons, il les pinçais entre ses doigts comme dans un étaux ou les étirant, il testait ma capacité à résister à la douleur et à tenir son ordre, celui de ne pas faire de bruit. - Hum c’est bien ma petite chérie… c’est bien…. Murmura-t-il avant de continuer.. J’étais complètement excitée. Je sentais mon sexe humide, appelant ses caresses, ses doigts, sa bouche, son sexe.. Je me déhanchais de plus en plus. Frustrée. Sa main placée sous mon cou parvenait jusqu’à ma bouche. IL l’emprisonna. Avec son autre main, il descendit vers mon sexe. Il empoigna ma hanche. - Humm c’est ça que tu veux, n’est ce pas ? Je hôchais la tête pour lui répondre un oui. - Continue de regarder ton film. IL prit de pleine main mon sexe pour le pincer, me faire comprendre qu’il était à lui. - Si chaude…. Je voulais tourner ma tête contre lui, mais il me tenait bien immobilisée avec sa main sur ma bouche. Il me lécha le cou en m’agrippant un sein. Et ne tenant plus la seconde d’après, il enfouit sa main dans mon entrejambe. - Hummmmmmmmmmmmmmmmmmm JE ne tenais plus. Il me libérait de cette tension qu’il avait crée. - Ma petite chienne… - Hummm Je sentais ses doigts savants caresser mon clitoris. - Regarde ton film… m’ordonna t’il. - C’était ce que tu voulais non ? Je sentais ses doigts me masturber. - Je vais te faire jouir me susurra -t-il. - J’aime te sentir chaude, et te mouvoir sous mes doigts. Je vais donc te faire jouir. Pas un mot, regarde ton film… Sentir la pression de sa main sur ma bouche m’excitait terriblement. SA voix tout autant. Je me sentais à sa merci. - C’est ça.. Jouis ma chérie, jouis… Je sentais cette vague m’emparer. - Humm oui, ouii répéta—il. Il relâcha la pression de sa main sur ma bouche. Je me retournais contre lui. Il m’embrassa avec une telle tendresse. J’avais encore plus envie de me lover contre lui. Sans force, je savourais ce moment. Le film se terminait.. - Humm tu m’as vidée mon chéri. QU’est ce que tu veux faire ? - Tu veux regarder un autre film ? - Humm, oui pourquoi pas, mais cette fois je te laisse choisir. - Tu ne me le diras pas deux fois. - Bon repose toi, je reviens me dit il. Il était partis dans le sous-sol. Je me demandais ce qu’il était parti faire. Ma jouissance avait été des plus délicieuse. Je me sentais embarquée dans cet état de bien être, je m’emdormais. C’est le bruit qu’il faisait avec la télé qui me réveilla. - Hum que fais tu ? - Repose toi encore un peu. - Mais qu’est ce qui tu as ramené ? lui demandais-je ? Je compris à cet instant ce qui allait se passer. Il se retourna tout en me jetant un regard plein de perversité et de désir. Il avait bougé la table basse. Il y avait installé un objet qu’il n’avait pas sorti depuis quelques temps. - Deshabille- toi. Tu sais comment te placer ? Je le regardais avec un regard de défiance. Que mijotait-il. - Je croyais que nous allions regarder un film ? - Mais nous allons en regarder un. Juste que je te veux à ta place … Je me levais oubliant que j’étais déjà à moitié déshabillée. Il s’était rapproché de moi. Nue, il s’était positionné dans mon dos. Il avait pris mes seins dans ses mains. Ma main s’aventura dans ses cheveux. Il la saisit et la mis dans mon dos. - Allez à ta place ! Il me força alors à m’agenouiller, que je sois à quatre pattes. - C’est bien, maintenant, place bien ta tête. Il avait sorti un objet en fer dans lequel il pouvait me maintenir attachée par les poignets dans des entraves en fer et des barres d’écartements afin que je sois complètement immobilisée. Au niveau du cou, la même chose, une entrave qui se refermait sur ma nuque. Il la refermait avec un cadenas. Il se mis face à fois. Il caressa mon visage et plongea son regard dans le mien. Il saisit mes cheveux et les attacha avec un élastique. Avec une corde, il fixa ma queue de cheval à l’entrave de mon cou, me força à rester ainsi, à regarder la télé. - Tu sais ma chérie, tu es le meilleur des films. J’aime t’observer, t’écouter, de posséder.. Il s’était relevé. Soudain je compris en regardant la télé quand je vis mon image. - Tu m’as bien dit que je pouvais regarder ce qui me faisait plaisir ? Il s’était agenouillé au niveau de ma taille. Il commençait par caresser mon dos. Il saisit sur la table basse l’huile qu’il avait ramené. Avec douceur, il commençait à m’enduire d’huile. Je sentais mes muscles se détendre sous la pression de ses main. - Hummmmmm. - Regarde le film m’ordonna t il. Je me voyais à la télé. Je détestais mon image et il le savait. Il se releva pour ensuite se placer au dessus de mon dos et s’assit sur mes fesses, sans y mettre tout son poids. -Humm ces petites mamelles… Une fois de plus ils les cajolaient, les malaxaient.. je crois que je vais les agrémenter de belles petites pinces. Qu’en penses- tu ? -humm non…. - Non ? d’accord avec je vais les aspirer pour faire dresser ces tétons.. Il saisit les aspires tétons pour les fixer. - Ahhhhhhhhh - Voilà… regarde toi ! humm ma petite chienne dit il en embrassant ma tete. Je ne pouvais bouger, rien faire, attachée et à sa merci. Il continua ensuite de m’enduire d’huile. - Voilà tu scintilles de partout ma petite étoile… maintenant on va regarder le meilleur des films. - Je vais me chercher de quoi boire un bon verre. NE t’inquiete pas, je ne vais pas t’oublier. En revenant il posa son verre sur ma croupe. Il avait rapporter des glaçons aussi. Je le regardais à la télé observer ce qu’il allait me faire. Il prit un glaçon. Il le plaça sur le haut de mon dos et le laissa descendre jusqu’à mon entrefesse. - Ahhhhhhhhh - Tout doux.. je sens le feu en toi… Quand je sentis qu’il inséra le glaçon dans ma chatte, je trésaillis. Il saisit le plug gonflable. Il me caressa avec pour ensuite le mettre à l’orée de mon petit trou. - Regarde toi pendant que je vais travailler ton petit trou ma chienne. Je le voyais regarder la télé pour jauger de ma réaction. - C’est ça… voilà, doucement… c’est bon, regarde ça rentre bien… Je sentais mon petit trou céder et encercler le plug. Il s’assit alors sur le canapé, tenant en moi la pompe. Il donna une première pression. Puis avec son autre main, il tenait son verre. - Tu aimes ma chienne ? - Je… Je lui en voulais de m’avoir emprisonnée ainsi. - Ne t’inquiète pas, on effacera le film si tu ne veux pas le garder. Au lieu de regarder des pornos, tu pourras te regarder en train de faire baiser. Il donna une nouvelle pression au plug. - Donc, tu aimes ma chienne ? - Je.. Oui, Monsieur.. Et une troisième fois… - Je sens que tu vas être bien dilatée. Je crois que je vais m’amuser avec chacun de tes trous. Tu veux voir ? Il prit alors la caméra et fit un gros plan obscène sur mon intimité. - Regarde maintenant deux doigts dans ta chatte. Il faisait des vas et viens. Je voyais la mouille enduire ses doigts puis ces derniers disparaitre. - Tu sais j’adore te fouiller la chatte au plus profond.. comme ça. Il me baisait avec ses doigts en les maintenant bien au fond. Je le sentais frénétique à ce moment là. - HUmmmmmmmmm, hummmmmmm - Encore un ? - Ouiiiiiiiiiiiii - Regarde, je t’en mets un troisième, regarde toi ! regarde comme ta chatte en redemande. Comme elle s’élargit comme ton petit fion. Je sentis avec trois doigts dans ma chatte me dilater… Il sortit ses doigts pour me les montrer. - Regarde toute cette mouille ma chérie. Il donna encore une pression sur la pompe. Il revint à ma hauteur. - Et encore une aspiration pour tes mamelles.. - Ahhhhhhhhh. Il me filmait tout en regardant son œuvre. - Hum regarde tes tétons comment ils sont agrandis. Je râlais. - Quoi tu n’es pas contente ? JE m’occupe de toi ma chérie. TU es mon héroïne. - Montre moi combien tu es une belle chienne dont je peux être fière. Il défit son pantalon. Il sortit son sexe et le mis devant mon visage. Il me filmait. - Allez sors ta petite langue. Il tenait sa queue de son autre main. - Tu la veux ? n’est ce pas. Il me forçait à sortir la langue, à me voir quémander. A jouer avec moi. - C’est bon tu l’as bien mérité. Il engouffra sa queue dans ma bouche. - C’est ça.. suce la bien…hummmmmmmmmmmmmmmmm Je ne pouvais bouger. Il s’en amusait bien. - Quelle suceuse tu veux. Je sentais sa queue grandissante. - C’est ça, garde la bien. Je voulais me défaire de cette étreinte mais impossible. - Ouvre tes yeux. Regarde la caméra… Je veux te voir pendant que tu bouffes ma queue. Hummmmmmmmmmm putain qu’est ce que t’es bonne. Il était comme un enfant qui s’amusait avec un nouveau jouet. - Tu me rends fou ! Quand il s’arracha de l’etreinte de ma bouche, il replaça la caméra face à moi pour que je ne rate pas une miette de ce qu’il préparait. - Que préfères tu ? Badine ? Cravache ? paddle ? Fouet ? ou tout cela.. - Pas la badine, je t’en prie. - Oh pas la badine je t’en prie.. Bon vu la pipe que tu viens de me faire, je vais te récompenser. Ce sera le fouet . - Je ne veux pas t’entendre ! compris ! - Oui.. Monsieur. - Tant cul va doit être bien dilaté maintenant. Il retira mon plug. - Regarde toi, Hum cette empreinte de ton cul ouvert, appelle à tous les vices ma cherie, dit il en me mordant la fesse. Prête maintenant ! - Oui.. Monsieur. Je le voyais s’amuser à jouer avec le martinet. Il fit claquer le martinet dans le vide. Le son avait l’air d’éveiller les tensions. Quand je sentis la morsure des lanières sur mon dos, je savais qu’il savait ce qu’il faisait. - Ahhhhhhhhh - Regarde le film m’ordonna t il. Je le voyais regarder chacune de mes réactions. Il s’attarda à fouetter ma plante de pied. Je ne pouvais toujours rien faire. Il aimait me séquestrer. Il se mit derrière moi après m’avoir travaillé au corps. Quand je sentis les lanières sur mon entrejambe je ne pue m’empêcher de vouloir me dédouaner. - Tu as le choix. Soit c’est le sexe et ton cul ou alors je te marque des fesses. Choisis. - Je… le sexe et mon cul Monsieur. - Alors pourquoi tu chouines à ce que je vais te faire pour ensuite me le demander. Je me retenais de lui répondre. Je sentais le feu dans mon entrejambe. Quand il stoppa, la morsure des lanières avait laissé place à la douceur de ses lèvres. Il avait écarté mes fesses pour me lécher avec obscénité. - Si tu voyais des orifices.. hum je m’en délecte de ton nectar ma chérie. Il était à quatre pattes derrière moi, tenant fermement mes fesses pour garder un accès facile à mes trous. Il me donna des coups de langues bien intense. -Hummmmmmm gémissais-je. - Hummmm, encore Monsieur, Encore.. Il se releva et repris la caméra en main. Il la fixa au petit trépier. - Regarde, une vue imprenable. Tu vas enfin pouvoir voir comment ton fion et ta chatte se dilate avec mes doigts et ma queue. Il commença par introduire ses doigts dans ma chatte. - Hummm. Je pinçais mes lèvres.. une fois de plus. Puis il placa deux doigts dans mon cul. - C’est bon ma petite chienne. - Oui Monsieur, c’est bon. - QU’est ce qui est bon ? - d’avoir des doigts dans ma chatte et dans mon cul, Monsieur. - En veux tu plus ? -Oh oui Monsieur… encore.. - Bonne petite chienne… Il inséra alors des doigts dans ma chatte. Quatre doigts dans ta chatte, trois dans ton cul. -humm merci Monsieur. Il s’amusa à m’écarter, alternant soit l’un soit l’autre… Ca me rendait folle. Il retira avec ses doigts de ma chatte pour s’attarder sur mon clitoris. hummm ouiiiiiiiiiiiiiiiiii - Et voilà quatre doigts dans ton cul. Tu commences à être bien dilater ma chérie… JE crois que le travail de deux queues dans tes orifices ou la main de Séléna ont fait un bon travail. - Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Il prit alors sa queue et la mit dans ma chatte. Avec une certaine difficulté. - Ohh, elle a du mal mais regarde ça rentre. Il commençait à me prendre avec délicatesse tout en tenant fermement mon cul. - Ahhhhhhhhhhhh ta chatte ma chienne… J’aime, je pourrais prendre me masturber à travers ton petit cul. Il sortit ses doigts de mon petit cul. Il saisit alors mes hanches. ohhhhhhhh, ohhhhhhhhhhhhhhhhh, ohhhhhhhhhhhhh Sa frénésie n’avait pas de limite - Regarde le film ! regarde toi en train de te faire prendre ma chienne. Je voyais son regard intransigeant. Il mattait mes fesses. Il mit à nouveau un pouce dans mon cul. Il claquait mes fesses. Il me pinait la chatte, la bourrais profondément, et me labourait littéralement. - Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhh, Hurlait-il. JE sentais ses gouttes de sueur atterrir sur mes salières de Vénus. Il se releva et claqua mes fesses. - Bonne chienne. Dis moi que tu es une bonne chienne. - Oui, je suis une bonne chienne, votre bonne chienne Monsieur. J’aimais quand vous me tringler ainsi. Debout au dessus de moi à hauteur de ma croupe, il écartait mes fesses. Son ménagement, il s’introduit dans mon cul. - Regarde moi comme il est béant. Il prie la caméra en main et fit un gros plan sur mon anatomie. - Regarde comme tu es bien ouverte. Regarde comme ma queue rentre, ressort, rentre ressort.. ma petite chienne. - ohhhhhhhhhhh - regarde le film !! regarde comme je te baise le cul. Tu aimes ? - oui, avouai-je. - Plus fort. - Ouiiiiiii, j’aime Monsieur que vous me baisiez. Il reposa alors la caméra tout en gardant le plan sur mon cul. Je le voyais me prendre. Je voyais son dévouement, son déchainement à me posséder. -Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh A la manière dont il me baisait, je savais quand sa jouissance était proche. - Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, bonne videuse de couille me dit il en claquant mes fesses. Il repris la caméra en main. IL partit s’asseoir. Il fit un zoom sur mon entrejambe Regarde toi, regarde toi souiller par mon sperme qui coule de ton petit trou bien dilaté.. - Ma belle chienne…. Il se releva et se mit face à moi. - Je n’en ai pas fini avec toi pour ce soir. Je vais encore te prendre.. En attendant, je vais te mettre ce petit crochet anal histoire que tu restes bien en état … -
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Par : le 30/09/20
Désolée pour les éventuelles fautes, j'étais en train de prendre la pose. Après de longs mois de silence, je reprends timidement la plume avec cette envie de douceur. L'excitation aura eu raison de moi, en prenant une autre direction.. mais reprendre l'écriture après ces épreuves me font du bien. Pour information : photo personnelle. Voici les musiques sur lesquelles j'ai écrit : Levon Minassian - Bab'aziz The Cinematic Orchestra - Arrival of The Birds & Transformation ************************************************************************** L’automne commençait à s’installer. Le brouillard r endait le paysage comme les toiles impressionnistes où l’on distingue à peine les formes dans le flou des rayons du soleil le transperçant. La température était fraiche, les couleurs chaudes. Les paysages de la forêt noire sont si sublimes à cette période. Il m’avait convié à une promenade près de Baden Baden où Brahms avait ses habitudes. A l’aube du printemps, les rhododindrons flamboient mais là, en arrivant c’est le feu que je vis. Il était là devant moi. Son élégance naturelle et ce sourire qu’il avait eu en me voyant arrivé. - Vous êtes en retard ma chère. Je souris.. - Oui en effet je le suis mais il parait que c’est ainsi qu’on se fait désirer. Je vous prie tout de même de me pardonner. - Vous n’êtes pas pardonné me dit il, mais vous êtes resplendissante. J’avais envie de vous faire découvrir ce lieu que j’affectionne particulièrement. Le parc donnait sur une vieille maison, nous marchions à travers des arbres sublimes. Je m’amusais à jouer des feuilles tout en marchant à ses côtés. J’aimais sentir son bras autours de mes épaules. C’était d’un si doux réconfort, une forme de protection. Nos pas étaient lent. J’aimais poser ma tete contre lui. Me laisser porter tout simplement, me laisser guider. Ce parc était comme un labyrinthe avec ses terrasses. On devinait les statues qui nous accompagnaient, immobiles tout le long de cette escapade. Je voyais qu’il les regardait avec attention. Il s’agissait de statues de femmes. Elles représentaient pour moi la femme dans toute sa splendeur et ses imperfections. Une peau lisse mais des formes généreuses. La nudité est presque voilée par la beauté de la pierre. Je l’observais, son regard était plongé sur cette statue. J’en étais presque jalouse. Il la caressait tant de ses yeux. - Regardez combien elle est magnifique. Ses seins qui se tiennent ainsi, cette peau blanche qui ne demande qu’à vivre. On dirait qu’elle va presque bouger. Je l’observais lui puis je vis sa main commencée à caresser la statue. Il commença par toucher sa cuisse avec sa main gantée. Puis d’un geste si sensuel il ôta son gant en me regardant droit dans les yeux. Il lâcha ma main et se rapprocha davantage de cette femme au cœur de pierre. Il la toucha avec tant de désir pour ôter doucement les feuilles qui avaient décidées de l’habiller. - Regardez comme elle est belle, douce.. ses seins sont si beaux. Ils tiennent dans ma main, ils pointent. Je le voyais la déshabiller avec ce regard perçant le mien. J’avais la sensation qu’il me caressait moi… Je me sentais si désirée à cet instant précis. Je voulais qu’il me caresse moi. Il me torturait délicieusement. Ma poitrine se soulevait d’envie, mes lèvres s’entre-ouvraient. Ma gorge se séchait assoiffée par ce désir brulant, qui faisait mettre la rivière entre mes jambes. Je respirais fortement. Il me regardait et il la caressait avec une telle intensité. Il ne disait plus un seul mot. Je voyais ses doigts, sa main en prendre totalement possession. Il revint à mes côtés. Plus aucun son sortait de ma bouche si ce n’est des gémissements incontrôlés. Il me tenait avec fermeté par le cou pour me diriger. Il se montrait quelque peu froid et moi si suppliante qu’il s’occupe de moi comme il l’avait fait avec cette statue. Je me sentais si frustée. Et il le savait. Je devinais son sourire et son regard bienveillant. Pendant le reste de la promenade, nous parlions peu. Nous profitions juste du moment présent. Doucement nous nous retrouvions à la voiture. - Vous allez me suivre. Je hochais la tête pour lui signifier que je l’écoutais. Il empruntait des petites routes non loin de Baden Baden pour se retrouver dans une maison toute cosy dans un style des années 1900. J’étais saisi par la beauté des lieux mais à la fois la simplicité qu’il y régnait. Pour accepter à cette maison il fallait monter un escalier de pierre dont les marches sont arrondies sur les cotés. Je levais la tête pour l’admirer. Je me tenais par la rambarde en pierre si rugueuse. On devinait l’histoire ici. Il saisit ma main et m’attira à lui. J’aimais juste sentir le doux parfum qu’il dégageait. Je me sentais si bien à ce moment. Je m’en remettais à lui. Il ouvrit la porte en fer forgé. Je restais impressionnée par la surprise qu’il me préparait. Dans cette maison tout était cosy. Le sol avec ce carrelage ancien qui me rappelait celui de chez ma grand-mère. Je retombais presque en enfance. Les souvenirs défilaient. Je le regardais avec intensité. Il s’aventura devant moi dans une pièce où la cheminée ancienne imposait sa lumière. Le crépitement du feu était une si belle surprise. Depuis la promenade il avait cette distance, il me touchait très peu. - Otez moi tous vos vêtements. - Là ? comme ça ? - Est-ce un souci pour vous ? - Non.. je.. - Obéissez. Doucement je laissais tomber mes vêtements un à un. Je frémissais, je tremblais. Je me réchauffais en frottant mes mains contre mes bras. - Venez par ici. Il me conduisait alors dans la salle de bain. - Douchez vous je vous prie. Je vous inspecterai après. Il s’était assis sur le fauteuil bergère de la salle de bain. Elle était sublime, tout en noir et blanc. Il m’observait en train de me laver. - Lavez vous aussi les cheveux, je vous veux humide. Je terminais ma douche. Il vint vers moi avec une serviette. Il commença à sécher chacun des parties de mon corps sans aucun ménagement. - Ecartez vos jambes. Il passait la serviette sur mon cul et mon sexe. - Bien. Maintenant, montrez moi vos mains. Je lui tendais mes mains. Il les pris dans ses mains. - Otez moi ce vernis ! vous avez tout à votre disposition ici. JE cherchais alors dans la trousse de toilette le dissolvant ainsi que le coton. Je me demandais où il voulait en venir. - Faites également la même chose à vos orteils. J’obtempérai. - Maintenant mettez ce vernis blanc sur vos ongles. Vous avez 10 min. Il me laissa ainsi dans la salle de bain à me demander cet hideux vernis blanc. Que lui arrivait il ? - Avez-vous terminé me dit il ? - Oui. Monsieur. J’ai terminé. Il s’était assis à nouveau. - Montrez moi cela. - Parfait, vous l’avez très bien posé. - Tournez vous je vous prie et montrez moi votre cul . Je sentais le sang monter à mes joues. Je me tournais tout en me penchant. Je sentais alors sa main caresser mes fesses, ses doigts s’arrêter sur mon auréole puis passer sur ma petite chatte. - Déjà toute trempée… Il le savait parfaitement - J’apprécie, vous êtes totalement épilée de partout comme demandé. - Oui.. Monsieur.. - Suivez moi. Je m’apprêtais à me saisir du peignoir quand il m’ordonné - Non laissez ça là. Je suivais ses pas. La température n’était pas la même. La chair de poule me saisit. Juste à coté de la cheminée il y avait déposé au sol des draps sur lesquels il y avait une colonne de pierre blanche. C’est alors que je réalisais quel était son dessein. - Asseyez vous. Il avait disposé sur la table du maquillage blanc. De la peinture pour le corps. Il commença d’abord par saisir mon bras. Je sentais la fraicheur de la peinture sur mon corps. J’avais froid. Je tremblais. C’était mes nerfs, mon désir. Chaque fois il me surprenait par son imagination débordante Il tenait mon bras, je le vis doucement se faire blanc, puis se fut au tour de l’autre bras. Il ne manquait aucun détail. Le sculpteur éphémère. Doucement je me sentais comme cette statue au parc. Dans l’impossibilité de bouger. - Mettez vous à quatre pattes et écartez moi bien vos fesses. Je m’exécutais, à la fois pudique et provocatrice. Je sentais le pinceau passé sur mon cul. - Vous êtes le plus beau des marbres.. froide et si facile à travailler. J’aurai pu dire qu’il savait être aussi froid en apparence et si envoutant par son regard. Une fois qu’il avait peint toute les parties de mon corps, il commença son travail sur mon visage. Mon regard plongea un court instant dans le sien, puis naturellement je le baissais. C’est là qu’il peignit mes paupières, puis mes lèvres, les courbes de mon nez, mes oreilles… Il posa ses pinceaux et commença a me coiffer négligemment les cheveux en une sorte de queue de cheval. Et mes cheveux noirs se blanchissaient… Une fois son œuvre réaliser il me talqua tout le corps. - Levez vous. Voilà vous allez être la plus belle pièce sculptée. Des mains il me montra alors où je devais être exposée à sa vue. - Je ne veux plus que vous parliez, vous garderez les yeux fermés. Si je vous vois bouger, je le noterai, ne vous inquiétez pas. - Maintenant il faut que ma sculpture sache se tenir sur son piédestal. Vous allez vous empaler la - dessus. Je ne veux rien entendre, ni vous voir tressaillir compris. - Un long soupir s’échappa tout comme un oui à peine audible. Je sentais le gode froid s’humidifier au contact de ma nouille. Je plaçais mon auréole afin de pouvoir l’installer convenablement. J’y allais avec une certaine douceur. Il était si serré. Il m’observait en il n’en ratait pas une seule miette. - Maintenant, mettez vous dans la pose de votre choix. Toutefois je vous veux droite pour mettre en valeur vos magnifiques seins. Je m’inspirais alors d’une sculpture que j’avais vu au musée du Bargello à Florence, une statue de Giambologna, l’architecture. Cette position était soutenable, simple et noble. Je sentais dans mon dos la chaleur de l’être me réconforter. Je sentais aussi le vent de son passage. Je sais qu’il me regardait, m’observait. Je ne bougeais aucunement. Je sentais son souffle s’aventurer près de mon cou. - Ce qui vous rend trahie belle muse est le sang. Toutefois vous êtes terriblement envoutante, intemporelle. On pourrait vous exhiber à la vue de tous, comme ces statues au Louvre. Vous êtes mon œuvre d’art que je souhaite tant montrer mais que je garde cacher rien que pour moi. J’avais tant de mal à retenir mon souffle pour garder cette pose. J’étais sous son emprise ou plutôt l’emprise de mon désir. Il me rendait folle tellement tout était simple avec lui et à la fois si unique. Certain ou certaines ne pourraient pas comprendre, mais chaque moment passé ainsi nous lient davantage l’un à l’autre. Nous nous écoutons, nous sommes nous-mêmes complètement à nu. Pas de jugement, juste l’esthétisme, la beauté, le désir, le partage de l’ivresse de nos sens. Peu importe les jugements, l’essentiel est de vivre ce qui nous fait du bien. Et là, à ce moment là, je suis dans cette bulle enivrante. Le temps semble si long quand on ne bouge pas, mais il a a cœur de ne pas me laisser m’ennuyer. La musique. Son pouvoir apaisant, relaxant, exitant.. tout est une question d’humeur. Je sens alors sa main gantée de cuir commencer à me caresser. - Savez vous combien de fois j’ai eu envie de toucher une sculpture au musée de Louvre, de la posséder rien que pou moi, de la caresser. Il me survolait de ses mains, je le sentais à peine. Cela me faisait frissonner. Mon cœur palpitait. - Ne bougez pas ! vous êtes sur le point de succomber. Je vous interdis de succomber. Résister. - Sentez combien ma main vous désire. Elle effleure chaque parcelle de votre blanche peau. Il ota son gant comme il l’avait fait au parc. C’est alors que je ressentis l’érotisme poussé à son art. J’avais presque envie de pleurer par tant de sensualité. Il me caressait comme il l’avait caressé. Quand je sentis sa main passée sur mes seins, j’avais tellement envie d’hurler mon désir mais il battait dans mon cœur, intérieurement. Cette frustration terrible me rendait folle. Quand j’étais prête à être cueillie, je sentis alors ce courant d’air. Il me laissa ainsi. Je ne savais pas où il était, ce qu’il faisait. M’observait il ? s’amusait il de moi ? Je savais qu’il était toujours si bienveillant à mon égard et il savait comment me rendre pleine de désir. Le feu crépitait toujours, sa chaleur mêler à celle de mon désir rendait ma pose de plus en plus complexe. Je sentais mes muscles s’endolorirent. Le temps paraissait long. J’entendis alors un peu loin - Vous savoir empaler sur ce gode me ravit. Ne bougez pas, je ne vous l’ai pas permis. Je pestai intérieurement. - Je ne sais pas encore si je vais faire une exposition éphémère. Un nouveau concept. Qu’on vienne vous admirer, vous touchez. Vous seriez l’intriguante de cette soirée. C’est à méditer ne pensez vous pas ? - A c’est vrai, une statue ne parle pas. Je vous aime bien ainsi. Le temps ne s’écoulait plus. Je le comptais pour être libérée, qu’il revienne. Son ignorance était feinte et nous le savions tous les deux. Je le maudissais intérieurement. J’allais lui rendre la pareil dès que je pourrais. Lui rendre le désir qu’il me procure. Il est ma drogue. Je sentis alors ses lèvres se déposer sur mes lèvres. Je compris qu’il était temps d’ouvrir les yeux. Il les plongea dans les miens. J’étais presque aveuglé, sans repère. La tête qui tournait. - Ouvrez votre bouche. Restez ainsi. Ma bouche était si asséchée. Sentir la fraicheur de l’eau se frayer un chemin pour étancher ma soif. Je n’ai jamais été aussi heureuse que de boire de l’eau. Je buvais si fortement que je laissais l’eau perler sur le coté et tomber sur ma cuisse. - Je vous vous aider à vous relever. Tout était endolori. L’exercice imposé était si érotique mais si contraignant. Doucement je me levai, le dos douloureux. Le gode se retirait doucement de son antre. J’étais entre le désir, le plaisir et la douleur. Un sentiment si étrange. Il pouvait faire ce qu’il voulait. Je tombais alors dans ses bras telle une poupée. Il m’étreigna fortement. - Vous avez été sublime. Venez. Il avait pavé le sol de bougie qui m’indiquait le chemin. Il me guida aussi par ses bras protecteurs. J’étais fatiguée, ma tête se baladait presque. C’est là que je vis alors ce bain qu’il m’avait préparé. Je devinait alors la vapeur qui me faisait penser au brouillard du matin. Délicatement, il m’aida à entrer dans le bain. Nous ne disions mots. J’étais lasse. - Détendez-vous maintenant. Je vais m’occuper de vous. Doucement il mettait de l’eau sur ma peau avec cette petite cruche. C’était si bon . J’étais assise dans la baignoire. La tête sur les genoux. Je savourai ce moment de détente ultime. Je sentais la pulpe de ses doigts insister sur mon corps, il me massa, il me délassait, il me lavait. Quel moment d’abandon. Je voyais l’eau du bain devenir laiteuse, comme ma peau l’était. - Profite bien de ton bain. Je ne fais que commencer à m’occuper de toi. Je fermais les yeux et je sentais alors mes muscles se détendre. Quand l’eau commençait à se faire froide, il rajoutait un peu d’eau chaude. Il nous avait apporté un bon verre de vin. J’étais enivrée. Il commença par se déshabiller. J’aimais son corps avec ses cicatrices. A mon tour de l’observer. Il tendit alors sa main et me dit - Viens. Je sortis alors du bain. Il prit alors ma main et me poussa vers la douche à l’italienne faite de pierre noire. Il prit mes mains et les bloqua de pare et d’autre de ma tête contre la pierre. Je sentis alors la douche d’abattre sur mon dos. Il saisit alors mes seins et les malaxait. Il pris alors mes tétons et les pinça jusqu’à me faire crier. - Chut… tais toi ma belle statue. Il tira alors sur ma queue de cheval et ôta l’élastique. Il me retourna sauvagement pour s’emparer de ma bouche. Je répondais de plus belle à son assaut. J’aimais sentir sa main sur mon cou, prendre totalement possession de moi. J’aimais qu’il fasse de moi sa chose. Je l’autorisais à faire cela car nous en avions envie tous les deux. Je sentais son sexe se frayer un chemin pour atteindre mon cul. Je me cambrai. J’étais juste prête à être cueillie. Mon désir était si intense. - Baisez moi je vous en supplie.. baisez moi. Il me pris avec tant de vigueur. C’était passionnel. J’avais aussi envie de le mordre, de le griffer. Il me savait panthère. J’aimais qu’il me traite ainsi, tout comme j’aimais le fait qu’il soit aussi doux avec moi après. Il me sodomisait si fortement tout en me tenant bien dressé par le cou. Cet étranglement me faisait ressentir le fait que je lui appartenais et qu’il me possédait. Les coups de queue qu’il me donnait me rendait folle. Quand il s’arrêta il écarta mes jambes avec ses cuisses. Il fourra alors sa langue sur mon sexe. Il était accroupi. Il écartait bien mes fesses pour se délecter de ma mouille. J’avais tant de mal à me contenir. Sa langue me rendait folle surtout quand il me fouillait de plus belle. Puis il se releva. Ses doigts étaient insérés en moi. Il me doigta avec vigueur. Des vas et vient qui se faisait de plus en plus inquisiteurs. Je hurlais, mes jambes commençaient à trembler - Tais toi ! Je pincais alors mes lèvres. Je giclais. Cela se mélangeait à l’eau de la douche qui ruisselaient contre ma peau. Il me tenait fermement il n’en avait pas fini de me doigter. J’étais transie. Folle. C’est alors qu’il me tenait par les tétons et les pinça fermement. Il plongea son regard dans le mien. J’avais retrouvé ma peau diaphane. Il me prit alors dans ses bras. Nous sortions de la douche. Cette fois ci il me sécha avec une telle douceur et une telle tendresse. - Mets toi du rouge à lèvre rouge. Je m’exécutais. Emmitouflée dans mon peignoir blanc, je pris alors mon rouge à lèvre. Il me pris à nouveau la main et me dirigea vers une autre pièce. Je découvris alors une chambre avec un grand lit et à nouveau une cheminée. Quel bonheur. Comment avait il fait pour dénicher cette adresse. J’étais alors intriguée par l’instrument qu’il avait juste devant le lit. Des barres métalliques. - Va te reposer maintenant, tu en as besoin. Tu n’as pas fini d’être immobilisée. Il me laissa seule dans la chambre. Il l’avait fermé à clé. Que me réservait il ? Je décidai de profiter de ce moment de sérénité et de plénitude. Je m’endormais d’un sommeil profond. Quand je me réveillais doucement, il était là allongé à coté de moi. Il me regardait, je le regardais on se souriait. J’étais heureuse.
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Par : le 05/10/20
Vous appelez cela cirer ? Il me regardait fixement en me serrant la gorge. Il plaçait sous mon nez ses bottes d’équitation. - Alors ? j’attends vos explications ? - Je.. commençai-je hésitante, je n’ai pas eu le temps de les cirer, Monsieur. - C’est bien ce que je constate. Vous savez j’aime que lorsque je vous donne un ordre et que vous vous engagiez à le faire, que ce soit exécutez. - Oui.. Monsieur. - Donc, vous savez ce que vous me contraignez à faire ? je crains que vous manquiez de discipline. Nous allons remédier à cela. Devant moi il mis alors ses bottes. - Vous allez les nettoyez maintenant. J’allais chercher avec hâte le nécessaire pour cirer ses bottes. Il s’installa dans son fauteuil chesterfield fétiche. Il tenait dans sa main la cravache. Je savais que j’allais être punie. J’avais fauté. Après tout, j’avais fait exprès. Ma journée avait été pleine de tensions, j’avais besoin de lâcher prise. Je m’assis devant lui sur mes genoux, la boite de cirage juste à coté. Je commençais ma tâche. Il ne me regardait pas puis quand je jetais un regard furtif, je sentais son intransigeance. Son regard était froid, possessif. Je savais qu’il ne me laisserait rien passer. - Appliquez-vous mieux que cela, je vous prie. - Oui.. Monsieur. - Frottez bien, mieux que cela ! Soudainement il releva mon visage avec le bout de la cravache sur le menton. - Vous savez que je vais vous punir. Je le regardais avec une certaine gravité. Je hochais la tête pour lui dire que je comprenais. - Allez continuez de frotter ! plus fort ! allez. Je m’attelais à ma tache pour faire briller ses bottes. - Remontez moi votre robe sur votre cul, écartez moi donc ces jambes. Avec sa cravache, il savait me faire exécuter ses ordres. Son autorité était naturelle. - Parfait, je vois que vous n’avez pas de culotte. Maintenant mettez votre chatte sur ma botte que vous venez de nettoyez et faite la luire de votre mouille de petite chienne. J’obéissais. - Allez encore ! Voilà c’est bien. Je baissais la tête. Je savais qu’il ne ratait pas une miette de me voir en train de me masturber sur sa chaussure. - Je vais vous enseigner de rester à votre place. Je continuais encore à me déhancher d’avant en arrière sur sa botte, quand il m’ordonna de me reculer. Il leva sa botte et la regarder. - Humm voilà c’est presque parfait. Maintenant lécher. Je m’abaissais lentement. Il se releva tout en restant assis pour s’avancer vers moi. - Suffit maintenant vos petites provocations. Il indiqua de son doigt sa botte. Il me gifla sans trop de force. Il n’aimait pas me faire plier par la force. Bien au contraire. Et c’est ça que j’aimais chez lui. Ce respect que nous avions l’un pour l’autre. Certain ou certaines pourraient juger cela irrespectueux, mais au fond pourquoi est ce que je ressens ce désir en moi ? faut il en chercher des causes alors que nous sommes en train de nous satisfaire l’un de l’autre. Je baissais alors le regard et j’avançais ainsi vers le bout de sa botte. Je sortais ma langue et je commençais à lécher avec une certaine délectation comme si je léchais une sucette. Au bout de quelques instants, après s’être délecter de ce spectacle, il m’ordonna de me releva. - Venez ici. J’étais alors sur mes genoux, mon ventre se mit contre sa cuisse ferme et réconfortante. Je sentais sa chaleur comme une étreinte. Il me fit poser mes coudes sur la table basse en bois. Il releva davantage ma robe légère que je portais. Elle était noire et blanche, avec un col qui se fermait de manière assez stricte. J’étais parfaitement dans le jeu de rôle que nous jouions.. Il commença alors sa fessée. Je sentais sa main forte s’abattre sur mes fesses. Il me parlait. - Alors pensez vous mériter que je vous punisse. - Oui.. Monsieur. - Savez vous que c’est pour votre bien. Je veux que vous gardiez cela à votre esprit. Vous devez chaque jour vous améliorez dans votre tache. Ses fessées se faisait de plus en plus forte. J’avais de plus en plus chaud. Je gémissais. Il ne s’arrêtait pas. Je gémissais, quand il fessa encore de plus belle. - Vous pouvez gémir autant que vous voulez. Vous n’avez que ce que vous méritez. Je contractai mes fesses comme pour atténuer la douleur. Je devinais qu’elles étaient rouges, bien rouge. Marquées en signe de punition pour mes manquements. Chaque coup de sa main était déterminé et ferme. J’entendais chaque claquement résonner. - Je n’accepterai plus que vous preniez vos libertés sans demander permission. - Aller mettez vos mains au sol et posez votre tête dessus. - Bien. Quelle belle posture. - Maintenant écartez vos jambes. - Parfait ! Il caressa alors mes fesses puis les malaxa fortement. Puis il repris de plus belle la belle fessée que je méritais. - Je crois que chaque jour je devrais vous fesser, pour que vous rougissiez de honte d’avoir été vilaine. Encore une fois chacun de ses coup de main étaient déterminés. Intérieurement je me demandais comment il faisait pour ne pas avoir la main qui le démangeait à force de me fesser. Quand il s’arrêta, il se replongea sur son fauteuil et déposa sa botte sur mon dos. - Voulez vous que je vous laisse encore une dernière chance ? de bien faire ce que je vous demande ? ou dois je bien vous faire comprendre que je serai de plus en plus intransigeant ? - Alors ? que dois-je faire de vous ? Je savais que je devais me taire, ne pas répondre. Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes fesses bien rouges tandis qu’il gardait sa botte sur le haut de mes fesses. Puis, quand il s’arrêta, il garda le silence quelques secondes. Il ôta sa jambe puis m’ordonna de me redresser face à lui. Il dégraffa alors le haut de ma robe afin de me libérer de mon carcan. Je ne portais pas de soutien gorge. Je savais qu’il aimait voir mes seins pointés à travers le tissu. Et j’assumais cette féminité. La liberté de ne pas en porter. - Voilà qui est mieux. Hummm… alors ? Je relevais mes yeux pour le regarder. Il posa sa main sur ma joue comme pour me réconforter. Mais cela ne fût que d’une courte durer quand il me gifla. Je savais qu’il était sensible à mon regard. Je voulais en jouer pour atténuer la punition que je méritais. Mais quand il était dans son rôle, il ne faisait preuve d’aucune clémence à mon égard. - Allez redressez votre dos Tenez vous droite. Vos seins doivent être présentables. Presque froidement, il les admira, les sous-pesa comme pour s’assurer qu’ils tiennent bien. Puis pour être certaine que je sois présentable, comme il le disait, il posa la cravache contre ses cuisses, puis saisit mes tétons et les tira vers lui. Je commençais à râler. Il me gifla une autre fois. - Tournez vous d’un quart de tour sur votre gauche. - Baissez donc votre tête ! arrêter votre arrogance je vous prie. Je m’exécutai, j’avais juste envie d’obéir, de ne plus penser à rien. J’avoue toute son attention. Il avait j’imagine aussi passer une rude journée. J’étais toujours admirative de sa détermination à tenir ce rôle tout en gardant sa maîtrise. Je ne savais pas s’il y avait un meilleur rôle à tenir le sien ou le mien. Dans mon cas c’est de lui offrir ma soumission, ma dévotion et toute ma confiance pour qu’il profite de moi, de l’autre, lui devait s’assurer de ma parfaite sécurité, de mes limites, de comprendre chacune de mes réactions et d’avoir cette inventivité et ce contrôle de soi. Il repris sa cravache pour me caresser alors les seins avec. Il la passa sur ma bouche, ma gorge. Je fermais les yeux, comme pour ne pas voir ce qui allait suivre. - Ouvrez vos yeux ! Dès que je les ouvris, je sentis la cravache frapper en premier mon sein droit puis gauche. Puis de sa main, il venait me cajoler avec une telle douceur. Cela ne durait que quelques secondes avant de reprendre son envie de me punir et de s’attarder à nouveau sur mes fesses. - Taisez vous je ne veux rien entendre, sinon je serai contraint de vous bâillonner. Il semblerait que ce ne soit pas suffisant. Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Et j’entendais à nouveau le claquement de ses mains sur mon fessier bien douloureux. - Allez à quatre pattes, petite effrontée. A peine mise à quatre pattes, ses coups de cravache étaient précis. - Je vous ai donné un travail à faire et vous ne l’avez pas fait. Vous êtes ingrate. Je m’occupe de vous et au lieu de me rendre fière, vous m’obligez à vous corriger. - Vous voulez me tenir tête, vous allez voir comment je punis les vilaines filles comme vous. - Ne bougez pas ! je n’en ai pas terminé avec vous. Je gémissais encore et encore. Il soupirait comme s’il était exaspéré. - A genoux, le ventre contre vos genoux, mettez vous en boule. J’ai envie de voir quel repose pied vous faites. J’avais ma tête sur mes mains. Il me parlait de ce qu’il pouvait faire pour m’éduquer. - Je vais vous donner une belle correction pour vous faire mieux progresser rapidement. - Vous êtes bien confortable quand vous êtes à votre place, à mes pieds. Avec la cravache, il tapa sur le sol pour me montrer comment je devais me mettre. Je me relevais pour faire demi tour, - restez à quatre pattes, tête au sol. - Jambes écartées ! Allez plus vite. - Votre cul est bien rouge, comme le rouge de la honte dont vous devriez être couverte. Je sentais alors sa main douce me caressa doucement le sexe. J’étais toute trempée. Il me rendait complètement folle. J’aimais sentir ses caresses. Elles étaient un peu comme cette atmosphère après un orage, le relâchement de tensions, une plénitude. Il s’amusa à écarter mes jambes puis à insérer un doigt dans ma petite chatte. Je commençais à gémir. - Non vous ne le méritez pas. Il saisit sa cravache et s’affaira à continuer ma punition. Quelques coups s’abattaient sur ma petite chatte, sans y mettre trop de force. Cela me faisait sursauter. Il savait doser pour me donner cette douleur qui me procurait ce plaisir. - Maintenant redressez- vous , mettez -vous ici. - Allez sur les genoux, bien droite. - Mains dans le dos. - Plus vite j’ai dit ! - Baissez votre tête ! Il marqua une pause un bref instant et cravacha mes seins par des coups bien fermes et précis. Je gémissais encore voulant me défaire de cette position inconfortable. Quand il reposa sa cravache il posa à nouveau sa main sur ma joue. Je m’aventurai à le regarder, quand il me gifla. - Embrassez ma main. J’embrassais alors sa main comme l’adolescente qui avait été prise en faute et qui demandait pardon. - Pensez vous que je dois reprendre cette leçon combien de fois ? - Combien de fois faut il pour que vous compreniez ? - Maintenant vous allez aller dans votre chambre, je ne veux plus vous voir. Je me relevais pour aller dans ma chambre. Je regardais alors dans le miroir les marques de ma punition. Mes fesses étaient d’un rouge vif, parfois bleutées par endroit. J’avais quelques boursouflures. Certains ou certaines penseront que j’aime me faire battre, mais il n’en ai rien. C’est un contrôle de soi qui amène à libérer un plaisir. Il y a toujours un dosage aux coups et à la douleur. Ce qui est important c’est notre état d’esprit. Il y aura des personnes qui aiment être énormément marqués, allant à des pratiques qui ne sont pas les miennes. Certaines peuvent être selon moi des déviances. En tout cas chaque chose qui sont faites dans ce genre de relation sont voulus. La communication, le respect et parler de ce qu’on veut et ne veut pas dès le départ sont très importants. Ainsi, un homme à qui j’offre ma soumission ne fera jamais ce que je ne veux pas. Et si cela ne correspond en rien à mes envies, la confiance sera rompue, tout comme la relation. Un homme réellement dominant le sait. Et c’est ce qui en fait la différence avec un dominateur qui prend son plaisir en se fichant de sa partenaire. Je n’osais pas sortir de la chambre, comme une vilaine fille qui n’a que ce qu’elle mérite. J’allais alors prendre une bonne douche pour ensuite me poser en attendant qu’il vienne. Cette douche me fit le plus grand bien, elle me cajola. Quand je sortis de la douche il était là. A la main, une cagoule. Je devinais alors qu’il n’en avait pas fini avec moi. Il me saisit alors par les cheveux et me jeta sur le lit. Il me redressa en me tenant par les cheveux puis saisit avec brutalité mes mains. Il s’empressa de me mettre des liens et de les attacher dans mon dos. Fermement. Bien fermement. Puis il me mit cette cagoule sur la tête avec un trou au niveau de ma bouche. Puis pour parfaire le tout, mis mon collier. Je savais que je serais sa chienne ce soir. Je me sentais complètement désorientée et plus aucun repère. Il me jeta ensuite sur le lit puis s’allongea sur moi. Je tentais de bouger pour me défaire. Il dit à mon oreille : - Ta punition est loin d’être finie. - Ouvre ta bouche. Il y insérera un écarteur. Il voulait que je reste bien ouverte pour être sa disposition. Ainsi offerte à ses plaisirs. Je me retrouvais dans la position où j’étais à genoux, le ventre replié vers mes cuisses. IL ne disait aucun mot. - Prête ma petite chienne ? Il pénétra alors bien profondément ma chatte. Je ne pouvais dire mot. Ma bouche était grande ouverte. J’émettais juste le son de cette petite chienne qui allait être saillie. Il saisit alors le haut de la cagoule en empoignant également les cheveux. Il me redressait. Cela me cambrait un peu. Je ne pouvais davantage avec mes problèmes. Mais je savais qu’il voulait me baiser avec frénésie, sans aucun ménagement. - Regarde toi petite chienne. Tu n’attendais que cela avoue le ! Je sentais son souffle quand il me prenait, chaque coup où ses couilles s’abattaient contre moi. Quand il décidait de se stopper il prenait alors possession de ma bouche. J’étais son objet à disposition. Il pouvait alors faire de moi ce qu’il voulait. Il avait le choix de me prendre par le trou qu’il désirait, la chatte, le cul ou alors ma bouche. Avec l’écarteur, il ne se gênait pas pour me la mettre bien au fond de la gorge, à m’étouffer. J’étais sa salope. Il maintenait toujours ma tête par le haut de ma cagoule tout en me baisant la bouffe. Je ne pouvais dire aucun mot, juste quelques sons. Il me baisait si fortement. Il me rejeta sur le lit comme une marionnette et vint cette fois prendre l’assaut à nouveau de ma chatte. Il me mit alors sur mon flanc et remonta mes jambes sur le coté. Il tenait encore ma tête comme pour montrer que j’étais qu’un objet pour le satisfaire. - Regarde quelle bonne petite salope tu es. - T’es qu’une putain et tu dois m’honorer avec tous tes petits trous. - Regarde combien je te bourre ta petite chatte. Il rejeta ma tête violemment pour se saisir de mon sein gauche. Il le malaxait bien fermement tout en me baisant. Puis parfois il s’agrippait à mes hanches puis revenait me gifler les seins. Une fois il me disait qu’il m’aimait me punir d’être aussi belle. Il les tenait bien fermement et me pilonnait encore et encore. - Je sais que tu aimes être ma putain. Regarde toi. Tu es si belle. Puis il stoppa et me claqua les fesses. Il me laissa ainsi sur le lit. Je perdais la notion du temps. Je ne sais pas au bout de combien de temps il était revenu. IL m’agrippa par les chevilles pour me tirer au bord du lit. J’avais les pieds au sol. Avec son pieds il me fit écarter les jambes. C’est là que je sentis la froideur du métal sur mon petit trou. Il le passa sur ma petite chatte. - Oh comme t’es humide, prête comme toujours à ce que je t’utilises. Soudain, je sentis une boule de métal dans ma bouche. - Regarde ce que je vais mettre dans ton cul de pute. - J’aime quand tu ne peux rien dire, juste subir. Quand il le sortit de ma bouche, il s’assit à califourchon sur mon dos. Il écarta bien mes fesses de ses mains… Je sentais qu’il forçait le passage de la boule pour qu’elle soit aspirée. Doucement il cédait à cette pression pour qu’elle disparaisse. Il tira ensuite dessus… - Voilà, tu vas pouvoir être bien tenue. Droite. Il se dégagea puis accrocha le crochet anal à mes mains liées dans mon dos. Il s’était arrangé pour que je ne puisse plus bouger. Puis pour être certain que je sois bien maintenue, il encorda mes mains à mon collier. IL tira ensuite sur la corde. Cela me faisait me redresser, et je sentais la pression du crochet dans mon petit cul. Je sentais qu’il s’était levé. Puis il écarta mon cul, j’imagine pour admirer son œuvre. - Comme tu es belle, exposée ainsi. Il tapotait légèrement ma fesse gauche. - T’inquiète pas je vais encore te baiser petite chienne. Puis il me laissa là. Cette position était un peu inconfortable. Je tentais de me défaire mais rien à faire. Il m’avait attaché bien solidement. Puis il me donna une fessée pour me stopper dans mon élan. Il écarta encore mes fesses. - Je vois que cette situation te plait, tu dégoulines Il passa avec son sexe sur ma chatte pour le lubrifier. - Voilà petite salope. Tu as ce que tu mérites. Je sentais son membre glisser bien au fond de mon con. Je sentais son pouvoir sur moi. Quand il pris la corde qui me tenait mes mains à mon collier, cela me fit me redresser. Il voulait jouer de la contrainte. Le nœud qu’il avait fait m’étranglait un peu. Parfois il relâcha la pression pour me permettre de reprendre mon souffle. - T’es qu’une salope bonne à baiser. Je sentais son hardeur à me prendre sauvagement, fermement et bien profondément. Je ne pouvais émettre trop de son. Il me malmenait ce soir. Il tira à nouveau sur ma cagoule. Je gémissais, encore et encore. Il ne cédait rien. Il avait poser ses mains sur les miennes. Je sentais sa chaleur pendant qu’il me besognait. Puis il s’arrêta et me délaissa à nouveau. Quand il revint, il retira alors mon crochet. Il enleva mon écarteur bucal. Je n’offrais plus aucune résistance. J’étais à ses ordres ou étais ce lui qui était au mien. - Demande moi de t’enculer. - Je.. Je reprenais mon souffle, et je desserrai ma mâchoire, qui était restée ouverte si longtemps. - Alors ? - Monsieur, je vous en prie, enculez moi. - Croyez vous que vous méritez que je vous honore de mon membre alors que vous avez été si vilaine ? - Je vous en prie.. Monsieur. Il malaxa bien mes petites fesses, puis introduit son pouce dans mon fion. - Hum, comme il est bien ouvert… Je me dandinais. - Je vous en supplie, monsieur, enculez moi. Il retira son pouce et posa son membre à l’orée de mon auréole S’il vous plait Monsieur… - Non, tu ne le mérites pas. Il me retourna alors brutalement sur le dos, me retourna la tête pour la mettre au bord. Et il me baisa la bouche. J’étais endolori. Il me tenait la gorge pour qu’elle soit bien au fond. J’étais presque sur le point de vomir tellement il voulait me punir, me faire taire. Il éjacula sur mes seins. - Alors? Il me donna un claque sur la joue.. - Remercie moi! - Je vous remercie.. Monsieur? Tu me remercies de quoi? - Je vous remercie de m'honorer comme vous le faîtes. - Continue? - Je vous remercie de m'avoir punie. Il caressa alors ma joue et me laissa ainsi attachée et souillée.
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Par : le 26/10/16
C’était un soir de printemps, ma curiosité m’a poussé à aller dans un club libertin, non pas sur Strasbourg, car j’en ne n’en avais pas entendu de bons échos mais en Allemagne.Un ami m’accompagne, je suis excitée à l’idée de découvrir dans ce genre de lieu. Dans mon esprit, j’imagine les hommes et femmes avec beaucoup plus de respect les uns envers les autres que dans les bars de Strasbourg, où certains devraient prendre des cours sur la bienséance.Je me pare de ma plus belle lingerie, dont vous voyez les photos sur mon profil. ces photos ont été prises le soir où je me suis rendue dans ce club : un serre taille, un soutien gorge ouvert, des cache tétons, une culotte ouverte, des portes jarretelles avec des bas coutures, et bien sur mes chaussures vernies noires à haut talons.Cela faisait des années que je ne m’étais pas sentie désirable. Toujours coiffée d’un style des années 40-50, du rouge à lèvres couleur rubis sur mes lèvres, il est bon de se sentir belle et regardée et de retrouver ce sentiment de confiance. Cela n’a rien à voir avec du narcissisme, mais d’être en accord avec soi même.Durant des années, j’ai laissé de coté mes désirs, mes envies car je n’osai dire à un homme ce que j’aimai, ce que je désirai, ce qui comptait c’était son plaisir. J’ai décidé après tout ce temps de penser au mien.Lorsque j’arrive à ce club, mon cœur s’emballe, et je suis comme une petite fille qui va dans un lieu hors du temps. Bien que l’endroit est plein de monde et que nous n’avions réservé, on nous accueille avec un grand sourire. Une fois deshabillée, je marche avec fierté et exhibe mes seins presque nus ainsi que mes fesses aux regards de ses hommes et femmes. Cela m’excite terriblement.Je pars, comme une aventurière à la découverte de ces pièces. Une chambre avec un style colonial, une autre dans une pénombre rouge, un donjon SM..je monte les escaliers et là je vois un lit.. enfin presque une salle recouverte de matelas avec des barreaux, une salle secrète avec un trou où chacun peut regarder ce qui se passe… Pour le moment tout est calme. Je me rend alors dans la salle où il y a un bar, une piste de danse, un cage où il est possible de s’enfermer et danser. Il est si bon de se sentir décomplexer et autant à l’aise. Après quelques verres, quelques danses, je me sens prise par cette ambiance. Je regarde mais je n’ose toucher. Toujours ce côté timide en moi qui m’empêche d’aller vers les routes, bien que ma tenue semble indiquer pourquoi je suis venue ici. Je n’ai pas encore réussi à passer ce cap.Au fil de la soirée, je vais de salles en salles, entend gémissement et cris, des hommes qui me prennent pas la main.. mais je ne suis pas encore prêt à cela, bien que je meurs d’envie d’essayer tout cela.
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Par : le 05/10/21
A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments. Mon fantasme (mardi 05 octobre 2021 12:55) : Deadalus- Chapitre 3 - Asylum MODIFIER SUPPRIMER A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments.
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Par : le 03/01/17
C'est un samedi soir comme je les aime, je sors avec mes amies. Je porte cette fameuse petite robe noire, mes bas, un maquillage soigné.. Quel parfum porterai-je ce soir. J'hésite.. Lolita Lempicka, qui me colle à peau ou alors Escale à Pondichéry, une invitation aux voyages. Je vous laisse deviner lequel je choisis. A votre avis, quel est mon état d'esprit? J'enfile mes gants en cuir, j'aime conduire mon roadster et sentir le contact de mes mains gantées sur le volant et sentir toute la puissance de ce moteur. je me sens sexy ce soir. Je retrouve mes amies dans ce petit resto que j'affectionne, où notre seul sujet de conversation reste.. les relations hommes et femmes .. comme toujours, sans parler du sexe. Messieurs je pense que nous savons être pire que les hommes. Mais au fond de moi, parlez de mes désirs de mes envies? aucune amie ne connaît tout cela, avec qui partager tout cela, si ce n'est déposé ma plume. Après le restaurant, nous nous rendons dans ce petit bar clandestin à l'ambiance de la prohibition, nous commandions chacune notre cocktail tout en regardant à l'affût les hommes. J'aime ces jeux de regards. Je ne crois guère en ces jeux de drague qui mènent nulle part et où le niveau d'éloquence, de bienséance font souvent défauts à la gente masculine. Puis, soudain, je le remarque. Ce n'est pas une question de beauté, mais de charisme, de puissance. J'ai senti qu'il me regardait. Commence alors un jeu de chat et de souris. Cet homme a réussi à me troubler. Je ne peux m'empêcher de le regarder. Il est avec ses amis, semble si calme, poser. Je l'observe. Il m'observe. Nous feignons presque de nous ignorer. Je suis captivée. Le bar est bondé, la foule amène une proximité des corps. D'un seul coup je le vois s'avancer vers moi, mon coeur palpite. La déception se fait sentir, il passe sans mème me jeter un regard. Seule la trace de son parfum a été ce contact rapproché. IL m'envoûte, c'est presque animal. J'essaie de faire abstraction, quand soudain, je sens un papier mis dans ma main. C'est lui : Veux tu m'appartenir?. Je suis complètement troublée par ce mot. Mes amies ont envie de partir, et malheureusement je me fais une raison. Pourquoi ne pas oser aller vers lui? Je pars avec elles, nous nous disons au revoir, et je regagne ma voiture dans cette ruelle. Quand soudain, je le vis. Il se rapproche. Un regard sombre, mais c'est plus fort de moi, son mot m'a troublé. La ruelle est très sombre, il s'approche et me plaque sa main avec son gant en cuir sur ma bouche. il m'étreint la gorge, puis me susurre à l'oreille : Je veux ma réponse.Veux tu m'appartenir? Je me sens si en confiance et effrayée à la fois. Son regard pénétrant le mien, je baisse le regard et je répond oui de mes yeux. Il me retourna et me plaqua contre le mur. Il est dans mon dos. Je suis envoutée, hypnotisée. Il relève ma robe, me caresse les fesses, les cuisses. Ses mains sont fermes et douces. "Seras tu une gentille fille? " me dit-il Tout en tirant ma tête en arrière je répond que oui. Alors relève ta robe, enlève ta culotte et offre moi ta chatte et ton cul, m'ordonne t il. Je me sens interdite, je lui dis que nous sommes en pleine rue, je n'ose pas. Il se rapproche de moi et me dit : Finalement tu n'es pas une gentille fille et me claque les fesses. Alors " j'attend"... Enlève cette culotte et donne la moi. Je sens sa froideur mais en même temps sa bienveillance. Fébrilement, je m'execute honteuse. Puis de mes mains je relève ma robe, tout en regardant de partout si personne ne passe dans la rue, et je lui montre mon cul, ma chatte. Il se rapproche pour me féliciter de ce magnifique spectacle. Voila qui est bien, tu es une gentille fille docile comme je les aime. Ce que je veux maintenant, c'est que tu sois, une chienne docile. Es tu prête à découvrir cela? Je ressens à ce moment cette envie d'être possédée, d'être sa possession. Il introduit son majeur dans ma bouche et me demande de tirer dessus. Puis il le faut avec l'ensemble de ses doigts. Quand arrive son pouce, il me demande de lui sucer. Puis de tenir son gant dans ma bouche pendant qu'il en retire sa main. Je sens le parfum du cuir mélé à l'odeur de sa peau qui me fait défaillir. Puis il mis sans ménagement sa main sur mon sexe. - Hum que c'est bien chaud et une humide, tu es déjà toute trempée, ma belle. Je garde ta culotte, je veux que tu viennes la récupérer quand je te l'indiquerai. Je te veux à mes pieds, belle, chienne. Je vais te sublimer et t'ouvrir à cet univers que tu ne demandes qu'à connaître. Il repartit. Je restait interdite, excitée comme jamais. Je ne savais pas à quoi il ressemblait, nos échanges passés m'avaient tant excités. et là il me laisse, avec mon excitation et avec cette envie de me mettre à ses pieds.
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Par : le 16/10/21
Me réveiller dans ses bras, le voir me sourire, me caresser, pouvoir me blottir contre lui, me sentir juste bien. Nous nous élevions chaque jour. Quoi de mieux que d’être soi avec l’autre. Avoir conscience de nos tourments, nos névroses, les accepter ou les comprendre et sortir de schéma inconscient. Notre soirée d’hier m’a permis de comprendre que j’avais toujours cet peur de l’abandon. Au final, à force d’y penser, nous agissons toujours de telle sorte qu’au fina l on se fait abandonner, ou bien, parfois les gens nous quittent ou que nous quittons car c’est simplement ainsi. Il ne faut pas rechercher un fautif, c'est juste que l'un ou l'autre ou les deux n'était pas bien dans cette relation. La clé à tout cela.. la sincérité, la franchise et la communication qui induisent la confiance. Les mots sont souvent utilisés mais les actes parlent. Ils peuvent parler selon notre analyse, notre logique et peut être totalement mal interprétée. C'est ainsi que nous nous conditionnons. Les êtres humains sont si fort en général pour faire culpabiliser l’autre pour se déculpabiliser soi-même de ses actes. Souvent ce sont ces mêmes personnes qui se caractérisent pas prise de tête ou passionner du « Carpe Diem ». Ne pas à justifier de nos agissements, évitent aussi de se remettre en question. J’ai évolué, pris du recul et que dire de la période de la quarantaine.La meilleure, même si j'ai bien encore du chemin à parcourir. Hier soir, il m’avait poussé dans mes retranchements. La peur de le perdre comme au final lui aussi pouvait me perdre. Ce sentiment lié à mon manque de confiance en moi. Et s’il ne voulait plus être avec moi ? Eh bien c’est que cela devait se passer ainsi. Personne ne nous appartient. Il est vrai que lorsqu’on a une telle connexion si forte et où l’on s’abandonne, s’adonne si fortement que la chute est vertigineuse. La perte de ces sensations n’enlèvent en rien aux moments intenses vécus. Et cela amène à se relever et découvrir d’autres choses. En faire le deuil. Mais il était là. Il faisait tout pour assouvir mes désirs, il me voyait avec d’autres hommes et pourtant il restait. Il m’avait confié aimé me voir prise par d’autres, que ça le rendait fou de me voir ainsi baiser, prise. Il voyait la chienne que j’étais et de l’autre, il voyait la femme que j’étais. Dans les deux cas, il me respectait. - Ce soir, on va bien s’amuser ma belle. - Ah oui qu’as-tu prévu ? - Hum tu verras mais il y aura du spectacle j’ai hâte. - Quel spectacle ? - Hum tu verras. - En attendant, je te propose d’aller nos détendre au spa qu’en penses tu ? - Oh oui !!!!! tu sais combien je raffole de ça. Il sortit alors de sa boite la clé de mon collier et me l’ôta. Nous sortions de Deadalus pour nous rendre au thermes situés non loin de là. De vieilles thermes sublimes à l’ambiance romaine. La nudité était obligatoire. Je songeais à mes fesses marquées. - Tu te débrouilleras petite chienne me glissa-t-il à l’oreille en me taquinant. Dans ces thermes, il y avait une multiplicité de bains L’eau était à température de 32 dégrés d'autres bassins elle était plus froide. Puis il y avait ces petites alcoves pour une ou deux personnes. Il faisait juste bon, chaud. Je posais mon peignoir. Un pied puis l’autre c’était si divin. Je me sentais envelopper d’une chaleur réconfortante. Tout de suite j’étais bien, je ne pensais à plus rien. Il me rejoignait, face à moi. Juste nous deux. - Ecarte tes jambes. - Humm tu es si belle. Hier tu l’étais tout autant. Je baissais les yeux, rougissante. Une partie de moi me cachait à en parler, ll le savait. - As-tu aimé que je t’offre à Cassandra hier ? - Je dois dire que cela m’a terriblement excitée. Alors pour autant je ne suis pas bi, tu le sais. - Ce n’est pas la réponse à ma question. Mets toi un doigt dans la chatte et réponds. Je le regardais droit dans les yeux en m’exécutant. - Oui, j’ai aimé. - Et que je la prenne devant toi ? - Tu en connais la réponse. Tu connais ma dualité. Maintenant, j’ai saisi une chose que je ne peux expliquer. Toi, tu acceptes de me voir avec d’autres et tu es là. Je pense que tu voulais me punir peut être et de l’autre provoquer en moi une excitation à te vouloir davantage. Je ne sais pas. On va pas dire que j’adore ça. Nous étions dans un contexte particulier. - En effet contexte particulier. J’ai adoré te voir ainsi attachée offerte en objet sexuel, être à disposition et qu’on fasse de toi ce que tu voulais. Je l’ai baisé en pensant à toi et tout ce que je voudrais te faire subir, et tu vas les subir ma belle. Je le regardais souriante. - Tu connais notre règle. On parle de tout ! n’analyse pas de ton coté avec ta logique me réponda-t-il - Oui.. tu as raison. Il se rapprocha de moi pour m’embrasser. Il se plaça derrière moi, mon dos se posant contre lui. - T’ai-je dit d’arrêter de te doigter ? - Pardon.. non… Je sentais derrière moi son sexe se durcir. - Je vais avoir du mal à sortir de là. Tu me rends fou tu sais. Je rigolais.. - Chacun ses problèmes, toi c’est ta queue, moi mes fesses. Nous rigolions comme deux gosses. Il y avait plusieurs bains à faire. Il y avait des mosaïques de partout. Une grande salle de détente avec une verrière style Art Nouveau. Ce calme d’antan. J’adorais ces lieux avec cette atmosphère. Il ne cessait de me provoquer de m’exciter. Nous arrivions à des bains où la lumière était tamisée. Une sorte de grotte, nous étions presque dans la pénombre. Je m’étais accrochée à lui comme un petit koala. Il avançait dans l’eau. Ses mains sous mes fesses, personne ne nous voyait. Il n’y avait quasi personne. C’était génial. Il me déposa sur une assise en pierre. Lui restant debout devant moi. Il s’empara de mes lèvres, de mes seins. - Eh doucement, quelqu’un pourrait arriver! - Chut… Sa langue s’entremêlaient à la mienne. Je voulais le dévorer, lui faire l’amour. Il écarta mes cuisses et déposa ses doigts à mon entrejambe. - Tu adores ça être doigtée petite chipie. Je sens déjà que tu es humide. - Normal avec toute cette eau le taquinais-je. Il prit mon cou en main et m'embrassait fougueusement. - Vilaine. Pour la peine je ne te doigterai pas. Je le regardais avec une air innoc ent, qui disait si je veux. Il me laissa quand même ainsi. Trois hommes pénétraient dans cette grotte. J’étais déçue de ne plus être seule. - Garde tes jambes écartées. - Non mais arrête ! - Garde tes jambes écartées. Il se plaça a coté de moi. Les hommes se plaçaient un peu partout. J’étais la seule femme. Bizarrement on se jetait des regards furtifs sans oser se regarder. Une certaine pudeur et un respect qu’on retrouvait partout dans les termes allemandes. Assis à coté de moi, je sentis alors sa main se poser sur ma cuisse. Il me parlait à l’oreille. - Maintenant je vais te doigter. Avec un geste presque naturel, sa main glissa doucement vers l’intérieur de mes cuisses. Mon cœur battait à l’idée d’être surprise. Je sentis alors un doigt pénétrer doucement dans ma chatte. Je pinçais mes lèvres. Je tentais de rester la plus naturelle pendant qu’il s’occupait de moi. - Il y a un homme qui te regarde. Crois-tu qu’il voit ou devine que je te doigte ? - Mais non .. - Si, il te regarde. Provoque le… - Arrête avec ça. Un second doigt pénétra. - Regarde comment tu excites les hommes. Tu as cela en toi. Tu aimes ça, qu’on te regarde. - Arrête s’il te plait. - Au contraire, avec moi tu assumes ta partie sombre. Il se redressa. - Comme tu veux, j’arrête. Je me sentais interdite. Je ne voyais jamais les regards des autres hommes et je ne le cherchais pas. Pourtant là où il avait raison, j’avais besoin qu’on me regarde, d’attirer l’attention. Je me levais pour m’asseoir entre ses jambes. A nouveau je laissais tomber mon torse contre son dos ma tête au creux de son épaule gauche. Il m’embrassa la tempe et enroulait ses bras autours de moi. Je prenais soin de bien placer mes fesses contre lui, de faire ses petits mouvements pour le rendre fou. - Arrête, après je ne pourrais me retenir. Tu vas me le payer... - Ah oui ? tu veux que j’arrête. Ma main s’était glissée à l’arrière de mon dos pour saisir son sexe. Je commençais doucement à le caresser. - Regarde les autres sans rien transparaitre lui taquinais-je. - Tu ne paies rien pour attendre.. mais continue, tu masturbes divinement bien ma petite salope. Je riais. Je sentis alors ses mains me tenir par le haut de mes cuisses à l’entrejambe. Je sentais ses doigts me caresser , malaxer sans toucher mon sexe. Il me rendait complètement folle. On s’amusait à se rendre fou. J’adorais ça. Soudain, il reprit le contrôle. Soudain ses doigts pénétraient ma chatte deux de chaque main. Il l’écartelaient. - Tu es bien ouverte maintenant… - Humm c’est si bon… Jen’avais plus la force de le caresser tellement il m’avait coupé l’herbe sous le pied. - Concentre toi, continue de me caresser petite putain. Il savait qu’il me rendait folle et que la réciproque était vrai. - Aimerais tu sentir ma queue dans ton cul ? - Humm oui j’aimerai.. - Hummm… Il frotta sa queue contre moi. Je sentais les autres hommes me regardaient. - Le premier là, sur ta gauche, il a remarqué notre manège. Je pense qu’il aimerai bien être à ma place. Et comme il a chuchoté à l’autre quelque chose, je pense que cela doit être par rapport à toi. Alors maintenant je ne sais pas si je vais t’enculer, pour qu’il voit comment tu aimes te montrer. La question, as-tu envie de moi ? - Tu le sais que j’ai envie de toi. - Alors arrête de parler, agis. Fais en sorte que je te prenne et assume. - T’es fou, on ne peut pas faire ça ici. - Empale toi. Je ne me sentais pas à l’aise de le faire. - Petite joueuse riai-til. Il savait quelle corde sensible jouer et que je réagissais au quart de tour. - A force de t’interdire des choses, tu oublies le goût de la liberté. Ose ! Prends les choses en main, enfin si je puis dire, dit-il d’un ton sincère. Je m’enlevais de mon assise pour me retourner et l’embrasser. Les autres hommes ne bougeaient toujours pas. - Tiens ton sexe que je m’empale dessus quand je me retourne lui ordonnai-je. Je me retournais à nouveau pour m’asseoir sur sa queue. Malgré moi j’y mis le temps. Sa queue dans mon cul qui cédait assez facilement. Je le sentais me tenir fermement par la taille, allant au plus profond de mon cul. Le plus dur était de ne rien laisser passer au niveau de mon visage. Il faisait des mouvements de bassins très légers et les hommes nous regardaient. - Tu sais je les regarde. Ils savent que je te prends là… Je me sentais rougissante et si excitée à la fois. Doucement je me posais contre lui, comme avant, ma tête au creux de son épaule gauche.. Il me parlait à l’oreille, je sentais sa queue en moi et ses doigts dans ma chatte. Avec lui, je sortais totalement de ma zone de confort. Ses doigts si doux sur mon clitoris. - Repense à la langue de Cassandra sur ta chatte. Repense à ses petits coups de langue, ses aspirations, pense à moi qui te regardait te faire baiser par une femme.. tu étais merveilleuse. Il me rendait complètement folle. - Arrête de bouger. Il me replaçait pour donner quelques coups de bassin. - Pense à ma queue dans ton cul comme il aimerait bien te défoncer, et ma main te cajoler. - Ma princesse, ma putain. Regarde ces mâles qui veulent te baiser. Excite les. - Je… tu me rends folle, encore.. parle moi. - Repense à Mickaël, comment il t’a tringlé dans les toilettes comme la petite chienne que tu es, ses coups de ceinture que je lui ai demandé qu’il te fasse. - Humm ouiiii, j’ai adoré ça, tu m’excites trop, j’adore que tu me rendes ainsi. - Que je te rende comment ? - Si chienne, si putain. - Je ne te rends pas ainsi, tu es ainsi. Ses doigts tournoyaient autours de mon clitoris, j’avais du mal à tenir. - Je vais.. jouir.. Mon clitoris, mon sexe étaient gonflés de désir. Je contractais mon corps, fermant les yeux, me concentrant sur sa voix qui me guidait. - C’est ça, laisse toi aller ma chérie. Contracte toi bien, hummm je le sens sur mon sexe. J’oubliais tout, je ne pensais qu’à ce plaisir montant encore et encore ; Je me concentrais sur ses doigts, sa voix, je revivais tout ces derniers jours vécus si intense. - C’est ça jouis ma chérie, jouis.. Je refermais mes cuisses, je tentais de ne rien laisser transparaitre ; Je fermais les yeux, mes lèvres se pinçaient. - Ouvre tes yeux pendant que tu jouis, regarde autours de toi. La jouissance était terrible. Je voyais ses hommes me regarder. Mon visage malgré mon impassibilité a dû laisser transparaitre ma jouissance. Je me laissais retomber totalement contre lui. Il me cajolait. - Allez viens là mon petit koala. Nous ressortions de l’eau. Il cherchait mon peignoir et m’emmitoufla dedans. Il me prit par la main. Allez viens un bon hammam et ensuite du repos. Je savourais cette journée. La journée se terminait doucement. Arrivés aux vestiaires, il pénétra furtivement dans ma cabine et la verrouilla. Sans me laisser le temps de réfléchir ou de parler, il mit sa main sur ma bouche. Il posa ma jambe sur le banc et me pénétra sauvagement la chatte. Aucun son ne pouvait sortir de ma bouche. Il me pilonnait si fermement. Aucun mot ne sortait de sa bouche, il me baisait seulement. Je sentais ses couilles claquer. Ses vas et viens intenses c’était si bon, je mouillais terriblement. Sa main sur ma bouche m’excitait et m’empêchait totalement de crier. - Bonne petite salope. L’attaque fut fulgurante avec de si bons coups de reins. - Chut… je ne veux rien entendre. Il me tringla sans aucun ménagement, éjaculant sur mes fesses. - Rhabille toi maintenant ma chienne, je t’ai préparé une belle surprise digne de nous ce soir. Il sortit aussi rapidement qu’il était entré, me laissant souiller de sa semence sur moi. Nous nous étions rejoins à la sortie des thermes. J’avais pris le temps pour me sécher les cheveux. - Comment te sens tu ? - Humm merveilleusement bien et détendue. - Humm parfait tu vas en avoir besoin dit-il en claquant mes fesses avec espièglerie. Arrivés à Deadalus, Cassandra nous attendait. Elle m’adressa un tel sourire. - Conduisez là à sa chambre qu’elle se prépare. Je la veux à 19h30 dans ma chambre. Kassandra me tenait par le bras. - Allez petite chienne, dans ta chambre. Tu vas te faire belle pour ton Maitre. Voici ta tenue. Je me parais de ma tenue assez affriolante, des bas, un masque en dentelle. Cassandra arriva à l’heure. - Tu es superbe. Laisse moi te regarder. Elle palpa mes seins, tira sur mes tétons. Elle s’approchait de moi tout en me murmurant. - Le goût de ta chatte me manque déjà. Elle passa sa main sur mon entrejambe. - Suis moi. Je pénétrais dans la chambre de Monsieur. Il était là, habillé en smoking, il était magnifique. - Vous êtes.. - Taisez-vous ! Sa voix était autoritaire. Je compris que je devais à son regard, entrer dans nos jeux. - Venez ici. Je m’approchais. Je restais debout devant lui, pendant qu’il me tournait autours. Il prenait de temps, m’effleurant. - Relevez vos cheveux. Je m’exécutais. Il fixa mon collier et remis son cadenas. - Ce soir, vous serez exposée et à mes ordres ma chère. Vous n'avez pas le droit de parler, sauf si je vous autorise. - Allez la mettre dans sa cage Cassandra. Je vis alors son sourire. Elle me banda les yeux. Elle me fit avancer hors de la chambre. Je ne savais pas où nous allions Tout ce que je devinais c’est qu’elle me fit pénétrer dans une cage et m’enchaina au sol. Elle fixa une oreillette à mon oreille droite. - Allez couchez petite chienne.
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Par : le 20/08/17
Pour commencer, je vous invite à me lire avec les musiques qui seront proposées au fil de cette petite nouvelle https://www.youtube.com/watch?v=gIdOpzzjlXo Je vous attend sur le quai de la gare, habillée avec une robe rose avec un col bardot, cette dernière descend sous le genou. La hauteur de mes talons est vertigineuse, élançant ma taille. De quelle rame allez vous descendre ? Mon cœur palpite.. Je sens soudain une main se poser sur mon bras droit. - Ne vous retournez pas, me murmurez-vous à l’oreille. Avancez jusqu’à votre voiture sans vous retourner une seule fois. Vous me comprenez. Je marcherai derrière vous. Est-ce clair ? - Oui, Monsieur ça l’est. J’avance ainsi seule, me sentant observer, épier par votre regard. Je sens que vous me détaillez de la tête au pied. J’arrive à ma voiture. J’introduis la clef dans mon vieux roader vert anglais. Je vous devine derrière moi, je n’ose me retourner… Là vous plaquez mon corps contre la vitre du véhicule. Mon sac tombe de mes mains. - Ne bougez pas. Vous vous accroupissez. Je sens vos mains remonter tout doucement mes chevilles, mes jambes, franchir le tissu de ma robe et remonter mes cuisses. Vous approchez de mon oreille et me susurrez - Quelles jambes splendides, quelle peau douce et votre parfum, envoûtant. Voici vos affaires chère amie. - Allons voir si nos échanges feront de vous une bonne petite chienne, vous feront mienne. - J’acquièse de la tête. - Montez dans votre voiture. Vous refermez la portière et placer votre bagage dans le coffre. Quelques secondes après vous êtes face à moi côté passager. Nos regards s’entrecroisent, mes joues s’empourprent. Vous m’intimidez. J’en perds mes mots. Puis vous me souriez pour me détendre. C’est parti pour votre chambre d’hôte, située dans un quartier calme de Strasbourg. Je vous l’ai proposé, elle vous a intrigué, laissant libre court à votre imagination. Une chambre idéale pour lier des liens, des poutres verticales, horizontales, une tête de lit splendide.. Allons nous jouer.. ou pas ? Voilà près d’une semaine que mon sexe, mes seins sont gonflés par le désir. Vous m’avez envoutée. Comment va se passer cette soirée ? Nous arrivons à cette chambre d’hôte, nous prenons nos affaires respectives. Nous découvrons cette chambre qui nous coupe le souffle. Vous avez mis la barre haute pour cette première rencontre… Je décide d’aller me rafraichir quelques instants pour retrouver mes esprits. - Servons nous un verre, et mettons une bonne musique pour nous détendre. Je ne regrette pas d’avoir fait le chemin. Nous trinquons sur ces splendides fauteuils bleu roi. Le champagne est divin, les fraises et framboises succulentes. Je les amène à ma bouche avec délicatesse, j’entrouve mes lèvres et lentement je mange une fraise, je m’en délecte…pour vous provoquer. Vous souriez, et votre regard me dit que je vais peut- être le regretter plus tard. Le temps passe, il est temps pour moi de me changer pour notre restaurant. J’ai ramené deux robes pour vous laisser le choix de ce que j’allais porter. Cette attention vous plait. Vous me laissez tranquillement dans cette somptueuse salle de bain de princesse. Cette baignoire sur pattes de lion, ce grand miroir et cette chaise en noir et or dont le dossier est comme du corail.. C’est splendide. A votre tour vous vous changez, prenez le temps de vous rafraîchir.. En vous attendant je fais le tour de la chambre, puis je me rassois sagement. Je vous découvre terriblement élégant, terriblement séduisant. J’aime votre regard. Je suis séduite, mais nous le savons tous les deux que nous sommes séduits. Une tension s’est installée. Nous le savons, pas besoin de mot pour se le dire. Vous m’invitez à me lever pour y aller. Je me dirige pour ouvrir la porte. Là vous me bousculez contre. Vous saisissez mes poignets derrière mon dos. - Vous êtes somptueuse ce soir. Vous me libérez. Vous vous amusez de pousser mon excitation. Je n’arrive même plus à marcher correctement. Arrivée au restaurant commence une danse de séduction, de provocation. Nous apprécions notre repas mais vous et moi n’avons qu’une envie, quittez cette table. En regagnant la voiture, vous me tendez votre bras. Quel homme galant vous êtes. Je sais, je sens que mes moments de princesse vont s’arrêter mais vous seul détenez le moment où tout va basculer. Une fois sur le parking, vous m’aidez à sortir, me tendant votre main. Je vous regarde droit dans les yeux. Mon cœur palpite. Nous passons le porte de la chambre. Je suis toute tendue. Je prétends aller à la salle de bain pour me refaire une beauté. Puis vous arrivez brutalement. Vous me plaquez contre le lavabo. Je mets des mains de part et d’autre comme pour lutter. Vos pieds écartent mes jambes. - Ne bougez pas. J’ai rêvé toute la soirée de vous faire ceci… Vous montez ma robe sans ménagement sur mes fesses. Vous abaissez avec brutalité Ma culotte. Vous reculez et admirez mes fesses.. - Qu’elles sont blanches… - Cette culotte ne doit pas descendre. Elle doit rester à hauteur de vos genoux. - On dirait une petite pute qui attend de se faire baiser. Je frémis et je rougis à la fois. Puis vous pressez votre sexe contre celles-ci.. - Regardez ce que vous provoquez petite chienne. Vous tirez alors sur mes cheveux pour me redressez. Vous mettez sur ma gorge votre main, me maintenez fermement et me forcez à me regarder dans le miroir et vous regarder à travers lui. - Alors n’êtes-vous pas une petite chienne ? Ne répondant pas, une claque s’abat sur mon postérieur.. Puis une seconde. - Alors ? - Oui Monsieur. - Je n’ai pas bien compris. Il n’est pas compliqué de répondre « Oui Monsieur, je suis une petite chienne », - Oui monsieur je suis une petite chienne. Maintenant repoudrez vous le nez et faites vous présentable. Puis vous sortez. En sortant, je découvre l’ambiance tamisée quelques bougies allumées. Je vous vois assis sur ce fauteuil bleu - Avancez et mettez vous face à moi. - Maintenant, danser langoureusement pour moi et retirer moi cette robe qui m’empêche de vous admirez. Là, la culotte tombe au sol… Je vois que vous faîtes votre tête bougée de gauche à droite… - Vous n’êtes pas très docile ma chère. Je vais devoir vous punir, et vous le savez… Je danse avec une certaine pudeur mais aussi fierté. Je tiens à continuer à vous provoquer. Je n’ai pas rendu les armes, et vous en avez conscience. Vous découvrez ma lingerie, elle dévoile partiellement mes tétons. Un long collier de perles tombant jusqu’à ma poitrine, et mes seins décorés par des bijoux de peau font ressortir mes tétons.. Vous vous levez comme un félin. Je continue de danser. Vous arrivez à ma hauteur et prenez mes deux tétons dans vos mains. Vous tirez dessus. - Continuez de danser très chère.. Mes seins sont douloureux, je n’y arrive pas. - Je vois qu’il vous faut une motivation. - Vos poignets de suite ! devant vous. Là vous sortez de quoi les enchainer l’un à l’autre. Je me laisse faire. Obéissante. Puis, vous me bandez les yeux. Avec la privation de la vue et sur les talons mon équilibre est précaire. Vous me tenez. Puis d’un seul coup je sens mes bras se lever. Vous êtes en train de m’attacher à cette poutre horizontale avec une corde. Voilà qui est parfait. Tout à la disposition. Je sens une gifle arriver sur ma joue. Puis votre main de part et d’autre de ma bouche. Vous serez mienne ce soir, vous serez ma chienne, ma petite putain. Est-ce bien clair ? - Oui monsieur. De là vous passez votre main sur ma chatte, qui est trempée. - Regardez- moi cela une vraie petite chatte en chaleur. (pour poursuivre cette lecture https://www.youtube.com/watch?v=OsW9W61dsko) De là, vous commencez à faire votre œuvre. Vous me bondez les seins pour les faire ressortir comme vous les aimez. Je devine votre sourire. Vous m’attachez les cheveux… et me demandez d’ouvrir ma bouche. Là je sens une boule de métal fois. - Sucez ma chère. Montrez- moi vos talents de petite suceuse. Je m’exécute à cette affaire et je devine ce qui va se passer, impuissante. Vous passez ensuite cette boule sur ma chatte, et commencez à l’introduire dans mon petit cul bien serré. Je pousse un cri. - Je ne veux rien entendre. Subitement, vous tirez mes cheveux en arrière. Vous plantez vos crocs dans mon cou. Avec finesse, vous attachez le crochet anal à mes cheveux. Vous caressez mon corps, prenez mes fesses en main. Vous me donnez quelques coups de hanche. - Ouvrez votre bouche Vous faites couler du champagne dans ma bouche puis sur ma poitrine. Vous commencez à me lécher, à me caresser, à me maltraiter les seins, me claquer comme mes fesses, à me faire lécher vos doigts. - J’aime que vous rougissez, Mademoiselle. Je n’arrive pas à tenir en place, je lâche des soupirs. Quand je sens le cuir sur ma peau, celui de la cravache. Vous la passez sur ma bouche, elle descend mon cou, caresses mes seins.. puis s’attarde sur ma petite chatte. - Ecartez vous jambes. - Mieux que ça !!! J’ai du mal à tenir l’équilibre avec les talons, vous aimez que je ne sois pas à mon aise. Vous me tapotez sur mon sexe. - Vérifions votre excitation. Vous introduisez deux doigts sans ménagement dans ma chatte tout en me regardant dans les yeux. Puis vous jouez avec la corde de mon crochet anal me faisant gémir et râler. Une gifle s’abat sur ma joue. - Petite putain, je vais vous punir comme vous le méritez. Toute la semaine vous m’avez mis dans un de ces états. Vous me faites danser avec des claques, des coups de cravaches jusqu’à ce que je sois rouge comme vous l’aimez. Aternance de douceurs, de caresses, de coups. Vous me détachez la corde de mes cheveux et vous regardez avec délectation le crochet anal sortir de mon petit fion. Puis vous me libérer les mains. - A genoux. - Sans force, je m’exécute. - Vous mettez mon collier sans ménagement. Vous le serez très fortement que mes mains ont envie de s’en défaire. Vous les rejetez au sol en me demandant ce que sont ces manières. Puis vous tirez sur la laisse. - Avancez et suivez moi avec élegance. - Au pied. Vous vous asseyez, puis défaites mes cheveux, vous me caressez les cheveux, passer vos doigts sur mes lèvres. Ma tête se penche appréciant cette caresse des plus délicates. Vous aimez garder ma laisse courte et ferme. - Servez- moi un verre. - Je m’empare du champagne et de la coupe et je vous sers. - Savez vous que tout à l’heure vous m’avez provoqué en buvant votre champagne comme une petite princesse ? Vous me faîtes m’allonger sur vous. Mes fesses sur vos jambes. Vous reposez le verre sur mes fesses. Vous prenez votre temps. Vous approchez le verre de ma bouche, vous tirez fort sur la laisse. Maintenant je vous ordonne de le lécher dans cette coupe, comme une bonne chienne le fait. - Sortez votre langue et lapez. Vous n’en ratez pas une miette. Cela vous excite. Vous me faîtes descendre et me demander de venir entre vos jambes, de m’accroupir, les jambes écartées. Vous défaites votre pantalon. Agenouillez, à vos pieds, je vous regarde dans les yeux. - Vous savez ce qui vous reste à faire petite catin ? Avec la laisse, vous m’approchez de votre jambe, puis mettez ma tête en direction de votre queue. Je m’empare de votre sexe, je commence à le lécher tout d’abord, je vous regarde et met votre gland dans ma bouche, je l’aspire, je joue avec lui. Mes mains s’emparent de vos couilles, à quatre pattes entre vos jambes, me cambrant tout en vous suçant J’entend vos cris de plaisir et vos mots crus. Vous mettez vos mains sur ma tête pour la maintenir et bloquer votre sexe dans ma bouche, si chaude. Vous vous relevez, me tenez par la gorge et me baissez la bouche, rudement. J’en bave. Vous me tapotez même le visage avec votre queue, vous me giflez aussi. Vous me félicitez pour la bonne suceuse que je suis. Puis vous jouissez sur mes seins. - Dites-moi que vous êtes une putain. - Monsieur, je suis une putain. Vous m’attachez ensuite à cette poutre horizontale, les mains dans le dos, chaine courte, tout en me laissant au sol., les yeux bandés et baillonnée. Vous partez. Le temps passe… Je suis là à vous attendre. Soudain, j’entend le son de l’eau couler dans la baignoire. - Je vais vous laver. J’aime que vous soyez propre quand je vous utiliserai à nouveau. Vous m’enlevez une chaussure, puis l’autre. Vous me guidez jusqu’à la baignoire. La température de l’eau est exquise. Toujours les yeux bandés, vous êtes derrière moi. Vos mains saisissent mes globes et les serrer fortement, pour prendre ensuite mes tétons et les tirer. Puis vous commencez à me laver. Vos mains sont douces, elles parcourent tout mon corps. D’abord les pieds, les jambes puis les cuisses, mon dos et mes seins. - Relevez vous et mettez- vous à quatre pattes. - C’est ainsi qu’on lave une gentille chienne. Vos mains écartent mes fesses. Je me sens honteuse d’être ainsi. Vos mains passent sur mon sexe mettant quelques doigts dans ma petite chatte de salope. Vous lavez mes orifices. Vous aimez jouer avec le jet d’eau dessus. Vous me voyez me dandinez comme une petite chienne qui a envie de prendre son plaisir. Vous me faîtes sortir de l’eau et me séchez. Je trouve ce moment très érotique et sensuel. Vous me faites asseoir sur cette chaise. Vous attachez mes mains dans le dos. Il faut dire que le dossier de cette chaise est pratique. Puis ma cheville droite au pied droit de la chaise et de même avec l’autre pied. Vous enlevez mon bandeau. Vous me repeignez, me parfumez. Quand je découvre les pinces sur le rebord du lavabo, je trésaille. Vous me regardez droit dans les yeux. Vous prenez une pince et la mettez à hauteur de mes yeux. Ces derniers s’écarquillent. Vous prenez mon sein droit dans vos mains, et tirez sur le téton, et y mettez une première pince.. Je crie de douleur. Puis c’est au tour du second. - Que serait une belle putain sans ses bijoux. Il y renonça voyant que je ne pouvais les supporter. - Il vous manque votre maquillage. Vous prenez la bougie que vous aviez amené avec vous… Vous vous amusez à regarder les formes avec sa lumière, je ressens la chaleur de la flamme. Ma respiration s’accélère. Vous me caressez le visage avec une douceur puis faite basculer la cire sur mes cuisses. Assez haut pour que je m’habitue, puis sur mon ventre, sur mon mont de venus, sur mes seins. Puis vous me laissez ainsi, vous me baillonnée dans le noir. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi. Vous revenez. J’ai complètement perdu la notion du temps. Vous me détachez et nous sortons de la salle de bain. Là vous me poussez sur le lit, je me retrouve sur le dos. Vous me caressez tout en maintenant fermement les poignets. Je sens votre souffle dans le creux de mon cou. J’aime sentir vos doigts sur mon cou, cette étreinte si érotique. D’un coup net, vous me dites de ne plus bouger. Vous m’immobilisez les mains et les pieds pour que chacun de mes trous soient à offert. Vous en profitez pour me claquer les fesses à nouveau. Là vous mettez vos doigts dans ma bouche, puis avec ma mouille, vous insérez un doigt dans mon cul, déjà dilaté par le crochet anal et vous commencez à me fouiller sans ménagement. Je mouille encore plus. Puis me voyant si dégoulinante, vous ne pouvez vous empêcher de me doigter aussi ma petite chatte. - Alors petite chienne, on aime se faire fouiller ? Dilater ? Baiser ? - Oui Monsieur. Je vois un sourire se dessiner sur vos lèvres. Là vous me giflez, me tenez par le cou, vous le serrez.. le serrez. - Suppliez moi de vous enculer comme une putain. - Monsieur, je vous en supplie, baisez moi, enculez moi comme la putain que je suis. Une fois votre queue introduite, vous me pillonnez, me frappez les seins, vous m’insultez. Vous me retournez , me placez le cul au bord du lit pour me prendre en levrette. Puis vous écartez mes fesses pour admirer votre queue sortir de mon cul et voir votre œuvre, pour mieux replonger dedans. Vous me claquez les fesses, vous me chevauchez comme une pouliche. Vous tirez sur mes cheveux, puis pour mieux me prendre profondement, vous me relevez par le cou.. Je suis votre poupée. - Quelle putain vous faîtes ! Je vous prendre plaisir à vous éduquer à vous montrer où est votre place de chienne. Vous caressez mon clitoris en même temps. Je sens une vague arriver et je vous l’indique. - Monsieur, je suis sur le point de jouir. - Je vous l’interdis !!! Vous vous arrêtez. Vous commencez une fouille de ma chatte avec plusieurs doigts tout en goutant à ma chatte. Vous entamez des va et vient à une telle vitesse qu’un liquide jailli de ma chatte sans que je puisse le controler. - Une femme fontaine.. hummm.. Petite salope. Vous êtes une vraie chienne, baiser à utiliser. Je reste interdite, honteuse sur le lit. Vous me détachez. Je suis épuisée. Vous me prenez dans vos bras. Reposez- vous quelques instants, puis allez- vous préparer pour la nuit. J’exige que vous portez votre collier. Je reviens de la salle de bain, avec comme seule vêtement un deshabillé en soie. - Enlevez moi ça, je vous veux nue à mes côtés. - . Vous m’enchainez les jambes et me menottez les bras à la tête de lit…
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