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Trans switch. 48 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 13/11/20
Une séance qui devait être banale : le premier volet des Animaux fantastiques. En couple, je suis allée regarder ce film qui se déroule dans un de mes univers préférés. Je m'assois, lui est à ma gauche, on discute, on s'embrasse, la séance débute. Je me concentre alors sur le film. Et puis au bout de quelques minutes, je sens sa main glisser sur mon ventre. Je le regarde dans l'obscurité, la lumière de l'écran éclairant son visage par à-coups. Je le trouve beau avec ses lunettes, son petit nez et ses taches de rousseur d'éternel adolescent. Il semble très concentré sur le film. Ce n'est qu'une impression. Il commence à me caresser le bas ventre avec sa main droite. Je suis surprise. La douceur de ses doigts fait apparaître une vague de plaisir en moi. Cette main qui m'a faite si souvent vibrer... Comme un défi, j'essaye tant bien que mal de suivre l'histoire.... Il glisse lentement ses doigts au niveau de mon entrejambe. Après un énième passage, je ne réprimer un gémissement. Je regarde à côté de moi, gênée de ne pas m'être contrôlée... Nous sommes au dernier rang, il est près du mur. Les personnes les plus proches sont un couple plutôt jeune qui se trouve juste devant nous.... Je le regarde, inquiète : "Il y a du monde devant nous". En guise de réponse il met sa veste sur mon ventre. Il commence alors à déboutonner ma jupe. Bouton par bouton. Puis il glisse ses doigts dans ma culotte et me chuchote "Mais pourquoi tu es toute mouillée alors?" Il n'a pas tort, je mouille tellement... Avec son index, il continue à se déplacer dans ma culotte. Je sens qu'il alterne entre mes lèvres, chaque mouvement me procurant encore plus de plaisir. Je devine qu'il ne souhaite pas toucher mon clitoris tout de suite. Il joue avec moi. Mais le mouvement de ses doigts ne peut l'éviter indéfiniment et je sens de plus en plus une onde de plaisir m'envahir. La douceur de ses doigts me rend folle. Je transpire de toute part. À partir de ce moment là, il me regarde dans les yeux, son regard me fait comprendre qu'il est bien déterminé à aller jusqu'au bout, à me faire jouir, ici, maintenant... J'essaye tant bien que mal de me concentrer de nouveau sur le film, je ne veux pas avoir de problèmes avec le couple devant nous ou avec le cinéma. Je ne connais pas bien les lois mais je me doute bien que faire l'amour dans un cinéma n'est pas quelque chose qui est autorisé. A l'écran, le héros principal, lui, court après une sorte de taupe dans une banque. C'est à ce moment là qu'il décide de s'occuper de mon clitoris. Cette fois, je ne peux retenir un râle de plaisir qui fait sortir un son de ma bouche, ce bruit est assez fort pour que la personne devant moi se retourne. Elle est blonde, assez jolie, la vingtaine. Elle regarde vers ma direction essayant de trouver la source de ce bruit étouffé. A ce moment là, je tourne la tête pour lui faire croire que ce bruit vient de ma droite, ma réaction est assez convaincante pour qu'elle tourne, elle aussi, la tête de ce côté là. Le temps de son inspection visuelle je me fige, essayant de penser à autre chose que les doigts mouvants de mon amoureux entre mes cuisses. Au bout de quelques secondes qui me paraissent une éternité, elle se retourne, je l'entends pester contre "ces gens qui font du bruit au cinéma". Mon amoureux, lui, continue et fait glisser un doigt entre mes lèvres, avec un autre, il titille mon clitoris. Je ne peux m'empêcher de le regarder, Je ne peux m'empêcher de le regarder, mes yeux le supplient d'arrêter mais il continue, impassible. Les décharges de plaisir se succèdent à un rythme de plus en plus rapproché, mes mains serrent les accoudoirs de mon fauteuil tellement fort que je dois pour toujours y avoir inscrit la forme de mes doigts. Je sens le contact de ses doigts sur mon sexe. Il décide alors de rentrer en moi. Son geste m'oblige à me mordiller les lèvres pour ne pas faire de bruit et alerter nos voisins. Je le sens faire un va-et-vient, je ressens un plaisir si grand que je l'embrasse très fort. "Tu veux que j'arrête ?" me demande-t-il en souriant. Mon corps et mon cœur sont tiraillés. "Non, vas-y, fais-moi jouir" lui murmuré-je. Il intensifie ses mouvements de doigts, je le sens rentrer, sortir à de multiples reprises, chaque centimètre de mon vagin en feu se contractant devant tant de plaisir...Il décide alors de se stopper et, à ma grande surprise, se glisse discrètement hors son siège. Il se met à genoux devant moi, sous sa veste. Il se faufile jusqu'à mon entrejambe et je sens sa petite langue, si agile, commencer à me lécher. Elle commence un ballet ininterrompu, gauche, droite, haut, bas, il s'applique à passer sur chaque millimètre carré de mes lèvres et de mon clitoris, ma cyprine ayant à peine le temps d'apparaître qu'il la lèche déjà... Au bout de quelques secondes, je sens un plaisir infini m'envahir, mes deux mains attrapent ses cheveux et bloquent son visage contre mes lèvres. Cette fois-ci, c'est moi qui mène la danse. Je fais bouger mon bassin de plus en plus fort. Je sais qu'il aime cette situation où il est faible, à moi, où son seul et unique objectif, c'est de me faire jouir. Je sens à un moment qu'il tente de m'échapper, sans doute essaye-t-il de me montrer qu'il a le contrôle, mais je resserre mon étreinte sur lui. Sa bouche est bloquée contre mes lèvres. Il ne peut m'échapper. Je sens sa langue me lécher inlassablement et une vague de plaisir immense m'envahir. Mon clitoris exulte devant tant de sensations, mes tétons continuent de poindre, je suis toute rouge, je ne peux retenir quelques gémissements. Ma respiration s'accélère. Heureusement pour moi, ces bruits sont couverts par la scène d'action se déroulant sur l'écran. Il continue, je me sens au bord du précipice, je lance de nouveaux gémissements, je sens que je vais jouir, je me prépare à ce qu'il va arriver. J'ai beau ne pas voir son visage, le sentir bouger le sentir bouger entre mes cuisses m'excite terriblement. Je profite de ces instants magiques. Je vais jouir, sa langue dans mon vagin me titille comme jamais... Sa bouche doit être inondée et il continue cependant à faire tournoyer sa langue en moi.... Au bout d'un instant, mes muscles se contractent. Mes lèvres sur son visage, mes mains le tenant par l'arrière du crâne, je jouis d'un bruit couvert par les enceintes et je le sers tellement fort qu'il en a le souffle coupé pendant quelques secondes... Je mets plus d'une minute à m'en remettre, mes mains naviguant dans sa chevelure. Enfin, il se lève, approche son visage au mien et Enfin, il se lève, approche son visage au mien et je lui murmure "Merci, je t'aime mon amour". Je sors de mon sac à main un mouchoir que j'utilise pour l'essuyer... Le contour de sa bouche est couvert de ma cyprine. Une fois nettoyé, je le couvre de baisers. Il s'assoit et me tient la main. Je me blottis contre son torse, heureuse de l'avoir comme amoureux. Ensemble nous essayons de rattraper le fil de l'histoire. Au cinéma, ce soir-là, la magie n'a pas eu lieu que sur l'écran… @lapetitelangue
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Par : le 10/11/20
Beaucoup de personnes ne font pas la différence entre dominer et profiter d'autrui, prendre en mains, éduquer, soumettre, appelez ça comme vous voulez, ce doit d'être avant tout bienveillant. Le but est d'épanouir et non de détruire autrui, cela n'est profitable ni pour le bourreau ni pour la victime... Si vous êtes repoussé par le BDSM, ne le pratiquer pas. Et surtout ne profitez pas du BDSM pour vous défouler sur une personne qui vous fait pleinement confiance et crois en vous ! L'imagerie BDSM imprègne la société et il peut semble facile de dominer et de prendre en mains, c'est pourtant une place de responsabilité à ne pas négliger. Henry Kissinger a jadis qualifié le pouvoir d '«aphrodisiaque ultime». Les rois et les nations se sont battus pour dominer les autres. Le capitalisme suppose un monde où réussir signifie exercer un contrôle. Et dans le sport, les joueurs s'efforcent d '«humilier» leurs adversaires. Mais dans le BDSM, le pouvoir est accompagné par de grandes responsabilité (oui comme le dit oncle Ben à Spiderman ;) ) Alors après on peu se demander quel genre de personne se sent sexuellement excité par la douleur? Beaucoup de gens qui sont parfaitement normaux à tous égards. Encore une fois, pensez au sport: lorsque les joueurs de football font des jeux brillants, les coéquipiers se tappent souvent les fesses, au football américain c'est même parfois bien plus violant. Les destinataires acceptent cet «abus» avec reconnaissance comme un signe d'appréciation et d'affection. Ou encore imaginons une randonnée sur une montagne. Vous avez des coups de soleil. Les épines vous griffent les jambes. Et au moment où vous atteignez le sommet, vous êtes endolori et épuisé. Pourtant, vous vous sentez euphorique. Malheureusement, les médias BDSM ont grossièrement déformé la douleur que subissent les soumis(e). C'est plus théâtral que réel. Lorsqu'il est exécuté par des dominants éthiques et bienveillants («doms» ou «tops»), le BDSM n'est jamais abusif. «C'est toujours consensuel», déclare Jay Wiseman, auteur de SM 101. «Les abus ne sont pas.» Vous n’avez pas besoin de contraintes, de bâillons ou de fouets pour maltraiter quelqu'un. Et heureusement un bon dominant n'a pas besoin d'accessoire pour inspirer l'envie à sa soumise de le servir. Mais entre des mains aimantes, l'équipement augmente l'excitation sensuelle, permettant aux deux pratiquants de profiter de leur interaction, ou «scène», comme un plaisir érotique, propre et agréable. » Lorsque le BDSM inflige une vraie douleur, il est toujours soigneusement contrôlé avec le soumis(e) («sub» ou «bottom») et les vrais dominants sont toujours dans la juste mesure. La douleur n'est pas un but mais un moyen, toujours. Le plaisir dans la douleur à une nuance et beaucoup préfèrent l'appeler sensation intense ce qui leur procurent du plaisir. «Ils ressentent la douleur des piqûres d'abeille ou d'un coup de poing au visage exactement comme n'importe qui d'autre», dit Wiseman, «et ne l'aiment pas autant.». Aussi tout est une question de forme. Et le plus important est de garder à l'esprit que le BDSM est surtout une relation humaine dans laquelle chacun se doit s'épanouir et se compléter comme deux organismes symbiotiques.
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Par : le 27/10/20
Marié 8ans, un divorce et une séparation difficile à traverser pour mieux renaître. Une forte passion qui s est étiolée au fur et à mesure des jours , semaines et années que nous avons traversé pour mener a bout un désir utopique d enfant. La renaissance a eu lieu il y a deux ans et les rencontres que je réalisais ne me suffisaient plus. Un surinvestissement au travail m à rappellé à l ordre après être passé 4 jours dans un service vasculaire cerebrale.. De la liberté de pensée et d action, sortir de l allienation et du modèle sociale.. de l expérimentation , tjrs plus d expérimentation pour ressentir .. se sentir vivre Quand on est un homme non revendiqué alpha, il est sans doute difficile de trouver une femme pour se prêter à des jeux et la découverte de nouveaux sens ... sans tomber dans le cliché de la rencontre et du "tirage de coup" qui depourvus de romance... au final ne m apportent rien sinon de la frustration emotionnelle. A 35-40ans beaucoup de femmes sont encore dans le cliché du prince charmant et de l âme soeur sinon à la recherche de confort et de stabilité. Je reste persuadé que l unicité est multiple au cours d une vie car elle est question de temporalite et d exploration. L'affinité ne se decrete pas c est aussi un sujet d aquetation à un instant donné... Engouffré dans le metro/boulot/apéro/dodo, les sites de rencontre se présentent comme d une solution et nous croire , nous frustrent, et nous poussent irrémédiablement dans "l' effet contraste". a la fois une Agora prometteuse ou toutes les populations se croisent et pour autant une prison ffrustrante ou les échanges artificiels permettent difficilement de s élever vers le désir et l intellect. C est début septembre 2020 que je reçois réponse à l' une des nombreuses bouteilles a la mer que j ai positionné depuis 2-3mois sur la toile, que je consulte tel un métronome... MA 20ans Son fantasme est d entrer dans un hôtel avec un simple numéro de chambre et de gouter a sa première expérience de soumission soft. Un message clair d accroche: " prennons date en septembre". Tres vite l échange bascule par un appel où nous succombons à nos voix. Je lui fais passer le test bdsm pour en savoir davantage sur sa sexualité et je découvre son fort attrait "rope Bunny" qui me permettra de vivre mon fantasme de rigger. Les emplettes seront rapidement faites avec de beaux lien en satin et une roulette de wartenberg pour compléter ma collection de jeux encore trop limitée Le rendez vous du 28/09 s avérera annulé. Garder la trajectoire, suivre le flow.. sans peur... c est finalement le lundi 12 octobre que la rencontre se déroulera. Les derniers messages de la semaine me permettront de lui redemander ses attentes et ses peurs.. et de vider un long message émotionnel sur la sincérité de ma démarche... avant la séance. Lundi 12, le congés est posé je suis dans le train de banlieue direction Gare du Nord puis tgv lille... J en suis à me demander où ma bêtise et mes enfantillages vont ils me mener? Je dois y rencontrer MA dans une chambre d hôtel de standing que j ai pris soin de reserver : soumise qui se prêtera entierement à mes jeux.. Un peu d aprehension, du traque, de l envie... Ne pas trop projetter ce que cela sera pour laisser la surprise et créativité s exprimer .. cependant le cadre est visualisé avec une palette d alternatives. Le temps de prendre un welsh et une blanche à la brasserie... 14h elle y est. Je la laisserai languir encore quelques minutes avant de la rejoindre.. la porte s ouvre je la découvre naturelle, belle, apretée, si fragile. Inutile de tenter de la mettre à l aise je me découvre également en train de trembler .. elle ne prête pas beaucoup d attention à la boîte de chocolat que je lui propose en cadeau son regard est déjà ailleurs.. elle est assisse sur le coin du lit... elle ne dit rien , ne souhaite ni eau ni café, elle souhaite que je commence. Je lui donne en main le fouet 15 lannieres afin qu' elle le sente et s en empreigne pendant que je fixe les 2 premiers rubans qui me permettront de la tenir allongée sur le lit, sur le dos, les bras ouverts à m acceuillir Les premiers coups de fouet sont doux et me permettent de sentir sa respiration.. peu à peu je la denude , je précise les impacts et l intensité tout en intercalant caresses et baissers sur sa peau encore si pure. basculée sur le ventre j en profite pour inverser les liens. Les coups reprennent peu a peu j aprivoisonne ces nouvelles émotions. La bande son devient si pure : mouvements dans l air et impacts. Les coups sont dosés, dirigés mais aléatoire je veux la suprendre, je contrôle ses émotions et son ressenti. Elle me dit que cela va.. je la sens partir dans ses propres émotions, elle semble bien et me le reconfirme... Je lui propose de ne plus lui poser la question et qu elle est libre à tout moment de dire stop qu elle accepte dans l instant. Les lanières sur les epaules et sur le flanc la font cambrer et m ecxitent.. je me repositionne sans jamais la laisser se frotter...je m assure que son bandeau sur les yeux ne la gène aucunement ... puis me lasse. Il est temps de changer. La roulette lui plaît également. Ce bruit de métal sorti d un sac à fermeture éclair l intrigue, je lui fais goûter les pointes en commençant par un doigt, puis le poignet et le bras.. elle s habitue sans s habituer, je cadrille son dos... Libere ses fesses de son collant ce qui m offre de nouveaux espaces d exploration à ratisser de clous. Corsage retirée ses seins se libèrent et sont bien plus important que ce que j ai pu connaître jusque là .. ils ne seront pas épargnés et de la roulette je repasse au fouet... Sa culotte est trempée je ne le vois pas encore mais je commence à le sentir et cette odeur m attire. Quelques fessées à main nue me permettront de m approprier cette zone et de confirmer mes sens. Ma langue s engoufrera pour aider à l exploration. Sa chatte est douce son clitoris en erection si bien proportionné. Je déguste le dessert qui m a manqué, juteux et frais à souhait.. un peu de lubrifiant et les doigts glissent entre et dans ses orifices... Elle est détendue et s offre pleinement. Cela devient trop simple je decrete une pose. J active la machine à café , elle se retrouve attachée , les yeux bandés, inherte sur le lit. Je l entends encore gémir mais là dans l instant je souhaite qu elle pense que je l'ignore.. que je l ai oublié. Je la redresse assise sur le lit et lui propose une boisson qu elle refuse , le café coule, elle semble dans un autre monde avec un sourire qui ne quitte pas son visage. Je m assois derrière elle avec mon café , près de sa nuque je profite de nouvelles perspectives. Ma main repart entre ses jambes , quelle sensation de douceur ! Il est temps de sortir de nouveaux jeux... Je prends le temps de les déballer , les renettoyer , de les lubrifier puis de les inserer .. suffise que je lui sussure quelques mots à son oreille, le plug progresse et s engouffre.. elle est conquise . Un nouveau coup de langue et son ami vibreur le rejoint à l autre orifice. Chaque mouvement de se dernier semble tellement être apprécié je la laisse exprimer son plaisir avant de lui demander de se taire.. elle semble accepter cette remontrance voir l avoir provoqué pour que le fouet revienne pour lui garder son calme et s acclimater aux vibrations. La voilà gémir sur le lit attachée, les yeux bandés avec mes jeux électriques s occuper d elle. Je les manipule avec rythme , entrecoupant de quelques frappes lorsque le plug souhaite s echaper. Cela doit faire une heure que la séance a débuté et que nous jouons ainsi. Je retire les appareils et comme pour laisser ses orifices se reposer je me décide à torturer ses seins don elle était si fier. Roulette , fouet, pinces , je dose en fonction de son ressenti et des signaux qu elle m envoie. J ai l impression d y aller trop fort alors souvent j entrecoupe de baisers comme pour me faire pardonner... ou pour me deculpabiliser à repartir de plus bel. Basculée à quatre pattes sur le lit je lui demande de se cambrer afin d exposer son fessier à la punition. Le fouet est amusant mais le claquement de ma main est tellement plus vivant et me permet de doser davantage. Ses fesses rougissent alors je passe mes doigts de temps à autres dans son entrejambe pour collecter cette mouille qu elle m'offre . Son anus est tellement beau, si bien dégagé et âpreté que je ne peux m empêcher de le lécher... J aimerai tant que mon sexe puisse s y engouffrer mais c est une limite qu elle m a fixé... Alors je la laisse subitement là, cambrée sur le lit.. le temps de sortir un préservatif lui basculer une main derrière son dos pour qu elle puisse saisir mon sexe et le sentir couvert de ce latex. J attache ses mains à nouveau avant de laisser mon sexe découvrir cette mouille et le laisser trouver son chemin dans son vagin qui n'attendait que cela. Je pénètre, repenetre et repenetre encore .. des séquences certaines fois rapides et d autres plus calmes au cours desquelles je peux varier les angles et orientations. Tout son intérieur doit être parcouru et vibre à chacun de mes mouvements... Lorsqu'elle se mets naturellement à mettre en mouvement son bassin c est une parfaite occasion de la rappeler à l ordre et que le fouet frappe ses épaules.. puis je me lasse et lui ordonne alors d être en mouvement et de me reposer... Elle s exécute telle une libération pour elle Aucun de nous deux ne jouira bien que les émotions aient dépassé les objectifs fixés. La rencontre s écourtera par un message de sa colocatrice se retrouvant bloquée et ne pouvant rentrer sans clés.. la descente est quelque peu brutale, elle se rehabille et nous nous faisons déjà nos adieux dans un aftercare improvisé... Etant promis de ne pas nous revoir , tel est le contrat de sa relation libertine. Je le retrouve seul dans cette chambre y a remballer mes jeux et remettre à un peu d ordre...Quelques discussions infructueuses avec l hôtelier puis la SNCF et me voilà déjà dans le train de retour toujours sous le spleen de ce moment unique que je viens de vivre... Nos échanges se clotureront par messages interposés durant les 24h qui suivront pour partager nos émotions et se remercier de cette parenthese de confiance que nous avons pu échanger. Une adéquation inattendue dans le parfait niveau emotionnel et de partage... la vie m offrira telle d'autres expériences de ce type (dans un cadre candauliste par exemple)?
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Par : le 22/10/20
Le BDSM est une œuvre d'art, pas une science, pas de la technologie. Une œuvre d'art est quelque chose d'unique qui est créé à l'aide de compétences spéciales et reflète la personnalité et la créativité de l'artiste. Hermès Solenzol J'ai toujours vu la pratique du BDSM comme un art, un art unique et particulier où la Muse est aussi l'œuvre. Et l'art le plus proche du BDSM et sans aucun doute la sculpture, chaque coup dans la roche est irréversible et les conséquences définitives, sans parler de la relation presque charnel que l'on retrouve par exemple chez Rodin... Mais entrons dans le vif du sujet, nous aimons tous échapper à notre vie quotidienne de temps en temps. Il y a quelque chose de relaxant à lire, de relaxant et de stimulant à aller au cinéma ou à passer du temps avec un passe-temps et à oublier son travail ou ses taches quotidiennes. Cette routine peut aussi parfois s'instaurer dans une pratique BDSM trop mécanique, trop théorique. Vous remarquerez que mes exemples d'échappatoires étaient chacun lié à un art et ça n'est pas un hasard. Concevoir une relation D/s comme une relation artistique en quête d'un idéal presque Baudelairien échappe à cette routine. Et c'est là que la relation D/s présente de nombreuses similitudes avec la création artistique. Ce besoin de créer, comme un besoin de s'échapper. Dans le BDSM nous utilisons des instruments, des techniques et des compétences pour amener notre imagination sous une forme tangible. Une mise en scène, esthétique qui élève la soumise et élève le moment à une forme de suspension artistique. "Ce qui me frappe, c'est le fait que dans notre société, l'art est devenu quelque chose qui n'est lié qu'aux objets et non aux individus, ni à la vie. Cet art est quelque chose qui est spécialisé ou qui est fait par des experts qui sont des artistes. Mais la vie de tout le monde ne pourrait-elle pas devenir une œuvre d’art ? Pourquoi la lampe ou la maison devraient-elles être un objet d'art, mais pas notre vie ? " Michel Foucault Je m'intéresse à de très différentes formes d'art, et je suis certain de ne pas être le seul sur ce site, mais je ne considère rien de ce que je fais comme art comme «professionnel», et ce n'est pas censé être ainsi. L’art n’est pas une carrière pour moi, c’est une partie intégrante de mon expression de vie. De mon point de vu, le dessin d’un enfant de dinosaures et d’anges a une valeur artistique. Car c'est une expression d'une vision et d'un ressenti, un art certes primitif voir naïf mais une forme d'art à part entière. De la même manière, je pense que le BDSM est une forme d'art à laquelle nous, membres de la communauté BDSM, pouvons accéder pour nous exprimer. Quand un corps est marqué par des rayures, c'est un processus d'énergie, de douleur et de beauté qui encapsule un temps et un espace particuliers, où le pouvoir a été échangé entre le Dominant et la soumise. La corde brûle et les frottements sur un corps sont une traînée d'énergie intense. Les traces de doigts sur le corps, ressemblent à des tatouages ??éphémères comme pour se souvenir de quelque chose d'important dans la vie. Alors les différents instruments BDSM laisseraient différents types de sentiers, de différents voyages. Ceux-ci sont tous très beaux aux yeux du Dominant et de la soumise. Et tout ce chemin artistique sont une forme d'art, utilisant le matériau le plus puissant de la civilisation humaine - le corps. Bien sur en lisant cet article, l'art le plus évident qui peut venir comme pratique est le Shibari, une technique au service de l'esthétique. Certes mais je pense que cela va bien plus loin que ces évidences, la création se fait au quotidien dans une relation D/s et non uniquement encadrée dans une séance d'une pratique particulière. La recherche d'idéal, permanente... Alors Créez, Créons ! Et vivons de cet art si profonds qui fait vibrer les émotions !
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Par : le 15/10/20
Le cube de verre Mon très cher Maître m'a invitée à une soirée un peu spéciale. Il ne m'a donné aucune information sur cette soirée, juste la tenue qu'il fallait que je porte. Cette tenue était juste une cape, un loup, et des talons. Il me demanda simplement de points « me fais-tu confiance ! », ma réponse fut : « oui maître j'ai entièrement confiance en vous ». Il me prit donc la main et m'emmena dans ce lieu mystérieux. Nous descendîmes au sous-sol d'un immeuble, et là je découvris une énorme pièce où se tenait en plein milieu un cube de verre avec une très faible luminosité. Nous n'étions pas le seul couple à être présent dans ce lieu. Mon maître m'emmena et me présenta à trois autres dominateurs. Il me fit comprendre d'un seul geste de la tête que maintenant il m'offrait à eux. Du fait de cette offrande à ces trois dominateurs les autres personnes présentes dans la pièce partirent, et me retrouva seule avec mon maître et les autres dominateurs. Mon maître s'asseya face au cube de façon à avoir une visibilité correcte, et un angle de vue surtout le cube pour ne pas perdre une seconde du spectacle. Le 1er des dominateurs, me demandèrent de bien vouloir ôter ma cape et mon loup. Chose que je fis sans aucune objection. Le 2ème pris ma main pour m'emmener à l'intérieur du cube, me banda les yeux. Puis décida d'effectuer un bondage. Le dernier, décida que ce serait lui qui me donnerait les ordres. Mais ayant les yeux bandés, je ne pouvais savoir qui me parlait, qui est effectué les gestes sur mon corps. Après tout ceci, le jeu tant attendu pouvait commencer. Je sentis, une présence autour de moi, un fouet claquer, une sensation de chaleur autour de moi. Le dominateur qui avait pris le contrôle sur les deux autres, leur ordonna de commencer à me fouetter les fesses, puis les jambes, et de remonter vers les bras, le dos, pour enfin accéder par le devant et me fait ressentir l'effet du fouet sur mes mamelles, sur mon ventre et sur mon sexe. La douleur comment ça va être intense, l'autre dominateur qui avait en sa possession une bougie, comment ça à faire couler la cire sur mon cou de façon à ce que ça puisse descendre le long de mes reins. Et en attaché je ne pouvais donc bouger. Je me mis à crier de douleur car c'était très chaud. J'entendis mon maître de loin leur ordonner de continuer. J'ai senti au son de sa voix qu'elle commençait à prendre plaisir. L'être supérieur ordonna aux deux autres de continuer mais cette fois-ci avec un câble. Je me mis à hurler de douleur. J'ai senti l'excitation monter chez les autres dominateurs, l'un d'eux m'ordonna de me mettre à 4 pattes, d'ouvrir ma bouche, et de prendre sa bite à pleine gorge. Pendant que l'autre s'amuser avec un plug anal, l'être supérieur senti que le plaisir montait en moi, il décida donc de venir rejoindre les deux autres. Il décida de d'enlever le bandage et m'obligea à regarder mon Maître. J'ai pu voir dans le regard de ce dernier qu'il prenait énormément de plaisir. Je me trouvais donc entouré de 3 dominateurs. Tous mes orifices étaient à leur disposition. Ma bouche pour la bite du premier, ma chatte pour le second, et mon anus pour le dernier. Je me fie défoncer de partout. La douleur était intense mais le plaisir a pris le dessus. Le plaisir chez eux fut intense également. Mon maître décida de nous rejoindre, et leur ordonna de me couvrir de leur semence, afin qu'il puisse enduire mon corps avec et me faire lécher ses doigts. L'envie était tellement fort chez mon maître qu'il décida de me pénétrer et de me faire jouir au plus haut point et décida de jouir également en même temps que moi pour que je sente bien sa bite au fond de moi
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Par : le 10/10/20
Donc nous évoquions le passage d’une langue longue et profonde dans les plis, l’entrée, et le petit bouton et insérée dans l’antre, les jambes ouvertes et tombantes, une main fouillant ton antre chaude et glissante, et une de tes mains s’étant saisie de cette tige de chair tremblante de désir….Avalée par cette bouche chaude et accueillante….Qui sait, profonde et aussi une langue agile s’enroulant sur le vit gonflé et chaud, pour le plaisir de chacun Je te retourne, cette chatte toujours léchée, parcourue et ouverte de doigts inquisiteurs, profonds parfois, éprouvant l’ouverture Je retourne encore…. Mais cette fois échangeant la superposition des corps, pour mieux t’avoir à appuyer la chatte contre mon visage…t’ouvrir un peu plus sur tes genoux Alors tu plonges vers cette queue dressée vers le ciel, pour l’engloutir goulument, plus profondément, les mains s’activant…A glisser sur ce manche de chair et ses attributs…alors que les miennes écartent peu à peu ce fessier pour mieux y voir le fruit Fouillé de mes doigts pour l’ouvrir aussi encore plus et in fine en arriver à le fouiller pleinement Ta bouche vibrante sur moi me procure des effets et en fait durcir ma tige…. Ta chatte maintenant bien ouverte et luisante, le rythme de ta respiration ne laisse plus aucun doute, et demande à être prise comme il se doit Présenté entre tes jambes ouvertes et guidé par tes mains écartant le passage pour mieux être prise, je m’y enfonce lentement de toute ma longueur, en prenant en considération la configuration de ton corps, cela ne sera que douceur et peu nombreuse comme pour mieux les apprécier Mais chacune des sorties de ce vit…serait également accompagné de l’usage de tes mains, les miennes occupées à tes seins, et tétons…les palper pour les uns, les pincer pour les autres Les tiennes à parcourir plus ou moins rapidement la tige de chair sortie de ton ventre….et inviter à y prendre possession de nouveau…une prochaine sortie trouverait ta bouche pour accueillir cette queue raide et puissante, bien aussi dans cette bouche, parcourue dans sa longueur et en profondeur….tu recules bavant face à cette queue, pour reprendre ton souffle, tes mains enserrent mes hanches comme pour ne pas me laisser la possibilité de fuir…pour mieux me prendre en bouche, goulument, profondément… Tu recules de nouveau, essoufflée d’avoir forcer ta gorge, en apnée…les mains toujours accrochées aux hanches tu rapproches ton corps du mien et d’un habile mouvement ma queue encore luisante de ta bouche, se trouve enserrée entre tes seins dont les pointes durcies frôlant mon corps pendant que tu t’actives à jouer et à frotter ma queue entre tes deux globes Mais les envies reprennent un tout autre chemin, cette fois c’est moi qui recule. Je te pousse et tu tombes sur le dos, les jambes pendantes et ouvertes de chaque côté de moi..Je retrouve ton entrée dans laquelle je m’enfonce sans ménagement et sans résistance…une chatte mouillée et ouverte à souhait N’y tenant plus, je prends une de tes jambes, la passe par-dessus moi, et tu finis sur le ventre…les jambes bien écartées et la croupe relevée…tu laisses entrevoir ta chatte luisante dans laquelle je m’engouffre, dans un feulement que tu pousses à chaque introduction Mes mains parcourent ce fessier, l’écartant un peu plus….Le dos, les flancs, les seins si ronds et durs, puis les cheveux. Une poignée pour mieux avoir une emprise, et se retirer de nouveau après quelques mouvements lents…pour mieux t’ouvrir encore, les doigts glissent et s’insèrent dans ce fourreau De nouveau, je te retourne, et te tiens bien ouverte, peut-être pour mieux rentrer dans ce corps accueillant. Mes doigts continuent leur voyage, intérieur et extérieur, ma queue également intérieur surtout….Mais se promène aussi sur cette chatte et ce ventre, pour s’y insérer de nouveau, en sortir, pour mieux l’investir de nouveau Mais déjà, je sens cet état étrange et précurseur d’une fin proche, ce moment de petite mort interne, qui fait suite à une décharge courte mais intense, ce désir de t’inonder de mon plaisir, ce geyser chaud et brûlant qui laisse échapper par jet court et puissant, le résultat de ce désir, sur ta chatte déverser tout mon désir
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Par : le 29/09/20
Changement de lieu, j'ai décidé d'inviter mon maître à rentrer dans mon lieu secret qui est ma chambre. Chambre, qui est adaptée à des séances BDSM, cette chambre est très particulière car elle est sombre, laisse entrevoir très peu de chose, est éclairée par de simple bougie et aménagée de façon à ce qu'un maître puisse assouvir les envies de son esclave ou de sa soumise. J'invite donc le Maître a rentrer dans cette chambre. Il me demande si je suis prête à subir tous les sévices que je souhaite depuis un moment. Il commence à m'attacher les mains, les pieds, me bander les yeux, à mettre le bâillon, les pinces tétons, et là je commence à me dire que ce n'est que le début. Je sens que le maître a pris possession de mon corps rien qu'à le sentir autour de moi. Je lui fais comprendre que je suis prête par un signe de la tête. Il commence par inspecter mes orifices, me demande si ces derniers sont propres et vides, je lui réponds que oui excepté ma vessie, ce qui fait qu'il me demande de bien vouloir uriner devant lui, afin qu'il puisse me caresser la chatte avec. Je m'exécute, je sens sa main faire des va-et-vient sur mon clitoris et et me pénétrer avec quelque chose de froid. Ne pouvant m'exprimer ayant les yeux bandés je me demande quel objet il a pu introduire en moi. Je sentis que cela vibrer en moi et que c'était à sa demande qu'il pouvait contrôler à distance ce qu'il avait introduit. Il s'agissait de boules de geisha. Pendant ce temps il avait libre accès à tout mon corps, en profita pour prendre sa badine et commencer à me fouetter avec. puis voyant que cela ne me faisait aucun effet, il décida de prendre son fouet et de me fouetter avec jusqu'à temps que mon corps ne puisse plus subir cette souffrance. Ne pouvant m'exprimer oralement je le fais par le biais de mon corps en bougeant pour éviter les coups. Ceci ne lui plaît guère !. Pour me punir, il décide alors de prendre un câble , et de me fouetter de plus en plus fort jusqu'à en perdre connaissance. Je résiste malgré ça mais mon corps lâche au bout d'un moment. Il décide alors d'enlever le bandeau de mes yeux il me demande de le regarder droit dans les yeux. Il voit la souffrance dans mon regard je vois sa jouissance dans le sien. Il décide donc de continuer mais cette fois-ci sur mon ventre, sur mes seins, sur mes cuisses, sur mes fesses et afin de savoir si ceci me plaît il décide d'enlever le Bâillon. Il me demande de m'exprimer de dire encore et encore et encore.... en bon esclave je m'exécute sans broncher. Nous avons décidé d'un safe code comme déjà évoqué entre nous. N'ayant pas utiliser ce code mon cher Maître continue. Il décide donc de jouer avec les pinces tétons jusqu'à ce que les larmes coulent sur mes joues. Cela arrive plus vite que je ne le pensais. Le maître me regarda et vit dans mon regard que la souffrance était terrible et que je ne pouvais plus la supporter. Sa jouissance n'était pas au plus haut niveau, donc il décida de me détacher, m'ordonna de me mettre en position de Nadu, il continua à me fouetter tout en se branlant devant moi, et me demanda d'ouvrir ma bouche afin que je puisse récolter sa semence légèrement en bouche et sur mon visage. Rien qu'à y penser, sa jouissance arriva très vite et en bonne esclave je le remercia pour ce moment très fort.
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Par : le 27/09/20
Le Maître, m'attends cette fois-ci dans la chambre d'hôtel. Il m'intime l'ordre de me déshabiller, et d'aller dans la douche, de m'accroupir et d'uriner devant lui pendant qu'il bande mes yeux.. Je suis maintenant dans le noir total, je sens quelque chose couler sur moi, quelque chose de froid, c'est l'eau froide qui coule sur mon corps afin de faire durcir mes tétons, et qu'il puisse mettre les pinces tétons sans que je m'en rends compte...le froid et la douleur, me fait réagir violemment en l'insultant, ce qui me vaut une belle correction, il me gifle encore et encore...afin de me montrer qui est le Maître... et qui est l'esclave.... Je lui demande pardon pour cette réaction vive de ma part, et lui promet de ne plus recommencer. De ce fait, il me pose le collier et la laisse, me fait marcher à quatre pattes en me guidant et en utilisant le fouet qu'il a dans les mains, pour que j'obéisse le plus à ses ordres. Je me cambre sous les coups, et il adore cela, car il se sent Maître de mon corps, de mon esprit, et de faire ce qu'il veut de moi, car il sait que je lui obéirai sinon c'est la correction. Il m'intime l'ordre de rester à 4 pattes, je sens qu'il inspecte mes orifices afin de voir si ces derniers sont propres, vides et accessibles à souhait.. ce qui est le cas Je l'entends changer d'objet mais je ne sais pas lequel il compte prendre vu que j'ai les yeux bandés...Il me demande si je connais la badine, je lui réponds : "Non Maître", très bien donc tu vas découvrir et je suis sûr que tu vas y prendre plaisir...le 1er coup tombe, c'est supportable, puis 2, 3 et il me demande de compter jusqu'à ce que je lui dise Rouge, safe code, entre nous....J'ai supporté la douleur jusque 10 car c'était la 1ère fois pour moi. Il fut comptant mais il me dit qu'en bonne esclave, j'aurai dû supporter encore plus la douleur, car c'est ce qui lui fait prendre plaisir et jouissance. Il décide de me traîner jusqu'au lit pour m'y allonger sur le dos, je sens du froid sur mes tétons et ma chatte, je me cambre sous l'effet, je m'interroge sur ce que c'est....puis je ressens que c'est un glaçon, il parcourt mon corps avec afin de me faire frissonner et de prendre plaisir, puis voyant que je commençais à aimer cela, il décide de prendre le câble en sa possession et de me fouetter légèrement, puis de me retourner brusquement pour pouvoir fouetter mon corps et me laisser des traces d'appartenance... La douleur est extrême, insupportable que j'en crie de douleur, et les marques sont là, pour me faire oublier tout ceci, mon Maître décide de s'amuser avec mon clitoris puis mon vagin en introduisant un gode, puis des boules de geisha, et voyant que j'aimais cela, il continua et me donna l'ordre de continuer seule, pendant que lui se branler jusqu'à ce que sa semence m'éclabousse le visage, puis l'étaler et finir par m'y faire goûter...il m'a tellement excité que la femme fontaine que je suis c'est lâchée complètement au moment où mon Maître étaler sa semence et me faisait goûter délicatement avec ses doigts
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Par : le 24/09/20
Le Maître rentre dans la pièce où je suis en train de l'attendre en bonne esclave, à genouiller, j'ai mis mon collier afin qu'il puisse attacher sa laisse. Il commence par me lécher le visage puis me cracher dessus, et étaler ses crachats, puis continue par des petites gifles. Il me demande de lui tendre les mains afin qu'il puisse les attacher pour que je ne puisse jouir de mes mains à ma guise, je m'exécute sans dire mot, puis il commence à sortir son fouet pour en jouer sur mes seins, sur mon dos, et me demande de me relever, son fouet claque sur mes fesses, doucement puis de plus en plus fort, il voit en moi la douleur rien qu'à l'expression de mon corps, puis revient sur mes seins pour les marquer également. Il me demande de mettre le bâillon afin de ne pas entendre ma souffrance, de là, il pousse violemment sur le lit, m'écarte les jambes et crache sur ma chatte afin de pouvoir y introduire un gode, et m'exciter mais ce fut de courte durée, il décide de m'attacher les pieds et détache une de mes mains, de m'uriner sur la chatte et souhaite que je me branle avec son urine, je m'exécute... Et pendant ce temps, il me mets des attaches aux tétons, la douleur est insupportable que les larmes coulent toutes seules... Il me demande si j'en veux encore... À mon regard il voit que oui, il me met sur le ventre et à 4 pattes afin de jouir de mes orifices, il introduit de nouveau le gode tout en me fouettant, puis décide de m'introduire un plug et de jouer avec les 2, la jouissance monte en moi, mais le Maître le ressent, il s'arrête brusquement et me tire la tête en arrière au moyen de la laisse, m'ordonne de me mettre à genoux et de lui dire que je suis son esclave et que mes sévices ne font que commencer, que la douleur va être de plus en plus forte, car cette fois il va utiliser une ceinture en cuir pour me fouetter et me corriger si je désobéis...je laisse faire les choses et me dit que la douleur n'est pas physique mais mentale et que c'est à moi de contrôler cette douleur... La 1ère séance arrive à sa fin et me dit que la prochaine sera plus intense et qu'il fera ce qu'il veut sans un moindre mot, geste ou mécontentement de ma part
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Par : le 05/09/20
Collier nouveau, Joli bandeau. Livres, cahiers Et beau fessier... Cloche a sonne?, Une grosse fesse?e, Il faut y aller : C'est la rentre?e ! ------------------------------ Bon Dieu ! que de choses a? faire ! Enle?ve tes souliers crotte?s, Ne laisse pas ta cagoule au vestiaire, Rele?ve ta jupe pour les invite?s, Revois tes re?gles de Ge?ome?trie. Tout est question d’angle, vois-tu ? Et pour lui faire pousser des cris, Dis, comment la prendras-tu ? Bon Dieu ! que de choses a? faire ! ------------------------------------------------- A l'école des Petites Souillons, On révise nos leçons ! Dans la classe de Madame Agnès, On cultive sa souplesse. Dans la classe de Madame Sibylle, On apprend à être docile ... Tout ça pour un Zéro de Conduite A retrouver sur [https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com]
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Par : le 05/09/20
Ce texte est entre le réel et le fictif. Toutes les sensations sont miennes lors des épisodes passés de sm. Certains passages sont véridiques mais l’histoire est totalement inventée. Peut-être y’a t’il un message à lire entre les lignes, ou pas... À vous de voir... Je reprends le chemin de mon écriture, soyez indulgents.... « Je ne suis qu’un jouet entre tes mains, qu’un fantasme ni plus ni moins.... et pourtant, parfois, j’aimerai qu’il en soit tout autre. Ton désir est palpable, même si j’essaie de t’éloigner depuis tant d’années.... ne pas franchir cette limite... et laisser les choses où elles en sont... » On se cherche mutuellement depuis des mois, à coup de sms torrides, à coup de vidéo de cul pour nous chauffer tous les deux... Jusqu’ici je me défilais, trouvais une excuse, un rdv de dernière minute pour que l’on évite de se croiser. Mais là je ne peux plus reculer, tu m’as donné un ultimatum... Nos regards se croisent, je baisse les yeux, je tourne la tête encore une fois.... je sens mes petits seins pointer sous le tissu de la robe que j’ai mise pour toi... la tête me tourne presque... Tu m’excites au-delà du raisonnable... « Viens ma chienne me montrer à quel point tu as envie de moi » Pas eu le temps de fuir, tu m’attrapes par les cheveux, m’immobilisant la nuque... avec ta poigne inutile d’insister. Je joue les offusquée, mais j’adore quand t’es brutal...j’aime bien aussi les p’tits moments où tu m’embrasses en disant que tu m’aimes, même si c’est pour de faux, (mais c’est le jeu), mais je préfère vraiment quand tu me laisses aucune chance, quand je suis à ta merci. Tu me tiens fermement par les cheveux, un peu plus fort, me bloquant contre toi. Aucune échappatoire. ... J’en ai pas envie de toute façon... Tu plonges tes doigts dans ma chatte, même si je mouille, ça ripe un peu et ça titille. Non ça fait pas mal. Tu retires ma robe, je suis nue devant toi, gênée par ce corps éprouvé par les années. Tu aimes pas quand je me dévalorise, tu aimes pas quand je dis que je suis grosse et laide. Tu mets tes doigts tous mouillés dans ma bouche, me demande de lécher ma cyprine. Je te regarde, je te défie j’aime ça, le jeu du chat et de la souris. Tu me retournes contre le mur, fesses devant toi, j’écarte mes jambes, une envie irrésistible de toi. Ouille... Quand je le dis que tu sens pas ta force... une fessée, une grosse fessée, je me mords l’intérieur des joues, je contracte les muscles... pas question de montrer que ça fait mal... et même si ça fait mal, de toute façon ça fait du bien aussi. Une seconde, je m’y attendais pas trop sans m’y attendre... Puis tu continues. Tu sens que le plaisir se mélange à la douleur, tu as envie de me voir « partir », parce que l’orgasme intellectuel te dépasse... Moi dans ces moments là, je passe dans une espèce de mi-transe mi-auto hypnose. Je m’envole vers ce lieu que j’aime tant, et la douleur s’éloigne pour ne laisser que des picotis sensoriels, qui vous emporte dans des méandres de plaisir. J’ai le cul qui chauffe, ça brûle limite... J’ai a peine passé un doigt sur mes fesses pour tâter d’éventuelles boursouflures, que tu me bloques les mains enfermant les poignets dans un carcan... « Bloquée chérie... aujourd’hui je vais enfin avoir ce que tu me refuses... » Regard noir de ma part, je lui refuse la sodo que je supporte de moins en moins en vieillissant. Brusquement tu me tires de nouveau par les cheveux et me jette comme une poupée de chiffon sur le lit. J’ai a peine le temps de reprendre mon souffle, que déjà le cravache siffle.... Hé on avait dit doucement !! Ça fait deux ans que j’ai pas eu de sm, deux ans sans cul, retrouver ma forme et mon endurance ça va pas se faire en un jour.... Apparemment non, pas avec toi. Je tressaute, sursaute... ça fait mal, je tente de bouger pour pallier certains impacts, je me mords les lèvres, je supplie en silence.... Je crois que j ai jamais eu de coups de cravache aussi forts... La douleur, la brûlure, l’envie de me dépasser, de lui montrer que je suis pas une midinette qui se la raconte fait que je dis rien... Je serre les dents et les poings, emportée dans un tumulte de sensations diverses. Et ma jouissance arrive, me faisant presque hurler sous ton dernier coup mon amour. Tu rentres de nouveau tes doigts, je suis mouillée mais pas trempée, je te l’ai dit l’orgasme il est dans la tête avant toute chose. Tu comprends pas et tu me fistes avec violence comme j’aime que tu le fasses, mais ça je te le dis pas. Je jouis, je t’éclabousse et j’aime ça. Tu me pousses plus vers le lit, tu détaches mes mains, tu écartes mes cuisses et sans me demander quoique ce soit tu forces le passage interdit. J’hurle de douleur et de plaisir, heureuse tout en étant à la fois contrariée, offerte tout en ne l’étant pas. Tu sais que j’ai mal vraiment, alors tu y vas quand même doucement et je t’en remercie... Une décharge électrique, une ultime fessée et j’explose dans un orgasme violent... Mes seins me brûlent, tu les as touchés avec ta cravache car tu les sais hyper sensibles... Mes fesses sont une douleur au moindre mouvement mais j’aime ça .... Liquide chaud qui ravive mes blessures, tu me recouvres de ta pisse, ton offrande... Je suis nettoyée et purifiée... J’avale et je bois avec plaisir ce nectar salé, que tu me donnes comme un cadeau... ..... Je me regarde dans la glace, à certains endroits la peau a éclaté et ça saigne. C’est si beau... « Ça fait pas mal ? » Bien sûr que si, ça fait mal. Un mal de chien... qu’est ce que tu crois ? Suis maso certes, mais la douleur est bien réelle... J’aime avoir mal pendant plusieurs jours, la douleur me rappelle ce moment intense. Je porte avec fierté ces hématomes, ces coupures, ces stries, comme s’ils étaient les étapes d’un passage, un rituel. Oui un rituel, celui d’apprendre à dominer son corps, à se dépasser sans cesse chaque jour. Merci pour tout.... Octavia 3 septembre 2020.
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Par : le 02/09/20
Donc nous évoquions le passage d’une langue longue et profonde dans les plis, l’entrée, et le petit bouton et insérée dans l’antre, les jambes ouvertes et tombantes, une main fouillant ton antre chaude et glissante, et une de tes mains s’étant saisie de cette tige de chair tremblante de désir….Avalée par cette bouche chaude et accueillante….Qui sait, profonde et aussi une langue agile s’enroulant sur le vit gonflé et chaud, pour le plaisir de chacun Je te retourne, cette chatte toujours léchée, parcourue et ouverte de doigts inquisiteurs, profonds parfois, éprouvant l’ouverture Je retourne encore…. Mais cette fois échangeant la superposition des corps, pour mieux t’avoir à appuyer la chatte contre mon visage…t’ouvrir un peu plus sur tes genoux Alors tu plonges vers cette queue dressée vers le ciel, pour l’engloutir goulument, plus profondément, les mains s’activant…A glisser sur ce manche de chair et ses attributs…alors que les miennes écartent peu à peu ce fessier pour mieux y voir le fruit Fouillé de mes doigts pour l’ouvrir aussi encore plus et in fine en arriver à le fouiller pleinement Ta bouche vibrante sur moi me procure des effets et en fait durcir ma tige…. Ta chatte maintenant bien ouverte et luisante, le rythme de ta respiration ne laisse plus aucun doute, et demande à être prise comme il se doit Présenté entre tes jambes ouvertes et guidé par tes mains écartant le passage pour mieux être prise, je m’y enfonce lentement de toute ma longueur, en prenant en considération la configuration de ton corps, cela ne sera que douceur et peu nombreuse comme pour mieux les apprécier Mais chacune des sorties de ce vit…serait également accompagné de l’usage de tes mains, les miennes occupées à tes seins, et tétons…les palper pour les uns, les pincer pour les autres Les tiennes à parcourir plus ou moins rapidement la tige de chair sortie de ton ventre….et inviter à y prendre possession de nouveau…une prochaine sortie trouverait ta bouche pour accueillir cette queue raide et puissante, bien aussi dans cette bouche, parcourue dans sa longueur et en profondeur….tu recules bavant face à cette queue, pour reprendre ton souffle, tes mains enserrent mes hanches comme pour ne pas me laisser la possibilité de fuir…pour mieux me prendre en bouche, goulument, profondément… Tu recules de nouveau, essoufflée d’avoir forcer ta gorge, en apnée…les mains toujours accrochées aux hanches tu rapproches ton corps du mien et d’un habile mouvement ma queue encore luisante de ta bouche, se trouve enserrée entre tes seins dont les pointes durcies frôlant mon corps pendant que tu t’actives à jouer et à frotter ma queue entre tes deux globes Mais les envies reprennent un tout autre chemin, cette fois c’est moi qui recule. Je te pousse et tu tombes sur le dos, les jambes pendantes et ouvertes de chaque côté de moi..Je retrouve ton entrée dans laquelle je m’enfonce sans ménagement et sans résistance…une chatte mouillée et ouverte à souhait N’y tenant plus, je prends une de tes jambes, la passe par-dessus moi, et tu finis sur le ventre…les jambes bien écartées et la croupe relevée…tu laisses entrevoir ta chatte luisante dans laquelle je m’engouffre, dans un feulement que tu pousses à chaque introduction Mes mains parcourent ce fessier, l’écartant un peu plus….Le dos, les flancs, les seins si ronds et durs, puis les cheveux. Une poignée pour mieux avoir une emprise, et se retirer de nouveau après quelques mouvements lents…pour mieux t’ouvrir encore, les doigts glissent et s’insèrent dans ce fourreau De nouveau, je te retourne, et te tiens bien ouverte, peut-être pour mieux rentrer dans ce corps accueillant. Mes doigts continuent leur voyage, intérieur et extérieur, ma queue également intérieur surtout….Mais se promène aussi sur cette chatte et ce ventre, pour s’y insérer de nouveau, en sortir, pour mieux l’investir de nouveau Mais déjà, je sens cet état étrange et précurseur d’une fin proche, ce moment de petite mort interne, qui fait suite à une décharge courte mais intense, ce désir de t’inonder de mon plaisir, ce geyser chaud et brûlant qui laisse échapper par jet court et puissant, le résultat de ce désir, sur ta chatte déverser tout mon désir
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