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Trans switch. 46 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 16/08/23
Chapitre 1 : L’amie Emma   Emma est une amie de très longues dates , depuis l’adolescence, nous avons toujours eu contact mais toujours de manière à la fois brève et passionnel .. Nous parlons peu sur les réseaux sociaux , nous nous voyons peu . Mais quand on se vois et quand on se parle c’est toujours bienveillant et passionnant , on se fait évoluer l’un l’autre , on se fait des confidences sans pour autant être intrusif. Ça fait maintenant des années que nous sommes amis , on à des vies différentes mais on s’apporte mutuellement des choses et aussi dans nos métiers respectifs .. elle est comédienne / actrice , elle commence a avoir une belle renommée et tout les ennuis qui vont avec . Elle se confie à moi , me demande conseils.  Un beau jour je regarde l’un de ces tournages pour lui donner mon avis comme je le fais souvent , durant ce tournage elle joue une scène plutôt hot.. il n’y a jamais rien eu avec cette fille mais la voir comme ça m’excite .. je me rends compte à ce moment que je ne sais rien d’elle à propos de sa sexualité, je l’ai toujours connue seule , célibataire , sans histoire amoureuse ,.. je ne doute pas un seul instant qu’elle en ai eu , mais je n’ai aucune information à ce propos .. il faut dire que notre relation est très distinguée , je ne sais d’ailleurs pas pourquoi , mais notre langage est souvent soutenu quand on se parle.  Elle me demande mon avis sur le tournage et elle me demande ce que j’ai pensé de cette scène.. Je lui avoue avoir été surpris de la voir sous un tel angle , bien sure je n’ose pas lui dire que ça m’a excité car nous avons une relation très polie et très respectueuse. La conversation se transforme un peu et nous en venons à oublier le tournage et à parler de sexe .. sans que je ne parle de mon coté dominant , elle me parle de son envie d’être dominée.. Je reçois pas mal d’informations que je note dans ma tête , je ne me met pas trop en avant je suis à l’écoute je sous entends simplement que j’ai déjà pratiquer ce genre de choses.. Elle fini par me souhaiter la bonne nuit et me laisse seul , avec mes pensées et cette nouvelle visions d’elle ..  Le lendemain nous ne parlons pas , mais le jour d’après la conversation reprends .. je décide de poser un peu plus de questions .. ces réponses sont assez clair , elle fantasme sur la perte de contrôle .. et en même temps elle a peur. En effet , elle est plutôt connue , l’impact que cela peut avoir sur elle et sur sa carrière si quelqu’un le savait pourrait être dévastateur.  Elle a besoin de découvrir , mais de découvrir des choses simples , et avec quelqu’un de confiance , quelqu’un de confiance ? Je ne peux me retenir et lui envoi «  de confiance comme moi ? »  Le message est VU mais elle ne réponds pas , j’hésite à l’enlever et je stress .. j’ai peur de l’avoir vexer .. elle écrit .. la réponse arrive .. « personne d’autre que toi » me dit elle . Je me demande ce qu’elle veux .. ce que je dois faire pour que ça lui convienne , la conversation est très clair on se dit les choses tels qu’on les penses , tels qu’on les ressents. Au bout d’un moment elle m’écrit «  vendredi chez moi ? » j’accepte ..  Nous sommes mercredi et dans 2 jours je m’occuperai d’elle , j’ai hate et en même temps je redoute !  Que vas t’il se passé ? 
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Par : le 11/08/23
Dans un désir commun, le loup et la belle; sachant qu'elle pouvait faire confiance à cet être mal perçu par son côté animal, arrivent à l'orée du bois. Ils se regardaient d'un regard entendu, de connivence. Tout deux savaient qu'ils allaient vers ce futur proche avec cette montée d'adrénaline propre à ceux et celles qui vont vivre un moment intense de bonheur partagé. Un fantasme partagé, préalablement éllaboré dans une ambiance décontractée, conviviale ponctuée d'éclats de rire, parfois rougissants quand à leur idées délirantes, rocambolesques. Ensemble, ils décidèrent de ce qu'allait être cette aventure laissant le flux de leur imagination à de prochains rendez-vous.  Ils étaient là, dans les prémices de ce qu'allait être leur première fantasmagorie commune. D'un simple regard, la belle compris qu'il était temps de franchir le pas,d'avancer, de passer à l'action. Quelques badauds éparses observaient la scène avec ce regard inquisiteur propre à l'attente. La belle commença son avancée dans les bois d'un pas félin, sensuel, un tantinet provocateur. Le loup lui emboita le pas laissant une légère avance à la belle. Celle-ci sentait sa présence rassurante et continuait d'avancer. Sa jupe courte laissait entrevoir le haut de son entre-jambe. Une sensation de liberté l'envahie au fur et à mesure qu'elle s'enfonçait dansles bois, prétant tantôt attention aux racines, tantôt à la canopée.  Rassurée, exitée, elle commença à remonter doucement sa jupe pour découvrir le bas de ses fesses et de son sexe. Elle se sentie submergée par cette vague de sensations à l'idée de s'exhibé de la sorte à la vue d'éventuels voyeurs et notamment de son loup, imaginant le désir qui montait en lui tel la sève des arbres. Avançant toujours d'un pas lent et langoureux, elle fit glissé sa jupe jusque sur son bas ventre, dévoilant ainsi toute son intimité. L'air qui glissait, s'immiscait entre ses cuisses lui donnait le sentiment de triomphé de ses apréhensions, celui-ci apaisait ses craintes premières. Elle emplie ses poumons de cet air vigorant tout en dégrafant son corsage, laissant apparaitre sa poitrine gonflée par l'exitation. S'enfonçant toujours plus loin, le loup, à courte distance la suivait. Il pouvait sentir cette allégresse qui emplissait la belle. Celui-ci avait tout comme la belle avait la certitude que d'autre regards les épiaient. Tapis,avançant doucement, à pas feutrés, à l'écart, des individus suivaient du regard l'avancée du couple.  L'exitation était à son comble. La belle ainsi dénudée, son corps quasi totalement offert aux regards était suivie par son loup dont elle percevait la présence sans jamais se retourné. Ce dernier se mit à presser le pas, se retrouva à sa hauteur, lui effleura les doigts et lui prit la main.Tout à lafois pour la questionné du regard afin de s'assurer que tout allait comme désiré, pour affermir ce sentiment de protection et enfin pour la guider vers un endroit connu de lui seul................  
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Par : le 05/07/23
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.   Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées. Se questionne. Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées sont réalisées à la perfection. Minutieuse elle espère le rendre fière,  Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.   Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,  Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraité, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.   Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyant, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux. N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.   Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention. Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.    - Ouvre les yeux salope.   La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,  Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce, En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.  Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.   - Debout, danse.    Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, balançant ses hanches, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait que grandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées perverses.   Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, la fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.    Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncé d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abats sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes Il glisse sa mains le long de ses fesses, examinant l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevé, allongé sur le canapé, ses trous offert, prête à être utilisée.   Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chochotte à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue. Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souillé.   Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role d'object sexuel, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisée, elle supplie. Le maitre accepte.  Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.  Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.    Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur de ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre. Le rêve devient réalité.
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Par : le 04/07/23
J ai été contactée hier début de soirée sur mon site préférée, ici donc, en me demandant si je pouvais venir tout de suite à la grande motte. J ai pas demandé pourquoi et j ai accepté. A 21h30 devant lidl. Je suis à l heure, je suis encore en talon haut rose, un body résille bien rentré dans le cul,des bas marrons et une démarche de cochonne. J ai du rose à lèvres et je sors comme ça De la voiture à côté sort un couple, la trentaine, genre BCBG. Ils s approchent de moi et me disent: parfait! Et me font monter dans leur véhicule. Ils me disent de mettre une cagoule noir avec juste une ouverture pour la bouche. Et m explique que je sers à motiver une salope, qui veut dépasser ses limites. Arrivés dans un hangar, avec une odeur de renfermé mélangé à de l essence . Il y a un treuil à chaîne qui descend au milieu et une jeune femme brune en bas et talons noir avec une belle poitrine apparente, tête baissée, bras dans le dos. Ils me poussent vers le treuil, et passe un manche à balai dans mon dos, pour ensuite m attacher les poignets, puis les avant-bras à ce bâton. Ils m ont ensuite fait plier les cuisses, bien écartées, et on attaché mes chevilles aux extrémités du bâton. Une position cul cambré, ouvert, efficace. Puis, ils m ont attaché les cuisses qu ils ont accroché au treuil et m ont levé comme ça Ils ont dit à la soumise qui était là : regarde ce qu on attend de toi! Ils ont mi un tabouret sous moi, et dessus, un énorme plug rouge. Ils m ont empalé dessus, après m avoir bien graissé, direct. Dans cette position, je pouvais pas faire grand choses. J ai commencé à gémir, et ils m ont rempli la bouche avec du tissu. Et ça forçait. Ils me claquaient les fesses régulièrement, appuyaient pour faire rentrer, et me stimulaient en disant: tu y es presque ! Allez, lâche prise! J ai relâché tout les muscles, et tel une marionnette, je me suis lâchée, j ai senti que ça allait passer, mais ça allait m éclater. Et, juste après une claque bien placées sur chaque fesses en même temps, c est rentré. Un soulagement. Il était bien en place, jusqu'au bout. Ils m ont ensuite détaché du treuil, et fait marcher, en tortillant des fesses avec le plug toujours planté, et ils s amusaient à me mettre des fessées. Ensuite, ils m ont mi à quatre pattes et ont dit a la soumise de me l enlever. Elle a galéré bien dix bonne minutes avant d y parvenir. C était chaud. Elle a dû ensuite me fister à deux mains. J en pouvais plus, j étais sans résistance, mais c était délicieux. Ils m ont ensuite ramené au parking, et j ai dû souffler une heure avant de pouvoir repartir, la tête et le corps détendu et en apesanteur. A votre service.        
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Par : le 03/07/23
Un Monsieur m a contacté sur ce site, et m a fait venir chez lui, dans son salon. J étais maquiller comme une petite pute, en talon haut rose et bas résille. Il avait préparé tout un tas de jouets. Notemment des jouets pour chiens, gros os en plastique, haltère. Il m a mi un gros os en plastique dans la bouche, m a mi à quatre pattes, et fait cambrer mon cul. Il a commencé direct à me lubrifier en y mettant les doigts avec force. Il rentrait plusieurs doigts une main, puis pareil avec l autre. Il me demande si j aime quand ça force, je lui fais oui de la tête. Il a alors enlevé l os de ma bouche, et introduit à la place un gros gode cours, qu il a attaché derrière ma tête, a l aide d une facette qui passait a la base du gode.Remplie. Ensuite il a commencé à forcer. D abord avec les plus petits jouets, qui déjà étaient énormes. De tant en tant, il me disait: bonne petite chienne ça ! Et il a enchaîné sur du gros, du très gros. Tous n ont pas pû rentrer, malgré son insistance et mon envie Il a même forcé une fois avec le pied. Mais qu en c est rentré, j ai été fendu en deux, et impossible de crier avec ce gros gode dans la gorge qui s enfonçait quand je bougeais ma tête. De tant en tant, des claques sur les fesses, pour attendrir, et c était reparti avec des canettes Perrier, coca, ses poings. Il m a dit ensuite que ça l a bien existé, si je voulais sucer et avaler. Je me suis retrouvé, tjrs dans la même position, avec sa grosse queue au fond de la gorge, et j aspirais. Il m a ensuite lancé : tire-toi salope! Je l ai remercié en lui disant que j étais à sa disposition, comme toujours.
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Par : le 01/07/23
Bonjour à toutes et à tous, je vous souhaite un agréable weekend et de belles rencontres attachantes. Elle m'a contacté par e-mail pour me faire part de son fantasme qui la poursuit jour et nuit depuis qu'elle a découvert le Shibari, le Bondage sur le net. Voir ces Femmes contraintes, encordées, attachées, offertes, dans un lâcher prise qui l'avait impressionné. Voir ces Hommes qui habillent les corps, les esprits de ces Femmes en toutes complicités, sans sexe, sans attouchements, sans violence, dans un esprit de partage, d'offrande de part et d'autre. Le besoin d'apporter des plaisirs partagés, d'offrir la découverte de son corps avec de nouvelles sensations, de nouveau ressenties et de nouveaux plaisirs. Nous avons échangé par mail pendant plus de trois mois. Un rendez-vous autour d'un verre dans un lieu public et cette fois, échanger yeux dans les yeux et s'immerger dans l'esprit de l'autre. Ensuite partager un déjeuner, puis un autre mais cette fois, une fois ce repas terminé, elle me regarde dans les yeux, les baissant et me dit, je suis prête à m'offrir à vos cordes, maintenant, j'ai confiance en vous. Heureux et honorés de sa confiance qu'elle m'offre ainsi, avant de m'offrir son corps et son esprit, nous prenons mon véhicule et nous nous rendons ensemble chez elle. Elle ouvre la porte, m'invite à entrer. Après avoir récupéré ma valise magique où, mes cordes de déplacements sont bien rangées et prête à venir en toute délicatesse sur un corps féminin et ainsi lui offrir l'évasion qu'il recherche dans la contrainte. Elle me demande de me tourner et de ne pas regarder. Je respecte sa demande et me tourne. Après quelques minutes, elle me demande de me retourner et de la regarder dans les yeux. Je me retourne et la vois, sans sa jupe, sans son chemisier, en sous-vêtements trois-pièces, bas et talons hauts. Elle est magnifique ainsi élégante, féminine Femme avec un grand F. Elle me demande de toucher les cordes. Je lui en donne un fagot et la laisse s'imprégner de mes cordes, les passants sur son corps où, la peau est 'nue et lis sur son visage mais également sur son corps, l'émoi qui l'envahit. Je la regarde et lui demande si elle est prête pour vivre enfin ce fantasme qui la ronge. Elle ne sort pas un son mais me dit oui par mouvement de la tête. Ses joues rouges, sa peau frissonnante, une petite chair de poule, elle est prête. Je prends ses bras et les dirige à l'arrière de son dos. Lie ses poignets et commence à passer mes cordes en dessus, en dessous de sa poitrine, passe ma corde entre ses seins, remontent celle-ci pour verrouiller l'ensemble et passent sur le dessus de ses épaules, sa nuque, rendent ce Shibari du buste artistique et contraignant à souhait. Je viens devant elle, l'observe, lui demande si elle va bien, si cela lui plaît, si elle aime les sensations, les ressenties qui commencent à envahir son corps de Femme mais également son esprit de Femme, doux mélange d'indépendance et de soumission. Elle me répond avec un sourire aux lèvres et des yeux qui brillent qu'elle aime beaucoup ce qu'elle ressent. Je lui demande si elle veut que je continue et ainsi la contraindre encore plus sur la totalité de son corps, de son âme Elle me répond d'un oui qui sort du cœur sans aucun doute. Je prends donc des cordes dans ma valise à malice et commence la contrainte des hanches, des jambes. Je prends ma corde et commence par prendre ses hanches dans ma corde pour un appui de départ. Commence par lier ses cuisses sur trois niveaux pour lui permettre de bien ressentir l'emprise de ma corde sur elle. Verrouillent mes tours par des passages complexes pour ne pas faire de nœud. Je continue mon encodage par ses mollets, également trois passages pour une contrainte, un encodage des plus esthétiques, artistique mais également bien contraignant pour elle et ainsi prendre conscience qu'elle s'est offerte à ses fantasmes, ces envies de soumissions, appartenir à un Homme, à ses cordes sans pour cela lui appartenir physiquement. J'arrive sur ce qui est ma zone préférée chez une Femme, ses chevilles car, c'est la partie du corps d'une Femme que j'aime lier. La fragilité, la finesse, la beauté d'une cheville de Femme, mise en valeur par des cordes, je ne connais rien de plus beau. La voilà bien encordée, prisonnière de ses envies de soumission. Elle est magnifique dans cette tenue légère où, la beauté de la Femme est mise en lumière par mes cordes et les contraintes provoquées par celles-ci. Je viens à côté d'elle et lui demande si elle est bien ainsi encordée ? Un sourire sur son visage avec un zeste de joues rouges qui montre qu'elle est un peu gênée de montrer, de me montrer par diverses manifestations comportementales et de son corps qui s'exprime, les plaisirs qu'elle ressent. Je lui conseille pour accentuer ces plaisirs, de bouger comme si elle voulait se libérer et ainsi constater, comprendre que cela est impossible et qu'elle est à moi, offerte. Elle réalise que de tenter de se libérer lui provoquent des plaisirs plus forts car son subconscient prend conscience de la fragilité de cet instant, de la détresse fantasmée qu'elle ressent à cet instant. Je la laisse un instant profiter de ces nouvelles sensations, ressenties, plaisirs et reviens vers elle pour lui proposer l'extrême plaisir, un bandeau sur les yeux, un bâillon. De ces contraintes supplémentaires accentuent déjà les plaisirs qu'elle a à cet instant. Elle hésite, réfléchie, je reconnais que le bâillon peut être impressionnant mais, il offre-t'en de ressentis forts et puissants combinés avec les cordes et le bandeau qu'il serait bête de passer à côté de cette expérience. Elle accepte mais si je peux lui bâillonner la bouche pour commencer et ensuite, lui poser le bandeau. Bien sûr toujours prêt à rendre service et d'offrir à ces dames plaisirs intenses et découverte de leurs véritables personnalités, j'accepte. Je prends le bâillon avec cette sangle en cuir noir et cette boule rouge qui va se marier à merveille avec ces lèvres rouges. Je lui demande d'ouvrir la bouche, elle l'ouvre doucement avec timidité et une légère angoisse. J'insère la boule entre ses lèvres, passe derrière elle, verrouillé la sangle. La voilà encordée, contrainte, offerte, bâillonnée, elle est superbement féminine ainsi, le bâillon et magnifique entre ses lèvres et artistiquement la rend si belle, si Femme. Il est temps de couvrir ces magnifiques yeux verts, j'avance mais elle a un léger geste de recul. Je la rassure, lui parle doucement à l'oreille et la met en confiance. La voilà entièrement à moi, entièrement à ses fantasmes, ses envies d'être soumise à un Homme, à ce Dominateur, ce Maître qui l'a rendue esclave de ses désirs d'être ainsi entièrement contrainte et dans l'obligation d'attendre le bon plaisir de celle-ci pour être libérée même, si dans sa main, un vieux jeu de clés que j'utilise spécialement pour cela. Il lui suffit de le faire tomber sur le sol et je sais qu'il y a quelque chose qui ne va pas, la sécurité est essentiel tout comme la confiance, le partage, la complicité. Je la laisse avec elle et se ressentit, ses sensations, ses plaisirs et l'admire ainsi Femme offerte, quoi de plus beau ? Avec la pulpe de mes doigts, je vérifie les cordes, sa peau, si elle va bien. Je constat que la pointe de ses seins qui pointent, sa peau qui frissonne, ses cuisses qui cherchent à se resserrer comme quand une Femme ressent des envies inavouables devant un Homme qui lui plaît. Bien sûr elle ne peut bouger ses cuisses et à ce moment, je sais que l'inquiétude l'envahit et qu'elle s'inquiète que je constate le plaisir qui envahit la totalité de son corps et qui se manifeste par une légère humidité sur le tissu de sa petite culotte. Je la libère et vois, lit, sur son visage les plaisirs intenses qu'elle a découvert. Lui enlève le bâillon, lui offre un verre d'eau, retire la goutte qui ruisselle le long de son cou et qui conduit mon pousse à la 'naissance de ses seins ce qui, provoque chez elle un gémissement qui en dit long sur son état d'excitation. Je lis sur son visage une légère gêne d'avoir réagi ainsi, trahissant sont états d'excitation forte, je suis heureux de lui avoir offert autant de plaisirs. Une fois libre de mes cordes, de mes contraintes, nous nous retrouvons tous deux sur le canapé et échangions sur ses ressenties, ses plaisirs, ses étonnements. Au bout d'un moment d'échange très intéressent et agréable, elle me demande de la contraindre à 'nouveau mais cette fois, sur le ventre, les jambes relevées et très fortement contraintes vers la nuque pour ne pouvoir bouger et à 'nouveau ressentir cette overdose de plaisirs intenses et pour la premier fois de sa vie intime de Femme, découvrir le lâcher prise. Je suis fière et heureux d'avoir eu l'honneur de sa confiance, de lui avoir permis de découvrir les plaisirs intenses et profonds, qui envahissent tout son corps , son esprit et son âme de Femme soumise, révélée aujourd'hui. J'espère que ce récit vous à plus et que sous une forme ou une autre, vous vous êtes identifié dans ces plaisirs attachant que sont le Shibari, le Bondage, ma Passion qui est plus forte que le sexe car, il marie l'art et l'offrande, la complicité et la confiance, la beauté de la Femme et la révélation de sa soumission. Bien à vous Passions
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Par : le 29/06/23
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne. Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées. Se questionne. Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées est réalisées à la perfection. Minutieuse elle espère le rendre fière,  Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire. Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,  Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraiter, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur. Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyants, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux. N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements. Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention. Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.  - Ouvre les yeux salope. La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,  Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce, En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.  Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer. - Debout, danse.  Ce qu'elle fit, une danse sensuelle,  dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait qu'agrandir l'excitation du Maitre,  une source d'inspiration pour ces idées sadiques.  Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, l'a fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie. Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncer d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abattent sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes Il glisse sa mains le long de ses fesses, examine l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevés, allongée sur le canapé, ses trous offerts, prête à être utilisée. Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chuchote à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n'est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue. Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souiller. Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role de femme, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisé, elle supplie. Le maitre accepte.  Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.  Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.  Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur des ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre. Le rêve devient réalité.
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Par : le 21/06/23
Parlons dévotion,  " Un pied dans les flammes, un autre dans la glace, séduit par les extrêmes j ai trouvé ma place " Lomepal  Ce chanteur fabuleux mets en avant l'équilibre de deux facettes opposées d'une personnalité ou nous pouvons toutes et tous nous identifier, qui creer la complexité de nos desirs et de nombreux paradoxes, comme celui, pour mesdames les soumises, de devenir une femme à travers l infantilisation, une femme responsable, qui prend soin de son Mari, de ces enfants, de son habitat, de son travaille, une femme organisée, disciplinée, serviable et douce, sans oublier bien-sûr très chienne prête à ouvrir sa bouche et ces cuisses pour lacher l'éxcitation de satisfaire son homme, loin des exemples féminins de la femme indépendante, et pourtant, la femme indépendante que fait elle dans son quotidien ? Une vrai pieuvre multifonction n'est ce pas ? La seule différence, c'est la dévotion, la femme soumise ne réalise pas toutes ces taches que pour elle même, mais aussi pour l'homme qu'elle admir, au delà de son satut, qu'elle vénère et qu'elle aime, une passion envahissante qui l'à fait aimer être punie, être fessée, se faire humilier, recadrer, une dépendance qui l'à fait mettre à genoux aux pieds de son Maitre qui fait reigner son autorité à travers la douceur, son sadisme à travers l'empathie, le dépassement des limites à travers l'analyse. Le fondement des relations bdsm, basés sur deux mentalités contraires pour arriver au même but, une mentalité archaïque dans un monde moderne, le quotidien d'une femme d'affaire à travers la dépendance, le dévouement, et l'infantilisation. Il faut reussir à trouver sa place et son équilibre malgré le faite d'aimer jouer à la balançoire dans ce monde paradoxal. Prochain article davantage érotique, cet article est surtout fait pour présenter ma façon de penser, et qui peut aider aux jeunes novices d'avoir un point de vu sur le fonctionnement de ces relations.  Bisous ;) 
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Par : le 31/05/23
Depuis très jeune, j ai aimé. J ai donc connu des expériences de toutes sortes... Il y a qq temps sur ce site,j ai été contacté par un homme âgé, qui m a demandé de venir devant la porte de son garage , un début de soirée, en talons haut et cagoule pleine, ouverte juste pour la bouche. Je me suis présenté à l heure, avec les bras croisés dans le dos. Il m'a ouvert, et m'a lancé : rentre chienne, et mets toi à genoux! J exécute. Il me lance: je veux tjrs voir ta langue tendue! Il me dis :je filme, ça te dérange pas? C est un voisin qui regarde, pour voir si ça vaut le coût qu il vienne. Il me fout ça grosse queue au fond de la gorge, que j'avale sans hoqueter, le plus longtemps possible.. Je sens claquer ça ceinture sur mon cul, et tout de suite après, une vive brûlure..et c 'est partie pour une série qu'il me demande de compter, la bouche pleine Ensuite,  il m'appui avec ça main, puis son pied pour mettre ma tête contre le sol, et me dit de pas bouger. J' entends visser d un côté de ma tête, puis de l autres, et sent une sangle qui joint les deux, m immobilisant ccomplètement, le cul en l'air. Puis deux sirflex autour de mes bras joints dans le dos. Il m' a écarté les cuisses, et iimmobilisé de la même manière mes chevilles. Il a ensuite dit: voilà, elle est prête la petite chienne ! J ai quelques trucs qui devraient bien t' ouvrir pour commencer! Il m'a lubrifié abondement, et commencé à entrer ces doigts, et d'autres choses qui forçaient de plus en plus. Il m'a rempli la bouche avec un torchon qu'il a maintenu avec une cordelette autour de ma tête , et mi un petit coussin dessous. Je me sentais bien car je sentais un contrôle étudié Son voisin est arrivé, et il lui a dit : à toi l'honneur! Il s'en ai suivi une séance longue et puissante, de poings qui rentraient, sortaient, l' un, puis l'autre. Ils m' ont ensuite détaché et mi dehors, comme ça, et il m'a lancé : Merci, t'es une bonne salope, je vais te recommander au club... Voilà, je suis parti comme ça. En souhaitant que cette aventure vous a plus              
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Par : le 28/05/23
Au fil des mois, sous la coupe de Mon Maître, je devins la parfaite esclave sexuelle pour lui et ses relations mais également une véritable petite pute. Le dressage avait si bien fonctionné que même en son absence, mon esprit était entièrement tourné vers l'asservissement. Durant la période lycée, je passais mes heures de libres dans un parc public. J'avais repéré un banc sur une artère empruntée par des joggers. Je m'y asseillais et dès qu'un homme arrivait, je me redressais, écartait les jambes, posais les mains sur les genoux paumes vers le haut. La tête baissée et bouche légèrement ouverte complaitait le tableau. Quelques fois l'homme s'arraitait de courir pour s'asseoir à mon côté. Tu m'as l'air d'être une bonne salope soumise toi ! Oui monsieur j'en suis une. La plupart fourageaenit vite dans mon survêtement et me tripotaient la queue . Tu es maquée ? Oui monsieur j'appartiens à Maître Marc. Combien la pipe ? 50 Frans Monsieur, 100 francs par le cul. Derrière le banc un gros bosquet nous accueillait pour une fellation ou une sodomie. Bien sûr sans capote. Comme j'étais très ouverte, seules les grosses queues arrivaient à me faire jouir. penser à Maître me comblait, il m'arrivait certains jours à vider une dizaine de types. Avec le recul, je reconnais que j'ai eu énormément de chance de ne pas attraper une saloperie ou de tomber sur un brutal mais j'aimais énormément cela et ne pouvais plus m'en passer. Cette période bénie pris fin peu après mes 18 ans avec la convocation pour les trois jours pour effectuer le service militaire obligatoire....
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Par : le 08/05/23
Je fixe autour de mon cou le lourd collier que mon Maître m'a donné et qu’il veut me voir porter. Impossible de l’oublier,  il pèse sur mes clavicules.  J’essaie de voir l’effet dans un miroir. Il est en acier, très épais. La boucle sur le devant me semble énorme.  Il est très beau. J’aimerais à cet instant le sentir plus enveloppant encore. Moins flottant. Dehors, je sens le regard des hommes qui cherchent le mien comme une confirmation et celui des femmes qui m’évite et désapprouve cette condition que j’affiche. Je suis assez mal à l’aise.  Je n’ai aucune gêne à discuter avec les gens de ce que je pense,  de la façon dont je me sens naturellement soumise auprès d’un homme. Mais le mettre en évidence de cette manière, en manifeste, c’est comme une effronterie, presque une agression de l’autre qui ne m’a rien demandé et ne veut rien savoir de mon intimité.  Je ressens cela souvent face à une femme voilée ou un barbu et ce parallèle de mon cerveau me trouble. Dans le même temps,  je suis fière de cette marque d’appartenance qui m'attache à mon Maître, même éloigné. Et lorsqu’il m’attire tout contre lui en glissant le doigt dans la boucle à mon arrivée, je sens les prémices du plaisir s’installer au creux de mon ventre. Je subis sa petite inspection, routinière maintenant, dans le hall du Donjon. J’aime sentir son corps appuyé de tout son poids sur le mien collé au mur. Je suis heureuse de le respirer. Je suis heureuse lorsqu’il m’offre son intimité à goûter. Je suis heureuse lorsqu’il imprime son corps dans le mien et que je sens mon collier tinter et claquer sur ma peau, ce rappel de ce que je suis pour lui. Sa petite chienne dressée ( ou en cours de dressage. J’ai envie qu’il m’attache et me contraigne aujourd’hui. J’ai besoin de vivre cela pour mon Maître,  avec mon Maître.  Je ne l’exprime pas et pourtant je l’entends derrière moi faire glisser la corde dans le creux de sa main. Connexion ? Je suis assise et c’est bien.  Je pourrai alors maintenir ma tension artérielle stable. Je suis plus excitée qu'anxieuse à ce moment-là. Je veux réussir.  J'y ai pensé toute la semaine.  J’ai inlassablement répété la scène dans ma tête et anticipé mes réactions. Et puis j'adore le souffle de mon Maître sur ma nuque, ses lèvres sur ma tempe et sa joue contre la mienne après chaque tour de corde qui laisse aussi l’empreinte de ses doigts sur mon buste, sur mon ventre,  entre mes jambes… Jamais je ne me suis sentie plus à lui  livrée ainsi. Nous avons remporté une petite victoire aujourd’hui...
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Par : le 06/04/23
Pendant que je suspendais les manteaux sur des cintres, les invités de mon Maître prenaient place dans le salon. La femme s'assit dans un fauteuil, mon Maître dans l'autre et les deux hommes dans le canapé de l'autre côté d la table de salon. La jeune fille elle s'assit par terre, à côté de la cinquantenaire. Je remarquais alors qu'elle portait un large collier d'acier muni q'un gros anneaux et que ses poignets en portaient d'identiques. très jolie, elle avait les cheveux presque raz. Quand sur ordre de sa Maîtresse elle se déshabilla, on découvrit un corps très mince, des seins menus dont les tétons étaient percés de beaux bijoux bien travaillés. Son corps juvénile portait de nombreuses traces, certaines à peine rosées, d'autres bien plus marquées, violacées, qui expliquaient les larges cernes de ses yeux. Cambrée pour s'offrir aux regards, elle rayonnait. Son pubis parfaitement lisse était tatoué d'un complexe entrelassement d'initiales KR signifiant qu'elle était la propriété de la femme. Mon Maître claqua des doigts et d'un index tournoyant me fit comprendre que je devais servir. j'effectuais le service en me positionnant à droite de la personne que je servais. Leurs mains me palpaient, me griffaient ou m'éffleuraient. La Dominatrice elle me prit un téton entre ses doigts et me le tordit jusqu'à ce que je gémisse de douleur et que les larmes me remplissent les yeux. Maitre m'avait bien recommandé de ne jamais parler ou emettre un cir. Les coupes remplies, je vint prendre ma place aux pieds de mon Maître. Leur attention se concentrait sur la jeune fille exposée. Sa Maitresse se faisait un plaisir de raconter leur rencontre, comment d'une simple relation homosexuelle c'était devenue une relation ou la Dominatrice prit peu à peu le contrôle totalde son amante jusqu'à en faire une véritable esclave sexuelle. Que ce soit pour son plaisir mais également le plaisir d'autres personnes, hommes ou femmes selon son humeur. La jeune fille prenait les poses que sa Maitresse lui ordonnait. Elle exhibait chatte ou cul, s'écartant à deux mains, ouvrant une bouche capable d'accueillir des membres de taille très respectable tout comme son cul qui visiblement servait souvent. Prendre des positions dignes d'une pute semblait lui plaire vu la mouille qui coulait de sa vulve. l'un des hommes, Didier, était déjà bien excité et mon Maitre donnant son accord, me donna sa queue à sucer. Je m'appliquais comme Maître l'aimait. Malgré la taille, je l'avalais entièrement . j'avais quelques hauts le coeur quand elle passait la luette mais j'arrivais maintenant à parfaitement me retenir. L'homme poussait des soupirs de satisfaction et m'appuyait sur la tête, me la bloquant quand il voulait que mes lèvres soient collées à son pubis. Je ne voyais pas ce qu'il se passait derrière moi mais les commentaires m'indiquaient que la Soumise était explorée dans tous ses trous, poussant de petits gémissements de plaisir. Le spectacle devait être excitant car Didier éjacula rapidement tout au fond de ma gorge. J'avalais la totalité avec gourmandise puis je nettoyais sa queue très doucement. Maitre m'ordonna de me coucher sur le dos, la tête sous le ventre de la jeune fille. En me retournant pour me positionner, je vis que celle ci, à genoux avait les mains dans le dos et qu'elle sucait mon Maître. Sa Maitresse elle, avait la main enfoncée dans son anus la faisant gicler copieusement à chaque fois que la main s'enfoncait profondément. Je m'allongais sur le sol complètement trempé de cyprine. les orgasmes de la Soumise s'enchainaient. Rapidement j'eu le visage et le torse trempé, ça giclait sans interruption, même quand la main de la Dominatrice fut remplacée par une bite conséquente de l'autre homme et la pilonnait de toute ses forces. Maître savait s'entourer uniquement de Mâles ayant de grosses queues. Affalée dans le fauteuil, la brune fit venir son esclave entre ses cuisses. Celle ci fut immédiatement en place et se mit à déguster puis dévorer la vulve de sa Maitresse qui me demanda de nettoyer sa soumise de tout le sperme et la mouille qui coulait de son ventre et de ses fesses. J'aspirais le foutre de son anus boursouflé et béant y enfoncait la langue aussi loin que possible, elle était délicieuse, jusqu'o ce que la femme assouvie ne l'attache par le collier à l'un des radiateurs, me laissant seul faire le service.....
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