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Mademoiselle_Lane

femme soumise. Vit à Strasbourg, Alsace, France. 47 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 26/10/16
Dans un lieu un peu mystique, plein de charme, de vieille pierre, la pièce est sombre, seul le jeu des flammes des bougies laisse paraître la beauté du lieu. Le sol est en damier noir et blanc fait ressortir ce magnifique canapé en velours rouge, et le lit qui domine la pièce appelle à une invitation à s'y prélasser. J'ai reçu une lettre me demandant de m'y rendre, je suis intriguée. L'écriture est sensuelle, les mots provoquent en moi une excitation mais aussi une peur. Je dois être vêtue d'un serre, terre, d'une culotte ouverte, de porte jarretelles, et le tout caché par un long manteau. Je ne dois rien porter d'autres. Arrivée dans cette chambre, je découvre, posée sur le canapé, une lettre avec une rose. Je caresse de mes doigts les pétales de cette rose, les apporte à mes lèvres. Je m'interroge, et je ressens la douceur sur mes lèvres qui me fait frémir. Le lettre, signée par Monsieur me dit : "Enlève ton manteau, dirige toi vers le lit et met sur des yeux le bandeau que tu y trouveras" Attend moi ainsi sur le dos et les jambes écartées. Le temps passe, j'ai peur, puis j'entend l'ouverture de la porte. Depuis que j'ai reçu les lettres de Monsieur, il a su m'ensorceler. Je le connais que de ses écrits, je ne connais pas son visage. Cet inconnu m'excite tellement mais ai je fait une erreur? suis folle de m'offrir ainsi... mais je suis dans mon fantasme, tout est permis. Je sens les pas se diriger vers moi... ma poitrine se soulève de plus en plus. Je sens une main se poser sur ma cheville. Elle remonte doucement vers mon sexe, mais le contourne, il se rapproche. Son parfum m'envoute. Il pose un doigt sur ma bouche et me susurre à l'oreille que je ne dois rien dire et que je dois être une belle chienne obéissante. J'acquièse de la tête 'Pas un seul mot' je veux entendre, juste tes gémissements. Je n'ai qu'une envie retirer, ce bandeau, ma curiosité est très forte, mais en même temps, je sens mon sexe s'humidifie à l'idée de ce qu'il va m'arriver. Il me relève et m'emmène au niveau de la pièce, Il demande de garder mon bandeau. "Ecarte tes jambes" me dit il, si tu oses les refermer à nouveau, je vais me montrer encore plus sévère. Je m'exécute, il m'inspecte, prend mes seins dans ses mains, met ses doigts dans ma bouche. Il me fait me pencher en avant, afin que je prenne une position obscène et je sens la douce fermeté de ses mains s'abattre sur mes fesses, puis une seconde... Puis il passe sa main sur les lèvres de mon sexe.. "Tu mouilles, bonne petite chienne"... Il me fait m'agenouiller,enlève mon bandeau.. il va s'asseoir sur ce magnifique canapé. Il me demande de marcher a genou jusqu'à lui. Arrivée à la hauteur de ses jambes, assise au sol, il me demande de baisser de le regard. Je résiste, mais la fermeté de sa voix me fait tresaillir. Il me passe un collier, il resserre la laisse, je n'ai pas le choix que de me rapprocher de son sexe. Regarde ce qui t'attend me dit il. Prend le dans ta bouche. De sa main, il m'empoigne par les cheveux et rythme la cadence. Je suis excitée au plus haut point car j'adore ça. Il stoppe d'un seul coup, et me demande de me mettre à quatre patte sur le lit. Il me dit de bien me cambrer afin de bien montrer mon sexe. Puis d'un seul coup, je sens un doigt, puis deux s'insérer dans mon sexe. Il veut voir combien ll peut en mettre dans cette chatte, qui ne mérite que ça. Cela me fait encore plus mouillée, cette idée de me faire fouiller dans l'ensemble de mes trous. Il m'interdit de jouir mais je n'en suis pas loin tellement j'adore ça. Il me dit maintenant que je suis bien dilatée comme il faut pour apprécier ce qui m'attend. D'un seul coup, il me chevauche sauvagement en levrette, me tient par les cheveux, m''insulte de mots bien salaces, qui ont pour effet que de me faire mouiller encore plus. Puis il me dit qu'il ne veut pas entendre un seul mot quand il me sodomisera...
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Par : le 26/10/16
J’ai reçu par la poste un colis. Je m’empresse d’ouvrir cette boite legère en bois magnifique. Le fond est en velours noir, une lettre en vieux papier enroulé fermé d’un ruban rouge attire toute mon attention tout comme ce masque Je déserre le ruban et commence à lire le contenu : Nous serions ravis de vous compter parmi nos invités, à notre bal masqué qui se tiendra le Samedi 30 Juin au Château de Tilloloy. Il est impératif de porter votre masque ainsi qu’une tenue baroque. Une chambre vous a été réservée. Je regarde sur internet et découvre ce magnifique château, ses écuries, sa chapelle et son magnifique parc. Mon cœur s’emballe à l’idée de me retrouver dans ce magnifique château? Je suis enthousiasmée comme une jeune écolière ! Mais qui peut bien m’envoyer cette invitation ? Elle n’est pas signée par une main… juste marquée par des armoiries. Je suis tellement intriguée, presque fascinée car j’ai toujours rêvé de participer à un bal costumé masqué. Tout m’inspire, la musique, le lieu, le thème. Et là 10 000 questions : qui a bien pu me l’envoyer , que vais-je mettre ? où vais trouver une robe baroque, où vais-je dormir ? comment me coiffer ? quel parfum porter… et toute l’intendance. Le grand soir est arrivé. Je porte une perruque avec une coiffure assez sophistiquée, un maquillage avec un teint clair et du rouge à lèvres rouge à mes lèvres. J’ai également un éventail en plume d’autruche avec lequel je me délecte de jouer pour cacher mon sourire. Mon masque en dentelle noir me colle à la peau. J’arrive d’une main tremblante à l’entrée de ce château. Je m’avance jusqu’à son entrée. Des bougeoirs, des lustres en cristal, des chandeliers, la musique est fascinante. Je me sens transportée au XVIII eme siècle. Curieuse, je m’avance de salle en salle, je monte aux différents étages, je redescends par ce magnifique escalier de pierre… Quelle beauté. Je m’appuie contre une colonne et observe ce magnifique spectacle , tout le monde est masqué. Je m'imagine des histoires, des intrigues. Qui serai je ce soir ? vainquerai je ma timidité ? Tout un coup je sursaute. - Bonsoir Belle Inconnue. Cet homme s’est rapproché de moi avec des pas de velours, j’en ai sursauté. Mon corset me serre la taille et ne fait qu’accentuer mon décolleté. Je me retourne et nos visages sont proches. Je me sens captiver par ses yeux noirs persants. - Aimez vous jouer ? me dit il - Intriguée, je répond.. oui - Je vous propose une partie de cache- cache à travers le château. - Si je vous retrouve, je pourrai faire de vous, ce qu’il me plaira. Amusée, je lui répond essayez toujours. Nos chemins se séparent, il m’a laissé 10 min. Avec ma longue robe, il va m’être difficile de me cacher. Je passe de portes en portes, de chambres en chambres.. trop simples. D’un seul coup, une porte suscite mon intérêt non loin de l’escalier. Je l’ouvre et un autre escalier descendant vers le bas s’ouvre devant moi. Des flambeaux au mur éclaire mon chemin. Voila la cachette idéale ! J’y descend, et me cacher derrière une petite alcove. Mon oreille est intrigué par des sons… des bruits de ferrailles, des gémissememts. Mais où suis-je ! Le temps passe, il me m’a pas trouvé ! Je souris de ce coté maline en moi. Je m’avance pour découvrir ses pièces cachés quand tout un coup, je sens une main s’abattre sur ma bouche : Je t’ai trouvé ! Maintenant tu es à moi et je vais faire de toi ce que je désire. Il ne se gène pas pour effleurer de ses mains gantés mes seins. Il me fait avancer et pénétrer dans une pièce sombre, presque lugubre, eclairée toujours par des flambeaux. Accrochés au mur, des anneaux, des chaises, des cordes puis je remarque d’autres accessoires qui me font grandir les yeux Je souhaite sortir, je me débat. Il me regarde et souris : - quelle biche aux abois, me dit il. Je vais prendre un très grand plaisir à t’apprivoiser, jusqu’à ce que tu sois à mes pieds, douce et soumise. Il arrive à grands pas à moi, me plaque contre le mur et saisi mes poignets au dessus de ma tête. - Tout doux ma belle, plus tu seras sage et obéissante, plus doux sera ta punition. Je me débat, alors il m’attache et accroche mes poignets à une corde, fixé à un anneau au plafond. Je me retrouve sans défense, prise au piège, que vais-je faire maintenant? Il déchire ma robe comme si j’étais une vulgaire putain. - Voila qui est mieux ! me lace t il. Il dégraffe légètement mon corset pour en faire sortir mes seins, il les pétrie, serre mes tétons .. j’en lache un cri de douleur. Je proteste : - Tais toi, si j’entend encore une protestation, je te fouette. Vois tu ce fouet là bas ? Et là j’ai peur, je trésaillis. Je me retrouve complètement immobilisé. Jambes écartées, seins à l’air, les bras au dessus de ma tête. Finalement, il décide de se saisir du fouet et de me fouetter pour me rendre plus domptable. Il me fait même compter les 5 coups qu’il me donne. Puis il se rapproche de moi, essuie de sa main les larmes qui coulent de mes yeux et me caressent le visage. Voila qui est mieux me dit il ! Ai-je toute ton attention maintenant? Je hoche de la tête et je dis oui. Il détache mes poignets et me fait aller vers une sorte de cheval d’arçon. Il attachent ma taille à ce cheval, et mes poignets de par et d’autres, tout comme mes chevilles. Je ne peux pas bouger ni me mouvoir. - Quelle belle pute tu fais, me dit il - Je vais m’occuper de toi, comme il se doit. Ma posture lui offre mes fesses, mon cul et ma chatte. Je sens qu(il aime regarder ce dessin, le sillon de mes fesses et l’ouverture que dessinent les lèvres de mon sexe. Il m’insère sans ménagement un gode dans ma chatte, attaché à un manche et s’en amuse. Honteusement j’en mouille.. Il se rapproche et me claque les fesses. - Il met ses doigts dans ma bouche et me demande de bien les mouiller. - Il me caresse les cheveux.. et me traite de brave chienne bien docile. - Il plante un doigt, puis deux… puis trois.. puis un quatrième, j’en ai mal.. Il me dit -ferme là ! et prépare toi à recevoir ma main dans ta chatte de salope. Tu ne mérites que ça. Il accompagne tout cela en me mettant un doigt dans le cul. - T’aime ça en plus, tu as vu comme tu mouilles, petite chienne. Voila… ta chatte est à présent disponible pour recevoir toutes les queues. Eh oui une chambre t’a été réservé.. eh bien la voici, il faut bien payer son du ! Un second homme arrive. Lui se met devant moi et me force par la bouche, le second me pilonne en me faisant, m’insultant, me demande si j’aime ça. Un troisième homme entre, puis plusieurs personnes. Je suis le spectacle de la soirée sans le savoir. Une femme s’approche de moi et écarte mes fesses pendant que je me fais prendre, et insère un doigt dans mon cul et en joue.. Elle me susure à l’oreille quelle bonne chienne je fais. Puis elle se saisit d’un gode qu’elle enfonce dans ménagement dans mon cul… La nuit ne fait que commencer…
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Par : le 26/10/16
L'écriture est pour moi un moyen de m'exprimer. Nous sommes allées au restaurant, tu étais habillé avec une chemise blanche, sobre et chic, un pantalon bleu marine. Je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer à quel point tes chaussures étaient superbes. C'est à mes yeux un signe d'élégance. Tu m'avais emmené dans un restaurant que j'affectionne, j'ai senti toute la soirée ton regard sur moi, persant quand tu me regardais droit dans les yeux, pervers quand tu le plongeais sur mon décolleté.. Je me montre joueuse ce soir, je te cherche, te taquine. Tu ne dis rien.. Nous repartons, tu me proposes un dernier verre chez toi. J'accepte Arrivés chez toi, tu allumes la lumière, enlève mon manteau, tu es très gentleman. Sur une commode, je découvre un paquet cadeau, je me demande si c'est pour moi. Entre temps, tu as allumé quelques bougies afin de rendre un côté tamisé à la pièce. Tu passes à coté de moi, libère ma nuque de mes cheveux, me masse tranquillement, et m'embrasse fougueusement dans le cou.. tu me tends le paquet.. C'est pour toi... Je suis agréablement surprise car je n'ai pas l'habitude des cadeaux. Tu te diriges vers ton mini bar. Tu en sors un verre et une bouteille de Nikka.. J'en admire la robe à travers l'éclairage. Tu me regardes sévèrement et tu me dis : "N'ouvres tu pas ton cadeau"? Je m'exécute, j'ouvre la boite et y découvre un baillon avec un anneau en métal. Je suis déconcertée! -Qu'est ce que cela signifie? dis je -je suis choquée. -Tu es choquée? non tu es une belle chienne, me retorques tu! - Et je vais dévoilée cette nature qui se cache en toi. Deshabille toi. Tu pars d'asseoir dans ton canapé, ton verre à la main. - Enlève lentement des vêtements, déhanche toi. Je fais tomber lascivement ma robe à mes pieds. Je me retrouve debout, face à toi. Tu admires le choix de ma lingerie. Je porte ce serre taille avec cette magnifique culotte ouverte, un soutien gorge sein nu. Ils se dressent devant toi, comme une offrande.. Tu en salives. Tu me demandes de me tourner, de poser mes mains sur le mur, de me cambrer afin d'admirer ma croupe. - Ecarte avec tes mains tes fesses que je vois tes trous. - Tu es vraiment une belle chienne, me dis tu. - Ne bouge pas. - A partir de maintenant tu vas devenir ma poupée, ma putain. Je tressaillis. Tu t'absentes quelques minutes et revient. Retourne toi, et baisse les yeux. Tu places ce plateau entre mes mains, dessus j'y découvre ton verre de whisky, des glaçons déposés dans une coupelle, un fouet, et le cadeau que tu m'as offert. Tu gifles mes seins, les pétris, et pince mes tétons. Voilà comment ils doivent être : dressés! comme toi. Tu t'empares d'un glaçon et le fait passer sur mes seins, mes auréoles, tu les mordilles, les suce, tes mains se posent sur ma gorge, elles y font une étreinte douce. Tu passes ensuite ce glaçon sur les lèvres, dont tu en prends t'empare ensuite. D'une voix suave, tu dis à mon oreille. petite trainée, me dis tu. Je répond "Oui, je suis votre petite trainée" Et là tu me gifles. Qu'ai je dit!? Pas un mot, petite salope. Tu t'empares du baillon et me le met en bouche. - Voila, un vrai trou pour ma queue. Je vais te baiser par tous tes trous. Tu saisis le fouet : -je t'interdis de bouger, de gémir. Tu fouettes mes fesses, mes seins. Puis tu reprends une gorgé de whisky et le repose. - Qu'est ce que c'est que ces jambes fermées. Tu vas me les écarter de suite. Tu me punis fermement, pince mes petites lèvres avec tes mains. Et tu introduis un glaçon dans mon sexe brulant. Va dans la chambre, installe toi sur le dos, la tête en bout de lit. Je veux voir ta tête avec ta bouche prête à accueillir ma queue. J'arrive dans la chambre, je vois différents objets.. je frémis. Une fois installés.. J'attend.. j'attend. Tu entres, retire ton pantalon. Ma bouche reste ouverte par le baillon, prête à ce que tu m'utilises comme il se doit. Sors ta langue, petite chienne. - Voila, tu l'as voulu toute la soirée, fais lui honneur. Lèche... - tu enfonces ta queue dans ma bouche et commence à me baiser. Je proteste, et tu me tiens par la gorge m'assaillant de coup , encore et encore. Ma bouche bave, mes yeux pleurent. Tu adores voir mes seins bougés au fur et à mesure que tu me baises la bouche. Tu me dis que je ne mérite que ça, que je ne suis qu'une pute. Tu éjacules sur mes seins, et m'ordonne de ne pas bouger. Je n'arrive pas à savoir combien de temps tu es parti, mais je me sens souillée, sale, humiliée. Tu reviens et me dis : met toi à quatre pattes, comme une bonne chienne. Tu me met un collier harnais, afin de m'attacher les mains dans le dos. Avec ces contraintes, je suis complètement à ta merci. Tu me rejettes ensuite en avant, me laissant dans une position si obscène. Ma tête contre le lit et mes fesses levées. Voila une belle position de putain. Tu sors un plug en cristal transparent. Tu l'enfonces sans ménagement dans mon cul. Tu aimes jouer avec mes fesses, les fouetter... tu enlèves mon baillon. Si tu souhaites parler c'est juste pour me dire que tu es ma pute, ma trainée. Tu sors, re-entre ce plug. J'ai mal. Mais cette douleur reste délicieuse. Puis tu commences à me fouiller avec tes doigts. Tu me demandes, combien de doigts peuvent rentrer dans cette petite chatte, ou dans ce petit fion, si serrés. Je n'ose répondre... Tu places deux doigts de chacune de tes mains dans mon cul, tu m'écarteles. Je vais te préparer à recevoir ton du, petite catin. Tu me demande de dire que je suis ta catin.. Je me sens honteuse, je baisse les yeux : " Oui je suis votre catin" Il est bon de reconnaître ce que tu es, me dis tu. Tu continues de me dilater, tu adores ça, tu me dis que mon cul doit être comme le trou de ma chatte, béant! Tu tiens derrière moi, place ton gland au bord de mon petit trou. Là, tu me demandes de l'empaler dessus à mon rythme. Pendant ce temps là, tu me fesses. Elles sont toutes rouges. Tu adores cette position de salope que j'ai. Tu me tiens par les mains qui sont attachées dans mon dos et tu me pilonnes, m'insulte. Ma chatte est complètement humide, un filet de bave en coule. Tu me caresses en même temps le clitoris, introduis quelques doigts dans ma chatte... Je te demande la permission pour jouir. Puis, tu jouis sur mes fesses. Tu sors et me laisse là.. sale à nouveau...
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