J’ai été surpris. J’avais posté mon annonce depuis à peine dix minutes et un message s’est affiché. « Je suis intéressé par ce massage tantrique, on peut prendre un RDV ? ». La fiche de l’expéditeur révèle qu’il s’agit d’un homme quadra au physique agréable. Y’a pas, les abdos bien dessinés chez les hommes, c’est sexy même pour un hétéro comme moi. On tchate un moment et le rendez-vous est pris pour la fin de la semaine. Je lui donne les instructions de préparation : dîner de la veille végétarien, petit déjeuner liquide deux heures avant, hygiène parfaite, rectum vide et rincé. Le jour prévu, j’entre dans l’appartement. L’homme est chaleureux, nu sous son peignoir comme je l’avais demandé. Il rit un peu fort lors de notre conversation de préambule tandis que je m’installe, c’est normal, il est un peu stressé. En fait moi aussi. Je déroule une sorte de futon que je recouvre d’une large serviette éponge, je dispose mes outils de massage, surtout la fiole d’huile d’argan mélangée à une autre plus basique et deux ou trois huiles essentielles selon les besoins. Je demande à ce que les rideaux soient un peu tirés pour baisser la lumière. Le CD diffuse une musique discrète. Vient le moment de commencer. Ma voix est basse, presque chuchotée pour les instructions. Face à face, mes mains tenant ses mains du bout des doigts, nos yeux se regardent. C’est l’échange le plus profond, le moment où on se livre sans contrôle. Une expression d’angoisse dans ses yeux fait place peu à peu à une expression de soulagement en voyant mon regard bienveillant. Discrètement, j’ai évalué certains paramètres importants pour la suite : la longueur de son buste par rapport au mien, presque identique, qui permettra ou non en cas de trop grande différence certains gestes, la couleur du blanc de l’œil qui révèle un léger problème hépatique. Je lui indique que le moment de l’intime est venu et sans lâcher une main, je l’entraîne vers le futon. Assis en tailleur, je le fais asseoir face à moi, dans le creux de mes jambes, pubis contre pubis, dans une étreinte naturellement intime. Dans les bras l’un de l’autre, enlacés, nous restons là, immobiles et je l’encourage à se laisser aller. Sa tête se pose sur mon épaule tandis que mes mains ont recueilli l’huile et commencent à balayer le dos verticalement en alternance. La lenteur est de rigueur et je le sens qui se détend. L’abandon, le vrai, est pour plus tard. Je pose la main verticalement sur sa nuque et l’invite à la suivre. Il s’incline jusqu’au sol alors que son bassin reste collé au mien, en élévation à cause de mes jambes. Je commence à masser le buste en douceur, caresse les tétons sans insister, puis encadre son phallus et ses testicules de mes deux mains et je le branle léger en caressant les boules. Il gémit et bande, mes gémissements et mes soupirs se joignent à lui car je prends autant de plaisir à faire qu’il en prend à subir. Mais j’arrête au bout d’un court moment puisque le but est de faire monter l’énergie sexuelle sans aboutir. Je lève alors une des jambes qui m’encadraient et la masse sur toute sa longueur. Je fais de même avec l’autre pour ensuite la basculer du même côté tout en posant une main sur son épaule pour maintenir le buste collé au sol. Torsion lente, la jambe a été pliée presque à angle droit et je finis par lâcher le buste qui roule naturellement sur le même côté. Je masse alors les fesses et profite de la position où les parties intimes sont à découvert pour explorer l’entrejambe. Mes mains abondamment huilées coulissent entre les cuisses, retrouvent les testicules, vont jusqu’à attraper le membre tendu sans insister – tout est dans le dosage – et remontent dans le pli inter-fessier. L’anus est l’objet de caresses douces. La pulpe de mes doigts tourne autour, massant avec délicatesse cet endroit si sensible, ma voix l’encourage à s’exprimer et ses onomatopées me renseignent sur le succès de mes mouvements. Je le lèche à cet endroit et lui présente mon pouce. L’anus cède sans résistance. J’explore ainsi la cavité et caresse la prostate. Les soupirs se font profonds. Il faut à présent finir la rotation du corps pour le mettre à plat ventre. A cheval sur ses cuisses charnues, je malaxe ses fesses musclées et remonte lentement vers le dos. Je sais qu’il sent mes poils, mes couilles et mon sexe sur sa peau lorsque je me rapproche pour atteindre les épaules et balayer tout le dos. Je ne cache pas mes soupirs dus à l’effort et au plaisir du partage, l’encourageant à faire de même. Plus tard, je vais le retourner et nous commençons la danse d’amour. Je lui ai mis les bras en croix, paumes vers le ciel, à califourchon sur son visage, genoux écartés, je me suis penché jusqu’à atteindre son sexe qui s’était reposé. Je l’ai pris dans ma bouche et présenté le mien à la sienne. Commençant un doux mouvement de balancement de mon corps, j’ai balayé son visage avec mes parties génitales. Le mouvement est délicat et demande une maîtrise pour rester léger. Il a compris et a ouvert la bouche, acceptant mon sexe qui avait pris du volume. Ainsi le mouvement de balance permet que son sexe pénètre dans ma bouche tandis que le mien sort de la sienne puis les pénétrations s’inversent. C’est lent et terriblement langoureux et épuisant pour moi. Mais c’est jouissif d’aller si lentement, le désir devient puissant et c’est le but. Parfois je m’immobilise et cette station nous connecte un peu plus. Il arrive parfois qu’un spasme du phallus injecte du pré-sperme, signe d’une grande disposition à la jouissance. La phase suivante consiste pour moi à me tourner dans le même sens que lui, mes hanches sur son ventre et pendant que je masse ses côtes, soulevant un peu le buste, mon anus recule et cherche le contact de son phallus. C’est facile avec celui-là, il est tendu et ne demande qu’à servir. Toujours lentement, je le présente à mon anus lubrifié d’avance et avec ce balancement de mon corps, je commence la pénétration. Je reste à l’entrée, le gland à peine dedans. C’est le lieu de la plus grande jouissance pour lui comme pour moi. Nous gémissons sans aucune gêne, maintenant que nous sommes en harmonie. Je bascule alors sur mes pieds et lui demande de soulever ses hanches en prenant appui sur ses mains. Plus il monte, plus je monte sans perdre le sexe dans mon anus. Lorsqu’il arrive au plus haut, je laisse le phallus me pénétrer complètement. Je l’invite à descendre et maintiens le contact en laissant un décalage de hauteur pour permettre un coulissage qui va lui donner envie de remonter. Ainsi la danse d’amour, lente et sensuelle, nous rapproche du moment tant retardé. Lorsque je le sens prêt à éclater, je le plaque au sol, profondément en moi. Puis je me lève un peu et en réglant la distance, je remue pour flatter uniquement son gland. Le coït sans précipitation abouti en peu de temps à l’orgasme souhaité. J’aime ce moment où l’autre est vaincu par l’explosion qui lui envahit le ventre de l’intérieur, où il perd tout contrôle avec cette expression de stupéfaction devant la puissance de son orgasme. Je me retire et le laisse haleter. De la main, je masturbe doucement le phallus encore dressé pour lui permettre de se reprendre. Un court jet de sperme me montre que c’était utile. Je peux maintenant terminer mon massage en mode léger, yin, pour l’apaiser.
Notre séparation se fera avec un regard plein d’amour et de reconnaissance. Les pupilles dilatées, je franchis la porte. « Merci, tu m’as donné un grand plaisir ». J’ai simplement répondu : « je t’ai donné et tu as reçu, en recevant tu m’as donné ». La porte s’est refermée doucement, comme pour ne pas briser le lien silencieux que nous avions créé. L’effet durera trois jours. J’ai d’autres idées de façons de masser et espère vous raconter lorsqu’une femme m’aura demandé.
615 vues
4 aime
J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jour plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
511 vues
7 aime
Quelques personnes se sont senties visées par mon dernier article.
Certaines un peu critiquées. D’autres… trop bien décrites.
À cela je réponds :
Si la chaussure vous va… mangez-la.
Ou mieux encore : reconnaissez vos comportements, mettez un mot dessus, et faites le travail pour changer. L’élégance commence là où le déni s’arrête.
Maintenant, entrons dans le sujet du jour :
Comment gérer la transition entre soumise et domina quand on est switch ?
On dirait deux pôles opposés. Et pourtant, pour certaines femmes, ces deux dynamiques vivent en harmonie… ou en tension.
Mais attention : ce n’est pas un jeu de costumes.
C’est un glissement d’énergie, une façon de canaliser deux parts d’une même puissance.
Voici ce que j’ai appris :
🩸 1. La soumise en moi a besoin de sécurité. La domina, elle, incarne la sécurité.
Quand je suis en soumission, je cherche un homme qui voit clair, qui guide sans vaciller.
Quand je suis en position dominante, c’est à moi d’offrir cette clarté. Pas par dureté, mais par présence stable.
💡 2. Ce n’est pas une contradiction. C’est une conscience du moment.
Je n’ai pas à "choisir un camp".
Je ressens. J’écoute. Je m’adapte.
La clé, c’est la lucidité émotionnelle, pas le contrôle rigide.
🌊 3. Certains jours, j’ai besoin d’être tenue. D’autres, c’est moi qui tiens.
Ce n’est pas de l’instabilité.
C’est une écoute fine du rythme de mon monde intérieur.
Et je m’entoure de partenaires capables de suivre — ou de guider — selon le moment.
🔥 4. Mon autorité vient de ma vulnérabilité comprise.
Ce n’est pas en rejetant ma part soumise que je deviens une bonne domina.
C’est en la connaissant intimement que je peux incarner l’autre rôle avec vérité.
🎯 En résumé :
Je ne "joue" pas la soumise.
Je ne "prétends" pas être une domina.
Je suis.
Et je choisis consciemment où je place ma puissance, selon le moment, selon l’homme, selon moi.
266 vues
15 aime
Debout, jambes écartées, un gode à large base en place devant ou derrière qui dépasse (important). Choisissez une ceinture de cuir (pas un ceinturon trop épais, quoique...), à partir de la boucle, comptez environ 85 cm (la longueur de votre nez jusqu'à votre pubis). D'un grand mouvement du bas vers le haut et l'arrière, fouettez-vous les fesses côté dos, puis d'un grand mouvement en avant, la ceinture passe entre les jambes et fouette les fesses à nouveau, heurtant au passage le gode qui s'enfonce un peu. Trois aller et retour et faites une pause. Avec ce temps de repos, le corps se calme et espère la reprise. Trois aller & retour encore et une pause. Trois coups ce n'est pas assez ? Oui, le but c'est la frustration. Vous n'avez que trois aller & retour, vous êtes condamné à un geste parfait, à chaque passage, le gode est repoussé par la ceinture - si vous êtes un homme ce sont les testicules qui sont touchés doucement - comme un témoin et le plaisir monte. Cinq séries de trois et c'est tout. Le corps dit "encore" et vous répondez "plus tard"
246 vues
3 aime
Se reconnaîtrait-il en lisant un post sur l’attachement évitant-anxieux ?
Réponse courte : probablement pas, ou alors il trouverait une façon de rationaliser.
Pourquoi ?
1. Les évitants-anxieux sont des pros de l’auto-illusion
Même face à une description qui colle parfaitement à leur comportement, leur cerveau va souvent :
• Minimiser : « Oui, ça me parle… mais pas totalement. »
• Dévier : « Peut-être que je fais ça parfois, mais c’est à cause des autres, ils sont trop collants. »
• Intellectualiser : « Intéressant comme analyse, mais je suis quand même plus lucide que la moyenne. »
Exemple évitant :
En lisant : « Les évitants-anxieux veulent de l’intimité mais la rejettent en même temps », il pense :
« Moi je veux de l’intimité, j’ai juste pas encore trouvé la bonne. »
(Comme ça, il évite de voir qu’il est le point commun dans ses relations.)
Comment un Dom réagit :
Un Dom lucide ne fuit pas l’intimité. Il la dirige.
Il dit :
« Là, j’ai besoin de prendre un peu de recul. Voilà pourquoi. Et voilà comment on va avancer. »
Il assume ce qu’il ressent et prend les devants avec clarté.
2. Il manque de conscience émotionnelle pour faire le lien
Il réfléchit bien, oui. Mais émotionnellement ? Déconnecté.
Il peut avoir un cerveau affûté, mais il ne voit pas ses propres schémas. Pourquoi ?
• Parce qu’un évitant coupe le lien avec ses émotions.
• Parce qu’il joue un rôle social qui masque toute vraie vulnérabilité.
Exemple évitant :
Il sait qu’il évite les relations, mais il se dit :
« C’est parce qu’aucune ne me convenait vraiment. »
Plutôt que d’admettre :
« Je sabote quand je ressens trop de choses. »
Comment un Dom réagit :
Un Dom sait reconnaître ce qui se passe en lui.
Il peut dire :
« J’ai pris mes distances parce que j’étais dépassé. C’est pas ta faute. J’assume. »
Sa force, c’est de savoir nommer ce qu’il vit sans disparaître pour autant.
3. Même s’il ouvrait les yeux, il ne changerait pas (sauf gros choc)
Les évitants-anxieux ne changent que quand :
• Ils touchent le fond (genre perdre une femme qu’ils ne pourront jamais remplacer)
• Ou qu’ils s’engagent sérieusement en thérapie, sur la durée
Son état actuel :
• Il ne souffre pas assez (elle n’est pas vraiment partie, et il a encore d’autres sources de validation)
• Il ne pense pas être le problème
Conséquence :
Même s’il pigeait son schéma d’attachement sur le plan théorique, il n’aurait pas l’élan intérieur pour changer.
Comment un Dom réagit :
Un Dom n’attend pas que ça explose pour évoluer.
Il observe, il ajuste, il prend la direction des choses.
Il n’a pas besoin de perdre pour grandir. Il choisit d’évoluer par lucidité, pas par douleur.
4. Le “meilleur scénario” (peu probable, mais possible)
Si elle disparaissait pour de bon et qu’il ressentait le vide, peut-être qu’il :
• Chercherait sur Google : « Pourquoi j’éloigne les gens que j’aime ? »
• Tomberait sur un article sur l’attachement évitant-anxieux et aurait un petit déclic
Mais même là :
• Il blâmerait sûrement son passé ou ses parents, sans rien changer
• Il penserait à elle comme « celle que j’ai perdue », sans jamais la recontacter vraiment
Comment un Dom réagit :
Un Dom ne reste pas dans les fantasmes ou les regrets.
Il revient, ou il clôture proprement.
Il laisse zéro ambiguïté.
Il dit ce qui est, et il agit en conséquence. Il fuit ni ses responsabilités, ni l’impact de ses actes.
Ce que ça veut dire pour elle :
Attendre qu’il “comprenne” ? Une impasse.
Et s’il est déjà adulte, ses schémas sont bien ancrés.
Son vrai pouvoir, à elle, c’est de partir. Pas pour le punir, mais pour se libérer.
Ce n’est pas un homme dominant.
Il est détaché, pas maître de lui.
Il évite l’intimité, non par choix, mais par peur.
Un vrai Dom, lui, est présent, ancré et émotionnellement clair.
L’évitant se dérobe.
Derrière un faux contrôle, il agit sous panique.
Conclusion :
Les évitants ne changent que quand rester les mêmes leur coûte plus que changer.
Mais un homme vraiment dominant, lui, n’attend pas la douleur.
Il choisit la vérité, et avance avec elle.
188 vues
5 aime
Au début de mon cheminement dans le BDSM, j’ai été confrontée à un obstacle qui me semblait insurmontable : l’incapacité à rester dans un état de soumission après l’orgasme. Dès que le plaisir retombait, mon envie de servir, d’obéir ou de m’abandonner disparaissait presque instantanément. Cela me frustrait, car je sentais en moi une volonté sincère d’explorer une dynamique de soumission plus profonde, plus stable — mais mon corps et mes pulsions me freinaient.
C’est à ce moment que j’ai décidé d’essayer la cage de chasteté. Ce fut un outil puissant. Le simple fait de ne plus pouvoir céder à la tentation a changé beaucoup de choses dans ma manière de percevoir ma position. J’étais plus réceptive, plus patiente, plus vulnérable aussi. Mais malgré cela, ce n’était pas encore suffisant. Il manquait un véritable basculement intérieur.
J’ai alors commencé à expérimenter d’autres approches. J’ai adopté une tenue permanente de soumise, que je portais même seule, pour renforcer mon identité. Je me suis mise à me filmer, à documenter mon comportement, à me regarder vivre dans ce rôle. Et j’ai aussi franchi un cap psychologique : celui de me rendre disponible à tout moment, peu importe la personne ou le contexte. C’était un choix risqué, mais profondément révélateur.
Peu à peu, sans que je m’en rende compte sur le moment, ma soumission est devenue naturelle. Ce n’était plus une mise en scène, ni une excitation passagère. C’était devenu mon état de base. Même sans désir, même sans stimulation, j’étais esclave. C’est aujourd’hui ce que je suis, profondément. Disponible, docile, et pleinement moi-même dans cette dynamique.
694 vues
13 aime
L’Islande rugit autour de nous, brute, indomptée. Mais toi, tu es déjà domptée. À genoux sur les pierres noires et humides, sous la cascade qui gronde comme un cœur en furie, tu n’as plus qu’un seul objectif : me servir. Tes cheveux plaqués contre ton visage ruissellent, ta peau est glacée, mais ton regard brûle de désir et de soumission. Le contraste me fait sourire. Je te fais lever les yeux sans un mot. Mon poing s’enroule dans ta chevelure trempée, tirant ta tête en arrière. Un soupir s’échappe de tes lèvres entrouvertes. Je ne dis rien. Je laisse le vacarme de l’eau dominer l’air, pendant que je prends toute la place dans ton monde. Je détache ma ceinture lentement. Ton regard s’assombrit, ton souffle s’accélère. Tu sais ce qui vient, tu l’attends depuis que nous avons quitté le 4x4, depuis que tu as vu cette cascade comme un autel de soumission. Ma queue est déjà dure, chauffée par ta dévotion. Je la pose contre ta joue froide. Tu frémis. Et quand je te glisse entre mes doigts, tu ouvres la bouche comme une prière muette. Je te pénètre sans douceur. L’eau martèle ton dos pendant que je prends ta gorge, centimètre après centimètre, sans pitié. Tu t’étrangles, tu salives, tu t’agenouilles encore plus bas comme pour te fondre dans la pierre. Tes mains restent derrière ton dos, comme je l’ai ordonné plus tôt. Je m’enfonce en toi avec lenteur, puis avec force. Chaque mouvement est une offrande. Chaque coup de rein efface le monde. Il ne reste plus que toi, ta bouche chaude, et moi, Roi d’Islande et de ta gorge. Quand je me retire, tu halètes, le regard brillant de larmes, d’extase. Je te retourne d’un geste, plaquant ta poitrine nue contre la roche trempée. Ton cul est tendu, offert. Tes jambes tremblent. Tu es prête. Je te pénètre à nouveau, cette fois où tu es la plus vulnérable, et ton cri se perd dans le fracas de la chute. Je te tiens fermement, mes doigts marquant ta taille, ta hanche, ton âme. Tu n’es plus qu’un corps en offrande, à la merci de mon rythme, de mes envies. L’eau, le froid, la pierre… tout s’efface sous la chaleur brûlante de ton plaisir et de ma domination. Je t'utilise jusqu'à ce que mes râles se confondent avec ceux de la cascade. Et quand je jouis en toi, brutalement, profondément, tu ne bouges pas. Tu accueilles. Tu acceptes. Tu respires comme si c’était ton dernier souffle.
Sous cette chute, tu es devenue ce que j’ai toujours voulu : une créature sauvage… entièrement domptée.
418 vues
5 aime
Le jardin était calme, baigné d’une lumière douce, irréelle. Le grand pin, taillé à la main depuis des décennies, étendait ses bras tordus comme une divinité végétale figée dans une posture de domination.
C’était là, à l’ombre de cet arbre discipliné par des décennies de soin et de contrainte, que le Maître l’attendait. Elle s’agenouilla devant lui, nue, offerte, déjà tremblante. Le sol de gravier mordait sa peau, et cette morsure annonçait la suite. Rien ne serait doux aujourd’hui, c’était un jour de marquage. Il ne dit rien, Il n’en avait pas besoin. Son regard suffisait à l’ouvrir de l’intérieur, à disséquer ses résistances. Il tourna lentement autour d’elle, canne de bambou à la main. Un outil, une extension de sa volonté. Le premier coup claqua sans prévenir; Net, cruel, parfaitement maîtrisé.
Elle vacilla, mais ne cria pas. Elle savait, elle voulait. Chaque ligne rouge tracée sur sa peau n’était pas une blessure, c’était une écriture. Il écrivait sur elle comme sur un parchemin vivant, avec l’encre du feu. Il la fit se pencher vers l’avant, attachant ses poignets derrière son dos, puis tirant une corde jusqu’à une branche basse du bonsaï, l’obligeant à se cambrer. Il admira un instant la courbe de son dos, la rondeur offerte de ses fesses marquées, l’écartement forcé de ses cuisses. Une nouvelle corde glissa entre ses lèvres intimes, la sciant lentement, marquant la moindre vibration. Il ajouta les pinces sur ses seins, serrées jusqu’à la douleur. Elle haletait, gorge serrée, le regard noyé de soumission. Puis le bâillon. Une boule de bois, dure, glissée entre ses lèvres.
Le silence du jardin fut remplacé par celui, plus profond encore, de sa soumission muette. Il la prit alors, sans prévenir, brutalement. Une poussée jusqu’au fond de sa gorge intime, sans préliminaires, sans ménagement. Il la baisait comme on conquiert un territoire, impitoyable, les mains serrant ses hanches, la canne s’abattant en rythme sur ses fesses entre deux coups de reins. Chaque va-et-vient faisait tinter les pinces, chaque cri étouffé vibrait jusqu’à ses os. Il la pénétrait, la frappait, la tenait ouverte et vulnérable, son sexe gonflé d’envie, ses chairs rouges, humides, brillantes d’un mélange de plaisir et de supplice. Quand il s’arrêta enfin, ce ne fut que pour s’accroupir devant elle, lentement, et retirer les pinces une à une, la faisant jouir de douleur à chaque arrachement. Son corps convulsait, l’orgasme mêlé à la brûlure. Elle ne savait plus si elle hurlait ou priait. Puis il la renversa au sol, la maintenant là, souillée, tremblante, la gorge pleine de salive et de larmes, et éjacula sur son ventre, marquant sa peau d’un dernier sceau, comme on signe une œuvre d’art. Le Maître la contempla un instant. Le vent agitait doucement les aiguilles de l’arbre. Le monde était paisible, comme après une tempête.
"Tu es à moi, dit-il enfin. Et tu es parfaite."
227 vues
2 aime
Je surprends ma belle-mère.
J’ai surpris ma belle-mère en train de se faire sauter dans le salon. Elle était affalée sur le canapé et je voyais de dos le type qu’elle avait invité. Il avait passé ses bras sous ses genoux, elle avait les jambes et les pieds qui ballotaient en l’air. Lui il avait baissé son pantalon. Je voyais son cul qu’il s’agitait, il la défonçait et elle gémissait. À un moment, elle s’est couchée sur le côté, et elle m’a vue. J’étais tétanisée. J’avais enfoncé ma main dans le pantalon en pilou de mon pyjama. J’avais mes doigts dans ma chatte trempées. Je me caressais pour me faire jouir comme une bête. Elle m’a vue, elle m’a regardée dans les yeux. Elle m’a fait un clin d’œil. Et elle s’est mise à gémir tout en me regardant. À ce moment-là ça a été plus fort que moi, j’ai joui et j’ai failli crier. Je suis vite partie honteuse me coucher.
Impossible de m’endormir. J’ai entendu le type qui partait et ma belle-mère à la salle de bain en train de se brosser les dents. On habite un petit deux-pièces. Et quand ma belle-mère vient chez nous, elle dort sur le canapé et si son fils n’est pas là, elle vient dormir avec moi. J’étais seule dans mon lit. Au bout d’un moment elle est arrivée. Elle a dit « il fait froid » Et j’ai vu qu’elle était nue. Elle s’est glissée sous la couette et a dit en riant « Je ne sais pas ce que j’ai fait de ma chemise de nuit ». Elle est venu6 se blottir contre moi et elle m’a demandé « tu as joui? ». Je n’osais pas répondre. Elle m’a redemandé « tu as joui? ». J’ai bégayé un « oui ». Elle a dit en riant « moi aussi ». Et elle a ajouté « viens on se caresse chacune mutuellement ». Je ne savais pas quoi faire. Je n’ai rien dit. Elle a pris ma main et l’a fourré entre ses cuisses. Elles étaient mouillées. Et aussitôt elle a glissé sa main dans mon pantalon. Elle m’a caressée ma chatte qui a aussitôt explosé. Elle m’a ordonné « Caresse-moi » et je l’ai caressée, elle s’est mise à crier et elle a joui comme une folle. J’avais trop honte. Je me suis dit que j’étais une salope.
520 vues
8 aime
La pièce est silencieuse, à part le cliquetis métallique des chaînes qui dansent doucement au gré de ses mouvements contraints. Elle est là, suspendue, offerte, vulnérable. Ses poignets solidement attachés au-dessus de sa tête, son torse entièrement exposé à ma volonté. Elle frissonne. De froid ? D’anticipation ? De crainte ? Peut-être tout à la fois. Mais elle est là. Pour moi. Par choix. Et cela, plus que tout, éveille en moi un désir presque cruel de la pousser au bord, de faire de sa douleur un poème. Je m’approche lentement, caressant son flanc du bout des doigts.
"Tu sais pourquoi on est là, ma douce ? Pour voir jusqu’où tu peux t’offrir… jusqu’à quel point ton amour pour moi se manifeste dans tes cris."
Mes doigts remontent jusqu’à ses seins, je les effleure à peine, comme un souffle. Elle ferme les yeux. Je pince un téton, doucement d’abord… puis plus fort. Un petit couinement s’échappe de ses lèvres.
"Chut… Respire. Je suis là."
Je prends une pince et la fixe sur le premier téton, lentement, presque avec tendresse. Elle grimace, gémit. Ses jambes tremblent. Je l’embrasse sur la joue.
"Tu es magnifique quand tu souffres pour moi."
Je m’attarde sur l’autre sein, le caressant, le massant, puis le pinçant de plus en plus fort jusqu’à ce que sa respiration s’accélère. Je souris. Puis je pose la deuxième pince, plus serrée encore. Elle crie, mais ce n’est pas une plainte, c’est une offrande. Je prends une chaîne, j’y accroche deux petits poids. Je les suspends délicatement à chaque pince. Les tétons sont étirés, gonflés, rouges. Sublimes.
"Tu es ma fleur en feu, mon trésor sous tension."
Je m’agenouille devant elle, caressant sa cuisse, murmurant contre sa peau brûlante.
"Je t’aime, tu sais… Mais mon amour a des crocs."
Je me relève. Et d’un coup sec du doigt, je fais balancer les poids. Elle hurle. Je la prends dans mes bras, malgré les chaînes, je l’enlace comme je peux.
"Donne-moi tout. C’est là que je t’aime le plus. Quand tu es forte, même dans tes larmes."
Je reste là, contre elle, l’embrassant dans le cou, murmurant des mots tendres, pendant que ses tétons martyrisés pulsent de douleur et de dévotion. Je vois ses jambes qui tremblent davantage maintenant. Chaque balancement des poids tire un peu plus sur ses tétons. Chaque minute passée ainsi grave ma marque plus profondément en elle. Et pourtant… je sens qu’elle en veut plus. Qu’elle le redoute, oui mais qu’elle le désire aussi. Ce mélange délicieux de peur et d’abandon. Je souris. Et je vais lui donner exactement ça. Je me saisis d’un petit martinet. Pas pour la marquer, non. Juste pour réveiller. Pour réveiller sa peau, pour amplifier la tension. Les lanières claquent contre sa poitrine, pas fort au début, puis un peu plus à chaque coup. Les pinces vibrent avec chaque impact, la douleur se diffuse. Elle gémit, se tend, essaie de reculer mais ses chaînes ne lui laissent aucun répit.
"Tiens bon, ma belle. Tu es exactement où tu dois être."
Je fais claquer les lanières autour de ses tétons, alternant rythmes et intensité, jusqu’à ce qu’elle halète, perdue entre la souffrance et l’extase. Ses cuisses sont trempées, son dos cambré, sa bouche entrouverte. Je détache les poids. Elle crie. Ce n’est pas le soulagement, non. C’est la douleur vive, celle du sang qui revient, celle qui brûle, qui électrise. Je retire les pinces ensuite, d’un coup sec, et là, son cri est presque un sanglot. Elle tremble de la tête aux pieds. Je la soutiens tout de suite, la serre contre moi, lui embrasse les cheveux, son front, ses paupières.
"Chuuut… c’est fini. Tu as été parfaite. Mon trésor. Mon héroïne."
Je la détache lentement, la porte jusqu’à un matelas posé non loin, déjà prêt avec des coussins et une couverture douce. Je la pose contre moi, sa tête sur mon torse, ses larmes mêlées à mon souffle. Je la berce. Longtemps. Je lui caresse les cheveux, les épaules, je couvre son corps meurtri de baisers tendres.
"Tu es en sécurité. Je suis fier de toi. Tu m’as tout donné. Et je te tiens, maintenant."
Je masse doucement ses seins, appliquant un baume apaisant, sans brusquerie. Mes gestes sont lents, dévoués, enveloppés de silence. Elle respire doucement, petit à petit, son corps se relâche. Elle revient à elle, apaisée. Je la serre un peu plus fort, mon menton posé sur le sommet de sa tête.
"Je t’aime. Même dans ta douleur. Surtout dans ta force."
258 vues
9 aime
Je vous présente ici une nouvelle variante d'un jeu que j'avais établis pour une de mes soumises.
Profitez en et amusez vous. N'hésitez pas à partager vos expériences.
NB : Par la même occasion si une soumise timide n'oses pas se lancer, n'hésites pas à venir m'en parler en privé.
🎴 "Péché par Carte" – par Mr Djey.
Règle d’or : Ce jeu est pour les soumises qui aiment obéir sans poser de question, et pour les Maîtres qui veulent posséder sans interruption.
🔥 PRÉPARATION :
Matériel :
1 jeu de cartes complet (52 cartes + 2 jokers)
1 sextoy vibrant, 1 plug anal, 1 gode
1 miroir
2 pinces ou bougies
Ta soumise, à genoux, nue, offerte : cheveux tirés, cuisses écartées, regard baissé.
🖤 FONCTIONNEMENT :
Chaque carte correspond à un ordre immédiat. Le jeu est rapide, brut, sale, direct. Pas de longue introduction, le Maître contrôle, la soumise exécute. On tire 10 cartes maximum. Après chaque carte, pas de pause, sauf si le Maître l’ordonne.
♠️ SIGNIFICATION DES COULEURS :
♠️ Pique : Douleur
Pince, claque, cire chaude ou morsure. Nombre = intensité ou durée (secondes ou coups).
♦️ Carreau : Exhibition
Devant un miroir, caméra ou une photo. Doigter, lécher, ou jouer. Nombre = temps d’exhibition (secondes ou minutes selon la carte).
♥️ Cœur : Plaisir
Masturbation, vibration, ou godage. Nombre = durée OU profondeur.
♣️ Trèfle : Sodomie
Doigter anal, plug ou gode. Nombre = doigts, coups ou secondes de va-et-vient.
🃏 SPÉCIALES :
Joker noir : Le Maître choisit un défi interdit jusqu’ici, qu’elle n’a jamais osé.
Joker rouge : La soumise peut supplier pour un fantasme honteux. Mais si elle rougit ou hésite, ce sera refusé… et puni.
👁️ RÈGLES SIMPLES MAIS STRICTES :
Pas de discussion. La soumise obéit, ou elle est punie.
Si deux cartes de la même couleur sortent à la suite, elle doit se filmer ou se regarder faire dans le miroir, yeux ouverts.
Chaque tâche non exécutée double la suivante. Ex. : elle saute un 4 de trèfle ? Le suivant comptera pour 8.
Aucune serviette. Les fluides restent sur la peau.
À la 10ᵉ carte, si la soumise n’a pas joui, elle doit mendier pour jouir — en décrivant comment elle veut jouir, et en demandant la permission à voix haute.
🎯 BUT :
Pour le Maître : contrôle total, pulsion brute, soumission réelle et immédiate.
Pour la soumise : perte de repère, immersion, humiliation érotique, et plaisir dans la transgression.
💬 CONCLUSION :
Fin du jeu = le Maître décide. Il regarde sa soumise, la juge du regard, puis décide si elle mérite une récompense… ou un collier plus serré.
300 vues
8 aime
Le verre est vide.La bougie vacille, laissant danser des ombres sur le bois tiède. Le silence a une texture ce soir… presque charnelle. Et sur la table, posé avec soin ce collier.Il n’a pas été oublié.Il n’est pas là par hasard.Il attend.Pas un ordre, pas un mot. Juste sa présence.Sobre. Lourde de sens. Comme une main invisible posée sur votre nuque. Vous n’avez pas encore de collier, mais votre peau, elle, semble en garder déjà la mémoire. Votre souffle ralentit. Votre regard s’y accroche, encore et encore. Et au creux de Vous, quelque chose glisse doucement vers le sol. Ce n’est pas la peur. C’est la reconnaissance. Vous cherchez une place. Peut-être même un refuge. Et ce simple objet, dans l’ombre douce d’un soir, vous murmure qu’elle existe. Mais cette place ne se prend pas.Elle se mérite. Elle se réclame à genoux, dans l’oubli de soi, dans la confiance offerte. Et dans le silence… il se pourrait que Je Vous attende.Alors, laissez le monde s’effacer.Écoutez ce que ce collier ne dit pas.Et si votre cœur s’y abandonne…osez.
223 vues
4 aime

