Allez un peu de sémantique :
"Mariage pour tous"
Mariage ; Le mariage mode d'organisation de la conjugalité.
On parle bien de "conjoint" dans le mariage ET "homosexuel"
Mariage dans le but de fonder un foyer (faire des enfants on y reviendra)
Conjoint : « État de conjoint ; vie conjugale », (thème du mariage super) dans le domaine du droit et de la sociologie, elle désigne l'état d'un couple.
Super il faut être DEUX pour faire un couple.
Un homme une femme, une femme une femme, et même DEUX hommes.
(non ça ne fait pas SIX arrêtez de chipoter et suivez un peu)
Couple (mariage pas en mécanique Newtonienne) : Un couple, en sociologie deux personnes liées par une volonté de former une communauté matérielle et affective, potentiellement concrétisée par une relation sexuelle.
Un légionnaire et une chèvre,
Une bourgeoise et son doberman.
Plus sérieusement :
Accouplement : désigne le rapprochement de deux individus sexuellement complémentaires aboutissant à une reproduction sexuée.
Exit la chèvre et le doberman… Et les couples « homosexuels ».
Donc le mariage pour tous est un oxymore.
CQFD.
L.
Références honteusement volées sur Wikipédia.
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Le Loup et le Chien
Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
"Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
"Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.
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Il a été convenu comme rendez-vous 18h00...Vous êtes à l'heure et comme indiqué Votre paquetage au dos …. J' aurais pensé à un sac tout simple presque un sac en toile épais façon père noel mais mon idée de départ était erronée, une simple petite valise portative !
Vous sonnez et entrez, je Vous fait visiter mon petit chez moi , mon petit nid douillet.
On s'installe au salon où on discute un moment de diverses choses, de ce qu'on a déjà discuter, de nos échanges, ceci autour d'une bière …. ( Légère et avec modération pour ce qui sera de la suite )... Vous me demandez ce que sera le programme de la soirée et je Vous répond simplement que c'est a Vous de le programmer … ( Il est vrai que c'est facile pour moi de dire cela et de Vous laisser le choix des jeux de la soirée à ce moment là et j'en profite ) ......
Vous sortez Vos cordes, me les montrez, m'expliquer en quoi elles sont faîtes , la taille et pourquoi.... Puis Vous vous approchez et me montrez sur mon poignet la différence qu'il y a entre le « bondage » et le « shibari ». Tout cela en continuant de discuter. Ma curiosité est bien présente, un simple encordage de poignet et j'ai déjà appris beaucoup en peu de temps....
Puis les choses sérieuses commencent, Vous me demandez d'enlever ma tenue et de me mettre en petite tenue. Ce que je fait presque aussi simplement que si j'avais été seule chez moi.
A la différence que vous me demandez d'enlever aussi les bas et là j'ai pensé « mince» moi qui avait mis de joli bas violet qui irait bien avec la couleur de Vos cordes.. Effet raté !
Je me retrouve ainsi devant Vous nue, ou presque juste ma culotte qui fait office de tissu...
Vous me demandé de venir me mettre a genou dos à Vous et c'est à cet instant que Vous prenez le pouvoir et que je découvre ce qu'est le kinbaku.
Vous Venez derrière moi et me mettez les mains dans le dos et Vous les attachées. Vous me bandez les yeux …..... Puis..... Les cordes vont allées et venir sur moi en long en large en travers. Vos cordes vont me pénétrées , vont m'éffleurées, me caressées, me touchées, m'enlacées, me contraindre. Vous prenez possession de mon corps, avec vos mains, Vos pensées, Vos cordes, Vos jambes qui suivent Vos envies, Vos pulsions , Votre fermeté....... C'est parfois tendre, et sensuel et parfois durs , vifs. Vous me repoussez comme vous m'attirez à Vous par les cheveux . Vous jouez avec les cordes sur mes seins, mes tétons ou laisser couler les cordes le long du corps ou parfois venant donné une tape sur une cuisse..... De Vos mains Vous parcourez mon corps, l'effleurant, le touchant, caressant mon intimité, me demandant mon accord pour y mettre vos mains.....Mes appréhensions du début s'efface laissant place a un plaisir montant et une envie de se laisser aller. Je ne peux plus bougée certaines parties de mon corps et je Vous laisse le choix des positions et des sensations..
Ne voyant rien , mon ouïe prend vite le relais et Votre respiration, Vos gestes, Vos caresses me font décuplées mes envies.... Je ressent les cordes et je me sent contrainte, totalement à votre merci mais avec une sérénité béante. J'aime... Je découvre mais quel plaisir... Quelle sensation de ressentir les cordes sur son corps , votre contact...
Mais vous me libérée en me gardant prêt de Vous dans Vos bras.....
Vous rangez vos cordes , les laissant à proximité. Avec une des cordes , Vous confectionnées une sorte de tresse qui ressemble à un collier..... Vous me demandez si je veux manger en étant soumise ou libre..... Une partie de moi dit libre, l'autre partie me dit soumise et je Vous réponds soumise.
J'apporte l'en-cas dînatoire et je me met en soumise a genou à vos côtés.. Je pensais ne vivre qu'une soirée « cordes » et je me retrouve à genou ainsi à ma place. Je vous ai accordé ce « pouvoir»... La corde en forme de collier/laisse à mon cou. J'aime cela , j'aime me sentir ainsi vêtue. J'aime aussi ce que Vous en avez fait, me promenant avec, en me faisant manger dans Vos mains ..me demandant d'aller chercher Vos cordes et de Vous les ramener comme une chienne...de garder la laisse en bouche... De rester à quatre patte pendant que Vous me fessier.. de punir quand j'oubliais les ponctuations, Vos ponctuations. Vous m'avez posé des pinces sur les tétons, pinces que je ne connaissait pas , que je n'avais jamais eu posé et bien plus mordantes que celles que j'ai connue et j'avoue n'avoir pas tenue longtemps... M'ayant déjà bien titillé, sensibilité accrue , j'aurais aimé les gardées plus longtemps et j'espère que je serais plus endurante sur ce point au fur et a mesure....
J'aime les marques que vous avez laissé sur mes fesses.....J'aime que Vous m'ayez laisser lécher vos mains.... J'aime avoir été cette petite chienne à Vos pieds, obéissante....
Vous m'avez libéré, rendue ma liberté. De soumise je repasse à libre. Vous nous accordez une pause et on discute un peu avant de me dire alors que fait on et je vous ai répondu: « des cordes Monsieur »....
Je crois avoir à ce moment parlé de photos et Vous avec malgré une grand envie de kinbaku laissé ma petite envie venir à Vous. Installée sur le canapé, vous m'avez plié le mollet de la jambe gauche sur la cuisse et avez commencé ainsi le « shibari »...Puis la jambe droite accroché au canapé différemment et immobilisée. Les bras joints accrochées autrement en hauteur, le torse légèrement en travers.... Les yeux bandés , je vous ai laissé m'encorder en pensant au résultat final avec un réel plaisir de voir le travail final et de pouvoir le contempler par la suite. De pouvoir garder pour moi ou de poster ou que Vous puissiez le poster. J'aime cette idée car j'aime ce que vous faîte, j'aime savoir que les cordes feront parties de mon univers, parties prenantes de ma soumission ou pas mais j'aime les sensations ressenties, j'aime aussi laisser une trace.. J'aime sentir la forme de la corde sur la peau quand on enlève, ses marques comme un tatouage.. Je prend autant de plaisir à me laisser encorder que de Vous voir encorder, de voir Vos gestes sûr et ferme. Cela me donne envie de découvrir toutes les possibilités, de trouver tout un tas de lieu , les plus insolites parfois ou pas ou les cordes peuvent s'exprimer, ou votre ( ou mon) imagination peuvent vivre.
J'ai aussi envie de montrer le résultat pour aussi montrer que oui une fille « ronde » peut être belle aussi dans des cordes même si elle a des formes, des cuisses, des bourrelets et que même si parfois ce n'est pas forcement très esthétiques, elle peut être bien dans des cordes et aimer le faire voir....
Les photos prises, Vous avez doucement ou vivement défait ce qui venait juste d'être fait ne laissant à la fin que les mains liées et c'est a cet instant que votre pouvoir a repris le dessus et place au « Kinbaku »...Vous m'avez tirez au sol à Vous et avez repris naturellement Votre place....
Les yeux bandés toujours...... Vous m'avez contrainte et dominé de belles façons par Vos cordes. Douleurs des contraintes , vite effacées part votre présence omniprésence, par Vos gestes, Vos paroles, Vos mains baladeuses et Vos envies.... Vous m'avez attachées de différentes manières mais vives, fermes et possessives. J'étais Votre par Vos cordes..
Vous m'avez détaché , amenez à Vous pris dans Vos bras et vous m'avez serrées contre Vous..... Vos mains venant caressée mon intimité....Pris mes mains et vous l'avez demandé de me laisser aller tout en me caressant les seins, le ventre. Vous m'avez accordé ce plaisir et le plaisir de lécher ma jouissance........
Nous sommes rester ainsi un long moment vous assis par terre et moi allongée sur Vos jambes a simplement parlé et juste apprécier le moment présent....
Je ne pensait pas ressentir autant de sensations avec les cordes.. C'est une confirmation pour moi et je sais déjà que les cordes feront parties de ma vie, et de ma soumission ou les deux et que je ne pourrais plus m'en passer. Et ceci je Vous le doit , Monsieur..
Ce « Vous » qui est pour Vous Monsieur . Je n'en oublie pas pour autant cette ponctuation tout au long de mes ressentis ( dans ma tête il y est ) juste que par esthétisme , j'ai opté pour cette façon.. Mais je n'oubli pas que ce « Vous » qui est a lui seul la ponctuation tout le long.
Vous avez raison , Monsieur, je vais être surement accro, une droguée des cordes.
J'espère pouvoir , vivre, être encordées, exprimée mes ressentis par cette forme le plus souvent possible... Je n'ai qu'une chose à dire:
Merci Monsieur et …. Puis je dire ENCORE, c'est quand et où Vous voulez
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A) Les oxymores :
Commençons par le CM2, vous connaissez tous :
« monter en bas » (et que j’en entende pas un dire ‘oui mais avec mes bas résilles… je peux aller à l’étage’ ^_^ … si si je les entends les pestouilles :p )
Reprenons : monter en bas.
SOIT on monte,
SOIT on va en bas !
Cet oxymore est facile à « démonter ».
Je vous en propose de notre vie courante :
-« Guerre humanitaire »
Qui pourrait « démonter » cet oxymore ?
-« égalité des chances »
Qui pourrait « démonter » cet oxymore ?
Je vous propose aussi "mariage pour tous" en démonstration.
L.
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Blond et lisse, de bois façonné, jusqu'au détail du gland qui fait comme un renflement en son extrémité... son gabarit effraie autant qu'il attire l'oeil luisant, la bouche salivante. Sera-t-il plutôt une punition ou une récompense? Apportera-t-il plutôt du plaisir ou de la douleur ? L'eau à la bouche, le regard plein de convoitise, je l'ai entrevu une fois et depuis, il revient cerner mes pensées de temps en temps. Comme une obsession en demi teintes, un rêve éveillé, un fantasme long et dur, glissant dans un orifice comme un puits sans fonds. Le toucher des doigts, appliquer ma langue sur ce membre sculpté, prier cette divinité à genou, cuisses ouvertes, sexe béant, anus palpitant devant cet objet tendu qui appuiera un jour sur cette entrée ourlée, lisse, veloutée pour l'accueillir avec un suave soupir au fond de mon ventre. Distendue, écartelée devant ce sexe d'apparat, ce sexe de substitution, ce sexe indicible...
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Bleue, la mer qui se tait quand le vent ravage ma peau
Bleu, l'horizon de mes rêves zébrés de sang et d'or
Bleu, l'air glacé que réchauffe l'étincelle des corps
Bleue, la cravache et la main dans le même tempo
Bleus, les éclairs argentés qui lacèrent mes fesses
Bleue, la douleur fulgurante qui ravive la flamme
Bleue, ta pupille troublée qui me traverse l'âme
Bleus, tes yeux-fleuves dans les miens, comme une douce ivresse
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Il m'envahit, me submerge de ses mains voraces sur moi, parcourant, saisissant, caressant, emprisonnant, pinçant. Ses doigts semblent démultipliés, avides, curieux explorant chaque parcelle de mon corps.
Sa bouche-ventouse plaquée sur ma chair, gonflée sur mon cou, happant mes épaules et aspirant chaque millimètre de peau jusqu'à la pointe dressée de mon sein, sous sa langue dardant et ses dents mordillant. Il me retourne et plaque son corps contre mon dos, pesant, humide, collé à mon dos, son sexe dardant sur mes fesses, ses genoux forçant l'ouverture de mes cuisses, me livrant à son désir chaud et durci, butant sur mon cul, mes mains immobilisées dans le dos, emprisonnées dans sa poigne puissante, abandonnées à sa force, écrasée sous son poids. Affalée, pantelante, soumise à sa volonté et à ses membres démultipliés qui prennent possession de moi, entièrement à sa merci. Je sens sourdre et couler son désir, contre mon anus, ses doigts happés par ma chatte moite et brûlante, gluante. Cet homme tentaculaire qui pénètre mon esprit et mon corps, dont les membres me parcourent, m'envahissent, me submergent.
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Sombre nuit qu'éclaire la lueur fugace et fébrile des bougies... C'est la nuit du Solstice, le bienveillant retour du soleil qui réchauffe nos corps et nos âmes. C'est la nuit d'un rêve éveillé, un rêve de cordes et de bambou, de fer et de cuir ; d'odeurs mêlées de cire et de stupre, de fragrances animales, musquées et aigres, de gouttelettes de sueur et de stries de salive, coulant sur la peau ; d'images révulsées et de mots tapageurs, cinglants comme le fouet, saisissant comme la paume d'une main ; de regards inquisiteurs qui déshabillent et qui caressent, qui lèchent et qui sucent, des orbites creuses, dégoulinantes de désir humide, avide, athropophage ; de morsures et de griffures, d'empreintes sur la peau diaphane d'un oiseau nocturne, un rapace qui se repaît de ma chair. Dissoute et digérée pour renaître à la vie, renaître au soleil, sereine, épanouie, apaisée. Rêve d'une nuit de Solstice...
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Je ne voudrais pas être celle.
Qui abandonne et qui déçoit.
Qui prend et découpe en rondelles.
Les mots douceur que je reçois.
J'ai des besoins de silence.
De liberté, de solitude.
Qui peuvent aussi, si l'on y pense.
Passer pour de l'ingratitude.
Quand la désillusion remplace le désir.
Le froid a tout balayé sur ma route.
Je me suis repliée dans les souvenirs.
La confiance n'est plus, je doute.
Deux fins de relations m'ont fait mal.
Suis-je encore apte à me soumettre ?
Serez-vous patient pour un possible aval.
Etes-vous Monsieur celui que je souhaite ?
Le 15 décembre 2015.
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Versatile. Vers où
Verre d'Ô. Ô et miel
Eau d'ivresse. Oh my gode
Gode in my ass
Gode save my soul
Saoûle de stupre
Saoûle de caresses. Saoûle de toi
Toi, toi, toi qui sais
Vers où m'envoler
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Curieux et bonhomme, il s'éveille et s'étire, se redresse doucement, risque un œil et prend de la hauteur. L'intrépide rêve de collines et des monts vertigineux qu'il escaladerait, de grottes humides à visiter. Il se hisse fièrement, développe toute sa longueur, hardi, tendu vers l'horizon doux et laiteux. Il relève sa tête glabre, rougissant sous l'éclat lunaire qui s'étale devant lui, l'âme aventurière et l'esprit vagabond. Il frétille, s'agite, humide de plaisir, gonflé d'orgueil, conscient de sa toute puissance, il avance frénétiquement vers des terres inconnues qu'il pense être le premier à pénétrer. Une larme d'émotion coule, un soubresaut comme un sanglot, il fonce sans hésitation, droit devant lui, comme guidé par une inspiration soudaine, un éblouissement ancestral. Mais au dernier moment il bifurque, change d'avis et d'espace, se dirige vers une langue rose et douce qui le cueille comme une fleur, aspirant et lissant, salivant et crachant, exultant devant sa posture ferme et douce, palpitante, vibrante quand brusquement, une poussée irrépressible l'arrache à lui-même dans une explosion à grands jets de foutre et d'étoiles.
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Mes yeux exorbités se repaissent du spectacle de mes courbes dans le miroir : jupe retroussée jusqu'à la taille, culotte réduite à un mince tissu pénétrant les chairs douces et humides, jambes relevées et ouvertes, les talons en appui sur les montants moulurés encadrant ce reflet troublant.
Cette image, double, qui se reflète, tu l'as souhaitée ainsi que son florilège indécent de caresses exigées, de pénétrations requises, d'orgasme contrôlé. Photos à l'appui. Pas de tricherie possible. Dire et montrer. Les godemiches et la cyprine. Seuls les rictus de jouissance et les gémissements resteront secrets. Mais tu les connais. Tu as mon regard dans le tien et mes bruits d'animal blessé dans ton oreille. Tu veux juste voir mon obéissance, ma soumission, minute après minute. Ma main sur mon sexe l'autre sur le déclencheur. J'avale un hoquet de plaisir en pensant à toi me regardant en quasi instantané. Espace aboli. Le plaisir fuse en numérique.
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Clairière calme où ne sourd qu'un grondement lointain et ponctuel de moteur. La voiture s'arrête. Tu me demandes de me déshabiller. J'ai encore mes dessous mais tu me regardes avec insistance. Alors j'enlève rapidement ce qui me tient si peu de vêtement. Entièrement nue. Mais pas au soleil...
La pluie tombe à grosses gouttes impassibles bruissant sur les vitres et le capot. Je regarde l'eau qui explose sur la surface transparente en minuscules flaques verticales puis dégouline le long de la paroi vitrée, comme des larmes démultipliées crachées par le ciel. Maussade, comme lui, et résignée, je m'apprête à affronter cette sortie inattendue. Nue sous la pluie. Mais j'ai gardé mes bottines, heureusement.
«Tu vas jusqu'à l'arbre» ordonnes-tu.
L'eau coule sur mes cils, m'aveuglant partiellement. J'avance droite, menton en avant, épaules en arrière. Il est sur mes talons, habillé, abrité sous son parapluie.
Quel arbre? Le grand, large tronc, branches éparses et nombreuses feuilles qui ne me protègent pas du tout. L'eau glisse sur mes cheveux, mon visage, mon corps. Je frissonne un peu mais je n'ai pas vraiment froid. Pas encore.
Il me demande d'écarter les cuisses et de lever les bras, en posant mes mains sur l'arbre. Seins et sexe à disposition. Triturée, fouillée, pincée, léchée, mordue... Le plaisir arrive, inexorablement et la cyprine se mêle à la pluie. Je laisse échapper soupirs et gémissements mais il m'intime l'ordre de me taire. Mon esprit s'échappe vers le haut de l'arbre, mon visage baissé pour le protéger de l'eau qui commence à se faire désagréablement froide. Je commence à grelotter et je tremble un peu. Je me fais intérieure, concentrée pour oublier cette humidité qui m'envahit. Je sens le contact de la cravache qui caresse plus qu'elle ne cingle. Qui passe entre mes cuisses, frôle et glisse, ennivre mon clitoris. Je me pâme. Il m'ordonne de ne pas bouger et de reprendre la position.
Je l'imagine, je vois dans mon dos son regard lourd de désir, pervers ; je sais ses obsessions, ses plaisirs. Celui de me regarder immobile, offerte, indécente, jouisseuse. Il reste impassible. Et je me languis de davantage avec lui aujourd'hui...
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Il est dangereux d’être femme, victime invisible d’exaction. Femmes en détresse, courbent l’échine. Femmes en souffrance, en violences conjugales (source ministère de l'Intérieur: 118 femmes sont mortes en 2014, victimes de leur conjoint ou "ex", soit presque une tous les trois jours en moyenne). Femme à protéger parfois même, de leur père, de leur parâtre, de leur oncle, de leur mari, de leur patron, etc…. Femmes séquestrées, abusées. Viol des femmes comme arme de guerre. Femmes en danger, instrumentalisées en ce monde de charia, de mafia. Toutes les religions ont une propension à vous considérer suivant la seule fonction procréatrice, femmes qui ne sont pas libres de leur corps. Femmes excisées, flamme de désirs éteints. Femmes répudiées, chassées de leur milieu familial, jetées à la rue, à l’incertitude. Femmes lapidées, déverrouillées de la vie. Femmes objets, marchandises de l'homme, femmes à canon de chair. Immondes mémoires du monde. Aux jeux charnels disgressifs, récession sous couvert d’évolution, épreuves et preuves. Valeur en tant que personne… bafouée.
Qu’il doit être, parfois, difficile d’être femme. Le désir de pouvoir est souvent plus fort chez les hommes que la bonté. Il est bien connu que plus inconnue que l’homme inconnu est sa femme. Hommes, cessez de consumer votre vie en vanités. Femmes libérez-vous des serres du désespoir. 3919. La femme représente l’éternité de l’homme, sans elle point d’avenir possible et réciproquement. Femmes, je cède à votre con et concède ignorer les prétenchieuses.
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Comprenez ce qui suit comme une information pouvant être utile et non comme une incrimination à quiconque.
Toute personne a sur son image un droit exclusif et absolu et peut s'opposer à sa fixation, à sa reproduction ou à son utilisation. Attendu que reproduire sans autorisation adéquate la photographie d'une personne nue ou suggestivement déshabillée porte atteinte tant à son image qu'à sa vie privée. (C.Cass. Civ. 1, 17 septembre 2003, n°00-16849 )
Peu importe que son visage ne soit pas visible dès lors que l’identification peut résulter de la reproduction d’une partie du corps la rendant reconnaissable par un détail particulier ou si son corps associée à son environnement où elle réside, permettent son identification par des voisins ou des proches (TGI Paris, 6 juin 1984), y compris par très peu de proches (CA Aix en Provence, 21 octobre 2004, n°261645 )
Il est impératif donc d'obtenir le consentement de la personne photographiée. Il faut savoir qu'il n'y a point de consentement valable si le consentement a été donné par erreur ou s'il a été extorqué par violence (la contrainte physique ou psychologique ou chantage ou menace ou sur personne affaiblie: Cour de cassation, 3ème chambre civile, 19 février 1969) ou surpris par dol (obtenu par la ruse,ou le mensonge,ou tromperie, ou suivant informations ou engagement incomplets, ou sous l'emprise d'une addiction, ou avec l'aide d'un complice). Et la publication de la photo doit respecter la finalité de l'autorisation donnée par l'intéressé (C. Cass. Civ. 2, 23 septembre 2004, n°02-21193 )
Attention, le fait qu’une personne consente à être photographiée ne signifie pas forcement qu’elle consent, à ce que son image soit reproduite et publiée, notamment sur internet et même si tel était le cas, ladite personne peut s'opposer à toute divulgation ultérieure.
Le non-respect de ces prescriptions est sanctionné par le code civil notamment pour le paiement de dommages et intérêts et également sur le fondement des articles 226-1 et 226-2 du Code pénal, qui sanctionne d’un an d’emprisonnement et 45000 euros d’amende le fait d’enregistrer ou de transmettre l’image d’une personne ou le fait de conserver, porter ou laisser porter à la connaissance du public.
Sur le consentement et en complément, voir mon précédent article: http://www.bdsm.fr/blog/1488/la-question-du-consentement/
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(je rappelle que je suis l'auteur de tous les articles que je publie)
L'impossibilité d'être une femme mûre idéale, dans une société qui prône la jeunesse éternelle, est contestable. Les femmes de la période génaire (quadra-quinqua-sexa-septua-octo) ont bien raison de refuser de se laisser enfermer dans ces représentations. Elles ont également raison de continuer à s'affirmer comme épouse, compagne, maîtresse ou Dominante. Pour cette gente, les difficultés sexuelles ne sont pas corrélées au vieillissement biologique. Souvenez-vous de cette femme de 63 ans qui tenait son compagnon de 40 ans (interpellés un soir en plein centre-ville de Carcassonne) attaché à l’aide « d'une chaînette de 70 cm accrochée autour des testicules.
Même si la beauté des femmes mures lie plus étroitement le corps et l’âme. Encore très en forme, elles revendiquent une sexualité active car le bonheur, l'équilibre, le partage sont dans le sexe. Le temps fait encore ses affaires de moments de tendresse, de plaisirs intacts. L’expérience est le fruit d’une plante mature et ses femmes, d'un âge certain, apprécient toujours le tumulte des rendez-vous interdits plutôt que la tiédeur d'un amour unique.
C’est à l’aune de l’horizon temporel limité que doit être évaluée l’utilité du plaisir. Le fruit mûr est plus sucré et plus désaltérant. Ses propriétés aqueuses sont stimulante et vivifiante. Les femmes mûres détiennent cette naturelle réalité et comme dit voltaire la vérité est un fruit qui ne doit être cueilli que s'il est tout à fait mûr.
Une belle maturité se mesure à l'aune des plaisirs charnels qui jalonnent la vie, ayant culbuté les belles années. Sexe génère du bonheur ! Ces femmes sont bien plus profondes qu’en ces temps. Femmes qui ont du vécu, qui ne se sont pas contentées du premier venu, ne se satisfont pas de la précipitation des puceaux. Esprits ludiques, les hommes ou/et les femme sont leurs playmobils d'amour. Elles savent jouer avec les sens de manière non conventionnelle.
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Permettez-moi de connaitre vos aspirations, votre respiration. Que je m’abandonne à Vous pour un aller sans retour.
Dans l’innocence de la nudité, je me donnerai à Vous en espérant que Vous m’accordiez le meilleur de Vous-même. En concession, posture du pénitent, instant solennel, j’attendrai d’être à Vous. Initiez-moi à vos desseins secrets. J’attends que Vous me dites « J’attends ! » Dominez-moi également avec votre cœur car je ne veux pas mourir de chagrin pour une Dominante sans âme. Votre présence me désarmera. Vos gestes me mettront en émoi
Corps livré, Vous me posséderez. Pouvoir en ostensible impudeur. Vos désirs suffiront à me lier. Vous Vous égarerez sur moi, sans loi. Vous me contrôlerez, dirigerez suivant vos envies.... Montée d'adrénaline. Je serai mis à l’index, comme une invitation à l’obscénité poétique sublimée. Imagination créative pour assouvir votre impatiente passion. Ce sera le grand jeu des attractions universelles qui metta le feu aux joues… et ailleurs.
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Maîtresse de vos plaisirs, gardienne de vos désirs en de jeux érotiques, Femme recelant de troubles intentions, acceptez de la rejoindre aux rives où l’âme flotte et vibre jusque dans vos cœurs. Elle consumera vos tiédeurs, Jusqu’au dernier frisson. Elle goûtera les plaisirs sacrés.
Rétifs ou rétives nulle illusion, Elle vous fera fléchir. Cette splendide Cythérée asservira, sous ses lois, l’orgueil de votre raison. En état de vie d’oblation, par sa d'hommestication, vous vous donnerez à la Beauté, au temple de l’inconstance.
Vous transcenderez vos appréhensions. Se livrer pour se délivrer, voyage dans l’inconnu du plus profond de soi et, peut être, au plus profond de soie. De sa main vénérée, cette sensuelle félinité régentera vos chavirements, hors du temps, dans le bleu de la nuit. Femme si sage, mettant en scène ses propres fantasmes suivant ses humeurs, le corps est son terrain de jeux.
Nul propos trivial pour exprimer la permanence de votre faim. Elle est en capacité à mener votre coeur dans un abîme. En de patientes dérives, vous change en figurine. Emotions débordantes, membre furieux dardé, corps jaspé, mendiant le droit de suivre du regard son déhanché, vous rêverez à des instants improbables.
En de sensuelles lubricités, nulle étreinte de feu au risque de s’y brûler. En des attitudes troublantes vous fera connaître la lucidité des rêves par la chasteté des distances. En positions des plus humiliantes, votre peur se transformera en chaleur torride qui irradira votre corps jusqu’à la jouissance…
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Espèrer ou souhaiter ? Ce n’est pas qu’une question sémantique. Cette différence est importante…on ne peut se comprendre qu'en appréhendant cette nuance également par la syntaxe. L'un exprime une passivité ou une opinion alors que l'autre est un stimulus ou l'expression d'une volonté. La Maîtresse souhaite,le soumis espère (tout au moins dans son expression). Cependant, il convient de s'intéresser à la complétive. Souhaiter, commande le subjonctif et si espérer, employé à l'impératif, est suivi du subjonctif alors ce dernier à une valeur optative et devient donc synonyme de souhait.
Quant à souhaiter et vouloir, le second est plus intense que le premier, plus exigeant. La distinction entre vouloir et désirer semble plus aisée car le désir est de l'ordre de l'émotionnel alors que vouloir en est dénué.
Les mots ont un sens et si, lors d'un dialogue, un même vocable n'a pas la même signification pour une personne, alors cela peut conduire à de regrettables quiproquos ou incompréhensions. La relation s'en trouve altérer.
Mais si ton interlocutrice (teur) s'en fout, alors pourquoi se masturber l'esprit!
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Le fouet comme un appel sur mon corps
Il caresse ma peau en ces diverses lanières
Stoïque, puis me dandinant à ma manière
Je relève une jambe quand le coup est fort
Tantôt, il fouette le haut de mon dos
Puis signe mon fessier de ces maux
J'aime le bruit sourd de cet instrument
Tout comme ses rapides claquements
Etre attachée à la croix de Saint André
Le parchemin de mon corps marqué
De la morsure du fouet à sa signature
Dessinant de multiples zébrures
Sur mon épiderme continuez vos accords
Jouez de nombreuses notes multicolores
Imprimez y votre fin cracker
Pour ma part, aucun joker
Cingler ma poitrine de couleur nacarat
Brûlures délicieuses virant à l'incarnat
Cuisantes caresses du fouet enroulé
Mes seins offerts à votre complicité
Vos cadences se font rapprochées
Vous savez ou vouloir m'amener
J'ai confiance en votre maîtrise
Je suis complice de votre emprise
J'ai le pouvoir de tout arrêter
Par un code que je peux donner
Que nenni pour moi, je lui fais face
Connaître à nouveau le subspace
Le 8 novembre 2015 écrit pour Jean-Dan14
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Ce soir là, on était tous bien décidé à sortir. Un nouveau bar venait d'ouvrir. Arrivée sur place, on s'attendait à voir plus de monde, mais on était une bonne vingtaine.
Après 2 ou 3 h dans le bar, beaucoup partaient, couple plus posé et on se retrouva à peine une dizaine, au final, les personnes appris vite à se connaitre. Je discutais avec Louise, 19 ans en fac de droit, elle était très études et sage, parlait bien et pleine de cultures.
-Tu devais être première de ta classe, non? Dis je en souriant.
-Oui, au collège mais pas en fac. Comment tu as deviné?
-Vu la culture que tu as, ça ce voit et même dans ton style réservé et sainte nitouche.
Elle me regarda surprise.
-Sainte nitouche? Tu ne me connais pas.
-OK tu es coquine ...
-Non... mais pas ça non plus... mais... le juste milieu. Enfin bref, je suis comme je suis.
-Je déconnais, tu es toute rouge, par honte de parler de sexe?
-Je te trouvais sympa mais tu es un obsèdé.
Elle partie et nous ne somme pas revus avant un mois. Un concert en ville, dans un bar.
-Salut Louise.
-Salut
-Désolé pour la dernière fois. Lui dis je, en lui tendant une bière. Pour me faire pardonner, bon concert.
Et parti rejoindre le bar avec mes amis
La soirée se poursuit et le concert s'achève. Louise me rejoint et me propose un verre.
-Par contre ce sera chez moi, j'étais venu pour le groupe mais la fin de mois me permet pas de t'en payer un ici.
-Ok, je te suis.
Arrivée chez elle, c'était très cocooning, la porte qui donnait à ça chambre était ouverte et on pouvait voir un lit à barreau, tout était bien rangé.
-Une bière?
-Ouaip ça me va.
La nuit continua à discuter, un moment d'inattention et je l'embrassa sur le canapé.
Elle me repoussa.
-Je suis une sainte nitouche, c'est vrai. Me dit elle, un peu gênée. Mais j'ai quand même envie de toi.
-Alors tais toi.
Elle faisait petite et légère dans mes bras. Je l'embrassa de nouveau et commenca à la déshabiller. Je retira son pull puis son débardeur et me fut surpris qu'elle porte de la lingerie fine. Elle commenca à dégrafer son soutien gorge et je la stoppa.
-Laisse, tu l'enleverras quand je le déciderais.
Une lueur brillait dans ses yeux et elle se laissa ôter son jeans, un magnifique shorty en dentelle me faisait saliver de plaisir. Je la souleva par les fesses et l'emmena dans sa chambre.
-Maintenant déshabille moi.
Elle retira ma chemise, puis ma ceinture et ouvrit ma braguette.
-Met toi à genoux.
Elle déboutonna le jeans qui laissa apparaitre un boxer gonflé entre les jambes. Enleva mon pantalon et passa sa main sur ma bosse.
-Qui t'a dit de toucher. Lui dis je en retirant sa main.Tu es plus coquine que sainte nitouche et tu cache bien ton jeu. Debout!
Elle se releva en ayant un petit réctus.
-Je veux que tu me punisse.
Je dégraffa son soutif en l'embrassant dans le cou, puis en le retirant, je descendis pour lecher ses seins.
La poussa sur le lit et retira son shorty pour laisser apparaitre un minou lisse et déjà humide, je la lécha et delecta de son nectar, sa main passa dans mes cheveux au bout d'un moment. Je glissa deux doigts sans peine au fond de son vagin et me retira.
-Ici c'est moi qui commande.
-Je voulais juste te tenir la tête quand tu me lèche.
Je la pris par les cheveux et sortir mon sexe du boxer. Elle me regarda en souriant et me dit
-Tu veux que je la mettre dans ma bouche? Je veux la sucer.
-Fais moi jouir.
Elle la lecha de tout son long et l'avala, c'est va et viens s'accélèra. La bouche grande ouverte et ses raclements de gorge m'excitait de plus en plus.
Je la stoppa et lui dit de se mettre à quatre pattes et me montrer ses fesses.
Son cul était appétissant. Je donna quelques fessées et cracha à son anus. Mon membre s'enfonca au plus profond de son vagin et mon pouce titilla son anus, pour attraper ses fesses à deux mains, je lui dit de jouer avec son petit trou.
Ses doigts s'activait dessus et ma bite pillonnait toujours sa chatte, son majeur se retrouva enfoncé dans son anus et je me retira.
Je l'a pris par les cheveux et lui ordonna de sucer. Je me décharga dans sa bouche et elle ne perdit pas une goutte.
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Faits Divers - Boulogne
En pleine journée, étrange mésaventure pour un jogger du bois de Boulogne
(Extrait du quotidien "le libertin libéré")
Hier matin un incident inédit est venu perturber le jogging d’un (malheureux ?) jeune homme.
L’aventure nous a été rapportée par mademoiselle B. que nous avons pu rencontrer suite à sa déposition, certainement sans suite d’ailleurs, qu’elle fit au commissariat de la ville de Boulogne en périphérie immédiate de Paris.
« Hier matin, je courrais comme chaque Dimanche autour du lac du bois de Boulogne. J’entretiens ma forme car je suis volleyeuse.
J’ai d'abord dépassé un groupe de trois femmes, elles parlaient beaucoup et plutôt fort pour bien pouvoir courir, puis j’ai croisé un jeune homme en sens inverse, je me souviens m’être dit qu’il avait belle allure, je crois même que l’on a échangé un bref sourire.
J’ai continué sur quelques foulées, et puis j’ai eu envie de le voir de dos, sans penser à plus, alors je me suis retourné au moment ou il croisait le groupe de femmes. Et alors que je m’attardais, je fus surprise de voir que les trois femmes, après avoir bien détaillé l’homme, se sont regardées et ont fait demi-tour en riant.
Je pense qu’elles l’ont interpellé car il a ralenti et il s’est arrêté.
L’ayant rejoint elles l’ont entouré et tout en continuant à rire elles l’ont poussé à l’eau !
Il a été bien surpris, mais elles l’ont aidé à sortir de l’eau et il n’avait pas l’air rancunier. Il semblait si doux le pauvre.
Il aurait dû se méfier car alors qu’il tendait les mains pour remonter au bord l’une des femmes a sorti quelque chose de sa poche pendant que les deux autres lui ont saisi les poignets pour les lui tordre dans le dos. Un instant plus tard il était menotté ! »
« Et vous ne vous êtes pas enfuie ? »
« Ben non, elles ne s’occupaient pas du tout de moi et je m’étais mise derrière un arbre. Ensuite, heu… vous savez, si j’ai regardé c’est pour faire une déposition complète au commissariat hein ? »
« Oui, oui, bien sûr, et ensuite ? »
« Bon ensuite elles l’ont attaché à un arbre. Je ne sais pas d’où elles ont sorti la corde. Elles avaient l’air plutôt organisées, je crois »
« C’était d’après vous une sorte de bande de malfaiteurs féminins ? »
« Non, non, enfin oui peut-être. Mais elles avaient l’air de bien s’amuser surtout. Alors que lui s’inquiétait de plus en plus.
Après elles ont commencé à le caresser de partout et à l’embrasser. Et elles le caressaient entre les jambes aussi. Elles se sont plus ou moins déshabillées, l’une d’elle s’est mise tout à fait nue, et elles l’ont déshabillé complètement.
Elles ont arraché son tee-shirt et on baissé son pantalon.
Et le plus étrange c’est que le jeune homme heu… avait une érection. Une belle érection même.
Ensuite elles lui ont fait plein de choses incroyables, avec une branche qu’elles ont coupé d’un arbre à côté, puis elles ont utilisé son sexe à plein de choses. Enfin ça me gêne de dire tout cela. »
« Je comprends très bien mademoiselle, mais encore ? Comprenez bien que nos lecteurs doivent être bien avertis de ce à quoi ils doivent échapper s’il leur arrivait pareille mésaventure. »
« Oui bien sûr. Et bien elles l’ont fouetté sur tout le corps et sur le sexe aussi. Il aurait dû ne plus bander alors non ? Mais non, j’ai eu l’impression que c’était le contraire.
Alors elles l’ont sucé longtemps et après elles ont placé leurs fesses face à son sexe et elles ...s’en sont servi. Enfin vous voyez ce que je veux dire. Elles continuaient à rire souvent et à commenter ce qu’elles faisaient. C’étaient certainement des folles vous comprenez ? »
« Et comment tout cela c’est fini ? »
« Et bien, je suis gênée… »
« Vous pouvez parler sans crainte Mademoiselle, votre nom ne sera pas cité. »
« Ah ! Et bien, à la fin, elles m’ont repéré bien sûr. Il faut dire que j’avais cherché à m’approcher un peu. Elles sont venues et m’ont tiré par le bras.
J’ai eu très peur alors. Elles m’ont emmené auprès du malheureux et m’ont demandé si je voulais m’amuser un peu avec lui.
J’étais horrifiée.
Alors elles ont pris ma main et l’ont placée sur son sexe toujours dur et m’ont obligée à imprimer des mouvements. Il gémissait le pauvre. Et alors… heu… j’ai été obligée à commencer à embrasser son sexe. »
« Elles vous ont forcé ? »
« Non pas vraiment… Heu oui, oui, bien sûr ! Enfin, je me suis sentie obligée… moralement si je puis dire.
Elles étaient autour de moi, et puis ce joli petit sexe, enfin pas si petit tout de même, il avait l’air de réclamer mes attentions, vous comprenez, et puisque j’y étais, autant faire de mon mieux non ? »
« Oui, oui, bien sûr. Et ensuite ? »
« Ensuite , je l’ai léché, délicatement.
Alors qu’il était bien dur, sa peau était toute douce, je m’en souviens très bien.
Il gémissait de plus en plus, alors je l’ai doucement pris dans ma bouche. J’étais à genou devant lui, alors cela m’a paru naturel. Puis j’ai imprimé des mouvements qui ont encore fait augmenter le volume de son sexe. Il bougeait pas mal parmi ses liens, ce qui fait qu’au bout d’un moment, il est sorti de ma bouche, mais je le tenais fermement de ma main.
C’est alors qu’il a répandu plein de sperme sur mon tee-shirt. Je n’en avais jamais vu une telle quantité ! J’étais complètement trempée !
Alors elles ont eu l’air satisfaites et elles ont repris leurs menottes et sont reparties en courant.
Je l’ai rapidement détaché, et lui ai proposé d’aller au commissariat. Mais il était bien trop timide et m’a dit que ce n’était pas la peine et qu’il était trop confus de ce qu’il lui était arrivé et du spectacle qu’il m’avait infligé. Il est parti sans en dire plus et je n’ai pu le retenir. Voilà c’est tout. »
Aventure incroyable, ne trouvez-vous pas ? Si près de nos villes ! Reflet de notre civilisation décadente bannissant le respect des honnêtes gens.
On ne soupçonne décidément pas la diversité des dangers qui menacent de simples adeptes de la course à pied !
De notre envoyé spécial Romain Leste
lundi 26 octobre
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Je suis assis devant une tasse de café , le regard dans le vide. L'esprit bien loin de là où est cette chaise.
Je repense à l'instant où je passe la porte et la vérité qui vous rattrape pour vous éclater au visage. Une vague qui vient chambouler toutes vos certitudes.
Je l'ai marquée au fer rouge alors que son passé n'est simple en aucune façon. Ce n'est pas d'avoir cessé de l'aimer, bien au contraire, juste le détournement sur une période de certains principes, et même si l'auto flagellation n'apporte rien, le miroir déforme votre gueule de salaud tout les matins.
La terre tourne et une porte s'ouvre. Tout réapprendre, tout redécouvrir.
La voila qui s'abandonne dans un cadre qui n'a aucune bordure. Elle se livre au voyage dans un monde inconnu.
Son amour qui parle à cet instant est une offrande incroyable, presque difficile à recevoir tant la honte vous submerge, vous envahissant tout entier. Juste l'émotion de la demoiselle qui se découvre et qui vous éblouit.
Cela aurait été plutôt à moi de devoir changer "pour des raisons conventionnelles" , mais, plutôt que de l'envisager, elle vient m'offrir de s'adapter…
La séduire pour lui faire comprendre combien elle est belle dans mon regard qui l'enveloppe. Ces dames sont sans cesse dans cet insatiable besoin de puiser en notre source l'impérieuse nécessité de se rassurer. Lui apprendre à aimer les courbes de son corps pour qu'elle en perçoive la beauté dans le regard de l'autre. La mettre à nue et la sublimer.
C'est par la magie des cordes qui viennent contraindre son corps, l' exhibant de telle sorte que les délices pervers viennent s'y nicher pour s'y laisser éclore.
La petite fille pudique avec qui je grandis n'est plus; l'ingénue appartient au passé et mon Dieu qu'elle est belle la femme qui se révèle.
Elle se laisse bercer au bord de l'eau, sous le joug protecteur des règles qui viennent, sur elle, si naturellement s'apposer, qu'elle semblait les attendre .
Fier de l'avoir à mon bras, elle est exemplaire. L'éducation qu'elle a reçue souligne déjà son savoir vivre et se tenir!
Je m'écarte un peu et la regarde intensément.
Au delà de sa beauté et des nombreux désirs qu'elle m'éveille, j'observe les regards alentours qui se posent sur Ma Belle.
Je me flatte de sentir poindre des envies discrètes pour certains et même des jalousies plus appuyées pour d'autres; sa douceur comme sa docilité sont miennes. Je profite d'elle, j' use d'elle et sans l'ombre d'un remord j'en abuse à ma guise ! Elle est mienne, mienne, mienne : quel bel écho….
Son épanouissement se traduit toujours par de si beaux sourires… C'est Allongé, et faute de pouvoir éterniser l'instant, que je les regarde, en admire la pureté pour alors sauvegarder dans mon esprit chaque instant.
Dans les bras, l'une de l'autre, se troublant mutuellement, des baisers s'échangent et offrent tant d'envies puissantes. C'est une fusion profondément sensuelle dont la beauté est un régal à admirer. La complémentarité qui vient parfaire le tout.
MaDame est rayonnante et la voilà comblée, je la sens apaisée par son état d'appartenance affirmée.
A Elle maintenant de savourer chacun des instants comme ils viennent caresser nos plaisirs .
Un beau chemin parcouru, dont je la remercie bien sur !
Mais là, je suis juste le cul sur ma chaise, mon plaisir est immense, un sourire un peu béat aux bords des lèvres, et je pense seulement qu'il nous reste encore tant et tant d'innombrables moments à vivre sur ce chemin dont nous sommes, en symbiose l'ombre indissociable de la lumière!
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Guettez moi, guettez moi encore.
Je vous suis pour des en-corps.
Pour des satins ou des soies.
A la sueur de mes émois.
Guidez moi vers des accords.
Comblez les désirs du corps.
D'extase, gorgez mon plaisir.
D'un supplice, frôlant le goût du cuir.
Observez-en la posture.
D'une chute de reins qui augure.
A vos sens embrasez-les.
Et de vos empreintes gravez-les.
Attendez, attendez-moi encore.
Plus intense, en-corps et plus fort.
Gouttez en bien mes parcelles.
De peau. Venez me sublimer rebelle.
Le 26 octobre 2015
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