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Madfire

Homme Dominateur. Vit à Paris, Île-de-France, France. 29 ans.
Extrait de son book

Publication BDSM

Madfire
Une amie m'a convaincu de poster mes textes plutôt que de les supprimer au bout d'une semaine. Voici donc un petit jet, écris un samedi soirr : Jennifer avançait à quatre pattes à travers les rues d’Asnobourg. Une immense arrogance se lisait dans ses yeux, insensibles à l’humiliation d’être trainée en laisse. Certes elle n’était pas la seule esclave trainée comme une chienne à travers la ville, nue comme au jour de sa naissance. Pourtant, elle était l’une des rares à arborer un dildo en forme de queue enfoncée dans ses fesses, qui se balançait au rythme de sa marche. Au moins s’était-elle vu épargner de devoir marcher sur ses coudes et genoux comme certaines des autres esclaves qui subissaient une épreuve analogue à la sienne. Son maitre ralentit soudain et tourna le regard vers elle. Elle refusa de baisser le sien et l’affronta de toute sa morgue Les sourcils de ce dernier se froncèrent et il se baissa soudain pour lui caresser le haut du crane avec un sourire sardonique. -Ma petite Jen, comme tu es crispée. Il est temps pour toi de te soulager. « Salaud » pensa-t-elle, blême de colère, tandis qu’elle levait la jambe pour vider sa vessie contre un mur. Antoine l’observa avec un sourire satisfait, lui tapota une nouvelle fois la tête et tira sur la laisse pour la forcer à se remettre en mouvement alors que les gouttes continuaient de goutter de ses poils pubiens. Dans les rues, de nombreux maitres promenaient leurs esclaves. Certaines avaient la chance d’être sur leurs jambes. Parfois sans laisse ou parfois complètement harnachées et tirant la carriole de leur propriétaire sous les coups de cravaches. Jennifer repéré deux hommes en grande conversation tandis que leurs deux femelles se léchaient avidement l’anus l’une de l’autre, en aboyant. Un nain chevauchait une jeune esclave rousse, dont les taches de rousseur descendaient jusque sur les seins, depuis la selle qu’il avait attaché sur son dos tout en martelant ses fesses déjà rouges de coups de martinet. Arrivant à la propriété d’Antoine, Jennifer fut soulagé de savoir que cette promenade se finissait, bien qu’elle ne se permit pas d’abandonner son regard hautain et dédaigneux, désireuse de conserver autant de dignité que possible compte tenu de la situation. Morrigan les attendait à l’entrée, lançant à Jennifer un regard perçant qu’elle s’évertua à ignorer. Elle gardait souvenir que la veille, elle avait pu dominer cette salope et l’avait forcé à lui lécher les plis délicats de la fleur entre ses jambes. Puis elle l’avait sodomisée avec un strap-on en la plaquant sur le sol, en riant de ses gémissements de douleur. Chaque matin, les esclaves tiraient un numéro qui déterminait leurs vêtements du jour. Morrigan avait eu de la chance et gagné le droit de choisir ses vêtements pour aujourd’hui. Elle se tenait dans une longue robe rouge ample, qui ne laissait que sa large poitrine à découvert. La plupart des autres esclaves n’avaient pas eu sa chance, obligée de rester toutes nues, de porter la tenue d’esclave classique ou de se soumettre aux fantasmes fétichistes de leur seigneur et maitre. Les moins chanceuses pouvaient rester toute la journée attachée à des tables masochistes ou dans des cages, voire même officier en tant que meubles dans la demeure. Dans le hall d’entrée, Jennifer repéra son amie Marion, attachée à un anneau de bondage. Elle gémissait tandis qu’un vibro-masseur coincé dans sa chatte lui envoyait des vibrations. Jennifer sentit sa chatte s’humidifier en croisant son regard de ambré et se surprit à espérer que son maitre lui ordonne de faire le spectacle avec elle. Mais Antoine était en conversation avec Daisy, une jeune novice timide et arborant un tatouage d’Ourobouros sous l’œil, portant la tenue d’esclave classique : une jarretière sans culotte exposant toutes ses parties intimes, des bracelets à chaque poignet et cheville pouvant servir de menottes et un collier de chien surplombant une poitrine dénudée. -Le déjeuner est prêt maitre -Parfait, répondit-il en lui claquant les fesses. Il tira Jennifer par sa laisse et se dirigea vers une table sous laquelle elle savait qu’elle aurait à mendier les miettes à force d’aboiements, si elle ne voulait pas passer la nuit le ventre vide.
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Olivier
Vous avez des fantasmes assez sympa et sans honte je trouve...
J'aime 03/12/24