Je crois très sincèrement qu'une exhibitionniste qui serait engagée dans une relation de soumission BDSM aurait un avantage certain pour vivre positivement cette relation, donner sarisfaction à son Maître et obtenir elle-même des motifs de satisfaction. Se ptésenter nue ou parée d'atours BDSM, fait partie de la conduite à tenir, en éprouver de la fierté plutôt que de la honte, de la gêne et de l'inconfort facilite les choses, indéniablement. C'est mon cas et je m'en félicite. Pour le démontrer, voici une image anodine en apparence si ce n'est que cette photo fut prise un après-midi, devant témoins, dans la piscine d'un hôtel de Mykonos. Nudité naturelle, innocente mais qui s'incrit pour ceux et celles qui furent mis dans la confifence, dans un clair cheminement BDSM. Mais ce ne fut là qu'une première étape !
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En posant cette question, je pars du postulat que les femmes sont généralement plus cérébrales que les hommes (heureusement, on trouve des exceptions à cette règle rapidement énoncée). Leur approche de la relation BDSM est plus réfléchie, plus transgressive aussi. Pour la littéraire que je suis, sensible aux mots et aux situations déstabilisantes, force est de constater que les femmes dominantes ont plus sûrement su répondre à mes apsîrations que leurs homologues masculins (exception faite de mon Maître, bien entendu). Avec sa permission et ses encouragements, j'aimerais donc être prise en main par une Maîtresse (une femme switch ne serait pas rejetée) aussi perverse qu'exigente qui saurait me pousser dans mes retranchements, me soumettre au feu de ses questions très indiscrètes et intrusives pour mieux obtenir ma reddition, mon abandon et m'enchainer à tous ses désirs inavoués ou inavouables qu'elle osera cependant nommer,énoncer, développer, mettre en pratique.
Si d'aventure, un homme se retrouvait dans ces quelques lignes, il pourrait aussi tenter sa chance et entrer en contact .Elégance, perversité, finesse d'esprit et cérébralité doivent être étroitement mêlés. Que tous les autres ma pardonnent cette irrépressible envie de m'exprimer ou/et de m'exhiber.
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Souvent, les dominants aiment employer un vocabulaire animalier avec leur soumise, la désignant par exemple sous le terme de chienne. C'est là une attention très ambivalente qui la dévalorise tout en la magnifiant, soulignant ainsi le désir qui l'anime ou l'attraction sexuelle qu'elle suscite.
Mon Maître désigne mes fesses par le terme de croupe, ce que je trouvais insultant, au début. Et puis, j'ai compris que cette appellation était somme toute assez flatteuse,soulignant la rondeur de mes fesses rebondies qu'il aime photograpgier sous toutes les coutures et dans toutes les positions. Quand j'entends ce mot désormais, je ne me raidis plus mais je me cambre et imperceptiblement, je tends ma croupe pour mIeux la lui présenter.
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Habituellement, mon Maître aime jouer sur le contraste entre le blanc et le rouge de mon cul après fessée mais ce jour là, il s'agissait après cette fessée magistrale d"avoir le cul aussi rouge que mon string. Mes limites furent atteintes et je ne pus retenir mes larmes. Longtemps après,j'étais encore brûlante à cet endroit et devoir m'asseoir me rappelait immanquablement le châtiment reçu. J'en retirai quelque fierté. Ambivalence de la soumise qui s'avandonne et se découvre des ressources insoupçonnées mais aussi d'inavouables plaisirs.
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Pour une fille soumise a priori non masoxhiste, quel plaisir trouble à recevoir une fessée ? Quel ressort me poisse à l'accepter ?
Peut-être un retour vers un lointain souvenir d'enfance, le désir inavoué d'être punie et par là-même d'être célébrée d'une manière particulière mais aussi la coupable fierté de s'être entendue gémir et supplier puis finalement, d'exposer son corps marqué en ressentant la cuisante démonstration du châriment reçu. Et si vous avez apprécié de voir mes fesses empourprées complaisamment offertes à votre contemplation; alors demandez-moi d'autres preuves de mon obéissancen d'aitres clichés cuisants.
Charlotta
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La sublime Silvia Kristel dans le film d'Alain Robbe-Grillet que tu m'as fait découvrir, hier. Cette image m'inspire et me poursuit. Serais-je aussi belle quand tu m'auras attachée ? Et à qui me doneras-tu à voir ? Je rêve d'une dominatrice perverse et exigeante qui saurait me cingLer avec des mots en guise de préliminaires.
Ta Charlotta qui se sent de plus en plus bad girl.
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Jézabel commençait à sentir les effets du vaccins se dissiper.
Elle essayait de se rappeler sa semaine de mise à disposition pour en retrouver les effets.
Après avoir été détachée, elle avait été emmenée dans une salle inconnue et avait retrouvé le Directeur qui l'inspecta sous toutes les coutures. Il l'avait trouvée à la fois belle et faisant peine à voir : couverte de sperme sur tout son corps imberbe, les trous béants d'une semaine de baise, ses épais anneaux pendant de ses tétons et ses lèvres vaginales, le crâne toujours lisse de cette épilation complète du corps.
Mais rien à faire.
L'excitation n'était plus là.
Tous ces efforts d'imagination ne suffisait pas.
Puis soudain, le Directeur entra da sa chambre.
Bonjour Jézabel, dit le Directeur, je peux entrer ?
Bonjour Monsieur, bien sûr, lui répond Jézabel, surprise d'autant de politesse.
Sais-tu pourquoi je suis ici ?
Non Monsieur
Je vais démontrer le succès naissant de cette expérience. Et pour cela, je vais t'exhiber devant tout le Gouvernement.
Ils seront ici, Monsieur ?
Non, nous allons en salle de conférence. Ils seront présents uniquement par hologrammes. Mais ce n'est pas une raison pour être moins obéissante. Compris, esclave ?
Oui Monsieur
Que devrais-je faire ?
Tu le sauras le moment venu.
Une fois arrivé en salle de conférence, le Directeur lui demanda :
L'excitation due au vaccin retombe-t-elle ?
Oui Monsieur, je me sens comme avant désormais, c'est presque frustrant.
Ah oui, et quel effet cela te fait ?
Je me sens chienne Monsieur. J'ai été prise par tous les trois sans discontinuer pendant une semaine, et non seulement cela m'a plu, mais cela me manque, dit Jézabel rouge de honte. Je suis visible en permanence, nue, par toute la prison, et pareil, l'excitation initiale me manque.
Je suis ravi de l'entendre. Mais n'espère pas que je te prenne pour te soulager. Je n'ai aucune envie de baiser une souillon pareille. Et tu es tellement dilatée depuis ta semaine de mise à disposition que tu es inutilisable.
Jézabel s'aperçu alors que le Gouvernement avait entendu la fin de leur discussion. Elle n'avait jamais été aussi honteuse de toute sa vie ; elle venait de reconnaitre sa déchéance devant le Gouvernement de sa Patrie ...
"Bienvenue, dit le Directeur. Je suppose que vous avez tous pu profiter de cette semaine au cours de laquelle la déchéance de Jézabel à dépasser toutes nos espérances. Et comme vous venez de l'entendre, cette bouffeuse de bite n'attend que de recommencer. Mais pour la suite de l'expérience, je vous propose un autre spectacle. Jézabel, allonge toi sur ce lit et branle toi.
Combien de temps Monsieur ?
Autant qu'il nous plaira. Nous discuterons des affaires courantes et toi je veux que tu essayes de jouir pour nous. tu peux utiliser tout le matériel que tu veux. Compris ?
Bien Monsieur"
Jézabel s'allongea sur le lit et commença à se doigter. Elle sentit pour la première fois le contact de ces lourds anneaux vaginaux avec ses doigts. Elle augmenta la cadence, continua, tenta d'ignorer le public qui l'observait.
Mais rien.
Elle ne sentais rien.
Non seulement elle se branlait devant une cinquantaine de vieux mâles peu ragoutants, mais en plus elle n'avait aucune sensation.
Continue, dis le Directeur.
Elle testa le vibromasseur, les godes, les plugs, rien ne fonctionnait. C'est comme si elle caressait un autre corps que le sien.
Elle vit que certains hologrammes se branlait et prenait quant à eux beaucoup de plaisir face à sa frustration. Elle tenta d'utiliser cela pour ressentir du plaisir, mais toujours rien.
Messieurs, dit le Directeur, voici l'avenir. Le vaccin que nous avons inoculé à cette salope a des effets secondaires. Pendant une semaine, une excitation extrême, je me disais que nous pourrions tenter d'isoler cet effet pour que nos futures soumises publiques et privées bénéficie de cette excitation d'exception en permanence. Puis, pendant environ trois semaines, une absence totale de plaisir et de sensation. J'ai pensé que nous pourrions tenter d'isoler cette effet pour punir les délinquants et criminels, ou tout rebelle à notre Juste Cause.
Le Gouvernement sembla emballé. Jézabel quant à elle, n'avait pas reçu autorisation de s'arrêter. Le Gouvernement la fit continuer, il voulait voir jusqu'où cela allait. Alors ils lui bandèrent yeux et mirent à vibromasseur sur son sexe. Pendant de nombreuses et longues minutes. Quan Jézabel en fut libérer, elle ne pu que regretter l'efficacité de ces effets secondaires. Elle n'avait rien senti, mais avait le sexe irrité à force de frottement.
Jézabel, dit le Directeur, qu'as-tu ressenti lors de cette masturbation d'exhibition ?
Rien Monsieur, le vaccin a fait son effet secondaire.
Certes, mais au fond de toi, que ressentais-tu ?
De la honte, Monsieur, de me montrer comme cela devant tout le monde. Et bizarrement, aussi une certaine satisfaction. Celle de ne pas avoir à se cacher. Celle de voir les plus hauts dignitaires de l'Etat se branler sur ma vision. Et de la frustration. De ne rien sentir. De ne pas goûter à ses queues et à ces spermes.
L'exhibition pris fin. Le Directeur emmena Jézabel à la douche et elle fut ramenée à sa chambre.
Jézabel appréhendait la suite. Elle venait d'arriver, et déjà elle ne se reconnaissait plus. Elle était devenue addicte au sexe et à l'orgasme, se remémorant avec délectation sa semaine passée à servir de pute pour la prison.
Elle se demandait jusqu'où ils l'emmènerait, jusqu'où sa déchéance irait.
Elle venait de faire une semaine seulement sur vingt ans de détention à venir.
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Pour la 1re fois, Jézabel pouvait souffler. Après son arrivée tonitruante en détention qui avait ravivée les désirs de tous ces criminels encagés et chastes, sa transformation en chienne, et sa semaine de mise à disposition du personnel, elle n’avait pas vu le temps passé.
Elle avait été plus humiliée, plus été baisée et souillée que tout au long de sa vie cumulée.
Enfin, Jézabel pouvait souffler.
Prendre le temps, de regarder sa cellule.
Sa nouvelle cellule d’ailleurs, on l’en avait changé. Désomais, elle trônait au centre de la prison.
Elle s’y sentait bien. Ce n’était pas très spacieux, mais confortable. Le lit était imposant, probablement pour lui permettre de satisfaire les désirs de chacun des mâles de ce huis-clos. Mais la chambre comprenait aussi un coin beauté avec tous les produits nécessaires. Pas de placards par contre, elle avait vite compris qu’elle n’aurait plus de droit de se vêtir. Et une douche, fonctionnant malheureusement uniquement à l’eau froide. Ce qui avait le malheur de titiller ses extrémités et d’exciter encore plus les détenus grâce à la vue de ses tétons au garde-à-vous.
Comparé aux autres détenus, elle avait conscience d’être choyée.
« tu es convoquée dans le Bureau du directeur, mets toi à quatre pattes que je te prépare » dit le geôlier.
Jézabel ne l’avait pas vu arriver, elle était loin dans ses pensées.
Elle s’exécuta et le geôlier lui mit un baillon gode. Beau bébé le gode, elle avait du mal à respirer tellement il lui remplissait la bouche. Plusieurs fois elle eu un début de nausée, mais elle tint bon. Puis, il lui mit un collier de chien bien large, des bracelet aux mains et aux chevilles, en fer, lourds. Et une ceinture de chasteté, avec deux godes. Un pour chacun de ses orifices. Puis il accrocha la laisse aux lourds anneaux pendant à ces tétons, et il purent ce mettre en marche.
Lui debout, elle à quatre pattes, ils déambulèrent dans tous le centre, visibles de tous, jusqu’au bureau du directeur.
« Bon courage » dit le geôlier avant de la laisser seule, dans le bureau.
Le Directeur arrive.
« Bonjour Jézabel, j’espère que ta nouvelle cellule de plait »
« mmm » répondit-elle baillonée bien trop profondément.
Soudain, elle sentit une chaleur monter en elle. Les deux godes de la ceinture de chasteté étaient connectés, et commencer à se mouvoir en elle. Doucement. Tout Doucement. Mais tellement bon.
« Je vais te retirer ton baillon, il faut qu’on discute. Dis-moi, Jézabel, que penses-tu de ton début de détention.
- ce n’est pas de tout repos, Monsieur le Directeur, mais je sais que je ne suis pas à plaindre.
- Vraiment, après tout ce que tu as subi ? Après les transformations physiques ? La semaine de mise à disposition ?
- J’ai honte de le dire, mais je n’avais jamais connu pareil jouissance que cette semaine. Et pour les transformations, je m’habitue. Aux anneaux, à l’absence de cheveux. En réalité, ça ne me déplaît pas. J’avais toujours eu des fantasmes que je n’osais réalisé, et vous m’y avez forcé. Bien plus que ce que j’aurais souhaité, mais malgré la peur et l’humiliation, il y a une dose de plaisir malgré tout.
- Je suis ravi de te l’entendre dire. Et ta nouvelle cellule ?
- Elle est confortable. Dommage qu’il n’y ait ni eau chaude, ni vêtements.
- tu n’en as pas besoin.
- … »
« Je vais t’en dire plus sur ta cellule, car elle est particulière.
- je sais, Monsieur le Directeur.
- tais toi et ne m’interromps pas, tu ne sais rien. Cette cellule est le fleuron de la science actuelle, avec des murs sans teints. Pour toi ce sont des murs, pour toue personne hors de la cellule, ce sont des fenêtre. Pareil pour le plafond et le sol. Tout le monde te voit en permanence, sans être vu. Tu connais le panoptique ? C’est le fait de pouvoir tout voir d’un endroit sans être vu ; toi c’est l’inverse. Tu ne vois rien de ta cellule, et tout le monde te voit en permanence. Quand tu dors, quand tu te trémousse sous le jet d’eau froide, quand tu te fais belle, quand tu te feras prendre à la chaine par des gars aux bourses bien pleine, quand tu te masturberas.
- Mais n’ai-je donc pas droit à un peu d’intimité ?
- tu n’as donc pas compris, tu es au service de cette prison. Tu ne t’appartiens plus, tu es un corps au service du contrôle sociale, tu es une réponse au désir des hommes. Tu n’as plus droit à l’intimité. Tu n’as plus de droit du tout.
Jézabel sentit les larmes monter face à cette annonce si brutale, et désomais sans le bénéfice de l’excitation qui l’animait de force en ces lieux.
« Sais-tu pourquoi je t’ai fait venir ici, dans cette prison ?
- Bah pour assouvir les désirs de chacun ?
- mais encore ? Je serai effectivement ravi de me vider en toi, mais ce n’est qu’un bénéfice secondaire. Pourquoi t’ai-je fait éviter la mort, la vraie raison ?
- je ne sais pas Monsieur …
- Ce régime ne fonctionne pas Jézabel. Il a été mis en place parce que des réactionnaires était contre l’évolution, contre la libération des mœurs, contre la libération de la femme. Mais ce n’est aps mieux maintenant, le porno n’a jamais été autant consulté, le Ministère ne parvient pas à réguler la sexualité, il y a de la résistance.
Tu vas nous permettre de gagner ce contrôle. En contrôlant ta sexualité, on contrôlera celle des autres et donc celle de tous.
Tu es la réponse face à l’échec des politiciens. Tu es la femme qui fera en sorte que la politique des hommes finira par fonctionner, la femme qui nous donnera le contrôle sur les hommes de ce pays. Tu es l'expérience qui me fera monter en grade quand ils verront que ton corps suffit pour réussir là où les milices échouent lamentablement.
C’est ça ton rôle. Et ce ne sera pas de tout repos. Ce que tu as vécu … ce n’est qu’un début."
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Nouvelle journée qui commence. Mon maitre, (virtuel pour l'instant), est marié. Comme moi il n'est pas gay. Il est bisexuel marié, discret. La bisexualité parait dans l'intimité débridée aujourd'hui, entre bisexuels nous pouvons je pense assurer notre équilibre, Sans être vulgaire nous n'avons plus peur dans notre jardin secret. Les barrières entre hommes et femmes ne sont pas les memes. Nous pouvons nous "lacher" tout en nous respectant. Plus jeune j'ai connu des Femmes Maitresses, dans l'ombre, avant qu'elles s'affirment et s'affichent dans le couple, avant l explosion de l'équilibre bien fragilisé par la jalousie, la possessivité (Couple, Amant, Maitresse). Aujourd'hui je voulais dire, Maitre, que vous m'avez trouvé, naturellement vous m'avez appelé "Ma soumise", et comme un bon élève, ci joint votre souhait, Chemise blanche, collant et short. Au plaisir de vous lire Monsieur.
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De nouveau seule, Jézabel repensa à la séance de préparation qu'elle avait subi. Par plaisir, d'une part, puisque l'effet du vaccin était toujours bien vivace et il lui fallait désormais bien pu pour connaître les orgasmes les plus forts de sa vie. Par introspection également, car Jézabel avait été littéralement transformée. D'être jolie jeune femme, elle était devenue une chienne, une jouet sexuel à destination de tous pour qui le pratique prime sur l'esthétique.
L'injection du vaccin avait fait très peur à Jézabel. S'il avait un côté rassurant, la piqûre avait été la chose la plus douloureuse qu'elle ait vécu, pénétrant dans toute sa longueur son clitoris naturellement si sensible. Mais depuis .... Waouh ce sont des sensations uniques. Ils ont été obligés d'attacher Jézabel dans son lit car l'envie de se toucher de redécouvrir ces plaisirs à la fois si simples et si complexes était trop forte. Pour être sûr à 100%, ils l'ont également perfusés pour ses repas, et mis une couche pour ses besoins. Ca, c'était le summum de l'hmiliation pour Jézabel, ce qui lui a fait vraiment comprendre qu'elle n'était plus qu'une méthode de maintien de l'ordre par le sexe.
Elle repensa également à ces anneaux. Lourd, épais, grossiers. Elles les trouva fort laid dans un premier temps. Mais elle commeçait à s'habituer à voir ses tétons et sa vulve ainsi orné. Elle n'en comprenait pas l'intérêt, encore moins des anneaux sur le clitoris et son nez, mais après tout, on lui avait fait comprendre que son avis comptait bien pu. Voire que si elle avait le malheur d'exprimer son avis, ils feraient l'inverse juste pour lui retirer ce dernier reliquat d'humanité. Elle repensa à la douleur d'être percée, sans anesthésie, sur ses zones les plus intimes. La douleur ... avec le vaccin c'est cependant vite dit. Chaque piercing lui avait fait connaître un orgasme plus puisant que le précédent. Elle ne se l'expliquait pas, certes elle avait toujours eu un petit côté maso, mais à ce point là, elle en se reconnaissait déjà plus. Après seulement quelques heures de détention, "ça promet", se dit-elle, "quoique s'il s'agit de jouir comme ça tous les jours, ça vaut le coup" ...
Mais le plus marquant vu son épilation. Intégrale. Vraiment intégrale. Elle se rappelait encore les vibrations de la tondeuse sur sa tête, qui la traversaient jusque son bas ventre. Elle se rappelait voir les mèches de cheveux tomber une à une au sol, l'allégeant de leur poid pour ne lui laisser quec celui de la sexualité. Elle se rappelait encore le frottement de la lame de rasoir sur son crâne désormais imberbe. Elle avait pleuré pendant ce rasage. Il lui avaient même retirés les sourcils ! Perdre ses cheveux, c'était perdre sa féminité. Perdre sa féminité, c'était perdre sa raison d'être. Il ne restait, selon elle, d'elle qu'un corps. Et pourtant, qu'est-ce que cela l'avait excité. Vraiment. Cette déshumanisation avait quelque chose de plaisant au final ; fini les responsabilités, fini les tracas du quotidien, il lui suffirait de satisfaire des hommes, des dizaines d'hommes au quotidien. "On a connu pire se dit elle". En tout cas, c'est ce qu'elle avait compris.
Ils avaient poussés le vice à lui épiler le maillot à la pince à épiler. Chaque poil entrainait une douleur, qui entrainait un plaisir intense. Chaque poil retiré l'avait fait mouiller davantage, mené à la jouissance, sous les rires du médecin qui avait bien compris qu'il faisait face à un specimin bien particulier. Il se faisait plaisir, et en un sens il lui faisait plaisir également.
Mais le moment le plus difficile mentalement à été de jeter tout au feu. La clef de son lourd collier de fer. Ses papiers d'identité, et médicaux. Son passé. Qu'adviendrait-il d'elle ? Que lui réservait-on ? Pourquoi lui retirer son identité et son passé ? Elle a certes été condamné, mais à 20 ans de réclusion criminelle, pas à perpétuité, elle devrait donc sortir ! Elle ne comprenait pas, elle était en colère. Elle avait peur aussi. Peur de ce qu'ils feront d'elles. Peur de ne jamais sortir. Peur de pas finir ces 20 années.
Mais elle s'était vu dans le miroir. Chauve. Lisse. Percée. Avec son collier. Pour la féliciter de sa "réceptivité", le médecin l'avait un petit peu maquillée les yeux et la bouche. De manière un peu extravagante bien sûr, pour la renforcer dans son rôle, mais il avait fait ça bien. Et elle se trouvait belle ainsi. Presque fière d'être ce qu'ils avaient fait d'elle.
Attachée sur son lit, la réalité avait rattrapé Jézabel. Une fois la nuit passée, le Directeur avait ouvert la porte :
" ta première semaine débute. tu es à disposition de tout le personnel.Ils peuvent faire ce qu'ils veulent de toi".
Le médecin avait eu raison quelques jours plus tôt, bien rares étaient ceux à appeler Jézabel par son prénom.
La plupart se contentaient d'une insulte ou simplement ne l'appelait pas.
Cette première semaine a été un doux enfer pour elle.
L'effet du vaccin était encore à son maximum. Elle était toujours excitée comme jamais elle n'aurait pu l'imaginer.
Cette amplification lui faisait découvrir que certaines choses l'excitait.
Une insulte, une humiliation, et elle partait dans un nouvel orgasme.
"150 surveillants, cela fait tout de même beaucoup, se dit-elle avant que cela ne démarre, surtout en une semaine".
Elle calcule. Elle se fera prendre en moyenne 22 fois par jour. 8 fois, s'ils viennent toujours par trois pour la prendre par chacun de ses trous.
Avec son excitation hors norme, cela ne poserait aucune difficulté ...
Ces chiffres l'effrayaient. Ils l'effrayait d'autant plus qu'elle savait que ça pourrait être plus, si certains voulaient revenir dans son lit.
Pour prévenir toute difficulté, la prison avait maintenu la perfusion pour éviter toute difficulté liée aux repas.
"C'est par précaution, tu pourras toujours boire du sperme et bouffer de la bite" lui avait dit le médecin dans un moment d'élégance dont lui seul à le secret.
Jézabel, apprécia sa prose habituelle, ravala sa fierté, et ignora son excitation ravivée.
Mais il n'avait pas tord, elle allait prendre plus en une semaine que n'importe qui en une vie.
"- tu auras juste à faire ton travail et à obéir aveuglément aux surveillants, répondit le médecin. De toute façon, si tu rechignes, nous le saurons, dit-il en montrant une caméra
- Je suis filmée, Monsieur ?
- Bien sûr, salope. Tu n'imagines quand même pas que notre expérimentation ne sera pas évaluée. L'intégralité du Conseil des Moeurs et du Conseil des Ministres a un accès en direct et en différé à chacun de tes exploits. Ca leur permet de vérifier le bon déroulé de ton dressage, ou de revisionner un passage qu'ils aiment particulièrement. Ils vont pouvoir constater qu'en moins de quelques heures, tu es devenue la pute de toute la prison, et qu'en plus tu y prends ton plus grand plaisir"
Jézabel rougit de honte et se cacha derrière ses cheveux. Enfin, elle essaya. La réalité la rattrapa de nouveau : elle n'avait plus de cheveux ...
"- Répète le, sale chienne, cria le médecin, tout content de son nouveau pouvoir.
- Je suis la pute de cette prison, et j'y prends mon plus grand plaisir, Monsieur" répondis Jézabel plus honteuse et excitée que jamais.
Elle avait toujours aimé les mots sales. Mais là, c'était différent. Ce n'était pas du jeu. Elle était vraiment devenue la pute de la prison. On le lui avait bien fait comprendre. Elle allait le vivre incessament sous peu. Sans les effets du vaccin, elle aurait probablement été incapable de le dire. Mais là son excitation était telle en sachant ce qui l'attendait qu'elle pouvait difficilement le nier. Elle sentait ses orifices se dilater, s'ouvrir de plus en plus, avide d'être comblés. Et depuis ces mots des plus avilissants, elle sentait que cela s'accentuait encore davantage.
Ce fut là le début d'une semaine de baise non stop pour Jézabel. Et ce fut pire qu'elle ne l'imaginait. Les surveillants, frustrés par les nouvelles lois, ne cessaient de revenir. Rapidement, ils comprirent qu'ils devaient venir par groupe de trois pour optimiser et profiter davantage.
Au cours de cette semaine, Jézabel n'eut pas un instant de répit. Pas un repas. Pas un moment de sommeil. Elle voulu manger, boire, dormir, mais sa déshumanisation l'en empêchait. La perfusion gérait ses repas, l'excitation bloquait son sommeil, les fantasmes des uns et des autres pallait l'absence de toilettes.
Elle constata rapidement que le vaccin ne touchait pas que sa chatte, mais également son cul et sa bouche, l'excitation d'être pénétrée par chacun de ses orifice était décuplée. Grâce au vaccin, ses orifices s'ouvraient d'eux mêmes, quelle que soit la taille ou le nombre de membre qui la pénétrait. Elle finit béante et couverte de sperme, et tout aussi humiliée qu'heureuse.
Car malgré l'humiliation, le vaccin fit de cela une semaine d'orgasme ininterrompus. Mentalement et corporellement, elle était épuisée. Epuisée par ces orgasmes. Epuisée du manque de sommeil. Epuisée du sexe en continu. Elle se sentait humiliée, avilie, voulait juste prendre une douche pour retirer ces couches de spermes séchées qui couvraient son épiderme. Elle espérait que son corps se refermerait après autant de vas et viens en elle.
Mais elle était heureuse. Heureuse de ces orgasmes, de ce plaisir, du plaisir de ces hommes. Elle ne savait comment se situer par rapport à elle-même, à ses contradictions. Elle ne s'interrogeait plus sur la suite, tant la fatigue et l'euphorie neutralisaient toute capacité de projection.
Elle l'ignorait, mais le médecin s'était inquiété pour elle :
"- Vous pensez qu'elle tiendra le coup, Monsieur le Directeur ? Les chiennes supportent habituellement mal cette excitation, alors, même si celle-ci est hors norme, avec toute cette stimulation ...
- Ne vous inquiétez pas Docteur, faites confiance à la chienne qu'elle est. Elle y trouvera bien davantage son compte qu'elle ne l'imagine, et son corps encaissera. Et de toute façon, ce sont les ordres du Gouvernement. Donc faites votre travail et assurez-vous que tout se passe bien"
Le Directeur avait eu raison, une fois de plus. Le Docteur n'eût pas besoin d'intervenir. Jézabel supporta le traitement et la stimulation. La démonstration du succès de l'expérience était pour le moment sans appel et la réussite du Directeur, flamboyante.
Mais cela ne faisait qu'une semaine que Jézabel étaient détenue. Son parcours était encore long et ses questionnements n'en étaient qu'à leurs débuts ...
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Faites entrer la chienne svp !!
Les surveillants pénitentiaires font entrer J. et la mettent à genoux dans l'infirmerie de la prison
Bien, dis-le, médecin. Déshabille-toi en vitesse. Je vais t'expliquer ce qu'on va faire de toi. Je ne veux pas t'entendre dire un mot, je ne veux pas te voir bouger sauf si je te le demande. Compris ?
J. opine du chef et retire ses vêtements.
Bien, tu comprends vite. Le Directeur a raison. Quand tu sortiras de cette salle, ton toi passé n'existera plus. Je vais te préparer à devenir la pute de cette prison et à aimer ça. Je vais commencer par t'injecter un vaccin universel contre toutes les maladies sexuellement transmissibles. Il te rendra stérile aussi, ça permettra de te faire sauter à longueur de journée sans risquer une maladie ou une grossesse. Compris ?
Les yeux embués de larme, J fait oui de la tête.
Le bon côté, c'est que pendant une semaine, ton excitation sera multipliée de manière exponentielle. Il parait que certaines ont même joui juste en allant pisser. Le Directeur ne veut pas que tu en profites de trop, donc tu seras attachée en permanence pour ne pas te caresser. Puis pendant environ trois semaines, tu n'auras au contraire plus de sensation de plaisir. Après un mois, tout reviendra à la normale.
Le médecin sort une grande seringue, "je te préviens, je dois remonter toute la longueur de ton clitoris avec cette seringue, ce ne sera pas agréable. Mais une fois injectée, tu ne devrais pas m'en tenir rigueur"
J. se trouve attachée en croix, comme en lévitation, un saut posé au sol entre ses jambes. Le médecin commence l'injection, J. crie de douleur.
Mais le vaccin tient ses promesses, dès l'injection effectuée, J. cesse de crier. Au bout de quelques minutes, ses tétons, ses lèvres et son clitoris se gorgent de sang, se dressent, durcissent et triplent de taille.
Mais quelle salope, dis le médecin, on bat tout les records avec elle !
A peine ces mots prononcées que J pars dans un orgasme dantesque. Ces mots l'ont excitée. Avec le vaccin, il n'en fallait pas plus.
Rapidement, elle se retrouve avec un anneau à chaque téton, au clitoris, deux sur chaque lèvre vaginale et un entre les narines. Elle est totalement totalement épilée, son crâne est également rasée.
Durant cette transformation, J jouit de nombreuses reprises.
Pour finir, le médecin lui ferme un collier autour du coup. Un médaille pends, avec un nom. Jézabel.
Voilà ton nouveau nom, même si je doute que beaucoup l'utiliseront. Pour finir ta transformation, mets tes vêtements, ta fouille et la clef de ton collier dans le four là-bas.
J. hésita. Il y avait tous ses documents d'identité dans sa fouille. Face à ce temps d'hésitation, ce fut dix coups de ceinture qui s'abattirent sur ses fesses. Et un nouvel orgasme en prime.
"Décidément, ce vaccin est diablement efficace" pensa-t-elle en constatant le flot de cyprine couler le long de ses cuisses.
J. obéit, mit sa vie d'avant au feu. Le médecin lui passa les menottes pour qu'elle ne se touche pas, elle fut ramené dans sa cellule.
Jézabel était née. La chienne nue et rasée de la prison qui jouissait en permanence à cause des effets temporaires de ce vaccin et qui allait servir à assouvir les passions de tous les hommes de la prison.
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J. arrive aux locaux du Centre pénitentiaire. Elle ne voit que des hommes. Que ce soit parmi les détenus ou parmi les geôliers. Elle commence à s'inquiéter. Son bienfaiteur a tenu sa parole et lui a évité la mort, mais comment pourrait-il la garder en sécurité ici ?
Des dizaines, des centaines de regards se posent sur elle et la déshabille des yeux. Ils savent tous qui elle est.
L'angoisse commence à prendre J. Heureusement, elle arrive dans sa cellule. Individuelle, comme prévue. Plutôt confortable. Et fermée à clefs, c'est le plus important pour le moment.
"- Parloir
"- Qui veut me voir ? demanda-telle
- tu le sauras bien assez tôt, rétorque le gardien"
Elle entre dans le local parloirs.
"A genoux, mains sur les cuisses, et ne bouge pas avant l'arrivée de ton visiteur" dit le geôlier.
J. s'exécute. La position n'est pas inconfortable. En tout cas sur le court terme ...
Les minutes passent, et personne n'apparaît et la douleur se fait sentir au genoux. J n'ose pas bouger, n'ose pas désobéir. Elle a trop peur que les surveillants laissent la porte de sa chambre ouverte aux autres détenus en représailles, même si ça n'a aucun sens.
Enfin, jusqu'aux dernières élections, cela n'aurais eu aucun sens. Désormais, tout est possible ...
La porte s'ouvre enfin.
J. me voit se lève.
"Reste à ta place, je ne t'ai pas autorisée à te lever" dis-je sèchement.
Elle sursaute, je vois son regard surpris. Elle obéis toutefois.
"- Je suis le Directeur. Comme convenu, je t'ai évité la mort. tu es désormais à mon service et tu devras obéir au moindre de mes ordres. Satisfaite ?
Oui, mais j'ai quelques craintes par rapports aux autres détenus et surveillants.
On dit oui Monsieur, soumise.
-Oui Monsieur, pardonnez-moi ...
Bien, tu comprends vite. Ici tu m'appartiens et tous le monde le sait. Le premier qui te touche sans autorisation sera libéré de ses couilles. tu peux donc être tranquille.
Merci Monsieur.
Mais je dois également acheter la paix sociale. Concernant les surveillants, cette prohibition ne prendra effet que dans une semaine. Ceux qui le veulent ont donc une semaine pour se vider les couilles en ou sur toi, où ils le veulent, quand ils le veulent, comme ils le veulent. C'est simple :pendant une semaine, tu fais tout ce qu'ils te demandent, sans résister, sans protester".
Je vois J blêmir.
"- Un commentaire ?
Non Monsieur
Parfait, une fois par mois nous ferons une journée de cohésion du personnelle. tu en seras l'enjeu : selon leur classement, ils auront plus ou moins de droits sur toi. Ca me permettra de maintenir l'ordre et de les motiver à être efficace".
J baisse les yeux de honte, rougis. elle est toujours à genoux au sol, mais ces annonces lui ont fait oublier la douleur.
"Concernant les codétenus, rassure-toi ils sont tous encagés par suite de leurs crimes.
Encagés ?"
la joue de J se mis à bruler sous l'effet de cette claque : "on dit, Monsieur !!"
Les yeux embués de larmes, J. balbutie un "Désolé Monsieur, je n'oublierai plus"
"Pour te répondre à ton impertinente question, ils portent une cage de chasteté. Ils ne peuvent donc pas bander. Mais pour les motiver, ceux qui suivront leur programme de réinsertion sérieusement pourront te baiser une fois par mois. J'ai bon espoir que dès le mois prochain, ils soient tous rentrés dans le rang."
Le visage de J. se décomposa encore plus à cette annonce.
"Que ce soit clair, si je t'ai fait venir ici, c'est pour en prendre plein les trous. Le Gouvernement s'est aperçu d'une augmentation de la consommation de pornographie depuis leur arrivée au pouvoir et ça ne leur plait pas. Je leur ai donc proposé l'idée de soumises afin de permettre aux citoyens d'assouvir leurs passions. tu es la première à servir d'expérimentation et je ne compte pas échouer. Si tu me réponds à mes attentes et exigences, je pourrai te prendre comme soumise privée et je te traiterai bien. Dans le cas contraire, tu deviendras une soumise publique et tu seras à disposition de qui le souhaite. Que préfères-tu ?
Vous appartenir Monsieur.
Bien alors, obéis moi et donne moi satisfaction et peut-être que cela arrivera.
Puis-je Vous poser une question Monsieur ?
Si tu veux
Pourquoi faites vous cela pour moi ?"
Je lui offris pour seule réponse un sourire. Il est trop tôt pour lui révéler mes intentions.
"Nous en avons terminé. Les gardiens t'emmèneront à la salle de préparation pour que tu ressembles enfin à une vraie soumise. Au fait, pour ton information, il y a 150 surveillants et 300 codétenus dans cet établissement".
Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, je suis ressorti. Elle a été parfaite. Elle a tenu sa position, n'a pas rechigné, est restée silencieuse et a obéis aux ordres.
Elle a du potentiel.
En l'ayant à mes pieds, elle pourrait bien avoir le Monde aux siens ...
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"Dring", la sonnette retentie.
"La Cour !"
Tout le monde se lève, suspendu aux lèvres du Président de la Cour. L'accusée est tremblante. Elle me regarde. Elle sait, elle craint, et elle espère.
"J" est jugée pour adultère, bisexualité et pluralité devant la Cour des mœurs criminelle. Depuis l'arrivée eu pouvoir des intégristes, l'adultère est un crime passible de peine de mort. Et "J" a fauté. Plus d'une fois. Avec plus d'un homme. Et plus d'une femme. C'était une adepte des plans à trois.
Mais elle a été dénoncée. Depuis, elle est l'ennemie public numéro 1. Elle est la honte de sa famille, ses amis se sont détournés d'elle, elle a perdu son emploi.
C'est là que je suis entré en scène. Je lui ai proposé un marché : je l'aide, et elle se soumet à moi. Totalement. Sans retour. Elle rompt totalement avec sa vie précédente. Elle perd sa liberté, son identité, sa dignité.
"- Et si je suis condamnée ?
J'utiliserai mon réseau pour que tu profites d'une cellule individuelle et confortable, afin d'exécuter ta soumission comme je l'entends.
Si je refuse ...
Vu la vindicte populaire, ce sera probablement la mort.
De toute façon, je n'ai plus ni travail, ni famille ni ami désormais ..." m'avait-t-elle dit au moment d'accepter.
Je sors de mes pensées, le Président prend la parole.
"L'accusée est déclarée coupable des faits d'adultère, de bisexualité et de pluralité. Elle est condamnée à la peine de 20 ans de réclusions criminelle à exécuter dans un établissement adapté".
Elle me regarde, à la fois soulagée et inquiète.
Je la regarde, je lui souris avec bienveillance pour la rassurer.
Elle l'ignore encore, mais l'établissement adapté, c'est le mien. J'en suis le Directeur. C'est un établissement pour ce qu'on appelle les nouveaux criminels, ceux qui étaient dans la légalité il y a de cela quelques années. Et en tant que première femme à l'intégrer, elle bénéficiera d'un tout nouveau programme expérimental de réinsertion sociale et sexuelle.
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Comme toujours Maîtresse @Marie arrive par le train, mais cette fois-ci elle arrive directement dans ma ville. Mon rendez-vous chez l’esthéticienne n’étant pas terminé, Maîtresse m’y rejoint. C’est alors qu’une fois seules dans la cabine d’épilation je me mets à genoux et lui tend mon collier. Maîtresse est la seule à pouvoir refermer ce magnifique bijou qu’est mon collier autour de mon cou. Le moment est symbolique mais très fort car pour la première fois ce n’est pas à la maison que nous le faisons. Le faire dans un lieu public me plait beaucoup et m’excite aussi un peu je dois l’avouer. Oui je suis fière de ma place et fière de le montrer à qui peut le comprendre en voyant mon collier. Je suis fière et heureuse de ce que Maitresse et moi accomplissons. Heureuse pour elle et heureuse pour moi car cela libère la femme que je suis. Le BDSM c’est surtout ça : être capable de se libérer dans cet univers et je ne m’en doutais pas mais les effets ne se ressentent pas que sur la soumise mais aussi sur la femme que je suis, sur la femme que je deviens. Cette femme-là s’épanouie et est heureuse. Merci Maîtresse.
Peut-être qu’un jour ce collier se refermera dans une place publique. J’en serai encore plus excitée, mais là c’est mon côté exhibitionniste qui parle. Une fois le collier à mon cou et habillée, Maîtresse et moi quittons l’institut pour rejoindre la voiture. Je marche derrière elle, à ma place, heureuse et fière.
Au cours de la soirée, Maîtresse me donne carte blanche pour m’occuper de ses seins. Nous sommes dans le lit, à califourchon sur elle je commence à les sucer très vigoureusement. Je prends l’initiative de planter mes ongles dans sa chair ainsi que de la griffer. Maîtresse essaye de contrer mon action, c’est alors que je vais chercher une sangle pour l’immobiliser. Une fois fait, je peux me concentrer sur sa poitrine. Ce moment est tout nouveau pour moi, je suis un peu surprise mais soumise doit répondre aux désirs et attentes de Maîtresse. Prendre le « dessus » est totalement nouveau pour moi : il y un certain plaisir lié à l’excitation, lié à la nouveauté de la situation mais rapidement je me rends compte je ne suis pas à ma place. Je me sais capable de prendre le rôle le temps d’un instant dans une situation donnée mais pas d’aller plus loin. Je me sais soumise au plus profond de moi…
Le lendemain est consacré à la préparation de l’après-midi et de la soirée car nous recevons Yrys, une amie qui sera la playpartner que j’ai proposée à Maîtresse pour cette soirée. C’est la première rencontre entre ma Maîtresse et Yrys et afin de faciliter cela, Nausika est présente auprès de sa Maîtresse. En effet notre invitée à également à un animal de compagnie… Nausika me permet vraiment de me vider la tête, j’entends tout mais je ne retiens absolument rien. D’autant plus qu’Yrys a offert des jouets très attractifs à Nausika J Le repas se passe dans les meilleures conditions et nous finissons par le dessert préféré de Maîtresse : un tiramisu à manger sur mon corps. La pratique plait également beaucoup à notre invitée. Quant à moi je suis aux anges comme lors du Nyotaimori. Mon plaisir réside dans le fait de voir mes partenaires prendre du plaisir. D’autre part c’est un moment très D/s car je suis considérée comme un objet : je n’ai pas le droit à la parole, même si cela parle de sujets pour lesquels je souhaite intervenir. Etre là sans totalement l’être en fait, il suffit « juste » de lâcher prise.
Ma convalescence m’oblige à rester assez sage durant cette soirée. Je deviens pour la première fois l’assistante soumise de Maîtresse pour une séance d’impacts sur Yrys. Etre sa complice est très plaisant même lorsque Maîtresse use de toute sa perversité. En effet, je dois choisir certains instruments d’impacts qu’elle utilisera sur mon amie Yrys. Les quelques soirées passées avec cette amie dans un tout autre cadre m’ont donnée l’intuition qu’Yrys est plutôt masochiste. C’est pour cela que les instruments que j’ai choisis sont progressifs : du simple paddle au fouet… Je retiens deux points très marquants lors de cette soirée :
Le premier est de voir Maîtresse dans son œuvre. J’ai pu voir à quel point le bonheur est si grand lorsqu’elle applique sa Domination. Je suis heureuse de la voir ainsi.
Le deuxième c’est Yrys. Je ne m’étais pas trompée sur ton côté masochiste, je ne pensais juste pas que tu aimais autant les sensations si fortes J Le fouet dès la première séance ce n’est pas courant. Tu as pris tarif !
Après Yrys, ce sera à mon tour mais très léger vu ma situation. Putain que c’est bon, putain que cela me manque. Les impacts sont peu nombreux mais je les apprécie énormément, à tel point que j’ai même eu le droit de commencer par 5 coups de fouet directement… Maîtresse, pensant à ma convalescence, me freine dans mes ardeurs car je n’ai qu’un seul mot en tête : « Encore ».
La soirée continue de manière plus posée en discutant tranquillement sur le canapé. Une longue discussion entre Maîtresse et Yrys durant laquelle je n’interviendrai que lorsque Maîtresse me donne la parole.
A ma place, sans réellement savoir pourquoi, je développe un instinct félin et j’ai tendance à frotter mon visage contre la cuisse de ma Maîtresse. Mon instinct semble plaire et exciter Maîtresse puisque sans crier garde elle me lance par devant notre invitée « Val, ce soir je vous baise ». Il n’en fallait pas plus pour réveiller la salope qui sommeille en moi. A partir de cet instant, plus rien d’autre ne compte. Je souhaite juste une chose : me faire prendre. J’aime beaucoup le faire en musique, cela me désinhibe pas mal. Maîtresse me demande d’aller chercher la tablette : je le fais à quatre pattes en ondulant du cul le plus outrageusement possible. Maîtresse ne résiste pas à mon indécence et enfile son gode ceinture pour me baiser devant notre invitée. J’ai joué à la chienne, à moi d’assumer maintenant : Maîtresse m’empale d’un coup d’un seul. Je me fais prendre au rythme de la musique et putain que j’aime ça. En levrette, je crie mon plaisir. Ma bouche trouve celle de notre invitée et nous nous embrassons pendant que je m’empale sur le gode ceinture. Je prends un plaisir de malade et lorsque la musique se termine je m’affale sur le canapé tellement c’était intense. Il me faut un peu de temps pour me remettre de tout ça…
La soirée continue encore un peu mais il est déjà plus de 3h00, il est temps de nous coucher.
Ce n’est que le lendemain que je comprends que j’ai vécu la veille ma première exhibe sexuelle. J’en suis heureuse et très excitée.
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C'était une collègue de boulot, je la trouvais très belle et très sexy.
La quarantaine, bcbg, féminine et très élégante.
En jean, je me délectais de ses formes : ses hanches, sa fine taille, son cul…
En chemisier ou un haut près du corps et j’appréciais la générosité de sa poitrine…
En jupe, j'imaginais ses bas, son string ou sa dentelle...
J’avais clairement envie de la baiser !
Je ne la laissais pas indifférente, les signes ne manquaient pas.
On se jaugeait, on se cherchait, tout en restant très prudent. Au boulot...c'est jamais évident.
Quelques mois plus tard, nous avions franchi le pas.
Un soir que je la retrouvais à l'hôtel, on se jetait l'un sur l'autre, aussitôt la porte de la chambre ouverte.
Au bout d'un moment, dos au mur, à subir mes assauts et mes caresses...je pose une main sur son épaule pour lui signifier que c’est le moment de s’accroupir ...
Ce qu'elle fait en silence pour se retrouver avec son visage à hauteur de ma queue.
Elle n'a pas dit un mot, pas un geste, elle suce comme il se doit : avec plaisir et docilité.
Ensuite la tête appuyée contre le mur, je commence mes mouvements de va et vient…je lui baise la bouche, de plus en plus profond.
J'ai compris ce soir-là qu'elle pouvait être une belle chienne docile !
Quelques mois après, après m'être confié à elle sur mes penchants bdsm, elle a accepté officiellement de se soumettre à moi.
Dorénavant, agenouillée à mes pieds, elle était capable de répondre à ces deux questions :
Tu es qui ?
Je suis ta Soumise...
Tu es quoi ?
Je suis ta Chienne...
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Ma vie de Domina ? En voici un extrait vu au travers des yeux de celle qui en parle sans doute le mieux.
-Récit rédigé à quatre mains avec le concours de Val' ma soumise.-
Vendredi après-midi je retrouve Ma Maîtresse à Tours après 2 semaines sans elle. Cela fait près d’une semaine que Maîtresse me taquine à propos de mon collier d’appartenance. Collier que j’attends avec beaucoup d’impatience, car celui-ci est tout particulier. En effet, Maîtresse l’a fait faire sur mesure et entièrement personnalisé auprès d'Agnescollier, artisane bourguignonne qui crée colliers et autres instruments d'impact. Sa forme est magnifique, sa couleur rouge est étincelante, orné de trois anneaux noirs il est juste somptueux. Il est le parfait symbole de notre lien.
Elle me le remet avec sobriété. Sans tambour ni trompette : il se suffit à lui-même. Enserrant mon cou, je ne souhaite déjà plus qu’il me quitte.
Après ce moment hautement symbolique, il est temps de partir pour un JAM shibari et évidemment je m’y rends avec mon nouveau collier. L’idée de Maîtresse dans ce JAM est simple : encorder pour contraindre, encorder pour impacter, encorder pour m’utiliser. J’apprécie beaucoup ce moment pour plusieurs raisons :
J’arbore mon collier
Je me présente comme la soumise de Maîtresse
Et putain que c’est bon d’être dans les cordes
Chaque fois que la corde se serre sur une partie de mon corps, je gémis de plaisir. Le contact avec une corde est rêche, mais paradoxalement tellement agréable. La sentir glisser sur ma peau est même envoutant ensuite, elle m’enserre pour mon plus grand plaisir.
Le samedi matin est consacré à la préparation de la soirée puisque nous recevons Madame Lydia et sa soumise Fleur. Maîtresse s’affaire en cuisine pendant que Nausika -mon nom lors du puppyplay- s’acclimate à son environnement. Être Nausika me rend heureuse, tellement heureuse. Je suis putain de libre !!! Nausika commence à apprécier la compagnie de Sa Maîtresse, elle semble moins farouche. Les cordes et autres ficelles sont en revanche toujours une attraction très agréable pour elle tout comme sa curiosité pour l'eau qui la pousse à toujours renverser son bol. D’autre part, je pense que Maîtresse travaillera plus en hauteur la prochaine fois qu’elle décortique des crevettes en présence de sa chatte…
L’après-midi est consacré à mon cul et aux impacts.
Coté cul, je goute aux plaisirs du spéculum mais surtout à ceux de la feuille de rose. Quelle sensation de se faire lécher là. C’est tout nouveau pour moi et j’y prends clairement plaisir. Il y a bien évidement le plaisir physique immédiat mais j’apprécie également le petit côté transgressif de cette pratique. Maîtresse me prendra évidemment au godeceinture par la suite. Un moment si intime, si intense pour nous deux.
Côté impact, le but de Maîtresse est simple : me marquer pour que je sois belle pour nos invitées. Ce n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. Mon côté exhibitionniste doit y être pour quelque chose, car j’ai envie de me montrer, je l’avoue. J’ai envie de montrer que je suis la soumise de Maîtresse et j’ai envie de la rendre fière auprès de nos invitées à travers mes marques particulièrement celles de son fouet.
Les invitées arrivent et Fleur doit écrire des lignes en guise de sanction. Ma Maîtresse m’ordonne de me mettre au coin pendant la moitié de sa sanction en guise de soutien. Je ne trouve pas cela injuste, c’est une marque de soutien envers Fleur. Je me voyais mal la regarder pendant la réalisation de sa sanction à vrai dire. Mais Fleur, n’en rajoute pas s’il te plait, ton coté brat me laissera toujours pantoise. C’est pour ce côté brat que je ne passe que la moitié de ta punition au coin, soutien à la soumise mais pas à la brat.
Une fois la sanction de Fleur terminée, Madame Lydia montre un nouveau jeu à Ma Maîtresse en passant une corde entre ses orteils puis en les enserrant. Madame Lydia fera de même sur moi ensuite. Un seul passage de corde ne me fait rien pour ainsi dire, en revanche lorsque qu’il y a deux passages, le jeu de Madame Lydia prend tout son sens. Clairement, je ne fais plus la maline. Pas besoin de beaucoup de choses pour montrer qui a le contrôle…
Arrive le repas, moment que j’attendais avec impatience, car je prends de plus en plus confiance en moi depuis quelque temps. Cette confiance me permet de me proposer en tant que Nyotaimori pour Ma Maitresse et nos invitées. J’arbore à la cuisse le cilice offert par Maîtresse et bien évidement mon collier d’appartenance, le tout agrémenté de sushis sur mon corps. Ne pas bouger n’a pas été compliqué même si Madame Lydia fait tout pour me faire réagir. Maîtresse, elle, m'ignore totalement et sa perversité la pousse à beaucoup m'évoquer lors des conversations. Moment troublant. L’important est de trouver la bonne position, car une petite erreur de placement et cela peut vite devenir difficile à tenir dans le temps, j’en veux pour preuve mes mains. Mal placées, je les ai un peu bougées durant le repas. J’ai beaucoup apprécié car encore une fois, j'étais fière de m’exhiber mais aussi parce que c’était un moment hors du temps, d’ailleurs je n’ai aucune idée de la durée de ce moment. Moment que j’ai trouvé très relaxant, je suis là sans vraiment l’être. C’était vraiment agréable. Ayez juste conscience qu’une fois fini, on ne bouge pas si facilement après une telle immobilité…
Après le repas, il est temps d’entrer dans le vif du sujet. Fleur ayant fait part de son côté voyeurisme il y a quelque temps à Madame Lydia, elle se retrouve encordée contre la rambarde d’escalier à regarder la scène. Quelle scène ? Tout simplement celle de Maîtresse et de Madame Lydia qui s’occupent de moi. L’ambiance est à la découverte ce soir, car c’est avec les instruments de Madame Lydia qu’on joue avec entre autres, câble, nerf de bœuf, etc. Je ne connais pas ces instruments mais surtout je ne les ai pas vus, de plus les sensations sont vives. C’était un peu difficile à appréhender mais cela n’a pas gâché le plaisir de la masochiste que je suis.
Mais j’ai découvert un autre instrument ce soir, un instrument de dingue, les griffes, ce fut juste fou. C’est Maitresse et Madame Lydia qui passent l’instrument dans tout mon dos et je deviens littéralement folle de désirs, je deviens l’esclave de mes plaisirs et tout mon corps ondule de plaisir sous cet instrument. Maîtresse voyant cela joue la carte de la sécurité : oh non elle ne fait pas arrêter Madame Lydia, bien au contraire. Elle continue de plus belle et Maîtresse me prend dans ses bras pour que je ne tombe pas tellement le plaisir m’envahit. Le plaisir monte, monte en moi, je suis vraiment proche d’exploser, d’exploser d’un orgasme, il est si proche ! Le plaisir me guide, je me souviens à un moment avoir dit « Oh putain la remontée des enfers » lorsque Madame Lydia a en effet passé les griffes sur mon flanc de bas en haut. Puis le plaisir me fait trouver les lèvres de Maîtresse, on s’embrasse comme jamais nous l’avons fait. Madame Lydia stoppe ses mouvements et rejoint Fleur, toutes deux nous regardent il me semble. Après ce moment d’une telle intensité, je récupère sur ma couette au sol, je suis clairement ailleurs.
Une soirée peut cependant vite changer du tout au tout. Après être montée si haut je suis descendue si bas avec une séance d’électro conjuguée avec le bâton électrique. Cet instrument me monte rapidement à la tête à tel point que j’en oublie mon safe word et crie littéralement sur Ma Maîtresse : « Mais arrêtez avec ce putain de bâton de merde ». Immédiatement, c'est la sanction et c’est mérité : Maîtresse m’isole dans un coin pour éviter que la situation s’envenime. Elle m'interdit de lui adresser la parole et encore moins de l'appeler Maitresse. Elle m'indique être déçue et me rappelle que "Maîtresse" se mérite. Viendra également une punition exemplaire pour ce comportement lors de notre prochaine rencontre. Une erreur ça arrive, mais celle-ci est énorme et j’ai vraiment honte de moi. Oui le BDSM c’est aussi ça et il faut en avoir conscience, tout n’est pas toujours parfait, Maîtresse et moi en avons fait l’expérience. C’est dans ces moments que le dialogue et le lien ont leur importance.
Malgré tout, la soirée est relancée après une très longue discussion avec Maîtresse, non sans pleurs. Nausika apparait mais elle sera très timide avec les invitées, rien de surprenant, on ne l’approche pas comme ça. De plus il y a aussi Pupuce qui est présente, et chien et chat ne font pas bon ménage. Qui sait, peut-être qu’un jour, ces deux-là s’entendront… La nuit se termine calmement vers 6h00 du matin avec Nausika lovée contre Sa Maîtresse.
Le lendemain avant mon départ, Maîtresse et moi prenons un verre dans un bar du centre-ville. J’arbore mon collier et il y a quelques regards interrogateurs, mais cela ne me gêne pas le moins du monde. Maîtresse me rassure sur ce qui s’est passé car elle voit bien que cela occupe toutes mes pensées. C’est évidemment une faute qui mérite une punition, mais ce n’est pas la chose à retenir du weekend. Il y a encore eu beaucoup de belles choses.
Autrices : Marie et Val'
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Je suis libertin depuis de nombreuses années et j'y ai fait de nombreuses rencontres, toutes plus enrichissantes les unes que les autres.
Mais depuis quelques années, mes envies ont évolué, elles vont de plus en plus vers le milieu bdsm sans pour autant oublier mon côté libertin.
J'ai déjà rencontré des couples candauliste mais toujours avec des hommes hétéros. Mais depuis quelques temps, je souhaite découvrir et passer du temps avec un couple Hbi actif pour assouvir leurs envies sans gènes et tabous.
À proprement parler, je ne suis pas attiré par les hommes ou la pénétration mais plus par une situation.
Ce qui m'excite dans cette situation, serait de ne pas avoir le choix...
De me retrouver à genoux nu devant vous, inférieur. Dans l'attente d'un ordre ou d'une action de votre part.
Que ce soit l'humiliation verbale, crachats, fouet, attaché, anulingus, face-sitting, fellation forcée, pet play, uro ainsi que jeux de sperme.
Pénétration diverses et variées (Mr et sextoys), mais dans mes limites et le respect.
Car malgré toutes ces envies, j'imagine que cela se fera dans une ambiance conviviale, où chacun aura sa place naturellement et l'espace de ces instants, nous ne ferons plus qu'un.
Je rêverais que cette relation soit dans l'idéal suivie pour passer d'autres moments intenses ensemble.
Si ce récit vous a plu, inspiré et donné envie, n'hésitez pas à me contacter car je souhaite qu'il ne reste pas un fantasme mais qu'il devienne réalité.
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Cela remonte à un moment déjà, bien avant que je prenne conscience de mon penchant pour la domination, bien avant que j'apprenne l'existence même du terme bdsm.
A l'époque, un tchat assez populaire, permettait de rencontrer des partenaires du coin assez rapidement. C'était simple et efficace.
On tombait parfois sur des Escorts qui monnayaient leurs services et ma réponse était toujours la même :
"Désolé mais je n'ai pas besoin de payer pour avoir une relation"
Là où c'est devenu un peu marrant un jour, c'est quand je retombais systématiquement sur la même Escort qui changeait régulièrement de pseudo, à force de se faire éjecter du site. A un moment donné, je la reconnaissais, même avec un pseudo différent, je devançais ainsi ses avances et on a fini par en rire.
Jusqu'au jour où nous avons un peu discuté et le fait de voir que je ne craquais pas et restais ferme sur ma position a commencé à lui plaire...
Je vous passe les détails mais à un moment donné, nous avons convenu de se voir. J'avais sans le savoir à l'époque déjà des kinks sur la tenue notamment :
Elle devait porter une jupe ou robe et rien dessous. Elle a accepté très facilement la proposition.
Le jour J, elle m'avait donné rdv devant son lieu de travail et elle m'avait dit plus tôt par sms, que son collègue avait bavé toute la journée à la voir dans cette tenue et qu'elle avait pris du plaisir à l'allumer ainsi, d'autant plus qu'il ne la touchera jamais ! Une vraie petite garce...sourire.
j'ai compris quand je l'ai vu ! Une robe d'été moulante, courte...sur de longues jambes perchées sur des talons et un corps magnifique !! Elle était vraiment canon et très belle !
On s'est retrouvé devant son boulot et elle me demandait de patienter un peu, elle avait bientôt fini sa journée.
Elle est revenue comme prévu et je l'ai suivi en voiture jusqu'à chez elle.
En arrivant dans sa résidence, elle me montre d'un signe de la tête une voiture garée sur le parking intérieur de la résidence : "C'est ma voiture..."
Une Porsche...rien que ça !
Elle ouvre la porte et m'invite à rentrer chez elle, je vise un peu l'appartement et vais me poser tranquillement sur le canapé.
Je ne sais plus si elle m'offre un verre ou pas mais en passant devant moi, elle me décoche un "Je ne sais pas si ça va le faire, je suis plutôt attirée par les mecs du style rugbyman d'habitude..."
C'est sûr qu'avec mon gabarit d'asperge effilée sur mes grands échasses, je suis mal barré mais au moment où elle dit cela en passant devant moi, j’attrape spontanément son poignet. Je suis assis sur le canapé, elle s'est arrêtée, debout face à moi. Au même moment, je lui demande :
"Sinon pour la tenue, tu portes bien ce qu'on a dit ?"...tout en caressant sa cuisse et en remontant ma main le long de celle-ci. Très vite, j'ai ma main entre ses cuisses et je la caresse, elle commence à mouiller très vite cette petite chienne !!
"Faut pas faire ça, sinon je vais très vite exploser", me dit-elle...sans pour autant bouger, ni m'empêcher de continuer à la caresser.
"Tant mieux, c'est le but !!"
S'en était terminé de sa résistance et de ces pseudos rugbymen.
On avait déjà évoqué ce qu'on ferait quand on serait ensemble alors quand je me suis mis debout, après l'avoir retournée face à moi, et que j'ai commencé à dégraffer mon jean, spontanément elle s'est mise accroupie sur ses talons, ses longues et belles jambes bien écartées et elle a commencé à me sucer.
Elle m'a proposé ensuite d'aller dans sa chambre pour y être plus confortablement installés. Elle était à poil, c'était pas difficile, il lui a suffit d'enlever sa robe !
J'étais nu, allongé sur le lit, le dos appuyé contre le mur et elle s'est mise à 4 pattes perpendiculairement à moi, pour continuer à me sucer. Elle avait gardé ses talons et je trouvais çà très excitant ! Elle était juste sur ma droite et j'en profitais pour la caresser et la doigter bien comme il faut.
Très vite j'ai commencé à bander très dur, elle suçait vraiment bien cette petite salope et prenait du plaisir à se l'enfoncer pleine gorge avec un rythme soutenu...je savourais !!
Au bout d'un moment, je lui ai demandé où elle préférait recevoir mon foutre et elle me répondit très naturellement :
"J'aime beaucoup sur le visage !"
Je ne répondis rien, je l'attrapais juste par les cheveux pour lui signifier de poursuivre ainsi, ce qu'elle fit docilement et en silence !
Quand j'ai senti que l'éjaculation approchait, j'ai posé légèrement ma main sur sa tête pour lui faire comprendre qu'elle ne devait pas bouger, elle a continué à sucer jusqu'à ce que je remplisse sa bouche, elle s'est délectée de ma semence jusqu'à la dernière goutte avec grand plaisir.
Quand elle a fini, spontanément, sans réfléchir, ça m'est venu comme ça :
"Maintenant, si tu veux une faciale, tu sais ce qu'il te reste à faire..."
Elle m'a regardé droit dans les yeux, elle a souri et, sans un mot, elle a recommencé à me sucer ! Bien évidemment, c'était encore plus long cette fois-ci et elle prenait toujours autant de plaisir cette petite pute.
Quand le moment de la récompense est arrivé, j'ai tenu ma promesse et me suis répandu sur son visage...
Elle adorait clairement ça !
Ensuite je l'ai baisé...
J'ai compris quelques années plus tard, que cette expérience a fait partie de mon envie de bdsm par la suite.
J'ai compris que je pouvais être directif, voir humiliant, sans pour autant être un salop, un gros connard ou dans la violence et que cela pouvait plaire à certaines femmes d'être traitées ainsi comme une belle chienne à baiser et à dresser.
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Bonjour a vous tous et toutes 💕
Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu.
La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son homme cocu qui était à leurs genoux et laisse.
Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage.
Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans..
a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue.
Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs.
Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe.
Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir.
Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme.
L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme.
Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non...
La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation.
C'est à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno.
Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt taboue ou du moins beaucoup moins exposée.
Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3.
Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance.
Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu'
Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕
Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi.
N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui.
Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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J'étais en couple avec une magnifique Femme Dominatrice.
Au tout début de cette relation, nous avions discuté de nos envies et attentes, de nos kinks.
Je lui avais expliqué que je souhaitais découvrir la bisexualité forcée sous ces ordres, mais cette idée était restée sans suite.
En tant que soumis, je me plie aux envies de ma Domina et non aux miennes, cela me semble une évidence.
Nous n'habitions pas ensemble, mais nous étions très souvent ensemble, assez pour qu'elle ait les clés de chez moi.
Environ un an après cette première conversation, elle m'appelle pour me dire qu'elle n'est pas seule et qu'elle a une surprise pour moi.
Elle me demande donc de me préparer avant leur arrivée, à savoir d'être nu intégralement, de porter un plug, et chose rare, de mettre un bandeau sur les yeux et de les attendre à genoux, mains sur les cuisses.
J'étais tremblant et excité à la fois. Cette sensation est tellement intense, je sentais mon cœur battre à cent à l'heure ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver.
Le temps d'attente m'a paru une éternité ,quand tout à coup, j'ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressé, tête droite et en position.
Sur la table était posée une bouteille de vin blanc sucré, le préféré de ma Domina, avec deux verres, pour son invité et elle-même.
Je tremblais mais je n'arrivais pas à me calmer, les yeux bandés, nu, à genoux sur le carrelage froid de mon salon.
Cela dura cinq bonnes minutes, car j'entendis le vin couler et les verres s'entrechoquer, Ils venaient de trinquer, mais j'ignorais toujours si c'était une femme ou un homme dans la pièce avec ma Domina.
Quelques secondes après, je sentis la main ferme de ma domina sur ma tête, je sentais son parfum enivrant qui se diffusait dans la pièce.
Elle me dit de sa voix douce et autoritaire 'Es-tu prêt mon lapin rose?'
(C'est ainsi qu'elle m'appelait depuis des mois après m'avoir fait porter un plug de queue de lapin, ainsi que des oreilles de lapin rose.) voir photos sur mon profil.
Elle me retira le bandeau des yeux, et là je me retrouve nez à nez avec un un sexe d'homme épais au repos. cela était la première fois pour moi.
A la vue de ma stupéfaction, ma domina se mit à rire, ce rire pervers et sadique qu'elle avait quand elle savait que j'avais honte et que je me sentais humilié.
Autour de son cou, elle portait un appareil photo.
Je levais les yeux en regardant ma Domina et elle dit seulement "Vas-y"
A ces mots, je pris le sexe de cet homme dans ma main, il était épais et chaud... C'était une étrange sensation pour moi, mais j'avais l'envie de le faire durcir. Alors je me suis mis à la caresser, la branler et au bout de quelques instants l'envie de la prendre dans ma bouche, ce que je fis.
Au loin j'entendais ma Domina rire, se moquer de moi et le crépitement de l'appareil photo, mais j'étais dans ma bulle... heureux de faire durcir le sexe d'un inconnu dans ma bouche, devant ma Domina.
Une fois son sexe bien dur dans ma bouche, ma domina me donna l'ordre de le prendre a pleine main et demanda à l'homme de prendre à son tour mon petit sexe mou pour comparer et prendre des photos.
Cette situation était très humiliante pour moi, mais je sais qu'à ce moment là, ma Domina prenait beaucoup de plaisir, cela était le plus important pour moi 💕
Ensuite la séance s'est déroulée sous les ordres de ma Domina.,
Il m'a doigté, pluggé, godé mais jamais pénétré. (Voir photos sur mon profil)
Je ne serais dire combien de temps a durée cette séance et qui était cette homme, je m'en moqué. Je me sentais vide, épuisé, heureux.
Une fois partie, cet inconnu partit, ma Domina me regarda intensément, je compris dans la seconde que cette séance l'avait grandement excitée.
Alors je m'allongeai au sol sans un mot, elle se déshabilla rapidement et s'assit sur mon visage. il ne lui fallut pas longtemps pour qu'elle ait un orgasme intense et humide.
Sans un mot, nous sommes parties sous la douche, et nous nous sommes allongées dans les bras l'un de l'autre.
A ce moment là, nous ne faisions plus qu'un.
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même sa pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.
L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.
Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité.
J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.
Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.
confession:
j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas.
lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes.
depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc.. l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶
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Une soumise qui se respecte doit savoir faire plaisir à son maître. Cela comprend les principes de base comme être épiler, bien habillé et obéissante. Mais je penses aussi que cela va plus loin. Je vois trop souvent des « soumises » qui ne travaillent pas sur le images ou leur photos. Les maître ont besoin de nos photos et vidéo pour eux, la moindre des choses c’est de les travailler.
Avant même d’acheter du matériel BDSM je penses qu’il est aussi important d’investir dans un bon matériel vidéo et audio et de savoir se mettre en valeur pour nos maître que ce soit par la retouche ou photo ou même juste par l’aspect physique.
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Le visage est une partie importante dans le cadre BDSM montrer au dominant et ou à la caméra ses expressions facial augmente encore plus l’excitation. Le visage peut montrer, l’envie de se faire prendre par son maître où la peur de la punition.
Mais le visage est reconnaissable, même si j’aimerais bien vivre du BDSM ce n’est pas le cas et j’ai une seconde vis derrière et je doit cacher la véritable personne que je suis,je ne peux pas me permettre de montrer mon visage à n’importe qui, si je doit le faire alors il me faut une confiance envers mon dominant, savoir qui il est vraiment aussi pour pouvoir me mettre en confiance.
Est-ce que pour cela je suis une mauvaise soumise ?
Je ne penses pas mais je crois que certain dominant que j’ai rencontré ne sont pas d’accord..
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Il avait pris l'habitude d'arriver un peu en avance. Cela ne me dérangeait pas, mais cet après-midi là, en acceptant sa venue un peu plus tôt je souriais secrètement au téléphone. "Oui bien sûr, tu peux venir maintenant, je t'attends..."
À peine arrivé, petit salut habituel et aussitôt le baise-pied que je lui ai appris à offrir dignement. Puis, je lui annonce que puisqu'il est arrivé avec 10mn d'avance, il va pouvoir rester à genoux sur le tapis de l'entrée jusqu'à l'heure prévue. Les mains sur la tête et l'air penaud, il s'exécute sans un mot. Amusée, je l'observe du coin de l'oeil, faussement affairée sur mon portable.
La fin du doux sévice est annoncé rapidement par le carillon de l'église qui sonne notre horaire de rendez-vous.
Il est temps donc de le faire se déshabiller puis de procéder à l'inspection de ce corps nu. Mots, coups de cravache, morsures, griffures, pincements, claques... et je finis par lui attacher son collier autour du cou avant de lui ordonner de se mettre à quatre pattes. Là, je ne peux m'empêcher de saisir le martinet et de commencer à faire rougir ce joli cul offert si ostensiblement. Après m'être défoulée sur son derrière bien coloré à présent, je m'installe dans le fauteuil et lui ordonne de s'occuper de mes pieds. Massage, baisers, coups de langue, orteils sucés un à un, puis les cinq ensemble, la plante aussi, léchée abondamment, etc... L'application d'un fétichiste passionné des pieds éveille généralement en moi des sensations tellement différentes et intenses à la fois que les effets finissent par me détendre, voire m'enivrer d'un désir irrépressible...
"- Tu ne lèches vraiment que les pieds ?
- Non Maîtresse"
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