Nous arrivons chez mon maître. Il me pousse à l'intérieur de son antre, sans ménagement et la douceur dont il a fait preuve quelques minutes auparavant se transforme en puissance et intransigeance dans ses gestes, son regard et sa parole.
- A mes pieds, de suite, m'ordonna t il.
Il m'empoigna les cheveux avec une force, tout en m'obligeant à marcher à quatre pattes jusqu'au canapé.
- Deshabille toi de suite, adosse toi contre le canapé et écarte bien tes jambes de chienne.
Une fois exécutée ses ordres, je m'offrais à lui. Il s'agit en face de moi, dans son fauteuil chesterfied marron. J'entend le son du cuir dans qu'il s'asseoit dedans.
- Ecarte moi ta chatte et ton anus avec tes doigts que je puisse bien de voir.
- Tu aimes ça, hein? montrer tes trous en espérant être prise, me questionna t il.
- Oui Maître.
Maintenant, tu vas te préparer à m'accueillir.
- Ouvre moi ta chatte davantage, écarte bien tes petites lèvres.
- Mieux que cela ce n'est pas suffisant, tu n'es pas assez ouverte ma petite putain.
Je le sens s'énerver. Puis il se lève et reviens avec un speculum.
Je vais vérifier que chacun de tes trous soit propre, et bon à à la consommation.
Il me mis un baillon et me regarda avec froideur. Je frémis.
Il fit claquer un gant, et commença son examen.
Je sentie le bec en métal, froid me pénétrer. Il me massait doucement le ventre durant cette opération. Puis il commença à écarter ma chatte doucement, doucement, et toujours un peu plus.. un peu plus jusqu'à ce qu'elle soit béante. Il s'amusa à y mettre quelques doigts et me narguant en me disant:
- Voila un bon garage à bites. Je pense que deux rentrent facilement dans ta chatte de pute.
Puis il me laisse ainsi les jambes relevées, la chatte grande ouverte. Il est parti se servir un verre, et revient avec un glaçon qu'il insère délicatement dans ma chatte. Je suis toute déconcertée par ce que je ressens. Sentir le glace fondre au fond de mon gouffre vaginal. Il admire son spectacle tout en sirotant son verre.
Je veux que tes orifices soient propres. Ils doivent être vérifiés régulièrement. C'est pourquoi je t'examinerai toujours en profondeur comme il faut. Je ne veux rien négliger : ta bouche, ton anus, ta chatte, tout doit être propre.
Tiens en parlant de ton anus, sache que ce soir je n'utiliserai que ton fion tout serré.
Il se rapprocha de moi et pris mes joues dans sa main droite et mis une pression.
- Est ce bien claire, petite chienne?
Je pris un regard appeuré et lui fit un signe affirmatif de la tête.
Il me regarda encore une fois ainsi, sortie son téléphone pour me prendre en photo.
- que c'est bon de prendre ma putain en photo ainsi exposée.
Puis il me retira doucement le speculum et me massait doucement le clitoris.
- Garde tes jambes écartées.
Il s'agenouilla et me lecha. Il passa avec délicatesse sa langue puis écarta de son pouce et majeur mes lèvres pour donner libre accès à mon clitoris tout gonflé. Il l'aspira, le lécha tout en introduisant un doigt dans mon cul. Il s'amusa aussi à me claquer la chatte, me suprenant. je voulais refermer les jambes mais j'essayai de me contrôler à les gardes ouvertes.
Il releva la tête et m'ordonna de me caresser les seins, doucement et de remonter jusqu'à mes tétons.
Maintenant, tu vas les pincer, assez fort puis relacher, ainsi de suite, pendant que je m'occupe de toi.
Mes seins commencèrent à pointer et mon excitation se faisait ressentir, je mouillais.. Je sentais mon maître se délecter.
Puis il releva la tête, voyons que je ne faisais que profiter de ses douces caresses.
Voici que je ne faisais pas correctement ce qu'il me demandait, il prit dans chacune de ses mains mes tétons et les pinça.. encore plus fort et les tira vers l'avant. J'avais envie de crier mais je ne pouvais pas.
Il me regarda et me gifla. Il se releva, m'empoigne à nouveau et m'emmena jusqu'à la salle de bain.
Là, il me fit mettre face contre terre, le cul relevé. Il me donna la fessée me donnant envie d'échapper à sa punition.
Puis il transforma la fessée en une caresse apaisante.
- Ecarte ton cul avec tes main. Expose bien ton anus.
- Il se saisit d'une poire de lavement qu'il avait rempli d'eau. Il enfonça la pointe dans mon anus et commença à appuyer sur la pompe de la poire, afin que le liquide reste en moi.
- Tu as intérêt à tout bien gardé en toi.
Il renouvella l'opération une seconde fois. J'avais une envie terrible de tout lacher, d'uriner aussi.
Il fit me redresser et me mis sr les toilettes.
- Allez tu peux pisser de ton anus. Je t'autorise. J'étais si honteuse de le faire devant lui. Je n'aime pas cela. Puis il me jeta à terre à nouveau pour que mon cul soit bien relevé. Il se mit debout au dessus de moi, Je ne pouvais voir ce qu'il faisait.
- quelle bonne position de chienne, tu vas être prise pour la chienne que tu es.
J'ouvris mon cul pour lui offrir comme il se doit mon petit anus.
Il y introduit doucement un premier doigt. Il fit des vas et vient avec une douceur comme pour prendre la température. Puis il passa sa main sur ma chatte. Il amena sa main à ma bouche :
- Lèche, il sera dommage de ne pas profiter de ton excitation.
Puis il mit le bout de son gland à l'orée de mon orifice. Puis il s'engouffra. J'étais si serré, j'en avais mal.
Il pris son temps, tout en me claquant les fesses. Puis mon cul cédé sous la pression de son sexe gonflé. Il commença quelques va et vient, doucement pour que mon anus s'ouvre.
- J'aime te sodomiser ma chienne. Puis il accentua son emprise. Il se stoppa et me prit dans l'autre sens, tout en m'agrippant par les cheveux, afin que je me cambre, que je mette en avant ma cambrure et ma groupe, pour m'enculer bien à fond.
- Demande moi de te défoncer.
- Maître, défoncez moi le fion, s'il vous plait.
- Plus fort ma salope
- Maitre, défoncez moi le fion, s'il vous plait.
- Qu'est ce que tu es?
- votre chienne, maitre.
Puis il m'encula encore plus fort tout en me fessant.
- Enfonce toi deux doigts dans ta chatte.
Je sentis que mes doigts dans ma chatte, appréciai de ressentir la queue de mon maitre en train de me besogner.
- Maintenant caresse aussi ton clito .
Je commençai à ne plus en pouvoir tellement c'était bon.
- Maître, j'ai envie de venir, s'il vous plait.
- C'est bon je t'autorise à jouir ma salope.
Une immense vague m'envahit, incontrôlable. Je n'avais plus de force à rester dans cette position. Il continua à me pilonner jusqu'à sortir et éjaculer sur mes fesses.
Il saisit une serviette juste à coté puis me retourna.
Je pleurais.. il essuya du pouce mes larmes, me releva et m'emmena à son lit, pour que je me repose à ses côtés
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- Ne bouge pas me dit il.
Il me plaqua contre le mur, déchira ma culotte et m’ordonna de tendre mes fesses, de bien les écarter.
Sans ménagement, il y introduit un œuf vibrant dans ma chatte. Je me retournai ensuite à table parmi nos amis. Je n’aime pas ne pas avoir de culotte, je mouille tellement que cela en est presque désagréable.
Tout au long de la soirée il s’amusa, à l’insu de nos amis, à me masturber à distance. Il m’était très difficile de me concentrer sur la conversation que j’avais avec mon amie. Cette dernière me regardait avec un regard en me disant :
Mais est ce que tu m’écoutes ?
Pouvais-je lui avouer que j’étais en train de prendre mon pied pendant qu’elle me parlait de sa série qu’elle aimait regarder à la télé… Je regardais mon maître amusé par cette situation. Garder le contrôle. C’est si difficile quand c’est bon, de devoir se retenir. J’aime ce petit jeu, il ne paye rien pour attendre. Mon coté femme de tous les jours ne demande qu’à se venger en le provocant de plus belle.
La soirée se termina au rythme de ses assauts télécommandés. Nous repartîmes vers la voiture. Assiste sur le siège passager, il m’ordonna de mettre mes jambes sur le tableau de bord et de rester la robe relever. Je rougis à l’idée que quelqu’un puisse me voir.
-Mets toi deux doigts dans ton cul . Fais des va et vient.
Je m’exécute. Pendant ce temps il démarre, tout en continue à faire vibrer l'oeuf... Je mouille, je mouille..
Pensant que nous rentrons à la maison, il pris une autre direction.
Au feu rouge, il claqua mon sexe avec sa main. Je ne puis m’empêcher de refermer mes jambes.
- Ecarte, me dit il.
- Où allons nous, demandai je ?
- Un endroit où je peux montrer la belle salope que tu es.
Je me sens honteuse quand il me dit cela mais en même temps j’adore ça.
Nous arrivons dans ce club liberté allemand où j’étais allée dans le passé. Il sortit du coffre quelques affaires. Il m’avait choisit une tenue : un corset underbust ainsi qu’une jupe jarretelle et une culotte ouverte.
- Allez ma petite chienne... habille toi.
Nous passons de salle en salle pour découvrir les différents univers, ensemble.
Dans la partie bar, une superbe musique pour danser, de bons cocktails, puis des endroits plus intimistes où on peut s’amuser à faire l’oiseau dans sa cage dorée. Mon Maître m’ordonna d’aller justement danser dedans et de bien mettre en avant mes attributs. J’entrepris de danser comme j’aime le faire, avec sensualité, glamour sans jamais être vulgaire, en prenant soin de passer la main sur mes seins, puis de les caresser, de prendre mes tétons, de les pincer pour qu’ils se dressent fièrement. De passer mon majeur délicatement sur ma bouche, de mettre ma main sur mon cou, de caresser mes seins, de me retourner et remonter mes fesses, de jouer avec les barreaux de la cage… Mon Maître, assis dans un fauteuil, presque dans l'ombre, continue à me faire vibrer... me faisant stopper ma danse,.
Quelques hommes me regardent. Le fait de les voir me regarder m’excitent terriblement.
Puis mon maître m’ordonne d'un geste de le rejoindre.
Plusieurs hommes passent à notre hauteur et me prennent par la main. Une invitation à une partie fine à plusieurs.
Mon maître leur fait comprendre que c’est lui qui décide qui me défonce la chatte, le cul ou la bouche. Nous arrivons jusqu’au donjon SM du club. Là il décident de m’attacher les mains au dessus de la tête avec des chaînes. Puis il commencent à me gifler les seins, les malaxer. Il sort des pinces pour mes tétons. Et là j’ai envie.. d’hurler. Je suis tellement sensible des tétons. Je le regarde, suppliant de ne pas le faire.
L me serra tellement fort le téton tout en faisant vibrer l'oeuf dans ma chatte, que je ne sentie presque pas quand il me mit la pince. Il fit de même de l’autre. Les deux pinces sont reliées entre elle comme un bijoux. Il s’amuse à jouer avec les pinces et sa télécommande.
Des hommes et des femmes curieux passent, restent.. Il me met à la disposition des personnes voulant profiter du spectacle. Mon maître commence le travail sur moi, m'enlève l'oeuf et vérifie que je sois parfaitement trempée à souhait.
Plusieurs hommes se mettent à me caresser, une femme commence à me pincer les lèvres de mon sexe et à introduire quelques doigts. Je suis comme ivre de cette situation, en me demandant si ce qui se passe est bien réel.
Mon maitre met un fouet à disposer des personnes désireux de me punir. Je sens des claques, des coups de fouets, des caresses. C’est très particulier. Je ne comprend pas ce qu’on me dit, je ne parle pas allemand.
Un homme s’approche de mon maître, je vois qu’il hoche la tête à l’affirmative.. On s’approche de moi et on me détache. On me met ensuite sur une sorte de balançoire suspendue destinée à me faire baiser facilement.
L’homme avec qui discutait mon maitre, se munit d’un long sexe toy lié à un long bâton . Il commenca à me défoncer la chatte, Il y va de plus en plus fort. Puis au bout de quelques minutes, il s’approche et me doigte à une telle vitesse, que je ne peux me retenir d’en mettre partout. Une vraie fontaine. Puis il introduit sa bite dans ma chatte et me fourra bien profondement, encore et encore, cette balançoire suspendue en cuir lui garantissant de me remplir entièrement.
Les pinces que mon maître me mit sur mes seins n’arrêtaient pas de bouger et cet allemand aimant tiré dessus pendant qu’il me baisait.
Mon maitre me releva, je ne tenais presque plus debout, Je fis des cris de douleurs quand il m’enleva les pinces.
Une femme arriva pour me les lécher, ce qui apaisa ma douleur.
Il me metta à quattre pattes. Il me demanda de me tenir, de bien me cambrer,d’ouvrir la bouche et de sortir ma langue.
J’étais à la disposition de qui voulait me chevaucher par la chatte ou la bouche..
Mon maître se réservait mon fion. Il demanda ensuite de m’empaler sur un autre allemand, je me retrouvais à califourchon sur lui.
Il me claquait les fesses, les seins. IL prenait un malin plaisir à les malmener, il me serrait la gorge.
-Allez baise- le mieux que ça, dit mon maître
- Oui maître.
Je vois que tu n’écoutes rien, tu appelles ça baiser ?
Il m'empoigna par les cheveux et me dit :
- Vu que tu n'arrives pas correctement à écouter, on va te montrer ce que c'est que d'être baisée, petite putain.
Sans ménagement, comme un objet, il plaqua contre le torse de cet allemand qui se calma de baiser ma chatte.
L'allemand s'amusa à écarter mes fesses pour donner un accès facile à mon maître.
Ce dernier introduit sans ménagement un doigt dans mon cul, puis sans cérémonie, le remplaça par le bout de son gland. Il mis ses mains sur mes épaules afin que je m’empale sur lui et de pouvoir enfoncer son sexe bien au fond de mon petit fion.
-Allez pousse ma petite salope, pousse…
Maintenant on va te montrer ce que c’est que baiser. Je sentais les deux queues en moi. Me besogner, me maltraiter. Mon maitre se stoppa et admira, en sortant son sexe de mon fion, le trou laissé, puis me bourra à nouveau. Je sentai toute sa puissance.
Il éjacula sur mon cul. Un peu plus tard, l’allemand se retira et voulu éjaculer, lui dans ma bouche. Mon maitre sait que je ne peux pas et il invita l’homme à éjaculer sur mes seins.
Une fois arrosée ainsi, il me conduisit à la douche et commença ma toilette intime, pour que je sois à nouveau prête à être utilisée…
De retour dans la voiture, il me caressa et me réconforta.. et me laissant m'endormir de fatigue.
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Je suis allongée dans mon lit, la pluie joue de la musique contre la fenêtre de ma chambre. Je me prélasse telle une chatte sur mon lit. Je me dis souvent que dans une de mes vies antérieures j’ai dû être une chatte, indépendante mais dépendante à la fois.
Je ne peux bouger de mon lit, mon maître m’y retient, et je ne vais pas me plaindre, il sait parfaitement ce qui est bon pour moi. Mes jambes sont habillées de bas résille couture où sur mes chevilles, les cordes serrées m’obligent à avoir les jambes écartées. Mes mains elles sont attachées au lit par des menottes où le bruit métallique me rappelle que je suis sa captive. J’aime me sentir à lui, à sa disposition, à l’attendre, ne sachant quand il va venir.
Il s’est assurée de mon confort afin que je sois bien et que je ne meurs pas de froid. Il aime me savoir à sa merci, ouverte et à pouvoir abuser de chaque parcelle de mon corps. Il est si bon de se sentir ainsi, ne de plus avoir à penser, à ce que l’on s’occupe de moi. Ce moment de lâcher prise, où se mèle douceur, sensualité, caresse, fessée et jeux. Ces moments qui nous appartiennent, rien qu’à nous, ces moments où il me connaît intimement jusqu’à comprendre mes envies et mes désirs. Ce lien est si fort car pouvoir partager ce que l’on est est si précieux, si rare, si unique.
En femme totalement indépendante, il a réussi à me faire basculer dans ce monde, notre univers où juste un regard, un geste permet de comprendre si nous jouons ou non.
J’entend son pas dans les escaliers. Je suis presque endormie, je garde les yeux fermés. Je sens les battements dans ma poitrine s’accélérer, mon corps frissonne. Il se rapproche de moi, tel un félin, son parfum m’envoûte. Son pouce caresse ma lèvre inférieure avec une telle délicatesse. Naturellement j’ouvre ma bouche pour le prendre et le savourer. Il se retire et me dit : Chut, ne bouge pas, et ne fais rien.
Il passe sa main sur ma joue et naturellement je caresse mon visage contre sa main, comme la tête d'un chat cherchant la caresse de la main que vous tendez.
Je sens ensuite sa main descendre le long de ma jugulaire avec une certaine pression. J’adore sentir ce sentiment d’étranglement léger qui me fait sentir sienne. Puis en continuant sa route, il fait glisser le drap en satin sur ma peau jusqu’au sol. Je suis là, exposée à ses yeux, à ses mains. Il caresse une de mes chevilles, me masse le pied puis se met à resserrer l’étau et m’écarteler davantage, il faut de même avec l’autre jambe, Puis il continue sa route sur mes jambes, mes cuisses. Il prend soin de passer deux doigts sous mon bas pour le remettre en place. Il joue avec mes nerfs, je sens presque sa main sur mon entrecuisse sans presque me toucher. Je suis complètement frustrée.
Il se relève et revient avec mon éventail en plumes noires que j’avais laissé sur la commode, puis il commence à m’effleurer, le bas du ventre, puis il remonte et passe les plumes juste sur le bout de mes seins. Mes tétons se dressent et pointent avec une telle force. J’ouvre les yeux, et je souris tellement c’est agréable. Il joue ainsi en parcourant mon cou, mes aisselles, mon épaules. Il connaît chacune des mes zones où je suis chatouilleuse. Je ne peux m’empêcher de gesticuler. C’est tellement bon mais j’aimerai pouvoir aussi m'échapper car c’est presque intenable. Me voyant trop gesticuler, il se relève et m’écartèle, cette fois ci davantage les bras. Je suis ainsi au milieu du lit, les jambes écartés laissant libre accès à ma chatte et à mon cul.
Il s’empare de la bougie et à une certaine hauteur laisse couler la cire sur mon ventre. La sensation du chaud et du froid me saisit. Je sais qu’il a pris soin, comme c’est la première fois pour moi, à veiller à ne pas être trop proche. Puis il le fait sur mes seins, mes cuisses. Il a l’art à la fois d’être intransigeant tout en gardant ensuite cette douceur. Je me sens en confiance.
Il se relève et me regarde ensuite.
-Quelle belle petite chatte d’intérieur tu fais. Ainsi attachée, je ne risque pas d’être griffé, ni que tu puisses t’enfuir. Il est tellement bon de te voir docile, soumise et à ma merci.
J’ai envie de protester mais au vu de ma situation, je ne me peux que me soumettre pour son plaisir mais aussi le mien.
Il se saisit d’un fouet, dont il passe les lanières sur mon corps tout en me donnant quelques coups, il continue de titiller mon sexe, cela m’excite encore plus. Je le regarde en réclamant, en quémandant. Mais rien n’y fait.
Il me regarde et me dit que je ne suis bonne qu’à miauler pour me faire prendre. Il se saisit alors du baîllon avec l’anneau qu’il m’avait offert (voir ma nouvelle sur un plateau d’argent). Il me force la bouche.
- Voila, plus de miaulement, une vraie chatte en chaleur ma parole, se félicite t il.
- Je vais apprendre à te contenir.
Il ôta son pantalon, son boxer et en sorta son sexe en erection. Il se positionna debout au dessus de moi, chaque pied à coté de ma tête, puis il s’agenouilla.
Il plongea directement son gland dans ma bouche.
-Hum qu’il faut chaud là dedans, me dit il.
Il posa ses mains sur ma tête pour ne me laisser aucune liberté juste celle de sentir sa queue au fond de ma gorge et de me faire baiser. Il se stoppa brutalement :
- Mais c’est qu’elle est gourmande ma petite chatte, suffit maintenant. Rentre ta langue, m'ordonna t-il.
Il se releva et se dirigea vers mon intimité. Il y passe sa main sans aucune douceur. Ma mouille recouvre ses doigts…
- Tu es trempée, tu es vraiment en chaleur, en même temps tu es juste faite pour ça quand je te vois ainsi. Ne t’inquiète pas je vais m’occuper de toi.
Il me détacha et me retourna. Il mis sur mon ventre un cousin spécialement étudié et destiné à surélever mon fessier pour mieux lui donner accès à mes orifices. Il mis une barre d’écartement entre mes chevilles, me joignit mes mains pour les attacher vers l’avant. Il serra autours de ma taille une corde afin de m’immobiliser pour que je ne puisse pas bouger. Il partit, sans que je vois ce qu’il se passe. Il revient, se mit face à moi.
- Voila une belle position de soumise, agenouiller, le cul en l’air, prête à utilisation.
Il me prît à nouveau par la bouche et me baisa sans ménagement en me tenant toujours pas la tête. Puis il releva mes cheveux et les attacha en une queue de cheval. Puis il pris en main ce qu’il avait placé sur le lit sans que je puisse le voir : un crochet anal. Il le mit devant mes yeux. Il me vit frémi. Il ôta mon baîllon et me demanda de la sucer comme si c’était sa queue.
Il se place derrière moi et pénètre ma chatte avec trois doigts. Un filet de mouille s’échappe, Puis il la pénètre avec la boule du crochet, crache sur mon anus. Il y met un doigt puis deux… Il adore ça.
Il me tire la queue de cheval, me redresse :
- Si j’entends un seul cri quand je te l’enfonce sans ménagement dans ton cul de salope, je vais te punir très très sévèrement. As-tu compris?
- Oui Maître.
Il commence à introduire la boule dans mon cul, puis force le passage de mon petit trou étroit jusqu’à ce qu’il cède. J’ai mal mais je me retiens de ne pas crier. C’est très difficile et douloureux.
Il me dit, voila ce qui se passe pour les chattes qui se pavanent le cul à l’air.
Puis il attache le crochet à ma queue de cheval. Il me bande les yeux et me laisse ainsi, en me couvrant, pour ne pas que j’ai froid Je suis complètement frustrée sans savoir quand il va revenir
Je n’arrive pas à savoir qu’elle heure il est. Il revient, mais je sens qu’il n’est pas seul.
Il m’ordonne d’ouvrir la bouche, il me donne à boire. Il retire le drap qu’il a mis sur moi.
J’ai un cadeau pour toi ma petite chatte. Ta patience va être récompensée.
J’entend une voix d’homme à coté de lui, qui donne des ordres, à une autre soumise, à qui il a dit :
" Au pied, pas bougé".
Je sens que sa voix est rude et me fait presque frémir. Il présente mon cul et ma chatte à ce maître. Il en profite pour vérifier par lui-même mes orifices. Il joue avec le crochets dans mon cul et introduit quelques doigts pour vérifier que je sois humide comme il se doit. Puis il me claque les fesses avec une force que j’ai un cri qui s’échappe.
" Une belle chatte d’intérieur que vous avez là Monsieur" dit - il.
Mon maitre me redonne une autre fessée au même endroit. Je le sens furieux.
- " Alors on ne remercie pas Monsieur de vous complimenter ?"
- Je.. pardon Monsieur, je vous remercie de votre remarque à mon sujet, remerciai-je.
Monsieur demande à sa soumise de monter sur le lit et de me lécher la chatte.
Je ne suis pas bisexuelle, je n’ai jamais eu aucun rapport avec une femme, bien que cela m’attire. Mon maître le sait. Elle me lèche, aspire mon clitoris, me pénètre avec sa langue. Monsieur la force à maintenir sa tête dans ma chatte.
Mon maître ordonne à cette soumise de jouer avec la corde pour que je gesticule mon cul de salope. Je sens qu’elle prend plaisir à me violenter de la sorte.
Monsieur lui se met face à moi pendant que la soumise me redresse la tête et s’empare de mes seins, qu’il prend de pleine main.
Il demande à mon maître s’il peut me baiser par la bouche.
- Oui bien sur Monsieur, elle est faîte pour ça. Vous verrez comme sa gorge est profonde et chaude.
Je sens sa queue grandir sous ma langue. Puis il immobilise son gland dans ma bouche.
- Tout doux , quelle bonne suceuse tu es.Monsieur, que diriez vous d’écarteler la chatte de ma putain ?
-Ma chienne est tout à votre disposition pour cela rétorque t il.
Il demande alors à la soumise d’enfiler un gant et de me fister. Elle se met face à moi et introduit sa main gantée dans ma bouche. On voit qu’elle semble savoir y faire. Sa main est toute petite. Elle commence tout doucement par un doigt, puis un second avec des va et des vient, tout en me tenant le cul. Puis elle rentre un troisième doigt. Cela rentre comme dans du beurre. Un quatrième : ça rentre ça sort, ça rentre ça sort avec une certaine vitesse que je risque de gicler à tout moment. Puis elle met le cinquième. C'est beaucoup plus difficile. Puis je sens ma chatte lacher, elle est entrain de me fister. Mon maître s’amuse avec le crochet anal. Mon maitre me caresse la croupe, Monsieur tire sur mes cheveux pour que je me cambre et me dit:
-Sois sage et docile, sois la fierté de ton Maître.
Puis Elle s’immobilisa le temps que je me calme.
Monsieur lui ordonna de me défoncer la chatte. Elle commenca des va et des vient pour me défoncer. Mes jambes tremblent, je me sens défaillir. Je n’ai plus aucune force. Je ressens des émotions jamais ressentis jusqu’à présent entre douleurs et plaisirs. Je mouille tellement que j’ai peur d’être irritée.
Puis Monsieur ordonna à sa soumise de se stopper et de le sucer.
- Je vais te remplir de mes doigts et tu vas glicler, tu as la permission.
Je me mis à hurler, n'arrivant plus à me retenir. Je me sens honteuse, c'est tout nouveau pour moi.
Epuisée, mon maître ota le crochet de mon petit fion et dit à Monsieur : prêt à utilisation immédiate.
Il me détacha complètement les pieds, les mains et la taille. Je suis plus docile que jamais.
Nos maitres respectifs nous ordonne de nous mettre en positions 69 afin de profiter de la vue de leur queue en train de prendre l’autre soumise et d’être prêt également à être baiser par la bouche.
C’est ainsi que je me retrouvai sur le dos, une femme sur moi, ses lèvres sur mon sexe. De mon coté j’étais bien plus réservée et certainement pas prête à vivre cela. Je n’étais vraiment pas à l’aise. Il m’ordonna de sortir ma langue de chatte, et de lécher comme il se doit cette chienne.
Je m’exécuta, je sentie Monsieur me besogner comme un putain et mon maître en profiter pour enculer l’autre soumise sans aucune préparation. Elle semblait avoir bien plus d’expérience que moi. Un sentiment presque de jalousie s’empara de moi.
- Vous n’êtes bonnes qu’à baiser, dit Monsieur et mon Maitre. De sacrées putains, regardez- vous.
Elle s’était relevé à la demande de mon maitre afin que nous changions de position.
Son maitre lui mis un gode ceinture et il lui demanda de me baiser le fion et de parfaire un peu mon éducation anale. Soumise à une soumise. Je ne savais comment réagir.
Elle me tira par les cheveux sans aucun ménagement et me gifla.
- Ouvre ta bouche salope et suce.
J’étais complètement interdite. Voyant que je résistai mon maitre me cravacha jusqu’à coopération et soumission totale.
Elle me baiser par le bouche, puis me releva et pinca les tétons, puis malaxa mes seins.
- Retourne toi que je t’élargisse ton fion, prend une belle position de salope.
Je relevais mon cul, et placa mon visage au sol, comme une vraie chatte en chaleur montrant son cul pour être prise.
Puis elle me pilonna sans ménagement, me fessa. Je rougis honteusement. Puis mon maitre me releva et me baisa à nouveau la bouche. Quand à elle, Monsieur la cravacha pendant qu’elle me prenais par le cul.
Mon maitre éjaculera sur mes seins, quand à Monsieur, dans la bouche de sa soumise.
Nous finirons la soirée elle au pied de son maitre et moi sur les genoux de mon maitre comme la chatte d’intérieur que je suis
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C'est une de ces soirées d'hiver, le froid régne, je me rend dans un lieu secret. je passe ces petites ruelles piétonnes de Strasbourg. Une fumée s'échappe de ma bouche. Je suis heureuse de mettre couverte les oreilles avec ma chapka blanche, faisant ressortit mes yeux de chat et mes lèvres rouges rubis. Mes joues se sont teintées de roses tellement les températures sont basses. Que je déteste marcher dans le froid.
Je me retrouve face à un vieil immeuble, éclairé par un magnifique lampadaire. Sans avoir à sonner, j'enfonce la vieille porte en bois sculptée. La partie de cartes a lieu dans un magnifique caveau.
De somptueux rideaux rouges drappés masque l'entrée vers cette cave. J'entend au loin le son d'une trompette.. Hum Miles Davis. Quel bonheur.
Un magnifique comptoir en bois au fond de cette cave, des tables de jeux de cartes, des tables basses avec deux magnifiques canapés chesterfield.. des candélabres éclairent les coins de la pièce. Une vraie salle pour jouer aux cartes.
Mon Maître s'approche de moi, il m'indique où je peux aller me mettre à l'aise. Avec ce froid, il comprend que je ne puisse venir légèrement vêtue. Nous ne sommes que tous les deux.
Je m'aventure dans une petite loge avec une superbe méridienne, un miroir.. Il a choisi ma tenue pour ce soir.
Je me dévêtis pour m'emparer en premier de ma lingerie. Une superbe dentelle, en bleu nuit, avec quelques strass, laissant transparaître mes tétons. Le boxer bien sur coordonné, et de superbe bas noirs complètement opaques. Des talons hauts vernis noirs avec une semelle d'un rose poudré.Le reste me plait tout autant.. De longs gants noirs et une robe noir offrant un magnifique décolleté. Très sobre et classe, je connais son bon goût pour me mettre en valeur.
Puis il entre dans la pièce, me sourit. Il me met un loup sur les yeux, passe son doigt sur mes lèvres et force l'ouverture de ma bouche. Il m'ordonne ce soir d'être une très bonne chienne, que je dois lui faire honneur. Je n'ai pas le droit de parler. IL me regarde dans les yeux.
- Est ce bien claire Scarlett?
- Oui maître, c'est très clair.
Je baisse les yeux. Il me demande de tenir mes cheveux en queue de cheval pour me parer de mon collier doré.
Il accroche la laisse et me demande de le suivre.
Arrivé à la table, je devine que du monde va arriver.
- Reste à mes pieds bien sagement et ne lève pas les yeux.
Je suis ainsi à ses pieds à ne pas bouger.
Puis j'entends la voix de 4 autres personnes. Ils s'installent autours de la table, et échange des banalités.
Bon Messieurs, je suis ravi que vous soyez là, dit mon Maître.
Je vous propose un strip Poker. Scarlett, ma douce chienne, obéira à chaque vainqueur.
IL tire alors sur ma laisse et me redresse.
-Regardez comme elle est docile.
Le temps me semble long, ils se servent des verres, discutent, comme si j'étais invisible. Je prend sur moi.
Tout ceci est nouveau pour moi. j'ai un tempérament de feu, c'est très difficile parfois de me dominer. Je sais que mon apprentissage est long. Mon maître est patient, et c'est pour ça que je l'ai choisi.. lui.
Il se mettent autours de la table, et commencent leur partie de poker.
Mon coeur palpite. Le premier gagnant me demande de venir à lui à quattre pattes. assise face à lui il relève mon menton avec ses doigts. Il pose sa main sur mon décolleté.
- Relève toi et enlève ta robe.
- Hum c'est bon le strip poker nargue t il.
Seconde partie, je me tiens debout, comme on me l'a demandé. Cet homme aime me palper les fesses.
Je vois ses cartes, et à ma grande surprise, c'est un très bon bluffeur. Il gagne à nouveau la partie.
- IL me fait m'asseoir sur lui, mon dos contre son torse.
- Messieurs, il est bien dommage je crois de nous priver de la vues de ses seins. Qu'en dites vous?
Il sort un à un mes seins du soutiens gorge et serre mes tétons pour qu'ils pointent, puis les caressent.
- Quelle bonne petite chienne, des tétons déjà dressés, je suis certains que ta culotte est toute trempés.
Il dégraffe mon soutien gorge et m'ordonne de rester sur ses genoux, les seins complètement à l'air.
Je sens le regard de mon maître sur moi, et ceux des deux autres hommes, j'ai bien compris que je serai leur poupée toute la soirée.
Troisième partie, cette fois ci, elle est longue. L'homme sur lequel je suis, perd la partie. Un sacré mauvais perdant mais en profite pour me malaxer les seins.
Un second homme blond aux yeux bleus gagnent la partie. IL m'ordonne de passer sous la table et de le sucer durant la prochaine partie.
Je regarde mon maître.
- Scarlett, fais ce qu'il te demande.
Il voit dans mon regard ma protestations.
- Est ce que je dois te punir, me dit il?
L'homme aux yeux bleus me regardent un sourire aux lèvres. Humm plus elles ont du caractère, meilleures elles seront dociles après. IL m'agrippent par les cheveux, me fait aller sur la table. Il ouvre sa braguette et enfonce sa queue dans ma bouche.
- Ne bouge pas petite salope. VOila, tout doux.
- Maintenant tu as intérêt à très bien me sucer. IL s'amuse à me tenir à la laisse tenue très courte pour ne pas que je quitte sa queue.
Je m'applique du mieux que je peux. J'espère le satisfaire, je n'arrive pas à savoir.
Une autre partie débute, et là c'est mon maître qui gagne la partie.
Je souris, et je suis ravie car je serai entre ses mains.
- Scarlett, au pied.
L'homme blond lui a tendu ma laisse.
Il me regarde dans les yeux et pose la question à ce blond.
- Alors, monsieur, Scarlett a t elle été une bonne petite suceuse?
- Peu mieux faire raille t il, il lui faudrait mettre plus de coeur à l'ouvrage.
- Redresse toi et enlève ta culotte! m'ordonne t il.
Puis il m'agrippe par les fesses, et me mets sur lui pour me donner la fessée.
Voila comment on punit une vilaine, très vilaine fille.
Qu'en pensez vous messieurs?
Je sens différentes mains s'abattrent sur ma croupe.
Relève toi maintenant, et présente nous ton cul et ta chatte.
je me met debout, je me penche légèrement en avant. Je tiens de part et d'autres mes fesses pour offrir aux maximum la vie de mes orifices.
- Hum quelle charmante vue, entendis je.
Ils continuent leurs parties de poker. Au fil du temps, ils me doigtent, pincent les lèvres de ma chatte, me fessent.
La partie de poker, se terminent en une partie où je suis leur terrain de jeu.
Mon maître m'allonge sur la table. L'homme blond m'ordonne de parfaire ma technique en fellation, pendant qu'un autre homme me fourre sans ménagement ma chatte, puis laisse sa place à un second qui lui me prend la pilonne en me tenant fermement par les cuisses.
- Humm que c'est agréable de te fourrer, c'est comme du beurre.
J'entend mon maître dire, de faire ce qu'il désire de moi, je suis leur petit lot pour la soirée.
A ce moment là, je comprend que mon maître me regardera en train de me faire démonter par ces trois hommes. Un sentiment de colère s'empare de moi, mais je ne le quitterai pas du regard pour lui montrer ma protestation.
ON me relève, puis un autre s'allonge sur la table et on me fait m'epaler sur lui. Il me plaque contre lui, je n'ai pas le temps de prendre ce qui m'arrive qu'un autre s'est mis debout pour que j'ai sa queue face à ma bouche. Et pendant que je me fais prendre par la bouche, la chatte, je sens des doigts fourrés mon cul.
J'entend mon maître au loin dire :
- elle est bonne qu'à ça, se faire fourrer. Prenez la bien, enculez là bien.
- Scarlett, alors dis leur que tu veux te faire prendre par tous tes trous de putain.
Je prend sur moi, les mots sont très difficiles à sortir
- Messieurs, prenez moi comme bon vous semble pour tous les trous.
- nous n'avons rien entendu dit l'homme blond.
- Je râle...
d'un seul coup, une claque retentit sur mes fesses. Je reprends mes esprits.
- Messieurs, prenez moi comme bon vous semble par tous les trous.
Dis leur que tu es une putain, dit mon maître.
- Je suis une putain Messieurs.
Je sens un homme prendre mes cheveux et décident de m'enculer. J'ai envie d'hurler. Jamais.. oh grand jamais...
Mon cul, ma chatte, ma bouche...
IL ne me laisse aucun répit. Je me sens salie, mais si excitée.
Durant toute la soirée, je serai à eux. Je serai leur objet. Mon maître était là, à surveiller.
J'ai adoré ce qu'il m'a fait vivre, malgré les réticences que j'avais.
La confiance, ma confiance, il l'a gagné au fil du temps...
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Je me contemple dans le miroir et regarde le reflet de mon désir s’afficher sur moi. Je pars avec lui en week-end. Il sait me surprendre, je veux aussi le surprendre. Ces moments sont des parenthèses de temps suspendu. Un refuge, un eden, tout un univers rien qu’à nous.
Telle une adolescente, mon cœur palpite, la pensée de le rejoindre me fait complètement mouillée.
Il m’a interdit de me caresser, mais cela ne me rendra que plus folle en sa présence.
Dans mon boudoir avec mon immense dressing, je passe de cintre en cintre pour choisir les robes que je porterai. J’aime la sobriété, l’élégance, sans aucune vulgarité.
Quelle atmosphère choisir pour ma lingerie, je prend entre mes mains ce soutien gorge sein nu que j’affectionne de Cadolle, puis je le repose. J’ai envie d’exotisme, d’orient. J’aime me costumer, certainement mon goût prononcé pour le burlesque.
Je ne pars que deux jours et on dirait que je pars pour la semaine. L’envie de lui être plaisante, de le surprendre est trop important. Je décide d’enfiler ces collants noirs et de mettre par-dessus ces chaussettes hautes où une, est accroché une rose rouge magnifique. Des chaussures à haut talons en noir verni, une jupe simple vert bouteille et un chemiser laissant entrevoir la naissance de mes seins.
Je l’entends arriver en voiture. Il sourit à la vue de mes bagages.
- Bonjour ma chatte, me dit-il.
J’aime cette alternance dans nos jeux. Ces moments de rire, d’échanges et de le voir d’un seul coup, sans crier garde arriver à me faire comprendre ma condition de soumise.
Nous prenons la route, le seul indice que j’ai, est que nous allons sur le Luxembourg. La route se fait longue. Arrivés dans cette contrée, j’aime ces vallonnements, cette nature. Le dépaysement est complet. Que m’a-t-il préparé comme surprise pour mon anniversaire ?
Je devine au loin une demeure, l’arrivée est spectaculaire dans cet endroit d’une beauté hors du temps. J’ai l’impression de me trouver dans cette campagne anglaise en passant sous ce porche. Un manoir, un petit Versailles, comme il est appelé. Le raffinement est à son comble, les sols en marbre, une immense cheminée en vieille pierre crépite. Quant à la chambre, elle est juste comme dans un conte de fée.
Bienvenue au Manoir de Lébioles, ma petite chienne.
Nous sommes un peu épuisés par le route. Je décide alors de m’occuper de mon maître pour le détendre et lui montrer ma reconnaissance quant à ce magnifique cadeau. Je vois que ses traits sont tirés. Il s’est assis sur le lit. Je décide alors d’enlever mon manteau, de mettre une musique douce pour l’inviter à se détendre. Une fois ce dernier posé, je m’agenouille en le regardant dans les yeux et je m’approche de lui. Il aime que je prenne ces initiatives et que je me comporte comme une bonne chienne.
Arrivée à quatre pattes à ses pieds, je lève mon regard vers lui pour avoir sa permission de continuer ce que j’ai envie de faire. Je commence par lui caresser ses cuisses, de redescendre sur ses mollets. Je prends une de ces jambes dans mes mains et enlève une de ses chaussures, je fais de même avec l’autre. Je lui masse les pieds. D’un seul coup, il m’attrape par les cheveux et me dit.
- C’est bien ma chienne, arrête- toi et reste à mes pieds.
Il enlève sa ceinture et me la passe autours de mon cou.
- Voilà qui est mieux ma petite salope.
Il fait tomber son pantalon puis avec sa ceinture, approche ma bouche de son sexe et me prend violemment.
- Quelle bonne putain tu es.
- Suffit maintenant ! tu es bien gourmande, gardons- nous des forces.
Le temps passe, je me rend vers la salle de bain, où se trouve cette somptueuse baignoire dans un style des années 30 que je rêverai un jour d’avoir chez moi. Je fais couler un bain. J’y dépose quelques pétales de roses que j’avais pris le soin d’acheter, et allume aussi ces quelques bougies rapportées. Je décide de mettre ce magnifique kimono de soie bleue, je me rends vers mon maître pour l’inviter à se joindre à moi. J’ai envie de prendre soin de lui comme il sait prendre soin de moi. Il m’autorise ces moments de détente et à prendre ces initiatives. Il sait que j’ai besoin de l’alternance des deux.
Alors que je voulais prendre soin de lui, il m’ordonne de laisser tomber mon kimono et de me mettre dans ce bain. La douceur du vêtement en train de tomber le long de mon corps me fait frissonner. Mes seins pointent.
- J’aime que ma chienne soit propre.
Assis sur le rebord de la baignoire, il me lave chaque partie de mon corps. Je suis son objet, il fait de moi ce qu’il désire. C’est un moment si érotique. Puis il me fait me relever et s’emploie à vérifier que mon sexe est bien lisse comme il aime.
- Ecarte tes jambes.
Il y passe ses doigts et m’enfonce brutalement ses doigts dans ma chatte.
- Je vais te dilater tes trous de chienne. Tu ne mérites que ça, être prise et baisée.
- Ca t’excite hein ? tu es déjà toute dégoullinante, regarde moi ça, mes doigts sont trempés par ton jus.
- Prépare toi pour le diner, met toi un plug dans ton cul.
Ma tête tourne tellement il m’a excitée. Je suis frustrée car j’ai tellement envie de jouir. J’aime quand il me fouille ainsi.
Je me prépare pour notre dîner. Je choisis cette robe fourreau grise et argentée, longue et fendue d’un seul côté. De part et d’autres des fins traits de strass, avec un coté légèrement asiatique.
Quand je sors je ne peux deviner que le feu dans le regard de mon maître. Il aime que je sois sa princesse que tout le monde regarde et d’être son esclave que seul lui possède.
- Mets toi contre le mur, je vais m’assurer que tu as bien vérifier mes instructions.
- Il lève ma robe sur mon dos, me demande de me tenir bien cambrer.
- Maintenant à mon tour d’apporter ma touche personnelle ! Un peu de rouge aux fesses ne fait pas de mal. Je ne veux pas t’entendre
Il en sort son martinet…
- Voilà tu es parfaite pour ce soir me dit- il.
Nous passons une excellente soirée dans ce lieu d’exception.
Arrivés dans le couloir de notre chambre, il me demande de m’agenouiller à son entrée et de marcher ainsi à ses pieds. Il me pare de mon collier et de ma laisse dorée.
- Deshabille- toi pour moi avec élégance, soit une chienne racée.
Je sais qu’il aime mes airs de ressemblance avec Dita, que j’aime l’érotisme de l’effeuillage. Je demande l’autorisation à mon maître de pouvoir mettre de la musique. Je ne peux pas m’en passer. Il acquièse du regard.
J’entreprend alors cette danse langoureuse pour lui. Je faire tomber un à un, quand il le décide du regard ou d’un mouvement de doigt, chacun de mes vêtements. Je me retrouve alors nue, avec mes bas et mes strass autours de mes seins.
Suffit maintenant. Il se lève, et prend subitement mes tétons et les pince fortement. Je gémis de douleur.
- Merci maître.
- Tes tétons n’étaient pas dressés comme il se doit.
Puis il les malmena, les gifla, et décida de les bonder. Parfait ! se félicite til.
Je sens dans son regard une lueur noire qui me fait frémir.
Il prend ma laisse et m’emmène sans ménagement sur le lit. Il me jète sur le dos, m’écarte les jambes.
- Reste comme ça, tes trous de salope offerts. Tu aimerais bien que des bites viennent te prennent, hein ?
- Oui Maître.
Il me place des attaches à mes chevilles et ensuite de les fixer au baldaquin du lit.
Mes Jambes sont relevées, et ma chatte, mon anus à son entière disposition. Puis il attache mes mains d au dessus de ma tête. Je suis complètement immobilisée. Les fesses posées juste en bordure du lit.
Voila une belle position de putain et je vais t’utiliser comme la catin que tu es.
Il s’asseoit sur ma poitrine, cravache à la main. Il pose sa main autours de mon cou pour m’éteindre avec fermeté. Il me gifle.
- Tu vas être docile et très obéissante. Je te veux la meilleure des chiennes.
- Oui, maître.
Ouvre ta bouche et sors ta langue. Elle doit être un écrin pour le sexe de ton maître.
Il dépose le bout de son gland sur ma langue.
- Lèche.
Je m’exécute. gourmande comme je le suis, je le prend dans ma bouche.
Il me donne alors un coup de cravache sur le sexe.
- T ai-je autoriser à me sucer pour le moment ?.
- Non, Maître
- Je t’ai dit d’être très obéissante et docile, ne sais-tu pas écouter ?. Je vais te rappeler ta condition de petite salope soumise.
Il me redonne un coup de cravache sur le sexe, une larme sort de mon regard.
Il se redresse pour observer la toile éphémère qu’il a fait de moi.
Je sens sa langue se poser sur mon sexe, et ses doigts effleurer l’intérieur de mes cuisses. Je brule de désir. Puis il prend dans ses doigts le bout de mon plug, qu’il m’a ordonné d’avoir dans mon cul. Il sait que ça me fait complètement bavé le sexe. Il joue avec, il aime le voir, entrer, sortir, entrer sortir, voir mon anus lâcher prise et se refermer.
Voila, ton anus est bien préparé, C’est parfait. Je vais te défoncer, te baiser partout, et par tous tes trous. Tu comprends. Est-ce que tu le mérites ?
- Oui maître.
Ah oui tu le mérites, qu’est ce que tu es ?
- Votre esclave, Maitre.
- Votre Chienne, Maitre
- Votre putain, Maitre.
Il plaça son sexe dans mon anus., attrapa de ses mains mes cuisses et me défonça le cul comme jamais.
J’en lâche même des cris de douleurs, tellement il me baise.
- Hum tu m’excites, petite garce.
Puis il se retira avant de jouir. Il veut garder le contrôle.
Comme tu cries un peu trop, je vais te faire taire. Il me plaça un baîllon.
- Hum c’est beaucoup mieux, dit- il fier de lui.
Pui il met un gant. Mes yeux s’écarquillent. Que va-t-il faire ?
Il s’agenouilla face à mon sexe, puis y introduit un doigt. Faisant quelques mouvements de va et vient.
- Hum c’est comme dans du beurre, un doigt ne te fait rien.
- Je vais t’en mettre un second, quoi que non trois.
- Que tu es ouverte, un vrai garage à bites. Tu sais ce qui t’attend ?
- Je ne veux aucune protestation. Tu as compris ?, sinon je serais bien plus sévère.
- Tout doux ma belle, ma main va rentrer, tu le sais. Aimes-tu cela ?
J’hoche la tête pour lui confirmer. Il sait que je ne l’ai jamais fait. Nous gardons toujours à l’esprit nos codes si les limites sont dépassées. Je veux qu’il soit fier de moi.
Il commence de plus en plus à me dilater la chatte, à faire des va et vient si rapide, que mon sexe devient presque fontaine.
Il se montre très doux d’un seul coup pour me rassurer. Il me demande de pousser
Je sens ma chatte s’ouvrir. C’est tellement excitant mais aussi douloureux.
- Hum quelle belle pute tu es, le sais tu ?
- Non, Maître
- Tu ne le sais pas, pourtant rien que de voir ta chatte ainsi devrait te le faire comprendre.
- Oui Maître.
Puis il retire ses quatre doigts en essayant de faire rentrer le cinquième. C’est éprouvant et difficile. Il n’insiste pas. Mais il rentre des doigts de son autre main et entreprend de m’écarteler. Puis il retente de passer toute sa main.
- Il faudra une main de femme pour te fister, petite putain.
- Cette idée te plait, avoue- le
Il enleva mon baîllon pour que je puisse répondre
- Oui Maitre
- Penses-tu que je t’enlève ton baîllon pour un simple, oui maître ?
- Non maître
- Alors je t’écoute
- Oui maitre, cela me plait l’idée de me faire fister par une femme.
- Voilà qui est mieux.
- Maintenant je vais te faire gicler ta chatte, lâche toi.
Il me caressa en même temps le clitoris. Je jouis avec une telle violence. Des spasmes me prennent sur tout le corps. Je frissonne. De sa main, il me tient par le menton pour que je jouisse en me regardant.
Je n’arrive pas à me contrôler, tellement c’est fort. Je suis épuisée par cette vague de plaisir. Il voit des larmes de bonheur se verser de mes yeux.
Joyeux Anniversaire, ma belle petite chienne.
Je suis son objet, son esclave, tout mon être lui appartient.
Ce soir tu seras attachée pour dormir dans mes bras. Je m’endormis contre mon maître en sentant toute sa chaleur, sa puissance et sa protection…
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Trois jours sans nouvelle. Je me languis. Je regarde à travers la fenêtre, pensive. Les femmes ont tellement tendance à se poser des questions et de trouver des réponses, qui le plus souvent ne sont pas la réalité.
Je ressens un manque, un abandon, mon coeur palpitant dans ma poitrine. Si difficile de rester en attente, car il m'a troublé, il a marqué son empreinte sur mon désir.
Je ferme les yeux, en revivant cet instant dans cette ruelle. C'est comme s'il était en moi, tel un envoutement. Je pense à lui. La passion de ce désir me consume. Le jeu a commencé, je le sais.
Le temps passe, je doute. Ai je fait quelque chose qui ne fallait pas? Au diable les questions, je me sens juste vulnérable, attirée, car mon ressenti a été très fort. La peur de ne pas ressentir cette intension ardente de désir.
Puis je reçois cette lettre manuscrite, où je découvre la beauté de son écriture.
Ma chère Scarlett
Envie de vertige, de vérité, de répère?
Laissez moi planter mes crocs dans votre être
Posez votre main en toute confiance dans la mienne
Laissez moi faire de vous ma chienne.
Mon corps palpite à cette lecture. Ce jeu de séduction et d'appartenance me procure une vague de désir. je sens mon sexe se gonfler d'une excitation.
La message se poursuit.
Vous devez récupérer votre culotte, qui fut d'un parfum des plus délicieux.
Rendez vous ce vendredi.
Il me laissa une adresse.
Pourquoi le temps paraît il si long dans cette attente. La migraine me monte, tellement je suis excitée, pleine de désir.
Le soir est enfin arrivée. Je me retrouve dans un quartier résidentiel. Mon corps tremble. Je n'ai jamais vécu de moments si troublants.
Sur un porte, un mot m'est laissé.
" Dès le franchissement de cette porte, tu es ma chienne"
Je sais qu'il est tant de faire demi-tour. Une pulsion me dit d'y aller, ma raison me dit, d'être prudente.
Il est temps de vivre mes envies et d'oser. Après tout, celui qui ne tente pas, ne peut pas savoir.
Après une longue inspiration, je toque.
La porte s'ouvre, nos regards se croisent, brulés par l'intensité de ce moment. Je cède. Je baisse mon regard.
En tant normal, je suis à le soutenir, mais sa personnalité, ses échanges, notre complicité naissante laisse place envie à la soumise qui est cachée en moi.
- "Entre et reste debout au milieu du salon" me dit il.
Il m'enlève mon manteau, il me découvre en sous vêtement, comme il me l'avait demandé.
Ses mains dessinent sur mon corps le désir.
- Ouvre ta bouche, m'ordonne t il.
Il y glisse une cravache qu'il me demande de maintenir.
- Mets toi à quatre patte et baisse la tête
Il tourne autours de moi puis s'asseoit sur son canapé, et sors de sa poche ma culotte.
Je sens qu'il me regarde. Je sens des frissons me parcourir.
- Alors ma belle, montre moi comment une chienne se déplace avec élégance jusqu'à son maître"
- "Apporte moi ma cravache"
A ce moment là, je me sens presque féline. Je m'avance à quatre pattes, la cravache tenue dans ma bouche. J'ose le regarder dans les yeux et lui jeter la cravache dans sa main, tout en cambrant mes fesses. Il me demande de m'asseoir sur mes jambres, de me redresser.
avec sa cravache, il me fait relever le menton pour le regarder, et je soutiens son regard comme une provocation.
Je sens le contact du cuir passé sur mes joues, mes lèvres, mes épaules. Puis il me fait écarter les jambes pour passer la cravache sur mon sexe. Il me donne quelques coups de cravaches qui me laissent échapper quelques cris.
Il la remet dans ma bouche pour me dire qu'elle servira plus tard.
Est ce clair, petit chienne.
- Oui Monsieur, c'est très clair, lui dis je.
Puis il me demande de m'allonger sur ses jambes et de lui offrir mes fesses.
Il est tant de voir comment j'arrive à te faire rougir. Je sens sa main me claquer les fesses. je ne peux me retenir de râler. Il me dit que si je fais tomber la cravache, ma punition sera pire.
Il m'ordonne d'aller me placer debout, les mains sur l'accoudoir du canapé, et de me pencher.
Suel beau cul tu as petite chienne, je vais prendre à plaisir à vous enculer.
Le compte à rebours des coups de cravache commence.
- 5 coups.
Le premier m'a fait mail, je n'arrive pas à dire 5.
- Je n'entends rien , me dit il. veux tu que je le refasse encore plus fort.
- Cinq, Monsieur.
- Voila qui est mieux, continuons.
- Quatre..
- Alors on ne me remercie pas? raille t il.
- Pardonnez moi, Merci, Monsieur.
- Trois
- Deux
- Un... je respire, j'aime ce sentiment d'être à sa merci mais la douleur me fait peur. Je sens sa main caressante sur ma croupe. cette douceur laisse place à de l'excitation. Il passe sa main sur mon sexe.
- Que tu es trempée ma petite salope... murmure t il.
Puis il me reclaque les fesses
Je le regarde surprise et interdite.
- Alors, on oublie le Zero?
Il me redresse, me tient par les cheveux, ma tête bascule en arrière et m'obliga à nouveau à m'asseoir sur mes jambes.
Met tes mains dans ton dos. Il m'attache les mains à mes chevilles. Je suis complètement à sa merci. Cela m'excite terriblement, et m'effraie.
- Supplie moi de t'enculer.
Rien n'ose sortir de ma bouche, je me sens comme timide. Il me tient par la tête.
- Ne joue pas les effarouchées avec moi, tu es une chienne. Je vais t'apprendre à tout assumer.
Puis il me gifle.
- Supplie moi de t'enculer.
Je me résigne.
- " Je vous en prie, Monsieur, Enculez moi", je veux être votre chienne.
Je sens sa queue au bord de mon orifice. J'ai peur. Il ne va pas oser me prendre ainsi?
Il mouille son sexe avec ma mouille degouillante. Il me demande de relever mon cul pour avoir une bonne position de putain.
Il place un doigt pour préparer mon petit cul serré qui n'a pas connu la sodomie depuis bien longtemps.
Je sens sa bienveillance à mon égard, et qu'il ne fera rien en dehors de mes limites, nous en avons longuement parlé et échangé.
Puis il place son sexe à l'entrée de mon anus.
- Pousse, viens prendre ce que tu mérites, espèce de petite salope.
Je sens mon petit trou se dilater, j'ai mal.
- tout doux ma belle, prend ton temps, dit il pour me rassurer.
cette attention me réchauffe et me rassure.
Puis une fois installer dans mon cul, il m'assaille de quelques grands coups, comme pour marquer son territoire et montrer qu'il est le maître, mon maître.
- Est ce que tu veux que je te défonce?
- Oui, Monsieur, défoncez moi le cul.
Je le sens prie par une frénésie, je ne me suis jamais fait pilonnée de la sorte. je sens cette force animale, cette puissance que j'avais ressenti quand je l'ai vu. Il prend possession de moi, de ma chatte, de mon cul, de ma bouche.
Une fois qu'il m'a bien besogné le cul, il y place un plug.
- je vais te remplir tes petits trous de chienne. Regarde moi comme tu es trempé. Puis il doigte ma chatte avec des va et vient qui me font défaillir, jusqu'à faire gicler ma chatte. Je n'arrive pas à me retenir. Je me sens complètement interdite, sans défense. Ma tête tourne. Puis il me fourre la chatte avec son sexe.
- Alors on aime être prise par ses deux trous, quelle bonne salope tu es. Ai je raison?
- Oui, Monsieur, je suis une bonne salope. Je vous remercie de toutes ces attentions que vous m'accordez.
Je suis complètement épuisée.
Il m'a fait jouir comme jamais et m'a emmené sur les sentiers que je n'ai foulé que dans mon imagination.Son
Son regard, la manière dont il me touche, me parle, me cravache, me procure des supplices, je sais qu'il prend son temps avec moi.
La morsure de sa possession pénètre mon esprit
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C'est un samedi soir comme je les aime, je sors avec mes amies. Je porte cette fameuse petite robe noire, mes bas, un maquillage soigné.. Quel parfum porterai-je ce soir. J'hésite.. Lolita Lempicka, qui me colle à peau ou alors Escale à Pondichéry, une invitation aux voyages. Je vous laisse deviner lequel je choisis. A votre avis, quel est mon état d'esprit?
J'enfile mes gants en cuir, j'aime conduire mon roadster et sentir le contact de mes mains gantées sur le volant et sentir toute la puissance de ce moteur. je me sens sexy ce soir.
Je retrouve mes amies dans ce petit resto que j'affectionne, où notre seul sujet de conversation reste.. les relations hommes et femmes .. comme toujours, sans parler du sexe. Messieurs je pense que nous savons être pire que les hommes. Mais au fond de moi, parlez de mes désirs de mes envies? aucune amie ne connaît tout cela, avec qui partager tout cela, si ce n'est déposé ma plume.
Après le restaurant, nous nous rendons dans ce petit bar clandestin à l'ambiance de la prohibition, nous commandions chacune notre cocktail tout en regardant à l'affût les hommes. J'aime ces jeux de regards. Je ne crois guère en ces jeux de drague qui mènent nulle part et où le niveau d'éloquence, de bienséance font souvent défauts à la gente masculine.
Puis, soudain, je le remarque. Ce n'est pas une question de beauté, mais de charisme, de puissance. J'ai senti qu'il me regardait. Commence alors un jeu de chat et de souris. Cet homme a réussi à me troubler. Je ne peux m'empêcher de le regarder. Il est avec ses amis, semble si calme, poser. Je l'observe. Il m'observe. Nous feignons presque de nous ignorer. Je suis captivée.
Le bar est bondé, la foule amène une proximité des corps.
D'un seul coup je le vois s'avancer vers moi, mon coeur palpite. La déception se fait sentir, il passe sans mème me jeter un regard. Seule la trace de son parfum a été ce contact rapproché. IL m'envoûte, c'est presque animal.
J'essaie de faire abstraction, quand soudain, je sens un papier mis dans ma main. C'est lui : Veux tu m'appartenir?.
Je suis complètement troublée par ce mot. Mes amies ont envie de partir, et malheureusement je me fais une raison. Pourquoi ne pas oser aller vers lui?
Je pars avec elles, nous nous disons au revoir, et je regagne ma voiture dans cette ruelle. Quand soudain, je le vis. Il se rapproche. Un regard sombre, mais c'est plus fort de moi, son mot m'a troublé. La ruelle est très sombre, il s'approche et me plaque sa main avec son gant en cuir sur ma bouche. il m'étreint la gorge, puis me susurre à l'oreille : Je veux ma réponse.Veux tu m'appartenir? Je me sens si en confiance et effrayée à la fois. Son regard pénétrant le mien, je baisse le regard et je répond oui de mes yeux.
Il me retourna et me plaqua contre le mur. Il est dans mon dos. Je suis envoutée, hypnotisée. Il relève ma robe, me caresse les fesses, les cuisses. Ses mains sont fermes et douces.
"Seras tu une gentille fille? " me dit-il
Tout en tirant ma tête en arrière je répond que oui.
Alors relève ta robe, enlève ta culotte et offre moi ta chatte et ton cul, m'ordonne t il.
Je me sens interdite, je lui dis que nous sommes en pleine rue, je n'ose pas.
Il se rapproche de moi et me dit : Finalement tu n'es pas une gentille fille et me claque les fesses.
Alors " j'attend"... Enlève cette culotte et donne la moi.
Je sens sa froideur mais en même temps sa bienveillance.
Fébrilement, je m'execute honteuse.
Puis de mes mains je relève ma robe, tout en regardant de partout si personne ne passe dans la rue, et je lui montre mon cul, ma chatte. Il se rapproche pour me féliciter de ce magnifique spectacle.
Voila qui est bien, tu es une gentille fille docile comme je les aime.
Ce que je veux maintenant, c'est que tu sois, une chienne docile. Es tu prête à découvrir cela?
Je ressens à ce moment cette envie d'être possédée, d'être sa possession.
Il introduit son majeur dans ma bouche et me demande de tirer dessus. Puis il le faut avec l'ensemble de ses doigts. Quand arrive son pouce, il me demande de lui sucer. Puis de tenir son gant dans ma bouche pendant qu'il en retire sa main.
Je sens le parfum du cuir mélé à l'odeur de sa peau qui me fait défaillir. Puis il mis sans ménagement sa main sur mon sexe.
- Hum que c'est bien chaud et une humide, tu es déjà toute trempée, ma belle.
Je garde ta culotte, je veux que tu viennes la récupérer quand je te l'indiquerai.
Je te veux à mes pieds, belle, chienne. Je vais te sublimer et t'ouvrir à cet univers que tu ne demandes qu'à connaître.
Il repartit. Je restait interdite, excitée comme jamais.
Je ne savais pas à quoi il ressemblait, nos échanges passés m'avaient tant excités.
et là il me laisse, avec mon excitation et avec cette envie de me mettre à ses pieds.
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Le matin se lève, brumeux et timide.. La nature le rythme mais ses tableaux sont uniques.
La fraicheur hivernale m’a offert ce matin un spectacle magnifique, un décor teinté d’orange, de jaune, d’or, de rose, de rouge, de violet, un vrai tourbillon de couleurs et de légèreté comme une toile de Turner. J’étais fascinée et mon regard se perdit dans mon imagination. Je devinai dans cette forêt le ballet des oiseaux, leurs chants d’hiver orchestrant le ballet du vent à travers les branches, les biches à l’affût regardant au loin au son du craquement du bois, le cygne défilant fièrement sur l’eau et se laissant porter par le courant profitant de ce magnifique spectacle.
J’eus envie ce matin envie de marcher dans ce décor hivernal, de conduire jusqu’à ces ruines d’Allerheilingen en forêt noire. Faire renaître dans mon imaginaire l’histoire de ces pierres, la vie passée de cette abbaye. Ressentir les hommes édifiant cette bâtisse, ressentir le temps et voyager jusqu’à la quiétude. Je foule cette terre, une envie d’évasion, j’accelère, je cours vers cette beauté qui me donne le sourire.
Les quatre bassins dans cette abbaye sont improbables. S’étalant en cascade, ils sont une invitation à contempler le parfait mélange entre la création de l’homme et celle de la nature. Longeant ce petit ruisseau, j’entend au loin le rugissement de l’eau. Curieuse, je suis excitée de découvrir ce qui se cache. Sinueux est ce chemin, ces marches forgées par l’homme, descendent, descendent. L’eau se fait de plus en plus puissante. Son éclat est peint par les rayons du soleil qui laissent entrevoir de manière éphémère l’arc en ciel. Parfait contraste avec cette paroi qui ne voit presque jamais le soleil, sombre et noire, révèle la beauté de ce ciel bleu.
Je me pose ainsi rêveuse. Haendel m’a inspiré tout comme cette nature. Dans les deux cas, la beauté est partout si on regarde au fond de soi. La perspective de notre âme nous ouvre au bonheur. Rien n’est dû au hasard, seule notre sensibilité est la clef des portes du paradis. Le plus difficile est d’en trouver le chemin
Petit moment hors du temps et hors sujet...
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C'était une de ces après midi d'hiver, j'étais sortie pour l'accueillir comme il se doit. J'aime les arts de la table, la décoration, chaque détail à une signification et je sais qu'il y sera sensible. D'ailleurs c'est ce qu'il aime chez moi.
Je porte des chaussettes hautes noire avec cette robe noire en laine et son col bénitier, laissant deviné mon cou. Mes cheveux noirs et brillants font ressortir mes lèvres toujours parés de ce rouge.
J'ai décidé de me faire plaisir, un magnifique bouquet de roses. J'adore cette fleur, des pétales au toucher de velours, des couleurs pastels, à la blancheur au rouge bien plus profond sont comme un poème, elle n'ouvre son coeur qu'à celui qui prend le temps de la voir éclore. Ses épines montrent son piquant, seule la délicatesse et le savoir faire d'une main bien attentionnée permettent de la saisir.
Je l'attend... lui. J'ai pris soin d'allumer le feu de cheminée, ainsi que quelques bougies. Sur ma table avec son plateau en chêne, belle vaisselle, verre en crital, un magnifique bougeoirs surplombe cette table avec ses bougies dorées. L'ambiance est baroque. J'ai particulièrement pris soin d'élaborer un choix musical pour nous emporter dans cet univers qui nous appartient et où il me fait chavirer, où deux êtres entiers se sont trouvés.
Je l'entend monter les escaliers, je reconnaîtrais ses pas parmi tant d'autres. J'ouvre la porte et il me détaille de la tête au pied. Je porte une longue robe noire parsemée de dentelle avec un léger dos nu, les cheveux sont légèrement attachés, et je porte mon collier, celui que nous avons choisi ensemble, et qui est unique. Tout comme notre relation.
Je sais qu'il regarde mon décolleté, il passe sa main sur mon cou et s'empare d'un de mes seins. Il m'empoigne les cheveux et me fait déguster ses doigts. Je les dévore, les honore comme s'il s'agissait de sa queue. Il s'installe confortablement sur le canapé, je lui sers un verre de vin rouge. Je m'installe à ma place, à ses pieds. Il me caresse les cheveux pendant que nous échangeons. Il m'ordonne de défaire la ceinture de son pantalon, et de le mettre à l'aise.
- Baisse tes yeux, ma queue attend tes lèvres. Applique toi!
- Oui mon Maître.
Me délectant de sa queue, il profite de son verre de vin. Puis de sa main puissante sur ma tête m'enfonce tout son sexe dans ma bouche.
- Ne bouge pas", reste ainsi.
Au bout de quelques minutes, il me demande de me lever, il passe ses doigts sur ma peau, sur mes lèvres puis défait brutalement ma robe. Elle tombe autours de mes pieds. Il me félicité du choix de ma lingerie. Un soutien gorge qui réhaussent mes seins, mais qui lui laissent mes tétons à vue, tout comme cette culotte ouverte, lui donnant libre accès à ce qui lui appartient.
Ma bouche, Mon cul, ma chatte sont à son entière disposition.
Il me fait mettre à quatre pattes sur la table du salon:
" Ecarte ton cul de chienne"
Rien que le son de sa voix m'excite. Il sort un plug, et me l'installe sans ménagement dans mon cul.
Voila le bijou qu'il te manquait, Scarlett.
La soirée ne fait que commencer me dit il. Je t'ai prévu un cadeau de Noël que tu n'es pas prête d'oublier.
Habille toi chaudement, nous sortons! Il me met ce bandeau sur les yeux et m'installe dans la voiture, les mains attachées dans le dos.
J'en ai complètement perdus mes sens. Il m'attache les mains au dessus de la tête. Et que ce soir je reçois mon cadeau et que je serai également un cadeau.
Je sens mes tétons pris par des mains inconnus. Voila, qui est plus présentable me dit il.
Mon maître m'ordonne de le remercier.
Merci Monsieur, dis je.
Puis je sens une autre paire de main écarter mes fesses puis mettre deux doigts dans ma chatte.
- HUmm qu'elle est ouverte cette putain.. J'adore.
- Mon maître n'ordonne de le remercier.
- Merci Monsieur Dis je.
Un autre s'amuse à jouer avec le plug dans mon cul et me dit.
- Hum ton cul aussi va bien être ouvert comme il se doit.
Puis il me fesse.
Mon maître indique à ses messieurs que tous mes trous leurs sont disponibles.
Il me détache et m'installe sur un canapé à moitié assise.
On m'attache les chevilles en l'air, offrant ainsi à la vue de tout le monde ma chatte, mon cul.
De là, je sens les mains de mon maître venir retirer mon plug et insérer quelques doigts.
- Il m'interdit de gémir ou de jouir.
- Un homme décide de me baiser par la bouche, pendant que je sens des doigts dans mon cul, dans ma chatte. Je me sens écartellée de partout. Honteuse de mouiller ainsi. Ils prennent soin de bien me dilater.
Il me détachent et me fait mettre à quatre pattes.
"Cambre toi comme une bonne chienne",
"Allez mieux que ça"
" Montre nous comment une bonne chienne se branle"
Je me sens honteuse car quand je me masturbe, je deviens presque timide. Mon maître le sait.
"Dis nous que tu es une putain"
- Je suis une putain, Maître.
Maintenant, tu vas dire à ces messieurs qu'ils peuvent venir te baiser par tous tes trous.
" Messieurs, Venez me baiser par tous mes trous"
Plus fort, me dit il, nous ne t'entendons pas.
Je me sens honteuse mais j'en ai terriblement envie.
"Messieurs, venez me baiser par tous mes trous"
Pendant toutes la soirée ils me prendront comme la bonne chienne que je suis. Une fois leur cadeau reçu, mon maitre m'attachera à nouveau. Il me dit être fier de moi. Il me fit ma toilette
Je dormirai attachée à ses cotés, lui me tenant par ma laisse.
Je me réveillais fatiguée de ma soirée. Il me détacha et me mis sur le ventre. Il me caressa le dos. Je gémis et j'en frisonne.
Il me pris ainsi par la chatte.
Entre douceur, et violence il me pris par ma chatte. Puis me défonça mon cul élargi par la nuit précédente.
Puis il me caresse à nouveau dans une infinie douceur.
" Ne bouge pas", repose toi tu l'as bien mérité.
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C’était un soir de printemps, ma curiosité m’a poussé à aller dans un club libertin, non pas sur Strasbourg, car j’en ne n’en avais pas entendu de bons échos mais en Allemagne.Un ami m’accompagne, je suis excitée à l’idée de découvrir dans ce genre de lieu. Dans mon esprit, j’imagine les hommes et femmes avec beaucoup plus de respect les uns envers les autres que dans les bars de Strasbourg, où certains devraient prendre des cours sur la bienséance.Je me pare de ma plus belle lingerie, dont vous voyez les photos sur mon profil. ces photos ont été prises le soir où je me suis rendue dans ce club : un serre taille, un soutien gorge ouvert, des cache tétons, une culotte ouverte, des portes jarretelles avec des bas coutures, et bien sur mes chaussures vernies noires à haut talons.Cela faisait des années que je ne m’étais pas sentie désirable. Toujours coiffée d’un style des années 40-50, du rouge à lèvres couleur rubis sur mes lèvres, il est bon de se sentir belle et regardée et de retrouver ce sentiment de confiance. Cela n’a rien à voir avec du narcissisme, mais d’être en accord avec soi même.Durant des années, j’ai laissé de coté mes désirs, mes envies car je n’osai dire à un homme ce que j’aimai, ce que je désirai, ce qui comptait c’était son plaisir. J’ai décidé après tout ce temps de penser au mien.Lorsque j’arrive à ce club, mon cœur s’emballe, et je suis comme une petite fille qui va dans un lieu hors du temps. Bien que l’endroit est plein de monde et que nous n’avions réservé, on nous accueille avec un grand sourire. Une fois deshabillée, je marche avec fierté et exhibe mes seins presque nus ainsi que mes fesses aux regards de ses hommes et femmes. Cela m’excite terriblement.Je pars, comme une aventurière à la découverte de ces pièces. Une chambre avec un style colonial, une autre dans une pénombre rouge, un donjon SM..je monte les escaliers et là je vois un lit.. enfin presque une salle recouverte de matelas avec des barreaux, une salle secrète avec un trou où chacun peut regarder ce qui se passe… Pour le moment tout est calme. Je me rend alors dans la salle où il y a un bar, une piste de danse, un cage où il est possible de s’enfermer et danser. Il est si bon de se sentir décomplexer et autant à l’aise. Après quelques verres, quelques danses, je me sens prise par cette ambiance. Je regarde mais je n’ose toucher. Toujours ce côté timide en moi qui m’empêche d’aller vers les routes, bien que ma tenue semble indiquer pourquoi je suis venue ici. Je n’ai pas encore réussi à passer ce cap.Au fil de la soirée, je vais de salles en salles, entend gémissement et cris, des hommes qui me prennent pas la main.. mais je ne suis pas encore prêt à cela, bien que je meurs d’envie d’essayer tout cela.
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C’est une magnifique journée d’automne, je décide de partir en forêt, seule, histoire de me vider la tête. Je prend mon cabriolet, et admire le champ ouvert au dessus de ma tête, les arbres colorés de mille feux, comparable à un coucher de soleil. Je respire.
Je laisse la route m’emporter jusqu’à ce que je trouve un lieu qui me plaise, et je me souviens de ma conversation de cette homme qui me courtise, et qui m'avait parlé d'un lieu ce matin non loin de col du Donon. Et me voila parti, chaussures de randonnées, un T shirt assez moulant et un pantalon adapté à la situation. Je m’empare de mon sac à dos, et c’est parti.
Je suis le chemin de randonnée indiqué, je devrais traverser des tourbières. J’adore. J’aime les paysages avec l’eau. Je ne croise personne, quel pied ! Il fait si bon.
Cela fait presque 2h15 que je marche et j’espère que le chemin se termine bientôt car il était indiqué 2h30 pour faire cette balade. Le temps passe, et cela fait 3h que je marche, je commence à m’inquiéter, aurai je rater un panneau ? Et je constate à mon grand dam que la batterie de mon téléphone est HS. Mais quelle nouille, combien de fois, je me suis dit.. il faut que je la change ! Cela m’apprendra. Je commence à m’inquiéter. Je me stoppe dans une petite clairière et j’entend le craquement de branchages. Mon cœur s’accèlère. Je reprend la route, et toujours ce bruit, je me sens comme observer. Et je commence à courir et d’un seul coup je me retrouve prisonnière dans un filet qui s’est rabbatu sur moi. Je crie, je crie.
La nuit commence à tomber, j’ai froid. Plus aucun son sort de ma gorge. J’essaie de sortir de là mais impossible. Je m’endors fatiguée dans cette position inconfortable. C’est alors que je tombe brutalement au sol, et cela me réveille brutalement, complètement désorientée.
- Ah la princesse aux bois dormant est réveillée, me dit cet homme
Je le remercie de m’avoir libérée. Je suis complètement gelée, courbaturée par l’inconfort de ma position durant la nuit, sans parler du fait que je suis affamée !. Cet homme me regarde bizzarement il me sourit, n’appelle personne… je lui demande comment retrouver mon chemin.. IL m’indique la route à prendre mais sans que je puisse faire quoi que ce soit, il me prend par-dessus son épaule comme un vulgaire paquet. Je lui donne des coups de poings dans le dos, mais il est si fort, et je n’ai plus de force.
- ca ne sert à rien de crier ma belle, personne ne peut entendre. Quand on se prend pour le chaperon rouge, on risque de croiser le grand méchant loup.
Il me dépose sans ménagement et me cache le visage. Il m’attache les mains, me met un collier et me tient par la laisse. J’avance sans savoir où aller. Je tire sur ce lien, mais je sais qu’il est trop fort pour moi.
Je sens le loquet d’une porte s’ouvrir. Il me demande d’avancer mes poignets, il me les libère.
- Ne bouge pas ma jolie, me dit il.
Et là j’entends le bruit de chaines.. mais que fait il ! j’hallucine, il est en train de m’enchainer.
La porte se referme. J’ote cette cagoule de mon visage. La pièce est éclairée à la bougie, Un lit, des couvertures, une armoire, une douche… La première chose que fait est de me soulager sur les toilettes.
Au travers cette porte, il y a un trou , j’essaie de voir à travers, mais l’ouverture se fait par l’extérieur.
De là, mon ravisseur me parle et ouvre ce loquet.
- Tu vois, tu es bien traitée. Tu auras tout ce que dont tu as besoin. J’aime les femmes élégantes, belles, intelligentes et à mes pieds. Si tu écoutes tout ce que je te demande, ta vie n’en sera que plus agréable, sinon tu me verras dans l’obligation de sévir. As-tu bien compris ?
- Je dis oui.
- déjà tu vas me changer de tenue, tu trouveras dans cette armoire tout ce qu’il te faut pour te faire belle pour moi. D’ailleurs ce soir, tu dineras avec moi. Fais toi belle et ne me décoit pas.
J’en suis déconcertée avec ses manières alors qu’il a été si bourru avant. J’ouvre l’armoire et y découvre des tenues si féminines que je n’en crois pas mes yeux. Je me dis que c’est une hallucination… De même sur la coiffeuse, des produits de maquillage de rouge à lèvres. Je doute que je sois la première femme à être ici.
Il m’est très difficile de m’habiller avec ce collier autours dont la chaine est attachée au mur.
Il ouvre ma porte en grand et j’y découvre un homme élégant se dirigeant vers moi. A l’opposé de l’homme qui m’a amenée ici, et pourtant c’est bien le même homme. Il s’approche vers moi, fais le tour de moi et me félicite de mon choix et de ma présentation. Il détache de mon collier cette chaine et m’invite à passer devant lui. Nous empruntons un tunnel dont le sol est pavé. Les murs sont humides. Quel lieu étrange. Je découvre cette grande salle tout en pierre et complètement aménagé, Fauteuils, un magnifique lit, puis plus au loin j’y aperçois une grande croix, et des fouets, et autres choses accrochées contre la parois. Je me retourne et décide de courir, mais je me heurte à sa stature. Il me prend dans ses bras et m’etreint.
- Tout doux, je ne te ferais aucun mal sans ton consentement. Me dit il au creux de l’oreille. Il lève mon menton avec ses doigts et me caresse la joue.
Il m’invite à aller m’asseoir, en toute civilité sur cette magnifique chaise tout en velours rouge, et me sert un vin rouge, un bordeau, un château Le Puy.
- A notre rencontre et aux plaisirs qui en viendront.
Nous buvons, et dégustons les belles agapes. Il me regardent avec une telle insistence qu’il me trouble. Tu m’appelleras Monsieur. Tu seras Sabrina pour le moment. Eh oui, je me suis permis de fouiller tes affaires..
Je fronce les sourcils pour commencer à parler : Il me dit.. non.. ce n’est pas le moment pour une complainte, profitons de ce moment.
La soirée est tellement agréable que j’en oublis presque ce qui m’arrive et où je suis. Il me reconduit à ma chambre, m’enchaine à nouveau et repars.
Je découvre que sur mon lit « Un contrat ». je me demande ce que c’est que cela. Mais qu’est ce que cela fait sur mon lit.
Je commence à lire...
Exécution des ordres.
Je me demande à quoi rime ces questions avec le choix : Refuse de le faire, jamais essayé, déjà fait et une échelle d’intérêt entre 1 et 5
* Suivre et respecter les ordres ?
* S’agenouiller devant son maitre ?
* Être mise au coin ?
* Être mise en cage,
* Être mise en cellule
* Être mise dans le coffre d’une voiture
* Être mise nue devant un public
* Le contrôle de la respiration
….
Ces questions me font sourire.. car s’il croit que je suis ce genre de femme ! N’empêche elle traverse mon esprit.
La seconde page me fait grossir les yeux :
Pratique Sexuelle
* Boules de geisha
* Glace sur le clitoris,
* Glace dans le vagin ou l’anus
* Donner un cunnilungus
* Recevoir un cunnilungus
* Dilatation vaginale,
* Dilatation anale
* Porter un plug anal,
* Porter un didlo télécommandé par Monsieur
* Etre exhibée à un public en étant prise par Monsieur
* Se faire prendre à la chaine
* Double pénétration
* Gang Bang
* Bisexualité
Mon esprit se trouve davantage…
Vêtements et accessoires
* Porter les vêtements choisis par Monsieur
* Porter un bâillon en tissu
* Porter un bâillon mord de cheval
* Porter un bâillon en ruban adhésif
* Bandeau sur les yeux
* Porter une ceinture de chasteté,
* Porter un collier en privé
* Porter un corset
* Bondage plusieurs heures
* Shibari
* Être enchainée
* Être ficelée
* Être entravées
* Etre suspendue debout.
* Être surspendue à l’horizontal
* Harnais
* Immobilisation
* Momification
* Menottes et fer
* Dormir attachée
* Cire en général
* Cire sur les seins
* Cire sur le sexe
* Cire sur les fesses
* Lavement pour nettoyer
* Lavement pour rétention d’eau vaginal
* Lavement pour rétention d’eau anal
* Pinces aux seins
* Pinces au sexee
* Attachée sur une croix
* Pince à linge….
Ce questionnaire me laisse complètement abasourdie. Je devine ce qu’il attend de moi mais souhaite m’en rendre complice. Je dois reconnaître que je suis passée pour tous mes états et que cet homme me fait de l’effet.
Certains mots de la liste me font apparaître des images obsènes dans le tête alors que je suis captive. Je jette de colère tout ça sur le sol. Et me réfugie sur le lit.
Le lendemain matin, il m’apporte un petit déjeuner avec tout ce que j’aime.. Mais quel homme attentionné et à mes soins. Je me laisse avoir par ce comportement car i ll ne m’a fait aucun mal. Il me demande de ramasser ce que j’ai jeté par terre, et que ce n’est pas le comportement d’une femme civilisée.
Il dispose le petit déjeuner à distance où je ne peux l’atteindre avec mes mains. Il m’ordonne de me mettre à genou. Allez.. à genou me dit il d’une voix douce.. où alors je deviendrais plus méchant.
Je m’execute. Il me demande de formuler des excuses immédiatement.
- Je suis désolée de mon comportement et d’avoir jeté ce contrat par terre.
- non.. mieux que ça… soit plus sincère et n’oublie pas de finir ta phrase par Monsieur.
- Je suis sincèrement désolée d’avoir jeter ce contrat par terre, tout ceci est nouveau pour moi,Monsieur.
- Bien, j’accepte ton ignorance mais pas ton comportement. Tu seras priver de déjeuner.
Le temps passe, j’ai faim. La porte s’ouvre à nouveau. Allez, à genoux ! tu dois m’accueillir à chaque fois ainsi. Je m’execute.
- Que tu apprends vite ma belle. Tu vois ce n’est pas compliqué. Tu baisseras toujours le regard en ma présence.
Il me détache et me conduit à nouveau dans cette pièce. Il m’attache à cette croix. Sa voix est si rassurante et pourtant il m’attache. Je me sens paradoxalement en sécurité.
Sais tu ce qui arrive aux vilaines filles qui ne sont pas obéissantes ?
- Je commence à répondre et je lui dis que je ne suis pas une vilaine fille.
Et là il découpe avec un ciseau le t shirt que j’avais décidé de porter pour la nuit. Il découpe aussi mon soutien gorge. Je me sens honteuse ainsi. Il admire mes seins. Il les prend dans sa main et les cajolent avec une telle tendresse. Que tu as de beaux seins, je vais en prendre le plus grand soin, je te le promet. Il les prend en bouche, les mordille, les lèches, les pétris.
-Alors ma belle, n’aimes tu pas cela ? me retorque t il
Il ne peut que constater que mes tétons pointent, signe de mon excitation et de ce moment érotique que je suis en train de vivre, le plus érotique de ma vie. Il me laisse ainsi les seins à l’air.
Je m’habitue à sa présence, et je sens qu’il ne va rien faire contre mon gré. Il me dit que ce soir, je dois avoir répondu à son questionnaire. Il me renferme à nouveau.
Je n’arrive plus à savoir si nous sommes le matin, l’après midi ou le soir. Je n’ai toujours pas vu la lumière.
Il me dit, tu as deux choix ma belle :
* Accepter ce contrat et le remplir
* Ou je te laisse repartir et nous ne nous reverrons jamais.
Je suis si intriguée, aucun homme ne m’a jamais fait cet effet… son regard se plonge dans le main.. et j’ai décidé de baisser les armes… Oui Monsieur, je souhaite remplir ce contrat et le signer.
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Mason Close.
Les cartons d’invitations, à nos membres les plus fidèles, ont été envoyés.
L’adresse se situe dans un hôtel particulier, qui était dans le passé une maison close. On devine de part l’architecture la majesté du lieu. Le sol en marbre, de magnifique colonne, un escalier monumentale se séparant en deux pour se rendre aux différents étages.
Le thème de la soirée est de recrée l’atmosphère des maisons closes et de se replonger dans cet univers érotique. Des fauteuils circulaires, des méridiennes, un piano, des rideaux en velours qui tapissent les hautes fenêtres pour plonger le lieu comme une atmosphère feutrées. L’éclairage est tamisé.
Des femmes, au corps à moitié dénudés joueront l’attraction de la soirée. Chacune a pu choisir son style, une nymphe, une danseuse orientale, une mondaine. Mon choix s’est porté sur une long kimono noirs, les manches sont amples et très longues, et touchent le sol, je porte un soutien gorge complètement ouvert et j’ai parés mes seins de magnifique bijoux scintillants. Je porte une culotte où de nombreuses perles tombent sur mes cuisses et des bas qui sont rattachés par les jaretelles. Ma tête est coiffé de bijoux et d’une pièce maîtresses avec des plumes et mes bras habillés de longs gants noirs
Une multitude de colliers tombent sur mon cou mes seins. J’avais envie de m’inspirer de ces femmes de sérail.
Je dois me préparer pour le spectacle de ce soir, où je jouerai avec mes magnifiques éventails géants en plume d’autruche. Ils ont été installés au centre de ce hall. J’aime beaucoup en jouer car c’est très suggestif et me permet de garder mon coté joueuse et mystérieuse, juste ce qu’il faut pour attirer le regard.
Mon numéro commence par Banned in Boston, une musique langoureuse, parfaite pour l’effeuillage.
Je sens la lumière sur moi, les regards se posent sur moi, arrivant en haut de cet escalier. Je prends une démarche élégante pour descendre les marches. Je joue avec mon kimono, je glisse mes doigts sur le revers et je le laisse tomber avec négligence pour dévoiler mon épaule, puis je le remonte, je fais de même avec l’autre coté. J’avance parmi les invités, effeurant de mes doigts leur joues, leurs cuisses. Ils essaient de s’approcher, mais je les repousse. Soudain, je repère un homme dont le regard me perce. Je le regarde droit dans les yeux, je m’avance, puis me retourne, et défait de mon kimono. Il est assis sur cette méridienne. Il a vu imprenable sur mes fesses et je sens qu’il aime voir ses perles qui lui permettent d’entrevoir mes fesses.
Je repars au milieu de la pièce, Je prend le doigt d’un gant dans ma bouche et le tire, je renouvelle cette opération jusqu’à ce que je retire longuement ce gant… puis je le jette au sol. Je fais de même avec l’autre. La musique se fait plus langoureuse, et je m’empare de mes éventails de plume, où j’entame comme une danse du cygne.. Je laisse juste à mes hôtes entre apercevoir mon corps.
Une fois ma danse terminée, les messieurs ou dames désireux une danse privée doivent payer.
C’est là que l’homme au regard perçant, m’achète pour toute la soirée. Il ne dit pas un seul mot. Il m’étreint du regard, me prend par la main. Nous montons les marches et nous nous retrouvons dans une pièce magnifique. Des dorures de partout, un lit avec des pinacles de part et d’autres, un salon privé avec de multiples voilages.
Il me regarde dans les yeux et m’ordonne de danser pour lui. Il s’asseoit, et me prie de danser sur lui assise sur ses genoux, le dos tournés à lui. Il ne me touche pas. Puis il me dit qu’il en veut pour son argent.
Il fait entrer un autre homme dans la pièce, je suis intriguée, curieuse, mais craintive. Il me demande de danser pour lui. Celui-ci ne se gène pas pour poser ses mains sur moi, il me claque les fesses comme si j’étais à lui. Je ne tolère pas ce manque de respect. L’homme au regard perçant ne tolère pas mon inconduite. Il se lève, se met à ma hauteur, enlève ma coiffe, et fait basculer ma tête en tirant mes cheveux par l’arrière. Il maintient une pression avec ses doigts autours de ma bouche et m’assaille d’un baiser froid. L’autre homme me bande les yeux. Je perds tous mes repères. Il me dirige vers ce lit, et m’attache de part et d’autres de ces pinacles. Le dos face aux sofas.
Et là je sens leur main me palper. Celui qui me parle, je sens son excitation dans son souffle, et il me dit qu’il prendra un plaisir à me baiser. Il me passe sa main sans ménagement sur mon sexe, et me fesse. Je sens une cravache parcourir mes courbes et un coup part entre mes fesses. Il m’ordonne d’écarter mes cuisses. Il me pénètre sans ménagement, tandis que l’autre homme s’est mis sur le lit, et il s’empare de chacun de mes tétons, et me les cajole. Je suis prise entre la queue de cet homme fou furieux et de cet homme si doux. Je suis interloquée. L’homme qui me pilonne me tire les cheveux en arrière, et l’autre enfonce ses doigts dans ma bouche. Quelle belle putain tu fais, me dit il.. Voilà comment tu mérites d’être traitée. C’est un honneur que nous te faisons. Sois en digne.
Toujours les yeux bandés, il me détache les poignets, et me les attachent dans le dos. Je dois m’empaler sur une queue, à califourchon. Pendant que je fais des va et vient sur cette queue, je sens des doigts pénétrés mon cul. Je sursaute. Je dis non !! C’est là que l’homme sur qui je suis à califourchon, m’attire vers lui et plaque ses bras tout autours de moi. Je suis impuissante. Il garde sa queue en moi, et l’autre me dilate complètement. Je sens qu’il a craché sur mon fion pour que ce soit plus facile. Un doigt, deux doigt… trois doigts.. Il m’insulte.. Puis il m’encule. Je sens ensuite ces deux queues en moi. C’est une première pour moi. je me sens honteuse mais excitée. Et là j’entends : tais toi, on sait que tu aimes ça, regarde comme tu es dégoulinante.
Ils éjaculeront tout deux sur moi. Il me laisseront attachées toute la nuit, et me baiseront à tour de rôle ensemble, sans que je ne sache qui me prenait.
A l’aube, je suis épuisée par cette nuit de baise. L’homme au regard perçant est à mes coté et me caresse le dos.. et me dit.. Acceptes tu d'être l'objet de mon plaisir?
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