De nouveaux 3 semaines, manicure, ménage, changement de douche, Madame est ravie, pas un mot de Olga, Elle m’offre à des inconnus avec ou sans capote, je deviens une vide couilles. Elle m’annonce que mercredi prochain elle aura 2 amis à manger et que je dois faire un bon service.
Même procédure, presque le même repas qui doit venir 11h30 ça sonne Olga est là je l’embrasse un monsieur est derrière elle que je n’avais pas vu. Bonjour Monsieur, Bonjour Pat.
Je les amène au salon, je frappe et j’ouvre la porte ils entrent je prépare l’apéritif, Madame trinque avec Olga, Chéri je te présente Pat la soubrette. Pat je te présente Charles mon mari Bonjour Monsieur Charles Ils commencent à boire
Mais la soubrette a aussi droit à un apéritif non !! Bonne idée Olga.
D’un ton sévère Olga me dit « Pat à genoux devant Charles, ouvre sa braguette descend ses pantalons, ainsi que son slip allez maintenant suce Charles et fait le jouir c’est ton apéritif ». A genoux je suce Charles iil apprécie ma bouche. Olga m’encourage vas-y Pat suce bien. Charles se laisse faire. Son sexe grossit, ça sonne à l’entrée Madame me dit continu Pat je vais y aller. Puis revient c’était le traiteur. Charles commence à me pilonner la bouche, donne son verre à Olga et me bloque la tête sa queue bien au fond et joui Olga m’encourage vas-y Pat avale, Madame relève ma jupe et me donne des coups de cravaches, continue pompe-le encore. Charles se retire de ma bouche, Nettoie-le Pat il y a encore ton apéritif dessus, avec la langue bien propre. Remonte-lui son slip et ses pantalons. Tu as vu Charles la bouche de Pat c’est un plaisir, depuis qu’elle est à mon service elle à chaque fois une queue ou deux. J’ai de très bons amis.
Olga annonce qu’elle a un cadeau pour moi la soubrette, je souri, et me tend une boite avec un joli ruban. Ouvre ton cadeau Pat. Je défais le nœud enlève le papier et le couvercle. Un objet en métal, Olga commente l’objet c’est une cage de chasteté pour son clito.
Madame la prend en main regarde surprise « Bonne idée Olga je vais lui installer, elle est gâtée après son apéro une cage. Relève ta jupe enlève ton slip fendu, penche-toi en arrière sur le fauteuil je m’exécute, Madame m’installe la cage elle est très petite cela me serre, le clito est compressé dans la cage. Tiens voilà le cadenas, Charles assis dans un fauteuil assite à la scène. Olga me caresse le visage, me sourit, m’embrasse tendrement, La cage est en place dans la boite il reste un tube flexible. C’est pour mettre dans son clito la canule elle se visse sur le devant de la cage devant dit Olga, Madame lubrifie la canule et l’installe dans mon clito la visse. Pose le cadenas. Voilà ma soubrette encagée je suis très contente de ce cadeau Olga, je pourrai mieux contrôler ses états d’excitation. Bon Passons à table. Pat enlève ta robe et sers-nous. Je veux te voir avec ce god et cette cage. Madame me donne des coups de cravache sur les fesses et le clito et crie « tu n’as même pas dit merci à Olga. Olga donne -lui 3 coups de cravaches en plus, penchée je reçois la cravache d’Olga je compte et je la remercie pour son cadeau.
Pendant le service leurs mains touchent les fesses, mon clito, Olga aime me pincer les tétons. Olga suggère à Madame de me faire prendre des hormones pour que ma poitrine grossiste, Charles trouve l’idée très bonne, ils discutent de la grandeur, Olga m’appelle, je viens à elle, elle ouvre mon chemisier et le sien je pense que Pat à très envie d’avoir les mêmes seins que moi en me regardant dans les yeux. Quand elle était dans mes bras elle s’est confiée à moi. Elle m’a dit c’est de la décision de Madame pas la mienne. Madame me regarde et me dit Pat aura la même poitrine qu’Olga Depuis qu’elle est à mon service je lui travaille les tétons et depuis sa poitrine à un peu grossi. Pour les hormones c’est au Docteur de lui prescrire le traitement.
Je fini de servir le repas, le café Charles me demande un digestif que je lui sers ;
Je pense que la soubrette Pat a aussi droit à d’un digestif lance Olga sitôt dit-elle en m’empoignant par l’anneau du collier et m’oblige à me mettre à genoux devant elle, relève sa jupe sort son pénis et me dit « suce-moi tu as eu l’apéro avec Charles moi c’est la liqueur que tu connais déjà » et comme de rien ils continuent à discuter entre eux. Le clito d’Olga grossit, Madame vient derrière moi s’amuse avec le god et la cage. Olga me tire tors pince les tétons et m’encourage par des mots doux « continu Pat, lèche bien mon clito, aime mon clito, fait durer le plaisir, plus vite le nectar sortira moins tu prendras du plaisir. La dernière fois tu étais folle de mon clito alors profite Tu l’aimes mon clito, ma tête fait signe que oui. Olga glisse doucement vers le sol et relève ses jambes bien haut. Charles s’était posté derrière le fauteuil d’Olga attrape les 2 jambes. Suce-moi la chatte Pat comme tu sais bien le faire, met ta langue dans ma chatte, humm vient lécher le bout de mon clito et branle moi en même temps continue Pat c’est bon huummm ça vient Pat prend mon clito dans ta bouche ça y est mon clito coule Pat continu avale mon nectar. Olga me tient la tête le clito a moitié dans ma bouche, il coule toujours avale Pat.
Nous restons ainsi quelques minutes, le clito d’Olga devient mou, je continu à bien le lécher. Pendant tout le temps qu’Olga baisait ma bouche Madame s’amusait avec mon cadeau et le god, mon clito avait coulé, Madame me demanda de lécher ses doigts quand Olga se retira de ma bouche. Après que les doigts de Madame bien propre Olga m’embrassa très fort
Je restais ainsi à genoux devant Olga et Madame, Charles me parlait.
Pat tu aimes ta condition de soubrette. Oui Charles.
Pat tu aimes faire l’amour sur les ordres de Madame, oui Charles.
Pat Madame va te faire prendre des hormones tu le veux, oui Charles.
Pat tu aimes servir Madame et ses invités, oui Charles.
Certaines fois Madame t’offre à des inconnus tu aimes, J’ai confiance en Madame
Te voilà avec une cage Pat, tu ne pourras plus te branler, Je sais Charles.
Ce sera très dur Pat et très humiliant d’aller voir le docteur avec cette cage. Oui Charles.
Le docteur devra suivre ton traitement c’est un ami il a suivi Olga, Oui Charles.
Ce traitement coute cher Pat, il faudra t’investir Oui Charles je vais y réfléchir.
Madame toujours à coté me serre dans les bras et m’embrasse à pleine bouche. Ma Pat, Ma salope, Ma pute tu ferai ça. Oui Madame.
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1ère rencontre avec mon Maître
Notre relation dure depuis peu de temps, à la base nous ne devions pas être dans une relation D/s, mais plus dans l'apprentissage, l'éducation et découverte du monde BDSM pour ma part. Mon Maître, puisque maintenant je peux l'appeler comme ceci, a décidé tout en connaissance de cause de me prendre sous son aile, pour m'apprendre et me faire découvrir... Au début, nous avons échangé par message, mail.... Puis par un puis plusieurs appels téléphoniques.... J'étais déjà dans une relation BDSM mais pas comme je me l'étais imaginée... La rencontre et les échanges avec mon 1er Maître m'ont fait peur.... J'en ai discuté avec mon Maître actuel et ce dernier m'a dit que cette relation n'était pas faite pour moi au vue de mon passé et qu'il fallait que je stoppe car cela allait me détruire plus qu'autre chose....je l'ai écouté mais en tant que protecteur et ami.... Puis les semaines ont passé, nos échanges ont continué de plus en plus dans l'éducation et ce qui arriva, arriva...nous avons décidé de passer de l'autre côté à savoir lui mon Maître et moi sa petite soumise....nous ne l'avions vraiment pas envisagé, ni même prévu mais notre relation est fluide, simple, une complicité s'est installée entre nous et nous n'arrivons plus à ne plus être dans cette relation amicale.... Nous avons pris goût à nos petits appels, nos petits rituels, défis et punition qu'il est difficile aujourd'hui d'envisager autre chose... Une confiance totale s'est installée entre nous, je lui dis tout.. Alors cela peut paraître bizarre aux yeux de certain ou certaines mais ce n'est qie du virtuel entre nous, et nous prenons énormément de plaisir à cela, et qui sait peut-être qu'un jour le virtuel deviendra réel... Et là la soumise qui l'aura faite de moi pourra mettre en pratique ce qui lui a inculqué mais avec une grande appréhension pour elle car nouvelle dans ce domaine.... J'espère qu'à la lecture de cette petite histoire mon Maître ne m'en voudra pas de ne pas lui avoir envoyé avant le contenu et comprendra le devenir après ces 3 semaines à moitié off que nous avions convenu ensemble... Merci pour votre patience et votre soutien dans ce nouveau chemin qui s'ouvre ou s'offre à moi à vos côtés
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3 semaines ont passées, je fais la manicure de Madame avec vernis, elle aime que je l’épile son sexe lisse comme le mien, je la masse. A chaque visite je fais des fellations et je suis sodomisée avec ou sans capotes. Madame est contente elle entre sans difficulté sa main dans ma chatte. Mercredi dernier Madame m’a prévenue qu’elle aurait une amie pour manger et je devais venir à 10h30 pour préparer sa venue. C’est la première fois que je verrai une personne chez Madame. Je suis troublée.
A 10h30 je sonne 2 coups, Madame m’ouvre, je referme la porte. Je me love dans ses bras, câlineuse elle m’embrasse sur la joue.
-Tu vas te préparer, jupe noire aujourd’hui, mon amie est Olga tu verras elle est très gentille. Tu la sers et obéi si elle te donne un ordre. Tu mets la table pour 2 couverts, toi tu manges avant à la cuisine. Quand elle sonne tu lui ouvre tu dis « bonjour Olga », il y a une bouteille de blanc au frigo tu nous sers l’apéritif. Puis tu nous sers le melon avec le jambon crus qui est déjà préparé. A 12h30 on livreur va venir apporter un plat préparé avec sa garniture. Saumon et pomme nature. Pour le dessert il y a de la glace dans le petit congélateur du frigo. A toi de bien nous servir sinon tu connais la cravache elle sera à ma portée de main. Quand nous mangeons tu seras à ma gauche immobile à côté de moi. Après la glace tu sers le café avec des mignardises
11h45 la sonnerie retentie j’ouvre une magnifique Dame, cheveux brun mi-long en tailleur, chemiser, de jolis souliers à talon hauts. Encirons 175cm pour 72 kilos, de jolies jambes gainées de bas noirs.
Bonjour Madame Olga,
Bonjour Pat dis-moi seulement Olga en me caressant la joue.
Je précède Olga et je frappe à la porte du salon et j’ouvre et j’annonce Olga à Madame referme la porte et je prépare l’apéritif sur un plateau.
Quelques olives, quelques chips, 2 verres et la demi bouteille de blanc. Je frappe à la porte une voix m’invite à entrer, Madame est assise sur un fauteuil, Olga sur le canapé, je pose le plateau sur un guéridon, mets des sous verres pose les verres dessus, posent les olives et chips pose 2 serviettes à coté, prend la bouteille et commence à servit Olga, puis Madame, je dépose la bouteille sur le guéridon et je viens à gauche de Madame immobile et debout.
Les 2 dames se font santé, Madame glisse une main sous ma jupe et s’amuse avec mon god sans aucune gêne.
Olga j’ai ma soubrette Pat à mon service depuis plusieurs mois je la forme à devenir une bonne soubrette soumise. Elle est divine dans les tâches ménagères. Elle a appris à bien sucer les mâles, sa chatte est assez ouverte pour ma main. Je la gave de sperme de certains amants. Pas vrais Pat.
Oui Madame
- Tu aimes ça
- Oui Madame
- Quand j’ai ma main en entier dans ta chatte tu couines de plaisir !
- Oui Madame.
- Aller ressert nous un peu de vin et mets-toi à côté d’Olga.
Je sers et mets-toi à gauche d’Olga,
Les 2 dames discutent Olga glisse sa main entre mes jambes remontes jusqu’à l’entre 2 cuisses je frémies c’est la première fois que je vois une personne chez Madame et en plus elle me pelote. Sa main est très douce, elle sent ma gêne. Elle serre ma cuisse pour me faire comprendre que je ne dois pas avoir peur.
Chez Madame j’ai été prise par des hommes, ils ont joui dans mes 2 trous et la une femme me pelote sa main est sur mon god , elle appuis dessus, Madame veut surement m’offrir aussi aux femmes pour que je sois à tous.
-Madame décide passer à table. Je sers le vin, l’eau, l’entrée. Ça sonne à l’entrée surement le livreur.
-J’ouvre un livreur avec un sac, bonjour c’est les 2 repas commandés. Je dis merci le livreur est surpris de voir une soubrette masculine travesti. Je referme
-Je débarrasse l’entrée fais le service du saumon et reste au côté de Madame.
-Pat tu es contente de servir Madame ?
-Oui Olga. Je suis très contente Madame est une bonne patronne.
-Tu n’avais avant jamais été la soubrette de quelqu’un ?
-Non Olga, mais j’aime depuis toute petite servir.
-Madame a fait de toi une femelle tu aimes ça ?
-Oui Olga, Madame a su trouver en moi ma féminité ?
-Tu aimes alors offrir ta bouche et ta chatte à des inconnus ?
-Oui Olga, c’est Madame qui décide, je lui obéi.
-Quel sentiment as-tu pour Madame ?
-je l’aime toujours plus Olga.
Je reprends le service, sers le café.
Bon Pat Olga veut que tu te donnes à elle sans aucune limite. Je sors faire des courses. Madame se lève, Olga me prend la main et m’amène dans la chambre ou il y a le chevalet.
Elle m’embrasse à pleine bouche, déboutonne mon chemisier. Je fais de même elle s’amuse avec mes petits tétons, elle a une jolie poitrine je lèche ses tétons elle me pince les tires je subis mais c’est bon. Elle relève ma jupe caresses mes fesses, me donne des claques dessus, je lui défais sa jupe elle tombe elle a un joli fessier.
Embrasse-moi les fesses descend-moi mon string et lèche moi ma chatte anale comme tu aimeras que je te fasse. Elle a une douce odeur d’amande je lèche insère ma langue. Ecarte-moi les fesses, mouille bien. Je suis à genoux, Olga me demande de fermer les yeux. J’obéi, Olga se tourne et elle me met un doigt dans la bouche je le suce puis son doigt ressort elle me met un sexe d’homme et me bloque la tête et crie « suce Pat, suce-moi, Madame veut que tu m’obéisses suce encore, fait moi bander Pat, je comprends qu’Olga est une transgenre. Son sexe est dur, elle s’active encore plus dans ma bouche elle jouit son jus coule Avale-Pat tu aimes ça, tu me l’as dit. Tout va très vite je suis perdue dans ses bras je la caresse ses seins me plaisent je joue avec mes doigts. Elle s’amuse aussi avec mes tétons, me demande si j’aimerai une poitrine comme elle, oh oui Olga petite comme vous. Mais c’est Madame qui décide.
Les minutes passent j’ai la tête sur ses jambes je joue avec son sexe doucement Olga m’encourage, son sexe commence a durcir elle pousse ma tête pour que je le suce encore. Il est dur très dur Olga me crie à 4 pattes donne-moi ta chatte. Elle retire le god, entre dans ma chatte me pilonne sans ménagement je ne suis qu’une poupée elle jouit de nouveau. Se calme puis me retourne, Nettoie-moi maintenant comme tu sais le faire. Je gout est un peu acre. Elle m’encourage. Son clito est lisse j’ai des souvenirs de ma première fois sur le chevalet qui me revienne. Rompue Olga m’installe sur le chevalet sans m’attacher, me remet le god, prends le martinet et joue avec les lanières, elles passent sur moi vont et viennent Olga me donne un grand coup de fouet je sursaute et recommence à me caresser avec les lanières. Ferme les yeux, Olga alterne caresse et coup de fouet, Madame entre, Je saute au cou de Madame l’embrasse Merci Madame vous m’avez offerte à Olga aujourd’hui c’est la même personne qui m’avait dépucelée Madame. J’ai reconnu son odeur sa douceur des mains.
Olga se rhabille embrasse Madame « tu as de la chance d’avoir Pat, continue à la former » se tourne vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Puis s’en vas
Tu ranges tout Pat, et te rhabilles et après tu me laisses seule il est 19h tu as baiser tout l’après-midi. Je l’embrasse et elle quitte la pièce.
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2 semaines se sont passées, Madame m’a acheté un collier avec un anneau inscrit PAT, je dois toujours le porter, il est en acier chromé Mes cheveux poussent Madame m’a fait percer les oreilles et j’ai 2 petits faux diamants, c’est discret vu que mes cheveux cachent les oreilles.
Je sers Madame, fait ses tâches ménagères, chaque semaine elle m’offre à des hommes. Je suce, j’avale, je suis sodomisée, Madame à bien élargie ma chatte elle entre sa main facilement et est fière de moi.
Après avoir servi le café à Madame fait la vaisselle Madame m’ordonne le chevalet. Installée Madame m’attache me parle, me tors les tétons, mets les pinces, relève ma jupe contemple mes fesses nues dans se slip ouvert ou mon petit clito est rangé, caresse les fesses, joue avec le god me donne des coups de cravache pour me conditionner. Tout cela en me parlant.
Pat tu es splendide ainsi sur ce chevalet tu l’aimes ce chevalet, tu t’y installes, tes tétons avec ces pinces, ha ces fesses fermes, et ta chatte avec ce god cela me fait mouiller Pat. Et vlan 3 coups de cravache pour finir Madame me mets les écouteurs. Enlève le god je sens le gel froid dans ma chatte Madame installe le god gonflable et puis plus rien. Je perds la notion du temps.
Les lanières du fouet me rappellent Madame s’amuse à le passer sur mes tétons, mes fesses entre mes jambes, la caresse est douce agréable puis un violent coup de fouet sur mes fesses Madame s’amuse, Madame me veut offerte à elle.
Madame me retire les écouteurs. J’entends le fouet quand madame me donne un coup, Tout d’un coup Madame me parle « Pat tu vas avoir 2 amants aujourd’hui tu vas bien les sucer. En même temps 2 bouts de pénis sont sur ma bouche je sors ma langue suce l’un puis l’autre, pendant qu’un est en bouche l’autre se frotte contre mes joues puis inversement. Un est lisse petit mais gros l’autre moins gros mais long il va jusqu’au fond de ma bouche. Ils grossissent je ne sens plus qu’un pénis dans ma bouche. Madame parle m’encourage voila Pat tes amants sont bien dur ils vont te prendre en même temps par ta bouche et ta chatte au même moment le deuxième me sodomise. Les va et vient commence, Madame m’encourage, suce bien offre ta chatte sent comme c’est bon Pat.
Je commence à être fatigué de la bouche Madame me donne des coups de fouets sur les tétons, m’encourage l’amant dans ma bouche commence à râler il jouit Madame m’ordonne te tout avaler il est dans ma bouche je ne peux bouger le liquide acre coule j’avale par saccade, il sort je respire « Avale Pat il en reste » il remet son sexe dans ma bouche et continu. L’autre amant me pilonne de plus en plus fort la chatte il me lime puissamment il jouit Madame l’encourage à me féconder « vas y vide toi en elle, après je lui mets son god elle gardera comme ça ton jus longtemps » il me pilonne encore puis sort de ma chatte Madame aussitôt me mets le god que je dois garder sa semence. Installe les écouteurs et le calme revient.
Je n’ai aucune idée du temps à attendre quand Madame me prend le clito et y passe une corde autour puis l’enlève, je commence à bander, Madame me donne des claques sur le clito il grossit. Pause. Tout d’un coup Madame me prend le clito et le plonge dans un bas rempli de glaçons, je débande aussitôt, Madame reprends mon clito s’y amuse mets une corde puis une autre. Puis de nouveau le calme.
Je sens une main qui me détache les pieds et les mains, mes écouteurs sont retirés
-Pat tes 2 amants ont envie que tu les suces et que tu les branles. Ils veulent de nouveau jouir .
Les yeux bandés. Un pénis sur ma bouche puis le deuxième.
-Pat prend en 1 dans chaque main. Je m’exécute.
-Voilà c’est bien tu suce l’un pendant que tu branles l’autre. Voilà tu apprends vite ma fille.
Les 2 sexes grossissent. Ma bouche me fait mal avec le gros. Alors je suce plus le petit fin et doux. Madame me rappelle à l’ordre en me donnant 2 coups de fouet sur les jambes.
Le gros commence à s’agiter dans ma bouche il accélère les va et vient il va jouir. Ses mains me prennent la tête et il s’enfonce en jouissant dans ma bouche.
-Tu y es Pat, avale tout tu aimes ca je sais, continu à bien le pomper que tout son jus sorte, continu à branler l’autre t’arrête pas il va venir aussi jouir dans ta bouche. Continu. Il se retire de ma bouche ma main le tient toujours, je mets l’autre dans ma bouche je le branle en le suçant, il durcit Madame continue à m’encourager.
- vas-y, fait le jouir aussi ta bouche. Je m’active plus vite il sent venir la jouissance et comme l’autre me prend la tête et s’enfonce au fond son jus coule il me baise, Madame continue à parler.
- ça y est Pat tu as fait jouir 2 nouveaux tes 2 amants. Tu aimes je le sens. Maintenant tu vas bien les nettoyer tous 2. Lèche bien mets ta langue dans leurs méats. Ils aiment tu sais.
Puis Madame me questionne devant mes amants.
Alors ma chérie tu aimes les queues, oui Madame. Tu aimes leurs jus oui Madame.
-Dis moi tes sensations sur tes 2 amants.
-ils ont une odeur différente, l’un est plus court que l’autre et un est plus gros que l’autre. L’un est lisse l’autre moins. Un est sans poils, l’autre des poils. Ils savent me prévenir quand ils jouissent. Je sent couler leurs jus au fond de ma bouche. Un est plus liquide que l’autre.
-que dis-tu à tes amants Pat.
-Merci à vous deux. Madame m’éduque à devenir une femelle a queues, je garde en vous vos semences. Je serai contente que vous revenez tous 2 me féconder. Cela fait plaisir aussi à Madame.
Bon tu peux lâcher les 2 queues ils doivent partir. Tu ne bouges pas, je les raccompagne.
Les minutes passent, je reste assise là, ma bouche pâteuse, le god me gêne dans ma chatte.
Madame ouvre ferme la porte, m’enlève le bandeau et m’offre un verre d’eau.
Debout devant moi je bois le verre en entier et lui dit « merci Madame »
Puis Madame me saisit et m’embrasse à pleine bouche, me serre, me caresse partout. Je me sens fière de son apprentissage sur moi. Je lui dis « merci Madame » et je l’embrasse encore plus.
Je repars contente de me sentir fécondée la chatte pleine de jus les cuisses serrées pour bien garder le god.
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Nous nous réveillons côte à côte pour la 1ère fois, et quel bonheur de me retrouver à côté de mon Maître, depuis le temps que nous attendions cela.
Je regarde s'il est réveillé...à mon grand bonheur il dort encore...j'en profite pour m'extirper du lit pour aller prendree une douche avec tous mes orifices soient propres quand mon Maître se réveillera.
Sans faire aucun bruit, ou de mouvement brusque, je me glisse tout doucement de nouveau dans le lit...puis je me colle à lui, fesse sur sa queue...il a senti la chaleur de mon corps contre lui et se réveille doucement... Sa main parcourt mon corps et me fait frissonner tellement les sensations sont fortes, puis prend une de mes mamelles dans sa main et commence à titiller mon téton pour le faire durcir et pouvoir le tirer afin que la sensation de douleur et de plaisir montent en moi... Ce qui fut rapidement le cas.
Il m'ordonne de me mettre sur le dos afin de pouvoir accéder à tous mes orifices, je m'excute immédiatement...me demande d'écarter les jambes afin que ses doigts puissent caresser ma chatte et me faire mouiller à souhait... Il ne lui faut pas longtemps pour y arriver... Il m'enfonce 3 doigts et mon corps se cambre de plaisir... je dois rester dans cette position car il adore quand je me cambre... Et sa bouche prend mes tétons tour à tour afin qu'ils pointent et qu'ils puissent profiter de ces belles mamelles... Je suis fortement excitée que je ne rends même pas compte que j'en jouis de plaisir... La femme fontaine que je suis c'est laissée avoir à son propre jeu...mais normal mon Maître connaît les moindres réactions de mon corps... L'excitation en moi ne s'arrête plus que je supplie mon Maître de bien vouloir me laisser venir sur lui afin de lui faire sentir mon envie...il acquiesça rapidement et le mouvement de mon bassin...lui fait durcir sa queue encore un peu plus à chaque mouvement que quand je la sens bien dure et en moi, j'en crie de plaisir....ce qui m'a value une fessée car je n'avais pas prévenu mon Maître de cette montée en jouissance....
La fessée fût appréciée et adorée, la mise en levrette a fait raviver l'excitation en moi, qu'en bonne soumise, je présenta de nouveau mes fesses pour que mon bon Maître puisse prendre à son tour le plaisir et la jouissance dont il se contient depuis le début....nous avons malgré tout ceci pris notre pied ensemble alors que cela m'était interdit par mon Maître
En guise de punition.... J'ai eu droit à être mise au coin et à être fessée par la cravache de mon bon Maître
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Pendant 3 semaines ce fut presque la même chose. Madame devient toujours plus sévère avec moi, sa main entre en entier dans ma chatte, elle joue de la cravache, ma tenue de soubrette évolue au fil des jours. Madame a acheté plusieurs slips ouverts derrière et mes chemisiers ont été modifiés, 2 petites ouvertures aux niveaux des seins laissent apparaitre mes tétons, Madame s’amuse avec. Une fois propre changé et après avoir servi le café Madame me dit « va sur le chevalet et attends-moi » Oui Madame.
Quelques minutes après Madame m’attache les mains et pieds, me mets le bandeau et glissa à mon oreille « tu vas aimer ma soubrette » et installe le casque. Me mets les pinces aux tétons.
Elle relève ma jupe me donne 3 coups de cravache, s’amuse avec le god que je porte toujours chez elle. Le retire et me sodomise avec le god-ceinture pour bien m’ouvrir. Ses 2 mains sur mes hanches. Un doigt me caresse la bouche pour l’ouvrir d’où vient ce doigt ? Ma bouche le suce par habitude et il se retire aussitôt remplacé par sur sexe d’homme mou. Ma tête bloquée je ne peux bouger. La surprise passée le pénis commence à me baiser la bouche pendant que Madame me laboure la chatte. Ce sexe grossis il entre et sort de ma bouche, Madame m’avait appris à bien sucer son god-ceinture je fais de même. Je le trouve énorme dans ma bouche, je suffoque, il se retire et s’amuse avec ma bouche. Madame m’enlève le casque des oreilles. Tu vois Pat il va jouir dans ta bouche il bande bien, tu vas aimer ce sperme comme tu aimes le tien. Suce bien mets la langue fait comme je t’ai appris. Elle était immobile dans ma chatte. L’homme accentue les va et vient puis il jouit, je manque de m’étouffer, Madame m’encourage avale Pat (Le gout de se sperme ressemblait au mien). Lécher-le, nettoie avec ta langue applique-toi. Puis l’homme se retire, Madame me glisse à l’oreille « tu es magnifique Pat, tu tout prit et tout avaler ».
Tu as aimé Pat. Pas de réponse Madame m’administra une claque sur les fesses et cria
Tu as aimé Pat » Oui Madame nouvelle claque Tu as aimé.
Oui Madame j’ai aimé.
Elle me remit le casque sur les oreilles, se retira de ma chatte installa le god gonflable et après l’avoir bien gonflé, je suis restée seule.
J’ai dû m’endormir quand plusieurs coups de cravache sur mes fesses me réveillent.
L’homme remet son pénis dans ma bouche il est mou. Il commence ses va et vient, pour le faire durcir Madame me retire les écouteurs elle m’encourage de nouveau à bien le faire durcir. Des mots te voilà femelle Pat, tu suces bien, il bande, ta bouche est faite pour ça. Sent comme il est dur, Madame dégonfle le god le retire et elle dit vas-y baise lui la chatte maintenant, l’homme entre sans difficulté dans ma chatte béante et entame des va et vient.
Madame me caresse le visage me parle « Tu aimes ca Pat après ta bouche c’est ta chatte qui va être fécondée, Tu es faites pour ca Pat. Pat parle-moi dis-moi des mots.
Oui Madame j’aime être sodomisée, je suis à vous Madame je suis heureuse de vous appartenir j’aimerai vous embrasser Madame pendant qu’il me pilonne.
Madame prend ma bouche, le baiser est long très passionné, elle joue avec mes tétons qui me font très mal. Me caresse le visage. Se retire de ma bouche me lèche le visage. Tu es très belle Pat sent comme ton amant te baise offre toi plus encore à Lui, remue tes fesses. Et Madame m’embrasse de nouveau Mon amant accélère le rythme et joui. Madame n’arrête pas le baiser, l’homme se libère de ma chatte. Madame me caresse le visage retire les pinces aux tétons. Me remet le casque et je suis seule. Je n’ai plus de notion du temp. Ma bouche est pâteuse, le baiser de Madame était très puissant. Ma chatte est vide pas de god juste le jus de mon amant.
Madame commence à me détacher enlève les écouteurs et le bandeau j’ai du mal à voir.
Madame met mon god il ne tient pas il ressort aussitôt. Madame s’en amuse. Ta chatte c’est bien ouverte Pat, je te reprends ce god et te donne un plus gros. Celui-là reste. Tu le garde à la place de l’autre.
Madame me regarde droit dans les yeux me parle me caresse le visage.
Pat je suis fière de toi, tu m’as fait confiance depuis le début tu suces très bien, te voilà dépucelée j’ai vu que tu aimes ça j’ai aussi joui en te voyant faire la femelle, tu as assumé ta place de soubrette soumise. Tu seras régulièrement fécondée, fouettée fouillée punie Aujourd’hui tu as perdu ta virginité. Tu as gouté au plaisir. Embrasse-moi Pat. Je lui saute au cou et l’embrasse longuement.
En l’embrassant je lui dis « je vous aime Madame »
Ton amant du jour veut revenir Pat il te trouve à son gout Donne-moi ton avis sur lui.
Il a des mains très douce son sexe est lisse petit et gros, il a fait attention à me donner du plaisir, son sperme est comme le mien doux. Il pince les tétons différemment de vous Madame il sait faire l’amour, il sent bon. Moi aussi Madame j’aimerai qu’il revienne.
On verra Pat. Tu ranges tout et pense à porter ton god chez toi
Je range le chevalet, nettoie les jouets, les habits me change et repart avec mon nouveau god dans ma chatte heureuse d’être devenue une femelle Heureuse d’être à Madame.
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1 semaine se passe je me retrouve devant la porte à sonner 2 petit coups. Madame m’ouvre
Bonjour Madame,
Bonjour Pat va dans la chambre changes-toi après un bon lavement très profond, tu t’habilles, tu me serviras un café au salon en m’apportant la cravache.
Oui Madame.
En 15 minutes me voilà prête en train de préparer le café puis je lui sers le café après lui avoir donné la cravache. Je reste la Madame boit son café me questionne sur ma semaine de travail puis pose sa tasse et me dit
A genoux Pat face à moi et regarde-moi
Oui Madame
Je vois que les tâches ménagères tu sais faire donc je contrôlerai ton travail après. Si tu ne le fais pas bien c’est 5 coups de cravache sur tes fesses.
Oui Madame.
Tu as mis le god qui était sur le lit.
Oui Madame.
Bien montre-moi.
Je pivote et relève ma jupe pour lui présenter mes fesses. Elle me caresse s’empare du god le tourne le sort. J’ai un cri de surprise, Madame le remet en place.
Madame se lève tourne autour de moi la cravache caresse mes fesses, passe sur ma chatte prise.
Tu vois Pat comme c’est bon une cravache qui caresse mais c’est aussi un instrument pour te faire obéir et vlan un grand coup je cri.
A toi de choisir Pat soit les caresses soit les coups. Maintenant tu débarrasses le café, fait la vaisselle, tu fais mon lit, tu passes l’aspirateur dans ma chambre et après quand c’est rangé tu vas te mettre en place au chevalet.
Oui Madame.
Je m’attelle aux taches m’applique à bien faire le travail. Puis fini je m’allonge sur le chevalet et j’attends.
Madame arrive me caresse les jambes avec la cravache, passe sur mes fesses
Ton chemisier est ouvert ?
Non Madame
Vlan un coup de cravache « sur le chevalet tes tétons doivent être nus. Je déboutonne mon chemisier et me rallonge. Madame en saisi 1 et le tire, le pince, le tourne en piçnant, « aie » la même chose à l’autre, puis elle y met une pince à chaque cela est douloureux et les règles au minimum et y installe un petit poids. Pat c’est le plus petit poids et c’est réglé pour que tu peux supporter. Je commence à comprendre pourquoi ce chevalet est ainsi fait, à la hauteur des seins le chevalet est plus étroit, devant il y a un support pour y poser mon menton, un décrochement au bas du chevalet permet de laisser pendre mon sexe et ses bourses. Les pieds du chevalet sont à crémaillères pour régler la hauteur et l’inclinaison. Madame me met un bandeau sur les yeux, puis les écouteurs Toujours de la musique de Sade douce et langoureuse.
Puis plus rien, je suis immobile, Madame me caresse la bouche introduit un doigt me fait comprendre de le sucer puis son doigt est remplacer par un objet plus gros lisse froid elle le fait entrer et sortir ses 2 mains me maintiennent la tête l’objet je devine que c’est un plug ou god, il est dans ma bouche Madame me pilonne la bouche à différentes vitesses. Ma bouche est libérée.
Madame enlève le god que j’avais dans ma chatte depuis le début. Elle me passe un gel c’est froid et elle m’introduit un god ou plug plus gros. Je la sens entre mes fesses puis elle commence à entrer et sortir le god ou plug, je comprends qu’elle me sodomise avec un god-ceinture elle alterne la vitesse puis la profondeur, ma chatte s’habitue, mes tétons me font mal je me tortille, Madame bien au fond de moi me retire les poids et les pinces au tétons ils sont en feu, me passe un gel puis reprends la sodomie. Elle en sort. Ma chatte doit être béante, une pause, puis ses doigts me fouillent la chatte, et elle introduit un god plus gros et me pilonne de nouveau, ses doigts remplacent le god, puis de nouveau le god puis ses doigts elle m’introduit de nouveau un god et je sens le god gonfler dans ma chatte Madame pompe le god grossit toujours Puis plus rien, la chatte écartelée. Puis m’ouvre la bouche et y introduit un autre god ou plug. Je sens une mais me caresser les tétons, le corps, elle me retire le god gonflable et me masse la chatte avec ses doigts je sens un liquide couler de mon clito elle continu de masser ma prostate le liquide coule toujours. Madame m’enlève le god de la bouche et y mets 1 puis 2 doigts dans ma bouche ils ont le gout de mon sperme elle m’oblige à bien les nettoyer. Madame enlève le bandeau et les écouteurs.
Tu es dépucelée Pat te voilà femelle, ta chatte est bien ouverte mais pas encore assez pour moi. Tu as été sage sans voir et sans entendre tu te donnes à moi comme une femelle.
Libérée Madame m’embrasse à pleine bouche « tu vois Pat comme tu as aimé ton clito à bien coulé et tu as bien sucée mes doigts tu aimes ça ».
Oui Madame,
Répète- Pat « je suis une femelle soumise à Madame je dois me goder chez moi pour avoir la chatte plus ouverte encore Madame »
Je répète « je suis une femelle soumise à Madame je dois me goder chez moi pour avoir la chatte plus ouverte encore Madame ».
Maintenant tu vas laver le chemisier, tes bas et ton slip et les suspendre sur le fil de la salle de bain. Montre-moi ta chatte Pat que je te fasse cadeau de ce god.
Je me penche en avant Madame me mets le god et dit.
« Il est à toi après ta toilette tu le remets dans ta chatte Je veux que tu le portes en sortant d’ici et en entrant la semaine prochaine. C’est ton cadeau. Oui Madame
J’allais partir laver le linge Madame me relève la jupe et me donne 3 coups de cravache fâchée que je ne lui dise « merci Madame.
Dans la rue je serre les fesses de peur de perdre mon cadeau de Madame dans ma chatte.
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Le réveil
Le réveil se fait dans vos bras en commençant par un bonjour Maître, et vous demande s’il est possible que vous restiez au lit pendant que je vous prépare le déjeuner
Le déjeuner
Je me lève doucement du lit, nue et rien d’autre sur moi
Je vous prépare votre petit déjeuner pendant que vous êtes encore au lit, et vous attendez comme je vous l’ai demandé
Je m’affère donc à la préparation, mais vous avez décidé de venir me troubler pendant un court instant, en venant discrètement derrière moi, pour effleurer les pointes de mes mamelles pour les faire durcir, et descendre délicatement votre main sur ma chatte, et votre queue effleure mes fesses puis vous décidez de repartir vous remettre dans le lit tranquillement,
Le café
J’arrive donc à la porte de la chambre avec dans mes mains le plateau où se trouve votre déjeuner, vous me demandez de ne plus bouger pour pouvoir admirer
Vous m’ordonnez d’avancer lentement vers vous, tout en gardant le plateau dans les mains
Je m’exécute sans aucun souci
Puis, d’un seul regard, je comprends que je dois poser le plateau et prendre votre queue en pleine gorge avant la dégustation
Vous adorez cela, puis d’une seule main vous vous mettez à tirer ma tête en arrière, et me dire que je suis votre femelle salope soumise, et que vous aimeriez m’attachez les mains, afin de profiter pleinement de ce corps nu et à disposition comme vous l’aimez
Tout en bonne soumise, je vous tends les mains pour que vous puissiez me les attacher, et là, l’excitation monte en moi
Votre langue commence à lécher mes tétons pour les faire durcir, puis pouvoir les prendre en bouche afin de me les tirer et de voir dans mes yeux, la sensation d’excitation
Puis vos mains, descendent le long de mon corps, pour y retrouver ma chatte, qui est ma foi bien humide, et ouverte afin que vous puissiez y glisser 3 voir 4 doigts, et me faire gicler comme votre « femme fontaine », et vous y arriver facilement
Cela vous excite tellement que vous décidez de me relever et de me pénétrer d’un coup sec, afin d’entendre mes gémissements, encore et encore, et vous me demandez de vous dire, que je suis votre garce, votre soumise, votre femelle, votre salope, et sous la jouissance de mon corps et des mots émis par ma bouche, votre plaisir augmente de plus en plus, et je récolte votre semence en moi
Cela fut tellement intense, que je vous demande de recommencer car l’excitation est encore présente en moi
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Hier en me baladant, j'ai croisé un homme qui a tout pour lui, nos regards se sont croisés...et avons décidé d'engager un dialogue....
Nous sommes tombés sur le charme de l'un et de l'autre, sans savoir qu'il était Dominateur et moi soumise....l'envie fut tellement forte que nous avons choisi de nous revoir mais cette fois-ci plus intimement....
Lieu et date fixé, je décide donc de m'y rendre pour approfondir cette attirance, nous nous sommes retrouvés dans une chambre d'hôtel, réservé par lui, en parfait gentleman... Je lui ai fait part que j'étais une femme soumise, et que j'avais un Maître, sans savoir que lui était un Dominateur...je le su très vite au vu de sa 1ère demande.
Celle-ci fut de savoir si j'acceptais de me faire bander les yeux, grande première pour moi, car j'adore voir mes partenaires... J'accepte en sachant qu'il ne sera le seul Maître du jeu car je suis dans le noir complet.
Il commence par me mettre à 4 pattes et me caresser, puis me demande de me cambrer afin que mes orifices soient bien à sa disposition.... Je sens un liquide couler sur mes fesses et ressens sa queue glisser entre mes fesses...je me demande si je dois me laisser faire ou l'interdire.
Je décide de me ne rien dire, et de voir ce qu'il envisage de faire....il commence à me sodomiser doucement pour voir ma réaction, il réussit à rentrer mais très vite il se retire pour pouvoir me pénétrer au plus profond de moi, et il ressent l'envie qu'il y a en moi.
Il me demande de me cambrer de plus en plus, afin de pouvoir lui présenter mes fesses et de bien sentir ses mains me fesser, il commence doucement puis va de plus en plus fort...je ne pensais pas ressentir une telle excitation
De là, il m'ordonne de me mettre sur le dos, puis enfonce 2, 3 voir 4 doigts pour que je puisse prendre plaisir et gicler à souhait...chose que j'ai fait à plusieurs reprises au cours de l'acte...
Il me relève la tête et me présente sa bite bien érigée, et m'ordonne une gorge profonde, je m'exécute et il prend énormément de plaisir à sentir ma bouche prendre ainsi sa bite...
Je me retrouve de nouveau à 4 pattes, et là je sens qu'il me fouette avec un espèce de martinet je pense, la douleur est supportable et me demande si j'aime, je lui dis que c'est supportable et pas désagréable...Ce n'est pas ce que je t'ai demandé, répond moi, je lui dis que oui j'aime... Il commence à être de plus en plus excité au point de m'insulter de pute, garce, et me demande de répéter ces mots....
L'excitation monte de plus en plus en lui, en entendant ces mots, il accélère le mouvement à m'en faire jouir...et gicler....il décide de me présenter de nouveau sa bite en bouche, puis la retire et se mets à se branler devant moi, et me demande de lui caresser les couilles et de l'exciter encore plus jusqu'à ce qu'il arrive à jouir sur mon visage...J'ai réussi à enlever mon bandeau avant qu'il ne jouisse et j'ai vu cette fierté en lui et il a vu mon regard rempli de jouissance....
Nous en sommes restés là, tous les 2 satisfaits de cette rencontre éphémère et pleine d'excitation...Merci à ce charmant Dominateur de m'avoir procuré autant de plaisir et de m'avoir fait découvrir le bandage des yeux
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Après 1 semaine de réflexion je me suis retrouver le mercredi à 12 heures à donner 2 petits coups de sonnettes.
Madame m’ouvre, me regarde droit dans les yeux et me dit « Je vois que tu aimes ta destinée. Entre et Suis-moi ».
Elle me désigne une porte je l’ouvre elle passe et je la suis, c’est une chambre avec un grand lit une table une armoire et un chevalet, une chaise, une jolie décoration sobre. Elle se plante devant moi et me dit « donc tu veux être ma soubrette », je réponds un oui hésitant 2 gifles sur les joues fusent « Ici c’est oui Madame » je dis Oui Madame. Bon maintenant tu seras Pat la soubrette ce sera ton prénom et ta qualification. Oui Madame, ouvre cette armoire Pat, oui Madame j’ouvre l’armoire possède une penderie et des étagères avec des vêtements suspendus et des blouses blanches et des tiroirs. Ouvre les tiroirs et dis-moi ce que tu vois, j’ouvre le premier il y a Madame des sous-vêtements noirs et blancs. J’ouvre le deuxième tiroir, il y a des bas Noirs et blancs Madame avec des portes-jarretières noirs et blancs. J’ouvre le troisième, il y a une cravache Madame, un fouet, des gods et divers ustensiles attaches menottes Madame. Madame me dit « Pat donne-moi la cravache » oui Madame en lui donnant. Me prenant la cravache et qu’y a-t-il encore. Dans la penderie Madame il y a des jupes blanche et noires ainsi que des blouses blanches et noires et en bas il y a 2 paires de souliers blancs et noirs. Voilà Madame l’inventaire.
Bon Pat déshabilles-toi maintenant et prends la tenue, souliers noirs bas blancs jupe noire et blouse blanche allez, j’hésite un coup de fouet sur mes fesses me rappelle que je dois obéir.
J’enlève mes souliers, chaussette, chemise et pantalons que je pose sur le lit Madame me donne un coup de cravache sur les fesses « Pat tu dois apprendre à ranger tes habits dans l’armoire ici rien ne traine ta compris, oui vlan un autre coup de cravache me rappelle à dire Oui Madame.
Tu vas t’habiller en blanc et noir en variant ces 2 couleurs. Je choisis des bas blancs avec porte-jarretières, slip noir, blouse blanche jupe noire et souliers noir. C’était la première fois que je passais des bas et porte-jarretières, j’étais hésitant maladroit une fois prêt Madame m’indiqua une autre armoire je l’ouvris il y avait une grande glace et des perruques brunes, blondes courtes ou mis long. Elle m’indiqua la brune. Elle m’ajusta la perruque et m’indiqua un tiroir j’ouvris il y avait des petites tabliers Noirs et blancs Madame me le passa et tout en nouant le tablier me dit « tu vois Pat te voilà à mon service en tenue de soubrette tu es contente de ta tenue. Oui Madame toute troublée. Chaque fois que tu viendras chez moi tu t’habilleras comme cela en alternant les tenues tu as compris Pat, oui Madame.
Bon maintenant tu vas me suivre je te fais voir ton lieu de travail. La cuisine et l’entrée tu connais ouvre-moi cette porte Oui Madame une autre chambre presque identique que la première. Une autre porte une salle de bain avec toilettes.
Puis une autre porte une chambre plus grande c’est ma chambre à coucher tu devras y faire le lit le ménage Pat, oui Madame.
Un couloir et au bout j’ouvre une porte un très grand salon salle à manger.
Voilà tu vas me faire un café et me le servir ici Pat.
Je file à la cuisine cherche trouve pour faire le café. Cafetière italienne pour 2 tasses.
Je trouve café moulu, sucre crème et des petits chocolats. Pendant que le café se fait je mets tout cela sur un plateau. Puis le café étant fait je mets la cafetière sur le plateau et je pars servir Madame.
Elle trouve mon attitude très stylée pendant que je verse le café dans la tasse elle passe sa main sous ma jupe et me caresse les fesses. Tout en sirotant son café sa main sous ma jupe me pelote les fesses. Je reste là immobile à sa merci. Un doigt caresse mon anus. Elle me fait signe de lui servir une deuxième tasse je sers, son doigt entre un peu plus dans mon anus. Madame me parle « ici tu es une femelle, tu n’as plus d’anus mais une chatte anale ton pénis est un clito compris » oui Madame, remue tes fesses Pat autour de mon doigt pour qu’il entre mieux montre-moi que tu aimes ça. Tu aimes Pat, Oui Madame, tu aimes être une soubrette. Oui Madame. Je vois que ta chatte n’est pas assez propre Pat tu vas aller à la salle de bain et tu vas utiliser le tuyau de douche dans la baignoire et te faire un lavement, quand tu seras propre tu reviendras me voir. Oui Madame. Je me dirige et je m’assois sur le bord de la baignoire après avoir enlevé jupe et slip et me mets le tuyau de douche dans ma chatte comme le dit Madame et ouvre l’eau, plusieurs fois de suite pour bien rincer. Après 15 minutes je reviens voir Madame et lui dit je suis propre Madame.
Mets-toi à 4 pattes Pat et relève ta jupe que je vois tes fesses. Je m’exécute. Ainsi troussée Madame me passe une crème et m’introduit un god dans ma chatte. Aller Pat débarrasse le café fait la vaisselle puis tu passes l’aspirateur dans ma chambre et la chambre ou tu as tes habits.
Je me relève avec ce god en moi et me dirige à la cuisine. Madame me suit « Pat marche comme une femme serre-bien tes fesses ». A la cuisine je fais la vaisselle, Madame passe une main sous ma jupe et pousse le god, » tu aimes ca Pat », Oui Madame tu aimes que ta chatte soit travaillée Oui Madame, Puis je passe l’aspirateur quand je le passe sous le lit a 4 pattes Madame relève ma jupe et me donnes des claques sur mes fesses en me félicitant de mon travail. Puis le travail fini Madame me présente le chevalet « Tu vois Pat ce chevalet ce sera ton éducation » elle me fait allonger dessus. M’attache aux 4 pieds du chevalet mes mains et pieds avec du velcro, et me dit, chaque fois après ton travail tu viendras à ce chevalet te soumettre à moi, je te mets un bandeau sur les yeux tu auras des écouteurs sur les oreilles. Tu ne verras rien et tu n’entendras rien. Tu subiras mon dressage Pat. Es-tu prête as-tu confiance en moi, je répondis « Oui Madame » elle me mit le bandeau et des écouteurs, une musique de SADE douce dans mes oreilles.
Pendant 1 heure Madame fouille ma chatte anale gods doigts, plug, travailla mes tétons en les tirant pinçant, alternant des claques sur les fesses, puis des pauses m’offre à boire. Puis elle me mit un god vibrant et me caresse le clito, je jouis. Elle met un doigt dans ma bouche pour que je le lèche puis un à un je suce ses doigts avec mon sperme dessus.
Elle enlève les écouteurs, le bandeau me détache « tu vois Pat comme tu jouis bien sous mes caresses regarde-moi dans les yeux Pat tu es à moi ma soubrette tu as aimé, oui Madame, tu es contente de me servir Oui Madame, tu aimes me lécher mes doigts pleins de ton jus Pat. Oui Madame. Bien tu vas te changer et tu reviens la semaine prochaine. Je commence à partir Madame me rappelle et me donne 2 gifles « tu dois me dire Merci Madame tu vois ton éducation n’est pas encore faites. » Merci Madame et je me change et quitte l’appartement. Dans la rue je suis perdue dans mes pensées.
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Je me montrais surexcité lorsque, tout jeune garçon, je pus lire les Vies des martyrs. Je me souviens avoir éprouvé une émotion qui n'était que ravissement à ces lectures, dont les personnages semblaient étrangement jouir de la douleur : ils souffraient les pires tourments avec une sorte de joie, ils se languissaient dans les geôles, étaient suppliciés sur le gril, percés de flèches, jetés dans la poix bouillante, livrés aux bêtes féroces ou cloués sur la croix... Je continuais de lire avec une véritable avidité toute une série de récits dans lesquels étaient dépeintes des cruautés des plus effroyables, je contemplais avec une délectation particulière les tableaux et les gravures qui pouvaient en offrir le spectacle ; et je les voyais chaque fois habillés de fourrures ou de robes garnies d'hermines: tous les tyrans sanguinaires qui ont jamais siégé sur un trône étaient ainsi vêtus, tout comme l'étaient les inquisiteurs qui faisaient persécuter, brûler ou égorger les hérétiques, mais aussi et surtout toutes ces femmes qui, dans le grand livre de l'histoire du monde, sont placées sous le signe de la volupté, de la beauté et de la violence : Libussa, Lucrèce Borgia, Agnès de Hongrie, la reine Margot, Isabeau, la sultane Roxelane, et les tzarines russes du siècle dernier. C'est maintenant dans mon temps que je cherche mes héroïnes et il me revient d'être simultanément leur amant passionné, leur admirateur inconditionnel et leur bourreau bienveillant.
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Toute la semaine j’ai des doutes des envies, je suis dans l’incertitude, les jours passes mardi soir je n’arrive pas à me décider je dors mal. Mercredi 11h je rode dans le quartier des Eaux-vives. 12heures je suis devant la porte je sonne 2 petits coups et j’attends.
Madame m’ouvre et me dit « suis-moi ». Nous sommes dans la cuisine il y a une ampoule sur la table « tu vas me changer la lampe ». J’enlève ma veste, je reste en chemise, je prends le petit escabeau je monte et je commence à changer l’ampoule.
Madame me questionne sur ma semaine, une de ses mains tiens l’escabeau l’autre me pose sur mes fesses et les caresses sans autre, je me mets à bander je suis mal à l’aise, Madame le sent, sa main est très indiscrète elle passe des fesses à l’entre jambe, elle me parle je réponds l’ampoule dévissée je vais descendre mais elle me prend l’ampoule et de ma donne la nouvelle sa main continu de passer sur mes fesses. L’ampoule est en place je le lui signale. Elle me donne une grande claque en me félicitant.
Maintenant tu vas faire la vaisselle me dit Madame. Dans l’évier 2 assiettes 2 verres des couverts rien de bien compliqué une casserole aussi. Je me mets à la tache Madame toujours aussi présente se colle derrière moi et me dit « si tu casses une assiette je te puni ».
Je commence donc la vaisselle Madame me pelote de nouveau mes fesses et continues de me questionner sur ma vie mes envies et mes attentes je réponds sa main est toujours aussi douce. De son autre main elle défait ma chemise, puis avec ses 2 mains elle me prend les tétons et les pinces doucement un petit cri sort de ma bouche « t’es sensible dit-elle, tu as un joli cul des tétons sensible une vraie femelle. »
J’essuie la vaisselle en me laissant peloter. La vaisselle finie Madame me montre l’aspirateur à passer dans l’entrée et la cuisine elle m’ordonne de me mettre a 4 pattes pour voir sous les meubles de bien aller au fond ainsi en posture a 4 pattes elle me félicite sur mon postérieur et passant sa main dessus.
Je me relève range l’aspirateur Madame m’oblige à me cambrer sur la table elle défait mes pantalons qui tombent, elle glisse ses 2 mains dans mon slip et en 1 minute elle me fait jouir, ses mains sont pleines de sperme. Elle les retire et me mets 1 doigts dans la bouche et me dit « suce-moi les doigts et écoute bien pour la semaine prochaine. Ça fait 3 fois que tu viens chez moi donc si tu reviens la semaine prochaine ici c’est que tu acceptes de devenir ma soubrette. Tu devras m’obéir sans dire non, je te formerai à cela. Je vois que tu aimes mes caresses sur tes fesses je te ferai découvrir tous les plaisirs que peut te procurer ton cul, tes fesses ta bouche et tes tétons, tu aimeras cela. Je veux une soubrette lisse tu devras te raser des pieds à la tête sans les cheveux, ton corps doit être lisse comme un bébé sans aucun poil et tu le deviendras ma soubrette. A toi de choisir ton destin. Tu suces bien mes doigts en retirant sa main, rhabilles-toi et réfléchir mercredi à 12h ici.
Je me rhabille et je quitte l’appartement troublé. D’un homme à tout faire elle veut maintenant une soubrette.
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Donc j'étais la dans le vestibule a attendre.
Madame arrive et se plante devant moi à 1 mètre et me dit " tournes-toi que je vois comment tu es mignon.
Je tourne sur moi-même elle me complimente sur ma tenue sobre discrète et me dit. Ici c'est moi qui commande et tu me dis Madame.
Oui Madame.
Suis -moi à la cuisine j'ai un petit meuble à monter tu vas le faire pendant que nous causerons de toi et moi.
Oui Madame, je la suis à la cuisine et je me met à déballer un petit meuble, je consulte la notice de montage et m'attelle à la tache. Elle me dit de mettre tout sur la table et de le monter.
Oui Madame
Tu as déjà fait des rencontres.
Non Madame
les questions fusent, Madame étant a quelques centimètres derrière moi enchaine les questions qui devienne de plus en plus intimes je suis mal à l'aise et mon sexe est à l'étroit dans mes pantalons.
Madame me voyant mal à l'aise pose une main sur mes fesses et tout en les caressants continus ses questions. Le petit meuble est presque fini Madame me caresse toujours mes fesses et me complimente sur la fermeté de mes fesses.
Le meuble étant monté Madame me complimente encore et elle se colle à mon dos et de ses mains défait la ceinture et le pantalons descends à mes cheville, passe ses mains dans mon slip. Excité comme je me laisse faire Madame me branle en même pas 1 minute j'ai jouis dans ses mains dans mon slip, Elle essuie ses mains dans mon slip puis les ressorts et me glisse un doigt dans la bouche pour me faire comprendre de le sucer en le rentrant et sortant de ma bouche elle me dit "ici tu sera Pat le meuble est bien monté tu obéis bien, tu as un joli cul bien ferme, tu suces bien mon doigt tu te rhabilles et tu reviens la semaine prochaine même heure ici tu sonnera 2 petits coups.
Elle me laissa en plan mon slip plein de sperme. Je remet mes pantalons me rajuste et je sort de l'appartement.
La semaine se passe et mes pensées sont multiples, dois-je y retourner ou pas. je me sent mal à l'aise.
Arrive le mercredi 12h je sonne 2 petits coup et attends.
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En lisant une revue coquine sur Genève , je tombe sur une annonce dans la rubrique coquine " femme cherche homme à tout faire etc.
Cela me trouble j y pense pendant 2 jours, puis après hésitation je réponds sans grand espoir. Ayant mis mon adresse et mon téléphone fixe j'envoie la. Dans les années 90 le téléphone n'existait pas il y avait les cabines publiques.
après quelques jours sur mon répondeur téléphonique un message y était. je l'écoute " suite annonce à tout faire veuillez me téléphoner tel jour à telle heure a ce numéro. Soyez ponctuel.
Le jour dit à l'heure je compose le numéro cela sonne puis une voix féminine me répond "oui c'est pour quoi" ma voix tremblante je balbutie " c'est au sujet de l'annonce homme à tout faire"
Bien Madame m'explique ce qu'elle cherche. Homme pouvant être libre chaque semaine de 12h à 18h pour bricolage, réparation, vaisselle, aspirateur, rangement et divers travaux simples.
Ça te convient.je réponds Oui Madame.
Donc tu vas te présenter mercredi à 12h juste pas de retard possible. tu auras une fleur 1 seule sur la table et tu m'attends dans ce bar des Eaux-Vives a Genève.
nous étions le jeudi donc 6 jours à attendre.
j'étais prit entre 2 feux le trac et la curiosité.
les jours se suivent le travail et mercredi arriva à 12h j' étais assis un café devant moi et une fleur une rose simple.
Tout d'un coup une dame se positionne devant moi et me dit " bonjour suis moi" je me lève et je la rattrape et marche à coté d'elle elle me regarde et me dit "je t'ai dis de me suivre pas de m'accompagner, marche à 3 mètres derrière moi"
nous arrivons devant un immeuble " ouvre moi la porte" elle entre je la suis se positionne devant l’ascenseur et attends que je lui ouvre la porte elle entre et me dit toi tu montes a pieds 2 étage la porte sera entrouverte tu entres et tu m'attendra après avoir fermé la porte de l'appartement.
je monte donc trouve la porte entrouverte, j'entre et refaire la porte et j'attends.
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Texte initialement écrit le 29 mai 2019
Ce texte est un avertissement sur les menteurs/queutards/voyeurs/mais surtout PN que l’on retrouve Un peu partout...
« C’est l’histoire d’une fille trop naïve, l’histoire d’une fille perdue, d’une fille qui faisait trop confiance aux autres.
Elle aurait dû comprendre à force de s’en prendre plein la tronche, mais non, elle avait toujours pas compris.
C’est l’histoire d’une fille tellement mal dans sa peau, qui se haïssait tellement, qu’elle faisait tout et absolument tout pour se faire détester.
Un jour de juin 2016, parce que son compagnon de l’époque lui avait demandé, elle est arrivée sur Ce site, ne sachant pas vraiment ce qu’elle allait y trouver.
Elle y a fait de superbes rencontres, d’autres, un peu moins.
Il y a eu le type qui vivait en couple, un Skype où il assurait pas et où il buvait vodka sur vodka pour se donner de la prestance.
Il y a eu les centaines de queutards qui attendaient leur casse-croûte si longtemps attendu. On demande une photo, puis deux, veux-tu ci ?
Veux tu ça ?
Il y a les queutards qui font croire qu’ils sont des doms, pour cela hop on se fait appeler Maître X, Monseigneur Machin truc. Sauf qu’ils n’ont ni le langage, ni la mentalité dom. On les repère assez facilement ils postent toujours des photos de cul, et n’ont Aucun respect pour les esclaves et soumises.
Pour eux, c’est juste de la chair fraîche facile à trouver.
La fille naïve a connu tout ça, et puis son côté rebelle/haine des hommes est revenue très vite. Elle s’est reforgée une armure plus indestructible que la précédente, et pour éloigner tout le monde est devenue plus insolente que jamais.
Elle s’est vite retrouvée isolée des uns et des autres, certains la soutenaient, d’autres au contraire s’en éloignaient.
Plus elle était détestée, plus son comportement allait dans son sens.
Et puis un jour est apparu un dom différent des autres.
Sûrement quelque part ce pseudo dom (car évidemment cela en était un, mais elle ne le saurait que beaucoup plus tard), avait senti une proie facile, avait senti la fille qu il allait pouvoir manipuler à sa guise.
Elle se sentait attirée par lui, même si physiquement ce n’était pas son type. Il jouait son rôle de séducteur auprès de ses ami(e)s, passant pour le sauveur de cette âme égarée.
Pourtant sa petite voix lui disait que ça n’allait pas le faire, a de nombreuses reprises. Elle n’a pas voulu l’écouter, continuant une relation qui allait fatalement l’entraîner dans la merde.
Il y eu malgré tout des hauts et des bas, elle était amoureuse, il l’avait accroché.
Son comportement puéril et irrationnel par moment aurait dû l’alerter, mais même pas. Ses amis disaient qu’il était ainsi, susceptible, et qu’il fallait laisser passer la crise.
Elle revenait toujours, s’excusant de choses qu’elle n’avait pas commises, déplorant son comportement inadapté alors qu’elle n’était fautive en rien. Elle s’écrasait de plus en plus, rampait littéralement à ses pieds.
Il avait gagné....
Elle était maintenant dévouée à lui et prête à accepter tout et n’importe quoi....
Elle lui présenta ses enfants, en leur disant qu’elle avait rencontré quelqu’un de bien, et que c’était l’homme de sa vie...
Ses enfants qui avaient des problèmes avec leur propre père le virent comme un sauveur...
Et lui en profitait, dénonçait le comportement de leur père (alors qu’il fera pire ensuite), disant que c’était un PN (et lui aussi)
Il avait dû sentir la bonne aubaine, la fille déprimée, pas jolie, pas sure d’elle, mais qui avait des gosses et qui allait récupérer de l’argent via un héritage. Certes pas beaucoup, mais 60 000€ cela ne se refuse pas.
Ses amis à elle lui disaient combien elle avait de la chance de rencontrer quelqu’un de bien comme lui, qu’elles étaient heureuses pour elle...
il y eu des envieuses pourtant, des situations incroyables aussi, ou soit-disant des soumises lui tournaient autour et cherchaient à nuire à leur couple.
Alors elle se mit en retrait, mis ses amis à elle de côté car elle n’avait plus confiance qu’en lui, et se retrouva de plus en plus isolée.
Il ne voulait pas non plus qu’elle voit trop sa famille parce qu’il jugeait sa mère à elle responsable de tout ce qui lui arrivait...
Ses enfants et elle emménagèrent chez lui, un petit appartement où ils se retrouvèrent tassés comme des sardines à 6 (car il avait des enfants) et les animaux.
Il différencia ses enfants à lui des siens, privilégiant ses enfants à elle par rapport aux siens. Et fatalement créant des tensions entre les enfants )ce qu’il voulait)
Par contre, elle ne trouvait pas sa place, en temps que soumise, en tant que compagne et potentiellement belle-mère.
Elle s’inscrivît dur des groupes traitant du bdsm avec son accord sans qu’il fut présent.
Bon nombre des membres de ces groupes eurent beau lui dire que c’était son devoir a lui de prendre soin d’elle, de lui expliquer comment se placer, la rassurer...
Il n’en faisait rien. Elle était devenue sa bonne (repas/ménage/repassage), la bonne de ses enfants, lever tôt pour rendre un appartement le plus propre possible et accessoirement son esclave sexuelle, car selon lui, sa condition de soumise faisait qu’elle n’avait pas le droit de dire non.
Elle se sentait piégée, elle avait quitté son compagnon pour lui, et la situation était pire.
Bientôt il y eu des propos qui auraient dû l’alerter...
« Tu ne vois pas tout ce que j’ai fait pour toi »
« Personne ne peut t’aimer comme je t’aime, je suis le seul à te respecter »
Elle se détestait encore plus, et continuait de grossir et de grossir...
Et sa libido déjà vacillante, s’éteignit complètement.
Elle n’avait plus envie de rien...
Il lui disait qu’elle était tout pour lui, que personne ne pouvait l’aimer comme elle l’aimait...
Il lui disait qu’ils s’achèteraient une maison, une grande maison qu’elle paiera avec son héritage, et qu’il partagerait la maison entre ses enfants à elle et les siens.
Elle ne tiqua même pas...
Et puis un jour de novembre où elle était chez ses parents, chose compliquée pour elle, il lui envoya des messages où il disait qu’elle n’aimait personne, qu’elle était un fake du bdsm, qu’elle ne devait jamais se refuser à lui, qu’elle avait quelqu’un d’autre, qu’elle avait profité de lui...
Il y eu une fêlure à ce moment là, c’est comme si le fait de lui avoir envoyé à la figure le fait qu’elle n’aimait personne (même pas ses enfants à elle selon lui), qui fit que du jour au lendemain elle n’était plus amoureuse.
Elle alla consulter quelqu’un parce qu’elle n’arrivait pas à se sortir du mal être où elle était.
Cette personne qu elle voit toujours, a du trouver les mots pour qu’elle puisse parallèlement faire le point sur sa situation...
Les bas succédèrent de plus en plus aux hauts moments.
Quand elle recherchait à ce qu’il lui rende confiance, tout ce qu’il était capable de dire c’est qu’elle était bonne au ménage et au repassage et à entretenir la maison.
Il sentait qu’elle lui échappait car elle lui a dit ne pas vouloir acheter une maison avec lui...
Adieu ses rêves de maison à lui, le statut social qu’il recherchait. Car ce n’est pas une compagne qu’il voulait, c’était essayer d’éduquer ses enfants à elle selon ses principes à lui, chose qu’il n’avait pas réussi avec les siens.
C’était une femme qui ferme sa gueule qu’il voulait, et le statut social qu’il pourrait avoir grâce à elle. Propriétaire...
Bientôt il lui dit qu’il regrettait son ex (qu’il continuait à voir en parallèle, mais cela elle ne le su que récemment)...
Qu’il avait perdu au change, qu’elle n’était pas à la hauteur, qu’elle n’avait pas le niveau.
Il disait d’elle et de ses enfants que c’était des cassos...
Il commença à frapper ses enfants à elle, à les dénigrer.
Et puis il l’a menaçait de rendre l’appartement, qu’elle dégage de sa vie, qu’elle n’avait rien fait pour lui, qu’elle avait profité...
Elle avait profité selon lui, sauf qu’elle avait payé bon nombre de meubles et d’électroménager, la déco de son appartement, des vêtements, qu’elle payait la moitié de son loyer, ou tout le Matos bdsm...
Et puis il a trouvé un nouveau travail , il a pris le melon, et elle qui stagnait dans le sien... il la rabaissait pratiquement quotidiennement, elle était pas assez si, pas assez ça.
Il avait fait le vide, dans la région elle ne connaissait personne et vu qu’il avait un caractère particulier il ne se mêlait pas aux autres non plus.
Elle était isolée, sans amis, sans famille, sans activités extérieures...
Dès qu’elle parlait à des amis il les dénigrait en disant que tout ce qu’ils voulaient c’était les séparer...
Il a piraté ses comptes fb, ses emails, accusé ses amies de lui avoir envoyé des copies d’écran par jalousie. Elle s’est encore plus isolée... et refermée...
Et puis il y a deux mois, il a décidé de partir du jour au lendemain, après qu’elle eut découvert qu’il partait en week-end avec une femme.
Il est retourné chez son ex...«
Le bilan de cette situation, est qu’il faut toujours écouter sa petite voix, surtout quand elle dit que ça va pas le faire.
Il faut écouter les autres aussi, quand une, dix, 30 personnes vous disent que le dom se doit de rassurer sa soumise, de l’accompagner au quotidien et non de la traiter de menteuse, de la rabaisser et de la prendre pour une boniche.
Écouter les avis des personnes expérimentées qui vous disent qu’un dom doit savoir gérer l’insolence de sa soumise autrement que par la manière forte.
« Il ne l’a jamais frappé, même si une séance fut plutôt mal vécue par elle.
Il y a eu de la violence psychologique, il y en a encore beaucoup...
Il y en a aussi sur ses enfants à elle...
Elle va partir bientôt, le quitter sans regret, mais avec amertume...
Car il l’a fout dehors en gardant bien sûr, ses meubles et ses affaires...
Elle n’a plus du tout confiance envers les hommes, qu’ils soient dom ou pas.
Et encore moins confiance dans le milieu bdsm.
Elle se reconstruit petit à petit, retrouve son indépendance,son énergie, se soigne et avance.«
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Depuis mes 18 ans, j'éprouve une attirance extrême pour les pieds féminins. Ce qui m'a conduit à construire un book autour de cette Passion dévorante. Ainsi, je reçois des modèles photos depuis des années pour des mises en scène de pieds chaussés, nus, en action. Depuis peu, j'ai ajouté une galerie " Dans la Rue " dans laquelle sont exposées des pieds au naturel, photographiés sur le vif avec l'accord de charmantes passantes. Certaines sont devenues des amantes, d'autres des Déesses d'un soir où ma langue a fait des merveilles. Je continue toujours ce cérémonial lorsque vient l'été. Avis aux amatrices de ce site.
A bientôt !
Matthieu
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Chapitre 6 : Ma femme vide-couilles
Samedi, vingt-et-une heure. Nathalie doit se rendre chez son Maître pour la nuit. Au programme, cinq hommes, dont son Maître, à satisfaire et une femme. Elle se prépare à y aller. Elle respecte les ordres de son Maître. Elle doit être vêtue seulement d’un imperméable et d’une paire de chaussures. Son Maître vient la chercher en voiture. J’ai prévu pour ma soirée la venue de Catherine qui arrive. Elle embrasse Nathalie et vient m’embrasser tendrement.
Nathalie se rend à son rendez-vous. Je reste avec Catherine. Nous nous déshabillons et nous installons sur le canapé. Catherine vient se coller à moi, nous échangeons un long baiser. Je ne peux cacher mon érection. Catherine s’en aperçoit, elle s’agenouille, me prend les couilles dans une main et ma queue de l’autre main. Elle me branle mais je ne compte pas en rester là. Je me lève et l’entraîne vers le lit. Elle s’allonge sur le dos, écarte ses jambes et me dit :
- Viens me baiser.
Je me couche sur elle et la pénètre aussitôt. Son vagin est humide. J’effectue des va-et-vient dans sa chatte. Elle m’enserre avec ses cuisses et ses jambes. Elle a un orgasme mais je ne jouis pas. Je me déplace et présente mes lèvres à l’entrée de sa chatte et je commence à la sucer. Elle a de nouveau un orgasme, elle me caresse la tête. Je me déplace à nouveau tout en continuant à la sucer et lui présente ma queue devant sa bouche. Nous entamons un soixante-neuf. Je me délecte de sa mouille abondante. Elle me suce avidement, je sens avec ma queue le fond de sa gorge. La gourmande a encore un orgasme. Je finis par jouir dans sa gorge. Elle vient aussitôt m’embrasser, dans nos bouches s’emmêlent son jus et le mien. Nous dégustons.
Je propose un rafraîchissement. Nous nous installons au salon et je raconte à Catherine les progrès effectués par ma femme. Elles communiquent, se sont vues plusieurs fois. Mais Catherine n’avait aucun détail pour le rendez-vous de ce soir. Je lui explique que ce sera une partouze à sept, cinq hommes et deux femmes. Ce sera un baptême pour Nathalie.
- Ta femme est en train de devenir une putain.
- Tu crois ? Mais ça me plaît, elle était tellement coincée.
- Tu ne crains rien pour ton couple ?
- Non, on se dit tout. Je trompe depuis longtemps Nathalie et ça n’a pas affecté notre couple.
- Tu dois avoir raison. Tu vas lui raconter notre nuit ?
- Je n’ai rien à lui cacher.
Nous retournons sur le lit et continuons à bavarder. J’adore être avec Catherine, une femme ouverte dans tous les sens du terme. Elle sait qu’entre nous deux il n’y a qu’une attirance physique.
Je suis allongé sur le dos. Catherine commence une série de caresses sur le torse, sur les cuisses. Elle fait bien attention à éviter mon sexe. Mais ses caresses me font quand même bander. Elle me dit de me mettre à plat ventre et me caresse le dos et les cuisses. Je sens ma queue durcir. Ses mains atteignent mes fesses. Ses doigts se promènent entre mes fesses, ils atteignent mon anus.et je sens un doigt inquisiteur me pénétrer. Drôle de sensation ! Catherine retire le doigt de mon cul et le porte à sa bouche pour le lécher. Puis sa bouche s’insère entre mes fesses et sa langue fouille mon trou du cul. J’adore cette caresse particulière qui se prolonge. C’est délicieux ! Sa bouche quitte mon trou du cul. Ne voulant pas être en reste, je lui dis de se mettre à plat ventre, je lui caresse le dos, les cuisses. Je lui pose quelques baisers dans le cou puis ma bouche descend le long de sa colonne vertébrale et entame l’exploration de ses fesses, ma langue fouille son trou du cul. Elle tressaute, elle apprécie le travail de ma langue. J’ai envie de remplacer ma langue par ma queue. J’empoigne ses fesses, les écarte et présente ma queue pour l’enculer. Je la pénètre d’un coup et commence à la ramoner. Je l’ai surprise mais elle ne tarde pas à réagir pour accompagner mes coups de rein. Ma queue grossit. Nous restons unis un bon moment. Puis je jouis longuement dans son cul.
Sa bouche vient remplacer son cul, sa langue venant nettoyer mon sexe.
Nous sommes en sueur et éprouvons le désir d’aller nous doucher. Après la douche, nous nous couchons et nous endormons, enlacés.
C’est le matin. Nous nous réveillons et échangeons un baiser. Je commence à bander. Nous sommes couchés sur le dos, j’avance ma main vers la chatte de ma voisine. Elle est déjà mouillée. Je prends Catherine par la taille et la fais mettre à califourchon sur moi. Elle place sa chatte au-dessus de ma queue. En descendant, elle vient se faire pénétrer. Je commence à la baiser. J’entends un bruit de serrure, c’et Nathalie qui rentre. Elle arrive dans la chambre et nous surprend en pleine action. Elle vient m’embrasser, elle embrasse Catherine. Elle se défait de son imperméable et se couche à côté de nous. Je continue de baiser Catherine. Nathalie nous observe. Je finis par jouir dans la chatte de Catherine.
Je propose aux deux femmes de leur servir me petit-déjeuner au lit. Je me dirige vers la cuisine et laisse les deux femmes.
Nous prenons notre petit-déjeuner au lit puis je remporte le plateau à la cuisine. Quand je reviens dans la chambre, les deux femmes sont enlacées.
- Faites-moi une petite place.
Elles s’écartent et je me glisse entre elles. Un bisou à chacun et je m’adresse à Nathalie :
- Alors ?
- Je suis crevée mais heureuse.
- Raconte.
- Ça a commencé en descendant d’ici. Mon Maître m’a fait quitter mon imperméable et mes chaussures. J’étais donc nue. Il m’a mis un collier avec une laisse et m’a dit de monter dans le coffre de sa voiture. Arrivés chez lui, il m’a emmené dans un donjon. Il n’y avait encore personne. Mon Maître m’a accrochée à une croix. J’avais les pieds et les mains liés, dos contre la croix et les jambes écartées, un plug dans le cul. Puis quatre hommes et une femme sont arrivés, ils étaient nus. La femme a été accrochée sur une autre croix avec le dos collé à la croix et un plug dans le cul. Mon Maître a indiqué aux quatre hommes. Voici deux chattes, servez-vous.
- Que t’ont-ils faits ?
- Ils ont commencé à me caresser les seins et la chatte ainsi qu’à l’autre femme.
- Puis ils nous ont pénétré chacun à leur tour. Mais sans jouir. Ça a duré un bon moment, ils caressaient nos seins, nous pénétraient la chatte avec leurs doigts ou leur sexe.
- Tu as joui ?
- Non, mon Maître m’avait indiqué que, pendant toute la séance, ce serait interdit, sauf permission de sa part.
- Puis mon Maître nous a détachées et on a dû sucer les hommes un par un. Un homme a joui dans ma bouche et un autre a joui dans la bouche de l’autre femme. Nous avons retiré nos plugs anaux et les trois hommes qui n’avaient pas joui nous ont enculées. Un homme a joui dans mon cul et un autre dans le cul de l’autre femme. Seul mon Maître n’avait pas joui. Il m’a attrapée par les cheveux et m’a ordonné de le sucer en exigeant que je le fasse jouir. Il est très résistant et ça a été plutôt long. Enfin, j’ai réussi à recueillir son sperme dans ma bouche.
- Et ensuite ?
- Les deux femmes ont été attachées et les hommes ont disparu, certainement pour se rafraîchir et se restaurer. Ils ont été absents un bon moment. Quand ils sont revenus, les deux femmes ont été attachées à leur croix mais cette fois la poitrine contre la croix. Les hommes avaient des fouets, les coups ont commencé. On devait compter à chaque fois et remercier. Et puis mon Maître a donné un nouveau départ et, cette fois, nous avons été enculées. Ils alternaient d’une femme à l’autre, écartant nos fesses de leurs mains. Ça a duré un bon moment jusqu’à que tous les hommes aient joui. Trois ont joui dans mon cul, deux dans le cul de l’autre femme. Ils nous ont laissé chacune sur notre croix et les hommes ont quitté la pièce.
- La séance était terminée ?
- Je le croyais. Le matin, ils sont tous revenus, ils nous ont détachées et nous avons dû les sucer avec ordre de les faire jouir. Deux ont joui dans ma bouche et trois dans la bouche de l’autre femme. Nous avons été conduites dans le jardin et les hommes nous ont pissé dessus puis mon Maître nous a lavées au jet d’eau froide. Nous avons pu nous sécher. Puis mon Maître m’a ramenée ici dans le coffre de la voiture. Mon Maître m’a enlevé mon collier et ma laisse et je me suis rhabillée
- À qui appartient l’autre femme ?
- Je ne sais pas.
- Mais tu n’as pas joui ?
- Non, j’ai été un vide-couilles, j’ai été traitée comme un animal et ça m’a plu.
- Tu es prête à recommencer ?
- Bien sûr. Mon Maître m’a fait découvrir une nouvelle vie.
- Tu aimes ton Maître ?
- Non, mon chéri. Je n’aime que toi. J’ai du respect pour mon Maître. J’obéis à tous ses ordres tant que tu le permettras.
- Tu es heureuse, tu peux donc continuer.
- Merci, mon amour.
Nous décidons avec Catherine d’aller prendre une douche. Quand nous revenons dans la chambre, Nathalie s’est endormie. Cette nuit l’a épuisée. Elle a de nombreuses marques sur le corps. Nous nous couchons à côté d’elle. Catherine vient sur moi. Nous nous embrassons. Puis elle change de position, nous sommes tête bèche. Catherine prend mon sexe en bouche tandis que ma bouche prend possession de sa chatte. Je goûte à sa liqueur, elle me fait une gorge profonde puis vient lécher mon gland. Elle a un orgasme mais je suis plus endurant, je continue à lui pilonner la bouche. Nous n’avons pas envie de changer de position, nous sommes bien comme ça. Elle a un second orgasme et je me déverse dans sa bouche. Nous échangeons un baiser où se mêlent nos deux jus.
Nathalie continue de dormir. Nous ne la réveillons pas. Nous allons au salon. Nous avons vraiment envie de nous revoir mais plus régulièrement.
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Chapitre 5 : Ma femme soumise Nous sommes un couple libéré.
Chacun suit ses envies.
Nous avons des rencontres séparées ou des rencontres en couple. Notamment des rencontres candaulistes.
Un soir, Nathalie s’adresse à moi : Chéri, je vais te parler d’un nouveau fantasme.
Je t’écoute. Voilà, j’ai rencontré un homme.
Pour le moment, il ne s’est rien passé. Mais il m’a proposé de devenir sa soumise..
Et qu’as-tu répondu ?
Que j’allais en parler à mon mari et que nous déciderions ensemble.
C’est d’abord toi que ça regarde.
Mais tu ne serais pas contre ?
Non. Reste à en définir les modalités.
Je peux demander à cet homme, Paul, de venir un soir à la maison pour en parler tous les trois.
D’accord.
Paul vient donc ce soir.
Nous l’accueillons autour d’un apéritif.
Je m’adresse à Paul : Monsieur, quelles sont vos intentions concernant Nathalie ?
Je m’appelle Paul et on peut se tutoyer.
D’accord, Paul.
Voilà, ta femme m’intéresse, je sens qu’elle pourrait devenir une bonne soumise. Et j’ai eu l’impression qu’elle n’était pas contre. Mais que deviendrait notre couple ?
Rien ne changera. Tu es son mari, elle restera ta femme. Rien ne doit changer dans votre relation affective ou sexuelle. Je retrouverai Nathalie lors de séances où elle m’appartiendra. Il ne s’agira que d’un rapport dominant / soumise sans aucun autre sentiment. Je choisirai également ses partenaires.
A priori, pas de problème. Pourra-t-elle refuser certaines pratiques ?
Bien entendu, je signerai avec elle un contrat qui stipulera les interdits.
Quelle sera la durée ?
Nathalie ou moi-même pourront arrêter cette relation quand nous le voudrons.
Et où vous rencontrerez-vous ?
Chez moi ou ici.
Quel serait mon rôle ?
Tu peux assister aux séances, tu peux filmer mais tu n’as pas le droit de participer.
Et quel est le but ?
Transformer, faire évoluer. Ta femme doit devenir une chienne.
Je m’adresse à Nathalie : Qu’en penses-tu ? Ça me convient.
Puis à Paul : Quelles sont les pratiques incontournables ?
Sexuellement, ses trois orifices doivent toujours être disponibles sans qu’elle ait le choix.
Bien entendu, si elle me suce, elle doit accepter d’avaler.
Et les autres pratiques ?
J’aime bien dilater chatte et anus. J’aime bien cravacher ou fouetter. J’aime bien uriner dans une bouche. J’aime bien prêter ma soumise. Nathalie a-t-elle déjà fait l’amour avec une femme ?
Oui et elle adore.
Je m’adresse à Nathalie : Qu’en penses-tu ?
Tout ça me convient.
Je m’adresse à Paul : J’opposerai quand même une objection. Nathalie ne devra pas être prostituée.
Aucun souci, je suis dominant, pas un mac.
Alors, c’est parfait. Paul nous présente alors un contrat en double exemplaire. Toutes les règles y sont spécifiées. Une rubrique reste à remplir : "Restrictions, la soumise refuse absolument les pratiques suivantes".
Nathalie me consulte du regard et inscrit le mot "Néant". Puis elle signe les deux exemplaires.
Paul fait de même. Paul et Nathalie ont chacun un exemplaire. Ils sont liés.
Paul s’adresse à Nathalie. Dorénavant tu m’appelles Maître et tu me vouvoies.
Bien, Maître. Nous convenons d’une date pour la première séance. Ce sera samedi en début d’après-midi.
Paul s’en va. Je m’adresse à Nathalie : Satisfaite ?
Oui, merci.
Tu as bien réfléchi aux engagements que tu viens de prendre ? Oui.
Tu ne crains pas le fouet ? Je crois que j’aimerai.
Très bien.
Nous sommes samedi en début d’après-midi. Nathalie est contractée.
Tu es stressée, tu as peur ?
Oui, peur de ne pas être à la hauteur.
Mais je suis avec toi. Tu vas satisfaire Paul et, en même temps, me satisfaire.
Paul arrive. Il vient me serrer la main. Je commence à prendre des photos. Nathalie s’adresse à lui : Bonjour, Maître. Bonjour, salope. À poil ! Bien, Maître. Nathalie se déshabille. Reste debout, les bras le long du corps.
Oui, Maître. Paul se déshabille et s’approche de Nathalie. Il en fait le tour. Il commence à caresser les fesses puis passe sa main sur la chatte. Écarte les jambes.
Oui, Maître.
Il enfonce un doigt dans la chatte de Nathalie puis présente son doigt devant la bouche de Nathalie qui se met à le lécher. Puis les mains de
Paul tâtent les seins de sa soumise. Ils les pincent. Nathalie émet un petit cri. Ta gueule, je ne veux pas t’entendre. Oui, Maître. Paul se place face à Nathalie et lui administre une belle paire de claques. Tu dois me remercier, connasse. Merci, Maître. Tu dois toujours me remercier pour l’attention que je te porte.
Oui, Maître.
Paul prend Nathalie par les cheveux et me demande de lui indiquer la salle de bain. Il fait entrer Nathalie dans le bac à douche et lui ordonne de s’agenouiller. Il entre dans la cabine et présente son sexe devant la bouche de Nathalie.
Ouvre ta bouche. J’ai envie de pisser.
Oui, Maître. Et tâche de ne rien perdre, je veux que tu avales tout.
Bien, Maître. Paul commence à uriner, il règle son débit pour que Nathalie puisse recueillir et avaler.
Je filme cette scène. Quelques gouttes ont coulé sur les seins de Nathalie. Paul donne une paire de gifles à Nathalie. Tu as laissé couler quelques gouttes. Ramasse avec tes doigts et lèche.
Oui, Maître.
Nathalie récupère l’urine sur ses seins avec ses doigts qu’elle lèche ensuite. Tu as oublié quelque chose.
Pardon. Merci, Maître.
Et Nathalie reçoit à nouveau une paire de claques.
Reste à quatre pattes ! Relève bien ton cul ! Tu vas avancer jusqu’au salon en écartant bien tes cuisses !
Bien, Maître.
Nathalie est au milieu du salon, à quatre pattes. Tu vas te mettre en position d’attente, jambes repliées, ton cul sur tes talons, les bras dans le dos.
Oui, Maître.
Paul va fouiller dans le sac qu’il a apporté et en sort un fouet. Tu vas compter à haute voix chacun des coups et me remercier. Oui, Maître. Paul commence par un coup sur les seins.
Un. Merci, Maître.
Et il continue ainsi en frappant de plus en plus fort. Nathalie compte jusqu’à cinq et remercie à chaque coup. Lève tes bras.
Oui, Maître.
Paul frappe Nathalie sur le dos. Dix coups en tout. La poitrine et le dos de Nathalie sont zébrés. Mais elle a résisté. Maintenant viens me lécher les pieds.
Oui, Maître.
Paul s’installe sur un fauteuil et Nathalie se déplace jusqu’aux pieds de son Maître qu’elle se met à lécher à grands coups de langue. Paul commence à transformer Nathalie en une chienne obéissante. Elle continue à lécher, elle semble y prendre du plaisir.
Mets-toi à genoux et viens me sucer, salope. Oui, Maître. Nathalie avance sa bouche et commence à lécher le gland de son Maître.
Caresse-moi les couilles Puis Paul lui prend la tête et lui enfonce sa queue dans la bouche. Il baise sa bouche. Il doit toucher le fond de sa gorge.
Viens te placer sur moi, viens te faire baiser. Et je t’interdis de jouir.
Oui, Maître.
Nathalie se place à califourchon et sa chatte absorbe la queue de son Maître. Je pense que ma femme aura du mal à ne pas jouir. D’ailleurs, elle a un orgasme. Qu’est-ce que je t’ai dit, connasse ?
Pardon, Maître.
Tu seras punie. Oui, Maître. Tourne-toi et viens placer ton cul sur ma queue.
Oui, Maître.
Nathalie se place de façon à se faire enculer par son Maître. Elle effectue des mouvements verticaux pour accentuer la possession de son cul. Elle arrive à ne pas jouir. C’est au tour de Paul de jouir dans le cul de Nathalie.
Viens me nettoyer la queue avec ta langue, salope.
Oui, Maître.
Nathalie s’agenouille à nouveau et nettoie le sexe de son Maître. Puis Paul se lève. Tu as joui, pétasse.
Oui, Maître. Je vous demande pardon.
Mets-toi debout.
Paul prend son fouet et assène dix coups de fouet sur le ventre et sur les fesses de Nathalie. Celle-ci a dû bien entendu décompter les coups et remercier à chaque fois son Maître. Paul s’approche de moi.
Ta femme s’est bien comportée sauf quand elle a joui. Si tu veux me rendre un service, tu peux l’entraîner à ne jouir que sur commande.
J’essaierai.
La séance est terminée. Paul se rhabille. Nous nous serrons la main. Il s’approche de Nathalie.
Tu me dis au revoir et, en même temps, tu me baises les mains.
Au revoir, Maître.
Nathalie baise les mains de son Maître. Paul s’en va.
Nathalie s’adresse à moi : Mon chéri, je vais prendre une douche. Tu peux y aller. Nathalie revient de la douche. Elle me rejoint sur le canapé. Son corps est encore marqué par les coups reçus.
Alors ?
Je suis ravie.
Tu as aimé te faire fouetter ?
C’est une révélation. J’ai adoré.
Et la séance dans la douche. J’ai aimé aussi mais ce n’est pas facile de tout retenir.
Tu as joui.
Oui, je n’ai pas pu m’en empêcher.
Paul m’en a parlé. Il aimerait que je t’entraîne à ne jouir que sur commande.
J’aimerais que tu le fasses. C’est d’accord. Et les traces de fouet sur ton corps ?
Je les ai acceptées.
Elles te gênent ?
Pas du tout. Il faudra s’y habituer.
Tu as envie de continuer avec Paul ?
Plus que jamais. Mais promets-moi une chose.
Oui ?
Si tu as envie que j’arrête, tu me le dis, j’arrête aussitôt.
Continue.
Qu’est-ce que ça changera entre nous ?
Te faire jouir sur commande et voir les marques sur ton corps. Tu demanderas à Paul de ne pas trop te marquer pour les vacances, il ne faudrait pas faire croire que tu es une femme battue involontaire.
Et toi, tu ne pourrais pas me battre ?
Je pourrai essayer.
Mon chéri, je t’aime.
Tu m’as permis de me révéler à moi-même.
Quand la prochaine séance ?
Mon Maître doit me téléphoner mais j’irai certainement chez lui.
Je te raconterai. Si tu veux. Je t’aime et j’ai apprécié cette séance. Ça t’a fait bander ?
Oui. Nathalie s’agenouille, dégage mon sexe et l’engloutit.
J’ai droit d’emblée à une gorge profonde.
J’appuis mes mains sur la tête de ma femme pour accompagner ses mouvements.
Je jouis rapidement au fond de sa gorge.
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Chapitre 3 : Je suis piégé.
Une semaine est passée. Nathalie a maintenu la pression pour que je rencontre un homme. C’est elle qui a raison, c’est le chaînon manquant. J’ai fini par être d’accord. Elle m’a dit avoir trouvé un homosexuel actif. Donc, si j’ai bien compris, je devrais plutôt jouer un rôle de femelle. Et Nathalie ne devra avoir aucun contact avec cet homme.
Nous sommes samedi, en début d’après-midi. Notre invité, Christian se présente. Solide gaillard. Nous nous déshabillons et rejoignons notre chambre.
Christian est debout et me présente son sexe :
- Suce !
Je suis timide, presque désemparé. Nathalie met sa main sur mon épaule et me dit :
- Allez, vas-y, mon chéri.
Je commence à téter timidement son gland mais il me fourre sa queue dans la bouche, je manque d’étouffer mais parviens à reprendre ma respiration. Je n’avais jamais pensé sucer une queue mais ce n’est pas si désagréable que ça. Christian me place à quatre pattes sur le lit et se place derrière mon cul. Il commence à y entrer sa queue Pendant ce temps, Nathalie engloutit la mienne par la bouche. Progressivement, Christian s’enfonce de plus en plus. J’ai ressenti une douleur au début mais je m’habitue à cette queue dans mon cul et c’est loin d’être désagréable. Je suis pris entre deux feux, une queue dans mon cul et ma queue dans une bouche. Enfin, il jouit en moi et je jouis dans la bouche de Nathalie.
- Maintenant, tu nettoies !
Nathalie guide ma bouche vers le sexe de Christian et je m’applique à le nettoyer.
Christian se rhabille et s’en va.
Nathalie s’adresse à moi :
- Alors, mon enculé chéri ?
- Merci d’avoir été là. Ça t’a plu ?
- Oui, j’ai apprécié. Merci, j’ai réalisé tes fantasmes et tu as réalisé le mien.
- Mais je ne suis pas sûr de recommencer.
- Je ne t’en demande pas tant.
- Je t’aime.
- Je t’aime.
Chapitre 4 : Je l’ai piégé
Richard, après maintes discussions, a accepté de coucher avec un homme. J’ai trouvé un homosexuel actif, mon fantasme étant de voir mon mari se faire enculer. J’adore être enculée, pourquoi n’aimerait-il pas ?
Nous recevons Christian en ce début d’après-midi. Nous nous déshabillons tous les trois. Je préfère être nue pour aider mon mari. Je sais que je ne dois pas toucher Christian.
Richard doit commencer à le sucer. Je l’encourage. Il est emprunté comme je l’étais lors de ma première pipe et que Richard me guidait. Puis il s’enhardit et sa bouche est remplie par la queue de Christian. J’ai une crainte, j’ai peur que Christian jouisse ainsi. Mais non, Christian positionne Richard pour l’enculer. Aussitôt, pour l’encourager, j’enfourne la queue de mon mari dans ma bouche. On forme une sorte de sandwich. J’entends Christian grogner, il a dû jouir et Richard se déverse dans ma bouche. Maintenant, Richard doit nettoyer la queue de Christian, ce n’est pas ce qui est le plus agréable mais il doit le faire. Je l’aide.
Je suis fière de mon homme qui a relevé le défi. Nous avons chacun réalisé le fantasme de l’autre. Je m’adresse à mon mari en le traitant d’enculé. Pour moi, ça ne représente pas une injure mais une promotion. Mon mari est bisexuel comme moi. Il m’avoue ne pas être sûr de recommencer mais je saurai le convaincre.
Nous échangeons des paroles d’amour.
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Chapitre 2 : Mon mari m’a trouvé un amant. Nous sommes mariés depuis quelques années. Nous sommes heureux mais, depuis quelque temps, mon mari Richard me parle de son désir de me trouver un amant. Il me dit qu’il serait heureux de me savoir dans les bras d’un autre homme. Au lit, Richard me comble mais il m’affirme que je ne devrais plus être la femme d’un seul homme. Je ne l’ai jamais trompé. Son idée ma paraissait saugrenue puis, peu à peu, je me suis dit que je pourrais essayer. Mon mari a insisté et j’ai fini par dire oui. Mais je n’ai pas envie de chercher un homme. Richard m’a affirmé qu’il me présenterait mon futur amant. A des fins de découverte du candaulisme, ll m’a proposé de le faire venir à la maison mais je ne veux pas d’une partie à trois. Enfin, il m’a proposé un scénario que j’ai accepté : Il invitera un homme pour moi et une femme pour lui. J’irai avec cet homme dans notre lit conjugal tandis que lui et la femme iraient dans la chambre d’amis. J’ai bien compris que ces relations resteraient purement physiques mais je crains quand même pour l’avenir de notre couple. Nous sommes samedi en fin d’après-midi. Nous attendons nos invités. Mon mari me présente Francis et Catherine. Francis est un homme séduisant. Je suis heureuse de faire sa connaissance. Nous prenons l’apéritif, je suis à côté de Francis. Nous sommes un peu gênés d’être à proximité de mon mari. Ce dernier discute avec Catherine mais je vois bien qu’il m’observe, il a l’air satisfait de mon attitude. Francis a su détendre l’atmosphère, nous parlons plus joyeusement. Nous nous retrouvons dans la cuisine, Richard et moi, nous échangeons un sourire. Nous commençons le repas. Francis est à côté de moi, Mon mari et sa future maîtresse sont de l’autre côté de la table. J’échange avec Francis des propos de plus en plus tendres. À la fin du repas, Francis vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé, il a passé ses bras autour de mes épaules. Je m’étonne d’être aussi à l’aise face à mon mari dans les bras de mon futur amant. Francis approche ses lèvres des miennes et nous échangeons notre premier baiser. J’y réponds sans aucune gêne. J’ai oublié la présence de Richard. Nous décidons d’aller nous coucher, Richard et Catherine d’un côté, Francis et moi de l’autre. Je pense à Richard qui se trouve avec Catherine.
M’a-t-il déjà trompée ? Sûrement, mais je ne suis pas jalouse. Quant à moi, je me retrouve pour la première fois avec un autre homme que mon mari auprès du lit conjugal. Francis se rapproche de moi et m’enlace. Nos lèvres se joignent à nouveau. Puis nos langues font connaissance. Notre baiser me provoque des frissons. Francis me prend les seins qu’il caresse délicatement. Puis il entreprend de me déshabiller. Il se déshabille à son tour. Nous nous retrouvons enlacés sur le lit, poitrine contre poitrine. Je m’écarte un peu et je lui caresse le torse. Mes mains descendent lentement jusqu’à son bas-ventre, je prends dans mes mains sa paire de couilles. Son sexe est dressé, c’est une invitation, je m’agenouille et prends sa queue en bouche, j’en suce le gland puis je gobe sa queue en entier. J’ai oublié toute retenue, je suis devant un mâle et je suis sa femelle. Francis change de position, il vient positionner sa bouche devant ma chatte et il entreprend un cunni. Je reprends sa queue en bouche et nous entamons un soixante-neuf. La langue de Francis me fait jouir deux fois mais il ne jouit pas. Il vient se coucher sur moi et place sa queue devant ma chatte. Il me pénètre doucement puis sa queue me pénètre plus profondément. Je l’enserre de mes jambes. Nous jouissons simultanément. Voulant récolter ses dernières gouttes, j’engloutis avec ma bouche à nouveau sa queue. Je viens me blottir dans ses bras et nous échangeons un long baiser. Francis est un amant merveilleux, il a su me donner un plaisir immense.
Je pense à Richard, je le remercie en pensée du cadeau qu’il m’a fait en m’offrant mon premier amant. Nous nous assoupissons. Quand je me réveille, mon amant est couché sur le dos. Son sexe me fait envie. Je le prends en bouche. Francis dort encore mais mes coups de langue sur le bout de sa queue le réveillent. Il me caresse doucement la tête et m’encourage à continuer. Son sexe a repris de la vigueur et me remplit bien la bouche. Son gland fait connaissance avec le fond de ma gorge. Francis veut se dégager mais je n’ai pas envie d’autre chose que de continuer ma pipe. Mon amant est très résistant, il a compris ce que je voulais et il se laisse faire. Je continue à alterner léchage de gland et gorge profonde. Mes mains caressent sa queue. Ma main se dirige vers son anus. Je mouille mon majeur et je titille son trou du cul. J’enfonce mon doigt. Francis rugit de bien-être. Sa queue grossit encore et, enfin, lâche son jus. Je suis gâté, je déguste sa semence. Et, enfin, j’avale ce nectar. Je n’oublie pas de lécher mon doigt.
Francis récupère, il me sourit. Enfin, nous nous endormons. Il fait jour. Nous nous réveillons. Nous nous embrassons. Le sexe de Francis est dressé. Francis étant couché sur le dos, je viens m’empaler sur lui. Ma chatte accueille avec bienveillance cette jolie queue. J’effectue des mouvements verticaux au-dessus de mon amant. Il tient mes seins qu’il caresse. Je sens sa queue dans ma chatte. J’aime le sentir en moi. J’ai un orgasme. Francis se déverse en moi. Je suis comblée. J’ai passé une nuit merveilleuse. Nous allons dans la cuisine pour prendre notre petit-déjeuner. Je prépare le café. Richard et Catherine nous rejoignent. Je n’ai curieusement aucune gêne devant mon mari même si mon sexe est rempli du sperme de mon amant. Francis doit s’en aller. Nous nous embrassons longuement. Nous entamons une discussion avec Catherine, nous parlons de notre nuit d’amour. Puis Richard part se doucher. Catherine vient s’asseoir auprès de moi sur le canapé et, subitement, nos lèvres se rapprochent. Je n’avais jamais embrassé une femme sur la bouche. Nos langues s’emmêlent, sa langue est imprégnée de Richard et peut-être que je reçois ainsi la salive et le sperme de Richard. Au moment où nos lèvres se séparent, Richard revient de la douche. Nous allons, Catherine et moi, à notre tour nous doucher. Je découvre le corps de Catherine et je me dis que mon mari a de la chance de l’avoir pour maîtresse. Nous échangeons quelques caresses et quelques baisers sous la douche. Nous retournons sur le canapé. Puis nous échangeons de nouveau un baiser. J’aperçois le regard étonné de Richard. Il a voulu que je couche avec un homme et voilà que j’embrasse une femme. Je dépasse de loin ses désirs. Je lui suis reconnaissante de m’avoir révélée à moi-même. J’entraîne Catherine vers la chambre. Je m’adresse à mon mari : - Chéri, tu peux venir voir mais tu n’interviens pas. - D’accord. Nous nous déshabillons. Richard s’apprête à prendre des photos ou des vidéos. Catherine se place sur moi et sa bouche cherche mon sexe. Sa langue est très agile. Cela me provoque un orgasme puis Catherine présente sa chatte devant ma bouche. Je n’ai jamais sucé une femme mais je sais ce qu’il faut faire pour lui donner de plaisir. Catherine a un orgasme. Je m’adresse à Richard : - Ne sois pas timide, viens. Richard se déshabille et nous rejoins. Nous échangeons un baiser à trois. Catherine et moi dirigeons nos bouches vers le sexe de Richard. Nous le suçons toutes les deux. Nous lui gobons les couilles, puis léchons le gland. Nous alternons pour lui prodiguer des gorges profondes. J’aime sentir une queue me remplir la bouche et j’apprends le plaisir de partager. Mais Richard ne veut pas jouir dans une bouche. Il nous place toutes les deux en position de tir et il pénètre nos chattes en alternance. Catherine et moi apprécions cette façon de nous faire baiser et nous jouissons tour à tour. J’entends Richard grogner, il a dû jouir dans Catherine. Ne voulant rien perdre je vais sucer la chatte de Catherine pour récupérer le sperme. J’approche ma bouche de celle de Catherine et la semence de Richard passe de bouche en bouche pour le déguster. Enfin, nous avalons. Richard propose un rafraîchissement. Puis Catherine et moi allons nous doucher. Catherine doit alors nous quitter. Nous nous séparons avec un long baiser tendre. Richard va se doucher. Quand il revient, nous décidons de rester nus. Nous avons un long regard de connivence. Je pense qu’il est fier de sa femme qui a osé franchir deux pas décisifs, faire l’amour avec un homme, ce que désirai mon mari, et faire l’amour avec une femme. Je n’aurais jamais pensé que c’était si facile. J’étais opposée à toute relation extra-conjugale et Richard a réussi à me convaincre et j’en suis ravie. Désirera-t-il que je couche avec d’autres hommes ou d’autres femmes ? Je pense que oui, je l’espère. J’ai envie, maintenant que le pas est franchi, de poursuivre dans cette voie. Mon seul amour est Richard, J’ai aimé faire l’amour avec Francis et Catherine mais il n’y avait aucun sentiment. Quoique … J’aimerais devenir vraiment copine avec Catherine. Nous ne parlons pas de nos amours de toute la journée mais nous sentons que nous nous sommes rapprochés. Quand nous nous couchons, Richard s’adresse à moi et me félicite pour m’être désinhibée. Il a apprécié que je couche avec Francis et Catherine et notre triangle. Il m’a demandé si j’avais été heureuse avec Francis. Il m’affirme qu’il aimerait que je recherche moi-même d’autres hommes et d’autres femmes sans que je devienne une femme facile. Je lui redis que je ne l’avais jamais trompé auparavant. Il m’avoue m’avoir trompé, ce dont je me doutais, mais je ne lui en veux pas, il avait raison. Je lui parle d’une relation homo qu’il pourrait avoir mais il reste dubitatif. Je reviendrai sur cette question, j’aimerais bien qu’il couche avec un homme. Richard me fait un cunni. Depuis hier, je les collectionne et il me fait jouir. Puis j’ai envie de me faire remplir le cul. - Coquin ! Maintenant, encule-moi, mon chéri. Nous nous mettons en position. Richard a quelques gestes d’approche puis il m’embroche. Que c’est bon d’avoir la queue de son chéri dans le cul. Je suis pénétrée bien profond, je lui enserre la queue. Je suis transpercée.
, il jouit. J’approche mes lèvres de son sexe et j’entreprends un nettoyage avec ma langue.
- Bonne nuit, mon chéri.
- Bonne nuit, mon amour.
Quelle belle aventure candauliste !
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CANDAULISME
Chapitre 1 : Mes fantasmes réalisés
Mariés depuis quelques années, la vie se déroule paisiblement. Nous nous entendons bien dans la vie de tous les jours et au lit. Nous parlons librement, le dialogue est permanent. Mon épouse, Nathalie, m’est fidèle, elle me le dit et je la crois. Mais, depuis quelque temps, nous parlons d’un projet pour elle et pour notre couple, j’aimerais qu’elle connaisse un autre homme, qu’elle connaisse d’autres bras que les miens. Jusqu’à présent, elle a toujours été réticente, d’abord pas pudeur et, ensuite, elle pense que ce serait dangereux pour notre couple. Nous nous aimons et l’amour est plus fort que le sexe. Je lui ai souvent répété qu’une relation avec un autre homme n’avait rien à voir avec l’amour cérébral.
Elle s’est enfin décidée. Mais elle n’a aucune envie de draguer et elle ne pense à aucun homme. J’ai donc décidé d’arranger une réunion. J’ai parlé de cette situation à mon collègue Francis en lui disant que je lui offrais ma femme. Il a de tout de suite accepté. Mon épouse avait encore une réticence. J’ai demandé à une amie, Catherine, de bien vouloir passer une soirée chez moi. Nathalie ne veut pas d’une partie carrée. Francis et Nathalie pourraient s’isoler dans la chambre tandis que Catherine et moi-même irions dans la chambre d’amis. Mon épouse accepte ce scénario. Elle aura ainsi moins l’impression de me tromper puisque je serai avec une autre femme.
Nous sommes samedi en début de soirée et nous nous apprêtons à recevoir nos invités. À leur arrivée, je fais les présentations. L’atmosphère est assez réservée. Nous prenons l’apéritif. Nathalie et Francis se rapprochent timidement tandis que je m’entretiens avec Catherine.
Francis est un collègue que j’apprécie énormément, je lui fais entièrement confiance. Je lui ai expliqué la situation, il est prêt à être l’amant de Nathalie mais, pour lui, ce ne sera que physique. Quant à Catherine, c’est une amie. Nous n’avons jamais couché ensemble mais je crois que nous en avions envie tous les deux.
J’observe Nathalie et Francis. Ils discutent assez joyeusement.
J’accompagne Nathalie dans la cuisine pour aller chercher les plats. Elle a un joli sourire. Nous commençons le repas. Côte à côte, Nathalie et Francis. De l’autre côté de la table, Catherine et moi. Le contact entre ma femme et son futur amant est maintenant bien établi. Nathalie m’étonne, elle est très à l’aise. Nous passons au salon. Nathalie et Francis d’assoient sur le canapé, serrés l’un contre l’autre. Francis passe les bras autour des épaules de Nathalie et ils échangent leur premier baiser. J’en suis ravi.
Nous discutons un moment puis décidons d’aller nous coucher. Nathalie et Francis se dirigent vers notre chambre. J’entraîne Catherine dans la chambre d’amis.
Mon plan est en bonne voie. Ma femme va se donner à un autre homme. Quant à moi, je n’en suis pas à ma première infidélité et j’entends profiter pleinement de cette nuit. Pour une fois, je coucherai avec une femme sans être infidèle.
Catherine est vraiment active au lit. Elle ne me refuse rien. J’ai le droit de visiter avec mon sexe chacun de ses orifices. Elle suce merveilleusement bien. Elle a plusieurs orgasmes. Nous nous endormons enlacés et épuisés.
Nous nous réveillons et échangeons un baiser. Catherine dirige sa bouche vers mon sexe qu’elle absorbe. J’ai envie de la baiser mais elle persiste en continuant de me sucer pour enfin recueillir mon sperme dans sa bouche. Il faudra se fixer un autre rendez-vous après cette nuit extra. Nous nous levons et allons dans la cuisine. Francis est assis et Nathalie prépare le café.
Nous nous saluons et prenons notre petit-déjeuner. Francis doit absolument s’en aller. Il enlace Nathalie et l’embrasse longuement. Il nous salue et s’en va. Je reste avec les deux femmes. Nathalie est très joyeuse, sa nuit et sa première expérience lui ont apparemment plu.
Elle entame la conversation avec Catherine. Je pars me doucher.
En revenant, je vois les deux femmes sur le canapé discuter joyeusement. Je ne comprends pas ce qu’elles se disent, c’est dommage. Elles se dirigent vers la salle de bains. Je les entends rire. Apparemment, elles prennent leur douche ensemble.
À leur retour, elles retournent sur le canapé. Elles agissent comme si je n’étais pas là. À ma grande stupéfaction je les vois s’embrasser. Mon épouse qui avait des réticences à prendre un amant embrasse maintenant une femme ! Je n’en crois pas mes yeux.
Puis, subitement, elles se lèvent et se dirigent vers la chambre. Nathalie s’adresse à moi :
- Chéri, tu peux venir voir mais tu n’interviens pas, tu te fais cuckhold.
- D’accord.
Elles se rapprochent du lit, se déshabillent et se couchent, Catherine au-dessus de Nathalie.
J’apprécie ce tableau. Nathalie s’est complètement décoincée et je ne connaissais pas Catherine sous cet angle. Je prends des photos des deux femmes en action.
Catherine a approché sa bouche du sexe de ma femme. Cette dernière a des tressautements dans son corps. Je savais qu’elle aimait les cunnis mais pas ceux faits par une femme, elle a un orgasme. Puis Nathalie commence à sucer Catherine, elle y met toute son énergie. Nathalie m’a toujours prodigué de belles pipes, maintenant elle suce une femme. Catherine jouit à son tour. Elles se retrouvent bouche à bouche pour échanger un baiser profond.
Elles sont maintenant allongées côte à côte.
Nathalie m’adresse un grand sourire.
- Ne sois pas timide, viens.
Je me déshabille rapidement et vais les rejoindre. Je suis comblé, entouré de mon épouse et de ma maîtresse. Elles viennent m’embrasser. Leurs lèvres sont imprégnées de leurs salives et du jus de leurs chattes. Nous mélangeons nos trois langues.
Puis elles dirigent leurs bouches vers mon sexe. L’une me gobe les couilles, l’autre me lèche le gland puis, tour à tour, chacune d’elles me fait une gorge profonde. C’est délicieux ! Mais je tiens à prendre l’initiative. Je les place côte à côte, à quatre pattes sur le lit, cul dressé et je commence à les baiser, trois coups dans la chatte de l’une, trois coups dans la chatte de l’autre. Je finis par jouir dans Catherine. Nathalie avance sa bouche vers la chatte de Catherine pour récupérer mon sperme. Elles échangent un baiser, mon sperme passant de bouche à bouche.
Nous sommes ravis de ces échanges. Je propose un rafraîchissement. Nous allons boire, tous les trois nus. Les deux femmes se tiennent par la main. On dirait de vieilles copines alors qu’hier elles ne se connaissaient pas.
Catherine doit malheureusement nous quitter. Elle va prendre une douche avec Nathalie. Après quelques embrassades, elle nous quitte. Je vais me doucher. Quand je reviens, Nathalie est toujours nue, je ne me rhabille pas. Nous échangeons un regard de connivence. Nathalie semble fière d’avoir réalisé un double défi, celui que je désirais et celui plus inattendu d’avoir fait l’amour avec une femme. Quant à moi, je suis comblé, une nouvelle maîtresse et une épouse enfin libérée.
Nous allons manger au restaurant et faisons une balade dans la campagne sans reparler des événements récents.
Après le dîner, nous allons nous coucher. Nathalie s’adresse à moi :
- Alors chéri, tu es satisfait ?
- Oui, ma chérie. Satisfait et surpris. Je n’aurais jamais pensé que tu sois aussi à l’aise avec Francis et, surtout, d’avoir fait l’amour avec Catherine. Comment ça s’est passé avec Francis ? Tu n’es pas obligée de répondre.
- Je n’ai rien à te cacher. J’ai passé une nuit merveilleuse. J’ai couché avec un homme que je n’aime pas, ce n’est pas comme avec toi. Il m’a comblée. Je te remercie de m’avoir ouvert les yeux.
- Tu es prête à recommencer ?
- Avec Francis ?
- Avec lui ou avec un autre. Je te laisserai choisir le prochain. Tu dois vivre ta vie sexuelle sans que j’intervienne. Bien entendu, il peut venir à la maison.
- Merci, mon chéri.
- Et comment ça s’est passé avec Catherine ?
- Je ne m’y attendais pas du tout. Quand tu es parti à la douche nous nous sommes rapprochées.
- Tu as envie de la revoir ?
- Pourquoi pas ?
- Elle ou une autre, ce sera ton choix. Comme pour un homme, elle pourra venir à la maison pour être seule avec toi ou pour un triangle. Dis-moi, chérie, tu peux me le dire maintenant, avais-tu déjà couché avec un homme ou une femme ?
- Non, mon chéri. Personne d’autre que toi. Et toi, tu m’as déjà trompée ?
- Oui.
- Tu as eu raison. Et tu vas continuer ?
- Oui, mais je ne tromperai plus puisque tu seras au courant.
- Je me pose une question. J’ai couché avec une femme, as-tu déjà couché avec un homme ?
- Jamais.
- Et tu le ferais si je te le demandais ?
- Tu aimerais ?
- Oui.
- Et tu aimerais y assister ?
- Oui.
- Je vais y réfléchir. Je te tiendrai au courant.
Nous nous embrassons, complices comme jamais. Je commence par lui prodiguer un cunni. J’espère la faire jouir comme Catherine a su le faire. Elle a deux orgasmes coup sur coup. Elle vient aussi m’embrasser.
- Coquin ! Maintenant, encule-moi, mon chéri.
Et elle se met en position pour que je puisse accéder à sa demande. J’approche ma queue de son cul. Je commence à titiller son anus avec mon gland puis je la pénètre. Elle accompagne mes mouvements. J’essaie de la pénétrer au plus profond d’elle-même, je sais qu’elle prend beaucoup de plaisir à sentir ma queue dans son cul. Ses sphincters agissent sur ma queue qui n’arrête pas de grossir. Mon épouse est une enculée de génie. Enfin, je me lâche. La bouche de Nathalie vient remplacer son cul. Elle nettoie avec application mon sexe.
- Bonne nuit, mon chéri.
- Bonne nuit, mon amour.
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Mathilde se réveilla en pleure, un immense désarroi habitait son être tout entier. Par crainte d’être entendu, elle prie une position fœtale et le drap dans la bouche, elle pleura en silence et cela dura jusqu’à ce qu’elle s’endormit.
Les 3 jours suivants, elle resta cloîtrée s’alimentant à peine. Une profonde déprime l’habitait. Elle se sentait perdue son esprit harcelé de question sans réponse.
- Que faire ? Qu’allait-elle devenir ? Que pensait-on d’elle ?
Pourra-t-elle se tenir face à pierre, à son oncle. Quelle honte, elle qui chaque nuit s’offrait à la débauche des sens. Ou la plus vile des qualifications lui paraissait témoignage d’amour et hymne accompagnant ses jouissances.
- La vie en ces lieux, ne sera plus possible, il me faut partir, pensa t-elle !
Au 4e jour, c’est à 14 h précises que le prêtre frappa à la porte. On l’accueillit avec des sentiments mêlés de crainte et de honte. Après les présentations, il interrogea toute la famille et chacun avec soulagement apportant son témoignage et dans le regard de l’homme de foi cherchait appui et réconfort.
Puis en silence, le père Marcel, de sa grande taille se leva domina la table et ces interlocuteurs et demanda à être en privé avec Mathilde.
On le conduit à la chambre d’ami. La porte se referma laissant deux hommes se regarder en hochant la tête puis chacun prenant une chaise, ils s’assirent les yeux rivé au sol.
Le prêtre sourit à Mathilde, et lui dit :
Bonjour Mathilde, Allonge toi ma fille, détend toi. Je suis là pour t’aider.
Il sortit de sa poche un chapelet, une bible et une gourde d’eau. Il prit sa respiration et commença par réciter ‘notre père qui est cieux’
En même temps, il emplit le crucifix d’eau de la gourde en argent.
Puis se retourna, regarda Mathilde et lui dit :
- Mathilde, mon enfant, est ce qu’il est avec nous. Le vois-tu ?
- Non mon père, il est parti
- Que veux-tu dire ?
- Il est parti, il m’a quitté !
Le prêtre sentit dans le ton de Mathilde un regret.
- Pourquoi tu dis cela ?
- Je ne le sens plus, il m’a dit qu’il me laisserait dorénavant.
- Peux-tu me raconter ce qui s’est passer ? Quand cela a commencé ?
Mathilde jeta un regard à l’homme de foi et en larme elle se mit à délivrer sa conscience...
La première fois, murmura telle, c’était il y a 6 ans... Mathilde baissa les yeux, une larme s’échappa et s’échoua au coin de ses lèvres, elle entama le récit, honteuse et emplie de culpabilité.
Le prêtre resta un instant les yeux fermés, il invoqua le créateur et a voix basse et de façon rapide récita différentes formules.
Continu Mathilde, le seigneur t’écoute !
Cela mon père a commencer par un cauchemar :
J’étais sur une route seule perdu, je regardais dans toutes les directions, mais je ne voyais rien, je n'arrêtais pas de me dire :
Mais où suis-je ?
J’appelais, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je me suis mise à marcher et plus j’avançais et plus je ressentais une grande soif. J’ai vu de l’eau qui coulait doucement le long d’une paroi rocheuse, dont je ne distinguais aucun contour, dans la roche une petite cavité formait un bassin dans lequel s’accumulait l’eau avant de déborder à nouveau, et de poursuivre son chemin. J’ai levé les yeux, pour voir d’où elle s’écoulait. Mais il faisait sombre, je ne voyais rien. J’ai plongé ma main dans le petit bassin, pour puiser de l’eau. Après une première gorgée, j’ai remarqué que ma main saignait. Mon regard s’est posé sur le fond de la cuvette et remarquée, qu’il était parsemé de petites stalactites, aussi coupantes qu’une lame. J’ai pensé avoir éraflé le dos de ma main, par imprudence.
Mais mon envie de boire était trop forte. J’essayais une nouvelle fois, de puiser de l’eau, mais mon sang se mêlait à l’eau. J’essaie de me laver les mains et je m’éraflais à nouveau. Tout à coup l’eau que j’ai bue, c’est transformer en une pâte collante dans ma bouche, je n’arrivais pas à cracher ni à m’en défaire tant elle collait comme une résine. J’ai voulu prendre de l’eau pour enlever cette résine et plus je buvais et plus la résine emplissait ma bouche. Mes mains couvertes de sang, je me suis mis à pleurer à me demandant ce qui m’arrivait. Des rires de moquerie me parvenaient et j’ai vu des gens allez et venir transportant des pierres riant aux éclats. Il construisait une grande maison, dont je ne percevais aucun contour. Je me suis rapproché de ces gens et j’ai demandé qu’on m’aide. Ils se sont mis à rire et plus j’insistais et plus ils riaient.
J’étais en larmes désemparée, j’appelais ma mère mon père rien. J’ai repris mon chemin avec ma bouche que je n’arrivais plus à ouvrir. Mes mains ruisselaient de sang, quand une voix d’homme résonna :
Ne pleure pas Mathilde. Je suis là !
Ce sont les premiers mots que j’ai entendu. Mon regard cherchait celui qui s’adressait à moi, mais je ne le voyais pas, il faisait trop sombre.
Ô mon père si vous saviez comme j’ai eu peur. Tout autour de moi, il n’y avait que la nuit, cette eau puis cette pâte dans ma bouche mon sang qui n’arrêtait pas de couler.
J’ai voulu parler demander qui il était ? Mais ma bouche était complètement collée. J’essayais de crier, mais impossible !
Et puis la voix à de nouvelles fois parlée.
- Mathilde, calme toi, tu sais, je te connais bien. Cela fait un long moment que je t’attends. Tu ne me connais pas, mais moi, je te connais bien. Que t’arrive t-il Mathilde dis moi ?
J’essaie de parler lui dire mon malheur, ma bouche, mes mains.
Et puis il a continué, mon père, je ne sais pas pourquoi, mais je me rappel parfaitement tous les mots qu’il m’a dit, sans s’en rendre compte le visage de Mathilde exprima de la passion et du dépit !
Mathilde, ô m'a protéger, tu as croisé les bâtisseurs et leurs rires moqueurs, pourtant les pierres de chimère, c’est avec ces pierres que sont bâtis des univers dans l’imagination de l’homme. Il se moque de ta crédulité, cette façon que tu as de te croire libre.
Ton instinct de survie guidé par une soif sans nom, invoque l’inconnue.
Cette eau sans origine ni but symbole du temps qui s’écoule,
Et offrant une pose à sa course par l’intermède d’une vasque, instant de quiétude tant recherché.
Menant de part ta main à ta bouche assoiffée, le baume apaisant.
Puis voilà que l’appel de par ta bouche ne peut être émis.
L’imprudent élan tels un appel à l’aide, plongeant ta sincérité, dans les profondeurs voilées ou la souillure, le sévère et tant d’épreuves, encore, écorchent ta fragilité Mise à nue.
Tes espérances agonisantes à l’extinction programmée, portées dans le creux de ta main jusqu’à ta bouche.
Le palais empâté, le verbe interdit à toute indépendance, ne laissant que l’effroi et tes larmes témoins d’un impossible oubli.
Et tu te présentes à moi écorché de la vie, laissant de tes mains échapper l’essence de ta vie, ton sang.
Mais je suis là et moi, je suis différents moi, je veux t’aider.
Mathilde, je suis là pour t’aider, mais je ne le peux qu’avec ton accord.
Vois tu, je peux prendre de toi ce que je veux et sans ton accord.
Mais ce n’est pas ce que je veux.
Viens te reposer là sur ce lit, tu es fatigué et je nettoierai ce qui t’a sali.
J’étais vraiment fatigué et un lit apparu, je ne sais pas d’où il venait et je voulais me reposer, alors je me suis allongée, je me suis sentie si bien que j’ai fermé les yeux quand je les ai ouverts.
Un homme au visage dissimulé sous des cheveux tombant et qui allongé à mes côtés en appui sur son coude et légèrement pencher en avant, et me parlais doucement, se tenant très proche de moi et d’une façon que je n’avais jamais entendu, me dit des mots qui comme un chant mélodieux trouva, instantanément le chemin de ma quiétude … Mon être entier était tendu vers ces mots nouveaux..
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Parce que la liberté est comme une prison,
Et que servir et obéir est plus qu’une vocation,
Je suis en quête d’une personne protectrice
Qui pourra toutefois réveiller ses désirs de sévices.
A celle ou celui qui saura m’apprivoiser,
Avec tendresse, amour et fermeté,
J’offre mon corps, mon âme et mon cœur,
Pour devenir son support de plaisir et de douleurs.
Mon dévouement sera ainsi total,
Ma flamme intérieure s’embrasera au niveau maximal,
Sortant enfin de l’obscurité
Illuminée par son aura pour l’éternité.
Vous qui lisez ces lignes,
Si d’aventure, votre curiosité piétine,
D’en savoir plus sur une adoption,
D’une petite chose en perdition,
En manque d’affection,
De correction,
Et d’éducation,
Alors suivez votre intuition
Et envoyez un message pour entamer la conversation.
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Ils sont 1100, et il en arrive encore, par vagues successives.
Tels des crickets déferlant sur les
plaines fécondes,
Ces barbares ne laisseront rien.
Ils sont 1100 et chacun, quels qu’il soit, revendique le butin.
Déjà, l’horizon s’assombrit, le départ est donné, les rats sont lâchés.
C’est une course effrénée vers la vie vers l’espoir d’une autorité retrouvée.
De posséder exclusivement ce que tous convoitent, d’être le désiré
Cela rend fou à en perdre la raison.
Les 1100 sont comme aveugles.
Ils se côtoient, mais ne se voient pas, ils avancent dans leurs armures de mots, armés de phrases.
Ils sont gueux, écuyés, chevaliers, nobles princes, sultans, rois, érudits, sorciers, fakirs, hommes de science, architectes, ouvriers, capitaines de guerre, clown que sais-je encore
Tous ces visages, frères d’armes et ennemies à la fois tous prêt à posséder ...à guider...... Sur des voies qu'eux-mêmes ignorent.
Puis gravir la montagne des caprices des doutes et des peurs
Trouver l’âme affolée fébrile et esseulée.
Ainsi l’âme dévoilée, emportée par les vents mauvais pensant bien mérité la décadence programmée.
Et chaque jour, de cette âme, peler les rêves et briser tout noyau d’espoir.
Le laid côtoie le beau et la douceur le rugueux.
Le pouvoir oppressif régnera jusqu’à la révolte et la révolte à la fuite et de la fuite à l’errance, et de l’errance au prochain rat.
Mais pour l’instant, oui pour l’instant et peut-être pour toujours, il sont 1100 et bien plus encore et il en arrive encore par vagues successives...
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