Bonjour / Bonsoir à tous ,
Si j'écris aujourd'hui c'est qu'on m'a conseillé de partager mon histoire. Pour qu'on me connaisse mieux et moi avec. (Je m'excuse par avance pour mon expression et mon orthographe)
Pour certain cette histoire n'en sera qu'une parmi tant d'autre et n'expliquera rien, j'ai déjà essayé de la raconter on m'a dit que j'étais un fantasmeur et rien de plus. Mais cette histoire c'est la mienne et je ne la changerai pour rien au monde et j'ai décidé de la partager avec vous
J'ai essayé de rassembler mes souvenirs pour comprendre comment je suis arrivé sur ce site à parler de soumission et de domination avec vous. Aussi loin que je me souvienne la première que j'ai ressentis le goût d'avoir était dominé remonte à mes 13 ans. C'est à cet âge que j'ai rencontré celle qui est aujourd'hui mon amie la plus proche. Notre rencontre est née tout à fait par hasard dans un hôpital de Lille. Quoiqu'il en soit de fil en aiguille nous nous sommes retrouvés dans le même établissement scolaire et à partager un même créneau horaire en sport, (le vendredi après-midi de 13h30 à 15h30). Vous allez penser que je divague mais pour moi tout à commencer comme cela.
Un Vendredi après midi où nous avions aucune envie de rester en sport, nous avons décider de prendre la poudre d'escampette et de quitter la salle de sport et pour cela il n'y avait qu'un solution possible passer par la fenêtre au niveau des vestiaires mais il fallait attendre que chaque classes commencent le cours et les cours ne commençaient pas tant que les professeurs n'ont pas fermé les vestiaires à clef. Ce n'était pas la première fois qu'on le faisait mais on avait jamais été vu par d'autres élèves qui n'ont rien trouvé de mieux que de nous dénoncer. Nous avons du nous cacher dans les douches des vestiaires (des filles, vu que je l'avais rejoins) la double porte était suffisamment large pour nous laisser un espace qui nous a caché a l'arrivé du professeur. A cette instant, avec l'adrénaline peut être, mon esprit était comme inhiber (c'est assez dur d'exprimé ce que j'ai ressentis bien qu'aujourd'hui encore je m'en souviens parfaitement). Essayez d'imaginer , j'allais sur 14 ans et une charmante jeune fille de 16 ans vous plaque contre le mur entre la porte et le mur dans un espace étroit pour se cacher contre vous. Comme prévu le professeur est arrivé et cet instant était à la fois interminable et agréable, lorsque la porte c'est ouverte mon doigt se coinça (heureusement pour moi pas violemment). Réagissant très rapidement la charmante jeune fille qui était face contre moi plaqua avec force sa main sur ma bouche pour m’empêcher de me plaindre de la douleur de mon doigt, elle posa son front contre le mien et mis le doigt devant sa bouche pour me dire de me taire.
Vous direz peut être que cela est ridicule mais pour moi cette action à déclencher chez moi des pensées qui aujourd'hui m'accompagne encore. J'ai regarde ces beau yeux vert, enivré par le parfum de son corps et de sa main. C'était les deux plus belles et les plus longue minutes de ma vie et bizarrement je ne pensais plus à mon doigt....
Mais cette histoire ne se finit pas là. Cette même après-midi après notre «évasion» nous somme allés chez elle pour passer du bon temps malheureusement son père est rentré plus tôt que prévus et nous nous sommes caché dans le seul endroit où il n'irait pas, le grenier. Pour y accédé il fallait rentrer dans la chambre des parents et passer une porte fermé à clef. Il n'était pas grand mais suffisant pour installer un matelas et attendre le moment propice pour sortir mais (parce qu'il y'en a toujours) le père est entré dans sa chambre pour dormir. On c'est assis et on a commencé à parler elle était assise derrière moi les jambe écarté moi assis entre elles. Puis on rediscuta de notre «évasion». Et je lui ai dis ce que j'avais ressentis quand elle avait posé sa main sur mes lèvres, ce qu'elle a refait, mais cette fois-ci elle bloqua mes bras avec ces jambes, ça l'amusé, et la position lui donné plus de force et je faisais exprès de me débattre pour qu'elle soit plus ferme... Je ne peut pas dire combien de temps ça a durer mais cette entrave et ce geste a été pour moi comme une révélation...
Voilà, merci à ceux qui ont eu le courage de me lire, ça ma prit trois jour pour me décider à oser parler de ça... voilà j’attends vos commentaires sur cette histoire. Elle vous paraîtra niaise peut être mais si j'aime l’entrave et qu'on me fasse taire cela viens de là et mes questions sur ce que je suis ont commencé après cette aventure.
Merci à la communauté, si vous avez des questions peut être parce que je ne suis pas clair ou pour savoir autre chose je serais ravis d'y répondre. Je posterai peut être un peu plus sur moi une prochaine fois, en tout cas en parler me fait du bien car le monde juge trop sans vouloir comprendre...
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- Alors t'as trouvé un chouette pantalon ?
- Oui j'en ai deux ou trois à lui faire essayer on verra.
- Mais avec la veste du tailleur moi je dis qu'il serais bien mieux avec la jupe assortie...
- Oui mais c'est MA journée, c'est moi qui décide et je lui ai promis de rien faire de trop sexy et qu'on en restait au pantalon. Puis il a bien voulut que ce soit toi qui choisisse les chaussure, avec avec la veste et le chemisier il sera quand même très féminine.
- Il a bien voulut tu parle, il avait pas trop le choix tu crois qu'il serait rentré dans tes chaussures en 37, puis t'as même pas de talon haut. Il sera plus féminine que toi ça c'est sure...
- Non mais ho je m'habille comme je veux, je vois pas en quoi ça te regarde...
- Ça me regarde que quand on va toutes les deux draguer dans un bar à chaque fois personne ne nous approche parce que tous les mecs sont persuadés qu'on est un couple de lesbiennes...
* Bhen voila, de toute façon tous les mecs de la ville ont dut passer sous tes griffe, ça te fera un nouveau terrain de chasse si tu t'y mettais un peut...
- Ha parce que toi peut être que
- Et bhen peut être oui.. Et peut être que j'avais fais un autre journal intime au lycée parce que je savais que tu lisais le premier en douce tous les jours... Bon puis si on s'y remettais, aide moi à trouver une joli lingerie.
- Ha ! Super là j'ai ce qu'il faut !
- Et c'est repartis... Tu choisira ce que tu voudras demain, c’est ma journée et aide moi à retrouver mon ptit ensemble noir pin up, avec le soutif et la culotte haute satinée, tu va voir ça va la galber comme il faut et lui faire une taille de guêpe...
- Ouais, si on aime la lingerie de grand mère d'il y a 50 ans...
- T'y connais rien, Betty Page elle avait l'air d'une grand mère ? Pour toi on peut pas être sexy si on a plus de tissus qu'un de tes mini string...
- Bon, va pour le look Betty Page alors, mais demain tu verras ce que tu verras. T'as un porte jarretelle est des bas au moins ?
- Non on a dis un collant plutôt, puis sous le pantalon on verra pas les marque des jarretelle comme ça puis si il est plus à l'aise comme ça, je le comprend...
- Dis plutôt que t'en a mime pas...
- Ho mon dieu, je n'ai pas de porte jarretelle, comment puis prétendre être une femme sans porte jarretelle hein c'est ça que tu veux dire ?
- Mais non holala tu sais très bien que tu es une très belle femme et que j'aime beaucoup.
- Tu me dis ça comme ça, et c'est à cause de moi qu'on nous prend pour des lesbiennes tu dis...
- J'y peut rien, t'es trop choupinette tu me fais craquer.Et un body collant alors ? Ca ferais bien aussi avec une joli dentelle sus le chemisier non ?
- Hmmmm, ouais, tu vois que t'as de bonne idée quand tu veux. Et puis je lui ai promis un collant, j'ai pas précisé de quel sorte.
- Voila ça c'est la bonne attitude, pus hier c'était hier, ce que tu lui a dis ça compte pas vraiment, il a signer, aujourd'hui tu fais ce que tu veux de toute façon.
Je les entendais se chamailler sans arrêt depuis sous la douche. On était chez Jeanne, la petite pet sec un peut garçon manquée d'un mètre soixante dix avec des tous petits pied mais un poitrine on ne peut plus généreuse qui malgré son look ne laissait jamais aucun doute sur son sexe malgré son style vestimentaire plutôt masculin. L'autre copine avec son style de bimbo, c'était Alice. Presque aussi grande que moi, elle avait été athlète d'un très bon niveau pendant les étude et avait aussi fait un peut de mannequina, pour la mode, lingerie et "autre chose" d'assez mystérieux dont elles n'avaient pas encore parler devant moi. Je ne les connaissais que depuis deux jours mais je savais déjà beaucoup de choses sur elles, non pas que je soit d'un naturel curieux et indiscret, mais c'est mon amie Candice qui me les avait présentées, et vivre 5minute avec ces trois là réunis, c'est comme vivre un épisode de "Sex and the city" en live.
J'entendis Jeanne rentrer dans la salle de bain. A travers le rideau de douche, je voyais sa silhouette ramasser les seuls habits d'homme que j'avais, et déposés en l'énumérant tout ce qu'elle me laisserait en sortant, que je n'aurait d'autre choix que d'enfiler pour éviter de sortir nue de la salle de bain.
- Bon ma petite Cheyenne pour aujourd'hui je te laisse une culotte et un soutient gorge style vintage tu va voir c'est sexy et confortable, enfin toi ça va serrer un peut mais faut souffrir pour être belle. Avec un collant, mais un body collant et manche longue, tu va tout avoir couvert d'un jolie dentelle tu va être superbe. Tu met le soutif dessous et la culotte par dessus sinon tu pourrais pas l'enlever, pour tu sais quoi... Le body collant est ouvert à l'entrejambe pour sortir ton machin aussi tout est prévue.
- Non mais et le reste ?
- Enfile ça et rejoint nous dans la chambre, on est pas décidées pour le pantalon et la veste du tailleur tu va faire quelques essayage, puis faudra essayer les talons que t'as amener Alice, va falloir t'entrainer un peut elle t'as gattée évidement avec des talons vertigineux...
Je n'avait même pas eut le temps de m'imaginer les talons que je devrais porter, et marcher avec surtout, qu'avant de rétorquer quoi que ce soit, elle était sortie, me laissant seule dans la salle de bain, avec ma lingerie qui était tout ce que j'avais à me mettre avant de sortir. Dans quoi je m'étais embarquée, et à partir d'un contrat de rien du tout avec mon amie Candice qui m'avait fait signer un contrat pour poser avec les fringues de son ex qu'elle voulait revendre sur ebay en utilisant mes photos... Il avait fallut que ces deux là débarquent pour me faire signer des contrat aussi, contrat bien sur qui avec Candice n'avait pas lieu de préciser ce que je devrait porter, mais qu'elle détournèrent allègrement pour m'obliger à me faire faire une épilation totale le soir même, pendant qu'elles de leur cotés faisaient une partie de poker pour savoir qui allait faire valoir son contrat la première pour me posséder toute la journée. J'avais été transformée en mise de poker et elles m'ont gagnée toutes les trois dans l'ordre ainsi désigné... Et dés la première matinée sous le contrôle de Jeanne, je pris conscience que j’allai très vite devoir mettre ma pudeur de coté...
Et me voila dans la salle de bain de Jeanne, enfilant un soutiens gorge, puis le body collant, glissant de mes pieds le long de mes jambes fraichement épilés, puis remontant sur ma taille, le fente de l'entre-jambe se plaçant toute seule, la dentelle me caressant et libérant mon "petit truc en plus" en me donnant un frisson dans tout le corps. Puis j’enfilai les manches et fini de le remonter sur tout le corps. Je parcourus quelques fois tout le collant des pieds au buste afin de l'ajuster, puis juste pour sentir la caresse de la dentelle sur ma peau toute douce. Bien sur ce n'était pas la première fois que j'enfilais de la lingerie et des vêtement féminins. Beaucoup de petits garçons qui ont une grande sœur on essayer au moins une fois, beaucoup de jeunes homme avaient essayer au moins une fois à une soirée déguisé "pour déconner". Mais moi j'avais en plus toujours eut un look androgyne, un corps filiforme, les cheveux long, héritage de ma période grundge. Que je croyais. Mais maintenant que je réalisais que j'allais devoir sortir comme ça devant deux copines que je connaissais à peine, tout en continuant de caresser cette si douce matière qui couvrait presque tout mon corps sous prétexte d'ajustement, maintenant, je crois que je prenais enfin conscience, sans vouloir me l'avouer... que j'avais toujours eut ce coté féminin en moi... Sortant brusquement de ma rêverie, je saisie la culotte, l’enfilât rapidement et elle était vraiment petite ce qui me permis de plutôt bien dissimuler la bosse qui me trahirait à y regarder de prés, et sortie de la salle de bain sans même prendre le temps de me regarder dans le miroir pour éviter d'avoir encore plus le trac. Je franchis cette porte pour passer dans la chambre ou Jeanne et Alice m'attendaient d'un pas résolut et ferme, avec un grâce naturelle toute relative mais qui fit sortir du fond du cœur, et en cœur, un "waouw" des deux copines. Ce même "waouw" qui m’embarrassait et me flattait au plus haut point en même temps, scella aussi la nouvelle route que prenais mon destins à la croisée des chemins. Il devait existait un monde parallèle ou j'étais sortie de la salle de bain toute embarrassée et pataude et ou les copines se serait amusées à me travestir pendant les trois jour qui auraient suivie, on aurait fait des photos et pleins de souvenir en commun qu'on se serait évoqués pendant très longtemps et scellant notre amitié. Mais j'étais dans ce monde ci, maintenant, ou je suis sortie la tête haute en laissant aller la féminité que je refoulais depuis si longtemps, et ce "waouw" sortie en marquant la fin du jeu, la fin du travestissement, et les deux amies se regardant comme si elle pouvaient lire chacune les pensées de l'autre, comprirent qu'elle allait aujourd'hui me pousser à faire mon premier pas dans une véritable transition.
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Maîtresse,
Ma langue, mon anus, mes mains gardent le souvenir des très beaux moments que vous m'avez autorisé à vivre avec vous. Mon corps et mon cœur vibrent en espérant retrouver votre botte, votre voix, vos ordres qui claquent.
Exigez, ordonner, je veux être votre esclave dans la plus totale soumission, vous servir, être dressé encore.
Une semaine sans vous...vous me manquez déjà. Votre voix... si envoûtante , vos tenues... si esthétique, votre corps... si parfait, votre habileté à me dresser... tout mon corps et mon être vous réclame Maîtresse.
Je rêve... votre poupée noire qui s'agite entre vos seins, votre double qui m'observe, soumis à vos moindres caprices, à espérer vos punitions et humiliations, à espérer les récompenses que peut être vous m'accorderez.
J'attends avec inquiétude et bonheur votre réponse, en attendant d'être sous vos talons.
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Bonjour Maîtresse
je n'ai pas encore - depuis notre dernière séance- pris le temps de vous remercier pour le dressage auquel vous me soumettez.
Vous savez me faire découvrir la place qui est la mienne, - à vos pieds, le rôle qui est le mien - satisfaire entièrement sa maîtresse-, et le plaisir physique et intellectuel de vivre pour ses moments.
Sous vos talons aiguilles, ou votre fessier, à l'ombre de votre cravache et de tous les instruments de soumission que vous jugerez bon, je souhaite m'abandonner totalement à votre pouvoir de maîtresse.
Je mesure la chance que j'ai de pouvoir admirer votre beauté, de pouvoir accrocher mon regard à votre silhouette gainé de matières étourdissantes, la chance de pouvoir approcher ma langue de vos superbes tenues fétichistes.
Vous m'avez offert votre champagne et je mesure aussi cette chance.
J'espère me montrer à la hauteur de cette chance que vous m'offrez, pouvoir ne plus m'appartenir, je m'en remets à vous.
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18H00. Fin de Journée et retour à la Maison.
Les clés s’enfoncent dans la serrure et je pousse la porte. Dépose mes clés mais c’est un mot qui m’intrigue aussitôt. « Je suis en haut »
Je prend dés lors mon temps.
Ote ma veste et la range convenablement. Dépose le reste de mes affaires puis enfin me dirige à l’étage. L’escalier en bois averti mon approche et mes grincements se rapprochent de l’embrassure de porte.
Une légère obscurité offrant ce qu’il faut pour admirer un magnifique spectacle.
Elle se tient à genoux sur le lit. De dos et totalement offerte.
Mi nue, le rouge du dessous des talons et des coutures de la guêpière me marque en premier mais c’est cette cravate qui me plait davantage.
Elle vient masqué ses yeux, insufflant ainsi la curiosité de ce qu’il peut arrivé.
Un sourire illumine en tout cas mon visage.
En m’approchant davantage, Je devine aussi un sourire sur son visage. Elle sait que le spectacle me plait !
Je vérifie et resserre plus fermement cette cravate et sans un mot, pieds et mains finissent liés. En veillant à se qu’elle soit stabilisé sur ses genoux écartés, j’y susurre alors ces mots à l’oreille : « Aucun cris, ni soupirs ! Qu’importe les plaisirs ! »
Prenant un peu de recul et surtout tout mon temps, je profite alors pour admirer à nouveau ce qui m’est ainsi offert !
Des jambes en résilles à cette poitrine fièrement relevée, son sourire dessiné par le rouge à lèvre est sublime.
Certes, je me prive des étincelles de son regard mais sa fossette communique tout autant !
Je commence donc par faire parcourir mon souffle sur sa peau. Le frisson qui la parcourt aussitôt fait réagir ce corps rempli de vie. Mon excitation passe d’un cran !
Vraisemblablement, le partage a lieu.
Mes mains glissent sur les bas avant de remonter jusqu à son cou vierge. Son pouls et sa respiration viennent eux aussi de monter d’un cran ! Aucun soupir !
Je libère alors la poitrine pour venir croquer dans ce fruit délicieux ! Rond et ferme, c’est l’extrémité qui s’endurcit plus rapidement qu’a l’accoutume entre mes dents !
La mise en bouche qui se déguste, j’en profite ensuite pour plonger plus bas ma main. Elle rencontre alors son intimité… chaude et humide.
Rien ne semble lui déplaire… Tout au contraire !!!
Son clito semble aussi se durcir de manière précoce face à ces caresses. Mes mouvements s’accélèrent donc, et son corps répond aux désirs recherchés.
Je commence à voir ses lèvres qui se pincent !
Son corps qui se dandine légèrement.
Le plaisir qui monte et mon insistance qui s accroît encore.
Mais voila que dans une bouche crispé résonne totalement étouffé, un très léger « Hmmmmm ».
Je cesse.
Observe son corps demandeur un instant, y embrasse son cou et ôte en même temps ce bandeau de fortune.
Se libère un regard rempli de désir !!!
Disposé et dans l’attente de l’explosion, Elle désire une suite mais m’écoute y dire :
« Reste dans cette tenue, c’est pas dit que je ne te mange pas comme dessert ! »
Et en lui ôtant ses liens : « Leçon n° 1 : La Frustration »
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Le consentement doit être au coeur de la relation vanille, sm, D/s ou plus largement BDSM.
La présomption de consentement des époux à l'acte sexuel ne vaut que jusqu'à preuve du contraire. La loi du 4 avril 2006, qui a entériné la position jurisprudentielle, reconnaît le viol entre époux.
Le consentement peut être considéré comme vicié, tant au civil (par ex art 1109) qu’au pénal. Pour ne pas être qualifié de la sorte, le consentement doit être libre, éclairé et exprès.
Le non-consentement sera considéré par exemple lorsqu’une personne tait sa séropositivité, falsifie ses résultats de tests VIH ou allègue une allergie au latex pour que leurs partenaires consentent, à entretenir des relations sexuelles non protégées. L'auteur trompe la victime sur la réalité de la situation. Trompée, elle acceptera les relations sexuelles mais son consentement sera inopérant parce que non éclairé.
Le consentement est vicié dès lors qu’il est établi que la victime a accepté de participer à des relations par peur.
Plus largement, le délit est constitué, lorsqu’une personne cherche, par quelque moyen ou subterfuge que ce soit, à obtenir le consentement de la victime qui l'aurait refusé si elle avait été mieux éclairée. C’est une atteinte à la liberté sexuelle.
Attention en BDSM, même sous contrat, l'indifférence du droit pénal au consentement de la victime est un principe établi. «La violence […] à caractère sadomasochiste ne pourrait être légitimée par le consentement de la victime» (Cass. crim., 2 déc. 2009, n° 09-82.447)
Il en résulte que le consentement de la victime est écarté par le juge répressif et permet de condamner l’auteur, y compris dans le cadre de relation sadomasochiste. Certains adeptes pourraient s’en offusquer mais force est de constater que cela participe à éviter certains abus.
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Je sais il faudrait que je continue mais disons que voilà... J'ai déjà fait ça.
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Pour Votre anniversaire
Abandon avec Vous
Bonheur près de Vous
Cravache sur ma peau
Deux anneaux
Et là les souvenirs remontent
Fouet qui me fascine
Grandir sans honte
Hommage à Vous Mon Maître
Inoubliable Notre rencontre
Joie à vous revoir
Kaléidoscope de couleurs sur ma chair
La confiance mutuelle entre nous
M'abandonner avec respect
Notre sincérité sur nos vies
Oublier mes peurs
Patience et partage
Quatre années à Vos cotés
Respect de notre belle relation
Signature sur ma peau
Toujours Vous dans mon coeur
Unique, précieux pour moi Vous êtes.
Vous et après Vous aucun Maître
Wagons d'émotions
Xylographie gravée dans mon coeur
Y a Vous à jamais à toujours
Zen attitude
le 25 juin 2014
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Je suis debout. Vous n'êtes encore qu'une voix. La voix me demande de retirer mes vêtements. L'ordre est donné d'une voix sans émotion. Je me déshabille. Debout, les bras derrière le dos, j'attends. A la voix se substitue une main puis deux. Vous m'examinez lentement. Je prends conscience que je suis nu. Vous me passez au cou un collier qui marquera ma position de soumis. Vous me faites mettre à genoux. Vous me donnez votre main à embrasser en signe de soumission et de la confiance que vous me permettez de vous accorder. La confiance et le respect mutuels sont en effet nécessaires. A genoux, les yeux baissés, j'entends votre voix me donner le nom qui sera le mien pour cette séance. Peut-être l'avez-vous mûrement réfléchi avant cette séance ? Peut-être l'avez-vous choisi tandis que je me déshabillais ou que vous m'examiniez ? Est-il neutre ? Est-il humiliant ? Sans doute me soulevez-vous le menton. J'ai les yeux baissés. Peut-être me demandez vous de croiser votre regard pour observer l'effet que produit ce nom en moi. Vous me demandez de le répéter ce nom qui est désormais le mien.
Par ce nom vous me demandez de me relever avant de vous suivre. Je m'exécute non sans acquiescer et vous donner le seul nom qui est le vôtre. Si j'y manque je serai fessé. Cinq coups sur chaque fesse. Le double en cas de récidive et ainsi de suite. Cinq coups supplémentaires pour chaque ordre mal exécuté.
Vous me demandez de vous déshabiller. Vous pénétrez dans la douche. Vous me demandez de vous laver. Il me faut surmonter ma timidité et conserver un geste sûr. Poser mes mains sur votre corps est un privilège et non un dû, contrairement à vous. Je suis le soumis, je dois garder ma place sous votre empire. Vous me demandez de vous sécher avec la langue.
Me suis-je bien acquitté de vos ordres ? A genoux, les yeux baissés j'attends votre verdict. Peut-être m'autorisez-vous à me masturber ? Jouir ou ne pas jouir ? Vous seul en avez la décision. Peut-être ai-je manqué à mes taches ? Je me prépare à recevoir la fessée.
A quatre pattes, je suis en attente. Vous observez, vous examinez, vous commentez. Vous m'ôtez le collier. Vous me tendez votre main à embrasser. Je vous remercie une dernière fois sous le nom que vous m'aviez donné.
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Voila plus de 10 ans que nos vies se suivent...
Nos chemins faisant parfois face à des impasses.
Mais voila à ce jour ou nous sommes!
Ensemble!
Nous traçons Notre route et allons de l'avant!
Surmontant chacun des obstacles qui se glissent devant nous!
L'Amour pour déplacer des montagnes!
Mes rêves sont ainsi les espoirs qui se cachent au loin...
Et je dois avouer que ...
Ce que je vis avec toi!
Au delà de tous ces espoirs!
C'est encore plus merveilleux!!!
Il n'est rien à redire!
Tu es mon Amie!
Des plus intimes!
Me connais... avec mes défauts!
M'accepte et m'honore de ta présence à mes cotés!
Ravivant Amour et Passion!
Les liens se sont tissés et voila que nos chemins ne peuvent être l'un sans l'autre!
Parcourir ainsi ma vie sans Toi à mes cotés est confirmé comme inconcevable!
Merci à Toi!
Mon Amour!
http://www.youtube.com/watch?v=5h3vPPgEk-4
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En pensant à Vous Mon amour de Maître
Ne trouvant pas le sommeil, j'ai dû me lever, pour me faire jouir...
Si mal au ventre et cette chaleur qui envahissait mon bas ventre
Alors, voilà ce que j'ai fait et je vous l'écris ici
Alanguie sur son lit, elle pense à lui
Lui si loin, elle lointaine et si proche
Pense-t-il à elle, elle pense à lui
A une histoire jolie, à un respect mutuel
Dire les mots, ne pas mentir, ne pas travestir
Elle est mouillée de désir pour lui
Les jambes écartées, les cuisses relevées
Impudique, je vous offre mon intimité
Le regard brulant de fièvre
Elle sent une douce chaleur l'envahir
Elle aimerait jouir, elle écarte doucement les lèvres de son intimité
Elle caresse ses jolies lèvres, elle sent le désir monter
Elle ne veut pas jouir tout de suite
Elle aime attendre et reculer au possible la jouissance
Elle aime contrôler si elle le peut le cri que lui arrache l'ultime jouissance
De ses doigts agiles et fins, elle tisse des arabesques sur son coquillage lisse
Il s'ouvre et son bouton de rose palpite
Elle mouille bien, elle aime se faire jouir doucement
Elle ne précipite jamais ses gestes, ils sont précis
Souvent les mêmes, répétés quantité de fois
Elle a très envie de jouir, elle pense à son regard
Elle devine son émoi, elle est mouillée
Le désir est latent, elle ne s'agite pas, elle fait doucement
Des petits va-et-viens sur son Mont de Vénus
Des petites vagues sur ses lèvres qui s'ouvrent
Elle a un peu chaud, elle aimerait jouir ; pas encore se dit-elle
Elle pense qu'il la regarde, la désire
Et son envie de jouir devient plus précise
Elle a faim de lui, elle écarte ses lèvres encore plus
Elle fait ressortir son clitoris, son bouton de rose
Elle lèche ses doigts, elle se caresse avec sensualité
Que c'est bon de la voir ainsi
Elle ferme les yeux et se délecte de son odeur intime
De son nectar, de son miel
Son clitoris palpite, elle a envie de jouir, elle continue ses arabesques
Ses doigts entrent dans son intimité
Ils se font plus précis, plus fiévreux
Elle sent que la chaleur imprègne son bas ventre
Elle aime sentir son bouton glissé sous ses doigts
Il roule et se faufile
Elle va jouir, elle le sent, elle se tord et cela éclate comme un feu d'artifice
Elle voit une étoile bleue
Enfin repue, elle reste allongée, fatiguée
Un bien-être l'a satisfaite
J'ai osé faire cela parce que je le voulais, je me sentais disons en manque surement
Ai-je bien fait ? Ai-je eu tort, voilà ma jouissance d'hier et je vous l'écris ici
Apprécierez vous ? Serez vous mécontent ? Serez vous 'satisfait' ? Serez vous choqué ?
Aucune idée, je vous livre mes pensées et le désir que j'ai eu hier soir
En pensant à Vous bien sur
Mots de Vous Mon Maître
Merci pour ce long témoignage de confiance dans lequel tu me livres l'intimité de tes plaisirs. Je ne suis aucunement choqué bien au contraire. Je t'imagine et l'envie monte en moi. J'aime qu'une soumise se fasse jouir devant situation à la fois d'humiliation et d'offrande. Quel style d'écriture, une merveille et une grande poésie. Les mots justes sans aucune vulgarité. J'espère que tu pourras conserver ce texte, c'est remarquable.
Le 7 juin 2010
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Elle se défie du temps et des distances
Parfois improbable se moque des différences
Elle mélange les générations et les cultures
Elle est généreuse, tolérante par nature
Elle se conjugue à l'essentiel, intemporelle
Se riant des caractères, elle est universelle
Offerte libéralement elle se montre clémente
Acceptant même alors que l'on se mente
Mais de temps à autre fragile se brise les ailes
Laissant des cicatrices aux coeurs fidèles
Elle n'est pas rare, mais une précieuse alliée
Elle se prénomme dans toutes les langues : amitié
Petit clin d'oeil à Certaines Personnes pour leur soutien divers.
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Il est des moments dans la vie qui vous permettent de faire de belles rencontres…
Parfois même de très belles et surtout sans s’en rendre compte.
Un dicton dit que c’est dans les moments de difficultés que se révèlent les vrais amis…
Néanmoins, il est possible qu’il arrive d’en trouver de nouveaux dans ces mêmes instants…
Qui eux ne jugent, ni votre passé… ni votre présent.
Il y a des personnes qui ont cette profonde gentillesse …
Tels des anges voulant donner toutes leurs de tendresses.
Tu en fais parti …
Tu es entrée dans ma vie !
Tu as sue m’écouter et me comprendre…
Sans même me connaitre, m’as donné ton amitié, sans jamais rien attendre !
Des échanges sans complexes et sans méfiance…
Te parlant de mes peurs, mes craintes et mes souffrances.
Tu m’as écouté, rassuré et cajolé…
Sans même m’avoir une seule fois rencontré.
Apres tant de messages partagés…
Vient enfin le moment de se rendre à la réalité.
Pour moi, se fis comme une évidence …
Te voyant telle une amie d’enfance.
Ce jour la nos destins se sont liés…
Et de ces instants s’est créée une belle histoire d’amitié.
Des heures de partages et de discutions…
Sans aucun tabou, ni aucune appréhension.
Toutes deux sans complexe, nous nous sommes livrées…
Sur nos vie, nos douleurs et notre passé.
Une soirée complète à se redécouvrir…
Nul besoin de se cacher ou même de mentir.
Se mettant à nue sans se poser de questions…
Sachant qu’aucun jugement n’existe dans cette relation.
Cette soirée restera à jamais gravée dans mes pensées…
Car grâce à elle, un énorme lien entre nous s’est confirmé.
Aujourd’hui, tu résides à jamais dans mon cœur…
Et en toi, j’ai pue trouver l’aura d’une grande sœur.
J ai cette envie de te savoir heureuse et épanouie…
Ce dont je ne doute pas quand je vois l’homme qui partage ta vie.
Tu es une femme extra ordinaire…
Et d’être ton amie, j’en suis énormément fière.
A très vite pour de nouvelles aventures…
C est pour nos maîtres que cela va être dur !
Car deux chipies qui ce sont retrouvée…
Du fil à retordre cela leurs promet.
A toi ma belle Hestia !!!
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Le ciel charrie de lourds nuages noirs. Violets. Quelques taches blafardes
font de nos baïonnettes, des lames de fusion mortelles. L'air sent la pluie,
le sol poussiéreux attend son du, elle a soif d'eau, elle veut boire, elle
a soif. Espérons que notre sang ne la saturera pas...
Un rai de soleil inonde soudainement mon visage, glisse sur mon bras gauche
valide, parcours un chemin hasardeux sur le sol, et s'arrête sur une ardoise
noire. Il semble m'inviter à le suivre. Je regarde en face de moi l’ennemi
est là, il attend tapi comme moi dans la poussière. L'ordre de s'entre-tuer.
Je veux ce soleil, je rampe, mes armes me gêne, je les pose, je rampe, mes
souliers m'alourdissent, je les ôte, je rampe, mon treillis me brûle, je me
déshabille en me tortillant au sol, je rampe, mes chaussettes me gratte, je
rampe, mon slip me serre, je rampe . Nu j'arrive à l'ardoise. Ma main se pose
sur la pierre chauffé par ce maigre rayon. La douceur de la lumière irise ma
main la pierre grandi sensiblement. Elle s'allonge, illuminé de soleil, je rampe
sur l'ardoise noire. Mon corps est maintenant en entier sur la pierre qui
continue de grandir. Je continue mon périple inondé de lumière mon corps continue
sa reptation.
Je suis absolument sur de devoir suivre ce chemin de pierre.
L'odeur se modifie aussi. Des parfums de fleurs furtivement enveloppent mes sens.
Je me retourne, effaré je ne vois plus le champs de bataille. La pierre s'est
transformé en chemin noir au dessus des nuages.
Hésitant je me dresse, l'ardoise est stable, je tient debout sans problème. Je
marche en suivant cette allée. ma main droite blessée effleure les nues qui
virevolte autour de moi. L'odeur de fleurs vient de là.
Je suis seul ici. Plus un bruit, mais un silence vivifiant qui me pousse soudain
à sourire. À respirer à plein poumon. Je sais que je dois continuer à avancer.
Un panneau incongru planté dans l'ardoise me signale que je traverse le 45° parallèle.
Plus loin la route de pierre se fini sur un mur de bambous. La brise les agitent
doucement. deux grosses larmes perlent au coin de mes yeux.
Madame...
vous m'avez guidé jusqu'à vous.
Je renifle un peu et m'essuie avec mon bras. Je cherche l'île des yeux. J’attends...
une main sors des nuages, et prends doucement mon bras blessé , mais je n'ai plus mal.
Je ferme les yeux, la main me guide, je flotte dans les nuages. Vos lèvres se posent
sur les miennes.
Frédéric?
Oui Madame.
Êtes vous avec moi?
Oui Madame.
Bien Frédéric...
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Ce texte relate et fait les éloges de cette drogue dont je ne peux me passer.
Je pense que tout le monde a un jour goutté ou était addicte à une substance quelque en soit la nature.
Certains vous dirons ne pas pouvoir se passer de la cigarette…
Vous ventant les mérites de son apaisement lorsque les nerfs sont à vifs et que le sang boue dans leur veines.
D’autres aimeront la sensation d’ivresse que l’alcool leurs apportent…
Cette sensation de légèreté, de déshinibition qui apparaît lorsque les degrés montent.
Puis vous avez les personnes dont seule la drogue dure leur apportent la sérénité…
Elles n’ont d’autre recours que cette poudre blanche ou cette aiguille pour pouvoir échapper à leur quotidien trop pénible.
Ma drogue est tout autre…
Mais mon addiction tout aussi forte!
Lorsque je ne l’ai pas à mes cotés... le manque se créait…
La sensation de manque alors s'installe…
Mes pensées, mes rêves ou ma raison…
Tout se bouscule et rien ne compte plus que d’avoir ma dose.
Mon esprit n’a qu’une obsession... le retrouver.
Pouvoir m’enivrer de son parfum ou de sa voie…
Me délecter de ses baisers et sa tendresse.
Cela en devient une hantise…
Ne faire que d’y penser à chaque heure et chaque seconde.
Je suis alors prête à tout pour ressentir à nouveau cette ivresse des sens…
Le retrouver est alors pour moi ma seule obsession.
Pouvoir me délecter à nouveau et enivrer mes sens à jamais…
Je suis prête à tout endurer, accepter ou changer.
Aucun remède ne peut combler se manque…
Il n’y a que lui qui puisse apaiser cette souffrance.
Une personne qui m’est cher a écrit un jour un texte qui se nomme « Histoire d’addiction »
Il est tout simplement ma drogue…
Voici Mon histoire...
Mon addiction.
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J'investis votre lit, audacieuse, câline
Un bandeau signe ma soumission
Le tissu en dentelle qui orne ma poitrine
S'agite au rythme de mon excitation
Dans ma position qui n'a plus rien d'humaine
Je patiente en attendant votre venue
Je vous espère tendre, vous me voulez chienne
Consentante et soumise, sans retenue
Pour sceller notre union intense et sincère
J'ai attaché votre collier à mon cou
Bien loin de m'avilir cet objet me rend fière
Et libre d'assouvir vos désirs sous votre joug
Je vous sens arriver par le bois qui craquelle
Votre main se fait douce pour me caresser
Sous vos doigts curieux, je me cambre, chancelle
Gémissant quand votre paume vient me fesser.
Entre mes cuisses offertes, vous vous posez cavalier
Je me cabre et me cambre, je suis votre destrier
Vous me tournez et cravachez ma croupe découverte
J'exprime mon bonheur de vous être ainsi offerte
L'échiquier de nos peaux conservera l'empreinte
De ce moment passé de notre folle étreinte
Je vous serai fidèle le temps de ma vie
Me jouant des années et du temps qui nous fuit
Le 2 juin 2014
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Pour chaque poison, il y a un antidote…
Parfois, le remède, se trouve dans le venin en lui-même.
Il est mon poison,
Mes souffrances,
Mes peurs,
Mes peines,
Il est mon antidote,
Ma raison d’être,
Mon réconfort,
Ma joie.
Il est tout à la fois,
La douleur du passé,
L’espoir du futur,
Les blessures et les doutes,
L’apaisement et la confiance.
Il est mon Maître
Mon ami,
Mon amant,
Mon compagnon.
Pour Lui, je ferais tout,
Donnerai ma vie,
Donnerai mon corps,
Donnerai mon être,
Parfois, c’est dans la douleur,
Que l’on se rend compte du Bonheur.
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Aujourd'hui j'ai pris ma matinée sans le prévenir alors qu'il a pris un jour de repos.
Il était étonné de me voir revenir alors qu'il était tout tranquillement installé devant son ordinateur.
Je lui ai ordonné d'aller se laver bien en profondeur et de revenir habillé en pute. Il a raâé mais il s'est exécuté Smile
Je lui ais mis son collier cadenassé et j'ai gardé la clé avec moi pour la journée (= pas de sortie pour lui aujourd'hui Smile
Je lui ai parlé comme on parle à une merde, je l'ai corrigé à la cravache et je l'ai longuement enculé, en lui faisant dire à voix bien haute qu'il était une grosse salope qui aimait se faire enculer par des grosses bites bien dures, ce qui est vrai :D
Au moment de partir à mon travail, ma salope m'a accompagnée jusqu'à la porte de l'appart et quand j'ai ouvert, la lumière du palier était allumée! Quelqu'un est donc venu d'un autre étage et a allumé car il n'y a que nous sur notre palier. Peut-être à cause du bruit produit par les claques et la cravache? Alors cette personne aurait entendu ma pute dire ce qu'elle était sous mes coups de gros sextoy?... Inquiétant pour lui... mais terriblement excitant pour moi.
Bref, je l'ai insulté et giflé en lui ordonnant de faire le ménage à fond pour son jour de repos et en se godant fréquemment (photos à l'appui) et avec interdiction de toucher à mon toy (sa queue).
Il a toutefois le droit de jouir mais uniquement par le cul (et oui ça lui arrive :D) mais avec ordre de se filmer jusqu'au moment où il laperait son foutre.
Je suis partie au travail Smile
Vivement ce soir qu'il me serve de gode et me donne du plaisir...
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Tu es entrée dans ma vie, au moment où je ne m'y attendais pas...
Des envies qui se croisent et se rejoignent.
Entre nous la franchise, rien de dissimulé ou de caché.
Même pas les échéances inévitables que nous connaissons.
Cette même perception du BDSM qui nous permet de vivre une relation si profonde et si complice.
Tes mails m'ont touché ainsi que tes textes quand tu y mets dedans de la poésie. J'ai beaucoup aimé ta manière de te confier, de livrer tes émotions, de faire ressentir tes sentiments comme jamais encore, je n'avais pas pu entrevoir.
Ces échanges font partie de notre corrélation et de la découverte pas à pas.
Il est rare de rencontrer des soumises qui soient aussi inspirées dans l'écriture. Non seulement tu écris très bien, mais tu exprimes tes désirs que j'ai pu satisfaire ou non en fonction des miens, ainsi que tes émotions et cela m'a aidé pour te faire progresser, te révéler.
Au début, j'ai deviné en toi beaucoup de craintes ou de peur, puis tu t'es sentie à l'aise, rassurée, confiante et tu t'es abandonnée.
Je t'ai découverte, spontanée, respectueuse et obéissante, prête à endurer tous les sévices qu'il me fut satisfait de t'infliger, libre d'y exprimer ta douleur en les acceptant jusqu'au bout.
Tes beaux yeux bleus et ton joli sourire, font que je les garde gravé en moi.
Ta soumission, ton dévouement, ton corps offert, prêt à subir et à se donner, comment oublier ?
Notre entente faite de sincérité, de complicité et de respect ne pouvait que nous amenez à ouvrir nos coeurs.
Tu es une personne exceptionnelle et unique et bien que l'échéance de mars soit arrivée, tu restes à jamais ma seule, unique et dernière soumise dans le profond respect de notre relation.
Quatre ans passés ensemble dans cette complicité, cette évidence et le lien fort Maître/soumise.
Pendant toute cette période tu as été mon soleil, celle qui m'apportait à la fois écoute, compréhension et plaisir. Nous n'avons eu que de bons moments, nous avons découvert ensemble des lieux passionnants, des personnes, vécu de très belles et fortes émotions. Nous restons liés et c'est très important.
Une page se tourne, une nouvelle relation commence, sur des bases différentes, mais pourquoi serait elle moins belle que la précédente ?
Sache que tu as énormément compté pour moi et que notre relation reste sincère et solide.
28 avril 2014
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Ce soir, comme tant d'autres, nous nous étions cherché n'attendions que cela. Le temps de faire ce que nous avons à faire - nos emplois du temps de la journée sont chargés, et décalés -, et nous nous installons. Un sac ou 2 sont sortis, les cordes sont à portée de main, le collier est ici, les entraves sont prêtes.
Le cliquetis des attaches tintent notre soirée, elles sont dans mes mains, mais nous profitons d'un moment de calme et de tendresse.
Petit à petit, je te sens de détendre, ton corps, chaud, s'abandonne avant l'heure. Puis, ta respiration change. Elle prend le rythme que je connais trés bien. Elle est difficilement descriptible tellement elle est personnelle et limite intime. Cette respiration est celle de ma soumise et fiancée qui part pour un voyage; un voyage particulier qu'on fait tous les soirs vers un pays de sérénité et de rêves.
Le collier retourne dans son sac, les cordes y resteront.
Ce voyage de sensations fortes ne sera pas pour ce soir; mais qu'importe. Cet autre voyage, blottit dans mes bras est une autre merveille.
Ton Maitre veille sur ton sommeil ; parcourt ce Monde féérique et de sérénité, ma soumise; tu es en sécurité.
Bon voyage, mon Amour, je t'aime
P.S. les cordes ne sont jamais loin, ce n'est que partie remise
P.S2. le martinet sera de sortie pour le prochain film qu'on regardera dans le lit : ca te permettra de regarder au moins la moitié
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suite à la demande de Madame je vous livre mon ressenti de notre dernier week-end.
Carnet de voyages,
l'au revoir.
L'île quitte doucement son attache. le continent rapetisse lentement. L'eau clapote sur les plages de sables colorées. Au port d'attache, la brise plie les tiges de bambous, les feuilles vertement fraîches tournoient dans la lumière sépia.
J'ai attendu, la poitrine gonflé d'espoir, le ventre serré d'angoisse, dans ma main, un SMS éclate, brisant mon impuissance.
je suis là.
J'ai attendu veillant sur votre sommeil. En nettoyant sans bruit, ma douleur.
L'écoute de votre silence me rassure. Mon corps froid s'anime d'une joie brûlante au bruit de votre réveil.
Vos ongles s'accrochent à mon âme, en rayant ma peau, elle chauffe votre corps. Il vibre au point de tremper vos doigts qui pénètre ma bouche. Le goût de votre plaisir est doux, nectar précieux il s'incruste au plus profond de mon cerveau.
La nuit et le jour se confondent sur cette île. Parfois se mélangent donnant ou prenant, en se moquant de nous. L'océan qui nous entoure, est multicolore et les heures avancent ou reculent à leur gré.
Sur le continent maintenant perdu de vue. Le vent plie des tiges de bambous et les feuilles vertement fraîches s'agitent sous le ciel bleu.
La découverte.
En longeant les plages de l'île qui s'étaient faites bleues pour l'occasion, nous découvrons un coteau illuminé de soleil. Un coteau herbeux parsemé de prunelliers fleuris. L'île pourtant déserte, se modifie suivant vos désirs, et il se peut que quelques promeneurs égarés viennent à notre rencontre.
Votre interrogation s’efface. Le premier claquement est parfait, le deuxième se perd quelque part dans la chair. L'erreur est vite comprise. A ce corps recevant vous donnez votre joie. Que cette bouche gémit sous votre rire moqueur, donne à votre bras la puissance idéale à votre bras. Votre main prolongé de la cravache fait se tortiller votre serviteur. Ses fesses tendues vers vous. Il apprend au son de votre voix ses postures d'humiliation. Sa chair rougie, le souffle haletant, est le fil de l'apprentissage.
Artiste peintre, en fond blanc vous zébrez de rouge, votre modèle.
En souriant, vous reconnaissez toutefois que votre serviteur à besoin d'apprendre pour encore mieux vous servir. Si son corps se tortille bien sous vos caresses badines, vous déplorez sa faiblesse à les encaisser.
Mais il vous rassure et promet de s'endurcir. Quitte à pleurer dans vos bras. Il sera un objet de plaisir pour vous Madame.
Sa peau douce attire vos caresses, trois points noirs incrusté dans ses pores vous gêne. Vous aimez enlevez ses choses là. Votre soumis est heureux que son corps soit un terrain de jeux pour vous.
Nue, devant l'océan jaune sous le soleil bleu, votre corps se bruni un peu.
Votre serviteur le corps brûlant de vos attentions, admire votre beauté et nettoie les gouttes d'urine laissé sur vos jambes. Récompense, bonheur de garder un peu de vous en moi.
Gravure.
L'océan révèle une infinie beauté aujourd'hui. Dans les tons orange nuancé selon les courants, l'orage gronde en venant vers nous. Nous longeons une autre plage au sable fin et vert, parsemé de coquillage multicolore. Un, particulièrement pointu attire votre attention. Vous le prenez il est fin, dur, et transparent. Il part en spirale pour finir en pointe. Vous le gardez Madame, déjà une utilisation se dessine dans votre esprit.
Nous rentrons.
Frédéric?
Oui Madame?
Déshabillez vous s'il vous plaît.
Je m’exécute.
Allongez vous sur le dos.
Je m'allonge.
Fermez les yeux Frédéric. Et mettez vos mains dans votre dos.
Oui Madame.
Vos doigts caressent mes mamelons, mon souffle se fait court. Vous les emprisonnez entre vos doigts et les tirez ou les tournez. La douleur est instantanée, je gémis, mon corps se tord.
Voyons Frédéric! Dites vous en léchant mes tétons. Vous n'aimez pas mes coups de langues?
Si Madame.
Alors vous reprenez la tortures de mes seins. Alternant caresses, étirements, langues, pincements. Je crie un peu, je gémis beaucoup,je me donne passionnément, je me tord à la folie, je ne respire pas du tout.
Sur mes seins rouges vous frottez vos mains. Roulant des pointes qui ont doublé de volume.
vous m'excitez Frédéric. Vos doigts force ma bouche. Ils sont trempé de votre plaisir. Cadeau Frédéric!
Mearcoui Badame!
Vous vous éloignez un moment. J'essaie de reprendre mon souffle.
J'entends la brise dans les feuillages, douce et langoureuses.
Vous vous asseyez sur mon corps, vous m'encerclez de vos magnifiques jambes. Prisonnier. Vos mains, vos doigts caressent lentement mon torse.
Je vais vous faire mal Frédéric.
…
Le voulez vous?
Oui Madame.
Très bien, vous m'excitez quand vous gémissez Frédéric.
Un objet pointu se pose sur mon torse, j'essaie de suivre sa trajectoire, mais la douleur est intense. Je bande. Contre les fesses de Madame. Pendant que la pointe trace des sillons sur ma peau qui brûle de plus en plus. Je bande. Sous vos fesses, Madame. Mes yeux fermés se mouillent. Vous tracez inlassablement. Vos soupirs de joie, sont tuteur de mon plaisir.
respirez Frédéric.
Je respire, du moins j'essaie.
Allongez vous sur le sol.
J'ouvre les yeux, et m'allonge. Mes bras me font mal d'être resté si longtemps dans le dos.
Vous vous mettez nue, votre pied s'amuse avec mon sexe raide.
c'est très bien Frédéric! Votre queue est très belle. Dressée pour sa dominante. Je vais vous récompenser. Vous l'avez mérité. Vous avez été courageux.
Merci Madame. En murmurant la bouche sèche.
Debout au-dessus de mon corps vous urinez.
Au bout de quelques secondes mes blessures me brûlent.
Merci Madame.
La lumière bleue du soleil inonde les pièces. l'océan c'est calmé l'orage est finalement passé, sans que je l'entende. L'eau est calme d'un joli jaune, les grand acacias frissonnent sous la brise. Je fume une cigarette de tabac oriental.
un peu de botanique.
Nous marchons sur le chemin bordés d'arbres. Il est étroit. Je vous suit. Mon regard se pose sur vos fesses et ne les quittent plus. Le mouvement doux et nonchalant exprime une danse érotique qui éveille mes sens.
Le sentier s'élargit sur une petite clairière. Des touffes d'orties sont là. Elles ont poussé pour vous.
Frédéric?
Oui Madame?
Relevez votre tee shirt.
Oui Madame.
Je relève mon vêtement, vous le passez sur ma tête. Je suis aveugle. Vous triturez mes tétons endoloris de la veille. Ils sont sensibles, et gonflent de plaisir instantanément. Vous vérifier longuement si cela gonfle aussi ma queue nue sous mon pantalon. Satisfaite vous serrez très fort en tenant ma nuque d'une main ferme. Je vous appartient.
L'envie de souffrir pour vous est forte car je sais que vous prendrez du plaisir. Que vous serez heureuse.
Je vous entend vous éloigner, faire votre cueillette.
Vous caressez mes seins au feuilles d'orties.
Vous tournez lentement autour des pointes érigées.
Vous écrasez les feuilles doucement les feuilles sur ma peau.
Vous contemplez votre œuvre.
Pas assez.
Vous recommencez.
Je bande comme un fou. Je voudrais que vous baissiez mon pantalon, que vous m'attachiez à un tronc, les fesses tendues vers vous, ma posture cambrés en attente. J'aimerais sentir les orties fouetter ma chair, piquer ma peau, j'aimerais hurler.
Mes seins me brûlent horriblement. Vous me l'avez dit les travailler est un plaisir pour vous et je dois m'habituer.
Nous reprenons notre promenade. Le sentier serpente. Les oiseaux chantent.
Mes seins fourmillent. Vos fesses dansent. Les miennes sont vierges, c'est peut être mieux car le tissus sur mes mamelons me fait mal. Et je bande...
le retour.
Assis sur la plage de sable bleu, je contemple le lever du soleil. L'océan, il me semble, est moins orange. À l'horizon une barre bleutée, se profile. Étrange. Perdue dans mon ignorance, je ne vous ai pas entendu arriver.
Un bandeau noir obscurci mes yeux, vos mains pèsent sur mes épaules. Je m'allonge. Aveugle je ne comprend pas tous les bruits qui m'entourent. Vous vous installez à califourchon sur mon pubis vous êtes nue. Moi aussi, bien sur, mais c'est mon état. Vous tirez mes bras derrière ma tête.
Vous prenez à pleine mains la peau de mon corps. Vous tirez et tordez, vous m'adressez en chuchotant des paroles d'apaisement, tandis que vous vous acharnez sur mes seins, mon ventre, l'intérieur de mes cuisses. Mon sexe enfle sous vos fesses. Comprimé, il grossit avec douleur. Vous sentez le sang affluer dans cette verge. Et vous pesez encore plus lourd pour stopper cette mutinerie.
Le calme se fait soudain. Puis une goutte me surprend, chaude, puis une autre et encore... a chaque goutte je sursaute, je commence à trembler, je suis bien en votre pouvoir. Vous le savez et vous arrêtez la cire. J'aurais aimé que ces gouttes brûlantes me surprennent encore plus loin. Mais je ne suis pas là uniquement pour mon plaisir. Vous vous levez puis vous collez votre sexe sur mon visage. Accroché des deux mains aux tétons de votre soumis, vous recevez ses cris a l'intérieur de votre vagin.
Étendu sur la plage, haletant, je reprend ma respiration. Débarrassé du bandeau, je vois l'horizon barré du continent qui se rapproche. Je suis presque sur que des bambous plient dans le vent, et que des feuilles vertement fraîches dansent avec le soleil. Assise à coté de moi vous contemplez l'horizon. Vous murmurez «merci Frédéric».
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La vie de tous les jours est faite de routines, de moments pénibles, agréables, inoubliables, ou inutiles ...
Elle est aussi faite de moments privilégiés qu'un couple vanille vit tous les jours quand chacun des fiancés changent de role. L'un devient le Dominant et l'autre la soumise.
Même si cette répartition peut déteindre au grand jour, elle est marquée comme il se doit lors de ces moments privilégiés.
Mais quand ces moments-là deviennent aussi précieux que de l'Or, nous en profitons à fond, nous les attendons avec impatience ...Et nous en reparlons encore par la suite
Ils sont précieux par leur intensité, les partages, les sensations, .... mais par le temps.
La vie de tous les jours est bien remplie, les agendas ne correspondent pas toujours, les journées trop longues, les nuits trop courtes, et quant aux WE ...
C'est ainsi que Je savoure tous ces moments, intense ou doux, vanilles ou BDSM. Ces moments toujours uniques qui permettent une Evasion et qui manquent toujours ...
Ma soumise / Fiancée, je t'aime à un point inimaginable. Tu es toujours à mes cotés, avec Moi. Mais ces longues journées sans toi, ces soirées trop courtes à mon gout, sont des calvaires....
Je t'aime
Ton Maitre / fiancé
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Je quittais le restaurant, fière d'avoir la carte de visite de cet homme qui m'avait observée dans les toilettes,lors de ma prise de ma prestation avec Raphaël. Un contact de plus dans mon répertoire ne peut pas me faire de mal. Je décidais de ne pas en parler à mon Maître. C'était la première fois que s' agissait ainsi de ma propre initiative.Je m'étonnaitmoi-même. En revanche, je décidais de parler du Légionnaire et de sa demande bizarre avec son chien, il vaut mieux tout prévoir avec certains déviants sexuels pas question de s'y rendre seule, on ne sait jamais.Dehors sur le trottoir Pierre et Raphaël m'attendaient.Avant de partir Pierre me demanda de passer à Pigalle, chez Laurent, le propriétaire d'un sex-shop où Pierre avait l'habitude de se fournir en matériel.En fait il avait organisé un "essayage" devant des clients voyeurs et payants. C'était le cas aujourd'hui, le rendez vous était fixé à 16 heures. Pierre demanda à Raphaël de m'accompagner pour cet "essayage " prévu de longue date.Pierre me prit à part et m'ordonna de m'occuper du canadien pour la soirée et la nuitRaymond ton mari est absent pour plusieurs jours,tu es libre cela ne te pose pas de problème me dit-il Je tentais de répondre.Il n'y a pas de mais, tu dois obéir, ce Monsieur à des projets intéressants pour toi.- Bien Maître, il sera fait selon vos désirs.Pierre adressa un clin d'oeil à Raphaël comme pour signifier que tout était sous contrôle et prit congé de nous sans oublier de m'adresser une petite claque sur mes fesses rebondies.J'invitais Raphaël à prendre place dans ma Mini sans oublier de lui donner mon ticket de parking pour qu'il paye, ce qu'il fit sans problème. Normal après le plaisir que je lui avais prodigué dans les W.C. il me devait bien ça. Je composais aussi le numéro de téléphone de Laurent.- Bonjour Laurent ça va ? C'est Safi.Ah c'est répondit Laurent. Où es-tu ? J'ai cinq mecs qui s'impatientent, tu es en retard ma belle.- Fais les patienter avec ma cassette porno, je ne suis pas loin j'arrive dans quinze minutes pour l'essayage.Avant de démarrer, je mis un CD du chanteur Baba Maal, un compatriote sénégalais, originaire comme moi de Louga au Sénégal.Pendant que je conduisais rapidement dans les rues de Paris pour me rendre au sex-shop, Raphaël commença à me caresser les cuisses remontant ma mini-robe jusqu'à la taille.Il était heureux de découvrir ainsi Paris de façon insolite avec une vue imprenable sur mon Mont de Vénus.L'éditeur juif de Montréal devenait de plus entreprenant, réussissant même à introduire un doigt dans ma fente.Surprise, la voiture fit une embardée et je m'immobilisais sur le trottoir.- Je sais bien qu'en tant qu'esclave je n'ai pas de droit de refuser quoi que ce soit de la part d'un invité de mon Maître, mais je vous en prie nous risquons d'avoir un accident et je ne veux pas de problème de ce genre avec mon mari et en plus nous sommes en retard.En terminant sa phrase, Safi posa sa main sur celle de Raphaël dont le doigt était toujours en elle.O.K! tu as raison dit-il en retirant son doigt du vagin de la négresse, mais tu me rends barge avec ton côté étrange et ta cambrure inouïe. Allez roule dit-il en posant son doigt sur les lèvre de la conductrice de charme qu'il avait à sa disposition.Le reste du parcours se passa sans incident jusqu'à Pigalle, Safi se fit guide touristique pour Raphaël, lui expliquant les monuments au passage.Laurent le propriétaire du sex-shop fut soulagé en voyant arriver Safi dans sa boutique. Il attrapa la jeune femme par la taille et la déposa sur le comptoir en l'embrassant dans le cou. Safi présenta Raphaël. Dans le magasin cinq hommes, cinq clients triés sur le volet par Laurent attendaient.C'était une vente privée. L'essayage pouvait commencer.Laurent était un habitué des salles de musculation. Grand, musclé, toujours vêtu d'un T-shirt laissant apercevoir des tatouages sur ces biceps gonflés et d'un Jean's hyper moulant qui montrait que là aussi il était très musclé.Pour l'essayage, les gadgets étaient disposés sur un présentoir notamment une mini-robe en latex rouge avec deux ouvertures à l'emplacement des seins, un porte-jarretelles rouge également.Les godes étaient de couleur chair, pour quelques euros dont un noir moulé directement sur un acteur porno américain, la dernière nouveauté en la matière, le Gode Bélier à piles de 28cm qui ne se contente pas de vibrer comme l'explique Laurent aux clients, mais tel un bélier il se contracte et se rétracte de 5cm en permettant de simuler le coup de rein d'un homme en action.Il y a aussi pour mon essayage un gode gonflable en latex qui caresse le vagin de la femme grâce à l'action de la poire, il peut grossir à volonté. 21cm de long et 4 cm de diamètre qui peut grossir jusqu'à 6cm. Le fin du fin, l'anus-picket, un objet conçu pour des pénétrations extrêmes, confortables et efficaces pour les adeptes de pénétrations anales comme moi. C'est un gode que l'on peut porter toute la journée sous une robe ou un pantalon car il est invisible.Rien que du plaisir en perspective pour Safi qui va devoir essayer en direct ces objets, en faire la démonstration en réel.Messieurs dit Laurent, je vous présente Safi, notre mannequin, certains d'entre-vous la connaisse déjà, pour d'autres c'est la première fois, elle est à votre disposition pour essayer les articles que vous avez sélectionné. A présent me dit Laurent va te déshabiller.Moins de cinq minutes plus tard, j'étais nue en hauts-talons au milieu de cinq hommes plus Laurent et Raphaël, j'avançais vers eux.- Je vous suis très reconnaissante dis-je de m'avoir choisie pour ces essayages. Avant même d'avoir terminé ma phrase, plusieurs mains se promenaient et s'insinuaient en moi.C'est Laurent en tant que Maitre des lieux qui prit l'initiative, il me demanda de me placer, les jambes écartées de façon que ma chatte soit bien ouverte, mes cuisses reposaient sur les accoudoirs.En face moi un homme d'une soixantaine d'années jouait avec la poire de l'anus-picket.J'étais là contre rémunération pour assurer démonstration et la promotion de nouveaux produits de la boutique de Laurent. Ce dernier assurait également la couverture photographique de la vente-privée avec des photos numériques et des polaroïds, souvenirs de leur participation. Les acheteurs avaient droit également en bonus à des pipes complètes, doigtage . Je venais deux fois par mois chez Laurent pour ce genre de prestation selon un accord entre lui et mon Maitre Pierre.Une fois bien installée dans le fauteuil, j'écartais mes grosses lèvres pour laisser voir mon clito turgescent.Mon regard fixait un à un les acheteurs participants. Un regard qui était plus une supplique et une invitation à la pénétration. Un regard qui recelait tous les vices du Monde. Ma bouche pulpeuse et molle, bien dessinée légèrement ouverte laissait apparaître le bout de ma langue.Laurent commença ses explications sur l'utilisation de l'énorme gode anus-picket en gélatinex.Ce gode dilate énormément il faut l'introduire avec beaucoup de précautions,il dilate les cavités les plus étroite, d'ailleurs vous aurez l'occasion de l'expérimenter sur Safi qui est très étroite de partout.Emotions fortes garanties. Un gode dont le diamètre passe de 5 à 10cm, soit la taille d'une petite bouteille de Perrier dans le cul. Une fois bien place, les muscles anaux se resserrent à la base du gadget et le maintiennent dans le fondement de la soumise ou du soumis, ensuite il faut une certaine habitude pour marcher avec.- Bonjour Messieurs, dit Safi avec une voix à peine audible de petite fille. Safi plongea dans les yeux de l'homme qui tenait le gode gonflable, laissant deviner ce qu'elle attendait de lui.Le regard tétanisé de la négresse dégageait une sensialité primitive, sauvage.Baisse les yeux dit l'homme au gode d'un ton autoritaire, ne sois pas insolente;Malgré le désir de punir la salope black, il ne pouvait détacher son regard de la chatte lisse de Safi, se demandant quels mobiles poussait cette magnifique femme noire à accepter les pires perversions.Raphaël en retrait ne perdait rien du spectacle.Les yeux baissés, Safi continuait à masturber son clito qui prenait des proportions volumineuses. De son autre main Safi se caressait les seins. Sa longue tresse noire de sa coiffure pendait devant sa petite poitrine. Pour attiser les mecs elle plongeait ses doigts dans son vagin avant de les porter à sa bouche et de les lécher. Cela faisait partie de son contrat avec Laurent.Assez de salamalecs dit un autre homme, si tu crois que tu vas nous amadouer avec tes simagrées de pute de bas étage, tu es venue pour te faire goder le trou du cul et tu seras godée.Dans la position où elle se trouvait, Laurent n'eut aucun mal de lui menotter les poignets aux chevilles sur les accoudoirs. Raphaël assistait silencieux.Sur l'écran géant, Matalana, la sculpturale congolaise star du X aux seins énormes et Xandra une autre black très fine taillaient une pipe à Roberto Malone.L'homme au gode, s'installa à genoux entre les cuisses de la sénégalaise. Des deux mains il écarté la fente de la petite africaine à la recherche du clito. Du bout de sa langue il humecta ses doigts avant de pénétrer l'intimité de Safi qui poussa un petit cri rauque.C'est plus intéressant de la fister maintenant quand elle est encore serrée,dit l'homme à genoux, après on pourra s'amuser avec les gadgets.Laurent penché sur Safi lui administra un patin tout en lui triturant les tétons. Les choses sérieuses commençaient.La participation de Safi aux essayages de Laurent était digne de figurer au Guinness des Records comme meilleure salope catégorie amateur.L'éclairage tamisé de la boutique adoucissait les traits fins de Safi. Elle n'avait pas besoin de cela. Avec son regard provocant de splendide allumeuse, sa longue tresse tombant au creux de ses reins, l'allumeuse black fit comprendre à l'homme à genoux qu'elle avait enregistré.Malgré les menottes, fébrilement, elle glissa ses doigts en direction de la braguette d'un participant et se mit en devoir d'améliorer son érection déjà convenable.- Tu bandes bien dit Safi à l'adresse du jeune arabe, d'un geste leste, elle administra à son compagnon du moment une fellation digne d'une professionnelle du X et lorsqu'elle le sentit sur le point de jouir, elle enfonça la bite de l'arabe si loin qu'il heurta son gosier avant de s'y déverser en saccades.Raphaël dans un coin se branlait.Laurent remplaça le jeune arabe dans la bouche de Safi, le sexe enveloppé par les lèvres souillées de la pute black. Safi lui administrait une autre fellation très efficace.Tranquillement Laurent sentit le plaisir monter de ses reins. Il explosa lui aussi dans la bouche de la belle black avec un gémissement ravi. Elle l'y garda longtemps pour qu'il s'apaise. Il essuya sa queue sur le visage de la soumise de Pierre.L'homme qui était installé à genoux entre les cuisses de la sénégalaise plongea son visage vers la fente imberbe de la négresse qui sentait le musc et Chanel N° 5 de Nina Ricci, écarta sans ménagement les lèvres vaginales de Safi qui poussa un râle rauque. L'homme faisait courir sa langue sur le clito et dans la fente de la salope comme s'il dégustait un fruit tropical, une mangue, tellement la fille était juteuse comme un fruit parfumé et bien mûr. Il savourait.De brefs sursauts agitaient le bassin de Safi. L'homme chauve remonta lentement le long de la fente, jusqu'au nombril de la négresse soumise, puis lentement il lécha les seins de Safi maculés du sperme de l'arabe et de Laurent. Tout le corps de Safi était parfumé. Il mordilla les tétons dressés, lui arrachant de petits cris au moment même où il fit pénétrer plusieurs doigts dans sa chatte d'un seul coup.Les yeux de Safi se révulsèrent, elle commença à onduler au rYthme du va-et-vient, il enfonça toute sa main dans fourreau chaud et onctueux.Le regard noyé des spermes mélangés, Safi tenta de se redresser, l'homme continuait à la marteler provoquant chez elle plusieurs orgasmes.Elle semblait pouvoir ne jamais s'arrêter de jouir, elle avait une extraordinaire disponibilité sexuelle.Elle s'anima au moment où un homme placé derrière le fauteuil lui replia les jambes sur sa petite poitrine de manière à ce que l'on puisse la pénétrer avec plus de violence. Elle était entièrement ouverte vagin et anus.Un autre client debout, à cheval sur les accoudoirs se branlait près du visage de Safi, il éjacula dans la bouche de la négresse déjà souillée. Elle avala jusqu'à la dernière goutte avant d'entreprendre un nettoyage soigné.A cet instant Safi est un compromis entre une femme Bcbg respectueuse et une chienne.... une bête de sexe. Un charme et une innocence qui cache une perversité extrême. Un tel niveau de soumission, ce n'est plus de l'obéissance mais bel et bien de rage qu'il s'agit pour son Maître, une acceptation de se soumettre ainsi ; une parfaite esclave.Raphaël était troublé par la belle négresse, il la connaissait à peine depuis quelques heures seulement.Il savait qu'elle allait être à sa disposition gratuitement toute une nuit. Il était à la fois attiré et dégouté par cette femelle. Comment une si belle femme pouvait accepter cette dépravation. Il était profondément ébranlé. Jusqu'à présent un seul homme n'avait pas participé aux ébats de pipes et de fistage.Il attendait dans son coin l'anus-picket gonflable à la main, celui qui une fois gonflé pouvait grossir jusqu'à 10cm. Il attendait patiemment que les autres terminent.Il la voulait pour lui tout seul. Il avait un accord avec Laurent. Il avait négocié un supplément.Laurent détacha Safi de sa position inconfortable.La sublime salope debout attendit devant les clients voyeurs que Laurent l'autorise à se retirer. Les quatre hommes réglèrent la prestation de la mannequin africaine et leurs achats de gadgets. L'homme à l'anus-picket attendait toujours dans son coin.Le visage et le corps de Safi étaient barbouillés de sperme.Elle était dans un drôle d'état. Fatiguée mais fière de ce qu'elle avait accompli. Des marbrures de sperme séché parsemaient son corps frêle. Son parfait maquillage avait totalement disparu. Le rimmel mélangé aux différents spermes et à la sueur avait coulé sur son visage, sa tresse et ses cheveux étaient en bataille, elle ressemblait à une pute de gang-bang. Raphaël ne reconnait pas la sublime femme qu'il avait rencontré dans le restaurant. Il l'avait un peu malmenée dans les toilettes mais elle avait encore de l'allure et beaucoup de classe quant ils étaient ressortis tous les deux.Sa chatte était largement ouverte depuis l'intervention de l'homme chauve, les aréoles de ses petits seins avaient triplé de largeur et les gros bouts de ses tétons ressemblaient à des boutons de sonnette.Je n'aime pas les salopes crades dit l'homme à l'anus-picket. Va te nettoyer, tu te présentera à moi maquillée et coiffée. Tu enfileras la robe rouge en latex. Avant de te goder, nous étudierons toi et moi cet objet de plaisir qui sera gonflé au maximum dans ton cul de pute.Compris salope ? - Oui Monsieur, tout ce que vous voudrez dit Safi qui regarda Raphaël du coin de l'oeil. L'homme avait raison de dire qu'elle était crade, avec ce qui l'attendait, il valait mieux qu'elle soit clean pour affronter la nouvelle épreuve d'humiliation sexuelle, l'introduction d'un gode de la taille et de la largeur d'une petite bouteille de Perrier dans le trou du cul.Un élargissement progressif grâce à l'action de la poire, une dilatation extrême. Elle ne savait même pas si elle pourrait supporter cette torture. Elle avait effectué le matin même un lavement en prévision de la journée.Elle aimait qu'on l'introduise quand elle était propre, elle avait horreur de sucer les bites ou les godes maculés de matières fécales. Le sperme elle adorait. Elle était en train de se remaquiller lorsque le jeune arabe fit irruption dans la salle de bains. Visiblement le jeune homme avait apprécié la bouche de Safi.Salut dit-il à l'adresse de la sénégalaise, est-ce qu'on peut prendre un verre ensemble ce soir ou un autre jour. Tu es superbe et j'ai très envie de te revoir pour quelque chose de mieux;- Quoi par exemple dit Safi ? Une double sodo avec un pote à moi à Barbès, ça t'intéresse ? - Oui pourquoi pas il suffit de me louer auprès de mon Maître ou de Laurent, j'ai bien aimé ta bite dit Safi avant de repousser le jeune arabe hors de la salle de bain.Safi avait enfilé la robe de latex laissant apercevoir ses deux petits seins dont les bouts étaient droits, tendus, elle était comme dans un écrin, les fesses rebondies, elle fit son apparition à nouveau dans la boutique.Il n'y avait plus que Laurent, Raphaël et l'homme à l'anus-picket qui était assis dans le fauteuil. Il portait des gants de chirurgien.Viens te présenter dit l'homme, tu sais ce que je veux entendre n'est-ce pas ! - Oui Monsieur.Qui es tu ?- Une salope pour vous servir répondit Safi.Tu sais ce que je veux ? Tu sais pourquoi je paye ? - Oui Monsieur, vous voulez m'humilier par le cul.Parfait répliqua l'homme, vas te mettre à genoux sur le fauteuil sans oublier de remonter ta robe jusqu'à la taille, je veux voir ta petite pastille que je vais élargir.L'homme demanda à Laurent de menotter Safi pour l'empêcher de bouger pendant la durée de la dilatation. Elle était maintenant entravée aux poignets et aux chevilles. L'homme s'approcha du cul de Safi et l'enduisit de vaseline à l'aide de ses doigts. Safi se laissait faire, un petit sourire en coin, elle avait l'habitude de se faire enculer par des déviants de toutes origines sociales et culturelles confondues sans pudeur et sans complexe. Leurs fantasmes étaient souvent extravagants. L'homme au gode était sans doute de ceux là. Dans ce milieu tout le monde y trouvait son compte, il y la demande et l'offre.L'homme fit une photo du cul de Safi la vaseline débordait de son anus serré. Il pointa le gode vers l'orifice de la fille à la peau ébène. Il s'amusa un instant à faire glisser le gadget le long de la fente de Safi avec un mouvement lent. Il écarta légèrement les grosses lèvres. Safi frissonna.Elle savait que l'homme irait jusqu'au bout. Laurent lui avait assuré que Safi pouvait prendre des grosses tailles en elle. Pour l'en convaincre, il avait montré une photo de Safi avec la bite monstrueuse de Turgut dans le cul.L'homme prenait son temps. Tranquillement il planta le bout du gode dans l'anus huilé de Safi. La pénétration fut facile pour l'instant le gode avait une taille normale.Safi aimait ce genre de pénétration et puis il y avait Raphaël, elle devait prouver au canadien ami de son Maître sa totale soumission.Sans prêter attention à l'assistance, l'homme vrilla le gode dans l'anus de la jeune femme qui commençait à haleter faiblement.J'aime mieux te prévenir tout de suite, souffla-t-il avec une haleine fétide au visage de Safi, si tu pousses le moindre cri, je te casse le cul. As-tu compris salope ! Instinctivement elle se cabra pour dégager le sillon de sa croupe, aussitôt, l'homme se plaça derrière elle et lui assena une forte claque sur les fesses.Avec un han de bûcheron il enfonça entièrement le gode de toute sa longueur. Safi se cabra à nouveau, sa bouche s'ouvrit sur un son muet. Pétrifiée, ses beaux traits se déformaient sous l'effet de la souffrance, elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler de douleur. Safi poussait des gémissements étouffés, elle ne devait crier sous aucun prétexte, elle était payée pour ça. L'homme s'arrêta un instant et fit une nouvelle photos de Safi avec le gode planté dans son anus jusqu'à la collerette de protection. Il ajusta la poire.Il appuya à plusieurs reprises sur la poire. L'anneau de chair étroit de la prostituée occasionnelle se crispait sous l'effet de la tension. Le gode se gonflait et les chairs de Safi s'élargissaient. Il injecta trois autres pressions dans le cul de sa victime consentante.Cette fois, Safi ne put retenir un hurlement de fauve blessé. L'homme écrasa sa main sur la bouche de Safi sans cesser de gonfler le gode anal.Safi s'effondra dans le fauteuil en sanglotant, de grosses larmes coulaient le long de ses joues.Avec un mauvais sourire aux lèvres, l'homme fit une nouvelle photo de Safi dilatée à l'extrême par l'anus-picket.Encore une qui ne sait pas apprécier les bonnes choses remarqua son violeur d'un ton calme, ajoutant aussitôt : je crois que cette petite salope a quand même pris son pied.Malgré ses entraves Safi se tordait dans tous les sens, le gode avait atteint la taille d'une petite bouteille de Perrier. Elle tentait d'échapper à la morsure de la dilatation;My God, dit-elle, j'en veux encore, j'en veux plus, ça fait mail mais c'est bon d'être enculée ainsi.Espèce de putain gronda l'homme, tu en veux encore.... Tu veux que je gonfle le gode ? - Oui haleta Safi, enculez moi !A ces mots, l'homme félicité Safi : C'est comme ça que j'aime les vraie putes soumises. Il accentua une nouvelle fois la pression sur la poire qui dilatait les parois rectales de la jeune salope qui hurlait maintenant à la fois de douleur et de plaisir sous les coups sauvages de la poire.Safi jeta sa tête en arrière en poussant des couinements aigus d'une truie qu'on égorge, son visage ruisselait de larmes et de sueur à cause aussi de sa robe en latex.Son corps fut pris de violents soubresauts.L'homme demanda à Laurent et à Raphaël d'écarter les jambes de Safi pour une dernière photo. Elle fut prise en gros plan. Il était 19 heures la séance venait de prendre fin.L'homme aida Safi à se relever. Elle avait du mal à se tenir droite, ses jambes se dérobaient sous elle. Elle essaya de faire quelques pas avec ses hauts talons, sa robe toujours relevée jusqu'à la taille. Sa démarche était gauche, elle marchait toujours les pieds en canard, le gode était toujours en elle.Il dégonfla le gode qui reprit sa taille normale.L'homme régla la séance à Laurent et il demanda qu'une chose en baisant la main de Safi. Je veux que vous gardiez cet admirable objet en vous ma chère, en quittant cette boutique pour aller jusqu'à votre voiture. Il employait le vouvoiement à l'adresse de Safi. Votre compagnon pourra vous l'enlever ensuite. Je pense que l'on se reverra très bientôt, vous êtes une magnifique salope Madame. Mes hommages respectueux.Les désirs des clients sont des ordres dit Laurent, vous pouvez me faire confiance, elle va garde ce bel objet pour rentrer chez elle, je vais m'occuper de cela personnellement cher ami.Une fois seuls dans la boutique Laurent et Raphaël aidèrent Safi à enlever sa robe de latex, elle était en nage. Elle passa sous la douche une nouvelle fois. Le gode était vraiment monstrueux comme un petit balle de tennis entre les deux fesses de la négresse.Rhabillé, Safi tenta de faire quelques pas, Il lui était difficile d'avoir une démarche normale, il fallait qu'elle s'habitue à marcher avec l'anus-picket ainsi placé dans son fondement.Avant de quitter le sex-shop, Laurent tendit à Safi une enveloppe avec ses gains durement gagnés plus sa commission sur les articles vendus. Heureusement que la voiture n'était pas garée trop loin. Avec ses talons-aiguilles en plus du gode, sa démarche était chaloupée, les gens dans la rue regardaient cette belle jeune femme qui marchait d'une drôle de façon, les fesses tendues vers l'arrière.Une fois dans la voiture elle prit la parole immédiatement.- Je sais dit-elle à Raphaël, vous devez penser que je suis une belle salope, une bonne pute, c'est vrai vous avez entièrement raison mais je suis comme ça, je suis entière, j'aime donner du plaisir aux hommes, ma devise " Servir le plaisir", mais de grâce enlevez moi cette horrible chose.Raphaël ne se fit pas prier pour s'exécuter.- Ouf ça va mieux, je n'ai pas l'habitude de marcher avec une telle énormité en moi.En bonne professionnelle elle tira de son sac un tube de crème Xylocaïne et en étale un peu sur ses chairs élargies par l'anus-picket.Avant de démarrer, voilà ce que je vous propose dit-elle, je vous dépose à votre hôtel où vous pourrez m'offrir un verre, je crois que je le mérite bien. Ensuite je passe chez moi pour prendre un bon bain j'attends un coup de fil de mon mari. Vers 21 heures je passe vous prendre à l'hôtel pour le dîner. Bien entendu selon le souhait de mon Maître je passe la nuit avec vous.- Est-ce que cela vous convient Monsieur Raphaël ? Cela me va parfaitement répondit Raphaël, repose toi bien car je pense que la soirée sera longue et torride.A suivre.....
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Remise de mon séjour à Toulouse, de retour à Paris, je fixe rendez-vous à mon Maître à midi à la brasserie de notre première rencontre près de la Maison de la radio en face du pont de Grenelle. Cette brasserie me rappelle d'excellent souvenirs, c'est là que ma vie sexuelle a bifurquée.Arrivée en avance je passe quelques coups de fils en réponse aux sms des amateurs qui ont laissé un numéro.Un certain Légionnaire a laissé six messages assez "hard" et sans équivoques sur ses intentions sexuelles en ma compagnie, il veut faire des photos anales.Je compose son numéro, au bout de trois sonnerie, on décroche.Allo dit une voix rauque.- Bonjour Monsieur dis-je timidement, pourrais-je parler à Monsieur Légionnaire ?C'est moi dit la voix, de la part de qui ,Je suis Safi, une jeune femme noire, vous avez laissé plusieurs messages pour me rencontrer je crois !Cela fait plus de trois semaines dit la voix autoritaire, je n'y croyais plus !- Je suis vraiment désolée, Monsieur j'étais absente de Paris, je suis rentrée hier et mon premier appel est pour vous. Que puis-je pour vous être agréable !Tu n'as pas lu mes messages, je veux ton cul, je veux t'enculer et faire des photos;- D'accord, dis-je je suis à votre disposition, combien de temps comptez vous m'utiliser ?On dit de toi sur le réseau que tu es la meilleure salope black de Paris, c'est vrai ? - Si tout le monde le dit c'est que ça doit être vrai répondis-je;Demain chez toi c'est possible me demande l'homme.- Je ne reçois pas mais je peux me déplacer mais je ne suis pas libre avant la semaine prochaine.Moi je suis pressé, je veux ton cul de salope- Ecoutez Monsieur, je vous propose de voir ça avec mon Maitre, c'est lui qui s'occupe de mon agenda.Ecoute bien petite salope, c'est moi le client et je ne veux pas passer par un intermédiaire, je veux traiter directement avec toi, d'accord ? Quand je paye une pute, je veux être seul avec elle, O.K ? - Oui Monsieur, je suis actuellement dans un lieu public et je ne peux pas vraiment parler librement, posez moi des questions et je vais faire mon possible pour y répondre.Tu es d'accord pour te faire enculer et faire des photos?-Oui MonsieurA plusieurs reprises, bite et godes-Oui Monsieur c'est possible avec ceux qui existent sur le marché.Les plus gros alors !-Oui si vous en avezEt mon chien il peut aussi participer ?-Votre chien ? fis-jeOui il adore bouffer de la négresse, alors tu es d'accord!- Pour vous c'est d'accord, pour votre chien je ne sais pas, je n'ai jamais fais ça.Tu es excitée hein, à l'idée de te faire lécher la cramouille par une langue de chien et faire des photos pendant que tu bouffe ma grosse bite, je te donne un supplément si tu acceptes le chien on peut conclure, si tu es intéressée tu as mon numéro, salut.L'homme avait raccroché en me laissant à mes pensées. Encore sous le choc de cette demande bizarre, j'ai juste le temps de descendre aux toilettes pour mettre ma mini-robe en mohair de Dorothée Bis. Je dois être belle pour recevoir mon Maître.Remaquillée de frais, ma robe en mohair me moulait parfaitement, mon décolleté retenu par de fines bretelles descendait jusqu'à la naissance de mes petits seins. Le moindre geste brusque laissait apparaître l'un ou l'autre selon le cas. Je décidais de garder mes lunettes noires et comme à mon habitude j'étais entièrement nue sous ma robe , parée seulement de mes bijoux, collier et bracelets Bulgari, une chaine en or autour de la taille.Moins de cinq minutes plus tard, mon Maître vénéré fit son entrée dans le restaurant en compagnie d'un autre homme. Le serveur indiqua la place où je me trouvais.En bonne esclave soumise, je me levais pour les accueillir.Safi, ma chérie me dit Pierre en m'embrassant sur la bouche tout en m'attirant contre lui en prenant soin de me mettre les mains aux fesses de façon très vulgaire devant son ami et le serveur.Je te trouve très en beauté, ton séjour toulousain a été très profitable, tu vas pouvoir mettre les bouchées doubles à présent. Safi, je te présente Raphaël, il est de passage à Paris pour un projet qui nous concerne toi et moi, il vient du Canada, de Montréal.Bonjour Madame, me dit Raphaël en me regardant droit dans les yeux sans me lâcher la main. Pierre m'a beaucoup parlé de vous- En bien j'espèreSurtout de vos qualités professionnelles dit-il avec un petit sourire narquois qui en disait long sur la connaissance qu'il avait de moi.La commande passée auprès du garçon, nous discutâmes tous trois du Canada pendant un bon moment. Raphaël un juif marocain avait émigré au Québec. Il avait fondé avec sa femme américaine une société d'éditions et il préparait le lancement d'un magazine d'annonces échangistes-bdsm, c'est à ce titre qu'il avait contacté Pierre.Tu sais me dit Pierre, il sait tout sur toi, ce matin je lui ai fait visionner ta cassette porno avec Turgut et il a pleinement apprécié ta prestation. Au début il pensait qu'il s'agissait de Julia Channel, l'ex star black du porno qui était sur l'écran. C'est un compliment n'est-ce pas ? - Pour Julia ou pour moi ?Pour vous s'empressa de dire Raphaël, je n'ai jamais vu une prestation pareille. Pourtant avec Christopher Clark ou Rocco Siffredi elle avait aussi de bon outils entre les dents.Le repas terminé, au moment du dessert, Pierre m'ordonna de venir me mettre debout entre les deux hommes pendant que le serveur prenait commande des digestifs.Droite jambées écartées, les mains derrière le dos, la tête baissée, j'essayais malgré la caresse intime de mon Maitre de garder bonne contenance vis-à-vis du serveur qui ne se doutait de rien ou faisait semblant de ne rien voir, mais aussi vis-à-vis des autres clients du restaurant.Pierre avait introduit une main sous ma mini-robe et s'amusait avec mon clito, il écarta les grosses lèvres et enfonça deux doigts dans mon vagin.Le plus naturellement du monde il s'adressa à Raphaël en précisant verbalement son geste.Tu vois dit-il, elle est là debout en bonne esclave docile, je lui tiens le clito et elle ne bronche pas, mets lui la main au cul et viens me rejoindre dans sa petite chatte. Rapahël hésita un instant, regarda autour de lui. Après quelques hésitations, il glissa lentement une main lui aussi sous ma robe, il fut étonné de trouver des fesses nues. Il palpa un instant chacun de mes deux lobes charnues d'africaine, remontant même la robe jusqu'à la taille.Raphaël fit glisser un doigt le long de ma raie fessière, s'arrêta un court instant sur mon anus serré puis s'enfonça lui aussi dans ma chatte pour rejoindre les deux doigts de Pierre. Pendant quelques minutes les deux hommes allaient et venaient dans mon sexe lisse comme pour une pénétration.Je jouissais en silence, retenant le moindre son. Les deux hommes se retirèrent juste avant le retour du serveur, satisfaits l'un et l'autre.Pierre m'ordonna de reprendre ma place à la table sans oublier de me donner ses doigts à lécher devant le serveur. J'étais fière de réaliser cela au risque d'être surprise par les clients du restaurant. Pierre fit glisser une bretelle de ma robe découvrant totalement un sein dont le téton se dressait fièrement.Tu vois dit Pierre, cette magnifique salope adore ça, c'est ici que nous nous sommes rencontrés la première fois, en bas dans les toilettes, elle m'a sucé, c'est une petite chienne très obéissante.Puis pointant son index sur moi, il m'ordonna de descendre aux toilettes en me disant : Tu vas aller aux chiottes des hommes, tu enlèvera ta robe et tu attendras notre invité, il a le droit de t'examiner à fond, tu lui fers une pipe complète après quoi tu reviendras à table pour recracher le sperme de Raphaël dans ton verre. Tu dois lui prouver ta totale soumission.Tu est O.K. Raphaël pour te faire sucer par cette pute ? Oui pourquoi pas dit Raphaël si elle est d'accord.Elle, elle n'a rien à dire juste qu'à exécuter mes ordres.Les deux hommes claquèrent leurs mains.Je m'installais dans les toilettes dans l'attente du canadien, en quelques secondes je fus complètement nue, vêtue seulement de mes lunettes noires, de mes talons aiguilles et de mes bijoux, j'avais laissé la porte entrouverte on pouvait me surprendre à n'importe quel moment, j'avais conscience d'être le fantasme de tous les voyeurs de la Terre, je me demandais si j'avais une envie refoulée que l'on me voit ainsi. Pour accentuer le désir de Raphaël je pris une pose suggestive, une jambe reposant sur le siège des W.C.écartant au maximum ma fente lisse.A ma vue, Raphaël poussa un sifflement d'admiration.Tabernacle jura-t-il, Pierre m'a dit que tu étais un bon coup, mais je dois dire qu'il était en dessous de la vérité. Raphaël continuait ses investigations en parcourant de ses larges mains mon corps nu, s'attardant sur ma fente rasée et sur mes petits seins arrogants de négresse.Je veux voir ton cul me dit-il, il parait que chez les négresse c'est le cul qui est intéressant.Selon ses désir je me retournais accentuant la cambrure de mes reins, écartant au maximum mes cuisses afin qu'il puisse juger à loisir de tous mes orifices, offerte pour une pénétration.Raphaël s'avance vers moi prenant soin de repousser la porter des W.C. Me forçant à me cambrer d'avantage pour que je sois plus offerte. Il me retourne face à lui, je suis assise sur le siège des toilettes, sans rien lui demander, je glissais mes doigts fins aux ongles très longs peints d'un rouge vermillon dans la braguette de l'éditeur canadien pour en extraire un membre massif et circoncis. Mes lèvres essayaient d'engloutir son membre dur qui avait atteint une bonne taille raide. Raphaël me baisa la bouche en gorge profonde, visiblement content du plaisir que je lui procurais, il se retira et agrippas mes hanches, sa grosse queue palpitante vint se placer entre mes fesses, Raphaël buta sans violence contre mon anus, son sexe tendu à l'extrême, je sentis son membre se diriger à la vitesse grand V, il encula mon petit boyau étroit d'un grand coup.Il parait que tu es une folle du cul me dit Raphaël en me claquant les fesses, tu aimes les coups de bites bien profonds, les mots orduriers- Oui Monsieur, punissez moi comme je le mérite, je suis une salope, une bouffeuse de queues.Tout en m'insultant, le champignon monstrueux de Raphaël cherchait son chemin au plus profond de moi. C'était une punition agréable Pierre mon Maître savait que j'avais un penchant pour les grosses queues qui m'ouvraient en deux et qui me déformaient. A genoux devant Raphaël j'attendais la bouche ouverte qu'il se vide en moi, je devais garder sa semence.De retour à ma place, je recrache le sperme de Raphaël dans le verre de cognac. Elle va trinquer avec nous dit maintenant Pierre.Regardant tout à tour mes deux compagnons droit dans les yeux, je porte mon verre et sa mixture cognac sperme à mes lèvres et l'avale d'un trait.Avant de quitter le restaurant je décide de me refaire une beauté, je passe devant les tables oscillant de la croupe, un homme se lève et me tend sa carte de visite en me disant :j'ai apprécié votre spectacle en bas dans les toilettes, la porte n'était pas fermée, si cela vous tente de recommencer un jour, je suis votre homme.Sans gène, je lui répondis avec plaisir une autre fois aujourd'hui je suis occupée.
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