Attachée et confiante à Vous je le suis
Bien des mails écrits pour Vous la nuit
Ce poème alphabet, est pour Vous
Délivrée de mes peurs et tabous
Exhibée est source de conflit en moi
Fouettée est source d'immense joie
Générant le respect et puis l'humilité
Histoire de Nous, en mon âme habitée
Ivresse et jouissance, aussi bien que bonheur
Jalonnant, cela est sur, les confins de mon coeur
Kyrielles d'instants passés ensemble se bousculent en moi
Livrant certaines batailles intérieures, d'où sort Votre 'loi'
Mêlant gémissement, désir, cri et parfois larmes
Nappant, étendant votre domination à mon âme
Ode à Vous mon Maître aimé
Portant Votre collier avec fierté
Quémandeuse de Vos marques
Réalité avec Vous, j'embarque
Symbole de soumission en ma chair
Traces et liens de Vous en corollaire
Union de nos désirs, expressive
Valeur de nos places respectives
Wagon du train, lorsque je Vous rejoins dans l'Hérault
X non un prénom Vous avez, et j'aime subir Vos maux
Y a le respect mutuel qui prime entre Nous
Zen, totale confiance, sincérité j'ai en Vous
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Pour apprécier la deuxième partie, il faut impérativement lire la première ici : http://www.bdsm.fr/blog/997/naissance-dun-dominant-1ere-partie/
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La voici, cette deuxième toile... Ce qui était de l’érotisme soft, du porno chic, de bon ton au premier niveau de ce vernissage est beaucoup plus chaud et explicite ici, dans ce niveau pour « public averti ». Sophie se remet spontanément à genoux devant moi, la tête baissée.
- Maître ? permission de parler ?
- Vas-y, Sophie, je t’écoute.
- Je n’ai jamais, vraiment jamais, fait ça, Maître. Veuillez bien me pardonner, ou me punir, pour me guider.
- Sophie, je prendrai en compte ton inexpérience mais aussi ta bonne volonté.
Au fond de moi, je me dis que je suis aussi inexpérimenté qu’elle, mais que j’apprends très vite, tout comme elle. Fascinant de voir cette complicité naissante, ces envies découvertes par le hasard d’une rencontre…
- Sophie, laisse moi regarder cette deuxième toile. Ne bouge pas. Ou plutôt si, remets toi à me sucer, mais extrêmement doucement. Montre ton admiration pour ma queue.
Sophie ne réponds pas et recommence à me sucer. Sa bouche est voluptueuse, velouteuse, caressante. J’ai parfaitement intégré le fait qu’elle connaît toutes les toiles de sa galerie, et qu’elle n’a pas besoin de la regarder pour parfaitement connaître tous les détails de la toile devant laquelle nous nous trouvons.
La scène sur la toile représente un couple de dos, en contre-plongée (ce terme signifie une représentation qui va du bas vers le haut, comme si l’artiste s’était vu au ras du sol pour imaginer la scène au-dessus de lui). La femme est debout, cambrée, jambes légèrement écartées et s’appuie sur le dossier de ce qui semble être un fauteuil. L’homme est derrière elle et la pénètre. Son sexe n’est pas entièrement engagé. Et le point de vue choisi par l’artiste montre clairement deux choses. Premièrement, des pinces sont attachées aux grandes lèvres du sexe de la femme et rejoignent par une chaine légère d’autres pinces sur ses tétons. Et deuxièmement, la pénétration est anale…
- Sophie, je n’ai pas de pince ni de chainette avec moi. Mais je te sodomiserai avec grand plaisir.
J’ai hésité un faible instant en prononçant cette phrase. J’aurai pu dire que je l’enculerai comme toute une série d’autres termes crus. Je reste dans une forme de respect pour cette femme qui était habillée dans un tailleur très classe il y a quelques minutes et qui s’abandonne maintenant totalement à moi.
- Merci pour votre compréhension, Maître,
Elle m’a répondu en se mettant à trembler comme une feuille.
- Donc tu n’as pas touché un homme depuis trois ans au moins et la première chose dont tu as envie est que je te sodomise ?
- Oui, Maître. Je n’ai jamais fait ça non plus, mais je me sens prête à découvrir, Maître. Parce que c’est vous, Maître…
Me revoilà dans le rôle de coach, un rôle qui semble me coller à la peau dans tout ce que je fais. Elle a de la chance quelque part. Mes amantes ont toujours adoré la manière dont je les sodomise. Toutes, sans exception, m’ont fait un hommage profond et systématiquement jouissif de leurs postérieurs. Et pourtant, la grande majorité d’entre elles n’avaient jamais pratiqué cette forme de sexualité avant de me connaître. Ou avaient eu des expériences malheureuses. Non, je ne suis pas exceptionnel. J’ai juste eu la chance d’avoir très tôt une amante littéralement accro à la sodomie qui m’a appris tout ce que je devais savoir sur ce sujet au centre de la préoccupation de Sophie. Et l’expérience aidant, je n’en suis devenu que meilleur dans cette pratique…
Je suis donc confiant en répondant :
- Je vais donc être ton guide. Je veux que cette première expérience te donne envie de recommencer encore et encore, alors tu vas devoir faire exactement ce que je te dis.
- Oui Maitre
- Ne te mets pas debout comme sur la toile. Mets toi à genoux sur le sofa, en t’appuyant sur le dossier avec tes bras.
En fait, je suis un géant comparé à Sophie, et une position debout comme sur la toile serait très inconfortable pour elle comme pour moi. Elle me fait face, la croupe offerte. Elle a un cul fabuleux que je vais me faire vraiment plaisir à baiser.
- Voilà. Maintenant tu te laisses faire. Je vais te préparer. Mais avant, j’enfile un préservatif. Comment aurais-tu fait si je n’en avais pas eu, Sophie ?
- J’aurais été très embarrassée de ne pas en avoir, Maître.
- Je n’aurais pas été embarrassé, je refuse d’avoir des rapports non protégés. C’est non négociable. On aurait dû attendre la fin de la soirée. J’aurai du te punir…
- Je savais que je pouvais avoir confiance en vous, Maître.
Je récupère un préservatif dans la poche de ma veste, je déchire nerveusement son enveloppe… un peu trop nerveusement… je déchire aussi le préservatif au passage. Heureusement que j’en ai un deuxième. Je fais attention cette fois ci. Je déroule celui-ci sur mon sexe tendu et dur comme de la pierre. Elle m’excite vraiment beaucoup, Sophie…
Je me colle contre sons dos, et je lui susurre à l’oreille…
- Sophie, je vais utiliser ton lubrifiant naturel si abondant pour te préparer. Je vais pénétrer ton sexe avec ma queue pour l’enduire avec ta mouille.
- Maître, je vais jouir, je suis trop excitée, j’ai trop envie.
- Sophie, garde ton orgasme pour ton cul. Contrôle-toi !
- Oui, Maître
En fait, je n’ai pas besoin de la pénétrer pour récupérer sa mouille, elle est si totalement trempée que la surface de son anus est déjà lubrifiée. Je soupçonne une femme fontaine qui s’ignore… Je ma place à l’entrée de son sexe, et je la pénètre tout doucement. Son vagin est particulièrement étroit et palpite de manière très sensible autour de ma queue. Elle est visiblement déjà au bord de l’orgasme. J’ai encore envie de la faire exploser, de la prendre brutalement… mais ce n’est pas le jeu. Et j’ai très envie de son cul…
Je ressors ma queue, et la glisse entre ses fesses afin de déposer sa mouille sur son anus.
J’exécute alors successivement les trois actions clés d’une sodomie fabuleuse… trois actions techniques dont les fondamentaux ne sont connus que par quelques rares initiés. Ne cherchez pas sur Google, vous ne trouverez pas, ces secrets sont très bien gardés.
D’abord le « massage des Cyclades». Un massage que j’ai appris d’une amante d’origine grecque, qui la détend et surtout lui donne terriblement envie d’être pénétrée… terriblement est un faible mot.
Sophie halète d’une envie insoutenable. Ses mains se crispent régulièrement, son anus palpite, s’ouvre, se ferme, tente d’aspirer tout ce que je lui présente.
Ensuite, deuxième action clé, la stimulation de la FAVPA (Concours : la première soumise qui trouve ce que ça veut dire gagne une soirée avec moi et aura l’opportunité d’en apprécier l’efficacité). Et là je ne donne aucun indice supplémentaire.
A la suite de cette stimulation, Sophie n’a plus qu’une chose en tête, que je m’enfonce profondément en elle, de me sentir la remplir totalement avec ma queue.
Je me mets mon gland contre son anus, et ma queue se prépare à une pénétration selon l’Angle d’Or, dernière caractéristique clé de ma trilogie d’action. Oui, l’angle qui donne les sensations les plus intenses… le meilleur compromis vers le plaisir.
- Sophie, à toi de jouer. Viens t’empaler lentement sur ma queue.
Son anus s’ouvre délicatement et fait le passage à mon gland. La couronne de mon gland vient de passer, son anus est terriblement serré malgré mon travail de détente. Le plaisir et l’excitation sont tellement intenses pour moi aussi que je vais lui demander de s’arrêter.
- Sophie. Ne bouge plus et détends toi.
- Tout va bien Maitre. J’ai envie de votre queue au fond de moi, Maitre.
- J’ai dit NE BOUGE PLUS
Si son plaisir est aussi intense que le mien, que va être la suite ?
Je reprends le contrôle. J’étais encore une fois au bord du point de non-retour. Je sens son anus se décontracter un peu. Elle s’habitue au diamètre de ma queue qui lui dilate le cul.
- Sophie, continue maintenant, tu es en bonne voie.
Je n’ai pas besoin de le dire deux fois. Elle s’empale à fond en poussant un cri de plaisir qui me surprend par son intensité. Les brouhahas de la réception au-dessus de nos tête ont du le couvrir… j’espère…
Je suis maintenant enfoncé jusqu’à la garde dans son cul, et son anus a recommencé à palpiter autour de ma queue. Des spasmes. Douleur ? Plaisir ? Mélange des deux ? Je saisis ses hanches pour bloquer son bassin, et je commence à la travailler progressivement. Je recule juste un peu, et je me renfonce jusqu’à la garde. A chaque butée, Sophie émet un cri, un espèce de feulement. Elle tremble de plus en plus. Elle se contient. Oui, elle contient un orgasme gigantesque en préparation…
- Sophie, je vais compter jusqu’à trois, et tu pourras jouir.
Je compte « UN», en m’enfonçant lentement au fond d’elle. Je recule jusqu’à sentir mon gland près de s’échapper de son cul. Je compte « DEUX», en m’enfonçant plus violemment au fond d’elle. Ses tremblements sont incroyables. Au moment où je compte « TROIS », je mets toute mon énergie, toute ma masse pour m’enfoncer dans son cul et je lui pince simultanément les tétons.
Sophie émet un râle et son orgasme explose, de longues vagues puissantes. Mon excitation est à son paroxysme. Je me déchaine dans son cul. Je synchronise mes coups de boutoirs avec les vagues de son orgasme. Je ne sais pas combien de temps ça dure, j’ai perdu la notion du temps. Son anus est totalement ouvert et vient resserrer ma queue à chaque vague. Je suis près de l’explosion. J’ai vaguement conscience que si je me laisse aller, je n’ai plus de préservatif en réserve pour continuer le jeu…
C’est trop intense. J’explose, moi aussi dans un râle de plaisir intense. Mon sperme vient remplir par longues saccades mon préservatif. Je reste collé à son cul, je reprends mon souffle. Longuement. Quelle intensité dans les sensations, quelle sauvagerie !!!
Sophie semble hoqueter. Elle commence à rebouger son bassin… Elle en veut encore ?
- Sophie. Cette première sodomie t’a plu ? tu en veux encore ?
- Maitre, c’était fabuleux. Dire que j’ai attendu 39 ans pour connaître ça. Merci Maître, merci. Oui, j’en veux encore, Maître.
Elle ne répond pas en hoquetant, en fait elle pleure.
- Ca ne va pas, Sophie ?
- Si Maitre. C’est juste trop d’émotion et de plaisir. Merci de me faire vivre ça, Maitre.
Elle recommence à onduler du bassin autour de ma queue. Je n’ai toujours pas débandé malgré l’orgasme que je viens d’avoir.
- Tu devras attendre un peu. Je dois reprendre des forces, et surtout trouver des préservatifs. Je pense que nous allons en consommer quelques uns… Je me retire, Sophie…
Je sors lentement de son cul. Elle se retourne. Dans le feu de l’action, son chignon s’est à moitié défait, son maquillage n’a pas résisté à ses larmes et une partie de son gloss est sur ma queue. Elle reste superbe malgré tout. Elle me regarde avec un grand sourire épanoui…
- Maître, il reste encore 22 tableaux à voir...
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je continue ? ou pas ?
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mes larmes...
Un homme ne doit pas pleurer.
Pourtant...
ELLE m'a pris dans ses filets, victime oh combien consentante. Je l'avais rêvé tant de fois. Quand sa voix si impérieuse m'a ordonné de me mettre nu, mes yeux se sont fermés, une sourde angoisse m'a envahi. Ce moment ou l'air devient pesant, mon souffle plus court.
Je sais pourtant qu’Elle m'a pris sous ses ailes, qu’Elle veille sur moi, et que ma confiance en ELLE est totale..
Seulement... Si je ne suis pas à la hauteur? Si je n'arrive pas à supporter? Si... je suis médiocre? Toutes ces craintes tournent dans ma tête..
La laisse est venue s'accrocher au collier, et fermement, ELLE m'a fait comprendre de me mettre à ses pieds. Ma langue est venue tout naturellement lécher sa chaussure, comme je sais qu'ELLE aime me voir. Croupe bien haute...
D'autre desseins m'attendaient, je le savais, je le sentais. Il fallait bien qu'ELLE aille la voir, cette frontière. Nous l' avions approchée déjà plusieurs fois...
Ses cordes sont venues m'enserrer, m'arrachant à chaque tour un cri. J'ai gagné ma bulle, je me suis recentré sur ELLE. Sur tout ce qu'ELLE me donne... Et sur le peu que je lui apporte.
Mes mains se sont élevées au dessus de ma tête, mes chevilles ont été emprisonnées.
Sa main s'est posée sur mon épaule, ses doigts ont couru sur mon dos, sur mes seins. Ses doigts ont croché mes cheveux, tiré ma tête en arrière. Sa bouche a frôlé mon oreille. J'y ai senti son souffle chaud.
Puis ELLE s'est écarté de moi. J'ai su que le moment était arrivé. Le flogger a commencé sa danse, d'abord léger, aérien. Mais très vite plus lourd. Les coups se sont succédé , sur mon dos, sur mon torse, mes fesses, mes cuisses.Implacables.Imparables.Impitoyables.
Des gémissements sourdent de ma bouche. Je lui offre ma douleur.
Le flogger est remplacé par la cravache. La nature des coups change totalement, secs, bruts.
Je sais ou ELLE veut aller, Mes cris sont de plus en plus forts. Mais je ne suis pas encore là ou ELLE veut m'amener.
J'ai commencé à craquer quand les coups sont tombés en travers de mes cuisses. La douleur a irradié d'un coup. J'ai poussé un long hurlement.
C'est le fouet qui a pris le relais. Quand il s'est enroulé autour de moi, il a atteint mon sein. Une onde de mal m'a parcouru. Les larmes ont inondé mes yeux. Mais les coups ont continués. Jusqu’à ce que des sanglots me secouent, pantin accroché, ravagé de larmes.
Impression d'un torrent ouvert. Fragile...Plus de barrières. Tout à cédé, la façade s'est effondrée. La mise à nu est totale, entière. Des montagnes de frustrations? de bienséance? qui n'existent plus. Je deviens primal, dans le sens ou plus aucune digue ne me protège, je suis juste animal, douleur, sensation...Amour?
ELLE l'a vu, ELLE sait qu'ELLE est arrivée là ou ELLE voulait m’amener, que plus rien ne sera pareil dorénavant.
Aucune conscience du fouet qui tombe, mais SES mains sur ma peau... Qui me délient, qui me portent / soutiennent...
Canapé... Contre ELLE... Blottis , cajolé.. Froid de sa jupe en cuir... Lèvres qui sèchent mes larmes, mains qui apaisent mes souffrances.
Froid de l'huile, chaleur de SES mains, douceur de son contact. Plus de nuances de temps...Paradis?
Mais un doigt...Pointé vers le sol...
J'oubliais ma place.
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La soumission rime avec bonheur.
Son alliée est quelque fois douleur.
Générant la complicité.
Comme la sincérité.
Ce chemin à Vos cotés, comme Votre emprise.
Fait de moi, pour un temps inconnu, votre soumise.
Mon attachement envers Vous s'étend et se propage.
Irradiant mon âme, mon corps, mon coeur, en ce partage.
Des émotions, sensations renouvelées qui me font découvrir.
De nouveaux jours, de nouveaux rêves et de nouveaux désirs.
Le temps reste complice de ce destin.
Partageons ensemble ces lendemains.
J'apprécie chaque moment.
Dont Vous êtes présent.
Qui seront pour moi inoubliable.
Parce qu'ils auront été réalisable.
Grâce à Vous.
Et par Vous.
Certaines batailles intérieures.
Sont livrées avec des pleurs.
Que je dépose à vos pieds
En ces avancées libérées
Pas un jour, il ne se passe.
Sans que je ne repense.
A ces heures intenses.
Qui ont laissé des traces.
Des traces indélébiles et gravées en moi.
Des heures de plaisir, le son de votre voix.
Garder mon sourire.
Vivre Vos Nos désirs.
Et savourer avec Vous autant que permis.
Tous ces moments où nous serons réunis.
Mon choix de Vous appartenir a été fait en toute connaissance de cause.
Au vu de nos vies respectives.
J'ai accepté d'être votre avec ce que cela implique.
Et de la sincérité de nos échanges et ce depuis bientôt 19 mois.
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Intensité de l'instant, puissance du moment, Vos anneaux.
Difficile de décrire certaines sensations, émotions, il faut les vivre.
Les mots ne peuvent écrire certains actes.
Il y a des actions impensables et réalisables, réalisées, réalité par le don en Son Maître, Son respect en Ses paroles et actes.
Signe d'appartenance à mon Maître.
Symbole fort dans la relation qui est la Notre.
Appréhension, pudeur.
Vous m'avez accompagné, présence indispensable en ce partage, acte.
Détendue, allongée sur la table, pour que le perceur fasse les points au marqueur à l'emplacement choisi par Vous, Vous déplaçant pour regarder si les marques convenaient avant de procéder à l'ultime étape...
Dommage de Vous demander de quitter la pièce, quelques minutes le temps de percer.
Nos regards échangés à cet instant....
Quand il m'a dit prête : j'ai fermé mes yeux pour mieux apprécier ce moment, je les ai vite ouvert devant ce serrement, cette compression qui a été l'espace d'une minute voir deux, en respirant par le ventre pour me détendre.
Le temps de passer les anneaux, puis il m'a tendu un psyché, j'ai pu visionner mon intimité ornée.
Il Vous a appelé, Vous me demandant comme cela s'était passé, Vous positionnant en face de moi pour 'admirer' mes et Vos anneaux d'appartenance.
Quelque photos vous avez prises.
Acte accompli en accord de Notre relation, le temps de la réflexion, le temps de l'écoute.
Des pas à Vos cotés dans la confiance totale de Vous.
Avec des anneaux des possibilités : un petit cadenas...
Des étirements au moyen de poids divers, lien, petite chaine.
J'aime porter Vos marques, marque de mon appartenance, marque de ma dépendance.
Certaines symboles se décident à deux et quand la relation est forte, que les choix sont communs, pourquoi ne pas les avoir sur et dans sa peau, comme une empreinte, une signature.
Ces anneaux me lient à Vous, force de Nous.
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Don de ma merveilleuse soumise, offrande de son intimité acceptée en témoignage d'appartenance.
Ton Maître.
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En ce jour de l'automne, dix huit mois se sont passés.
Le 23 mars 2010 : un feeling réciproque, des désirs partagés.
Le respect était au rendez vous, comme aux rencontres qui ont suivies, et qui se suivent avec Vous.
La confiance, la complicité, la sincérité et le dialogue qui sont le ciment de Notre relation.
Vous avez su m'apprivoiser, devant Vous, je plie.
Pourquoi je me soumets : parce que c'est Vous que j'ai choisi comme une évidence, c'est Vous qui avez su faire naître cet élan d'abandon, de progression, de découvertes.
Il est des émotions que je garde dans ma peau, comme des empreintes de plaisir sublime, éphémères ou temporaires, mais inoubliables.
Il est des petites victoires sur moi, comme certaines peurs qui ne sont plus, parce qu'enfin avec Vous, j'ai pu y parvenir.
Pourquoi cela : parce que c'est Vous, Votre façon de Vous comporter, de me respecter qui m'a encouragé à le faire, pour franchir certains obstacles, une lutte intérieure en moi, puis le dépassement.
Vous et cette subtile alchimie qui enflamme mon esprit et embrase mes sens.
Vos mains habiles et indécentes, celles qui me fouillent, me caressent, me marquent, s'introduisent.
Addict à Vous, je suis.
Vous avez su faire naître par Votre sincérité, courtoisie et savoir vivre, des découvertes, du plaisir, de la jouissance, de l'humiliation, des sensations, des émotions.
Ce qui était caché en moi, a été révélé par Vous.
D'un mot, d'un geste, Vous faites avec mes complexes, pudeur et retenue et m'invitez à l'abandon total.
Avec Vous le lâcher-prise. La fusion de nos esprits.
L'alchimie de Vos, Nos désirs.
La valeur de Nos places respectives.
Avec Vous une communication sans mot quelque fois, faites de ressenti, d'approche instinctive, la spontanéité est dans l'authenticité.
Confiante et sereine des demains, encore et encore.
Chaque rencontre est un moment fort. L’échange cérébral conduit à des heures d’un partage très intense, sans limite, d’une grande sensualité et gourmandise.
Parfois dans le BDSM, certains (es) désespèrent de ne pas rencontrer La personne de confiance, de respect, de sincérité.
Il faut garder espoir et la persévérance. Patience tout arrive à qui sait attendre, le vouloir et y croire.
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Dix-huit mois bientôt.
Dix-huit mois d’un merveilleux chemin sur lequel tu avances en toute confiance.
Un chemin fait de respect, de dialogues, d’écoute, de compréhension et d’attention.
Un chemin parfois périlleux fait de marques, de douleurs ; quel plaisir de te voir souffrir pour moi, de laisser mes marques sur ta peau, de te savoir prête et offerte à mes sévices.
Un chemin de solitude à accepter comme tu le fais avec courage lorsque les circonstances de la vie nous tiennent parfois éloignées plus longuement l’un de l’autre.
Un chemin de complicité depuis notre première rencontre, le premier regard échangé qui en disait déjà long sur nos envies.
Un chemin de progression pas à pas et de découverte du bord de mer aux caves parisiennes.
Ton endurance et en particulier sous le fouet, fait de toi ma merveilleuse soumise.
Ton Maître
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Avec les vagues de plaisir...Son dévouement, sa dévotion...On se prendrait à s'attendrir, à s'attacher même...A l'heure du départ :"Donne-moi mes bottes !Ravi, avec enthousiasme et un sourire, il va les chercher, me les tend.- Mais non, pas comme ça !Je tends un pied.- Ah oui...Rougissant, souriant mais confus, il se penche, met un genou à terre, entreprend de me les enfiler, une puis l'autre...- Oui, c'est mieux !"Mmm...Rien que pour ce moment (et le reste...), ça valait la peine de venir...
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Chère Martine, vos yeux bleus m'ont éblouis
mais je ne me rappelle plus comment nous
faisions l'amour en unissant nos langues, en
mélangeant nos membres.
Chère Marie, vos yeux gris m'ont ému, mais
je ne me rappelle plus comment votre jouissance
vous tirait des larmes que je léchait, vos seins
si fermes qu'ils me blessait.
Cher Patrice, vos yeux vert, jaune en colère,
m'ont fait oublier comment je me suis donné à
vous, comment mon corps fut votre jouet, si
tendre, si doux, si bon.
Chère Geneviève vos yeux noirs m'ont donner
espoir, mais je ne me rappelle plus votre soif
d'amour, qui épuisés, ruisselant, vidés, nous
terrassait, dans le fond des draps chiffonnés.
Chère Murielle vos yeux marrons étaient bons,
mais je ne me rappelle plus comme vos caresses
semblaient douces, comment d'une main malhabile
vous me preniez en vous.
Chère amis perdus je voulait vous écrire ceci
Madame à des yeux arc en ciel et elle me donne
du miel, de temps à autre, j'ai le droit de jouir
avec mes doigts, avec tendresse j'embrasse ses pieds,
mes amis disparus, priez pour moi, j'aime être perdu.
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Votre repos estival.
Il fut long, entre imprévus et aléas de la vie.
6 semaines sans pouvoir se rencontrer et demain bonheur de Vous.
Patience, obéissance, impatience cette dernière semaine.
Respect de Vos consignes, de Votre silence pendant certains jours.
Des écrits pour Vous en cette pause.
Vous parler, vous dire, exprimer mes ressentis.
Certains faits sont là, on se découvre autrement, quand patience se veux.
L'appartenance n'est pas simple.
C'est dans certaines épreuves que l'on voit l'attachement, le ciment qui est là, quoi qu'il arrive, le soutien de chaque instant, jour est précieux.
Bien que lointaine et proche, mes pensées vont vers Vous.
Demain, Vous signerez Vos maux sur ma peau.
J'ai à découvrir avec Vous, comme cette signature sur ma peau bientôt.
Hâte de plonger mon regard dans le Votre.
Hâte de Vous retrouver.
Je sais qui Vous êtes, depuis ce premier jour et à ce jour Vos paroles et actes ont toujours été, avec Vous la réalité.
Notre confiance partagée, Notre complicité, suffit d'un regard parfois.
Et ce respect que Vous avez en TOUTE circonstance de Vous, de moi, de Notre relation.
Je suis heureuse d'être votre.
Kocham Cię moja milosc Mistrza
Le 17 août 2011. 23h23
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Le silence ne s'entend qu'à travers l'attente
Le silence est 'Hérault', partage ma présence
Le silence est magie, il porte l'espérance
Le silence est sérénité dans la confiance
Le silence a ces aléas de la vie
Il faut respecter celle et celui ci
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Monsieur en Vous, j'ai reconnu Mon Maître
Vous êtes celui de mes pensées secrètes
Celui qui me donne l'envie de me soumettre
Avec Vous des envies et désirs sont partagés
Des avancées se sont faites dans la réalité
Mes yeux par Votre regard est captivé
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Il y a le cercle, l'accord entre le soumis et le dominant. Cet accord relève du monde sous contrôle. Et il y a le cercle lui-même où le contrôle et l'abandon ne relèvent plus d'une seule individualité mais sont distribués entre les partenaires, à chacun selon son rang. L'abandon de soi au soumis, son contrôle confié aux mains du tiers dominant. La séance est un jeu. Ce jeu est le renversement du moi, un autre je.
Je suis mis à nu, dans ma vérité. Une vérité oubliée sous les contingences du monde sous contrôle. Pourtant comment ne pas se sentir ridicule, grotesque ? Cette nudité est devenue étrangère. Et pourtant c'est moi-même. Je suis donc étranger à moi-même ? Au ridicule s'ajoute la honte de la situation. Honte de s'exposer à un autre regard. Ces sentiments témoignent du basculement dans un autre univers, inconnu, dont les valeurs échappent aux normes habituelles et familières, au-delà du cercle. Ici, rien de caché et de secret où s'enfermer dans son intimité. Du contraste naît l'inconfort et l'embarras du novice.
A cela s'ajoute la crainte et l'insécurité. Ce contrôle connu n'a plus sa place désormais. Il m'échappe. Il est à l'autre, dans sa voix et dans ses gestes. L'obéissance et la discipline ne sont plus de la dimension de mon être mais dans un dialogue des partenaires. Le cadre fixé dans un moment où le désir le dispute au fantasme prend soudain une silhouette vague et confuse, terrifiante même, ajoutant à l'anxiété.
Le soumis se fait proie. Une proie consentante. En se soumettant à l'autre, il se soumet à lui-même. La règle et les épreuves subies sont celles dont il a lui-même défini le cadre avec le partenaire dominant. Pourtant peut-il échapper aux effets de cette loi auto-infligée par l'entremise du dominant ? L'humiliation, l'inconfort, la douleur ressentis sont inéluctables. Ils ne sont pas recherchés pour eux-mêmes seulement inéluctables. Il cherche à en dominer les effets et à se dominer lui-même.
Lâcher prise dans l'offrande de la soumission n'est pas de la passivité. C'est le renversement induit par l'entrée dans le cercle. Je m'offre à moi-même ma docilité, mon obéissance, ma soumission. La dualité soumis/dominant crée une unité. Celle du collectif à travers la réunion des individualités. L'acte de soumission sous sa forme de passivité dans l'exécution de l'acte révèle la participation du soumis aux épreuves. Le gage ou la punition relèvent de sa demande. Le dominant qui agit en devient l'exécutant, dans une forme d'action passive. Ainsi, s'abandonner au plaisir de l'autre reviendrait à se soumettre à son propre plaisir.
Je me soumets pour lâcher prise, afin de mieux prendre conscience de moi-même.
Luciole,
soumis patient aux portes de la soumission.
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J’ai choisi de vous narrer ici-bas ma première expérience en tant que Dominant. Cette expérience a conditionné ma vie sexuelle à partir de cet instant. Si vous désirez lire la suite, commentez…
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Une très grande ville de Province, un soir d’hiver. Ce vent froid en rafales puissantes me brûlait les oreilles et me demandait de ne pas m’attarder dans les rues mal éclairées par des lampadaires vacillants et trop peu nombreux. J’avais été invité par un ami proche à un vernissage d’une exposition de peinture contemporaine, et quelques mètres me séparaient encore de ma destination. Il m’avait promis de rencontrer des personnes intéressantes, un public passionné, des discussions enflammées au sujet de l’artiste qui exposait enfin dans cette galerie.
Le froid humide avait presque pris en défaut et percé mon lourd manteau. La galerie est là. J’ouvre la porte, créant un appel d’air qui siffle et résonne dans la galerie. Toutes les personnes présentes se retournent. Manifestement pour jauger la personne qui vient de faire s’échapper bruyamment quelques calories de cette salle surchauffée.
Mon entrée produit un effet inattendu sur l’assistance. Ma stature, je suis déjà grand, 2m, est amplifiée par le jeu d’ombres et de lumières. Je lis fugacement du respect et de la jalousie dans le regard des hommes. Je note de l’effroi, de la surprise, dans le regard de certaines femmes.
Arrivée peu discrète une fois de plus. Je sais que je laisse rarement indifférents les personnes qui me rencontrent, mais là c’est la version lourde, version éléphant débarquant dans un magasin... vous connaissez l'image. Mon ami lève son bras et agite sa main pour que je le repère dans la foule… rires… je l’avais déjà vu, avantage de ma vision en hauteur.
Je me fraie un chemin jusqu’à lui. En fait la foule s’écarte devant moi au fur et à mesure de ma progression, les personnes qui s’écartent continuant de me dévisager, certaines me souhaitant la bienvenue d’un hochement de tête.
- comment va-tu, Benjamin ? dis-je en arrivant à la hauteur de mon ami.
- très bien, Philippe. Viens, je vais te faire visiter l’exposition et te présenter à quelques connaissances
Nous voilà parti à faire ce tour. Nous visitons le premier niveau de l’exposition. L’artiste réalise des compositions à base de photos et de surcharge de peinture. Une grande partie de son œuvre dégage une charge érotique de très bon ton. Intéressant, mais rien de ce que je vois ne pourra entrer en harmonie dans mon intérieur. Mes commentaires, même pertinents, sont, comme souvent, emprunts d’un humour sarcastique que je suis d'habitude seul à comprendre. Arrivée au bout du premier niveau, nous sommes accompagnés de plusieurs femmes et d’un couple, qui écoutent et rient au gré de mes saillies.
- on va faire un tour au buffet, et on passe au deuxième niveau ? c’est pour un public plus averti, mais je ne sais pas encore pourquoi, il semble que ce soit encore un secret bien gardé… m’informe Benjamin.
- le buffet est là-bas, poursuis-je, aidé par ma vision périscopique.
En cherchant le buffet de loin, mon regard croise fugitivement celui d’une femme qui semblait me scruter. Mon regard revient en arrière, je la fixe. Elle me regarde deux secondes, droit dans les yeux, puis baisse ceux-ci. Intrigué, je reste à la fixer. Elle relève ses yeux encore une fois, soutient mon regard en rougissant délicatement, et rebaisse les yeux.
Benjamin vient d’assister à ce petit échange de regards avec un air amusé.
- Ca y est, une victime de plus du charisme de Philippe, tu lui as grave tapé dans l’oeil. Tu veux que je te la présente ? c’est la directrice de la galerie, s’exclaffe-t’il.
- Dis m’en un peu plus sur elle. C’est une bombe, cette femme…
- Je crois qu’elle est divorcée, mais je n’en suis pas vraiment sûr. En tout cas tu sembles avoir une ouverture.
- On va vite le savoir, présente la moi.
Cinq mètres nous séparent, qui me laissent le temps de la déshabiller du regard. Elle doit avoir entre trente-cinq et quarante ans, une posture que je qualifierais de conquérante, elle est l’organisatrice de ce vernissage et elle est visiblement fière du succès de celui-ci. Elle a des formes qui sont un appel criant au sexe. Elle sait se mettre en valeur avec classe. Elle porte un tailleur Dior et son chemisier avec un décolleté assez ouvert fait la promesse visible d’une poitrine généreuse. Ses escarpins lui dessinent des jambes de folie. Des cheveux blonds cendrés coiffés en un chignon élaboré lui donne une touche de sévérité et d’austérité qui contraste avec ses formes. Intrigant au plus haut point, ma curiosité est vraiment piquée au vif.
Nous avançons vers elle, elle soutient maintenant mon regard totalement. Je m’arrête. Mon regard parcourt lentement l’intégralité de sa personne. Elle fait de même avec moi. Un jeu vient manifestement de démarrer… un jeu de séduction, sans aucun doute…
- Sophie, permet moi de te présenter Philippe, un ami proche en visite dans notre belle ville. Je l’ai invité à ton vernissage en me disant que ce serait une opportunité de le sortir et pour lui de tisser ici un réseau social.
- Enchantée, Philippe. Vous êtes des nôtres pour longtemps ?
- Enchanté de même de vous rencontrer, Sophie, j’ai un contrat qui me garde ici pour les trois mois à venir. Je suis impressionné par ce vernissage.
- Vous en avez déjà fait le tour ?
- Non, pas encore. Benjamin vient de me dire qu’il y a encore une deuxième partie de l’exposition, pour public averti ?
- C’est exact, mais nous n’ouvrirons cette partie du vernissage qu’à minuit. Ça fait partie du concept. C’est un teaser pour exciter un peu nos invités et les inciter à sortir leurs carnets de chèques.
- Dommage… je ne suis pas sûr de rester jusqu’à minuit. Faites moi donc une visite privée en avant première !
- Je ne peux pas… je le regrette vraiment, d’ailleurs…
- Ce n’est pas une demande, c’est un ordre !
J’appuie cette dernière phrase, cette boutade insolente, d’un grand sourire carnassier souligné par un clin d’œil discret. Sophie reste interloquée, les yeux grands ouverts. Et après une pause de quelques secondes qui me paraît une éternité, réplique avec un sourire désarmant :
- En fait oui, je vais vous faire cette faveur. Une visite privée. Très spéciale.
Mon rythme cardiaque vient d’accélérer soudainement. Serait-ce une proposition ? Le doute subsiste, et je décide de le lever.
- Avec plaisir, Sophie. Mais je tiens à ce que soit une visite vraiment privée. Nous deux et personne d’autre.
- Absolument. Nous y allons ?
- Je vous suis, Sophie.
C’est donc vraiment une proposition. Sophie passe devant moi en me frôlant très ostensiblement. Je suis passé à 180 pulsations/minute…
Benjamin a la délicatesse de se faire discret et de s’écarter en m’adressant une moue assez évocatrice que j’interprète comme : « bien joué mon gars, fonce ». Je le soupçonne d’avoir très envie d’être à ma place.
Je suis Sophie vers un escalier descendant, protégé par un panneau « Ouverture de la deuxième partie de l’exposition à minuit ». Nous contournons le panneau, descendons les degrés jusqu’à une porte en bois massif. Sophie tape un code sur le système de sécurité et la porte s’ouvre. Nous entrons dans la salle, celle-ci est dans une pénombre prononcée pour que les œuvres, éclairées par des spots concentrés, bénéficient d’un contraste propre à leur mise en valeur. Sophie referme la porte et précise :
- Voilà, il n’y a que moi qui ai le code pour ouvrir la porte de l’extérieur, nous sommes tranquilles.
- Très bien, nous allons pouvoir interpréter ces œuvres comme bon nous semble. Quel est le sens de lecture de l’exposition ? la première toile à admirer ?
Je suis Sophie qui se dirige vers la première toile. L’artiste a été probablement très inspiré des dessins érotiques de Luis Royo, qui mettent en œuvre des personnages fantastiques, souvent des monstres, et de superbes créatures féminines dédiées à leur bon plaisir.
Cette toile représente un monstre mâle en érection, debout, et une superbe femme nue agenouillée à ses pieds lui procure une fellation avec un regard conquis. Je sens Sophie figée et frémissante juste contre moi, le regard fixé sur cette première toile. Elle ne bouge plus, comme fascinée. Je me lance.
- Sophie, la puissance érotique de cette toile m’inspire de manière impressionnante. Pas vous ?
- Très certainement. Juste une petite mise au point entre nous si vous le voulez bien.
- Bien sûr. Dites-moi ?
Sophie, toujours le regard fixé sur la toile, commence à parler avec un débit très rapide et saccadé à la fois. Une émotion intense la submerge visiblement.
- Ne vous faites pas d’idées sur qui je suis. En fait je n’ai pas touché à un homme depuis ma séparation avec mon ex-mari il y a 3 ans. Et aucune envie d’en toucher un. Vous avez déclenché en moi une envie que je ne me connaissais pas. Je n’ai pas envie d’une relation banale. J’ai envie de jouer, de provoquer, de découvrir… de faire des choses qui m’ont toujours fait envie… J’ai une envie terrible. Votre regard, votre manière de me parler me font fondre. Dites-moi que je ne me trompe pas sur vous ? Dites-moi ???
Elle se tourne vers moi et me regarde. Je déglutis. Gêné mais toujours excité. Où veut-elle en venir ?
- Heureux de voir que j’ai ressuscité votre désir. Dois-je comprendre que je suis un moyen privilégié d’assouvir certains de vos fantasmes ?
- Oui, Maitre
En une seule réponse de deux mots, la lumière vient de m’éclairer avec force. Je viens de comprendre ce qu’elle veut. C’est la première fois qu’on m’appelle Maître, mon surnom étant plutôt de temps en temps « double-mètre ». Il va falloir que je comprenne vite les règles du jeu, c’est la première fois aussi pour moi. Ça me plait. Mon niveau d’excitation vient de bondir d’un cran.
- Sophie, nous allons réinterpréter la toile à ma façon. A genoux !
- Oui, Maître
Sophie se met lentement, très lentement, à genoux devant moi, sa bouche arrive à la hauteur de mon sexe qui ne demande qu’à être libéré de sa prison de tissus. Elle ne bouge plus. Après quelques secondes, j’ouvre ma ceinture et dégrafe mon pantalon.
- Sophie, libère-moi de ce piège de toile
- Oui, Maître
Sophie s’exécute, elle fait descendre mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Inutile de dire qu’elle découvre un sexe en pleine érection. Mon excitation est telle que je suinte déjà du liquide pré-séminal. Elle le regarde avec gourmandise mais semble se retenir. Je comprends qu’il faut que je la guide par des ordres et des directions précises.
- Sophie, suce-moi et branle-moi
- Oui, Maître
- Mais attention, je ne veux pas jouir.
- Oui, Maitre
- Tu t’arrêteras net quand je dis stop !
- Oui, Maître
Sophie commence par happer avec sa langue le bout de mon gland pour récupérer ma liqueur pré-séminale. Elle parcourt ses lèvres avec sa langue pour me montrer qu’elle en apprécie le goût.
Elle entreprend une longue exploration avec sa bouche de l’ensemble de mon sexe, et vient de lécher les testicules avec douceur. Elle me regarde de temps en temps pour vérifier si j’apprécie… Elle n’a pas oublié comment donner du plaisir à une homme…
En fait non, je n’apprécie pas tant que ça, car la position debout pour une fellation n’est pas agréable sur le long terme. Il y a un sofa qui nous tend les bras à deux mètres de là, et je compte bien en profiter.
- Sophie, tu ne respectes pas l’œuvre originale de l’artiste. Tu devrais être nue. Déshabille-toi immédiatement !
- Oui, Maître
Sophie ouvre sa veste de tailleur, retire son chemisier échancré. Pas de soutien-gorge, ses seins sont juste superbes.
- Sophie, tu gardes uniquement tes bas et tes escarpins
- Oui, Maître
Je lui ai demandé de garder ses bas, j’espère qu’elle n’a pas eu la mauvaise idée de mettre des collants. Soulagement, une fois la jupe de son tailleur retirée, elle retire son string et se retrouve dans une tenue minimaliste qui me fait baver.
Entre temps, je me suis dirigé vers le sofa avec une démarche de pingouin (toujours le pantalon sur les chevilles) et je me suis enfin débarrassé de mes contraintes vestimentaires. Je suis maintenant nu sur la partie inférieure de mon corps, et habillé sur la partie supérieure. J’en profite pour vérifier que j’ai bien mes préservatifs de secours dans la poche droite de mon veston… Oui, ils sont là. J’en ai seulement deux, il va falloir que je gère mon excitation…
Je me vautre sur le sofa, enfin une position confortable.
- Sophie, viens entre mes jambes, et fais ton travail consciencieusement.
- Oui, Maitre
La position que j’ai prise lui permet une grande liberté et de me lécher vraiment partout. Elle passe sa langue brièvement sur mon anus et semble hésiter.
- Lèche moi l’anus. Fais moi plaisir.
- Oui, Maître
Elle se déchaine en poussant de petits cris. Elle fait ça très bien. Instinct ou expérience ?
- C’est très bon… Tu as fais ça souvent ?
- C’est la première fois Maître. C’est la journée des premières fois, Maître.
Elle vient sucer les bords de ma hampe, l’englouti de temps en temps pour mieux la branler la seconde suivante. Je sens mon excitation monter autant que la sienne. Nos souffles sont courts et accélèrent. Il est temps de calmer le jeu si je ne veux pas jouir, je suis proche du non-retour...
- Sophie. STOP !!!
- Oui, Maître
Je reprends le contrôle. L’éjaculation n’était vraiment pas loin. Je souffle un grand coup.
- Debout devant moi que j’admire un peu ton corps.
Sophie se met au garde à vous. Je suis assis au bord du sofa, j’ai ses seins juste devant mes yeux, ses tétons érigés d’excitation.
- Ecarte un peu les jambes
- Oui, Maître
Ma main se dirige vers son sexe. Elle a fait le choix d’un sexe glabre, ce qui me convient tout à fait. Je caresse délicatement son clitoris, elle se met à vibrer, ses jambes chancellent. Son sexe est trempé à un point difficilement imaginable. L’intérieur de ses cuisses est une vraie patinoire…
- Sophie, je t’interdis d’avoir un orgasme avant de t’en avoir donné l’autorisation. On est bien d’accord ?
- Oui, Maître
Heureusement que j’ai discuté un peu avec elle avant, sinon je pourrais penser que son vocabulaire est très limité… J’ai une folle envie de la prendre tout de suite, sauvagement. Mais le jeu m’attire. Je suis sur un nuage. Je suis venu à un vernissage, et je découvre une complice de jeux d’une manière très inattendue…
- Sophie, cette première toile nous a bien inspiré. Que nous dit la seconde ? Montre la moi.
- Oui, Maître
Nous nous dirigeons vers la deuxième toile, elle avec ses bas et ses escarpins, son sexe dégoulinant de désir, et moi en chemise et veston sans rien en dessous à l’exception d’une érection triomphante proche de l’explosion…
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voulez-vous lire la suite ? vous avez la parole...
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Une fois le service fini, elle me fit m’assoir à table sur le banc en face d'elle.
Nous nous instamment tranquillement, buvant nos café, et elle me donna mon profil pour mon rôle à jouer.
Je m’appelle donc Virginie Desbas, jeune fille timide et réservée, qui sort juste de son école de secrétariat mais qui n'a pas eut son diplôme à cause d'une orthographe déplorable et d'une maladresse compulsive.
En plus de ça, je ne sait pas m'habiller correctement, j'ai beaucoup de mal à m'assumer et à me mettre en valeur et je m'habille comme un sac, en garçon manqué et passe au mieux inaperçue partout ou je vais.
J'ai loupé des douzaine d'entretiens d'embauche de secrétaire et je fais des ménage pour gagner de l'argent en attendant mais personne ne veut me garder à cause de ma maladresse et je casse plus d'objet que je n'en nettoie.
C'est donc mon entretiens de la dernière chance, la patronne est connu pour avoir des méthode plutôt originales et se basant plus sur la motivation que les compétences et toute celles qui sortent de chez elle trouvent des emploie de secrétariat prestigieux au prés de patrons, fonctionnaires et politiques très haut placés.
Je pris cinq minutes pour lire mon script et essayer de me mettre dans le rôle, et ça n'allait être ni facile ni très agréable... Je prenais le temps d'assimiler le texte lorsque je senti qu'elle perdait patience :
- "Hum hum... Bon s'il te fait une demi heure pour lire quelques lignes va falloir revoir tes cours de secrétariat depuis la base..." Me dit-elle en me faisant sortir de mes penser...
- "Mais c'est pas du tout moi ça comment veux-t-tu que je joue cette pauvre fille..."
- "Ho t'inquiète pas, tu lui ressemble beaucoup plus que tu ne le crois. Bon aller hop, on passe aux choses sérieuses si tu veux bien."
- "Bhen, c'est juste un rôle hein c’est pas vraiment sérieux..."
- "Et ce n'était pas vraiment une question... !"
Nous commençâmes donc l'entretiens. Elle me demanda des choses classiques, nom prénom, etc.. Mes études, mes expériences... Rien de bien hors du commun.
Mis à part le fait que j'étais habillé(e) en mini tailleur jupe, et que je n’arrêtait pas durant l'entretiens de devoir rabaisser un peut ma jupe trop courte. Elle n’arrêtait pas de remonter à cause des talons bien trop haut et très inconfortable que je n'arrivais pas à oublier et je ne pouvais m’empêcher de remuer les jambes, mais avec bien 15cm de talons, j'avais les cuisses collées à la table, je ne pouvais pas croiser les jambes une sur l'autre et je remuais de plus belle.
Elle continuait pendant ce temps de jouer son rôle d'employeuse, elle avait toute une série de questions sur tout un paquet de fiches et je me dit que ça risquait bien de prendre toute la journée, dans cette tenue.
Pour couronner le tout, ma veste n'avais plus de boutons, elle n’arrêtait pas de s'ouvrir largement comme je n’arrêtais pas de bouger, et je commençais à être de plus en plus mal à l'aise. Mon chemisier était très visiblement transparent, c'était la première fois que je portait un soutient gorge, devant mon amie et j'avais le nette impression de me retrouver directement exposée devant elle en lingerie...
Et plus j'essayais de refermer ma veste et de trouver une position pour la garder en place, plus ma jupe remontait, et plus j'essayais de garder ma jupe en place, plus ma veste se retrouvait ouverte et ma lingerie exposée...
Je répondais machinalement à ses questions, quand une en particulier me ramena brutalement à la réalité, me fis rougir et me mis plutôt mal à l'aise : "Est-ce que vous compter tomber enceinte durant votre contrat de travail ?"
Je me mis soudain à bafouiller une réponse négative bien sur, la fixant dans les yeux, cherchant sa réaction en demandant pourquoi cette question...
- "C'est une question de routine pour n'importe quelle femme, tu peux répondre "oui" ce n'est pas pour ça que tu échouera dans l'entretiens, mais l'employeuse doit le savoir pour s'en arranger à l'avance.
Mais je répondis toujours par la négative, ne pouvant assumer ni imaginer ce rôle.
- "Ho aller, tu peux être honnête, tu DOIS répondre "oui", pour que je puisse continuer l'entretiens et prévoir l'arrangement."
J'arrivais donc finalement à dire "oui". S’ensuivit toute une série de question toutes plus gênantes les unes que les autres. A quel moment, avec qui, si j'avais un homme dans ma vie, si je comptais faire une insémination pour l'élever seule, ou si j'étais lesbienne. Jusqu'à quel moment je comptais travailler au fil de ma grossesse, si je comptais prendre un congés maternité ensuite, etc...
Toutes ces questions me mettaient horriblement mal à l'aise et en plus de gigoter sans arrêt à cause de ma tenue, j’avais maintenant des tics nerveux... Mais je ne remarquais pas à quel point cela commençait à l'agacer et à la déconcentrer elle même.
Je commençais à me gratter les lobes d'oreille, je les avais percées il y a longtemps, mais je n'avais jamais mis de vrais boucles de femme, et leur poids se faisait sentir et elle remuaient à chaque mouvement. Je sentais le rouge à lèvre comme une fine couche humide et n’arrêtais pas d'essayer de les passer une sur l'autre. Le fond de teint, particulièrement sous le nez me démangeait tout le temps. Le mascara sur les cils les rendait si long et épais que je n’arrêtais pas de cligner des yeux. Tout cela n'avait rien de naturel pour moi et me gainait horriblement.
Lorsqu'elle se coupant en pleine question en me demandant si je voulait faire une petit pause, question à laquelle je répondit immédiatement oui.
- "Bien, fini ton café, va aux toilettes si tu as besoin et on va juste papoter tranquillement pendant une heure pour se détendre."
Je suivis son conseil et reviens m'assoir à ma place un peut plus détendue. Elle se mis derrière moi, me positionnant me dos bien droit, les jambes droites et collées, le buste bombé, les bras le long du corps, les mains sur les cuisses et la tête haute.
- "Bon on va faire une pause, tu va te détendre, et garder une position convenable sans gesticuler ni me déconcentrer sans arrêt !" Me dit-elle sur un ton amical, mais qui me faisait tout de même comprendre un début d'agacement.
Je dit que j'allais faire de mon mieux et je l'entendit s'éloigner un instant me lançant un "Ne bouge pas !", depuis le couloir.
Lorsqu'elle revint je l'entendit se positionner juste derrière moi, j'allais me retourner par réflexe lorsque que je senti sa main sur ma joue pour tenir ma tête droite en position, et elle me murmura à l'oreille : "On va voir si tu arrive à rester tranquille cinq minutes."
Juste cinq minutes... Mais ça me paraissais interminable. Ne pas bouger en attendant quelque chose n'est pas difficile et j'ai suffisamment de patience. Mais ne pas bouger en cherchant consciemment à ne pas bouger est une autre histoire.. Et le temps passe comme au ralentit.
Je l'entendait faire les cents pas derrière moi, se marmonnant des choses à elle même, je la sentais me frôler, tout faire pour me déconcentrer.
Je sentais ma jupe serrée sur mes cuisses, genoux contre genoux... Sentant le douceur de mes bas l'un contre l'autre même si je faisais mon possible pour éviter tout mouvement involontaire le plus imperceptible qui soit. Les talons très haut et trop petits qui ne se faisaient jamais oublier, mes jambes serrer l'une contre l'autre qui poussaient mes cuisses au plus haut à appuyer contre la table qui n'était pas prévus pour abriter des jambes si haut en talons aiguilles. Ma veste entre-ouverte et mon soutien-gorge quasiment à découvert devant supporter le poids de ma poitrine d'emprunt...
Soudain je senti un souffle dans mes cheveux. Elle me soufflait dessus prés de l'oreille droite, je n'avais pas l'habitude d'avoir les cheveux lâchés et j'ai le malencontreux réflexe de les refaire passer derrière mon oreille d'un geste de la main. Je compris de suite mon erreur, mais n'en réalisa pas immédiatement les conséquence.
Elle s'empara de mon poignet et y glissât une corde et avant que je puisse réagir l’enroulât autour de mon bras en m’immobilisant dans cette position.
- "Même pas cinq petite minutes sans bouger, à peine une petit quelque chose te déconcentre, et je demande à mes secrétaire de rester concentré, et disponible pour moi, à tout instant. Il va donc falloir travailler sur ces vilains réflexes et cette déconcentration si tu veux vraiment travailler pour moi..."
- "Hey.. mais... ! Qu'est-ce que tu fais... ?!"
- "Tu veux travailler pour moi où pas ? VIRGINIE !"
Dit-elle en appuyant sur le prénom de mon personnage, je compris qu'elle voulait que je reste dans le rôle...
- "Oui madame." Répondis-je d'une vois tremblante sans imaginer, sans même chercher à comprendre, ce qui se passerait ensuite.
- "Bien, alors première leçon, rester tranquille, détends toi et laisse moi faire, je te garantie que tu sera une bien meilleure secrétaire après mes leçons."
Sur ce, je la laissa faire, sans rajouter un mot de plus, je me réfugia dans mon rôle, me disant que cette situation des plus improbable ne m'arrivait pas à moi, mais à Virginie... Et que si cela était vraiment en train d'arriver à virginie, dans cette tenue, j'aimerais bien voir ça en spectatrice... heu spectateur... Voila que je commençais à m'embrouiller moi même...
Je laissais donc la scène se dérouler paisiblement, je ne disais pas un mot et je m'imaginais la scène depuis l'autre coin du salon, détaché, et trouvant cela terrible ment excitant, sexy, sensuel, nouveau...
Elle pris ensuite l'autre main de Virginie, la mienne en fait, la plaquât contre mon dos et tira une corde entre mes deux poignets, immobilisant de ce fait mes deux bras.
- "Ça va comme ça ? Tu es à l'aise ? Ça fait pas mal ?" Me demanda-t-elle, me ramenant directement à la réalité, prenant réellement conscience que c'était mon corps qui se faisait ligoter, et que j'étais bel et bien à l’intérieur à ressentir tout ce qui m'arrivait.
- "Oui c'est bon, je suis pas super à l'aise mais ça ne fait pas mal." Répondis-je d'un air timide.
Elle tira un peut plus sur la corde, jusqu'à ce qu'un petit "Ha !" timide mais présent ne m’échappe.
- "Ca fait mal là ?"
- "Non ça va encore, mais c'est vraiment pas confortable..."
Je le senti faire un geste sec dans mon dos, elle venait de faire un nœud à cette endroit scellant ainsi la position de mes bras, pour un temps qui me semblerais interminable.
- "Bien ! C'est quand c'est comme ça qu'on retient une leçon et que tu t'en rappellera."
En effet, impossible d'oublier la corde, c'était inconfortable, bien plus que le début de l'entretiens, mais cette fois je ne pouvais plus gesticuler, et ce n'était qu'un début...
S'ensuivit ensuite quelques cordes pour sécuriser ma positions, elle passa quelque fois autour de ma poitrine, dessus, dessous, m'enlaçant à chaque passage, son étreinte douce et chaleureuse, et en même temps forte et très présente. A chaque passage de corde, en m’enlaçait un peut plus fortement, à chaque fois qu'elle s'éloignait, la corde serrer un peut plus, comme si son étreinte restait en place pour que je ne puise plus penser qu'à ça.
Elle me ligotait le corps, mais elle ligotait aussi mon esprit, la sensation trop présente des cordes me retenait à l’intérieur, je ne pouvait plus m'échapper dans mon esprit pour imaginer Virginie, j'étais coincée à l'intérieur de Virginie, j'étais Virginie.
Elle me faisais un petit sourire en coin à chaque fois que nos regard se croisaient, et j'étais tout de même heureuse de la voir s’amuser comme ça, cela faisait longtemps que nous n'avions pas eut, mine de rien, une conversation aussi longue, que nous ne nous étions pas amusé comme ça, comme si nous retrouvions nos jeux d'enfants, à rigoler ensemble pour un rien, et sans mot dire, nous comprendre d'un simple regard... Et malgré mon inconfort, ma situation que je trouvais gênante au possible, habillée en femme, secrétaire hyper sexy, en train de me faire ligoter, quand nos regard se croisaient, le miens ne pouvait vouloir dire que "Vas y continue et amuse toi !"
Elle passât ensuite sous la table, et je referma instantanément, de gène, mes jambes l'une contre l'autre. Le temps de me faire ligoter les bras et la poitrine, je ne me contrôlai plus, et mes jambes avait reprise une position plus confortable, écartées et ouverte, mais on ne peut plus embarrassante quand elle arriva à se tenir sous la table juste en face de moi, et j’imaginai un instant ce qu'elle avait put voir. Si un jour elle m'avait dit qu'elle se tiendrais à un moment donné sous une table, à regarder sous ma jupe, mes jambes écartées et ma culotte bien visible...
Sans dire un mot, elle commençât a passer une cordes autour d'une cheville, puis autour de l'autre, mais je ne sentais pas mes deux cheville se serrer. Au lieu de ça, je la vie se tourner d'un coté du pied de la table, puis de l'autre coté à un pied opposé du banc...
- "Non, non non. Tu es plus à l'aise avec les jambes écartées ?"
Avant même qu'un seul mot ne sorte de ma bouche, elle tira d'un coup sec sur les deux cordes de chaque coté. Chaque cheville fut tirés à l'opposé l'une de l'autre, mes jambes s'écartèrent, et je rougie instantanément.
Elle avait laissé une trentaine de centimètre entre chaque cheville, et elle fit un nœud de chaque coté, au pied de la table et du banc, de manière à ce que mes jambes se retrouvent coincé à une certaine distance l'une de l'autre, ne pouvant ni plus les rapprocher, ni moins...
- "Je veux que tu sois à l'aise pendant la pause, si tu es plus à l'aise comme ça, grand bien te fasse." Elle se relevas pour venir s’assoir en face de moi. "Et puis tu as une si jolie culotte, j'aurais eut tord de m'en priver . Bon on avait dit une heure de pause, alors tu va tenir la pose maintenant."
Je rougie de plus belle, mais elle avait le chic pour me détendre, et pendant une heure, nous nous mimes à discuter de tout et de rien, comme deux adultes qui se retrouvent à une réunion d'anciens élèves avec plein d’anecdotes à se raconter. Comme si de rien n'était, ma position actuelle ne semblait pas plus inappropriée que ça, et en devenait simplement ludique. Elle mangeait sa tarte pendant que je la regardait.
- "Tu a le droit de manger aussi." Me dit-elle d'un ton joueur en me coupant un bout de tarte dans mon assiette.
Je m’amusais aussi de la situation, j'essayais de me pencher pour manger sans les mains, mais des cordes reliaient mes chevilles à mon dos et m’empochaient de me pencher suffisamment, je n'arrivait même pas à lécher mon bout de tarte, mais j'arrivais à la faire sourire.
Au bout d'une heure, une minuterie se mit à sonner.
- "Bien ! T'es prête à reprendre ?" Me lançât-elle d'un air enjouer.
- "Héhé, oui madame."
Elle se leva et se tins derrière moi, en passant chaque cordes de mon dos en revues, tirant de ci de là pour voir si tout restait bien en place.
- "Tu as bien retenue la leçon pour la position j'espère."
- "Oui, c'est bon j'ai bien compris là."
- "Tant mieux..."
Je commençais à avoir des fourmis partout, et ma condition me revins à l'esprit après ce petit moment de détente, et je trouvais ma position bien plus inconfortable que je l'imaginais après qu'elle m’aie fait ressentir de nouveau chaque corde.
Elle se replaçât sous la table, j'avais les chevilles écartées, mais je serrait mes genoux autant que possible.
Elle mis chaque main sur une cheville, testant là aussi les cordes.
- "Et pour tes jambes..."
Elle se mis doucement à me caresser les chevilles, elle remontât doucement les mollet, je sentais ses mains par dessus le voile de mes bas, sa caresse me donnât un frisson dans tout le corps. Elle remonta jusqu'à mes genoux.
Et elle les écarta d'un geste net.
- "Et tes jambes, tu compte toujours poser les jambes écartées ? A montrer ta culotte à n'importe qui ?"
- "Heu non madame, j'ai bien retenue la leçon, on ne peut mieux."
- "Tu vas garder les jambes bien serrées même si ce n'est pas confortable alors ?"
- "Ho oui madame, promis et je n'en bougerais pas cette fois."
Elle redescendis alors ses mains sur mes chevilles, et elle défit doucement les nœuds. Sans même me toucher, je sentais ses caresse à travers la corde qui glissais sur mes jambes, le léger crissement sur mes bas me fit replonger un instant dans mon monde de fantasmes. Des bas si doux sur de belles jambes si douce également, à même la peau, une peau de bébé bien épilée...
Elle s'affairait à commencer à me libérer pendant ce temps, et je me disais quand même que ce n'était pas trop tôt. Je pouvais m'habituer à la tenue de secrétaire, mais être ligoter comme ça tout une heure, plus le temps qu'elle avait mis à me ligoter depuis le début... Je n'était pas mécontenta de pouvoir recommencer à bouger un peut. Je me dégourdissait un peut les cheville en faisant des petit rond le temps qu'elle me libérait enfin.
- "Ho mais je sais que tu les serrera, et que tu ne bougera plus. Parce que je vais te l'apprendre maintenant."
Mes chevilles étaient libre, mais j'avais toujours une corde noué autour de chacune d'elles. Et d'un coup sec, elle tira sur une cordes et me chevilles se retrouvèrent collée l'une à l'autre sans aucune autre possibilité de mouvement.
Elle se relevant, se mis derrière moi, en tenant à la main un long bout de corde, celui relié à mes chevilles. Elle le fit passer à ma verticale sous al table et sous le banc, et fit remonter la corde jusque dans mon dos, en serrant bien plus cette fois, forçant mes pied à revenir en arrière jusqu'à ce que le hauteur de mes cuisses colle à la table, et sécurisa cette position d'un nouveau nœud.
Elle ne me libérait pas, elle m'enfermait dans une nouvelle position.
Elle sécurisa sa prise avec plusieurs allés et retours entre mes chevilles et mon dos, la passant même autour de ma poitrine de sorte qu'en tirant sur mes jambe la pression se faisait sentir sur ma cage thoracique.
Elle se releva, vérifia son ouvre une dernière fois.
- "Bien !"
Je me retournais vers elle d'un air interrogateur...
- "Il est 10H30, on a encore bien 2H d'entretiens pour se matin, on a pris du retard avec tout ça mais ça peut aller..." Me lançât-elle amusée et en fredonnant tout en retournant s'assoir en face de moi pour trier ses fiche et recommencer l'entretien d'embauche de sa secrétaire...
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Un bandeau sur les yeux
Cache mon regard bleu
Une porte fermée
Mes poignets menottés
Je Vous entends arriver
Vous allez me dominer
Je laisse mon corps exulter
Et Vos mains me caresser
Ivre de Vos baisers
Mes désirs se laissent exaucés
Je sens Votre glaive en mon corps
Et j'en veux plus encore
Je me livre à Vos instants
Vous m'attirez tel un aimant
J'aime être attachée
Je me sens libérée
Vous détachez mes poignets
Et Vous m'enchainez
Chaîne reliée à mes pieds
Mais la nuit est passée
Et je réalise que j'ai rêvé
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Franc
Respectueux
Attentif
Naturel
Complice
Ode
Instinct
Sensations
Ferveur
Regard
Abandon
Nuque
Cravache
Offrande
Instants
Sincère
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Vendredi 15 novembre
Première séance à trois
Moment enfin arrivé. Je suis très émue et très excitée. De savoir que nous allons commencer notre première séance à trois me bouleverse et me stimule. J’attendais tellement ce moment, pouvoir réaliser un de vos rêves, un de vos rêves que je partage pleinement aujourd’hui. Rêve d’avoir deux soumises qui s’abandonnent à vos perversions.
Vous nous placez l’une face à l’autre, marine à genoux, cuisses ouvertes lisant un texte que vous avez écrit avec les règles de base pour devenir une bonne soumise et moi attachée sur le fauteuil.
La lecture de marine me replonge au temps où j’avais moi aussi découvert les règles, vos règles pour devenir une bonne soumise, votre soumise. Je me souviens à l’époque le ras de marée en moi, bouleversée entre ce que représentaient ces règles dans la réalité et mon souhait de les vivre.
Vous installez la love machine entre mes cuisses ouvertes, mon sexe est déjà trempé de désir et pendant qu’elle commence à me pénétrer, la voix émue de votre soumise Marine me berce dans un océan d’amour. Je suis heureuse d’entendre à nouveau ces règles qui pour moi me confirme encore une fois ma volonté et mon désir d’être votre soumise et de m’abandonner à notre amour.
Pendant que marine lit, vous sortez la badine. Elle a la chance de recevoir les premiers coups. À chaque coup reçu par marine, ma peau frémit de désir. Je vous regarde entre deux vagues de jouissance qui me traversent. Quelle joie immense de vous voir mon Maître profiter de cette instant et d’exprimer votre domination sur une autre soumise que moi. J’ai pris un plaisir immense à vous regarder tous les deux. D’entendre et de voir marine sous votre badine ainsi que chaque supplice qu’elle recevait, mon excitation augmentait. J’avais envie de devenir chienne de jouissance pour vous servir.
Quand j’ai entendu marine s’étouffer avec votre sexe dans sa bouche, je ne vous voyais plus, la love machine était plus rapide, impossible pour moi de me contrôler. Une rage de désir s’empare de ma tête et de mon corps. L’envie de vous sucer mais surtout de recevoir votre jouissance m a rendu folle. Heureusement vous m’avez rejoint avec votre badine et j’ai trouvé du réconfort quand votre badine a rencontrée la peau de mes cuisses ouvertes plus que jamais.
Durant cette première séance, nous avons fait plusieurs petites pauses. Mais je restais dans mon monde magnifique de plaisir, entendant vos paroles avec Marine. Je n’arrivais pas à redescendre. Je prends soin de ne pas perdre une miette de cette état de grâce si précieux.
Nous nous retrouvons allongés tous les trois, tendre moment de câlins. Vous exigez de marine qu’elle se baisse et qu’elle commence à vous sucer. J’attendais, impatiente, que vous me demandiez la même chose. Nos regards se sont croisés et vous avez pu voir dans mes yeux le désir qui débordait.
Nous finissons toutes les deux sur votre sexe. Deux gourmandes, heureuses de vous montrer à quel point nous étions reconnaissantes de toutes vos attentions pendant cette première séance à trois.
Mon envie de vous donner du plaisir était décuplé, je vous suçais et vous léchais avec fougue.
Pour finir cette séance, vous installez marine sur le fauteuil, attachée, cuisses ouvertes, la machine entre ses cuisses.
Je suis assises au sol, face à marine en position d’attente. Position inverse du début de séance. Vous me tendez un godemichet et me demandez de me rapprocher de marine.
Pendant qu’elle se fait prendre par la machine, je vous vois lui torturer ses mamelles.
Je découvre en moi un plaisir intense de voir mon Maître faire mal à une autre. J’avais envie au fond de moi que vous lui fassiez mal. Je n’ai pas compris ce ressenti sur le moment. Mais je comprends aujourd’hui que cette envie est liée au besoin que j’ai de me dépasser et de m’abandonner à vous, que ce soit dans le plaisir ou la douleur, pour que vous puissiez vous exprimer complètement.
Notre relation je la vis dans mon abandon à vous pour que vous puissiez vous exprimer alors j’ai transféré cela sur marine. J’avais envie que vous puissiez vous exprimer avec elle et comme je sais que vous aimez faire mal j’ai souhaité que vous lui fassiez mal.
J’entends gémir et crier votre soumise. Je vois son corps se tendre retenu par les cordes.
Je me caresse avec le vibromasseur que vous m’avez donnez et je m’évapore dans ce monde de jouissance.
Mon Maître d’amour, je repense à votre magnifique visage qui regarde vos deux soumises. Magique cette image.
Nous avons tellement bataillé tous les deux pour en arriver là.
Je vous remercie de prendre autant soin de moi, vous avez su gérer cette première séance à trois, toujours avec attention et amour pour moi et j’espère du plus profond de mon coeur être toujours à la hauteur, par mon abandon sans fin à vous et à votre amour.
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Il me semble que ce n'est pas exactement la même chose, un soumis ou une soumise...Question de vocabulaire, peut-être ? Dans le mien :Un soumis obéit, se prosterne, adule et vénère.Une soumise obéit, respecte, craint, admire.Un soumis est un objet, un jouet magnifique, un instrument de plaisir.Une soumise est une chose. Ou une petite chose.Un soumis se donne, se prend.Une soumise se gagne, et puis s'offre.Une soumise vous touche.Un soumis vous émeut.Un soumis est un valet, un serviteur zélé.Une soumise est une soubrette... mais elle reste une princesse.
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Chapitre IV suite et fin.
Après Daniel, c'est au tour de Jean-Louis de venir s'installer dans ma bouche. C'est plus aisé pour pour moi, il a une petite bite fine et pointue. En face, Maitre Henry est penché entre mes cuisses largement ouvertes au dessus de ma chatte et de mon anus, tenant à la main le petit étui à cigare métallique. Le tube sort du freezer du frigo. L'eau qu'il contient s'est transformé en glace. De son pouce Henry force mon petit oeillet de plusieurs va-et-vient et sans ménagement enfonce le tube gelé dans mon trou du cul.
L'effet est surprenant, le tube glacé est entièrement avalé en moi, une dizaine de centimètres. Il n'est pas gros mais pour éviter l'expulsion Henry maintient la pression sur le bout du tube qui dépasse. Je bouge dans tous les sens, ce n'est pas la taille de l'objet qui me fait souffrir, c'est le froid.
Le froid s'étale en moi comme une brûlure. Jean-Louis toujours accroupi, la bite enfoncée dans ma bouche me tient par la taille pour m'éviter de trop bouger.
Sous l'effet du froid, mes chairs se contractent. J'essaie d'expulser ce curieux suppositoire de métal. J'ai en moi comme une stalagmite de glace plantée dans mon anus. Manu au bord de l'excitation remplace Jean-Louis dans ma bouche avec sa grosse queue je n'arrive pas à reprendre mon souffle. Maitre Henry lâche le tube à cigare planté en moi.
Ravi de son pouvoir, Maître Henry va chercher une bougie posée sur l'étagère. Il demande aux invités de prêter attention à ce qui va suivre.
D'un geste leste il enfonce la bougie dans mon vagin déjà électrisé par les gâteries des hommes. Le bout de la bougie dépasse de mon vagin. Les hommes sont satisfaits et encourage Henry à l'allumer.
Maître henry gratte une longue allumette en enflamme la bougie blanche qui contraste avec ma peau noire. Même si je suis écartée au maximum, je sens la chaleur de la petite flamme à l'intérieur de mes cuisses.
Henry demande à Jean-Louis de bien me maintenir ainsi afin d'éviter des mouvements trop brusques, je suis suspendue comme une toupie. L'effet du froid dans mon cul s'estompe, cela devient supportable.
C'est au moment où je pense que tout est terminé que la cire chaude s'écoule par gouttes entre mes lèvres de mon vagin et la raie fessière jusqu'à l'anus. Plus je bouge, plus je sens la flamme de la bougie contre la peau de mes cuisses.
Henry demande à mon mari d'éteindre la lumière, je suis ainsi offerte aux regards des hommes, la bougie se consumant entre les lèvres de ma chatte.
Voilà Messieurs dit Henry, la Liberté sexuelle éclairant le Monde, elle est quand même mieux que celle de New-York, dit-il.
La Liberté pour les Maîtres bien sûr, la liberté de baiser, de punir, de jouir, de fouetter, d'utiliser les esclaves. Des photos sont prises pour immortaliser cette pose mémorable.
Il invite aussi ses clients et amis à allumer leur cigares à la flamme de mon sexe.
C'est la première fois que je sers d'allume-cigares à des hommes. Raymond me dira plus tard ne pas avoir apprécier cette façon de faire.
Je ne vais pas être au bout de mes surprises, Daniel se met à pisser sur moi en dirigeant bien son jet sur mon visage.
Surpris Manu quitte ma bouche pour ne pas être éclabousser par l'urine de Daniel qui se comporte comme un soudard.
Daniel s'approche de moi , me tient la tête et introduit sa queue dans ma bouche et se remet à pisser dru, je ne peux rien faire d'autre que d'avaler son urine, la tête en bas ma bouche déborde, je ne peux pas tout avaler. Ce sera ma première et dernière expérience uro. J'ai fait savoir à Maître Henry que je n'appréciais pas ce genre de chose.
Chez Maître Henry à Toulouse c'est le dressage extrême.
Dégoulinante de pisse, de sperme, de bougie, et de sueur, Henry me détache. Ainsi barbouillée, il me fait mettre à quatre pattes et me fait tenir en bouche un petit panier en osier. Il est temps pour les invités de passer à la caisse.
Daniel, Manu et Jean-Louis déposent leur offrande sans rechigner. En bonne chienne je rapporte le panier à mon Maître qui me flatte la croupe satisfait de mon comportement.
Après une bonne douche et une demi-heure de répit, la séance baise-gang-bang peut commencer.
On se retrouve tous dans le salon. Même Raymond est à poil. Maître Henry déclare aux hommes que je suis la pute de service et que je peux être utilisée dans toutes les positions, à deux, à trois ou plus, autant de fois qu'ils le désirent, tous mes orifices sont disponibles.
Les cinq hommes sont attablés, je dois commencer mon service seulement vêtue de mes bas noirs, des mes hauts talons et de mon collier de chienne. Tout est permis.
J'éprouve à la fois un plaisir et une inquiétude indescriptible d'être ainsi livrée à la lubricité des invités de la soirée. Je suis la pute offerte et consentante.
Une nouvelle fois je vais être fouillée, saccagée, malmenée, baisée, sodomisée.
En sortant de la cuisine avec un plat, je m'approche de la tablée avec les petits fours et les canapés. Pendant mon service je sens des milliers de doigts me palper, s'insinuer en moi. Je dois accomplir le service dans les meilleures conditions, ce n'est pas facile. Je sers à boire, je frissonne sous les caresses. Mes lèvres sont gonflées à bloc, je mouille comme une fontaine. Les hommes boivent et mangent en échangeant des propos orduriers me concernant. Je suis traitée comme une moins que rien. Il faut dire que depuis ce matin ,je ne suis rien. Rien qu'un trou à plaisirs. Les bouchons de champagne tonnent à un rythme effréné comme les suçages, les enculades et autres frivolités du moment.
A genoux aux pieds de Daniel je suce sa grosse queue, mon va-et-vient fait flic-flac, il s'enfonce au maximum encouragé par les autres. Je suis entre lui et Raymond, je suce sans réserve le gros bengala de Daniel devant mon mari, par moment je déglutis, il ahane, il fait des han, han, han en avant de décharger ses batterie nullement gêné par la présence de mon mari à ses côtés. Il essuie sa bite sur mon visage.
De son côté Henry est encore allé cherché un étui à cigare dans le frigo, il veut procéder à une nouvelle opération dans mon anus. Il demande à Raymond de bien me tenir. A mon grand étonnement mon mari me ceinture afin que je ne puisse pas bouger pendant l'intromission du tube glacé. Daniel me tient fermement la tête, la bite enfoncée dans ma bouche. Des regards avides me regardent, me matent avec au dessus de moi des forêts de bites grosses comme des branches. Les hommes se branlent. Raymond est aussi debout la bite à la main, il se branle comme les autres.
Je suis heureuse qu'il se joigne enfin à nous, la situation de voir sa femme prise depuis le matin par des hommes différents devait être trop excitante pour lui.
Pour le final, je suis contente car je vais recevoir la semence de cinq hommes en même temps.Un bukkake. Ma récompense.
Allons, Messieurs dit Maître Henry, nous allons honorer cette belle salope de la meilleure façon qui soit pour elle, nous allons cracher notre jus d'homme sur son visage.
En moins qu'il ne faut pour le dire, je suis arrosée de sperme, de grosses giclées épaisses souillent mon visage, mes paupières, mes seins. Ma bouche gourmande et pulpeuse a du mal à retenir le trop plein de sperme, c'est un florilège qui explose en même temps.
Pour finir, Je suce au hasard, je nettoie les bites qui se présentent à moi. J'ai des aspirations goulues d'une femelle lubrique qui avale les tiges jusqu'aux testicules de mes compagnons. Les pompages de noeud se succèdent, je ne suis plus qu'un jouet, un automate. Je ne sais plus qui je suce, qui je nettoie, je le fait mécaniquement.
Je pratique maintenant le sexe avec une assiduité exemplaire et je voue au culte d'Eros et aux braquemarts tendus vers moi une dévotion sans borne.
Après une dernière coupe de champagne, Maître Henry mit fin à la séance. Cela faisait cinq heures que j'étais entre les mains de Maître Henry et de ses invités. Une première journée enrichissante à tous points de vue. Neuf hommes en tout dont cinq en même temps. Vingt trois invités au total pour les trois jours.
Raymond me calma,me rassura, me félicita en me traitant de sublime salope.
Je ne sais pas où cela va nous mener dit-il mais tu à l'air tellement heureuse dans ce que tu fais qu'il est difficile de t'interdire quoi que ce soit. Par la suite, je suis retournée une fois par mois chez Maître Henry en organisant des soirées à thème rien que pour moi. A chacune des mes visites Manu, le cafetier de Carcassonne n'en ratais pas une. Ils sont devenus mes amis.
Avant de quitter Toulouse pour retourner à Paris, Maître Henry nous invita Raymond et moi dans une magnifique auberge pour un dîner aux chandelles où le sexe n'avait pas sa place
A suivre.
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Joyeux anniversaire
Ode à Mon Maître
Y a du désir, de l'émotion, des sensations
Enchaînée dans cette enivrante passion
Une joie à Vous retrouver chaque fois
Ximenia pourrait qui sait, orner une croix
Annoncer en ce jour, le bonheur de Vous
Nous et ce lien qui m'unit à Vous
Ne jamais renoncer à ses rêves
Il faut être prêt (e) quand ils arrivent
Vivre ces moments de partage
Etre digne et Vous rendre hommage
Respect de ce collier, de notre relation
Sous vos maux distiller avec délectation
A vos pieds, je m'épanouis
Ivresse, lâcher prise, je jouis
Ravie de Vous connaître
Et tous mes voeux pour Votre anniversaire
Le 25 juin 2011
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Chapitre IV suite.
J'étais là, nue fixée à la croix de St-André. Les spectateurs ne perdent rien de la scène qui se déroule, ils sont nus en érection et échangent entre eux de propos obscènes à mon encontre
J'ai vraiment envie de fouetter ton beau sexe ouvert me dit Maître Henry en ricanant. Qu'en pensez-vous Messieurs !
Le martinet de cuir vint cingler une premier fois mes chairs intimes. Je baisse la tête et serre le dents pour ne pas crier.
Maître Henry introduit un doigt dans ma chatte épilée, Je me trémousses de plaisir et d'excitation.
Tu aimes qu'on t'écarte bien, tu dois aimer les grosses bites de nègres, hein salope ?
Tu peux crier tant que tu veux, je vais te dilater au maximum, ces Messieurs sont venus pour voir ça avant de défoncer comme une chienne.
Henry demande à Jean-Louis de tirer sur la corde afin de tendre mes bras encore plus haut. Mes bras sont tendus à l'extrême dans cette position je suis sur la pointe des pieds.
Je tremble de tout mon corps dans cette position sur la croix de St-André, Je supplie mon mari du regard. qui hélas ne peux rien pour moi.
Lentement Maitre Henry insère plusieurs doigts dans l'étroit passage de ma chatte. Sous la pression je suis prise de soubresauts très forts. Maitre Henry me pénètre plus en avant dans mon sexe. J'ai mal.
Maitre Henry est un Maître sévère, il est réputé pour sa dureté. Une fille qui vient chez lui sait pourquoi elle est venue. Un dressage chez Maître Henry de Toulouse, c'est comme recevoir un prix d'excellence dans le milieu sadomasochiste. Les esclaves passées entre les mains de Maitre Henry sont très demandées ensuite, c'est une bonne carte de visite. Maître Henry me fistait.
Les yeux exorbités, je me rendis compte que Maitre Henry avait introduit sa main jusqu'au poignet à la limite de sa montre Rolex. Je poussais un hurlement de louve blessée.
Qu'est-ce qu'elle jute cette pute dit Manu à ses compagnons qui applaudissait l'exploit de Maître Henry.
En dressage, c'est le Maître qui est à l'honneur, pas l'esclave qui est simplement là pour subir.
J'avais mal mais je jouissait en poussant des cris de sauvage, ma chatte était à la limite de l'éclatement. Henry avait le poing planté en moi, il vrillait, allait de droite à gauche. Manu faisait des photos. Maitre Henry enleva délicatement son poing de ma chatte.
Les hommes présents prirent conscience à ce moment précis que j'étais devenue une véritable soumise lorsqu' Henry me donna son poing à lécher. Ce que je fis goulûment.
La séance n'était pas terminée, Maitre Henry invita les invités à venir admirer l'ouverture béante de la chatte de Safi. Le Maître de maison demanda à l'assistance de prêter attention à la prochaine punition de Safi.
Les pinces et les poids sur le bout des seins et les lèvres vaginales.
Pour détendre l'atmosphère, Henry invita les Daniel, Jean-Louis et Manu à fouetter mon ventre et mes seins.
Une chaîne fût placée entre les deux pinces crocodile sur les bouts des tétons sensibles de Safi. Maître Henry y accrocha un poids en plomb ce qui eut pour effet de tendre vers le bas les gros tétons de Safi.
Manu s'approcha d'elle avec un autre poids. Sa queue tendue, gonflée frottait contre le ventre de Safi, il essaya de s'introduire en elle. Henry lui demanda de ne rien faire. A contrecoeur, Manu s'exécuta. Il avait envie de me baiser.
En bon Maitre, Henry cravacha mes seins. Je ressentis une double douleur, les lanières de cuir et les pinces sur mes tétons. Chacun y alla de cinq coups que je devais compter à voix haute.
Un, deux, trois....
Manu prenait un malin plaisir à s'occuper de moi ainsi. Ses deux premiers furent mesurés. Le troisième claqua dans la pièce, il fût si violent qu'une pince se détacha d'un téton.
Les poids étaient maintenant suspendus à un seul téton. J'ai lâché un cri horrible à réveiller tout l'immeuble, tant la douleur était vive.
Raymond se leva pour intervenir. Je l'arrêtais.
Non Chéri, je dois être punie, je le mérite, laisse faire ces Messieurs, je dois remplir mon contrat, ils ont raison, je ne suis qu'une pute dis-je avant d'éclater en sanglots.
Laissons la récupérer un peu, allons sabler le champagne. Qu'en pensez-vous ? Elle est endurante cette petite, elle est très motivée, c'est un bon élément, je suis reconnaissant à tous les Dieux du monde Sm de l'avoir mise sur mon chemin.
Prochaine épreuve : la poulie.
Henry détacha Safi et lui proposa de venir se désaltérer avec du champagne comme une chienne dans une écuelle. Je lapais le délicieux liquide avec la langue. Manu trempa sa bite dans la flute et me la donna à lécher.Malgré ces quelques minutes d'attention, les brimades ne sont pas terminées pour autant. Je venais à peine de récupérer que je fus aussitôt empoignée et plaquée, la poitrine contre un mur froid, où je fus fortement fouettée sur le dos les fesses et les cuisses sans préparation.
Pour augmenter ma peur, Henry me banda les yeux.
Allongée sur le sol, mes cuisses furent ouvertes sous la pression de mains fermes de de langues douces qui rendaient un vibrant hommage à mon intimité vaginale. Ce traitement ne dura guère. Henry voulait me "bonder" avec ses cordages.
Tenues bien droite par Manu et Daniel, les deux costauds, il entreprit de me lier les seins. La tâche n'était pas facile compte tenue de la petitesse de ma poitrine. Il y parvint cependant. Mes deux seins ressemblaient à deux petites figues. Henry tira dessus et me fit mal. Après quoi il m'ordonna d'écarter les cuisses et fit passer une corde rugueuse dans ma fente et particulièrement sur mon clito en tirant très fort pour la faire glisser dans ma raie fessière pour le nouer avec la corde qui retenait mes seins . Le chanvre pénétrait fortement mon intimité et comprimait mon clitoris et aussi l'oeillet de l'anus.
Henry me faisait tourner et pivoter sur moi même pour parfaire sou oeuvre de saucissonnage à ses invités.
Maître Henry s'adresse à ses amis ; Ce n'est pas la peine de lui mettre une grosse bite dans le cul, une simple ficelle suffit à la faire jouir au maximum.
Ainsi ficelée la poulie m'attend, des cordes, des chaînes pendent du plafond,et des poutres, une poulie en bois avec une espèce de barre de trapèze.
Un trapèze avec à chaque extrémités des bracelets en cuir.
Allongée sur le dos, mes poignets et mes chevilles sont entravées par les bracelets de cuir. Ainsi attachée, lentement il actionne la poulie et je suis lentement soulevé du sol, je suis dans la position d'un crapaud à l'envers
il peut me travailler à loisirs. Daniel prend des photos.
Sans ménagement Maitre Henry m'introduit toutes sortes de godes, des gros, des petits, en métal, en bois, en latex, des vibrants,des gonflables. Je suis un jouet vivant.
Nu Daniel m'enjambe, il écarte ses cuisses sur mon visage et me donne ses grosses couilles épilées à lécher. Ma langue s'insinue dans son anus, je lui titille l'oeillet avec plaisir. Daniel est heureux je lui bouffe les burnes en essayant d'en mettre le maximum dans ma bouche. Lui continue de se branler. Ma tête est enfouie dans ses fesses, je le lèche comme un enfant qui lèche un fond de casserole. Soudain Daniel lâche un pet odorant et sonore. J'essaie de trouver un espace pour respirer, l'odeur nauséabonde m'incommode.
Fier de lui Daniel m'enfonce sa grosse bite dans la bouche. Je suis là suspendue Daniel, Jean-Louis et Manu me palpent, pincent, tirent.
Ecartelée, j'offre ma vulve et mon anus à la caresse buccale des invités.
Après quelques minutes d'absence, Maître Henry revient dans la pièce avec un petit tube en métal, un tube à cigare. Il demande Daniel de rester là où il est, c'est à dire dans ma bouche chaude et baveuse.
De l'autre côte la langue de Manu le cafetier de Carcassonne viole mon oeillet sa langue est devenue habille, il est infatigable.
Malgré la position humiliante dans laquelle je me trouve , écartée, ouverte, obscène, j'aime être là. C'est hommes bandent pour moi,ils ont envie de moi. Ils payent et ils peuvent m'utiliser comme bon leur semble. J'aime ça.
Si on m'avait prédit un jour que je ferai ce genre de choses, je me serai fâchée et je me serai sentie salie, choquée, outrée. Pourtant je suis là contente, et j'espère que je vais être utilisée de la sorte. Je ne peux pas définir cette sensation d'abandon total, la négation de soi.
A suivre....
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Chapitre IV suite.
Mes rencontres de la demi journée, n'étaient que de mises en bouche selon Maître Henry.
Je n'ai qu'une heure pour me préparer,pour installer le buffet, puisque ce soir en plus du dressage je dois aussi faire le service pour ces Messieurs avant d'être livrée aux invités.
Maître Henry me donne ses dernières consignes une dernière fois. Ce que je dois faire, comment je dois me comporter.
Au niveau habillement il choisit finalement le string et le soutien gorge en perles que j'ai amené avec moi, une fabrication 100% sénégalaise. Les petits fours et les canapés sont disposés sur la grande table, les boissons aussi.
Toute la vaisselle et les ustensiles sont rangés dans la même pièce afin que je ne disparaisse pas aux regards des invités.
En principe ce soir les invités ne se connaissent pas, c'est à moi en quelque sorte de les mettre à l'aise, je dois aussi répondre au téléphone et à l'interphone de l'appartement, je n'ai ni le droit de boire, ni le droit de manger sans l'autorisation du Maître.
Maître Henry demande à mon mari Raymond s'il souhaite participer au dressage et s'il doit le présenter comme le mari de la soumise. Raymond décline l'offre de participation mais accepte d'être présenté comme le mari de la salope à punir. Je suis fébrile. Je vais être baisée,dressée, battue, devant l'homme que j'aime par des inconnus.
Pour mieux m'humilier, Maître Henry m'ordonne de lui sucer la queue.
La cravache à la main il s'installe dans le fauteuil et sort sa grosses bite violacée.
A genoux aux pieds du Maître, j'entreprends une magistrale fellation sous les yeux de mon mari.
Mes deux bras sont posés sur les cuisses de Maître Henry, mes lèvres décalottent le gros gland de mon Maître jusqu'à la naissance des couilles. J'étouffe, je suffoque.
Maître Henry me parle pendant que je le suce, me demandant d'aller plus loin en me tenant fermement le cou. Je n'ai pas le droit de me servir de mes mains. Je fais ce que je peux. D'une main il me cravache les fesses. Je crie sous la brûlure du cuir sans pour autant pouvoir lâcher la belle grosse bite de mon Maître. Ce dernier me force à aller plus loin en m'insultant.
Tu as intérêt à travailler mieux que ça tout à l'heure sur mes invités si tu ne veux pas recevoir le fouet.
Sa bite cogne à l'intérieur de mes joues. Son gland prend des proportions considérables sous ma succion, ma bouche travaille très vite, ma salive coule le long du pénis de mon Maître.
Maître Henry m'inonde le palais et la luette d'un jet chaud et épais. Je m'empresse d'avaler le tout et de nettoyer la grosse tige de chair souillée de sperme et de salive sous peine d'un coup de cravache.
Il ne laisse pas de trace mais il sait faire mal.
Juste au moment où le travail de nettoyage de bite est terminé,la sonnerie de l'interphone retentit, c'est le premier invité qui arrive....
Debout rapidement, je décroche l'interphone en disant :
Oui bonsoir, résidence de Maître Henry.
A l'autre bout de l'appareil une personne me répond :
Bonsoir , je suis Manu, je viens pour la soirée.
Oui Monsieur, vous êtes attendu fis-je d'une voix suave en indiquant l'étage et le numéro d'appartement avant d'actionner l'ouvre-porte et de raccrocher l'interphone.
A toi de jouer maintenant dit Maître Henry.
Mon coeur bat très fort, mes petits seins se soulèvent à un rythme saccadé, le soutien gorge en perles ne cache rien, je regarde mon mari qui me sourit et qui m'envoie un baiser du bout des doigts.
La sonnette du palier retentit, je suis derrière la porte ainsi vêtue presque nue pour recevoir les invités.
Après une légère hésitation j'ouvre enfin la porte, toute souriante comme si de rien n'était, comme si j'étais habillée pour recevoir des amis.
En ouvrant la porte, je découvre sur le palier un homme de grande stature, brun, frisé, une petite moustache, bien habillé. Il est visiblement étonné de me voir presque nue. Je l'invite à entrer.
Il se présente :
Bonsoir, je suis Manu, je viens de Carcassonne et je suis l'invité d'Henry me dit-il.
Bonsoir Monsieur, soyez le bienvenu, je suis Safi, je suis ici pour vous servir et accéder à tous vos désirs, même les plus secrets. J'ajoute la phrase rituelle, n'hésitez pas à user et abuser de moi.
Puis-je vous débarrasser de votre veste ? Asseyez vous. Puis-je vous offrir à boire ? Whisky, Ricard, Martini, gin, Porto, Bière,Jus de fruits ?
Une bière s'il-vous-plait !
Tu es prévenue me dit Henry, si tu fais trop de mousse, tu auras une punition au choix de notre invité.
Tremblante, je présente à Manu sa bière sur un plateau, je sers la bière en faisant attention de ne pas faire de bêtises. Raymond dans son coin me regarde avec tendresse.
Une fois la collation servie, je vais m'asseoir aux pieds de mon Maître. Les trois hommes discutent de tout et de rien, je reste à genoux les mains derrière le dos la tête baissée.
Maître Henry parcours mon corps avec sa cravache comme pour montrer à l'invité ma docilité au bout de quelques minutes, mon punisseur m'invite à me lever et à me présenter. Je commence à égrener ma ritournelle.
Je m'appelle Safi, je suis en dressage Chez Maître Henry pour trois jours avec l'accord de mon mari ici présent, pendant ces trois je serai sa chienne sa soumise, sa salope sa pute et si vous le voulez bien la vôtre.
Henry me pousse vers Manu en disant : Montre-lui ce que tu as à offrir.
Je me place debout en face de Manu qui est assis. Son visage est juste à la hauteur de mon ventre. Il me regarde avec intensité et me pose une question. C'est toi la salope de service ce soir ?
Oui Monsieur.
Il me fait pivoter sur moi même,de sorte à avoir mes fesses devant son visage, mon ensemble de perles ne cache rien de mon corps. Manu me demande de me baisser et d'écarter au maximum mon cul. En bon connaisseur de salope, il soupèse les deux globes de mes fesses comme s'il s'agissait de deux melons bien mûrs. Il écarte brusquement mes fesses pour mieux apprécier l'oeillet de mon anus qui frémit sous son regard. Il tâte ensuite mon sexe lisse et les plis de mes lèvres. Il fouille profondément à l'intérieur m'obligeant à lâcher un petit cri.
Tout en m'examinant il continue à parler avec Henry, le félicitant d'avoir un beau petit bijou pareil à sa disposition. Il s'adresse également à Raymond en lui disant que je suis un bel animal sauvage. De nouveau face à lui il me demande si j'aime avoir mal.
Oui Monsieur dis-je, j'aime ça, je suis ici pour ça pour vous donner et vous faire plaisir.
Tu es bien rasée, j'aime les femmes lisses.
Sans attendre, il commence à me couvrir le ventre de baisers avant de descendre plus bas à la naissance de mes lèvres.
A genoux, les jambes écartées, les mains derrière le dos, Manu examine ma poitrine.
C'est tout ce que tu as à m'offrir comme nichons salope ! Subitement il m'administre une énorme claque sur un sein.
Surprise je crie de douleur. Aussitôt il tire le tétons droit vers lui.
Je croyais que tu aimais avoir mal me dit-il
Oui Monsieur j'aime ça, tirez plus fort, je vous en prie dis-je d'une voix faible.
Il n'attendit pas deux fois pour se satisfaire.
Tu sais sucer aussi parait-il ?
Oui Monsieur, mon mari dit que je suis la meilleure suceuse black de Paris répondis-je effrontément. Il me regarda étonné la bouche ouverte : Tu ne crois tout de de même pas que c'est moi qui vais sortir ma queue tout seul, c'est toi la salope de service.... c'est ce que tu m'as dit tout à l'heure.
Oui Monsieur excusez moi.
Immédiatement j'entreprends de lui ouvrir sa braguette et de défaire sa ceinture.
Ma main cherche sa bite; à mon contact son énorme braquemart se dresse comme un diable à ressorts qui sort de sa boite. Manu est fort bien pourvu. Surprise par la taille je saisis la bite à deux mains en le décalottant au maximum avant de l'enfouir dans ma petite bouche. L'homme m'attire à lui et s'installe confortablement pour sa première fellation.
Visiblement Manu apprécie ma prestation en félicitant mon mari.
Sa bite est grosse et lui bouge sans arrêt à tel point qu'elle glisse souvent hors de mes lèvres.
J'espère dit-il que tu aimes le jus d'homme car il n'est pas question pour moi de jouir hors de ta bouche.
Sa phrase à peine achevée qu'il décharge sa jouissance au fond de ma gorge. Surprise par le flot de sa semence, j'ai failli m'étouffer.
Manu s'adresse alors à Raymond pendant que je nettoie sa bite : Avec une petite pute comme ça, tu ne dois pas t'ennuyer tous les jours, elle est très bonne, c'est une super pipeuse, il faut l'essayer pour s'en rendre compte.
J'ai à peine le temps de me nettoyer le visage que l'interphone sonne à nouveau.
En ouvrant la porte palière, je suis surprise de voir deux hommes. Ils ne se connaissent pas mais ils sont arrivés en même temps. Ils s'installent dans le salon.
Il y a Daniel le plus jeune et Jean-Louis qui est aussi fort que Manu. Je suis là nue devant les nouveaux arrivants.
Toute cette faune mâle examine la marchandise que je suis devenue. Je dois prendre des poses plus ou moins humiliantes selon les directives de l'un et des autres. Chacun y va de son commentaire plus ou moins salace. Chacun m'examine de près écartant les chairs de mon sexe et de mon anus. On s'intéresse aussi à ma bouche que l'on me fait ouvrir en grand. On me fait sucer des doigts qui l'instant auparavant étaient plantés en moi, je dois déguster sur les conseil de mon Maître ordonnateur et sous les yeux de mon mari.
Messieurs dit Henry, nous allons passer aux choses sérieuses, nous allons dresser cette chienne qui en meurt d'envie.
Elle a fait plus de 800 kilomètres pour être baisée et dressée.
Les quatre hommes plus mon mari s'installent dans la pièce d'à côté où une crois de St-André est fixée au mur.
Tout autour sur des étagères divers instruments : chaînes, cordes,godes de toutes les tailles, poids, pinces, cravaches, martinets, masques, menottes, bougies et plein de choses encore.
A quatre pattes tenue en laisse, je passe devant chaque invité dont certains ont déjà la bite dehors et se branlent. Je passe une fois, on me flatte la croupe comme un gentil toutou. Henry me demande de faire la belle, je dois me redresser sur les genoux les mains à hauteur du visage, en tirant la langue comme une chienne qui attend son sucre.
Henry me donne sa main à lécher, puis tout d'un coup, il sort son sexe que je suis obligée d'engloutir devant tout le monde.
C'est bien me dit Henry.
Qu'est-ce qu'on dit : Merci Maître.
C'est bien tu es une bonne chienne, va dire bonjour à mes amis maintenant.
Toujours à quatre pattes je me dirige vers le premier, c'est Daniel, il a un bel engin très long, que je lape à plusieurs reprises. Je le quitte pour aller faire la même chose à Manu qui m'attend avec impatience, il connait déjà la douceur de ma bouche. Je passe ensuite à Jean-Louis qui à mon grand étonnement à une très petite bite pointue comme celle d'un chien, je m'attarde sur lui aussi longtemps que sur les autres. Je termine mes salutations en suçant mon mari sur lequel je m'applique.
Les présentations d'usage terminées, Henry me place sur la croix de St-André bras et jambes écartés, maintenus par des mousquetons et des chaînes. Je suis ainsi offerte aux regards des invités d'Henry, cet attirail me métamorphose en une sublime putain.
Mes seins sont libres, simplement rehaussés d'un support métallique,une armature de soutien gorge dépourvu de tissu, comme si deux mains d'hommes les soutenaient. Les pointes sont droites et excitées.
Avec des mots orduriers, Henry prend mes tétons et les pincent avec rage.
Tu mérites une dérouillée salope dit -il en me fixant droit dans les yeux.
A suivre.
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Un regard, un sourire, un visage empreint de bonheur
Nul besoin de pression, c'est à Vous que va ma ferveur
Avancer vers Vous, se rapprocher et s’unir
Regarder m'incliner, sentir monter le désir
Caresses du fouet ou du cuir, rougir de plaisir
Enivrée par Vous, j’avance en toute sérénité
N’écoutant que mon cœur, vers cette destinée
Ces regards échangés, intenses moments partagés
Inutile de chercher, j’ai rencontré Mon Maîre aimé
Ecoute, confiance, sincérité, forment un ciment essentiel
Loin de Vous, et si proche, Vous êtes mon bel arc en ciel
Après la pluie, le beau temps, l'arc en ciel
Vous n'êtes pas éphémère, Vous êtes réel
Quinze mois, Vous et moi.
Le 23 juin 2011
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