Déplacer pour recadrer votre photo

#

Trans switch. 48 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 03/04/15
Badine câline Les hanches en cadence Caresse les fesses Déclenche l’ivresse Et coule en silence Cyprine saline Cravache qui dessine Puis tombe un coup vif Zèbrant et fouettant A corps consentant S’enfonce une griffe Et courbe l’échine Douceur Opaline Un doigt qui s’avance Déflore une rose Qui déjà éclose S’épanouit, indécence Au creux de collines
86 vues 7 aime
Par : le 31/03/15
J'aime y venir Y revenir Vous sentir Vous appartenir Résister M'abandonner Me soumettre A Mon Maître J'aime m'offrir M'épanouir Subir Jouir Me laisser aller Vivre l'intensité Avec sincérité Puis espérer Le 31 mars 2015 8h10
240 vues 5 aime
Par : le 28/03/15
C’est une zone « grise » dans la relation Maître/esclave. Pour certains l’obéissance est aveugle. Pour moi elle est sans ambiguités, elle est bien comprise lorsque l’esclave obéit au propriétaire, cependant il y a toujours des exceptions à la règle. Lorsqu’un esclave accepte d’appartenir à un propriétaire, les limitations et limites de l’esclave doivent être clairement identifiées de telle manière qu’aucune question ne soit dans l’ombre. Une fois que le propriétaire a acquiescé aux termes du contrat, Maître et esclave doivent avoir une compréhension claire de ce qui est attendu. Si l’esclave est si aveugle qu’il signe un contrat qui établit simplement : - l’esclave n’a pas le droit de questionner le propriétaire - l’esclave ne possède rien, et tout ce qu’il possédait auparavant appartient désormais au propriétaire - tout argent gagné par l’esclave appartient à son propriétaire - l’esclave doit suivre toutes les règles établies par son propriétaire sans questions - l’esclave accepte toutes punitions décidées par le propriétaire - l’esclave ne peut rompre le contrat pour quelque raison que ce soit, mais le propriétaire se réserve le droit de dissoudre celui-ci sans raisons ni explications. Il se trouve alors malheureusement dans une situation précaire. L’obéissance n’est plus un point, elle est absolue. Il n’est fait nulle part mention de limites. Aucune place à la négociation, et la flexibilité. S’il souffre de claustrophobie rien dans le contrat ci-dessus n’indique que les parties sont d’accord pour en tenir compte. Le contrat est la première référence pour l’obéissance. La seconde va être les règles établies par le propriétaire. Toutes les règles devront être écrites. Il n’y a pas de question sur le sens ou l’existence de la règle si elles sont écrites noir sur blanc. Toutes les questions doivent être posées par l’eslave lorsque la règle lui est présentée pour que le propriétaire puisse reformuler ou clarifier la règle, et la représenter pour signature. La troisième référence pour l’obéissance, c’est les instructions du propriétaire. Quand un propriétaire donne une instruction, il s’attend à ce que ses instructions soient suivies jusqu’à ce qu’une autre instruction prenne effet. Si le propriétaire établit qu’il doit être réveillé à 6 heures du matin, l’esclave doit considérer qu’il s’agit d’un ordre permanent, et l’appliquer jusqu’à ce que le propriétaire change la directive. La quatrième référence c’est l’observation. Un esclave doit observer son propriétaire, et en tirer des règles générales de comportement ou de modes de comportements. Si le propriétaire met toujours tant de quantité de thé dans sa tasse, et ne prend jamais rien d’autre que du Lipton, l’esclave ne doit pas soudainement lui servir du Earl Grey avec du miel, ce qui serait de la désobéissance. Si un propriétaire a une préférence, l’esclave doit observer la préférence jusqu’à ce qu’on lui dise de faire autrement ou demander avant de faire tout changement. L’obéissance ce n’est pas simplement suivre des instructions, c’est apprendre à connaître le propriétaire, savoir ce qui est attendu de l’esclave, et faire au mieux de ses capacités. Un esclave n’a pas d’excuses ! Pas d’excuse pour la désobéissance, il doit avoir une raison valide, mais il n’a jamais une bonne excuse. Une excuse est quelque chose auquel l’esclave pense après avoir désobéi. Une raison c’est ce que l’esclave utilise pour clarifier pourquoi il a désobéi. Exemple : le propriétaire demande à l’esclave de nettoyer le sol pendant qu’il travaille et la tâche n’est pas faite. Une excuse pourrait être : « j’avais tant d’autres choses à faire…. », une raison valide pourrait être : « il n’y avait plus de liquide de nettoyage pour faire les sols, et comme vous étiez parti avec la voiture je n’ai pas pu en faire plus… » L’obéissance est quelque chose que chacun attend mais que peu comprennent vraiment. Il y a beaucoup de niveaux d’obéissance, et chacun d’eux doit être observé parfaitement. L’obéissance légale : les lois publiques doivent être observées en tous temps. Ne demandez pas à un esclave d’agir contre les lois. L’obéissance morale : Chaque individu a un code moral qu’il observe, et code est à la base de son existence. Si un esclave sent que l’homosexualité est moralement mauvaise, alors un propriétaire qui demanderait à l’esclave un comportement contre sa morale aurait tort. L’obéissance religieuse : Si un individu a des convictions religieuses qui interdisent certains comportements, ceux-ci doivent être respectés par le propriétaire. L’obéissance de l’esclave : Un esclave a un niveau naturel d’obéissance, la plupart font tout ce qui est en leur pouvoir pour réussir les tâches au mieux, c’est cette forme d’obéissance qui leur donne le droit de faire un compromis avec toutes les autres formes d’obéissance. Au propriétaire de s’assurer que si l’obéissance est l’action préférée de l’esclave qu’aucun ordre ou requête ne va à l’encontre des aspects légaux, moraux, ou religieux de l’esclave. N’oublions pas la sécurité. Aucun ordre ne meut mettre en danger la santé, tant physique que mentale de l’esclave. Tout ordre qui viendrait à compromettre la sécurité et le bienêtre de l’esclave doit être sérieusement pris en considération avant d’obéir. Un vrai propriétaire ne voudra jamais causer de torts volontairement à son esclave, ni le blesser. IL EST CONSEILLE, VOIR OBLIGATOIRE, DE REDIGER UN CONTRAT DE REGLES DE VIE, D’OBEISSANCE AFIN DE NE PAS METTRE EN DANGER MORAL ET PHYSIQUE L’ESCLAVE ET DE SATISFAIRE LES DEUX PARTIE
1.3000 vues 1 like
Par : le 27/03/15
Dans le noir, aveuglée Elle cherche une entrée Une lumière, une étincelle Quelque chose l'interpelle Errante dans cet espace Elle ne sait où est sa place Elle prend patience Et garde confiance Dans son esprit, exploitant Qui se veux combattant Elle attend son sort Soit stop où encore Le 25 mars 2015
162 vues 6 aime
Par : le 24/03/15
Il fut, l'atroce crime, et trop longtemps légal ; Il est toujours, hélas, bien qu'enfin abhorré. Je le sais, mon ami, il t'en a fait du mal, Ce criminel, ce Maître, et ta vie s'effondrait. Tu rêvais d'être libre, à genoux dans la terre, Les yeux baissés de peur, en travaillant pour lui, Et moi, de mon côté, rêvant de le refaire, Cet indigent destin, je veux boire son fruit... Mais c'est trop long à dire, et comment le comprendre Qu'un autre aime sa vie, quand on veut nous la rendre ? Je le jure, crois-moi, je pleure ton malheur ; Je me prétend esclave, et je le crois parfois, Mais dure fut ta vie, bien plus dur ton labeur, Et rien n'est comparable entre ta vie et moi. Je ne veux t'insulter quand je veux me soumettre : Je veux ta liberté, je la veux fermement. Ça semble un paradoxe, et tout est là peut-être : Ton Maître est un bourreau, le mien est un amant.
144 vues 1 like
Par : le 19/03/15
Leçon 2 - Savoir dire "Stop!" L'impatience peut parfois jouer des tours. La Belle se jouait de son Maitre sans savoir ses propres limites, me testant parfois à l'excès en vue que je m'occupe d'elle. Le weekend vit. Elle préparait le repas et discrètement, j'organisai le reste de la soirée. Le repas se passa et la soirée s'écoulait. La tranquillité s'installa et je la fit aller se laver avant que nous allions nous coucher. Je lui notifia qu'ensuite elle me prévienne dés qu'elle serait prête. L'eau coula un long moment avant que le silence total envahisse la maison. Surement proportionnellement aux nombres de questions qui pouvait la submerger. J'arriva alors à la salle de bain avec son collier. Elle Baissa aussitôt fièrement sa tête. J'y demanda de me tenir un instant le bandeau pour y poser le collier. Elle me regarda avec une incroyable quantité de sentiments. J ôtai la vue avant de voir le stress envahir totalement ce regard. La fit tournée doucement et l'extirpa ainsi de la salle de bain. Elle perdait ainsi certains repaires, même si le lieu était bien connu. Je callais enfin son dos contre moi. Attrapant d'une main des glaçons, je la maintenais de l'autre Je les fit fondre sur sa peau. Sa peau et son corps commença à se crisper. Ce n'était que le début. L'eau ruisselai sur ces courbes. D'autres bout de glace vinrent durcir ces tétons, Même si la maison disposait d'une température agréable, je senti son corps en train de flamber. La poitrine bien dresser, je repris encore des glaçons que j'appliquai sur son intimités. La, le corps se tendit davantage Une brulure froide envahissait le départ d'incendie. Mon souffle sur sa nuque se rapprochait de son oreille pour lui murmurer que nous y allons. D'un pas ou je la sentais pas des plus rassuré, pourtant pressé par la brulure des glaçons, je la dirigea ainsi jusqu'a la chambre ou je la fis s'allonger Une fois les coussins correctement disposé dessous, les cordent glissèrent sur ses poignées. Les chevilles firent fixer et les jambes dans la foulée. Son intimité offerte avait déjà pris feu et ruisselait doucement! Je lui demanda de me graduer chacune des sensations. Elle m'acquiesçât de la tête indiquant ainsi qu'elle comprenait bien. Je vérifia doucement la température, tout pouvait commencer. Le gode en verre récemment sorti du congélateur était lui aussi à température Je vis une chair de poule se propager sur elle alors que le verre disparaissait doucement entre ses fesses! Une fois en place, j'attendis un cour instant que son corps soit entièrement troublé. Le silence dura. Je sentais des interrogations qui l'envahissait. Un plaisir personnel s'installait. Alors que la fournaise s'accentuait, la fonte accroissait le cour d eau. Le silence se vit troublé par une vibration de l'air. Je déposai le Magic sur cet vulve en feu. Alors que je le fixer, je voyais des explosions qui la faisait légèrement convulser! J'interrogeai sur la graduation qui ne semblait pas avoir encore bougé. Tout les voyants commençaient pourtant à s affolaient Un instant de courte réflexion la parcourra avant qu'elle ne m'annonce avec un soupir un 8 sur 10! Mon sourire se satisfaisant, j'y annonçai la poursuite! Je prix un des plus gros gode qui pris alors place de celui de verre Il se faufilait plus difficilement mais s enfonça! Avant qu'il ne fut engloutit, je profita pour me lever Lui demandant d'ouvrir sa bouche, je lui enfonçai maintenant mon membre qui pointait depuis le début vers les étoiles! La bouche subissait alors un enfoncement complet du sexe! Et pendant que je me jouais de sa bouche, je repris le gode en main pour le faire aller et venir lui aussi à son tour Un ensemble de mouvement troublant ce corps pris au pièges des cordes. La température s'accentuer chaque minutes Ne comptant plus le temps ou elle subissait tout cela... Ma jouissance monta au fur et à mesure que sa bouche se crisper sans jamais serrer de trop mais je la priva avant tout de cela. Cet frustration de ne rien recevoir l'excita encore plus. Je me concentrai alors davantage sur des va et vient pour le coup de plus en plus intense avec le gode. Son corps se crispait encore plus qu'il ne pouvait l être. Et, je l a senti ainsi partir bien loin !!!!!! Et pourtant rien n'y faisait. Aucune graduation n'arriva. Les soupirs se cumulant!!! Que dire du torrent qui apparaissait! Après une longue stimulation, elle finit par me confirmer un " 12!!!" dans un long soupirs avant de poursuivre dans un râle à peine perceptible " Stoppes!" Son corps totalement crispé, ses muscles tétanisés! Je laissai finir doucement le plaisir et attendant que celui ci retombe. Je cessais également la vibration et seul ses soupirs raisonnaient!!! Je détachai et fis glisser les cordes pour la libérer Rendant également la vue, je la tira contre moi. On resta longtemps l'un contre l'autre, de finesse sur sa peau, on partagea ce ressenti. Après lui avoir expliquait que si dans le plaisir, elle ne pouvait pas cesser une scéance avec de la douleur. Je lui ordonnai maintenant de définir ses limites. On pourra alors commencer des séances.
338 vues 8 aime
Par : le 14/03/15
LA RÉSURRECTION C'est arrivé parfois, Autre vie, autres lois, Elles ont pu paraitre tentantes, Mais pourtant, à genoux, Quand ta gorge se noue, Ta soumission est déjà présente. C'est ainsi que le Maître t'aime, Là est le problème. Juste penser à lui, Ce de jour ou de nuit, Ravivait déjà toute ta peur. Il a pris, assouvi, En otage ta vie Pour le pire et souvent le meilleur. Toujours ce souvenir vivra, Le désir perça. Et quand le Maître rentrera, Tu aimeras ça. Du nerf ! Du nerf ! Car ses règles se relâchèrent, Tout ce temps, bien trop pour que tout cela dure. L'urgence ! Attrape Le temps qui maintenant t'échappe. C'est trop tard ! Tu le paieras en nature. Nettoie ! Savonne ! Tu es redevenue sa bonne, Son esclave, un réceptacle à ses sermons. Relis sa lettre : C'est enfin le retour du Maître ! Dès ce soir, tu recracheras tes poumons Sous la torture ! Vérifie bien les coins, Car de près ou de loin, Ta punition fera des envieux. La plus petite erreur Crée cette terreur Si bonne à lire au fond de tes yeux. C'est ainsi que le Maître t'aime, Là est le problème. Tu te souviens, je sais, Que n'a jamais cessé Le supplice au sein de son sillage. Délicieuse souffrance, On la sent, on la pense, Corps et esprit dans la même cage. Toujours ce souvenir vivra, Le désir perça. Et quand le Maître rentrera, Tu aimeras ça. Du nerf ! Du nerf ! Car ses règles se relâchèrent, Tout ce temps, bien trop pour que tout cela dure. Aie peur. Aie peur ! Car peu à peu arrive l'heure ! Si tu pries, tu perds, ma pauvre créature. Encore un peu ! Et aucun discours sirupeux ! Ta parole est pour lui un piètre bastion. Relis sa lettre : C'est enfin le retour du Maître ! Dès ce soir, tu recracheras tes poumons Sous la torture ! Tu es perdue, Tu t'es vendue, Et maintenant Vient ton tourment. C'est sans espoir : L'échappatoire Est une ruse. Cela l'amuse. Humiliation, Persécution, C'est revenu : C'est bienvenu. Flagellation, Supplication, C'est la résurrection De tes passions. Du nerf ! Du nerf ! Car ses règles se relâchèrent, Tout ce temps, bien trop pour que tout cela dure. Bientôt ! Bientôt ! Et ce sera bien sûr trop tôt ! Tôt ou tard, il le fallait, je te rassure. Enfin ! Enfin ! Tu le sens déjà, ce parfum, C'est celui de la panique à son amont ! Relis sa lettre : C'est enfin le retour du Maître ! Dès ce soir, tu recracheras tes poumons Sous la torture !
170 vues 2 aime
Par : le 11/03/15
La nouvelle suivante (ou plutôt les deux nouvelles suivantes) sont en cours de travail. Elles n'ont pas pour but de fantasmer, mais de tenter de faire une présentation romancée du BDSM, et pour cette raison sont soft. Je les propose ici pour recevoir des conseils à lur sujet pour mieux les finaliser et donner la meilleure image possible du BDSM. Théoriquement, elles sont sous licence Creative Commons BY-NC-SA : en gros, si elles vous plaisent, vous pouvez les partager sur votre blog, si ce n'est pas dans un but lucratif, et si vous me faites une petite publicité au passage en citant au moins le nom de l'auteur. Toutefois, si elles vous plaisent et que vous voulez les partager, je vous conseille d'attendre d'éventuelles améliorations avant de le faire. Voici donc les nouvelles, en espérant qu'elles vous plaisent. Dialogue avec un Ange Suivi de Dialogue avec un Dieu La caisse bipait, article après article. J'attendais un peu en retrait que mon interlocuteur range ses courses dans ses deux sacs, le regardait faire son travail avec efficacité. Quand il en eut terminé, il paya par carte bancaire, remercia poliment la caissière, et se retourna vers moi, en soulevant un sac de chaque main. Je ne pus m'empêcher de jeter un autre coup d'oeil au collier de cuir encerclant son cou. Quand il parvint à ma hauteur, je lui emboitais le pas, et repris la conversation. - Et vous n'avez pas peur d'en mourir ? - Pourquoi aurais-je peur d'en mourir ? - Vous m'avez bien dit que votre Maître a tous les droits sur vous. Il a donc le droit de vous tuer, non ? L'esclave esquissa un léger sourire et me répondit. - En fait, je me suis trompé tout à l'heure, quand je vous ait dit cela. Mon Maître a en effet tous les droits sur moi, mais en échange d'une condition : il doit veiller à mon bonheur et à mon épanouissement dans l'esclavage. Ce qui inclut le fait de me garder en vie et en bonne santé. Et mon Maître consent volontiers à cette restriction, par amour pour moi. - Et en échange de cette condition, vous lui offrez donc une soumission et une obéissance totales ? - Totales... Ou non. Presque totales. Si le Maître me donne un ordre irréfléchi, et que je sais pertinemment qu'il regrettera de me l'avoir donné, je dois être capable de lui désobéir sur cet ordre. - Au risque qu'il vous punisse ? - Au risque qu'il me punisse. - Ce n'est pas injuste ? - Non. Mon Maître n'est, hélas, qu'un homme, et comme tout homme, il peut faire des erreurs. S'il me donne un mauvais ordre, et qu'il me punit pour ne pas lui obéir, je lui pardonne volontiers cette erreur. Et quand au final, il s'excuse de m'avoir puni injustement et me remercie de lui avoir désobéi, je suis l'esclave le plus heureux du monde, car je sais que j'ai servi mon Maître de la meilleure manière possible. Et mon Maître aussi est heureux, car il constate qu'il possède un esclave auquel il peut réellement faire confiance. - Et si c'est vous qui être en tort ? - Et si c'est moi qui est en tort, ce qui peut arriver aussi bien sûr, alors je demande le pardon à mon Maître, et lui explique pourquoi je pensais avoir raison jusque là. A ce moment, il décide si je mérite une autre punition ou non, et me pardonne après m'avoir puni et/ou sermonné. A partir du moment où le Maître m'a pardonné, je sais que je peux me pardonner moi-même, car je pourrai alors essayer d'être un meilleur esclave, et car je saurai que j'ai donné tout ce que je peux donner à mon Maître pour qu'il m'aide à mieux le servir. - Et ce n'est pas injuste envers vous ? - Si je suis heureux dans ces conditions, pourquoi est-ce que cela serait injuste envers moi ? - Vous êtes tout de même privé de liberté, et à la merci des décisions, peut-être parfois mauvaises, de votre Maître, je me trompe ? Nous étions dans la rue à ce moment-là. Les passants nous entouraient, allant de-ci de-là, nous ignorant. L'esclave avec qui je conversais garda le silence un moment pour réfléchir. Nous passâmes devant une mendiante, qui tendit un gobelet dans notre direction. L'esclave s'arrêta, posa ses sacs au sol, sorti le portefeuille de la poche de son manteau, et déposa quelques pièces au fond du gobelet. - Voici madame. Et bonne journée à vous. L'esclave souleva ses sacs, et nous reprîmes notre chemin. - Je sais, reprit-il à mon intention, que c'est difficile, pour quelqu'un d'extérieur, de concevoir qu'un être puisse être heureux et épanoui dans la servitude. Honnêtement, il fut un temps, quand j'étais encore un homme libre, j'avais moi aussi du mal à le concevoir. Mais c'est ainsi. Nous sommes les masochistes, et notre bonheur se trouve dans l'esclavage ou dans la torture. Certains n'apprécient que l'un ou l'autre. Personnellement, j'aime les deux. Dans cette vie, nous perdons de nombreux droits, et de nombreuses libertés. Mais ce que nous perdons en droit et en liberté, nous le gagnons en bonheur, en sérénité, en dévouement, en bonté et en altruisme. - C'était l'argent de votre Maître, pourtant, que vous avez donné, non ? - Oui, c'était l'argent de mon Maître. - Il ne vous punira pas quand il se saura ? - Il le saura, car je le lui dirai. Et je connais mon Maître : quand il le saura, il me dira probablement "c'est bien". Tout simplement. Mon Maître est un homme bon. - Pourtant, il a fait de vous un esclave. L'esclave esquissa à nouveau un sourire. - Oui, mon Maître a fait de moi un esclave, et il aime avoir un esclave à son service. Il aime aussi torturer son esclave. - Votre Maître est un sadique, et pourtant c'est un homme bon ? - Oui. C'est un sadique et un homme bon en même temps. Un sadique parce qu'il prendrait beaucoup de plaisir et de bonheur à torturer et à soumettre n'importe qui qui lui tomberait entre les mains. Un homme bon parce qu'il sait que c'est mal de faire cela à quelqu'un qui ne le désire pas. Alors il se contraint à ne le faire qu'avec des masochistes, en veillant à ce que ces masochistes-là y puisent eux aussi du plaisir et du bonheur. Ce doit être un lourd fardeau pour lui que de donner ces restrictions à ses pulsions, mais il se les donne par bonté envers les autres. - Je comprend. Mais comment savez-vous que votre Maître ne craquera pas ? A ces mots, l'esclave s'arrêta, et se tourna vers moi pour me regarder droit dans les yeux. - Le Maître est bon. C'est parce qu'il est bon que je l'aime. C'est parce que je l'aime que je lui ait demandé de faire de moi son esclave. - Alors c'est vous qui le lui avez demandé ? - Oui, c'est moi qui le lui ai demandé. Et c'est lui qui m'a fait l'honneur d'accepter de me prendre pour esclave. En retour, je ferai tout pour éviter qu'il ne lui arrive malheur. Pour éviter qu'il ne craque. Peut-être est-ce la raison de l'existence des masochistes, aider les sadiques à ne pas craquer. Nous reprîmes alors notre route. - Et vous ne faites que cela de votre vie ? Servir votre Maître ? - Presque. Techniquement, je suis aussi écrivain. J'ai déjà un petit groupe de lecteurs assidus. Alors j'écris chaque jour. Je lis souvent aussi, cela fait partie de mon travail d'écrivain, d'autant plus que mon Maître préfère avoir un esclave cultivé et avec qui il peut avoir des discussions intéressantes. Mon Maître préfère aussi regarder ses films en ma compagnie. Et puis, quand j'ai fini toutes mes tâches, il m'autorise parfois à aller sur Internet ou à jouer aux jeux vidéos, pour m'occuper. Finalement, il y a aussi les séances de torture et les relations sexuelles avec mon Maître. - Et l'argent que vous gagnez, avec les livres que vous vendez ? - Tous mes bénéfices appartiennent au Maître. Je suis sa possession, de même que tout ce qui est sensé m'appartenir. - Vous savez, fis-je remarquer, je pense que votre Maître vous a fait tout un lavage de cerveau. L'esclave se mit à rire. - Oui, bien sûr ! Bien plus encore que vous ne le pensez ! Mais cela a fait de moi un homme meilleur. Quand j'étais libre, j'étais triste, paresseux, et pour vous dire la vérité, assez égoïste. Maintenant, je suis heureux, efficace dans tout ce que je fais, et je suis plus altruiste que jamais. Cela grâce à mon Maître, et pour faire honneur à mon Maître. - Je me demandais – étant croyant moi-même – vous pensez que vous irez au Paradis ou en Enfer ? L'esclave leva les sourcils, hésita un instant, puis me répondit : - En supposant que cela existe – de mon côté, je ne suis pas croyant – je ne sais pas. Mais si je suis assez bon pour le Paradis, j'espère que l'esclavage consenti y est autorisé, pour que je puisse continuer à servir mon Maître là-bas. - Vous pensez que Dieu accepterait cela chez lui ? Les anges sont les esclaves de Dieu, au final. Dieu est bon, et ses esclaves, heureux de le servir, le secondent dans sa bonté. Je pense que si Dieu existe, il sait qu'il peut y avoir de la bonté dans l'esclavage. Pour peu que l'esclavage soit aussi le désir de l'esclave. - Et si Dieu existe, qui serait plus important ? Dieu, ou votre Maître ? - Ce n'est pas la même chose. Dieu n'a pas besoin que je lui fasse la lessive, le ménage ou la vaisselle. Dieu serait sûrement plus important, puisqu'il serait aussi supérieur à mon Maître, mais je pense que Dieu ne nous demanderait pas grand chose au final. Il nous demanderait d'être bon avec les autres, et mon Maître et moi, nous essayons déjà de l'être, même sans croire en lui. Un silence. - Je pensais, dis-je, que vous me diriez rêver aller en Enfer pour y être torturé. - Hé non. En vérité, vous savez, un peu d'imagination et de psychologie suffit pour réussir à torturer un masochiste sans lui donner de plaisir en même temps, alors l'Enfer sait sûrement comment s'y prendre pour ça. - Mais sinon, quelque part, vous pensez que l'esclavage devrait être légal, s'il peut être bon ? L'esclave hocha la tête. - L'asservissement de personnes ne désirant pas être esclave doit rester un crime. Un crime grave, car c'est bien ce que c'est. Par contre, oui, je pense que l'asservissement de personnes désirant être esclave devrait être légal, ou tout du moins, toléré. - Comment faire la différence ? - Cela, je vous l'accorde, c'est tout le problème. Je... L'esclave s'arrêta de parler d'un coup sec, et tomba à genoux, au sol. - Ca va ? Demandais-je. Ca ne va pas ? - Ne vous inquiétez pas, monsieur, me répondit une autre voix. Il ne fait que me montrer son respect. Je me retournais vers cette autre voix, et trouvait un homme plutôt petit. En fait, à première vue, l'esclave pourrait certainement surpasser physiquement son Maître. - Vous êtes son Maître ? - Oui, je suis son Maître. Enchanté. Je suis Jack. Le Maître me tendit la main. Par réflexe de politesse, je la serrais. - François. Enchanté. En fait, nous parlions de votre relation à vous deux. - Je vois. Si cela vous intéresse, nous pouvons en parler plus en détail chez moi, un de ces jours. Vous êtes le bienvenu. Il me tendit sa carte de visite, que je pris entre mes doigts. - J'espère que la discussion avec Arthur, mon esclave, a été bonne. - Oui, très intéressante. Le Maître porta sa main vers la tête de son esclave, et la caressa. - C'est bien. - Merci, Maître. - Cela a été un plaisir de vous rencontrer, François. Mais je vous prie de m'excuser, j'ai du travail qui m'attend, et Arthur devra m'assister pour cela. Je vous souhaite une bonne journée. - Juste une seconde, s'il vous plait, demandais-je rapidement. Si vous avez du travail en cours, pourquoi êtes-vous sorti nous rencontrer ? - Simplement pour vérifier si Arthur n'aurait aucune hésitation à s'agenouiller devant moi en public pour me montrer son respect. Bonne journée. Debout. Jack se retourna, et Arthur se leva aussitôt. Il se tourna vers moi, et s'inclina légèrement. - Au revoir, monsieur, me dit-il. Puis il emboita le pas à son Maître, portant toujours les deux sacs de course lui-même. - Bizarre, concluais-je. Dialogue avec un Dieu Il y avait quelques jours de cela, j'avais eu une discussion intéressante avec un homme, qui disait vivre comme un esclave. Il m'avait décrit son bonheur, éprouvé grâce à la servitude et à la torture, son amour pour son Maître, l'amour que celui-ci ressentait pour lui. Ayant pu voir quelques instants cet être vénéré, et ayant reçu de ses mains sa carte de visite, ma curiosité m'a poussé à appeler au numéro de téléphone indiqué. Cet appel s'était conclu par la prise d'un rendez-vous pour une rencontre amicale, dans la demeure de ce Maître. Le jour prévu, je me retrouvai donc au pied de leur immeuble. Je sonnai à l'interphone, et j'entendis la voix d'Arthur, l'esclave, me répondre. - Oui, bonsoir ? - Bonsoir, c'est François. - Je vous ouvre. C'est au quatrième étage, appartement 42. L'entrée émit un signal sonore. Je montai au bon étage pour sonner au bon appartement. Quand Arthur ouvrit en grand la porte de chez son Maître, il dut aussitôt remarquer mon air surpris, car il me dit tout de suite : - Le Maître a décidé de me faire porter mes chaînes ce soir. En effet, outre le short et le T-shirt qui le recouvraient, l'esclave portait un collier de cuir, et des fixations similaires à chaque poignet et cheville. Il avait les pieds nus. Du cou pendait une longue chaîne, attachée en son milieu à une seconde chaîne tendue entre ses poignet, et en son bas à une troisième tendue entre ses chevilles. Le tout devait gêner en partie ses mouvements, mais mes observations ultérieures me laisseraient penser qu'il était habitué à les porter régulièrement. - Vous pouvez entrer, continua-t-il. Le Maître vous attend dans son salon. - Le bruit des chaînes sur le sol, demandais-je en entrant, cela ne dérange pas les voisins en-dessous ? - C'est une des raisons pour lesquelles nous avons principalement de la moquette ici. Je vous en prie. Je laissai mon manteau dans les mains d'Arthur, qui m'indiqua le salon. Celui-ci était assez grand, pour un simple appartement. Meublé avec goût, mais sans signe de grande richesse. Je constatais que, même s'ils n'étaient pas sans le sou, ce couple ne devait pas non plus avoir une fortune cachée sous un matelas ou dans un compte en banque. Jack, en me voyant, se leva de son fauteuil pour m'accueillir dans la pièce. - Soyez le bienvenu, François. Je vous en prie, prenez un fauteuil. Vous aimez le vin, j'espère ? - Le vin ? Oui, j'apprécie. - Très bien. Arthur, tu peux ouvrir la bouteille. - Tout de suite, Maître. L'esclave s'éclipsa dans la cuisine, et revint avec la bouteille, pendant que moi et son Maître nous asseyons dans des fauteuils. La petite table basse proposait déjà deux verres à pied et quelques petits biscuits apéritifs. - Je dois avouer que les chaînes d'Arthur m'ont... surpris. - Je sais, c'était un peu le but. Comme vous êtes curieux à propos de notre façon de vivre, je pensais vous donner quelques petits exemples ce soir. En restant pudique, bien entendu. - Bien entendu... Arthur avait débouché la bouteille, et servit un peu de vin à son Maître. Celui-ci goûta, approuva, puis l'esclave remplit mon verre et celui de Jack. Je n'étais pas un grand connaisseur en vin, mais celui-là, sans paraître très cher, me semblait rester un choix pertinent pour un apéritif. - Seulement deux verres ? Fis-je remarquer. - Bien sûr. Arthur n'a le droit au vin que quand je le lui autorise. La seule boisson qu'il a le droit de boire sans avoir à demander ma permission d'abord, c'est l'eau, qu'il peut boire à volonté. - Je comprend. Je jetai un regard sur l'esclave. Il était debout, les mains jointes devant lui, dans une position indiquant clairement l'attente patiente et la soumission. Il attendait le moment où il servirait à nouveau. - Je me demandais : comment prenez-vous le fait que l'un de vous soit l'esclave de l'autre ? Je veux dire, au yeux de bien des gens, ce serait une situation dégradante. Vous en pensez quoi ? - Je pense, commença Jack, qu'il n'y a rien de dégradant à être esclave. Dans le cas d'un esclavage non désiré, c'est plutôt l'esclavagiste qui devrait voir son image être dégradée. Et dans le cas d'un esclavage consenti, c'est juste la preuve d'un amour partagé, entre une personne qui désire se mettre entièrement au service d'une autre, et cette dernière qui aide la première à s'épanouir dans la réalisation de ce désir. Arthur n'a pas à avoir honte d'être un esclave : la décision qu'il a prise d'en devenir un est preuve d'un grand altruisme et d'un grand dévouement, et ce sont des qualités dont il peut être fier. - Et du côté de l'esclavagiste ? - Du côté du Maître, c'est un peu plus complexe. Je suis celui qui profite de la situation. Je suis le bourreau, le tortionnaire, le méchant, vu de l'extérieur. Et je suis obligé de l'admettre, j'aime beaucoup ce rôle. Si je ne l'aimais pas, je n'aurais pas d'esclave. Croyez-le ou non, dresser un esclave, cela requiert beaucoup de temps. - Vous en avez eu d'autres ? - D'autres ? Oui, et non. Arthur est mon premier. J'ai débuté en tant que Maître en même temps que lui a débuté en tant qu'esclave. Pour obtenir de l'expérience dans le domaine, j'ai demandé conseil à d'autres Dominants. Ils nous ont aidé, moi et Arthur, à faire nos premiers pas. Et quand je suis devenu quelqu'un d'expérimenté, j'ai commencé à accueillir de temps en temps des débutants, Dominants comme soumis, pour les aider à mon tour à faire leurs premiers pas. J'ai eu plusieurs soumis sous mon fouet, mais en véritable esclave permanent, je n'ai jamais eu qu'Arthur à mon service. Jack prit une petite poignée de biscuits et la présenta à Arthur. Ce dernier s'avança, se mit à quatre pattes, remercia son Maître, et commença à manger dans la main de celui-ci. - C'est la principale chose qu'il faut comprendre, continua Jack. Arthur n'est pas esclave sous la contrainte. Il l'est parce qu'il désire l'être. Il mange dans ma main parce qu'il aime se sentir dominé par autrui. De la même manière, il aime être asservi, humilié, et torturé. Il prend beaucoup de plaisir à manger dans ma main car il montre ainsi à quel point il est inférieur à nous et soumis à nous. Il mangerait dans votre main aussi, si vous lui tendiez des biscuits à votre tour, et il aimerait ça. Arthur était en train de lécher délicatement le sel sur la main de son Maître. Ce dernier prit une deuxième poignée de biscuits, et la laissa tomber au sol. Arthur remercia son Maître, et se mit à quatre pattes pour manger à même la moquette. - C'est comme ça, poursuivit Jack. Cela peut paraître insensé, mais c'est comme ça. Arthur est masochiste. De la même manière, j'aime asservir, humilier et torturer. Je suis un sadique. Si je le faisais à quelqu'un qui ne souhaite pas l'être, je ne sais pas si j'y prendrais plaisir ou non. Un conflit entre mes pulsions et ma morale. Je ne l'ai jamais fait avec quelqu'un de non-consentant, et je ne compte pas m'y mettre un jour, par morale. Mais le faire avec quelqu'un de consentant, qui aime ça, cela me fait beaucoup de bien et beaucoup de plaisir. C'est pour lui comme pour moi un exutoire, un moyen d'apaiser nos pulsions dans un espace contrôlé, afin d'éviter qu'elles ne nous frustrent ou ne s'apaisent d'elles-même en nous faisant faire quelque chose de regrettable. On a déjà entendu parler de beaucoup de criminels sadiques, dans les journaux, on parle des sadiques qui torturent moralement leurs subordonnés et collègues dans les bureaux, mais on parle beaucoup moins de masochistes qui se mettent d'eux-même dans des situations sociales impossibles pour apaiser des pulsions dont ils n'ont parfois pas même conscience. Jack tendit son verre vide au-dessus de son accoudoir. - Par l'asservissement d'Arthur, nous joignons ainsi l'utile à l'agréable, pour lui, comme pour moi, ainsi que pour la société qui nous entoure. Arthur ? Arthur releva la tête et vit le verre vide de son Maître. - Je suis désolé, Maître. Il se releva, prit la bouteille de vin, et en versa dans le verre. Comme je lui tendais le mien, il le remplit aussi à son tour. Il retourna alors à ses derniers biscuits au sol, et revint rapidement à sa place, en position d'attente patiente. - Je comprend, dis-je. Mais quand vous dites «inférieur» à nous ?... - Socialement, bien entendu. Arthur reste un homme, et sa vie vaut tout autant que celle de n'importe qui d'autre. Même plus à mes yeux, puisque je l'aime. Je dis «inférieur» uniquement parce qu'il obéit, et que nous, on ordonne. Parce qu'il sert et que nous sommes servis par lui. Je hochai la tête, pensivement, face à toutes ces informations. Je levai un instant les sourcils, but d'une traite mon verre pour faire passer le tout, et vit Jack faire de même. Arthur remplit alors à nouveau nos deux verres. - Maître ? - Oui Arthur ? - Puis-je me retirer pour finir de préparer le diner ? - Combien reste-t-il dans la bouteille ? - Un peu moins d'un verre, Maître. - En voudriez-vous, François. - Non merci, cela suffira pour moi. - Dans ce cas, tu peux finir la bouteille si tu veux, Arthur. - Merci, Maître. Je vais la finir. L'esclave commença à se retourner. - Attend une minute, dit Jack. Arthur se tourna vers lui, et le vit indiquer le sol du doigt, à côté de son fauteuil. L'esclave se dirigea vers le point indiqué, et s'y agenouilla. Le Maître commença alors à caresser la tête de sa possession. Puis il dit en me regardant : - Arthur ne veut pas être traité à égalité avec nous. A ses yeux, ce serait contraire à mon statut de Maître, à votre statut d'Homme Libre, et à son statut d'esclave. Il ne nous en veut absolument pas d'avoir bu quasiment toute la bouteille à nous deux. Au contraire, ce fond est un cadeau que nous lui faisons. N'ai-je pas raison ? - Si, Maître. Vous avez tout à fait raison. - Mon gentil soumis, bien dressé, bien docile, bien obéissant. - Mon Maître adoré. Jack passa un doigt dans l'anneau du collier d'Arthur, et le tira à lui pour l'embrasser. Après leur baiser, je les regardais se lancer des yeux doux, aussi intenses que ceux de n'importe quel couple amoureux. Le Maître caressait la tête de son esclave, et dernier lui répondait avec toute son admiration. - Tu es vraiment trop mignon. François, accepteriez-vous que je donne une fessée à mon esclave ? - Je vous en prie, répondis-je, faites. - Merci. Garde ton slip et installe-toi, Arthur. - Merci Maître ! L'esclave baissa son short et posa délicatement son ventre sur les genoux de son Maître. Ce dernier sortit un gant en cuir de sa poche et l'enfila, ce qui me laissa suspecter la force avec laquelle il comptait frapper. - Donc, demandais-je, il y a en quelque sorte trois castes à vos yeux : les Maîtres, les Hommes Libres, et les esclaves. - Deux, en fait, dit Jack, ce serait plus exact. Les Hommes Libres et les Maîtres naissent et demeurent libres et égaux en droit et en devoir et cætera. La seule différence, c'est que les Maîtres ont des esclaves, et les Hommes Libres non. - Et les esclaves ? - Et les esclaves sont... des esclaves. Bien entendu, dans un monde idéal, seuls ceux qui désirent réellement être des esclaves rejoignent cette "caste". Il est hors de question d'imposer cette vie à quelqu'un qui ne la désire pas. Arthur aurait aimé être esclave dès la naissance, mais il sait aussi bien que moi que cela impliquerait l'existence d'esclaves ne désirant pas l'être, et lui comme moi, nous ne désirons pas que cela arrive à qui que ce soit. - Seuls deviennent esclaves ceux qui désirent être esclaves donc. - Exactement. Je rajouterais aussi que, souvent, l'esclave choisit son Maître autant que le Maître choisit l'esclave, et qu'il est préférable qu'ils définissent clairement les règles et limites de cet esclavage avant de le mettre en application. Vous avez peut-être déjà entendu parler de contrat BDSM, et c'est pour cette raison que ces contrats existent. Par exemple, Arthur a spécifié clairement ne pas vouloir être vendu ou donné à quelqu'un d'autre, alors il restera toute sa vie ma propriété à moi. Et la fessée commença. Le Maître frappa fort, très fort, plusieurs fois. A chaque fois, Arthur gémissait en même temps de douleur et de plaisir. J'imaginais parfaitement, au bruit que les coups faisaient, la teinte écarlate qu'avaient dû rapidement prendre les fesses de l'esclave. Quand cela fut fini, Jack lui dit de se relever, et d'aller finir de préparer le diner. Arthur remercia son Maître, et s'en alla, visiblement heureux, dans la cuisine. Je bus mon deuxième verre de vin d'une traite lui aussi. - En fait, repris-je après cet épisode, c'est un peu l'esclave qui dicte les règles, au final, non ? - C'est plus compliqué, mais je crois que j'ai une métaphore pour m'aider à expliquer. Pendant la rédaction du contrat, le soumis met en place les limites qu'il ne désire pas dépasser. C'est un peu comme s'il dessinait un polygone sur une feuille de papier. Ce qui est à l'intérieur du polygone, c'est ce que le Maître à le droit de faire. Ce qui est à l'extérieur, ce qu'il n'a pas le droit de faire. Le soumis dessine donc un polygone, puis le Maître peut librement s'exprimer dans la surface qui lui est ainsi laissée. Certains soumis dessinent un polygone petit et complexe, ceux-là veulent souvent des scénarios temporaires tournant exclusivement autour de un ou deux fétichismes. Personnellement, je n'aime pas ce genre de contrat, mais c'est le choix et la préférence d'autres adeptes du BDSM, et je le respecte. De mon côté, j'ai de la chance, Arthur m'a dessiné un polygone très large, et il m'a laissé beaucoup d'espace de manière permanente pour développer mon imagination et pour le surprendre. - C'est là qu'intervient le fameux «safeword» ? Pour dire au Maître «vous sortez du polygone» ? - En quelque sorte. Quand je torture mon esclave – pour son plaisir et pour le mien – il lui arrive souvent de me supplier d'arrêter. C'est un réflexe d'autodéfense, et je sais qu'en vérité, au fond de lui, il souhaite que je continue. Mais le safeword est volontairement un mot bizarre, qui n'a rien à faire dans une séance de torture. Le nôtre, c'est «colimaçon». Quand Arthur est torturé par moi, il peut crier autant qu'il veut, cela ne m'arrêtera pas. Au contraire, ça me donnera envie de continuer. Mais s'il dit «colimaçon», je sais que ce n'est pas un réflexe d'autodéfense : il me prévient que quelque chose ne va pas et qu'il faut réellement que ça s'arrête. - Et vous respectez toujours le safeword ? - Toujours. A mes yeux, et aux yeux de beaucoup, un Maître qui ne respecte pas le safeword ne mérite pas d'être un Maître. Arthur l'a déjà prononcé quelques fois, et j'ai toujours mis fin au jeu quand il l'a prononcé. De notre côté, on va aussi un peu plus loin, et on a mit aussi au point un signe de la main en guise de safeword, pour les jeux où Arthur est bâillonné. - Ce qui implique que s'il est bâillonné, il doit pouvoir faire le signe de la main. - C'est un défaut, mais c'est préférable au fait de le torturer sans sécurité derrière. Pendant ce temps, Arthur avait mis la table, et Jack m'invita à m'y asseoir. Le diner était simple, des pâtes à la carbonara, mais l'esclave les avait préparé avec dévouement. Ce dernier nous les servit dans nos assiettes, remplit nos verres d'eau, et reprit sa position d'attente patiente. Nous mangions, le Maître et moi, de bon appétit, et en discutant. - Je me demandais, dis-je à un moment. Votre esclave fait donc tout pour vous ? - Beaucoup de choses, mais pas tout. Quand une tâche de la maison a besoin de quatre mains, je l'aide, bien sûr, et je fais parfois quelques travaux domestiques moi-même. Il m'arrive de cuisiner par exemple, c'est une activité que j'apprécie. - Mais quand vous n'avez pas envie de cuisiner ? - C'est Arthur qui s'en charge, bien sûr. Il y a aussi l'argent. Arthur est écrivain. Un bon écrivain, si vous voulez mon avis, et ses ventes de livres se rajoutent à mon salaire. Le Maître passa alors une bonne partie du repas à parler de son travail en tant qu'informaticien, et surtout à faire les louanges du talent littéraire de son esclave. En jetant quelques coups d'oeil à celui-ci, je vis sur son visage la fierté qu'il ressentait à entendre son Maître parler de lui en ces termes. Elle ne fit que s'accroître quand Jack mêla à l'hommage pour son don de la plume celui de son don pour la servitude. Comme il me l'avait dit plus tôt, il ne considérait pas son domestique avec mépris, mais au contraire avec beaucoup de respect, et beaucoup d'affection. Au lieu de l'abaisser, on aurait au contraire cru qu'il mettait son esclave sur un piédestal. Paradoxalement, le Maître se révélait aussi humble dans sa position dominante que l'esclave dans sa position de soumission, et vénérait son soumis tout autant que ce dernier vénérait son Dominant. Quand il eut fini sa tirade, il ordonna à Arthur de ramener sa gamelle dans le salon, en lui annonçant qu'il mangerait ici. Arthur revint avec une gamelle pour chien parfaitement propre, et la présenta servilement à son Maître. Ce dernier s'empara des ustensiles, et servit des pâtes dans le récipient. - Voilà. Est-ce que cela te suffit ? - Oui Maître. - Très bien. Tu peux commencer à manger. - Merci Maître. L'esclave se mit à genoux, déplia une serviette au sol pour ne pas tâcher la moquette, posa le récipient au milieu de la serviette, et commença à manger à quatre pattes, à même la gamelle. - Venez, me dit alors Jack. Allons nous installer dans les fauteuils. Je le suivis, en regardant à moitié Arthur manger de la même manière qu'un chien, à côté de la table où nous avions diné. - Mais... Mais et tout ce que vous m'avez dit ? Toutes les louanges que vous avez faites à propos d'Arthur ? - Elles tiennent toujours. Je crois toujours tout ce que je vous ai dit. Si je le fais manger à quatre pattes après nous, plutôt qu'à table en notre compagnie, c'est parce que c'est le statut qu'il aime avoir, et le statut que j'aime lui donner. Cela l'humilie, bien sûr, puisque vous êtes là à le regarder manger ainsi, mais il aime être ainsi humilié. Il n'y a rien de dégradant, ni de méprisant, ni d'insultant dans ce que je lui fait faire et dans ce qu'il fait. C'est juste l'expression de nos désirs. Arthur désire être inférieur à nous, et il l'est. Inférieur non pas parce qu'il vaut moins que nous, ce n'est pas vrai. Inférieur parce qu'il obéit et que j'ordonne. C'est comme ça que nous aimons vivre, et c'est comme ça que nous sommes heureux. Nous étions alors assis dans les fauteuils, et Arthur releva la tête de sa gamelle. Tout le pourtour de sa bouche était maculé de sauce à la carbonara. - Arthur, si tu as fini de manger, nettoie ton visage, débarrasse la table, et prépare-nous trois cafés. Ensuite, tu pourras venir discuter avec nous. - Bien Maître. - Excusez-moi, se reprit Jack. Vous voulez un café, François ? - Oui. Oui, volontiers. - Trois cafés, Arthur. - Oui Maître. L'esclave était dans la cuisine et devait certainement se débarbouiller. On entendait déjà la cafetière se mettre en route. Très vite, le bruit des couverts débarrassés s'y ajoutèrent. - Je vous sens tendu, François, me dit Jack. - Oui, c'est vrai. C'est que... tout est bizarre ce soir. - C'est normal. Vous êtes entré dans un univers qui n'est pas le vôtre. Mais je vous rassure, nous ne sommes pas méchants, et nous ne vous voulons aucun mal. - Oui, d'accord. - J'arrive ! Annonça Arthur. Me voilà. Arthur déposa trois cafés sur la table et s'assit sur une chaise en notre compagnie. - J'ai manqué quelque chose ? Continua Arthur. Je me mis à rire un peu, nerveusement. - Qu'y a-t-il ? Me demanda poliment Jack. - Rien, c'est juste le fait qu'Arthur puisse discuter avec nous. L'ambiance me paraît tout d'un coup moins... Moins... - Protocolaire ? - Oui, voilà. - C'est normal, m'expliqua Jack. C'est comme ça dans un couple Maître/esclave : il y a des moments protocolaires, comme celui que je viens de vous faire vivre, et d'autres plus détendus. Attention, Arthur et moi, nous sommes dans une relation d'esclavage permanent : les règles sont plus souples pour lui, mais elles n'ont pas totalement disparues. - Je dois toujours respect et obéissance à mon Maître, par exemple, ajouta l'esclave. - Tiens, à ce propos, viens là. Jack fit signe d'approcher à Arthur, et il commença à détacher ses chaînes avec efficacité. - On va enlever ça maintenant. Ramène tes chaînes dans la salle de torture et reviens. - Tout de suite, Maître. - La salle de torture ? Risquais-je pendant qu'Arthur y allait. - La salle de torture, me répondit-Jack. On a choisi cet appartement principalement parce qu'il y avait trois chambres. La première, c'est la mienne, où dort aussi Arthur la plupart du temps ; la seconde est une chambre d'ami ; et la troisième, nous en avons fait une salle de torture. Pas de dame de fer ou d'outils tranchants bien entendu, le but est d'y trouver du plaisir, pas de faire parler. - Oui, évidement. - Je suis de retour ! annonça joyeusement Arthur. Il se rassit sur sa chaise en notre compagnie, et but une gorgée de café. Il ne lui restait plus que son collier et ses fixations aux poignets et aux chevilles, en plus de ses vêtements. - Euh, je m'excuse, pour la bouteille de vin, en profitai-je. - Oh, ce n'est pas grave : mon Maître vous l'a dit, je ne vous en veux pas. C'est même gentil de m'avoir laissé le fond. - Oui, mais du coup, j'ai l'impression que vous n'avez pas profité de la soirée. - C'est gentil de vous inquiéter pour moi, merci, répondit Arthur en souriant. Mais ne vous inquiétez pas : j'en ai profité, à ma manière. Je suis très content de vous avoir servi, mon Maître et vous. - Oui, c'est un peu ça que j'ai du mal à comprendre. - C'est normal. Je crois qu'il faut être un peu comme moi pour vraiment comprendre. - C'est un peu comme un enfant content de ramener une bonne note, dit Jack. - Donc j'ai reçu une bonne note ? - Disons... A-. - Seulement A-, Maître ? - Oui, parce que tu n'as pas fait attention à mon verre quand tu mangeais les biscuits par terre. - Ah oui, c'est vrai. Désolé Maître. - Ce n'est pas grave. Jack se pencha vers son esclave, et se dernier le rejoignit pour lui faire un bisou. - Mais donc, demandais-je, tout ce que vous m'avez dit est bien vrai ? - C'est notre point de vue en tout cas, me répondit Jack. Après, d'autres adeptes du BDSM ne seront pas forcément d'accord avec tout ce qu'on a dit. - Y compris l'autre jour, dans la rue ? demandais-je à Arthur. - Oui, dit-il. Avec un peu de mise en scène. - Un peu de mise en scène ? Poursuivit son Maître. - Je joue très bien le fanatique dont on a lavé le cerveau. - Mais tu es un fanatique, Arthur. Et je t'ai lavé le cerveau. - Je préfère le terme «dressage», Maître. - Mais pourquoi avoir fait ça ? Demandais-je. - Je ne sais pas, admit l'esclave. Vous étiez un inconnu, et vous me posiez plein de questions. Mettez-vous à ma place : c'est vous qui étiez bizarre à mes yeux. Alors j'ai essayé de vous faire peur. Je crois. Un peu. Je souris un instant à l'idée que j'ai pu paraître bizarre aux yeux d'un esclave masochiste. - Vous ne m'en voulez pas ? Demanda Arthur. - Non, non, je ne vous en veux pas. - Pour être honnête, admit Jack à son tour, je ne pensais pas que vous nous appelleriez pour nous revoir. Mais quand vous l'avez fait, on s'est senti obligé de tenir notre engagement et de vous inviter. Et au final, tout est bien qui finit bien : je pense qu'on peut dire qu'on est ami maintenant. - Je pense que vous avez raison, acquiesçais-je. - Si on est ami, je pense aussi qu'on peut se tutoyer. - D'accord. - Et moi ? Demanda Arthur. Je dois tutoyer ou vouvoyer ? - Eh bien... C'est comme tu veux, lui répondis-je. - Alors je crois que je vais continuer à vous vouvoyer, Monsieur. C'est à ce moment, je pense, que j'ai vraiment compris qu'Arthur aimait son statut d'esclave. Il n'y avait pas de mépris, ni de fausse modestie, ni même d'auto-dénigrement dans cette phrase. Juste une sereine acceptation d'un fait : il était un esclave, nous étions des hommes libres, et c'était très bien pour lui comme ça. La soirée continua tranquillement tout compte fait. Après les cafés, Arthur nous ramena de l'eau pour nous désaltérer. Ils me racontèrent tour à tour des anecdotes de leur relation, et j'ai eu le plaisir de les voir à plusieurs reprises rire ensemble de leur histoire commune. J'ai ris aussi avec eux, une fois ou deux. - Au début, me dit Jack, on s'est rencontré sur Internet, sur un site BDSM. Je voulais commencer en tant que Dominant, et Arthur voulait commencer en tant que soumis. Nous avons fini par tomber amoureux. On s'est retrouvé en vrai dans un bar, sur un terrain neutre, puis on s'est fait visiter nos appartements respectifs. Très vite, on a emménagé ensemble et j'ai commencé à le soumettre. - Les premiers mois, poursuivit Arthur, c'était irrégulier. On se couchait en Dominant et soumis et on se réveillait en égal à égal, ou vice versa. Au final, j'en ai eu assez de ça et je me suis mis à genoux devant mon Maître. Il se mit à genoux devant lui, pour mimer la scène. - Maître, souhaitez-vous prendre votre soumis pour esclave permanent, et le dresser à obéir et à servir, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la Mort nous sépare ? Jack souriait en revoyant la scène, et en caressant la tête de son esclave. Je demandais : - Tu lui as répondu quoi ? - Je lui ai répondu «Embrasse mes orteils un par un et je te répondrai oui». - Jamais de ma vie je n'ai embrassé aussi vite des orteils, avoua Arthur en se rasseyant sur sa chaise. - Et depuis, Arthur est ton esclave, donc ? - Oui. Environ un an après cette déclaration d'amour, je lui ai demandé s'il voulait toujours être mon esclave à vie, et il m'a répondu «plus que jamais, Maître». C'est depuis ce jour que je considère qu'Arthur est irrévocablement devenu mon esclave. - Pour le meilleur et pour le pire, Maître. - Pour le meilleur et pour le pire, répondit le Maître. - Il y en a eu beaucoup, du pire ? Demandais-je. - Pas beaucoup, heureusement, dit Jack. Surtout des bêtises d'esclave. - Beaucoup de bêtises ? - Oh oui ! Ça prend du temps à les dresser, ces bêtes-là, et il m'en a fait des belles. Heureusement quelque part, la vie serait plus monotone sans. - En fait... Commença Arthur. En même temps, il attrapait la poignée de la carafe d'eau pour resservir son Maître, mais il renversa son propre verre dans le même mouvement. Nous eûmes tous trois un mouvement de recul, puis tous trois nous nous jetâmes sur les serviettes pour essuyer au plus vite. - Arthur ! Gronda le Maître. Quand on parle de bêtises, ce n'est pas la peine de nous en donner un exemple ! - Maître, je... - Ça suffit. Tu essuies, puis tu vas au coin. L'esclave poussa un soupir. - Oui, Maître. Il essuya rapidement, porta les serviettes trempées à la cuisine, puis se positionna debout, face à un coin du mur. Je comprenais, de ce fait, pourquoi ledit coin n'était pas meublé. - Ce n'était pas une grosse bêtise, hasardais-je. - Non, c'est vrai. C'est pour ça que cela n'ira pas plus loin qu'une petite mise au coin, je pense. Ceci dit, voyons le bon côté des choses, cela nous permet d'aborder un autre point de notre relation : la punition. Une erreur que font beaucoup de gens extérieurs au BDSM, et même certaines personnes y posant un pied, c'est de considérer la douleur physique comme une punition. Dans le cas où le soumis aime la douleur physique, ça ne marche pas. - Parce qu'il aimerait ça ? - Non, c'est plus vicieux que ça. Si je donnais une fessée à Arthur pour le punir d'avoir renversé son verre, il n'aimerait pas, car il saurait qu'il la prend parce que je suis mécontent de lui. Ça briserait son plaisir, en quelque sorte. Mais quelque part dans son inconscient, il associerait la fessée que je lui ai donnée tout à l'heure avec celle que je lui donnerais maintenant, et au fur et à mesure, en utilisant la douleur à la fois comme un jeu ou une récompense, et à la fois comme une punition, cela brouille tous les repères du soumis. Il finira par avoir l'impression d'être puni quand on joue, et par avoir l'impression de jouer quand il est puni. Pour cela, quand le soumis aime la douleur, il vaut mieux ne pas punir avec la douleur. - Comment alors ? - La meilleure manière à mon avis, c'est ainsi, dit Jack en montrant Arthur dans son coin. Avec son point faible. Toute sa vie tourne autour du fait de me servir, alors je lui interdis momentanément de me servir. Pas besoin de coups de fouet, il retient bien mieux la leçon en sachant que par sa faute, son Maître est obligé de se servir son verre d'eau lui-même. Et Jack versa de l'eau dans son verre, en prenant soin de faire autant de bruit que possible. - Je pense comprendre, dis-je. - C'est bon Arthur, tu peux revenir. Je vais être gentil aujourd'hui. - Merci Maître. L'esclave revint s'asseoir parmi nous. Il y eut un instant de silence quand il se rassit. - Bon, dis-je pour le rompre et en me levant, il se fait tard, je pense que je vais rentrer. - On se reverra ? demanda Arthur. J'eus un instant d'hésitation. - Oui, je pense. Au final, j'ai passé une bonne soirée, et vous m'avez paru sympathique. Quoiqu'un peu bizarre. - Beaucoup bizarre. - Oui, c'est vrai, beaucoup bizarre. Surtout toi, Arthur. - Alors c'est entendu, conclu Jack en se levant à son tour, suivi de son esclave. Tu peux nous appeler quand tu voudras, ma porte est ouverte. - Entendu. Merci, Jack. - Juste une dernière question : pourquoi t'es-tu intéressé à nous, à la base ? - Je ne sais pas. C'est parce que le sadomasochisme, c'est un peu à la mode en ce moment. On en voit un peu partout. Alors quand j'ai vu Arthur, avec son collier, j'ai voulu poser la question. Pour savoir. Pour comprendre. - Il n'y a rien de plus que cela à comprendre. C'est simplement la vie que nous aimons, Arthur et moi. C'est vrai que le BDSM est un peu à la mode en ce moment, et en fait, ce n'est pas une si bonne chose qu'il le soit. Ce n'est pas un truc à faire n'importe comment, encore moins avec n'importe qui, et surtout pas juste parce que c'est tendance. A notre niveau, à Arthur et moi, c'est parce qu'on le veut, au fond de nous. Tu peux toujours utiliser un bandeau ou des menottes une fois de temps en temps pour pimenter une relation, mais tu ne dois pas te sentir obligé d'en faire autant que nous, juste parce qu'on voit ça à la télé aujourd'hui. Je t'ai vu pendant tout l'apéritif et pendant le repas, tu étais mal à l'aise face à tout ça. Je ne pense pas que ce soit fait pour toi. J'eus un petit rire. - Non, je ne pense pas moi non plus. - Et ce n'est pas grave. On reste des amis. - Oui, tu as raison, Jack. On reste amis. Je les saluais alors tous deux, et Arthur me raccompagna à la porte d'entrée. Il ne me resta plus qu'à rentrer chez moi. J'étais assez content, car je m'étais fait deux nouveaux amis. Des amis bizarres, mais des amis quand même.
295 vues 1 like
Par : le 24/02/15
Désir obéir Désir souffrir Désir grandir Désir découvrir Désir ressentis Désir épanouis Désir attendre Désir surprendre Désir de présence Désir des sens Désir cuir Désir unir Désir attendu Désir voulu Désir demain Désir vos mains Désir enivrant Désir cuisant Désir du corps Désir accords Désir subtil Désir tactile Désir latent Désir prudent Désir lieux Désir heureux Désir annonciateur Désir libérateur Désir attentionné Désir partagé Désir fisting Désir branding Désir offrir Désir plaisir Désir émotion Désir frisson Désir obéissance Désir appartenance Désir apprendre Désir entendre Désir d'oser Désir donner Désir image Désir partage Désir imagination Désir excitation Désir de dépassement Désir et sentiment Vous m'inspirez tant de désirs Mon Maître. Le 24 02 2015
346 vues 8 aime
Par : le 18/02/15
Vingts quatre heures que tu es rentré chez toiVingts quatre heures ou tu me manque attreusement Tes bras , tes câlins , tes baisers , tes caresses , ta présence me manqueTrois semaines qui se sont passé extrêmement viteJ'aurais voulu que cela ne s'arrête jamaisQue le temps reste figé Je voudrais que l'on sois tout le temps ensembles et que plus jamais la distance ne nous sépare ♥Nous nous sommes très vite attachés l'un à l'autreDepuis 1 an que nous sommes ensembles je n'ai jamais cesser de t'aimerVivement les prochaines dates ou nous seront de nouveau ensembles ♥ ♥ Je t'aime ♥
82 vues 2 aime
Par : le 15/02/15
Il n'existe plus intense, plus belle émotion Que de vivre son premier abandon Ce jour de naissance - son 'moi' intime Qui fait de moi sa muse qui s'exprime Une belle découverte, un grand voyage Pour vivre mes émois tout en soie Pour le plus grandiose, ô subtil mariage De mes sens, de ma chair - en soi Il n'existe plus exquise, plus passionnée Que cette union en appartenance De ces deux âmes, deux corps comblés Unis par le lien confiance et connivence Un collier posé délicat et sensuel Sur la peau sensible d'une rebelle Délicieuse offrande - à Lui elle offrira Elle sa soumise, elle le lui dévouera Il n'existe plus intense - que son emprise Sur cette bourrique - ô elle soumise Pour son unique abandon - à son intimité Lui la sublime à ses pieds avec sincérité Le 13 février 2015 Pour Vous Mon Maître
233 vues 9 aime
Par : le 03/02/15
Nous sommes le 23 janvier dernier...banlieue chic de Nantes.Il fait très froid à l'extérieur de la maison.L'obscurité empêche les convives de s'y rendre rapidement à pied, pour une fois face à la grande porte en aluminium gris, frapper à trois reprises, puis à nouveau deux fois. C'est le code pour que je leur donne accès à l'intérieur...Une maison construite juste avant le premier choc pétrolier.Une pièce principale dans laquelle on y trouve une grande table em marbre vert. Dessus, une nappe de tissus rouge, très vif...Et puis ce salon, très grand salon...avec sa cheminée au foyer conséquent. Bien des buches y ont été consummées, bien des mains s'y sont réchauffées devant ce grand foyer. Et pas que...En face de cette source de chaleur, une table faite de fer forgé et de verre. Assez grande pour y allonger une proie, assez solide du fait de ses fers forgés, idéal pour y lier qui l'on désire.Désirs, désirs, désirs...avoués, innavoués ?On frappe !! Trois fois, puis deux...qui frappe parmi mes invités ?Une chienne soumise ou un bipède excité ?J'ouvre...et je devine la fine silhouette de la première soumise invitée. Il est vingt heures, comme je lui avais demandé. J'aime la précision, la rigueur. Ce que Diane sait...Je l'accompagne dans une des sept chambres, et la laisse s'habiller. Non sans lui dérober un baiser, et puis l'embrasser voluptueusement pour la rassurer. Car je la sens angoissée, préoccupée. J'en suis coupable car elle ne sait rien, sauf que nous ne serons pas seulement deux à cette soirée, contrairement aux autres que nous avons passées ensembles.On frappe à nouveau !!La même question me revient à l'esprit. Il est 20:15...trois coups, puis deux...le code.J'entends le bruit de talons qui frappent le marbre du hall d'entrée exrtérieur. Le froid qui pousse à activer ses jambes pour se réchauffer. Ma seconde invitée est également ponctuelle. Elle me connaît aussi et sait que la punition est à la clé, lorsque la rigueur n'est plus.Isa sera seule dans une autre chambre pour se préparer. Elle n'a pas idée qu'une complice se prépare comme elle.Son corps magnifique éveille à nouveau mes sens...je ne peux m'empêcher de la saisir par la taille, et de la serrer virilement, acte auquel elle manifeste son bien être par un "huuuummmmm, mon PrincedesPlaisirs"Une forme d'inspection commence alors car la fréquentation de deux jolies coquines en moins de quinze minutes empêche tout homme de résister.Je me plie pour caresser ses chevilles et laisser remonter mes mains le long de ses longues et douces jambes. Ma main droite finit entre ses fesses, et ma gauche sur son sexe.Simultanément, mes appendices caressent ses calices, brûlants de désir...Isa mouille...Je ne peux m'empêcher de la pencher sur le fauteuil en tissus rouge délavé, qui se trouve devant elle."Ecartes tes cuisses !" suffit pour que je lui lèche l'entre fesses...ses soupirs me confirment qu'elle apprécie l'instant...tout comme moi qui commence sérieusement à être à l'étroit dans mon pantalon.Egaré par l'excitation, je n'avais pas entendu une main virile heurter la porte d'entrée.L'intensité du choc sur la porte ne laisse aucun doute.C'est un homme qui se présente.J'attends qu'il réitère la code bruyant.Toc! Toc! Toc! un court silence...Toc! Toc!J'actionne la clé dans le barrillet.Je tire la porte et s'introduisent alors un, puis deux, puis trois et enfin un quatrième homme, le compte n'est pas bon !Le temps de le penser, et à nouveau une main forte s'écrase cinq fois dessus la porte.J'ouvre pour la dernière fois avant plusieurs heures.Nous sommes au complet.Mes cinq excités sont présents.Ces derniers sont invités à s'assoir autour de la grande table en marbre vert.Je leur serre une coupe de champagne, et quelques amuses bouches...tout en leur rappellant pourquoi je les ai invités...user, abuser des charmantes que je vais leur offrir.Je devine dans leurs yeux toute l'excitation et la tension de la situation...une belle soirée se profile.Je m'en vais alors chercher Isa.Elle est belle. Chaussures noires à talon, bas dessinant des jambes superbes, corset noir laissant sa poitrine offerte avec deux tétons déjà durs...elle est prête.Je la guide car Isa est aveugle. Je lui ai demandé de porter un masque.A l'approche de la tablée, je l'annonce aux convives."Je vous présente Isa, elle est là pour votre plaisir Messieurs, et vous pour le sien ! Alors baisez là sans retenue !!!"Après un tour de table lors duquel les mains des mâles ont pris contact, j'agenouille Isa et lui demande de se glisser sous la table...alors j'entends ses mots sortir de cette bouche qui va être fort sollicitée..."Merci PrincedesPlaisirs, vous vous êtes souvenu de mon fantasme, merci beaucoup""Oui Isa, alors, laissez-vous aller et soyez une belle salope gourmande"Une main la saisi alors, et la guide dans l'obscurité du dessous de la table. Comme si elle était engouffrée, elle disparaît dans l'antre des bites à sucer...Je me dirige ensuite vers l'autre chambre.Le cérémonial refait, Diane est accompagnée sous l'autel des vices, et elle s'abandonne aussi avec plaisir à engloutir ses verges dures et chaudes.Sa tenue faite de dentellenoire et de bas a provoqué une réelle excitation chez les bipèdes. Ce qu'elle ne peut voir car également aveugle...Le nombre de vits étant supérieurs aux deux bouches qui s'affairent, les calices des deux heureuses dévergondées sont doigtés généreusement, sans exception.Le temps passe, mon sexe est honnoré par la bouche de mes deux soumises de la soirée. C'est bon de les voir gober tous ces sexes...Et puis vient le moment où le désir de prendre Isa est plus fort que d'être sucé. Alors je l'attrape à nouveau par la taille.Mon erection est puissante. Je lui lèche la chatte quelques minutes, mon index fouille son calice, alors je décide de la prendre comme la chienne qu'elle aime être lors de nos rencontres intimes."Montres moi ton joli cul de salope !" elle s'exécute à mon ordre. Son sexe humide à souhait est chaud, la sensation de la posséder à nouveau est un miel pour mon esprit de Maître.Ce soir, comme Diane, elle est à moi ! Et la confiance qu'elle sait me témoigner me laisse toute amplitude pour la baiser sans commune mesure.Mon chibre occupe son vagin que je connais bien, et que j'ai toujours plaisir à occuper longuement.Mes secousses poussent Isa à engloutir la bite de l'heureux homme qui est sucé. Gorge profonde en live...Je m'évade...jusqu'au moment où j'entends la douce voix de Diane qui me réclame..."Marquis, je veux sentir votre pillon en moi"Je me retire ainsi d'Isa, et protégé à nouveau, je viens lécher la demandeuse. Je sais qu'elle aime que je lui caresse la chatte avec ma langue, longuement...Je dévore ses lèvre brûlantes, toutes sans exception.Et je décide de baiser sa bouche, profondément, comme elle adore. Sa langue glisse sur mon sexe, lappe sur mes couilles encore riches de ce miel que l'une d'entre elles va déguster...non, les deux, pas de jalouses !Je sens cette chaleur sur mes bourses, "vas-y ma jolie chienne, lèches moi bien les couilles ! Et suces moi goulument !" Je lui attrappe la tete à pleines mains, et empale son orifice sur ma verge, et lance une danse d'aller retour frénétique ! Diane aime être "violentée" ainsi...et à peine lui laisse-je le temps de reprendre ses esprit en me retirant que je la retourne et la prend en levrette. Elle est alors saisie de nouveau par la tête, pour être violée de la bouche, ce qu'a compris un des convives...ses soupirs sont les ambassadeurs d'une satifaction profonde. "Tu aimes ça ma belle ? Tu en veux encore ?"..."oh oui Marquis, ne vous arrêtez pas je vous en supplie" rétorque t elle etre deux sucions.Le regard désireux d'un invité me fait comprendre qu'il souhaite honorer la coquine.Je me retire, et sitôt la chatte de Diane est envahie par une verge énorme..."ouaah" entends je, "doucement" La fougue du jeune étalon bien monté a surpris la salope qui pourtant en attend encore beaucoup plus que cela...Entre temps Isa s'est vue accompagnée dans un des canapés du salon...je devine que l'homme qui occupe son oeil de bronze lui procure un bien immense. Par surprise, je saisi sa tête et lui plante ma bite dans la bouche "suces ma salope adorée" Sa douceur en me branlant est une réponse d'acceptation...Je me retire. Elle ne comprend pas que j'ai un autre désir.Le locataire de la salle de jeux arrière se retire et se couche sur le tapis qui jonche le sol.La tête d'Isa qui cherche dans le vide me fait comprendre son incompréhension, jusqu'à l'instant où je la guide afin qu'elle se laisse glisser sur la bite de celui qui vient de se retirer de son cul brûlant...Elle reprend ses aises, je la pousse afin qu'elle se penche et exhibe alors son cul encore dilaté par une chevauchée fantastique...et à mon tour l'encule profondément...Le plaisir est immédiat lorsque j'entends un soupir énorme...et un cri du coeur spontanné !"Oh ouiiiiii deux bites, défoncez moi mes salauds ! bourrez moi, c'est tout ce que je mérite !"Ne voulant pas la décevoir, c'est dans une course effrenée du plaisir que nous nous lancons. Alors des cris remplissent la pièce, attirent les regards, les envies de Diane, un peu de jalousie aussi peut-être ?Que néni, Diane profitait du même régime, sauf que sa pudeur lui empêche d'exprimer son bonheur de manière trop bruyante. Ce soir là en tout cas...Abusées ainsi pendant de longues minutes, c'est sous une pluie d'elixir chaud que les deux coquines se voient aspergées...le miel coule alors sur leurs fesses, leurs seins, et moi le privilège de jouir dans la bouche d'Isa.Une de mes deux soumises...Suite de la soirée une autre fois.
172 vues 1 like
Par : le 01/02/15
Le réveil avait sonnée voila plus de 14H quand il monte enfin dans le train. Lequel train était en retard. Récit imaginé pendant une après-midi, au lieu de faire la sieste, pendant que la neige tombe dehors.... Récit dédicacé à ma Femme et soumise, que j'aime plus que tout. ############################################## Le quai était noir de monde, monde impatient, fatigué, résigné sous la forte pluie qui n'avait pas cessée de la journée ... La journée était terminée, reste l'épreuve du retour à la maison. Grimpant dans le train, poussant implicitement ses voisins avec son vélo, il se fraye un chemin jusqu'à un strapontin, mais étant trempé jusqu'aux os, il préfère rester debout. Après tout, il avait passé la journée assis, et cela le soulait déjà bien. Le train était bondé. Il se mit aussitôt en branle dés que le contrôleur eut annoncé son départ. Un moment de répit pour lui, avant l’autre partie de la journée. Malgré le monde, l'ambiance est calme, presque reposante... Comment va être la soirée ? Trop courte, comme trop souvent ? Le Temps est compté et précieux, leurs journées sont très chargées et l'ami réveil sonne toujours trop et très tôt. Même Lui a du mal à tenir certains soirs. Du travail en pagaille, mais c'est certainement le prix à payer pour se construire l'avenir dont Ils rêvent tous les 2 ... Mais il est vrai qu'il ne rend pas évident la possibilité de vivre le BDSM comme ils le voudraient. En attendant, rythme du tac-tac ferroviaire, son esprit s'évade... Elle arrive après Lui, le repas est prêt, il n'y plus qu'à passer à table. "Non, ne t'assieds pas : je te veux en tenue." - Aprés manger ? - Non, maintenant. C'est maintenant que Je suis ton Maitre et toi ma soumise." Elle s'exécute. Pendant qu'elle se change, Il en profite pour sortir quelques sacs, et mettre le parfum qui envoute la femme avec qui Il partage Sa Vie. Il revient à table, et elle le rejoint. Magnifiquement vêtue d'un corset (un de plus) et d'un bas léger. Impossible de rester indifférent quand On sait tout ce que peut / va se passer ce soir-là. Il est presque envouté, même s'Il connait déjà bien cette tenue; mais malgré tout, c'est toujours la même magie qui opère, avec le même délice. Elle penche sa tête vers Lui afin qu'Il lui pose son collier, un tout fin. Puis, Il lui ordonne de le servir. Enfin, Il la fait mettre à genoux, à sa gauche, côté Cœur. "Bon appétit, ma soumise - Bon appétit, Maitre" Elle déguste son repas à genoux sur des coussins, l'assiette sur une chaise. Le main de son Maitre la caresse. Elle passe dans ses cheveux, le cou, effleure la joue. Quand elle s'approche trop prés, sa soumise lui laisse un baiser. Aucun bruit Silence Un moment de partage et de profonde tendresse se joue. Instant magique où tout se dit par le toucher, les caresses et le regard. Tous ces regards qu'elle Lui lance ... Des regardes qui L'ont charmé au tout début de leur histoire. Il déguste ces Yeux de toute leur beauté, sans en lâcher une miette, sans être rassasié. Elle est là, à ses pieds, pour Lui. Il est là, prenant l'offrande de son corps et de son âme comme un cadeau unique, précieux et fragile et tellement puissant à la fois. Cette caresse qu'Il lui fait sur la joue et une caresse d'Amour, de tendresse, mais également d'appartenance et de propriété. Elle est à Lui. Les assiettes vides (elles ont failli être froides), Il se lève pour débarrasser. Mais au moment où elle voulut le suivre, Il la prit par le cou pour l'agenouiller à nouveau. " Mon joyau me sert, m'attend, mais n'est pas la boniche". Il joint la parole au geste en l'attachant à la table d'une simple corde passant dans son collier. Il aime cuisiner, et c'est aussi un plaisir pour Lui d'apporter ses "oeuvres" à table. Il revint avec le dessert maison, une créme chocolat (qui n'a failli jamais voir le jour, s'il n'avait pas épargné la tablette ...). "Sers-moi", en détachant le corde... Elle alla prendre la cuillère quand elle recula. Surpris, Il allait ouvrir la bouche, quand Il comprit ce qu'elle était en train de faire. La crème allait attendre ... Elle passa sous la table (pas pratique, le corset) et se mit face à Lui. Ses mains Lui massa son pantalon déjà très gonflé. Il ne retint pas ce premier soupir. Puis, elle passa la main vers Son intimité pour la ressortir. Raide, dure. Un doigt "innocent" vint titiller le bout, mais rapidement elle est aspirée dans une ambiance chaude et humide. Prenant les choses en main, Il laisse sa soumise réaliser cette divine fellation qu'Il n'a jamais demandé, mais O combien sublime.... Il se laisse faire, laissant le Plaisir monter progressivement. Ce massage est tout simplement exceptionnel. A chaque fois, il est unique. Sa queue disparait pratiquement dans ce Paradis pendant qu'une main caresse vigoureusement la verge et les boules. Aucune zone est épargnée, la moindre partie reçoit sa dose de Plaisir. Il aime ça. Elle aime ça. La soirée ne fait que débuter et risque de s'écouter trop vite s'Il ne la fait pas arrêter. Il recule et la fait lever. Prenant sa tête entre Ses mains, Il plonge sa langue dans sa bouche pour fouiller le moindre recoin. A son tour, elle pousse des gémissements, fermant les yeux de Plaisir. Sortant une paire de menottes de sa poche, Il lui attache les mains dans le dos et reprend la corde qui était restée accrochée au collier. "Viens", fit-il. Tirant la corde, elle Le suit. Le corset est rapidement retiré, ainsi que tous les autres tissus. Il ne reste plus que les talons aux pieds, mais Il est trop fétichiste de ces objets pour les retirer. "Tourne-toi". Elle Lui tourne le dos, offrant son Corps pour la suite de la soirée. Ce corps ... Il a décidé de le sublimer avec un mélange de cordes blanches et noires. Elles enlacent fortement sa poitrine, emprisonnant ses bras. Les seins ressortent d'entre ces cordes, les mettant en valeur sans égal. Chaque serrage lâche un léger soupir d'elle. Puis, Il pose sa tête sur son épaule, caressant sa joue contre la sienne. Un nouveau moment de tendresse et de câlin s'installe. Elle s'abandonne le temps de ces caresses... Quand Il eut terminé avec les cordes, Il la fit mettre à genoux sur le lit chevilles écartées et attachées. " Tu m'as offert un dessert tout à l'heure. Voici le mien". Joignant le geste à la parole, il claqua sa main sur une de ses fesses. Puis, l'autre prit sa fessée dans la foulée. Il lui donne ainsi la fessée pendant un moment, dosant chacune ses claques. Suffisamment fortes pour faire rougir la peau et faire monter le plaisir. Mais pas trop pour que la douleur ne soit pas trop forte. Les claques se suivent et sa soumise lâche des soupires, son corps ondule à mesure que le Plaisir monte. Une autre claque s'abat, c'est la cravache qui entre en scène, puis le martinet. Le voilà à jouer avec 3 objets, les sensations sont multiples. Il se délecte de ce spectacle, de cette peau qui rougit, de ce corps qui n'en peut plus d'onduler, de sursauter à chaque claque, de ses gémissements qui en appellent d'autres. Ce corps offert, ses mains qui procurent le plaisir ... Cette fois, Il lui pose un bandeau et place un bâillon. "Tu veux crier, fais-toi plaisir". Ses gémissements ont un effet étonnamment mais puissamment érotique. Cela faut partie de son Plaisir qu'Il s'offre. Il aime ce son, mêlé aux claques de la fessée, de la cravache ou du martinet, nouvellement entré en scène. Jouer de ce corps, ouvrir les vannes de Sensations et voir sa soumise se laisser emporter par ce flot est un spectacle unique qu'Il aime produire et dont Il ne se lasse jamais. "Laisse-toi aller, et crie si tu veux" La vague de Plaisir est gigantesque quand Il prend possession de sa soumise après une dernière fessée. Le gémissement ainsi arraché quand Il rentre en elle manque de le finir prématurément. L'excitation est déjà tellement puissante ... Mais Il n'a pas l'intention d'en rester là et prenant sa soumise en main, lui largue une autre vague de sensations via ses va-et-vients. Rien n'est épargné. La peau claque, l'odeur érotique des 2 corps en fusion envoute la pièce. Il saisit la corde qui maintient la poitrine de sa soumise prisonnière et tire violemment, afin de profiter au maximum du sexe de sa soumise. Des gémissements sont à nouveau arrachés; ils s'intensifient, ils sont de plus en plus nombreux et difficilement contrôlables. Quant à Lui ... Dans un ultime accoups sur la corde, Il s'emporte dans un tourbillon de Plaisirs se laissant totalement envahir par l'extase. ... Le temps semble s'être arrêté ... Petit à petit, les mains qui avaient claqué auparavant détachent les liens. Les mêmes caressent ce Corps qu'elles ont eu sous elles pendant ces instants magiques. Les mêmes caressent ce visage, ce visage de sa soumise revenant, elle aussi, d'un voyage quelque part dans le 7ème ciel. Les cordes sont entassées, trainent sous leurs corps, enlacés l'un dans l'autre pour cet autres moment de tendresse. ... "Notre train arrive en gare, terminus ! " Retour sur Terre, la vraie, le train, la fin de journée, longue journée, réveil qui sonne tôt.... A très vite, ma soumise Je t'aime Ton Maitre / Homme
190 vues 2 aime
Par : le 01/02/15
Mon Maître ne m'est pas inconnu bien qu'aucune rencontre ait été avant mi janvier 2015. En effet, fin 2009 suite à mon annonce sur un site BDSM, il m'avait envoyé une ligne dans un mail, avec toujours cette pointe d'humour. Tous deux étions en 'quête', lui ayant fait une belle rencontre quelques mois avant que mon ancien Maître ne m'écrive. Nos chemins se sont éloignés. Les rares échanges se faisaient quand de nouvelles galeries ou de nouveaux récits étaient validés. J'étais fan des écrits de sa soumise, un suivi épisodique entre nous. Il m'écrivait parfois des mails auxquels je ne répondais pas, n'étant pas très bien vu la fin de ma relation. Il m’arrivait d’accepter ses coups de fil et j'en étais troublée. À d’autres moments je faisais silence, mettant de la distance. Patient il était là. Je recevais un courrier de temps en temps, toujours avec un peu d’humour pour me faire sourire, malgré ma tristesse. Un peu plus tard, sachant mon annonce modifiée, il a correspondu de nouveau, toujours délicat, respectueux, prenant de mes nouvelles. À aucun moment il n’a essayé de pénétrer dans cette brèche non cicatrisée. Non pas comme certains profiteurs trop pressés, s’imaginant déjà vous posséder, voulant s’imposer dès les premiers mots échangés. Des mots avilissants, déshonorants, qu’un vrai Maître ne saurai prononcer sans connaître la personnalité, les besoins mais également les limites de sa soumise. Ses vœux pour la fin d'année m'ont touchée. Depuis le contact s'est fait en suivi. La relation D/s avec sa soumise s'est terminée depuis peu. De part et d'autre, nous gardons ce beau vécu en notre cœur mais également contact avec cElle ou ceLui qui nous a fait vivre d'intenses bonheurs. Une photo m'avait été envoyée ainsi qu’un petit échange par cam. Non pas pour confirmer la réalité de la personne mais pour mieux afficher un visage à un instant T. J’ai pu le découvrir de visu. Mon cœur a parlé en le voyant à la gare, bien qu'il ait fait le « pitre » avec son humour toujours présent. Impression bizarre, comme des retrouvailles. A un moment donné j'en ai été émue, déjà des pleurs. J'étais en confiance et tard le soir un premier abandon. Tant de choses intenses se sont passées lors de ce beau week-end, votre accueil, respect, l'invitation de vos amis Justine et sa Maîtresse, la découverte de ce superbe donjon. J'étais émerveillée et l'émotion m'a submergé. Entre nous c'est très fort et j'avoue que cela me fait un peu peur. J'ai fait le choix de vous suivre dans ma soumission. Vous avez touché mon cœur, mon âme et mon corps et je vous dis : encore. Vous me faites voyager, me dépasser, me délivrer de certains mots bannis, pouvoir enfin les rayer de mon vocabulaire interdit en souvenir d'une certaine enfance... Ce mot qui refusait de sortir de ma bouche: « plaisir ». J'arrive à le dire depuis peu, je le remplaçais par bonheur ou le mettais entre parenthèses dans mes récits, articles. À un moment de la domination chez Justine, vous vous êtes placé devant moi à me parler doucement. Je vous ai écouté, j'ai accepté que vous caressiez mon corps, que vous m'embrassiez. Ce que je refusais depuis mon entrée en soumission, avec vous le verrou a sauté. J'ai encore pleuré, baissant ma tête, ne vous regardant plus. La photo où vous êtes devant moi est forte en ce symbole de lâcher-prise. J'avoue que depuis cet instant vous avez allumé le feu en moi. Bien que des étincelles à répétition ont été la veille. J'avais dit et écrit que je n'aurai qu'un seul Maître dans ma vie. Quand une Personne se présente, humble, respectueuse, me plait, que le feeling est en la réalité, pourquoi laisserai-je passer ma chance. Y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. 61 ans (l'âge est dans la tête) un autre livre s'ouvre. Comme quoi il ne faut pas dire : jamais. Nous ne savons pas de quoi demain sera fait. Tourner la page sans en oublier le vécu n’est parfois pas aisé, la vie continue. La vie est belle et réserve de bien magnifiques surprises. le 30 janvier 2015
211 vues 10 aime
Par : le 25/01/15
J'ai rêvé de vous une nuit Le manque de votre odeur Semant une tel ampleur Dans le fond de mon lit Le manque de votre peau M'accordant tous ces mots M'infligeant tous ces maux Quelques-uns, si beaux Je rêve d'une ivresse De nos peaux attirées De nos corps mêlés De tourments en liesse Le manque de votre visage Les sourires et les images De nos regards si profonds De ce tout premier abandon J'ai rêvé de vous, une nuit J'en ai pleuré, j'en ai souri De nos échanges plaisants Au souvenir des instants Ce soir, je n'ai plus de mots Me laissant quelques maux Lassée, j'ai choisi le silence Pour réfléchir à l'appartenance le 24 janvier 2015 à 17 h 15
145 vues 7 aime
Par : le 22/01/15
A mon Amour, qui partage ma Vie depuis plus d'un an A ma fierté de soumise A Vous, qui avez changé ma Vie Je Vous aime .... (récit imaginé pendant une insomnie) La journée avait été bien longue... comme bien souvent. La soirée serait a la hauteur de leurs attentes après avoir subi la journée : magnifique, intime, intense. Du mois, ils l’espéraient ... La soirée débute après un bon repas, lors de la douche. Instant magique qui est celui de l'eau chaude qui coule sur les épaules... Sa soumise avait pris un bain juste avant pendant qu'il s'occupait de ce qu'il restait à faire. L'ordre avait été donné; elle avait suffisamment travaillé dur et méritait alors un moment détente au milieu de la mousse d'un bain. Il prend son temps... Il profite de ce répit où il n'y a pas de besoin de courir après la montre. Son esprit vagabonde ... A quelle sauce va-t-il mettre cette séance ? Inutile de faire un programme, ca n'a jamais été suivi ce qui ne retire en rien le plaisir reçu et partagé. Ce ne sont pas les fantasmes qui manquent et le problème est juste de choisir... Pendant qu'Il s'essuie, des bruits feutrés lui parviennent à son oreille. Que fait-elle ? Trop impatient, Il presse le pas... Elle est là, assise sur le lit, nue, stilettos aux pieds, son collier à cote d'elle et quelques sacs noirs posés au sol. Un puissant frisson parcourt son dos, hérissant son poil de tout son corps. La vue de ce spectacle, sa soumise l'attendant, offerte est sublime. Cette position l'excite tellement déjà ... "Es-tu prête à être mon jouet ?" lui dit-Il en la caressant sur la joue? - "Oui" - "Ca fait longtemps que je ne t'avais pas mis le collier", lui dit en posant le collier sur son cou. Son choix à elle s'était porté sur le collier mauve, fin, léger, sans ambiguïté de la position de celle qui a l'honneur de le porter... Le collier est à peine fermer qu'il lui accroche une laisse. " C'est ma chienne que je veux ce soir ..." et lui loge un baillon-boule rouge dans la bouche, bien serré. Puis, Il lui fixe ses 4 bracelets d'attache aux poignets et aux chevilles. Il prend son temps... L'excitation de sa soumise monte tout autant que la sienne. Sentir ses lanières de cuir emprisonner progressivement son corps est une sensation puissante pour elle. Une fois terminé, Il se place face à elle. Son membre, très gonflé est devant sa bouche bâillonnée. "Tu as une pris une initiative qui me ravit à un point tel que tu peux le voir. Tu as mérité une récompense." Il lui prend ses mains qu'Il pose sur sa queue. "Masse-la, doucement" Elle s'exécute, en le branlant doucement. Ses mains parcourent son pénis de tout son long. Il ne peut retenir quelques gémissements quand les doigts magiques de sa soumise massent le gland. Il passe sa main derrière sa tête pour la rapprocher de sa queue. La boule touche pratiquement le gland. Il lui ordonne de toujours masser... Un petit coup d’œil à sa soumise. Il feint de ne pas savoir qu'elle envie de le sucer, qu'Il la frustre. Mais ce petit jeu l'amuse et ca ne peut l'exciter que d'avantage pour son plus grand plaisir. "Suffit ! " Elle le regarde "Si tu la veux, insiste pour l'avoir" Aussitôt, Il la prend par la laisser pour la coucher sur le lit, en croix. Ecartelée, attachée au lit et soudainement bandée par un foulard, elle se laisse partir dans un Voyage que son Maitre lui offre. Un voyage de sensations, volupté et d'extases... Dés qu'il eut refermé le dernier mousqueton, il s'approche d'un des pieds de sa soumise, sublimé par ses talons. Objet fétiche pour Lui. Il honore ainsi ce pied en le massant et le léchant. C'est une première pour Lui, dans ce contexte érotique qu'il trouve trés sexy. Lécher les pieds de sa soumise ligotée n'est-ce pas justement profiter d'elle ? Il savoure ce moment qu'Il ne pensait pas si agréable. Puis, Il se positionne au-dessus de Hestia, lui retire le bâillon et lui tourne le dos. La vue de son sexe, bien humide le réjouit. Il se penche et pose ses lévres sur son clitoris pour l'embrasser; en même temps, Il place sa queue dans la bouche de sa soumise. Une queue bien large qui la remplit en entier. Mais aussitot que sa langue joue sur le clitoris, Il entame des mouvements de va-et-vient et lui baise la bouche. La Sienne se délecte du nectar qui recouvre toute la vulve. Il la lèche, et tantôt, il lui donne des coups de langue de chat au grés de ses gémissements de plaisir. Enfin, Il aspire ses levres entre les Siennes pour les sucer, étirer... ce parfum, il est enivrant... Il ne sent plus sa langue parcourir la moindre peau du sexe de sa soumise de plus en plus mouillé et chaud. Ce sexe offert ... Ce sexe pour Lui qu'il titille, lèche, suce, aspire avec un entrain de plus en plus fort. Il aurait déjà jouit s'Il ne s'était pas relevé. Sa soumise est essoufflée, son corps a pris une agréable teinte rouge. Il tire la laisse. " Il t'a plu ce cadeau ? " Haletante, elle répond par un signe de tête " Ton premier 69 ... J'espère qu'il ta plu... Si tu es sage, je te redonnerai ma queue. Mais pour l'instant, je vais te changer le collier". La détachant du lit, Il la tire par la laisse pour prendre un collier très large qu'il pose juste après avoir retiré l'autre. Se couchant sur le dos, Il lui remet son bâillon et la tire avec la laisse. Son visage à proximité, Il lui caresse la joue, la nuque et l'embrasse sur la boule. Le baillon-boule, autre objet fétiche pour Lui. Il aime la voir bâillonnée, certainement parce que cela exacerbe sa soumission, sa position de soumise. Si le temps le lui permettait, Il lui ordonnerait de le servir de temps à autre nue, en talons et bâillonnée. Mais il conçoit qu'il lui sauterait très vite dessus... Maniant la laisse, il lui ordonne implicitement de s'asseoir sur sa queue, trés raide. Un long gémissement sort de sa bouche en tombant à la reverse. Sa soumise s'empale sur son membre, se pénétrant de tout son long. Après avoir profité de ce moment d'extase, il se redresse pour lui fixer les mains derrière sa tête, au collier. Puis, il saisit un de ses jouets favoris : la cravache. Elle tapote, parcourant son corps, sur ses seins, son ventre, ses flancs. L'autre main la caresse ou effleure la peau pour titiller les sens. Posant la cravache, ses mains prennent possession des seins. Les tétons sont pincés, tirés, même aspirés par sa bouche quand Il se redresse. La ballet continue avec le retour de la cravache, plus fortement. Des légères marques apparaissent sur la peau déjà rosie quand sa bouche reprend les tétons entre les dents. Soudain, une sensation étrange de pincement sur le seins se fait ressentir. Une, deux, trois, quatre pinces sont posées sur le seins, sans ménagement. Très vite, l'autre est également recouvert de ces délicieux petits objets de torture. Ses mains jouent avec les pinces, les titillent, les décrochent pour les remettre juste à côté, mais le nombre ne cesse d'augmenter. Cette fois, c'est la cravache qui s'amuse à les gesticuler; cette garce s'emploie même à les faire glisser sur la peau pour les décrocher. La douleur est là, mélangée au plaisir. Brutalement, il saisit la laisse "La seule façon d'arrêter cette torture est de me faire jouir" Sa main s'abat sur une de ses fesses qui rougir aussitôt. "Fais-moi jouir, femelle ! ", ordonne-t-il. Une autre fessée claque dans la foulée. Tandis que Ses mains fouillent les pinces à la recherche de douleur, sa soumise fait des va-et-vient sur sa queue malgré les liens et ses mains attachées. Pas trés facile de s'empaler de haut en bas dans cette position mais son Maitre a sorti le martinet pour l'"encourager". Il claque sur son dos, juste ce qu'il faut pour exacerber un Plaisir envahissant. La douleur provoquée par les pinces devient si importante que toutes les sensations sont mélangées dans un tourbillon. Il ne distinque plus vraiment si tous les mouvements qu'elle fait sur Sa queue sont dus à la douleur ou au plaisir que cette pénétration procure. Le sien est au bord de l'explosion. Ce spectacle l'excite à un point inconcevable. Lui aussi part en Voyage, grâce à elle, sa soumise, par le don de son Corps - et de son Ame. Son esprit vagabonde; il se délecte de voir sa queue apparaitre et disparaitre dans le sexe de sa soumise de plus en plus rapidement (a cause de la douleur ?). Au bout de sa laisse, la chienne qu'elle est à ce moment halète à chaque mouvement. Il raffole de la voir ainsi, torturée de plaisir et continue de jouer de la cravache et des pinces. Elle aime cette douleur, être à ses ordres, s'abandonner à ses désirs, à Lui... Il n'a toujours pas joui, elle doit encore subir les pinces et se tortiller sur Son sexe. Mais progressivement, Il retire les pinces. Une par une, elles sont décrochées des seins. Ainsi libérés, Sa langue les lèche, parcourant toute la peau jusqu'au téton. "Retire-toi" Elle s'exécute Lui retirant le baillon-boule, Il lui pose un mord reliée à 2 petites pinces qu'Il fixe sur les tétons. "Tu vas pouvoir mordre tout ce que tu veux, chienne !" Rapprochant sa tête de la sienne "Je veux que tu gémisses tout ce que tu peux, que tu cries même, que tu te lâches ! si tu te retiens, je te punis !" Sans attendre de réponse, Il met sa soumise à 4 pattes, ligotant ses chevilles aux poignets. La vue de sa soumise cambrée au maximum, sexe offert et prêt, ligotée, baillonnée le met hors de Lui. En 2 mouvements, il passe une corde autour des épaules de son Jouet et la noue. Sans oublier une petite caresse aux pieds enfermés dans les talons, Il saisir la corde et fait rentrer sa queue dans le sexe de sa soumise. LA pénétration est longue, il fait durer pour savourer ce moment exceptionnel. Les gémissements de sa soumise trahissent un plaisir partagé. Puis, s'agrippant à la corde, Il ressort, puis revient aussi sec dans ce sexe chaud et mouillé. Il ne laisse aucun répit à sa soumise qu'il prend avec de plus en plus d'énergie. Cette violence bestiale emmène directement sa soumise au 7e Ciel. Il augmente la cadence, elle gémit fort, limite de crier. Il aime ca N'écoutant plus que les cris de plaisirs, il se laisse partir lui aussi, libérant toute la pression qu'il retenait dans un moment de plaisir intense et unique... Le calme revient La corde se détend Les poignes se desserrent Un mousqueton s'ouvre, puis un autre.... Doucement, il la libère Doucement, il la prend dans ses bras Doucement, il la caresse Doucement, il l’embrasse Doucement, ils atterrissent... Doucement, ils s'endorment dans les bras de l'un et de l'autre .... ... Je t'aime, mon Amour
161 vues 6 aime
Par : le 12/01/15
1) toute "neuve" ou presque, l'univers bdsm est en moi de longue date et Le lien de Vanessa Duriès a été un livre de chevet (ou presque) quand j'avais 22 ans2) Mon vrai livre de chevet était Le Petit Prince 3) J'adore la poésie, notamment la poésie érotique voire pornographique4) L'écrit peut être un véritable outil d'érotisme et de soumission, au même titre que des bas, des sex toys ou une corde.5) Le cerveau est une zone érogène majeure chez moi (ce qui fait de moi une future soumise avec des prédispositions, non ?)6) Je suis très sensuelle et dans la vie quotidienne comme dans ma vie sexuelle, j'utilise mes 5 sens, gouvernés bien sûr par le cerveau (cf ci-dessus)7) je respecte le calendrier des saisons et si j'adore les fraises (mais pas l'arôme de synthèse, n'est ce pas Maîtresse Maestria ?), j'aime attendre leur pleine maturité : la frustration fait grandir le désir et le plaisir...8) je suis gourmande, et surtout gourmet, je suis moi aussi BBW ;-) 9) je cuisine très bien (clin d'oeil à Monsieur) et ceci explique cela...10) et pourtant j'ai été entraîneur sportif dans mon jeune temps...11) qui dit gastronomie, dit vin. J'aime le déguster, le siroter, l'accorder aux mets.12) je ne porte pas de bijou13) j'aime me costumer 14) Je préfère une peau "nue" à un mauvais parfum15) J'aime la forêt, ses parfums d'humus et de résine 16) parfois j'embrasse les arbres17) je trie mes déchets depuis l'âge de 14 ans18) j'adore les comédies musicales des années 40/50 et le tap dance (que je ne pratique pas hélas)19) Je suis fan de Game of thrones20) Je hais les grains de sable qui restent collés à la peau mais je me soigne21) Je préfère l'Atlantique à la Méditerrannée22) Il m'arrive de sucer des cailloux (pour mieux goûter le terroir d'un vin)23) Je hais le Mistral24) Mais j'adore la douceur chaude du soleil25) je suis bordélique26) je suis blogueuse, activité chronophage28) j'aime glaner dans les champs et me rouler dans l'herbe29) L'un de mes auteurs favoris est Colette, et je l'admire également en tant que femme30) Dans la vraie vie, je suis une femme déterminée, sûre d'elle, qui n'a pas froid aux yeux, assumée et libérée. Ferai-je une soumise digne de ce nom ?Défi réussi, mission remplie !RAPPEL DES REGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Maestria », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
284 vues 7 aime
Par : le 08/01/15
Il avait mis plusieurs années à découvrir son don. Un don ou une mutation, en tous les cas quelque chose qui allait changer la vie sur terre. Cela avait commencé par la sensation de voir au-delà de sa vision. Des fourmillements qui se rajoutaient à l’image vue. Un jour il s’était aperçu qu’il pouvait agir sur ces fourmillements. Une motte de beurre transformé en liquide. A partir de ce jour, il avait commencé à s’enfermer souvent pour faire des expériences. Et il avait approfondi son don en plusieurs autres années en ne faisant que cela, en oubliant de vivre. Il voyait les cordes des particules et pouvait les faire vibrer. Et ces vibrations avaient la faculté de transformer la matière et le temps. Il pouvait transformer la matière. Le liquide en solide ou gaz, le solide en liquide ou gaz et le gaz en solide ou liquide. Ou une matière en une autre, comme le plomb en or. De quoi devenir riche, mais en perdant l’envie. Il pouvait créer des courants électriques plus ou moins puissants, en tout endroit. Il aussi pouvait créer une bulle temporelle, à distance ou autour de lui, un endroit ou le temps se ralentissait ou même s’inversait. Puis quand la bulle se rétrécissait le temps de l’endroit revenait doucement au même tempo que tout ce qui l’entourait. Il avait finalement développer une sorte de force ultime. En même temps que cette force, cette puissance, cette capacité, une autre symétrique grandissait en lui. En même temps que cette force ultime, symétriquement venait en lui l’impossibilité de l’utiliser pour faire le mal. De la même manière que si Dieu peut nous tromper, il ne peut pas le vouloir, sa force pouvait tuer mais lui ne pouvait pas le vouloir. Un jour il s’était senti pleinement prêt. Prêt à aller affronter le monde. Et il était sorti de son enfermement pour aller le découvrir. Sa première découverte fut sa moitié, celle qui lui permettait d’assouvir ses envies de domination en étant d’une soumission absolue. Il n’avait pas eu à aller loin pour la trouver mais c’était un hasard quasi inouï. Invité au mariage d’une lointaine cousine, lui qui semblait s’être retiré de la vie du monde et n’était plus invité nulle part, il y était allé. Et il l’avait découverte au milieu de deux cent personnes la voyant comme si elle était seule. Habillée d’une robe rouge s’arrêtant à mi-cuisse avec des chaussures plates. Une plastique de miss France et un visage plus joli encore encadré de cheveux blonds et lisses. Il s’était approché petit à petit, pour arriver à côté d’elle. Elle avait des boucles d’oreilles étranges, des losanges de points noirs qui se prolongeaient jusqu’à une flèche de cinq pierres jaunes taillées, la plus grosse à la pointe de la flèche. Elle l’avait regardé, leurs yeux au même niveau s’étaient alors plongés les uns dans les autres, comme accrochés, pendant plusieurs secondes. Elle avait presque exactement sa taille et les yeux d’une couleur indéfinissable, claire mais ni bleue ni verte ni marron, une sorte de mélange des trois couleurs. Il avait alors en quelque sorte triché. Il avait utilisé son don pour titiller son sexe, le chauffer à distance. A travers sa robe, sans l’approcher, sans la toucher, il lui a fait ressentir du plaisir par une masturbation qu’elle ne pouvait comprendre. Elle avait aimé cela et s’en était étonnée en même temps. Ressentir du plaisir sexuel en voyant un homme pour la première fois cela ne lui était jamais arrivé auparavant. Ils avaient fini la soirée dans le même lit, chez lui. Elle avait immédiatement dévoilé sa nature masochiste. Elle s’était déshabillée sans un mot et elle avait demandé à être attachée. Il l’avait ligoté au lit, sur le ventre. Elle avait réclamé une fessée et un bâillon pour étouffer ses cris. Le dominant avait obéi à la soumise, quel paradoxe. Et il avait asséné une fessée magistrale, lui rougissant les fesses pendant une bonne demi-heure. Son bras n’était pas retenu. Avec elle il pouvait avoir un comportement violent, sans la retenue de la symétrie de la force. Elle était sa moitié, il était la sienne.
127 vues 0 aime
Par : le 05/01/15
Voici un article fort bien écrit que je me permets de publier, avec l'aimable autorisation de son auteur, Claude LEGENDRE Délivrez moi de moi... Quel est donc la motivation première de la soumise? Celle qui la pousse à se faire dominer dans ses relations sexuelles, jusqu'à parfois ses limites les plus extrêmes ? Sans doute parce qu'en ‘choisissant’ de perdre son libre arbitre, elle se libère ainsi de la peur primitive de l’humain envers l’écrasante responsabilité que constituent les innombrables décisions à prendre tout au long de sa vie. Contrairement aux idées reçues les femmes soumises sont presque toujours des femmes de caractère dans la vie. C'est souvent même une bonne manière de les repérer dans la vie de tous les jours ! Cette soumission consentie est pour elle un moyen de décompresser, de lâcher prise par rapport à un quotidien qu’elle aime ordinairement contrôler. Une façon d’inverser la tendance, de se laisser faire, de ne plus être en état de pouvoir réellement maîtriser cette nouvelle situation. Une sorte d’exutoire, d’oubli de soi...Sous contrainte maximale, la voici soudainement libérée de toute obligation d’action, de toutes responsabilités... Et puisqu'on décide de tout pour elle, elle n’a rien à délibérer, rien à trancher et réintègre ainsi le paradis perdu de la petite enfance ! Et un choix de transcendance spirituelle par l’oblitération du Soi qui ne passe plus par la prière enfantine, tombée en désuétude, mais par le masochisme et l’objectification sexuelle. Bien sûr dans sa jeunesse notre soumise s'est trouvée confrontée à ces fantasmes qui lui faisaient peur et honte, en contraste total avec son éducation et plus tard, avec d'éventuelles idées féministes. Combien ai-je vu ainsi de féministes s'étonner de découvrir ces penchants si soigneusement cachés au plus profond d'elles-mêmes ? Mais après avoir franchi le pas, leur regard change et elles reconnaissent que dans un cadre limite, établi à deux, elles s’épanouissent pleinement. Même si dans la vie au quotidien elles sont toujours loin d'être soumises ! Force leur est de reconnaître que dans cette nouvelle condition elles se sentent respectées, admirées, même quand elles se font cracher au visage. « Parce que c’est plus profond que ça, parce que je le veux », « Je me sens respectée parce que je me respecte, parce que j’en ai envie et que l’autre est à mon écoute. » Sans doute est-ce aussi parce que les relations avec leurs différents partenaires sont très profondes et nécessitent de part et d'autre, une implication totale de soi, contrairement aux relations classiques qui se succèdent, sans trop laisser d'empreintes sur les âmes et les corps... La confiance étant une chose essentielle dans cette relation, il faut accepter de se dévoiler totalement physiquement et mentalement, et accepter aussi tous les aspects de l’autre. Plus de tabous, les limites sont verbalisées, parfois repoussées, mais jamais dépassées sauf si les deux protagonistes l'ont souhaité. La confiance doit être totale mais suppose de se connaître parfaitement l'un, l’autre. Le dominant seul sait qu'un « non » peut vouloir dire « oui », qu'une muette acceptation peut être un signal pour aller plus loin et qu'un regard échangé peut signifier l'implicite acceptation de franchir une nouvelle étape, bien au-delà des limites convenues. Délicat : surtout pas se tromper et sentir parfaitement les besoins de l’autre... Quant à la découverte de la douleur… La soumise découvre qu'elle est relative et se teinte vite de plaisir. Oui une claque fait mal, tout comme se faire étrangler, tirer les cheveux ou se faire pénétrer « violemment ». Mais c’est une douleur recherchée, consentie, différente des autres, presque apaisante lorsqu’elle arrive ! Et quel délicieux suspense avant que la claque n’arrive ! Et quels précieux instants que ceux qui voient lorsque l'esprit s'égarer indéfiniment dans l'infini du « subspace », signant ainsi, pour au moins un instant, pour un instant seulement,le moment si rare et si désiré du total oubli du soi ! Claude Legendre
205 vues 12 aime
Par : le 02/01/15
Mon (humble) avis sur le sujet…Un Maître est un être qui maîtrise ses sens, le plus pragmatiquement, et qui a pour but la révélation ultime de sa soumise. C’est à la fois son plaisir et son devoir, il guide, oriente, catalyse les possibilités cachées de sa soumise, il la révèle à elle-même, il est le jardiner d’une belle rose en devenir.Une soumise est une femme qui attend d’être guidée vers un plein épanouissement d’elle-même, dans une voie un peu spéciale mais qui lui convient. Elle délègue sa volonté à celui en qui elle a pleinement confiance. Elle se doit à une obéissance envers son Maître, à condition que celui-ci respecte sa part du contrat et, bien sûr, sa soumise. Elle est le jardin en friche, jardin qui sera, avec les bons soins du Maître, un hâvre pour les sens.Pour ce faire, il y a différentes voies, je dirais même, autant de voies que de soumises, car un bon Maître s’adapte, il ne conditionne pas, il magnifie doucement et sûrement ce qui est en germe chez sa soumise. Il n’est pas un petit chef tyrannique, elle n’est pas une bonne pâte flasque. C’est parce qu’elle le veut bien qu’il le veut pour elle.Nous avons donc, de part et d’autre, affaire à des personnes responsables dont le niveau d’échange, de don, d’ouverture et de maîtrise les place au dessus du niveau commun. Ce n’est pas toujours facile, mais, tous les deux, nous jouons à y parvenir…C’est mon point de vue… Et le vôtre ?
216 vues 2 aime
Par : le 23/12/14
En fait mon gout pour les black provient d’une rencontre due au hazard. Il y a 5 ans j’avais noué une relation avec une jeune black de 20 ans : 1m78, gros seins fermes et lourds, fesses rondes, également fermes et d’une cambrure extrème. Nous nous rencontrions pour des parties de jambe en l’air traditionnelle. Puis nous avons expérimenté les sex toys mais jusque là rien de sm ni rien dans la soumission. Puis je lui ai proposé de faire une rencontre en trio. Après avoir trouvé le partenaire idéal, nous nous sommes revues à 3 dans un hotel. Je suis hétéro et l’autre homme également. Là j’ai découvert ma belle Aubry (c’est le prénom de ma belle black) sous un jour insoupçonné. Seul regret : son peu de gout pour la sodomie. Mais en dehors de cela, ce fut un moment d’une extrémité sexuelle jamais atteint . Au début , c’était très calin et doux . Mais peu à peu Aubry s’est lachée : Volià qu’elle se lève du lit et va se mettre debout face contre le mur et remue les fesses à un rithme hyper rapide. Là, Patrick (prénom du mec que j’avais sélectionné pour ce trio), se plaque derrière elle, la soulève un peu et la prend (par la chatte, puisque pas amatrice de sodo, hélas…. Elle se dégage et le pousse. Moi, comme les choses avaient été hyper vite, j’étais juste debout à regarder sans comprendre ce qui se passait. Et voilà qu’après s’être décrochée brutalement da Patrick, elle se jette sur moi : je me retrouve dos au mur, elle se retourne et se penche en avant avec son cul plaqué contre mon sexe. Je la pénètre mais là comme je suis plaqué au mur impossible de faire le moindre va et vient. La voilà donc qui bouge son cul d’une façon incroyable . Moi je ne bouge plus, mais dedans je sens bien les va et vient impulsés par les mouvements de fesses d’Aubry. Patrick, qui lui semblait plus habitué, vient mettre son sexe dans la bouche d’Aubry. Je n’avais jamais fait cela avant et là ce fut l’extase et surtout je ne sais pas pourquoi mais je me suis mis à claquer les fesses d’Aubry sur le côté ; puis à m’aggripper à ses seins qui pendaient et à tirer sur ses tétons. Et là elle se redégage à nouveau : elle pousse Patrick qui se laisse tomber sur le lit derrière lui. Elle se retourne face à moi et me demande d’arréter d’être si doux et de la défoncer : « tu comprends rien ou quoi ? défonces moi et traite moi comme tu veux. ». Patrick qui a parfaitement entendu lui dit que lui il est ok et comprends bien ce qu’elle veut. Elle le regarde puis vient de mettre sur lui assise . Moi j’y comprend rien : je croyais que c’était un rv cool mais ça prend une tournure qui me chamboule. Finalement Patrick n’en peut plus et éjacule. Mais là Aubry est pas calmée alors qu’elle vient de jouir : elle entreprend de me sucer alors que je venais de retirer mon préservatif pour en changer (au bout d’un moment c’est mieux). Elle me suce à fond et là j’en peu plus et j’éjacule dans sa bouche . Elle se relève face à moi et ouvre la bouche. Puis elle me montre qu’elle est en train de tout avaler. Là je sais pas pourquoi mais j’ai été prendre le god ceinture creux que j’avais amené, je l’ai mis , j’ai allongé Aubry à plat ventre sur le lit et je me suis plaqué sur elle pour la pénétrer. Patrick nous a rejoins. Je pense qu’il avait du prendre un truc parce qu’alors qu’il avait éjaculé, son sexe était encore dur et tendu. Il le lui a entré dans la bouche. Pour la suite c’est devenu de plus en plus débridé : Patrick lui a demandé de se mettre à quatre pattes et de déambuler dans la chambre. Puis on lui a demandé de se masturber, de prendre des positions par terre ou sur le lit. On lui donnait des ordres : va chercher ceci, amène nous à boire, mange ça (en lui donnant de la nourriture sur le sol). Hélas on avait pas de matériel SM . Tout ce qu’on avait c’était le god ceinture. Donc j’ais pris la bouteille de champagne et je lui ai demandé de se l’enfoncer par le gouleau. Elle était allongée sur le dos et donc on a relevé ses jambes pour que le fond de champagne dans la bouteille s’écoule en elle. Finalement on savait plus quoi inventer : on a joué avec des aliments qu’on avait. On a même retourné la chaise à l’envers et après avoir mis un préservatif sur un des pieds on a demandé à Aubry de s’empaler dessus. A aucun moment, jamais, elle n’a manifesté la moindre résistance. Jamais aucun refus. Elle faisait tout à fond. Elle faisait aussi exprès par moment de mal faire les choses pour être punie : elle m’a jeté au visage le verre d’eau que je lui avait demandé de m’amener. Du coup je l’ai mise en levrette et je lui ai administré une fessée. Mais même au plus fort que j’ai pu taper elle n’a pas protesté. A la fin elle a même voulu qu’on la fasse re-jouir à nouveau chacun son tour en la prenant mais de façon plus traditionnelle. Voilà comment j’ai pris conscience de mon gout pour les jeux de soumission. Et je ne vois aucune européenne capable d’autant de choses.
237 vues 1 like
Par : le 15/12/14
Maître m'avait dit d'être chez lui à 16h précise. J'y arrive à 15h55, me gare devant chez lui et l'appele à 15h59 pour le prévenir que je suis arrivée. Nous entrons dans la maison, j'enlève mon manteau, pose mon sac à main, me dirige vers le salon. Maitre me dit qu'aujourd'hui, nous irons dans une autre pièce de la maison. Nous arrivons dans une pièce où se trouve une sorte d'échaffaudage métallique et je me dis qu il va m'attacher aux montants et j'en suis toute excitée. Je vois aussi plusieurs martinets en cuir sur un escabeau. Il me dis de me déshabiller et d'attendre. Maitre me pose une question et étourdiment, je réponds "oui" sans réfléchir. Je reçois alors une gifle à laquelle je ne m'attendais pas du tout et il me dit "oui qui" d'une voix changée et sourde, ses yeux noirs et grand ouvert sont devenus sévères et presque menaçant . Je m'empresse de répondre "oui monsieur". Cela me déstabilise quelque peu et me vexe. Ensuite, il me met une sorte de cagoule sur la tête. Je ne vois plus rien ; il y a juste des trous pour la bouche et les narines. Je l'entends bouger dans la pièce, fouiller dans ce qui me semble être un sac. Je suis debout, les mains dans le dos, en bas et porte-jarretelles et j'attends. Il me dit de poser mes mains sur l'étagère qui se trouve derrière dans mon dos . Je sens qu'il s'empare de mon sein gauche et qu il enroule une corde autour. Puis il fait de même avec le sein droit et les relie ensemble, puis il passe la corde autour de mes épaules et l'attache dans mon dos. J'adore cette sensation d'être contenue, emprisonnée, les seins très serrés avec la corde. Ensuite, il me passe des attaches en cuir autour des poignets et des chevilles. Je sens un martinet me fouetter les seins doucement, puis plus fermement. Puis il me dit de me retourner. Il m'attache les bras aux 2 montants verticaux de l'échafaudage ; j'ai donc les bras tendus, écartelés, vers le haut. Le martinet commence à s'abattre doucement pour me chauffer la peau, puis de + en + fort, sur mes fesses, mes hanches, mon dos, mes épaules, mes aisselles, le haut de mes bras, le derrière de mes cuisses. Il me dit de bien me cambrer en avant et d'écarter les cuisses, de plier les genoux. J'essaie au maximum de répondre à ses désirs, mais je suis attachée par les poignets et cela tire beaucoup sur mes bras m'empêchant de bouger plus. En plus, le bracelet sur mon poignet droit est trop serré, je sens des fourmis dans ma main. Je le dis à Maître et il le desserre. Il poursuit le fouettage, ainsi que sur mon sexe. Tout à coup, je sens un coup différent toucher ma chatte : un coup bref, sourd et je me rend compte qu'il a frappé avec son pied chaussé. Il recommence plusieurs fois à me donner des coups de pieds. La douleur n'est pas forte, mais je me sens terriblement humiliée, avilie, les larmes me viennent aux yeux sous ma cagoule, sans que je sache véritablement pourquoi. Et Il le sait parfaitement..... Il me caresse doucement la chatte et me demande "tu mouilles petite salope ?". Je réponds "non Monsieur, pas avec le fouet". Ensuite, il reprend son fouettage avec son fouet cette fois-ci sur mes épaules, mon dos et surtout mes fesses et j'adore ça. Je me sens entrer dans ma bulle : ressentir ce bien-être que j'éprouve quand je sens la lanière de son fouet s'abattre sur moi, puis toujours au même endroit plusieurs fois de suite, que la douleur augmente ainsi à chaque coup. Mes gémissements s'amplifient, je pousse des petits cris de douleur-plaisir, mon esprit s'envole doucement, je ne sais plus vraiment où je suis. J'entends sa voix de très loin et il est obligé de répéter sa question un peu plus fort pour que je puisse l'entendre et lui répondre . Il me demande si je vais bien et je lui réponds dans un souffle "oui Monsieur". Au bout d'un long moment à ce rythme, il me détache, m'ordonne de me tourner et m'attache de nouveau les poignets ainsi mes chevilles aux montants verticaux de l'échafaudage . Je suis écartelée comme sur une croix de Saint-André. Il réajuste la cagoule qui a un peu bougé vers le haut de mon visage et me pince fortement les tétons de mes seins bondagés. Ils sont très sensibles et je pousse un petit cri de de surprise et de douleur mêlées. Maitre me demande si ça va et si cela me plait, je réponds "oui , merci Monsieur". Maitre prend un autre martinet et commence à me fouetter les seins assez doucement, puis beaucoup plus fort. Il vise les tétons ; cela est extrêmement douloureux. Je me tortille dans tous les sens malgré que je sois attachée et que je ne peux pas échapper aux lanières en cuir qui me vrillent la peau. Je gémis très fort, je crie parfois, ma respiration est de plus en plus ample. Maître me dit de sa voix calme et posée "si tu continues de crier, je vais te mettre un bâillon". Ensuite, il me détache les chevilles et il me demande alors de m'asseoir sur l'un des montants horizontaux de l'échafaudage . Il m'attache alors les chevilles aux montants verticaux. Je suis totalement à sa merci, la chatte exposée à sa vue et à ses prochains sévices. Durant quelques secondes, cela me terrifie un peu. Je sens de nouveau la lanière du fouet que j'aime tant, me strier les tétons, s'attarder longuement sur mon ventre à en devenir très mordant et très douloureux, puis il frappe mon sexe. A ce moment-là, je repars dans ma bulle, car la douleur est très forte. Je continue de me tortiller, je crie aussi par moment et dans un réflexe mes cuisses tentent de se serrer , mais ne le peuvent pas car j'ai les pieds attachés, les jambes tendues. Maitre me répète : "si tu recommences à crier, je vais te mettre un bâillon". Je me concentre alors et ne crie plus. Je n'ai pas envie d'avoir un bâillon sur la bouche, mais je gémis toujours très fort cependant. Maitre me demande de nouveau "ça va petite salope, cela te plait ?" et je réponds "oui beaucoup, merci Monsieur". Il continue encore un peu à me fouetter le corps, c'est insupportable et délicieux en même temps. Puis il me détache alors les chevilles et les poignets, je suis très fatiguée, mes jambes tremblent un peu et j'émerge difficilement de ma bulle. Il me dit de m'allonger sur l'échafaudage et me met un coussin sous la tête. Il m'attache de nouveau à l'étagère, les bras au dessus de ma tête, les jambes pendantes et une corde autour de chaque genou. Je me demande ce qu il va se passer et espère secrètement qu'il va cesser le fouettage. Tout à coup, j'entends le bruit d'un briquet et mon excitation revient malgré ma fatigue. Maître va me faire le plaisir d'utiliser la cire de bougie. Je sens les premières gouttes brûlantes tombées sur mon pubis. Hummmmm , j'aime ça! Les suivantes tombent sur mes grandes lèvres : ça pique fort, ça brûle. Maître ne s'arrête pas, continue inlassablement à faire tomber la cire de plus en plus prêt de ma peau. Ma peau me brûle! Je m'évade, je suis bien, je sens mon plaisir monter au fur et à mesure. A un certain moment, je sens qu'il enlève une partie de la cire solidifiée et qu'il m'écarte les grandes lèvres. Je sens de nouveau la cire, mais cette fois-ci sur mon clitoris. Les premières gouttes sont une torture, pourtant j'adore ça. Il continue imperturbable, concentré sur sa tâche et je commence à n'en plus pouvoir. Il s'arrête enfin. Puis il m'enlève la cagoule et me détache. Mes jambes tremblent un peu, mes larmes coulent, je me sens ailleurs. Je ne me suis jamais sentie dans cet état d'abandon aussi fort, de lâcher-prise. J'entends sa voix très loin qui me demande ce qui passe, étonné de me voir pleurer. J'ai besoin de redescendre, je continue de pleurer sans pouvoir m'arrêter, allongée sur l'échafaudage , le bras droit sur les yeux, car gênée par la lumière. Il s'inquiète pour moi, mais j'arrive à lui dire que tout va bien. Je lui dis que la lumière me gêne, alors il va éteindre la lumière. Nous sommes maintenant dans la pénombre, il vient s'asseoir près de moi et me caresse le bras doucement. A ce moment là, je me tourne sur le côté vers lui et je prends sa main gauche que j'embrasse plusieurs fois et je le remercie pour le plaisir qu il m'a donné. Je ne sais pas s'il perçoit mon émotion à cet instant précis, je pense que oui. Il me demande si je suis bien installée, je dis oui, que j'aimerais restée encore un moment ainsi. Nous discutons un moment de ce qui vient de se passer. Ensuite, il m'aide à descendre de l échafaudage en me demandant encore si je vais bien et je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Un fois rhabillée, je vais le rejoindre sur le canapé où il est installé et je pose ma tête sur son épaule. Nous discutons longuement de tout et de rien en écoutant de la musique. Puis je dois repartir et rentrer chez moi, épuisée. Il m'accompagne jusqu'au portail et nous échangeons de doux baisers. Il me redemande encore si notre rencontre m'a plu et je lui réponds de nouveau que j'ai adoré. Et je rentre chez moi dans un petit nuage de bonheur et de satisfaction
566 vues 10 aime
Par : le 01/12/14
Nuage gris, montagnes noires, routes brillantes, météo morose et le chat dort (aucun rapport). L'hiver tarde à venir et aucune neige ne semble vouloir blanchir ce paysage qui le mérite. A l'intérieur, le sapin est monté, il brille. Un sapin ? Cela faisait bien longtemps que j'en avais pas monté un, mais depuis la Vie a bien changé ... Il y a encore un an, je relevais l'épreuve autoroutière pour rejoindre ma soumise. J'étais même venu à l'improviste, afin de pimenter des WEs trop rares ensembles. Mais nous étions déjà las de devoir attendre trop longtemps pour nous voir et d'utiliser une cam à 10€ pour remplacer le réel... Alors, naissait le projet de déménager afin de partager la même clef d'appartement et me voici parti prospecter ... A peine un mois plus tard, Notre changement de Vie commençait pour Nous 2. Ce fut l'un des mes plus agités et des plus beaux Noël que j'ai eu. Le Ciel Nous a fait croisé nos chemins, et nous Voici ensemble pour le bâtir. Quel autre plus beau cadeau puisse exister ? Quel merveilleux Cadeau d'être ton Maitre, tous les jours, pour bâtir notre Avenir ! Quel fabuleux cadeau tu m'offres quand Nous vivons ces moments forts, en osmose... Je t'aime ma soumise
109 vues 5 aime
Par : le 30/11/14
Maitre m'avait dit, vient vendredi soir à 20h pour recevoir 50 coups de fouet minimum sur les fesses. A la lecture du SMS le mercredi, j'en jubilais d'avance et avais hâte d'y être. A mon arrivée chez lui, je constate qu il a changé la grande table de la salle à manger de sens. Dessus je vois une couverture rouge pliée en 2 et des bouts de baguettes et d' instruments qui dépassent. Il me dit, déshabille-toi et installe-toi debout au bout de la table. Pendant que j’enlève ma jupe, mon chemisier, mon soutien-gorge et mes bottes, il déplit la couverture. Puis, il me dit de me pencher en avant sur la table, les bras allongés devant moi. Il prend des cordes et m'attachent les poignets ensemble, puis à 2 pieds de la table. J'ai les bras bloqués. Je vois les instruments "de torture" posés à l'autre bout de la table devant moi : un martinet en cuir, 2 badines, 1 cravache, 2 fouets de dressage. Il les enlève tous de la table et les pose sur une chaise à ma gauche. Je regarde le mur devant moi et attends le premier coup qui ne tarde pas à arriver. Il a pris 1 des 2 badines, la plus fine et m'en donne quelques coups sur les fesses, les hanches de manière assez appuyée. Puis il me dit d'embrasser le bout de la badine et compte après chaque baiser. Ce sera 20 coups de badine. Il se repositionne derrière moi à ma gauche et commence à me frapper les fesses , les hanches et le bas du dos sans ménagement. Je suis assez surprise de l'intensité des coups dès le départ et pousse un "Oh" de douleur et respire très fort, gémit , grimace, gigote les jambes. Il s'arrête et ma respiration redevient normale. Il pose la badine sur la table devant moi, se retourne et prend alors un des 2 fouets de dressage. Le manège recommence, je dois embrasser une des extrémités du fouet; ce sera 30 coups. Il se remet en place à sa manière assez nonchalante et calme qui est assez impressionnante. Il me demande si je suis prête pour la suite de sa voix devenue sourde. Je réponds "oui Monsieur". Le fouet s'abat alors de façon assez régulière sur mes fesses, mes hanches, le derrière de mes cuisses, puis plus régulièrement et plus fortement. Au bout de quelques coups, je ne peux pas m'empêcher de gémir très fort, ma respiration s'accélère amplement, je pousse alors des petits cris, puis des cris plus forts. Je me concentre pour ne pas crier plus fort. Je gigote dans tous les sens, les cordes sur mes poignets se détendent tellement je tire fort dessus. Je sens mes fesses me chauffer, me brûler, la douleur est intense, mais m'apporte un bien-être physique en même temps, difficile à expliquer. Maitre me laisse quelques instants de répit afin que je reprenne mes esprits et mon calme et il s'empare le la grosse badine en bambou de son jardin. Le rituel des baisers reprend et j'embrasse 10 fois la badine. Ce sera donc 10 coups de badine. Le ballet des coups reprend, sensation différente, coups moins cinglants que le fouet et plus supportable, même si ma peau est déjà cuisante. Je n'en peux plus, mais pourtant, j'ai encore envie que cette douleur me vrille les fesses, que cette douleur étrange s'empare de ma peau et que ce bien-être m'envahisse de nouveau. Maitre pose la badine près des autres instruments sur la table et s'empare du martinet en cuir. Il le pose devant moi, me dit de l'embrasser. Je pose 10 baisers sur les brins du martinet. Maitre me dit que ce n'est pas suffisant et double le nombre. Il me donne donc 20 coups sur les fesses avec le martinet, puis le pose sur la table avec le reste. Il me demande comment je me sens et si je veux une autre série de coups de fouet de dressage. Je dis oui Monsieur. Il me précise alors que s'il me frappe ce sera 10 coups très, très forts et me demande si je serais capable de les supporter. je réponds oui après un instant de réflexion. Mais il me dit non, ce serait trop, au vu de mon hésitation et parce qu'il juge que c'est suffisant pour ce soir. Maitre m'enlève les cordes qui tiennent mes poignets, me prodigue un geste de tendresse en me caressant les cheveux et me dit de me retourner. Il m'attache les poignets ensuite dans le dos avec la corde et me dit de bien écarter mes jambes. Je suis debout , mes fesses brûlantes appuyées à la table. Il me donne des claques sur les seins , puis commence à me fouetter les seins avec le martinet, puis la chatte et l'intérieur des cuisses. Puis il stoppe et prend la cravache. Il vise mes tétons sensibles, frappe sur chaque sein sans s'arrêter. Je gigote beaucoup, en soufflant très fort, car la douleur est intense. Enfin, il s'arrête, me caresse légèrement les seins et me détache en me demandant comment je vais et en me prenant dans ses bras..........
866 vues 11 aime
Par : le 29/11/14
Le jeu de la D/S en raccourci (domination/soumission) est un jeu entre adultes consentants avant tout. Les scénarios mis en place par ces jeux permettent à l’homme et à la femme de ressentir des plaisirs différents de ceux qu’il sont habitués dans leurs rôles habituels. Il y a donc un dominant et une soumise (même si c’est l’homme on parle au féminin), généralement nous avons chacun une préférence, mais parfois les rôles s’inversent on se dit qu’on est « switch ». Voici quelques exemples de jeux: •Le jeu de la contrainte, pour le plaisir de vos sens, vous serez retenue dans vos gestes, isolée de la vue ou réduite au silence •Le jeu de l’éducation, apprendre les bonnes manières pour devenir la digne femme de son homme pour lui être soumise tout au long de votre vie (celle du jeu ou plus!) •Le jeu de la punition consiste à la fois à faire subir et apprécier le châtiment corporel provoqué ou demandé (petite fessées, cravache, fouet etc..), elle invite au repentir pas à la douleur! Nous ne sommes pas dans le sado-masochisme, cela reste donc léger. •Le fétichisme est la forme sado-masochiste basée sur la beauté d’une scène, issue des fantasmes des hommes (parfois de la femme): la beauté reste la priorité. Le dominateur est en position supérieure en acceptant la soumise qui se donne à lui corps et âme, il doit respect et attention : elle devient son bien le plus précieux sa soumise se donne totalement à lui perd toutes défenses. La soumise est en position inférieure offerte au dominateur, elle devient son jouet, son esclave sexuel le temps des jeux lui donnant le pouvoir sur sa personne, ce qu’on appelle l’échange de pouvoir et le plaisir intense qu’il procure au dominant. Durant les jeux, il est important de pénétrer votre position et de jouer son rôle avec conviction, les premières fois ne seront pas faciles, gêne par manque d’expérience, foux rires etc.. Mais par la suite cela doit se transformer en art de vivre. Les accessoires sont indispensables pour ces jeux, commencez à remplir votre tiroir à malice avec un bandeau, bâillon, contrainte poignets/chevilles, cordes, cravache, martinet, plug, god, lubrifiant etc… Au départ, la soumise se présente nue à son dominateur et graduellement elle érotise son corps avec de la lingerie, des bijoux, des tenues sexy, cuire, vinyle etc.. Les premières séances peuvent être définies à deux, être soft, définir ce qui nous plaît finalement et ce qui ne nous plaît pas… Vous pouvez également chercher un maître ou aller dans un club spécialisé pour voir l’effet que ces jeux vous font mais attention, soyez prêts à voir de tout: à vous de trouver vos formes de domination et soumission.
164 vues 2 aime
Par : le 17/11/14
Spontanée Douce Intuitive Bourrique Taquine Impulsive Lucide Subtile Combative Positive Je dis ce que je pense, pense ce que je dis (sans juger ni flatter), cela déplaît parfois et me porte préjudice, je n'ai pas l'intention de changer ma personnalité. On accepte une personne en son entier et pas une partie d'elle ou de lui. Je suis de nature curieuse, j'aime découvrir, apprendre, m'informer, lire. === La relation avec Mon Maître a pris fin en mars 2014 après quatre années de bonheur partagé dans la confiance, le respect et la sincérité réciproque. === Bonjour, Depuis le 23 mars 2010, j'appartiens à François qui est Mon Maître. Il va de soi, comprenne qui pourra que je ne suis PAS en recherche d'un autre, qu'obéir n'est que pour Lui. Rien ne se fait sans son aval, sa présence. Entre nous pas de contrat, de papier signé ; notre ciment est la sincérité, le respect, la confiance, la complicité, le dialogue, l'écoute ou chacun s'engage. Une relation Maître soumise n'est pas à sens unique. Certains moments, instants précieux, intenses ne se racontent pas, ne s'écrivent pas, ne peuvent se décrire, ils se vivent et pour ma part, je les garde dans l'écrin de mon coeur. Mon Maître me fait confiance pour mes dialogues, entre Nous la transparence ; je sais répondre SEULE si l'on m'importune, m'insulte ou ne respecte pas mon collier. Quand je suis dominée, je n'apprécie pas les caresses, qu'une personne me parle, ou m'encourage à sa façon, j'aime me concentrer SEULE, être dans ma bulle au calme ou musique douce. Je sais faire honneur à Mon Maître SEULE, je m'y emploie pour le satisfaire, qu'il soit heureux et fier. J'aime avoir des marques visibles ou invisibles, aucune n'est un trophée, je n'ai rien à gagner, simplement à offrir ma soumission, mon abandon dans la confiance, la sincérité, le RESPECT réciproque. Je suis mariée, je voyage ici seule. Ce n'est pas parce qu'il est parfois difficile de partager certaines de ses "aspirations", que l'on veut changer sa vie... Ma présence ici est un jardin secret réfléchi. C'est ainsi. C'est pourquoi la discrétion et le respect sont demandés. J'apprécie de converser avec respect et courtoisie. Ce que je cherche Le dialogue courtois et respectueux, je n'apprécie pas les échanges à sens unique. Pour les demandes d'amitié un petit mot est le bienvenu. Je fais de rare fois des hommages, ni voyez aucune sollicitation, simplement à ma façon, un coup de coeur en tout bien tout honneur, pour une annonce, une photo qui m'a ému, m'a parlé. En quête de Une amitié
213 vues 3 aime
Par : le 17/11/14
La tendresse habille une vie de lumière Elle écoute le temps murmurer le printemps Habillée de chaleur, brisant toute frontière Elle appelle au bonheur et berce les tourments Juste dans un sourire, écho d'une caresse Elle souffle l'envie, devine les non-dits Fontaine de rires, le coeur est en liesse Enlacés de ses bras, tant de larmes s'enfuient La peine elle l'apprivoise et réchauffe les coeurs Console les âmes, les yeux remplis d'étoiles Blottie au plus intime, elle offre le bonheur Tissant autour de nous la plus belle des toiles Doux parfum d'harmonie qui embaume la vie Fleurs de soleil d'été aux multiples couleurs Fragance de nos nuits, de joies à l'infini Elle enivre nos jours de suaves senteurs clin d'oeil pour O pour l'image que j'ai choisi.
145 vues 4 aime
Par : le 10/11/14
Après la douche rituelle, la soumise mets son masque et la tenue que le maitre lui a préparé et se mets à genoux afin que son Maite lui mette son collier. Ensuite, elle se touche d’une main glissée au fond de son string afin d’être excitée à mort et bien lubrifiée quand le Maître va décider de la prendre. Le coeur de la soumise accélère tandis que le Maitre caresse son corps. Elle entend le maître lui parler doucement. Comme convenu, elle pose ses deux mains à plat, écartées au-dessus de sa tête. Ensuite, perchée sur ses hauts talons, elle écarte les jambes et se cambre pour exposer ses ravissantes petites fesses tremblantes de chienne en chaleur. « Bien » fait le Maître à son oreille en lui caressant le creux des reins. « Reste là, je vais faire un brin de toilette ». Elle entend à peine l’eau couler dans la salle de bain. Elle sait que quand ce son va s’interrompre, son heure sera arrivée, et elle tremble de désir. Elle pense à la tapette de cuir noir qui est posée en évidence sure le lit. Elle halète déjà. Elle pense à sa petite chatte trempée dans son string et au sexe dur du Maître. Elle frissonne. L’eau s’arrête de couler. Elle tend l’oreille, mais elle n’est capable de déterminer, ni où est le Maître, ni ce qu’il fait. Une minute passe, interminable. Soudain, il la touche en haut des fesses, son doigt se glisse sous la ficelle du string et la fait sortir des fesses. Elle se met à trembler et se cambre à fond pour exposer son volcan. Mais ce n’est pas le sexe du Maître qu’elle sent glisser entre ses fesses et s’approcher lentement de son sexe humide. Ce qui glisse là semble être un objet.. Elle réalise alors que le Maitre porte autour de sa taille ce God ceniture qu’elle avait entraperçu sur la table. Elle est confiante car elle sait qu’il est de taille normale et que le Maitre entrera doucement en elle. Mais c’est nouveau pour elle et elle ne peut s’empécher de frémir. Le Maître la punit d’une claque sur la fesse puis la pousse contre la porte. En silence, le Maître y tient énormément, elle doit jouir en silence. Attachée à la porte , elle halète la bouche grande ouverte pour faire le moins de bruit possible tandis que le god du Maître commence à bouger doucement en elle et que des ondes de plaisir en émanent. Les mains du Maître lui tiennent les hanches avec force, son god la laboure consciencieusement. Elle va jouir en moins d’une minute, puis deux autres fois, et cela lui vaut de grandes claques sur les fesses, car elle n’a pas pu s’empêcher de gémir. Le god du Maître se retire, c’est un manque terrible. Ses fesses sont en feu. On lui prend la main. On la guide sur le lit. Le Maître la couche sur le dos avec la tête dans le vide. C’est pour pouvoir s’enfoncer tout au fond de sa bouche mais cette fois ci c’est avec son sexe, tandis que de l’autre main, il commence à lui caresser la chatte. Elle a posé ses mains sur le ventre du Maitre, comme pour le repousser s’il va trop profond car ce n’est pas elle qui suce, c’est lui qui va et vient dans sa bouche. C’est inévitable, le Maître pousse les lents va-et-vient de son sexe dans sa bouche de plus en plus profond, tout doucement, mais inexorablement, et avec les caresses sur sa chatte, elle sent un autre orgasme arriver. Elle attend en tremblant de plus en plus fort le moment où le sexe du maître va lui donner envie de vomir, elle va le repousser, il se retirera puis entrera à nouveau car c’est là qu’il veut jouir. Elle sent la main du Maître abandonner ses caresses sur sa chatte et se refermer sur la pointe de son sein gauche qu’il pince et commence à secouer fermement en tirant vers le haut. Il avance son sexe dur comme du bois qui pulse dans sa bouche, très profond. Le Maître la laisse respirer un peu, puis il lui attrape une cheville qu’il attire vers lui pour soulever ses jambes. Ainsi repliée elle attends que le Maitre jouisse. Ce qu’il fait alors en la remerciant. Il lui demande alors de lire un texte qu’il lui remet pendant qu’il lui pose ses pinces à seins très douces et décoratives. Il lui demande de se retourner et de lui présenter ses fesses pour les fouetter doucement puis de plus en plus fort. Elle crie alors, c’est trop fort. Le Maitre diminue l’intensité des coups de fouets pour arriver à ce subtil dosage juste avant la douleur. Ensuite, tout va recommencer, plusieurs fois, avec le god, en différentes positions, elle le sait. Le Maître la place alors le cul en l’air sur le bord du lit et il la prend en levrette. Doucement au début, puis plus fort. Il la pénètre longuement en lui claquant gentillement les fesses et en caressant son petit trou du cul. Après un court repos, le Maître joue dans son cul avec son mini god très fin et la repénètre par sa fente. Elle sait que pour éviter de le faire éjaculer, elle ne doit ni bouger d’un cheveu ni surtout avoir la moindre contraction. Il profite du cul de sa soumise. Il la presse contre le lit allongée à plat. Elle se concentre sur son cul. Allongé sur elle il jouit. C’est maintenant, elle le sait qu’il va lui faire expérimenter de multiples positions avec son god. Après un bref répis, il s’assoit sur une chaise et lui demande d’approcher…. Le maitre lui dévoile alors les positions du Kamasutra qu’elle ne soupçonnait pas…. Il lui explique que son soucis principal est de la voir jouir tout durant de rendez vous…
174 vues 1 like
Par : le 08/11/14
Je suis allée au Fessarium....... Soumise à la recherche d'un collier, j'ai lu et relu l'impressionnant "casting" du Maître des lieux, désirant trouver une partenaire docile, complice, motivée, sincère.... pour une interaction à 3. Malgré mes critères de "sélection" bien définis, je me suis reconnue en partie dans la description détaillée de cet appel qui m'apparaissait comme une opportunité à ne pas manquer. Cependant mon côté réservé, mon manque de confiance en moi, me faisaient hésiter à déposer ma candidature. La barre était placée très haut, néanmoins la tentation était omniprésente et l'envie m'a fait dépasser mes doutes, je me suis lancée, j'ai répondu à cette offre, je me suis dévoilée et j'ai cliqué, sans grande conviction, sur le bouton "envoyer" de ma messagerie dans l'espoir impatient d'une réponse. Celle-ci ne s'est pas faite attendre trop longtemps et à mon grand étonnement s'avérait plutôt positive. L'instigateur de cette annonce devant en référer à sa compagne et soumise, il me fallait encore patienter un peu pour connaître leur décision. Leur démarche commune m'a enthousiasmée. "E" est elle-même sur le chemin de la découverte, de l'apprentissage, et l'enjeu de cette coalition est non seulement que l'on devienne sœur de chaîne mais que l'on progresse ensemble dans notre soumission, sous l'éducation d'un directeur de conscience de qualité qui s'engage à nous faire cheminer vers l'épanouissement le plus complet. Selon la formule, nous avons fait plus ample connaissance, ils m'ont accordé leur confiance et après avoir fait couler beaucoup d'encre, une rencontre s'est profilée, de façon minutieuse, à l'initiative perverse de Monsieur et à travers de nombreux échanges de mails réactifs. A la veille de notre rencontre, Monsieur a écrit un message explicite sur son mur : « Bonjour à toutes et tous... Le sens de la vie en communauté étant fondé sur le partage, je souhaite donc vous faire profiter de mon actualité. Procédant à l'examen minutieux d'une candidature depuis maintenant quelques semaines, j'aurai demain soir, le plaisir et le privilège, d'accueillir sous mon toit, aux côtés de ma compagne vanille et soumise, un sujet féminin ayant manifesté sa volonté d'appartenance et présentant de sérieuses prédispositions pour rejoindre ma Maison et porter la marque de mon enseignement. Cette étape devant me permettre d'évaluer définitivement quelques éléments de compatibilité et de bonne adéquation, afin d'assurer à chacune des 3 parties concernées par l'équation relationnelle envisagée, que mon verdict final constituera la meilleure des décisions. Vous souhaitant une excellente journée, au bord de l'eau, ou ailleurs ! » (Pour les habitués du forum, cette missive rappellera sans doute quelque chose ou quelqu’un !) Il m'a également adressé son ultime écrit pour me donner les dernières instructions, dont voici un extrait : « Nous voilà arrivés devant la frémissante perspective de notre rencontre... Puisque vous avez confirmé votre présence, il convient donc désormais de vous adresser quelques informations pratiques mais aussi, quelques directives et autres consignes. Concernant votre point de rendez-vous, vous vous présenterez à 18h00 précises, sur le parking que nous avions convenu. Un chauffeur vous y attendra et vous prendra en charge pour vous conduire jusqu'à moi. Une fois le véhicule identifié, vous monterez simplement à l'arrière, côté passager. Quelques minutes suffiront pour parcourir la petite distance qui très sûrement, vous semblera une éternité... A mi-parcours, votre chauffeur vous demandera de vous bander les yeux ! Je compte sur vous pour obtempérer... A partir de cet instant, vous n'aurez plus qu'à vous laisser guider, en étant attentive aux quelques instructions que mon chauffeur vous donnera une fois arrivée et le moteur coupé...................» Le ton est donné et la volonté d’y être au plus vite s'accompagne de cette boule au ventre qui s’empare de moi. J'étais assez inquiète pour la route, je n'aime pas conduire vers un endroit méconnu, ce qui rajoute encore au stress de ce qui m'attendait..... En arrivant, je repère la voiture indiquée sur un parking qui était loin d'être désert...... J'avais quelques minutes de retard mais j'ai encore patienté un peu pour m'assurer que ce véhicule était le bon...... j'étais un peu en panique quand j'ai reçu un appel de Monsieur me souhaitant "bon voyage". J'ai rejoins la voiture en suivant les consignes....... Une femme est au volant et me souhaite la Bienvenue...... L'aventure commençait....... Depuis le début de nos correspondances, j'étais littéralement subjuguée par ce couple, de par la teneur d'une écriture habile mais surtout de nos envies respectives et de la notion d'une relation bdsm que nous partagions. Le feeling allait-il se concrétiser ce soir...... J'avais formulé mes intentions de soumission, m'accepteraient-ils au sein de leur binôme ? Trouverais-je en "E" une complice ? Consentirait-elle à partager son Maître ? Quelle décision Monsieur prendrait-il ? et tout simplement serais-je à la hauteur de ce qu'ils espéraient de moi ! Toutes ces questions me trottaient dans la tête..... Ils avaient su être rassurants, tout était prévu, sécurisé, discuté, orchestré avec brio, mais je partais néanmoins vers l'inconnu et à l'aveugle pour vivre et ressentir ma condition de soumise...... Le protocole à mon arrivée suffisait à poser le climat me rappelant l'enjeu de cette rencontre qui se plaçait néanmoins sous le signe de la décontraction. Ce récit n'a pas pour objectif de flatter l'ego de mes hôtes, mais je tiens à préciser que j'étais une invitée très attendue qu'ils ont su accueillir de manière chaleureuse dans un cadre convivial. Malgré ma nervosité je n'étais pas inquiète et me laissait guider en toute confiance. "E" m'amenait aux pieds de son Maître et me confiait les dernières consignes...... je sentais les palpitations s'accentuer, les choses devenaient concrètes, je la suivais d'une démarche incertaine, m'en remettant complètement à elle puis à la voix de Monsieur, me remerciant d'être venue à leur rencontre...... L'intonation était solennelle mais apaisante, la conversation amicale, tout en laissant planer de façon adroite et maîtrisée une certaine pression..... je retrouvais sa force de caractère, son côté subtil, cérébral, un peu calculateur, taquin, parfois pervers, mais très respectueux, jouant sur notre sensibilité à fleur de peau. Le bandeau qui était au départ une contrainte devenait finalement un refuge. Quand "E" m'a rendu la vue, sur injonction de son Maître, j'hésitais à ouvrir les yeux de peur de sortir de mon rêve, mais la réalité fut merveilleuse, et l'harmonie des plus parfaite, bien au delà de ce que je pouvais espérer vivre. Chacun a pu trouver sa place, sans jugement aucun, les limites étaient respectées et les actes se sont enchaînés de façon fluide, cohérente, progressive, comme une évidence qui nous attendait, mais sans douter un seul instant de la remarquable organisation, réfléchie et consciencieuse du Maître de maison qui a planifié cette rencontre avec finesse, rigueur et envie, qui a su combiner l'aspect troublant, excitant, suggestif, grisant...... qui a su souffler à merveille le chaud et le tiède.... jouant avec mes perceptions, me transformant en "objet" de plaisir.... mais un plaisir partagé à 3. J'ai été charmée par les allusions subtiles de Monsieur, j'ai du puiser en moi même la force pour dévoiler mon ressenti quand il m'interrogeait, je suis passée par des sentiments de gêne, d'humilité, d'offrande, et il n'est pas toujours facile d'adopter la bonne attitude quand on s'introduit ainsi au sein d'un couple, craignant de froisser la sensibilité d'"E" et j'ai reçu en retour un cadeau inestimable de sa part....... Elle a été pour moi une alliée, une sœur, et pour son Maître non seulement une soumise hors pair mais une assistante au service de notre plaisir commun..... Je n'entrerais pas ici dans le détail de notre soirée magnifiquement ficelée, j'ai bien sur exposé avec précisions mes émotions et perceptions à Monsieur et "E" en les remerciant sincèrement pour ces moments intenses. J'ai pris conscience que ma docilité était bien une partie intégrante de ma personnalité, j'ai vraiment apprécié sentir vibrer ma fibre de soumise, et que l'on me montre le chemin, il est long à parcourir mais cela me donne l'envie de poursuivre mon apprentissage, pour atteindre l'abandon, la confiance en moi et l'appartenance dont j'ai besoin. J'ai rencontré deux personnes formidables, attentionnées et touchantes par leur complicité, leur respect mutuel et envers les autres, leur délicatesse, le dévouement d'"E" pour son Maître et mari et je remercie la chance qui m'a été offerte d'attirer leur attention et de croiser leur route. Je ne m'attarderais pas sur leur élégance, leur raffinement, sinon ils vont prendre la grosse tête ;-) mais j'ai été séduite par la féminité d'"E", par la prestance de Monsieur et par l'ambiance qu'il a su créer..... Je suis fière d'avoir eu l'audace de répondre à leur invitation et de franchir le seuil du Fessarium. Y aura-t-il une seconde étape ? Cette soirée magique restera longtemps gravée dans ma mémoire et j'espère qu'elle ne restera pas isolée. Monsieur, votre pseudo est tellement représentatif de votre personnalité...... Prenant à cœur votre rôle de dirigeant pour nous amener là où Vous/nous le souhaitions et nous montrer les ressources qui existent en nous pour notre épanouissement, vous nous aidez à nous élever vers l'excellence. Vous êtes notre Ange..... Depuis cette rencontre, nous avons maintenu un contact très chaleureux. Tenant compte de toutes les parties concernées et principalement de mon idéal relationnel, qui est avant tout de trouver LE Dominant auquel je pourrais appartenir de façon exclusive, Monsieur m'a fait une suggestion. Il souhaite me prendre sous son aile éducative, protectrice, et me permettre de développer mon expérience aux côtés d'"E", en m'offrant une invitation permanente sous son toit, tout en aménageant notre relation de façon à ce que je puisse poursuivre ma quête. J'ai donc accepté de devenir une "soumise libre" néanmoins placée sous la gouvernance du Maître du Fessarium qui n'en sera pas moins exigeant. Monsieur Sitaël, puisque vous l'avez sans doute reconnu, est donc toujours à la recherche d'une soumise avec collier....... cerisa
573 vues 1 like
Par : le 06/11/14
Etat Second Plus qu’ un moment Plus qu’ un sentiment Plus que des sensations Un état second Ce moment où Le lâché prise ce créé Ou tout autour de moi, le monde s arrête de tourner Ou toutes mes pensées ne vont que vers lui Ou j ai cette sensation que mon corps s’envole Et mon cœur s’emballe Ce soir la, les cordes étaient de sortie J aime les voir dans les mains de mon Maitre Car quoi qu il arrive Je sais Je sais que ce sera un moment intense Il commença par les faire glisser le long de mon torse S enroulant encore et toujours autour de mes seins pointant Il les fie descendre dans le creux de mes reins Caressant délicatement mes fesses irisées d envies Je les sentie se rouler de part et d autre de mon intimité Et remonter doucement sur mon ventre Le corset se dessinait petit a petit Et les cordes Elles Ce tendaient de plus en plus fort Je sentais la chaleur monter A chaque tour de plus Ce n était pas une douleur Mais bien un plaisir Plus mon Maître serrer Plus mon envie augmentait Plus mon souffle s accélérait Les liens une foi posés il commença a me tourner autour Posant délicatement ses mains Sur cette peau à fleurs Mon excitation se faisait des plus grandissante Plus il me caressait Plus je me sentais humide Mon esprit commença à se déconnecter A partir loin Loin de tout Je ne sentais que sa peau sur la mienne Et ses liens qui augmentaient mon plaisir Il commença alors a se frayer un chemin dans mon intimité Satisfait de voir a quel point je dégoulinais d envie de lui Tout en me masturbant Il me maintenait par les cordes Piégeant l'ensemble de mes membres Etrangement, cela augmentait le bien-être Il se glissa alors fermement dans mon fessier Je ne demandais que cela Il arrêta alors de me masturber Voulant voir ma jouissance venir d ailleurs Et il avait raison Les coups de rein se faisaient insistant J en tremblais tant c était bon Une sensation qui m était des plus inconnue Tant j étais loin de tout Je ne sentais que lui en moi Les cordes qu’ il tirait de plus en plus fort Et son souffle dans mon cou Il agrippa fermement mes seins Ses vat et vient de plus en plus percutant Et la la... Vint une jouissance sans égal Une explosion d'une ampleur sans pareille Me voyant jouir Et dans cet état second Mon Maître pris enfin son plaisir lui aussi Dieu que j ai aimé ce moment Il me blotti alors contre lui et me serra fortement Voyant ma peau frissonner tant j avais froid Je me sentais vidée de toute mon énergie Il me recouvrit Et m enleva délicatement les cordes Prenant soins de les faire glisser doucement sur ma peau Il sait que j aime cela Une fois ses liens retirés Il me fit m allonger Petit a petit, je descendais de mon nuage Il m enlaçait J étais bien Je planais Ce fut un moment pour moi magique Où l espace d un instant, j ai quitté mon corps Et suis partie dans une autre dimension Merci à toi mon Maître, Merci de me faire partager tout ces plaisirs Tous ces instants sans pareille Merci de prendre soins de moi
381 vues 6 aime
Par : le 05/11/14
CHAPITRE 01 RETOUR À LA RÉALITÉ Michel Lévesque était directeur financier d'un groupe hôtelier. À vingt deux ans il était le plus jeune directeur et l'un des plus ambitieux du groupe entier. Il s'était rapidement fait un nom et les autres directeurs l’appréciaient. Il avait travaillé dur, de manière très volontariste et il avait un talent particulier pour se faire obéir. Ils appréciaient également son attitude obstinée, qui signifiait que quiconque se mettant en travers de son chemin était habituellement écarté. Cependant son personnel avait une vue quelque peu différente du jeune homme ambitieux. Dès son arrivée à la direction du département, il avait licencié quatre filles et rappelé à l'ordre deux autres filles. Elles voyaient en lui un lèche cul dont le premier souci était de s'occuper de ses propres intérêts. Lorsqu'il se montrait soucieux de leur bien-être, et c'était tout à fait rare, cela dépendait entièrement du bénéfice qu'il pourrait en tirer. Il était 10 heures lorsque Michel s'est réveillé avec un affreux mal de tête et cette sensation terrible que la pièce était en train de tourner. Il s'était saoulé la nuit précédente et aussi il n'en était pas très étonné. Il a jeté un coup d'œil autour de lui. La pièce lui était peu familière. Pendant un moment c'était confus et ensuite tout commencé à lui revenir.... "Oh Mon Dieu" soupira-t-il profondément. Il y avait dix-huit personnes dans le département, toutes des jeunes femelles à part un nouveau jeune homme. En conséquence, il y avait toujours un anniversaire, un mariage ou un nouveau bébé à célébrer, et les pots après le travail étaient habituels. C'était d'un de ces pots que Michel souffrait en ce moment. Sa fiancée Jade, qui travaillait dans le même bureau, avait donné une excuse pour ne pas y participer, mais étant leur directeur il s'était senti obligé de participer aux occasions plus importantes comme des prochains mariages. Esprit d'équipe et tout cela ! Il détestait ces événements, c'était toujours pareil et ce sans exception. Ils avaient terminé dans un bar enfumé, avec les filles qui devenaient de plus en plus saoules, plus bruyantes et tapageuses alors que la soirée progressait. Malheureusement, il avait également trop bu et quand ils se sont tous rendus ensuite à la maison de Samantha, elle a suggéré qu'il reste pour lui éviter de conduire. Ayant trop bu pour discuter, il accepta. Grande, grande erreur ! Avec sa tête toujours en train de tourner, il a regardé plus attentivement la pièce où il était. Il y avait plusieurs mannequins exposant des vêtements, des robes à moitié finies et un long portique avec des vêtements terminés. Samantha était une excellente ouvrière couturière et passait tout son temps disponible à concevoir et composer des vêtements pour compléter son modeste salaire. C'était à cause de Michel si elle était mal payée. Elle avait demandé à plusieurs reprises une augmentation, et avait deux fois sollicité une promotion. À chaque occasion, il avait refusé. Elle avait gardé sa rancune en elle, mais elle avait peu de moyens de le contrer. En conséquence, elle n'avait pas d'autre option que de continuer son travail de couturière. Elle avait besoin de ce deuxième travail afin d'avoir un niveau de vie décent. La salle où était Michel, se doublait d'une salle de travail et il y avait un miroir énorme sur le mur pour les essayages de robe. Samantha avait des talents divers et pouvait faire presque n'importe quoi mais elle avait tendance à se spécialiser sur les robes et les accessoires nuptiaux car il y avait beaucoup plus d'argent à gagner. Elle avait eu également un ou deux clients riches avec des enfants en bas âge qui avaient de temps en temps besoin de quelque chose de spécial pour leurs jeunes filles, et elle est devenue tout à fait habile pour coudre la petite robe de dentelle avec tous ses ornements pour surboum ou communion. La plupart du temps cependant, on lui demandait de faire des robes de mariage pour les filles du bureau, et il y avait toujours un flot régulier de commandes pour la maintenir occupée. Il y eu des coups à la porte. "Bonjour Michel, c'est moi Samantha. Je vous ai apporté du café, êtes-vous dans une tenue décente ?" Elle ne s'était pas occupée de son patron pendant la nuit, mais il se faisait tard et elle voulait qu'il parte pour pouvoir profiter de sa maison pour elle-même. "Ouais, juste une minute" gémi-t-il. Il s'est levé du lit et a chancelé jusqu'à la porte mais s'est arrêté complètement quand il a senti quelque chose de très doux et féminin flotter autour de ses cuisses. Il a regardé vers le bas. "Merde !" a-t-il murmuré. C'était une chemise de nuit. Une chemise de nuit bleue transparente de dentelle, de satin avec des rubans minces au-dessus de ses épaules, un lacet brodé autour du buste et un ruban bleu passé autour de son cou. "Oh Mon Dieu" a-t-il hurlé, en se figeant. Samantha s'est montrée impatiente et a poussée la porte. "Bon vous feriez mieux d'être décent parce que... Oh !" et elle a éclaté de rire. Elle a posa la tasse avant qu'elle ait renversé le café. "Bien, bien. Je sais que je vous ai dit de faire comme chez vous, mais regardez vous. Vous auriez du me dire que vous aimez porter une chemise de nuit pour dormir. Il y a quelques dessous vraiment mignons pour petites poupées là-bas" a-t-elle taquinée, en pointant certaines de ses fabrications mousseuses de dentelles suspendues au-dessous de la tringle. "Oui, oui... très drôle. Ainsi c'est une de vous est qui responsable de ce... cette situation... et de toute façon, où sont mes vêtements ?" s'est il irrité. "Oh non. N'essayez pas de rapporter ceci sur nous, nous n'avons rien à faire avec ceci. Ne vous rappelez-vous pas ? Vous étiez si saoul la nuit passée ; vous titubiez ici et avez commencé à jeter vos vêtements dehors aux passants par la fenêtre. Vous pourriez même encore trouver quelques choses si vous regardez là dehors. Malheureusement pour vous il a plu aussi vos affaires risquent d'être inutilisable à cette heure. Vous étiez dans un tel état, hurlant et criant, nous avons du vous laisser seul." "Oh Mon Dieu" a-t-il gémi, en tenant sa tête. Il s'est vaguement rappelé d'avoir gesticulé envers quelques personnes qui faisaient du bruit à l'extérieur et d'avoir jeté des choses dehors, mais la réalité de la situation commençait seulement à lui apparaître. Il était un cadre supérieur, responsable de la discipline d'un personnel jeune et il aurait beaucoup de difficulté a essayer d'expliquer tout ceci – ivre mort, en restant la nuit chez une fille de son personnel, et le pire de tout, en se réveillant dans la chemise de nuit d'une fille. Si son patron entendait parler de ceci, il serait vraiment dans la merde. En plus, comment pourrait-il jamais l'expliquer à sa fiancée, Jade ? Cependant il ne se rappelait toujours pas comment il en était venu à se mettre dans la chemise de nuit.
1000 vues 2 aime
Par : le 31/10/14
Une soumise m'a demandé récemment : Juste une question comment vous faites pour l'oublier votre Maitre ça vous fait pas du mal d'en reparler ? Je ne l'oublie pas et en postant quelques photos personnelles, articles, je me rappelle, je me souviens. Comme une façon de garder le lien. Sept mois ont passé depuis la fin de notre relation décidée par lui, mettant ainsi un terme au monde BDSM. Je suis passée par différentes étapes comme un 'travail de deuil'. Depuis je suis mieux à parler de lui, bien que certaines émotions sont toujours présentes. La relation se termine, l'impression d'être délaissée, d'être sans intérêt, comme si je ne 'valais' plus rien du jour au lendemain, un vide sans l'autre. Comme tout, il faut réagir, prendre sur soi, rebondir, il y a un après. Je garde en mémoire les merveilleux moments passés ensemble et j'accepte que ça appartienne désormais au passé. Je suis d'un caractère positif et connaissais l'issue de la relation un an et demi avant la fin de l'année 2013. Rien n'est simple pourtant il a fallut que j'admette cette fin, que j'accepte ce fait. Il n'est pas parti pour une autre, il a mis fin à la domination pour les raisons qui lui sont personnelles, sa mise à la retraite n'a pas arrangé ce qui aurait peut être pu être autrement. Je ne peux lui en vouloir connaissant sa vie de famille, j'accepte. Nous avons toujours été sincère sur nos vies respectives et ce dès le début de nos échanges. Une relation de quatre années ce n'est pas rien dans le monde BDSM. Les séparations sont nombreuses et inévitables au cours d'une vie, elles déclenchent des émotions intenses et importantes ; vivre celles ci complètement permet de passer à travers ces durs moments. Il est important de savoir comment réussir ces séparations si on veut pouvoir continuer son chemin. Et puis, arrive le moment où l’on admet que c’est bel et bien terminé. Les choses ont changé et une page du livre de notre vie est en train de se tourner. On accepte sa douleur et sa tristesse. Il le faut bien, elles vont nous tenir compagnie pendant un bout de temps. Cette période de tristesse est l’une des étapes les plus longues du processus, mais la reconnaissance de la rupture et de sa peine est un très grand pas vers la guérison. Petit à petit, telle une plaie, la blessure se cicatrise. Certes, elle laissera une trace mais avec laquelle j'apprends à composer. J'ai arrêté de me poser des questions, j'ai compris certaines choses, j'ai accepté. Etant en retraite depuis bien des années, ayant du temps de libre et parce que je suis guérie d'une maladie ; je me suis tournée vers le bénévolat cette fois ci dans un hôpital. La vie est belle ! Quand à la seconde question pour 'trouver' un Maître, je ne suis pas en recherche, mais si un se présente, qu'il soit sincère, m'accepte comme je suis, aime l'exclusivité, pourquoi pas ... Il est permis de rêver, bien que je sois lucide. Le 31 octobre 2014
218 vues 7 aime
Par : le 30/10/14
C'est la fin de ma semaine et comme à mon habitude, le vendredi de midi à 14h, c'est piscine. Il y a 2 semaine, j'ai revu une amie, cela faisait des années qu'on ne s'était pas pris de nouvelles.A chaque longueur, on s'arretait pour discuter 5min. Au bout d'une bonne heure, je lui propose d'aller au sauna, il y en a 3, et le troisième se trouve derrière les 2 autres, le seul acces est un petit couloir bloqué par un panneau "sens interdit" et une banderole, tout les vendredi midi, il est fermé pour faute de monde mais fonctionne quand meme.C'est vrai, c'est calme. Je connais un des maitre nageur, il m'a proposer une fois pour etre plus tranquille et maintenant j'y vais tout le temps. Elle, qui plutot sainte nitouche, la première de la classe et quand c'est interdit "c'est interdit!!", pris peur de rentrer et à la fois toute excitée, comme si elle avait fait un délit.On s'installa et repris nos discussions, on parla de nous, maintenant.Elle n'avait pas changé, toujours aussi precieuse et bien foutu, tout les mecs craquait pour elle et personne ne l'avait, car trop immature à l'époque (on avait 18ans) et maintenant casé avec nos conjoints, sa vie sexuelle ne se resume pas à de grande decouverte mais plutot monotone.Je lui conseille de se procurer un vibromasseur et s'éclater un peu avec, tout rougissante soit du sauna ou de la gene, mais je pense les 2, elle me dit "non" avec un sourire gené et que pour son mec ca ne se faisait pas.Apres cette séance nous repartons chacun de notre coté.La semaine dernière, de retour à la piscine, elle n'était pas là. Je fis mes longueurs et à 13h 30, je rentra dans mon sauna privé. Seul avec ma serviette autour de la taille et calcon retirer dés que je suis rentré. Je m'assis et me relaxe. 30 seconde à peine la porte s'ouvre et mon amie etait là."-Salut matt, j'ai vu que tu n'étais pas dans la piscine, j'esperais te trouver dans le sauna-salut cindy, tu viens d'arriver?-oui, je voulais te voir et j'ai essayé ce que tu m'as dit, je crois que tu as reveillé quelque chose en moi avec tes idé... qu'est ce que c'est?"Tout en s'asseyant elle prend mon calecon du bout des doigts."-Ca c'est a moi, pose le à coté.-mais qu'est ce que tu portes alors?-rien, je croyais etre seul, donc je me met à poil. Dis je en retirans ma serviette-mais tu ... euh... enfin là... euh... ta pas de poil-reprend tes esprits tu as l'air choqué, c'est qu'une bite et ton mec en a une aussi-oui mais pas epilée, c'est comme les films porno que j'ai vu -tu as vu des films porno?! Wouha tu t'es vite devergonder - je sais et je dois t'avouer que j'ai trouver ca excitant"Toujours le sexe à l'air , elle n'arretais pas de le fixer. Je lui pris la main et la posa sur mon sexe.Elle le retira puis me regarda avec un sourire pour ensuite revernir poser sa main sur mon membre.De ses mains, elle commenca à le masturber, mon sexe gonflait entre ses doigts et elle aimait la sensation, je me leva et la deshabilla, elle regardait la porte de peur que quelqu'un rentre mais ne m'arreta pas. Je lui ordonna de se mettre à 4 pattes et commenca un long cunni sa sueur se melangeait à sa mouille, mais très vite le gout de sueur se dissipa je vis son anus ouvert par l'excitation et introduit mes doigts dans son vagin, tout en crachant sur son anus, puis de mon autre main je joua avec son petit trou, qu'elle me dit d'arreter. Je glissa à son oreille "tais toi, tu dois apprendre".Ma langue et mes doigts jouaient avec son minou acceuillant et mon pouce titillait son anus.Apres un moment je me leva et commenca à mettre mon penis dans son vagin, quand elle se retira subitement en me disant que je n'avais pas de capote."-Alors ce sera ton anus- non plus-dommage pour toi, mais je reste pas comme ca. Assis toi et masturbe toi, tout de suite"Elle se mis a se masturber puis je monta sur le banc, sexe face a son visage. Elle me fit de grand yeux et me dit:"-non je veux pas te sucer- tu n'as pas le choix, il ne fallait pas refuser les 2 autres option et maintenant ouvre la bouche"elle refusa et je lui boucha le nez, une fois la bouche ouverte pour quelle respire, ma bite s'enfonca lentement dans sa bouche .Elle le prenna jusqu'a la gorge en va et vient, c'était si bon qu'elle continua d'elle meme et senti quelque spasme dans ma verge qu'elle n'eu le temps de se retirer attend, 2 grosses giclées alla da s sa bouche et et ses levres, puis le reste de sperme se gicla sur son visage.Suprise d'aimer le gout, avala ce qu'elle put et suca mon gland pour y retirer les dernière gouttes.Vivement demain, je lui apprendrais la sodomie.
163 vues 1 like
Par : le 29/10/14
Recommence. Même si tu sens la fatigue, Même si le triomphe t’abandonne, Même si une erreur te fait mal, Même si une trahison te blesse, Même si une illusion s’éteint, Même si la douleur brûle tes yeux, Même si on ignore tes efforts, Même si l’ingratitude en est le prix, Même si l’incompréhension coupe ton rire, Même si tout à l’air de rien, Recommence. Ce texte a été écrit par les mères de la Place de Mai (Buenos Aires, Argentine) qui chaque semaine se réunissaient pour demander des nouvelles de leurs enfants enlevés pendant la dictature de la junte militaire (1976-1983) J'aime ce texte, je l'ai découvert il y a dix ans lors d'une visite à Montpellier dans un service ou je suis suivie par un Professeur. J'avais demandé à la secrétaire si elle pouvait m'en faire une photocopie, je ne savais pas qui l'avait écrit, rien n'était inscrit en bas des lignes. J'ai su un peu plus tard que des Mères l'avaient écrit. Ce texte est encadré chez moi depuis, il a été comme un soutien. Ma maladie qui était devenue chronique au fil des longues années n'est plus depuis six mois.
121 vues 4 aime
Par : le 29/10/14
Addictive, addiction Passion, fusion Nul besoin d'addition Son compte était bon Un, deux, cinq, six Dix, onze, ... vingt-six Trente-deux, trente-cinq Quarante-deux, cinquante-cinq Elle compta jusqu'au bout Attachée, abandonnée à Vous Droite, cambrure obligée La pose autorisée, ordonnée Emue d'être pardonnée Aucune issue d'y échapper Sous quelques sanglots Elle vous accordait ces maux Passion, abandon Il fut hors de question De vous livrer un 'non' Vous étiez son 'démon' Sous votre merveilleux fouet Ceinture, cravache, martinet C'est ainsi, que vous l'aimiez Même si des larmes, elle versait Délicieuse peau lacérée De votre puissant fouet En biais, bien fuselées Vos marques, Vous y laissez Certes, méritait-elle punition Pour vos affolants 'plaisirs' Terribles failles, vos désirs Addition, addiction La punition acceptée, apaisée Dernier ordre, ne pas recommencer Vacillante, elle pouvait se relever Sans omettre de Vous remercier Sur son visage les émotions passaient Pas de feinte chez elle, Il appréciait Même si des larmes, elle versait C'est ainsi qu'il l'aimait. Le 27 octobre 2014
257 vues 4 aime
Par : le 28/10/14
Douce douleur La douce douleur Une sensation pour le moins inattendue Inavouable, Et surtout improbable ! La première fois que mon Maître m’a demandé de lui présenter ma croupe, Des milliers de questions ce sont bousculées... Que va-t-il faire ? Pourquoi ? Comment ? Quoi ? Et puis, on se laisse guider. Doucement ; Avec confiance ; Et surtout avec amour! Je sentais ses mains ferment caresser délicatement mon fessier, Comme si entre ses doigts, il tenait un objet des plus fragile ! Des frissons parcourraient mon corps tout entier L envie de lui se faisait naissante Et l’attente se faisait pressente... Il les retira, Alors, Délicatement, Puis, Je senti se poser sur mon corps Cette matière dure et douce a la foi Un objet dont je connaissais la principale utilité ! Mais qui ne s’était jamais approché de ma peau!!! Une crainte , Une appréhension m'envahit! La peur de la douleur peut être! Mon corps se redit, Il fit alors parcourir la cravache sur l’ensemble de mon fessier Me faisant languir Me sentant stresser Un court instant, il senti mon corps se relâcher Le cuir siffla avant de percuter ma peau!!! Un cri de surprise sorti de ma bouche Ma croupe dandina d’étonnement Je senti alors une chaleur intense monter Ce n’était pas une réelle douleur Mais une sensation bien plus intense Il me demanda alors de me retourner Il admirera Sa marque apposer Je me surprenais à aimer cela Une foi face à lui Il me demanda de lui présenter ma poitrine Il n eu ensuite aucune difficulté à atteindre ses deux seins dressaient vers lui Sa mais gauche glissa alors dans mon intimité qui n' attendait que cela Tellement humide, Tant l excitation était présente, Je ruisselai!!! De sa main droite, Il commença à donner de petits cou sur mes tétons Plus il frappait fort, Plus ils durcissaient, Plus cet excitation montait Je me surprenais de minutes en minutes J’aimais ça!!! Le claquement se faisait insistant Et les caresses n en apaisaient en rien la chaleur grandissante en mon bas ventre Un, je ne sais quoi monter Cette jouissance inattendue!!! Les soupirs sortaient de ma bouche Cette douce douleur m’emporta Le souffle coupé, je resta dans un état incroyable!!! Et de fierté mon Maître m’enlaça Merci à mon Maître pour cette douce expérience J aime et suis fière de porter tes marques
258 vues 2 aime