Mon petit soumis est incroyablement provocateur... J'ai donc décidé lui faire faire ce que je lui dis tout le temps, comme un chien. Parfois, il s'écarte du droit chemin, je dois donc dans le remettre en place. J'ai trouvé bien plus efficace qu'un bon coup de pied au cul. Quand il n'est pas sage, j'enferme son petit pénis dans une superbe cage de chasteté en métal et il reste enfermer comme un rat jusqu'à ce que je prenne la décision qu'il puisse être libéré.
Il m'arrive de le laisser enfermé durant plusieurs jours, sans la moindre libération, ça le rend fou et j'adore ça. Nous avons une relation d'amour parfumé à la haine. Il se donne un genre, mais en réalité je sais qu'il adore quand je le fais se soumettre et s'enfermer... Je sais que ça l'excite. Ce qui le rend dingue, c'est de ne pas pouvoir toucher sa bite, et évidemment, de ne pas être capable de bander.
Il m'arrive de faire exprès de cuisiner en string pour le stimuler, je me penche en avant pour ouvrir le four et parfois j'écarte la ficelle afin qu'il garde puisse baver comme un chien devant ma petite chatte serrée. Je suis une Maîtresse très perverse et j'adore jouer avec la psychologie (accessoirement son sexe). J'ai acheté un autre cadenas afin d'obtenir des clés similaires à celle de sa cage.
Après plusieurs jours d'enfermement, j'aime faire semblant d'oublier les clés sur la table du salon, ou de les faire tomber par terre avant de sortir... J'aimerais tant voir son visage se noyer dans l'humiliation lorsqu'il se rend compte que ce ne sont pas les bonnes clés.
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Bonjour Madame,
Je me présente Mickaël, être vivant, dominant dans son quotidien publique en qui pourtant, une chaleur me consume de l’intérieure. Cette chaleur, j’ai mis longtemps à trouver sa signification. Depuis plusieurs années je me suis découvert un plaisir, des pensées pour des déviances, multiples qu’elles puissent être.
Je me suis inscrit sur plusieurs site BDSM et fétichiste. J’ai rencontré des personnes pratiquant des pratiques diverses...je me suis découvert à prendre plaisirs à chaque fois, à chaque fois avec des dominantes et dominantes, par leur sexe et leur art.
Malgré les bons moments passés avec ces personnes, dans les respects de mes limites du moment, mon plaisir n’était pas entier. Cette période fut ma période de « Découverte ».
Après avoir à plusieurs reprises contacté divers Dame avec toujours des refus au terme du dialogue.
Un échange avec une grande dame par son physique, son esprit et son charisme que je ne connaissais que par virtuel. Une rencontre programmée mais un incident de vie ne l'a pas permis. Une frustration, un regret, j'étais pret a m'ouvrir réellement à un être exceptionnellement supérieur mais avec du recul, le destin avait décidé que ce n'était pas le bon moment..
Aujourd’hui, le temps a passé, le temps m’a donné la chance de la rencontrer. Au premier contact, je l’ai senti tout de suite me tester, ne pas me laisser réfléchir. Ma mise à l’épreuve commença en public, voir mon attitude, mes réactions dans un environnement de foule. Ceci m’a permis de me détendre aussi...Merci Madame.
Puis le lendemain, mon test a l’endurance, à ma docilité par mon immobilisation , je me fis punir, allongé sur un repose pied, je fut cravaché , fouetté .... je ne discutais pas car c’était pour moî une forme d’existence à ses yeux.
Son intérêt alla jusqu’à mon hygiène de vie, état de forme, conseils et exigences. J’étais heureux que l’on apporte cette attention à chercher à me sublimer physiquement. Être un bon soumis commence par s’entretenir pour donner l’envie perpétuel à sa maîtresse de nous faire progresser que se soit mentalement que physiquement. Un beau soumis est un soumis qui donne envie d’être dominer.
Le soir, elle me donna le privilège de l’accompagner dans un cercle fermé de BDSM. C’était pour moi une première, moi petite chose en privé devenant sa propriété en public restreint. J’avoue mon appréhension mais pourtant ce sentiment ne me submergeais pas, à l’inverse, j’avais hâte de lui montrer mon envie d’être digne d’elle, de ce qu’elle attendait de moi.
Ce qu’elle attendait, en fait je ne le savais guère mais je lui confia mon esprit et ma liberté.
Nous entrâmes, un groupe averti était présent. Elle me présenta, elle me guida, je m’agenouille à ses pieds, à ces côtés, à son contact. Je n’avais pas peur, même je me sentais en sécurité, protégé. La vision des autres m’était égale, je m’étonnais de penser uniquement au bien être de ma Maîtresse, mon envie de la satisfaire, montrer aux autres que je lui appartenais à elle et elle seule. Je ne ressentais qu’une fierté de montrer à tous son emprise et l’attention qu’elle portais à mon égard.
Puis vint le moment de mes supplices, en fait non...le moment de révéler mon dévouement, la confiance en son savoir faire, mon envie profonde de me soumettre pour son unique plaisir.
Elle me mis un bandeau sur mes yeux étincelant d’envie, je fis attaché, mon petit jouet compressé, je ne pouvais rien voir, ne rien anticiper et pourtant j’y prenais une grande joie intérieure, un mélange de peur primaire et de poussée d’adrénaline ....l’élixir de mon existence. Je me sentais vivant et existé.
Une séance de fouet suivi, au début la douleur, suivi la chaleur pour finir le besoin. Je la sentais toujours prêt de moi, sa respiration, ses petits mots à l’oreille. J’étais si bien dans son monde. A ce moment là, seul son bien être me préoccupait.
La soirée se poursuivi, moi toujours l’attention du moindre besoin de cette grandeur d’âme .
Je ne peux qu’aujourd’hui remercier cette dame , qui m’a délivré des carcans de mon utopie, des chaînes de mon mental.
Aujourd’hui et à travers cette rencontre, je me suis découvert , moi!! à genoux à ses pieds, avec émotions et fierté, je lui dois ma « délivrance ».
La vie, à ce moment , moi encore dans les chaîne d’une vie privée n’a pas donnée suite à ce moment intense. Dès années de besoin de faire sortir cette chose qui résonne en moi . Aujourd’hui, j’ai brisé ces liens qui m’empêcher de ressentir que c’était cette vie que me tendais les bras…une vie où mes pensées ne seraient que plaisir de l’autre.
Aujourd'hui mon postulat ne pourrai vous paraître quelconque et déjà vu, pourtant je me présente à vous comme sujet investit et motivé dans une vie de lâcher prise entre les mains de celles qui saura comment pratiquer pour me délivrer de mes maux dans le seule but de servir et de subir
Respectueusement
Mickael, postulant à vos pieds Madame
Bonjour Madame,
Je me présente Mickaël, être vivant, dominant dans son quotidien publique en qui pourtant, une chaleur me consumé de l’intérieure. Cette chaleur, j’ai eu longtemps à trouver sa signification.
J’ai écrit pour vous une longue présentation que j’appelle « Découverte et délivrance ». Bien trop long pour le mettre ici
Si ma présentation attire votre attention je me présenterai à voir à cœur ouvert sincèrement et réellement
Mickael, postulant à vos pieds Madame
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Elles font partie de l'univers BDSM;
Corset, serre-rtaille, robe moulantes en cuir ou en latex.
Ces tenues sont ene seconde peau pour la soumise que je suis devenue., Elles célèbrent et magnifient mon engagement, ma dévotion, mon appartennance. Je suis par conséquent heureuse et fière de les porter.
Charlotta
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J'entends parfois des femmes (mais aussi des hommes) dire qu'il n'est pas nécessaire de vivre ses fantames et même préférable de ne pas les concrétiser. Je ne partage pas ce point de vue car dès lors que ces fantasmes sont librement choisis et acceptés, dès lors qu'ils se vivent entre adultes consentants, il m'apparait mportant de les mettre en scène.car c'est, je pense, un motif d'enrichissement personnel. Dans le cadre d'une relarion BDSM, les fantasmes du dominant et de la soumise (permettez-moi de me référer à ma propre expérience) se complètent et se répondent pour se muer en désirs. Quand j'endosse ma tenue de cuir (offerte par mon Maitre, soit dit en passant), je lui signifie sans anbigiuité possible que je veux être traitée de manière adéquate, être rudoyée verbalement et physiquement, être aussi humiliée s'il l'estime nécessaire. Je suis sa chienne soumise et je le revendique, je lui sais gré de me traiter comme telle, de m'imposer les épreuves qu'il souhaite, de m'inventer de nouveaux défis. Je surmonte alors ma peur et mes appréhensions, je vis mes fantasmes avoués, mes désirs inavouables et h'en ressors ébranlée, épuisée parfois mais aussi plus forte, fière de mes acceptations, confortée dans mes choix qui s'inscrivent hors des sentiers battus et des condormismes rassurants mais c'est ainsi qu'il m'est donnée de m"épanouir, dans l'intensité de mes fantasmes exprimés sans réserve !
Charlotta
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Cette question m'est inspirée par la réflexion de Sir Stephen à O, lors de leur toute ptemière rencontre.
"Vous êtes facile, lui dit-il, vous aimez René mais vous êtes facile. Vous aimez tous les hommes qui vous possèdent".
Voilà un jugement bien péremptoire, très daté, trop manichéen et pour le moins réducteur !
A mon sens, O n'aime pas tous les hommes qui la possèdent mais sa forme d'amour absolu la pousse à aimer se donner à ceux que son amant lui désigne. Une soumise n'est facile que de cette manière. Elle accepte que l'on choisisse pour elle sans pour autant aimer l'homme qui la possède et qui n'est somme toute qu'un instrumentn un fouteur omme disait Sade mais en revanche, elle aime obéir, apporter la preuve de son amour et de spn abnégation à celui qui exige cela d'elle et ce faisant, elle peut aimer se donner en représentation, être offerte devant témoins et devenir ainsi pour celles et ceux conviés au spectacle, un objet de désir, une source d'excitation et se savoir perçue comme telle peut contribuer grandement à son propre plaisir. Elle se sait alors en représentation avec tous les regards qui convergent vers elle. Il s'agit là encore d'une exhibition mais choisie et mise en scène par son Maître. Plus tard, tous les deux seuls, ils évoqueront à maintes reprises, ce moment d'abandon.
Charlotta
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Cette exhibition nocturne en bas et porte jarretellles dans la piscine de l'hôtel requérait une plus grande implication que je renouvelle aujourd'hui en publiant cette photo. Une façon de dire que j'assume pleinement ma soumission dans l'exhibition mais aussi de signifier avec un zeste de provocation que je suis une salope soumise !
Charlotta
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Je crois très sincèrement qu'une exhibitionniste qui serait engagée dans une relation de soumission BDSM aurait un avantage certain pour vivre positivement cette relation, donner sarisfaction à son Maître et obtenir elle-même des motifs de satisfaction. Se ptésenter nue ou parée d'atours BDSM, fait partie de la conduite à tenir, en éprouver de la fierté plutôt que de la honte, de la gêne et de l'inconfort facilite les choses, indéniablement. C'est mon cas et je m'en félicite. Pour le démontrer, voici une image anodine en apparence si ce n'est que cette photo fut prise un après-midi, devant témoins, dans la piscine d'un hôtel de Mykonos. Nudité naturelle, innocente mais qui s'incrit pour ceux et celles qui furent mis dans la confifence, dans un clair cheminement BDSM. Mais ce ne fut là qu'une première étape !
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En posant cette question, je pars du postulat que les femmes sont généralement plus cérébrales que les hommes (heureusement, on trouve des exceptions à cette règle rapidement énoncée). Leur approche de la relation BDSM est plus réfléchie, plus transgressive aussi. Pour la littéraire que je suis, sensible aux mots et aux situations déstabilisantes, force est de constater que les femmes dominantes ont plus sûrement su répondre à mes apsîrations que leurs homologues masculins (exception faite de mon Maître, bien entendu). Avec sa permission et ses encouragements, j'aimerais donc être prise en main par une Maîtresse (une femme switch ne serait pas rejetée) aussi perverse qu'exigente qui saurait me pousser dans mes retranchements, me soumettre au feu de ses questions très indiscrètes et intrusives pour mieux obtenir ma reddition, mon abandon et m'enchainer à tous ses désirs inavoués ou inavouables qu'elle osera cependant nommer,énoncer, développer, mettre en pratique.
Si d'aventure, un homme se retrouvait dans ces quelques lignes, il pourrait aussi tenter sa chance et entrer en contact .Elégance, perversité, finesse d'esprit et cérébralité doivent être étroitement mêlés. Que tous les autres ma pardonnent cette irrépressible envie de m'exprimer ou/et de m'exhiber.
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Souvent, les dominants aiment employer un vocabulaire animalier avec leur soumise, la désignant par exemple sous le terme de chienne. C'est là une attention très ambivalente qui la dévalorise tout en la magnifiant, soulignant ainsi le désir qui l'anime ou l'attraction sexuelle qu'elle suscite.
Mon Maître désigne mes fesses par le terme de croupe, ce que je trouvais insultant, au début. Et puis, j'ai compris que cette appellation était somme toute assez flatteuse,soulignant la rondeur de mes fesses rebondies qu'il aime photograpgier sous toutes les coutures et dans toutes les positions. Quand j'entends ce mot désormais, je ne me raidis plus mais je me cambre et imperceptiblement, je tends ma croupe pour mIeux la lui présenter.
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Habituellement, mon Maître aime jouer sur le contraste entre le blanc et le rouge de mon cul après fessée mais ce jour là, il s'agissait après cette fessée magistrale d"avoir le cul aussi rouge que mon string. Mes limites furent atteintes et je ne pus retenir mes larmes. Longtemps après,j'étais encore brûlante à cet endroit et devoir m'asseoir me rappelait immanquablement le châtiment reçu. J'en retirai quelque fierté. Ambivalence de la soumise qui s'avandonne et se découvre des ressources insoupçonnées mais aussi d'inavouables plaisirs.
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Pour une fille soumise a priori non masoxhiste, quel plaisir trouble à recevoir une fessée ? Quel ressort me poisse à l'accepter ?
Peut-être un retour vers un lointain souvenir d'enfance, le désir inavoué d'être punie et par là-même d'être célébrée d'une manière particulière mais aussi la coupable fierté de s'être entendue gémir et supplier puis finalement, d'exposer son corps marqué en ressentant la cuisante démonstration du châriment reçu. Et si vous avez apprécié de voir mes fesses empourprées complaisamment offertes à votre contemplation; alors demandez-moi d'autres preuves de mon obéissancen d'aitres clichés cuisants.
Charlotta
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La sublime Silvia Kristel dans le film d'Alain Robbe-Grillet que tu m'as fait découvrir, hier. Cette image m'inspire et me poursuit. Serais-je aussi belle quand tu m'auras attachée ? Et à qui me doneras-tu à voir ? Je rêve d'une dominatrice perverse et exigeante qui saurait me cingLer avec des mots en guise de préliminaires.
Ta Charlotta qui se sent de plus en plus bad girl.
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