Je me décris
Vous me considérerez certainement d'emblée à juste titre comme un sous-mâle.Ancien chauffeur privé (taxi-vtc), pré-retraité, conscient de sa bassesse et de son infériorité, ne méritant que votre mépris et d'être exploité 7j7 comme bon vous semblera.-----Depuis ma plus petite enfance, le genre féminin a toujours pris son ascendant sur moi, cependant il m'a fallu de nombreuses années pour comprendre que c'était irrémédiable.Voici comment tout a commencé à basculer dans les années 90, c'était une jeune étudiante d'une vingtaine d'années qui me connaissait par des amis communs, nous avions une dizaine d'années d'écart mais cela ne semblait pas la déranger. Nous avions des affinités pour l'art et la culture, elle était sportive et moi aussi, nous faisions des randonnées ensemble. La première rencontre en tête à tête a eu lieu à mon domicile en revenant tardivement d'un entraînement en salle de sport, il m'a fallu préparer un repas improvisé avec ce qui était disponible dans mon frigo. Se mettant à l'aise, elle s'est retrouvée en débardeur échancré et en legging moulant suintant de transpiration à l'entrejambe, l'occasion pour moi d'admirer sa belle silhouette musclée, le galbe de ses mollets, sa poitrine ferme avec les tétons dressés, elle m'observait également comme une conquête éventuelle. Après plusieurs verres de vin, elle m'a dit qu'elle aimait bien mon petit cul puis m'a demandé directement si un mec m'avait déjà pénétré l'anus, avec ma franchise habituelle ma réponse était que ce n'était pas mon meilleur souvenir, mais que n'étant jamais été porté sur les hommes, c'était arrivé de façon fortuite, elle m'a répondu qu'elle aimerait bien voir un mec me pénétrer le cul, elle sentait fortement la transpiration, et quand elle s'est rapprochée de moi elle sentait l'alcool, il me semblait qu'elle allait m'embrasser dans le cou mais elle m'a m'empoigné fermement par l'entrejambe, son odeur m'a fait bander pendant qu'elle ne lâchait pas prise. Une question stupide est sortie de ma bouche pour savoir pourquoi elle ne se rasait pas sous les aisselles, elle m'a regardé et m'a simplement répondu ''pourquoi, ça te dérange ?'', évidemment que non.Nous avons parlé de choses et d'autres, me disant qu'elle avait toujours vécu chez ses parents, mais qu'elle recherchait un mec aisé pour subvenir à ses besoins, elle m'a demandé quels étaient mes revenus, comme ils dépendaient essentiellement du temps consacré à mon travail, mon projet était de développer un site internet pour promouvoir des excursions et des activités nautiques, mais que pour le moment mes principales ressources provenaient de mon entreprise de courtage de crédits et d'assurances, une activité lucrative dont je voulais vendre mes parts de société. Cela semblait manifestement capter son attention, et quand elle a appris que par mes activités bénévoles associatives, il était possible de partir en croisière sur un catamaran, elle m'a demandé s'il était possible de partir ensemble en Corse, c'était le meilleur programme qu'il m'était possible d'imaginer, rien qu'elle et moi au large des côtes méditerranéennes, dans le cockpit d'un voilier voguant sous les étoiles. À la fin du repas pendant qu'elle dégustait son dessert, elle m'a demandé de faire un strip-tease de sorte qu'elle m'a vu complètement nu, elle n'a pas pu s'empêcher de rigoler de mon petit organe reproducteur pourtant vaillamment dressé, c'était humiliant car il devait mesurer au moins 6-7cms et sa réaction m'a fait débander immédiatement. Désormais, elle connaissait tout de moi physiquement et aussi financièrement, y compris qu'il ne me restait plus que 2 ans pour finir de payer le crédit de mon appartement. Tout ce que que je connaissais d'elle, c'était qu'elle venait de province pour ses études, qu'elle aimait le sport, et qu'elle avait des ambitions louables pour profiter de la vie au maximum.Ensuite, pendant que je faisais la vaisselle dans la cuisine, elle s'est approchée de moi et m'a demandé si j'étais intéressé par le mariage, c'était très inattendu, et à vrai dire inespéré. Ma première relation amoureuse s'étant soldée par un échec, mon amour-propre en avait pris un coup. Suite à l'officialisation de notre union à la Mairie de Neuilly sur Seine, tout d'abord des humiliations de plus en plus fréquentes n'ont été que le prélude de la réelle prise de conscience de ma nouvelle situation, il m'a bien fallu assumer publiquement la réalité lorsque mon épouse ne se privait même plus de m'appeler ''ptite bite'' devant tout le monde, rapportait à sa famille qu'elle avait épousé un éjaculateur précoce, en colportant à notre entourage mon incapacité à pouvoir la combler sexuellement.Pour éviter le divorce et éperdument amoureux de mon épouse, il m'a fallu rapidement admettre tout d'abord par écrit la légitimité qu'elle puisse avoir des relations intimes avec qui bon lui semblerait, et ce n'était pas tout, elle exigeait de moi de mettre mon appartement à son nom, nous avons formalisé cette transaction chez le Notaire. En contrepartie, elle m'autoriserait à m'approcher d'elle à genoux, mains sur la tête, pour venir frotter mon entrejambes comme un chien en rut contre sa jambe, elle m'interdisait de me masturber en dehors de sa présence, mais le plus souvent elle me repoussait avant de jouir, et s'il m'arrivait de pouvoir rapidement éjaculer avant d'être repoussé, elle me faisait lécher mon jet de sperme pour nettoyer. Notre entourage et sa famille savaient qu'il me fallait accepter d'être cocu, ils disaient que c'était pour moi une chance d'être avec elle. En attendant, elle m'avait acheté un collier de chien qu'elle me faisait porter à la maison.Lorsque l'une de ses cousines est venue nous rendre visite un soir, elle a souri en me voyant tout nu affairé à la cuisine avec un pagne et mon collier au cou, elles ont parlé de ce qui était qualifié d'infirmité chez moi pendant mes allers-retours de la cuisine à la salle à manger pour commencer à les servir, mon épouse a arraché à l'improviste mon pagne pour lui montrer, mon sexe s'est dressé malgré cette humiliation, il devait pitoyablement faire tout au plus 5-6cms en érection, ce qui a provoqué sans retenue le rire de sa cousine. Mon épouse, fidèle à elle même, et sans aucune gêne à mon égard, a exigé de montrer à sa cousine comment il me fallait venir pour me frotter, inutile de me le demander 2 fois tant cela m'excitait de pouvoir éjaculer avec la permission de mon épouse, mais sitôt contre la jambe de sa cousine hilare, elle m'a repoussé en me laissant extrêmement frustré.Ensuite, malgré quelques protestations aussi dérisoires que vaines, mon épouse a exigé également de lui ''garantir ma fidélité'', et de devoir me résigner au port d'un système de chasteté, c'était une cage extrêmement inconfortable qu'elle avait choisie, il y avait aussi des pointes anti-retrait qui qui rendaient très douloureuses mes érections fréquentes à cette époque, elle le savait mais refusait impitoyablement quand même de me libérer durant des mois, et si c'était le cas, seulement le temps de faire une rapide toilette devant le lavabo, elle s'en occupait à chaque fois elle même jusqu'à ce que ma petite bite devienne rapidement bien dure, elle avait aussi pris l'habitude d'enfiler un gant de ménage pour me forcer en même temps dans le derrière 2 puis 3 doigts, qu'elle me faisait sucer avant pour lubrifier, et elle prenait une photo souvenir avant-après la mise en cage sans jamais me permettre d'éjaculer. Elle avait fini par découvrir qu'en faisant aller-venir dans mon anus ses doigts gantés recourbés au niveau de la prostate, surtout en tirant par à coups sur mes testicules en même temps, cela finissait toujours par provoquer un écoulement continu de sperme sans me faire obtenir de jouissance réelle, elle récupérait dans une soucoupe le liquide blanchâtre qu'elle me faisait immédiatement avaler ensuite, elle prétendait que ''me traire'' était bon pour ma santé, et elle avait pris l'habitude de me traire ainsi tous les 2 ou 3 mois dans le salon, elle me faisait mettre à quatre pattes, fixait des pinces sur me tétons car elle s'était aperçu que ça me stimulait en me faisant douloureusement bander dans la cage sans pouvoir me contrôler, et s'asseyait derrière moi en empoignant mes couilles qu'elle tirait alors entre mes fesses, ses doigts gantés plantés dans mon anus en faisant des allers-retours jusqu'à l'écoulement de sperme. Par la suite, elle s'est procurée un plug vibrant qui stimulait encore davantage ma prostate en permettant d'obtenir encore davantage de sperme durant la traite, elle pouvait m'obliger à rester immobile docilement à 4 pattes avec le plug vibrant maintenu en place et actionné durant parfois une heure ou plus, ça pouvait remplir une demi tasse.Cette période a évidemment influencé beaucoup ma perception de notre relation (et celles avec les femmes en général).Lorsqu'elle recevait ses amants, le deal était en général que soit elle me permettait d'aller me laisser enfermer à clé dans le placard de notre chambre, avec seulement une couche culotte pour pouvoir y rester un temps indéfini, le plus souvent durant la nuit entière mais ça pouvait être beaucoup plus long, soit devoir aller travailler toute la nuit (étant chauffeur de taxi), en lui rapportant au matin les croissants tout chaud à la maison. À cette époque, mon épouse avait décidé de se suffire de mes revenus pour vivre, donc elle m'imposait le plus souvent de travailler 7j7 sans relâche pour satisfaire ses exigences.Quelques autres années se sont écoulées, il s'avérait que mon épouse avait de gros besoins sexuels, parfois plusieurs fois elle se masturbait dans la journée en m'autorisant à regarder, elle disposait aussi de godes qu'elle a parfois utilisé sur moi. Elle ne se cachait pas d'avoir des relations avec les hommes mais aussi avec les femmes, et elle fréquentait un club lesbien.Désormais, il me fallait rester le plus souvent attaché avec une cagoule sur la tête dans le placard de notre chambre pour dormir, c'était devenu comme une routine, tandis qu'il m'a fallu assumer comme normalité d'être corvéable à merci pour son bien-être également à la maison, en revenant souvent exténué de mon travail. En récompense, mon épouse m'a fait comprendre qu'elle pourrait m'accorder la faveur suprême de pouvoir quelques fois rester attaché par les couilles et cagoulé au pied de notre lit mais ce n'était pas systématique, à cette époque son rituel était de venir enjamber mes épaules au petit matin, pour me faire lécher le sperme dégoulinant fraîchement de son vagin, parfois c'était ensanglanté car elle ne se privait pas de faire l'amour aussi durant ses règles, jusqu'au jour où elle n'a pas pu se retenir d'uriner dans ma bouche à cause d'un besoin pressant, c'était le plus beau jour de ma vie de me délecter de son jus encore tout chaud. À partir de ce moment, elle ne se rendait plus aux toilettes pour ses pipis nocturnes et matinaux, elle me donnait seulement un coup de pied dans les côtes pour me réveiller et me positionner. C'est de cette manière que d'autres personnes ont aussi utilisé ma bouche comme urinoir.Il m'a bien fallu considérer comme une récompense était de changer ses draps souillés en rentrant de mon travail, et comme elle utilisait des godes et même des petits plugs qu'elle s'enfonçait dans le derrière, elle me les faisait lécher devant elle après usage. Il me faut avouer que lécher quotidiennement toutes ses culottes souillées le lendemain, respirer ses chaussettes odorantes et tout son linge en général étaient devenus pour moi une drogue.Nous avons déménagé et elle ne me présentait plus comme son époux mais comme son chauffeur et domestique, autant dire son esclave, elle me faisait préparer et aussi servir ses repas quand elle recevait, il me fallait porter une tenue de service qui était devenu mon uniforme, et ensuite il m'était permis de prendre mon repas en finissant les restes d'assiettes dans la cuisine.Les vacances étaient toujours un moment d'exception, non seulement en étant avec plaisir son dévoué chauffeur, mais en étant autorisé à dormir au pied du lit quelques soient ses partenaires estivaux qui était souvent occasionnels, certains amants utilisaient ma bouche pour être sucés à tout moment, mon épouse commençait à véritablement prendre plaisir à être sodomisée pendant qu'elle était pénétrée par le vagin, ma récompense était de déguster ensuite les écoulements blanchâtres de son anus ou de son vagin. Elle me faisait régulièrement réserver en hors-saison un bungalow en bord de mer, mais ce pouvait être aussi un chalet à la montagne durant l'été, souvent le chalet avait un garage ou un sous-sol où il lui arrivait de m'attacher tout nu en m'abandonnant ficelé dans l'obscurité durant des heures, un jour en revenant accompagnée d'une femme, elles m'ont pissé dessus en rigolant avant de repartir.Durant l'été 2001, nous sommes allés au village naturiste du Cap d'Agde, c'était ma première expérience de ce type, mon épouse conservait toujours le bas de son maillot, comme un semblant de pudeur à l'extérieur, tandis qu'elle m'imposait de rester toujours complètement dénudé en permanence et de la servir même en public, il m'a donc fallu devoir surmonter l'humiliation de devoir porter aux yeux de tous mon dernier modèle de cage de chasteté qui était de taille encore beaucoup plus réduite que les précédentes, le fait de porter cette cage de 3cms me faisait encore plus honte car cela suscitait des moqueries intempestives, mais aussi ressentir le ridicule de mes grosses couilles jamais purgées et bien pendantes, non seulement dans le complexe de notre résidence, mais aussi dans toute la zone naturiste du Cap d'Agde, il me fallait marcher tout nu à côté d'elle vêtue en tenue de plage pour nous rendre en bord de mer, en portant évidemment tout seul son parasol, la glacière et un sac à dos rempli de ses affaires, ensuite elle pouvait m'envoyer directement faire nos courses aux horaires où la plupart de vacanciers étaient le plus souvent vêtus et des chaussures aux pieds, avec leurs caddies dans les commerces.Mon épouse a pris pour habitude de s'asseoir à la terrasse d'un restaurant qu'elle affectionnait pour le dîner, il faut reconnaître que c'était un cadre idéal, tandis qu'elle se permettait de me faire mettre à genoux à côté d'elle, c'est ainsi qu'elle m'a fait porter mon premier collier avec une médaille sur laquelle était inscrit ''trouduc'', et je devais ensuite garder une laisse dans la bouche pour lui permettre de me tenir comme un chien en quittant l'endroit, c'était la première expérience où il m'a fallu marcher à quatre pattes, et c'est ainsi qu'elle a commencé à être complimentée. L'une de ses nouvelles amies s'est permise de lui conseiller de me faire un piercing génital pour sécuriser ma cage de chasteté, une protestation de ma part m'a valu une gifle magistrale de mon épouse qui m'a fait saigner la lèvre, et son amie m'a craché sur la figure.Mon piercing de chasteté a été fait dans l'un des clubs qu'elle fréquentait, il avait été convenu que je serais immobilisé comme il faut sur scène pour m'empêcher de bouger, et sur recommandation de sa nouvelle amie, mon épouse a bien précisé que ce serait sans crème anesthésiante pour que je sente très bien ce que j'allais subir, ensuite elle a choisi qu'on me mette un anneau beaucoup plus gros que celui qui était prévu pour un premier piercing. Une fois allongé sur un fauteuil basculant placé sur scène à cet effet, et les cuisses relevées au maximum, mes chevilles ont été cadenassées à mes poignets, mon ventre à été sanglé et mon cou également, de sorte qu'il m'était impossible de pouvoir relever la tête, me permettant seulement voir à l'envers et très inconfortablement, on m'a placé un bâillon qui maintenait ma bouche ouverte en grand. Alors que le pierceur s'apprêtait à faire son œuvre entre mes cuisses, un inconnu s'est approché en demandant à mon épouse l'autorisation d'utiliser ma bouche, et il s'est soudainement enfoncé en essayant de s'introduire dans ma gorge beaucoup trop serrée, c'était douloureux mais son long sexe bien dur est finalement parvenu à me forcer la gorge tandis que ses couilles poilues battaient violemment contre mon nez et sur mes yeux, comme c'était pendant qu'on me transperçait mon gland et l'urètre en même temps, ça m'a distrait de la douleur de mon piercing qui a été fait rapidement, mais j'ai ensuite très bien senti l'anneau pénétrer l'urètre et forcer le passage du piercing sous le gland avant d'être refermé.Mon épouse a dit qu'elle était satisfaite, pendant que ma gorge était toujours pénétrée entièrement, l'inconnu s'est ensuite retiré après avoir éjaculé il est en me torsadant très douloureusement les 2 tétons, cela a provoqué une érection involontaire avec l'anneau en place, mon épouse était à mes côtés et a réagit en me disant ''ton petit morceau de viande semble apprécier'', et elle m'a dit que ce n'était pas fini, elle s'est avancée devant mon visage pour me montrer le gros gode ceinture qu'elle avait mis, il me paraissait vraiment trop énorme pour m'enculer mais je l'ai vu mettre beaucoup de lubrifiant, un autre inconnu a soudain pris la place du précédent en pénétrant ma gorge, et pendant ce temps mon épouse venue entre mes cuisses relevées, a saisi fermement la base de mes couilles, et sans lâcher prise, elle m'a forcé l'anus sans ménagement, tout d'abord par des petits va-et-vient, progressivement de plus en plus profonds, mon anus était ouvert au maximum, un mélange de douleur et de plaisir, c'était une sensation étrange de soumission implicite combinée à la renonciation de mon consentement, être pénétré par la gorge et l'anus en même temps me faisait mal, mais en même temps c'était compensé par la satisfaction de me soumettre publiquement mon épouse.Après quelques jours, mon épouse m'emmenait régulièrement sur une plage qu'elle avait choisie un peu à l'écart mais assez facile d'accès, il m'a fallu être résigné quotidiennement à me faire enculer par des inconnus qui connaissaient l'endroit où ils pouvaient abuser de moi, mon anus dégoulinait jours et nuits continuellement de sperme, mais le plus pénible et douloureux, c'était quand des femmes s'étaient équipées de trop longs godes qu'elles me forçaient à fond, se réjouissant que l'extrémité de leurs manchons distendait la peau de mon ventre sous le nombril. Durant cet été, mon épouse m'a fait sucer des dizaines de bites, le souvent sales et malodorantes, le goût me provoquait parfois un haut le cœur, régulièrement on me pissait dessus, me forçant régulièrement à avaler, mon épouse aussi, ce qui me procurait un plaisir tout à fait inexplicable. C'est à partir partir de cet été qu'il m'a fallu aussi publiquement porter un plug anal maintenu par une ceinture en cuir, cadenassée pour m'empêcher de retirer le plug sans y être autorisé, mon piercing génital commençait à bien cicatriser et une nouvelle cage plus petite a été remise, avec cette nouvelle cage impossible théoriquement d'avoir une érection et l'anneau qui traversait mon gland a été remplacé par un tube courbé maintenu à travers le piercing par une tige cadenassée qui maintenait la cage. Finalement, mon ex-épouse a décidé de maintenir ma cage sur la ceinture de mon plug anal pour empêcher la cage de pouvoir avoir une certaine mobilité, à partir de ce moment toute érection est devenue réellement impossible ce qui a déclenché une frustration jamais connue auparavant et me rendant quelque peu rebelle. Mon ex-épouse a immédiatement fait l'acquisition d'une cravache et cela a commencé à me calmer et à mieux canaliser mon attention sur ses besoins, elle n'hésitait pas à cravacher à n'importe quel moment de la journée, mais le pire était quand elle me faisait mettre à quatre pattes avec le visage au sol et les cuisses bien écartées, et elle visait mes couilles. Elle me disait que je dois apprendre que je ne suis rien.Pendant plusieurs années, en dehors de mes activités professionnelles, de retour à la maison aux horaires qu'il me fallait respecter, mon devoir était de servir domestiquement à la maison, toujours complètement dénudé et parfois en présence de personnes qu'elle recevait. C'est ainsi que peu après notre mariage, mon ex-épouse a commencé réellement à me mépriser, non seulement parce qu'elle ne me considérait pas comme un homme, mais du fait de ma soumission à toute perversité, à commencer par me faire mettre à genoux même en dehors de la maison pour utiliser systématiquement ma bouche comme urinoir, il suffisait de rentrer dans n'importe quel local poubelles et elle pouvait ainsi se soulager, un jour qu'elle avait très mal au ventre, nous sommes descendus dans un parking, et à l'abri des regards entre les voitures, elle a relevé sa jupe en écartant ses fesses et m'a ordonné d'avaler, elle avait une diarrhée et c'était la plus grande humiliation qu'elle me faisait subir, il m'a fallu m'efforcer de tout avaler sans réfléchir, à chaque geyser de merde, c'était dans mon esprit comme devoir oublier avoir été un être humain en déglutissant tout au fur et à mesure, son urine inondait le sol, mes jambes et mes genoux de pantalon étaient trempés. En léchant son anus pour nettoyer, il m'a paru faire cela tout à fait naturellement, ce qui m'a fait assimiler mon état de déchéance.Elle disposait du total accès à mon compte bancaire en dépensant chaque mois sans compter bien au delà de mes moyens, jusqu'à me ruiner complètement malgré ma très bonne situation professionnelle, il s'en est suivi qu'elle m'a jeté ensuite hors de la maison submergé de dettes.Suite au désarroi de mon divorce en 2007, ma première Maîtresse gynarchiste a exigé de lui remettre un contrat de soumission sur lequel elle avait tous les droits et moi aucun, et m'a imposé de travailler comme chauffeur privé en percevant intégralement mes revenus, elle m'a affublé de nouvelles cages de chasteté plus réduites (3cms de long), certaines avec des pointes à l'intérieur (elle disait que c'était pour attendrir mon bout de viande à l'intérieur), d'autres des anneaux pour séparer les couilles qu'elle étirait ensuite séparément de façon qui me paraissait extrême, le port d'un ball-stretcher cadenassé sur lequel elle suspendait plusieurs jerricans de 5kgs pendant les corvées domestiques, des pinces crocodiles douloureuses sur les tétons avec de petites clochettes, tout en continuant de me faire avoir l'anus continuellement plugué, y compris pour conduire mes clients passagers durant les heures consacrées à mon activité de chauffeur privé (VTC), tout cela bien évidemment maintenu par une ceinture de chasteté ajustée et inamovible.C'est aussi à partir de ce moment qu'il m'a été prohibé par ma Maîtresse gynarchiste de porter mon regard sur les femmes qui pouvaient se trouver en ma présence, ceci du fait d'en avoir été jugé indigne, il m'a dès lors été interdit même de voir leurs jambes, ce qui est pour moi une très grande frustration de ne pouvoir les admirer, ma Maîtresse exigeait uniquement de prendre grand soin de ses pieds et de les masser parfois le soir durant des heures, ces mêmes pieds qui pouvaient taper à tout moment violemment dans mes couilles en me faisant mettre à 4 pattes, uniquement pour me faire rappeler qu'elle avait tous les droits et moi aucun. Dressé désormais à coups de fouet, il m'a fallu également commencer à considérer comme privilège de vénérer l'anus des personnes qui pouvaient lui rendre visite et qu'elle me faisait toujours lécher les yeux bandés pour nettoyer, il me fallait donc aussi lécher l'anus poilu des hommes. Mon bonheur était immense d'être attaché par les couilles au pied de son lit, même si c'était très inconfortable d'avoir pieds et mains menottés des nuits entières, et d'avoir la tête cagoulée avec une ouverture pour la bouche uniquement.Tous les matins à son réveil, après son rituel de poser son sexe odorant sur ma bouche pour me faire avaler goulûment avec délice son premier pipi au goût très fort, elle se dirigeait dans sa salle de bain pour s'asseoir au dessus de la cuvette posée au fond de ses wc, et c'était donc ainsi ce qu'elle me faisait considérer la consommation de ses excréments comme une faveur suprême.Avec le temps, avaler depuis des années des excréments sans savoir de qui n'est pas un plaisir, surtout quand on a pas envie d'avaler quoique ce soit, mais cela m'apporte néanmoins toujours la satisfaction de faire quelque chose qui convient à ma Maîtresse.Il va de soit que toute autorité féminine serait en mesure de me contraindre à satisfaire ses exigences, mon vécu m'a appris à tout accepter venant d'une femme, y compris des sévices physiques pour lesquels il faut m'immobiliser.PS : N'ayant pas eu accès à ce profil en raison de mon appartenance sans concession ces 2 dernières années, et l'interdiction de naviguer sur internet, les commentaires précédents ont été rédigés par ma dernière Maîtresse à mon insu. Bien que ma Maîtresse ait fait le choix de partir définitivement à l'étranger en m'abandonnant à mon triste sort, tous ses commentaires légitimes et justifiés sont conservés.
Ce que je cherche
Vous aurez tous les droits et moi aucun, la copie du contrat de soumission et d'asservissement détenu par ma dernière Maîtresse Yelena pourra servir de base à votre nouveau contrat pour l'actualiser et le dater (le dernier contrat annule et remplace les plus anciens), il ne vous restera plus qu'à m'y faire apposer mes empreintes digitales sur le seul original de ce contrat que vous conserverez.Conscient qu'un sous-mâle se doit d'être chastifié pour devenir assexué (et peut de ce fait être amputé de son organe reproducteur superflu à tout moment), il me faudra donc servir dans une extrême frustration sachant qu'elle sera dans tous les cas irréversible, et indépendamment de la résignation d'être utilisé même dans les moments les plus désagréables et éprouvants. Il va donc de soit qu'à votre seule convenance, vous pourrez constamment me contraindre par tous moyens, bien qu'ils puissent être extrêmement pénibles ou douloureux. Il est évident que pour garantir ma dépendance la plus totale, il me sera de nouveau impossible de me libérer moi-même de mon plug qu'il me faudra garder dans l'anus 7j/7, seule ma Maîtresse et les personnes habilitées pourront décider de son retrait à tout moment avant d'être remis pour son maintien en continu.Ne devant pouvoir vivre et exister que dans le seul intérêt de la personne qui fait mon acquisition et détentrice de mon contrat, rien ne peut demeurer en ma possession depuis plus d'une dizaine d'années, vous pourrez donc me faire commander une nouvelle carte bancaire que vous détiendrez avec le code, ce qui vous permettra ainsi de disposer en début de chaque mois de ma pension retraite. Vous pourrez évidemment m'utiliser servilement comme chauffeur soumis, donc chastifié avec l'anus continuellement plugué, comme esclave corvéable et enchaîné dénudé les couilles pendantes 7j7, comme animal de ferme et traité comme tel en tractant à 4 pattes par les couilles du matin au soir de lourdes charges sur un charriot, comme objet mobilier décoratif suspendu à l'extérieur de votre entrée, crucifié et empalé avec les couilles douloureusement lestées, ou sinon maintenu isolé sous les latrines lors d'évènements, avec la bouche maintenue ouverte et la gorge entubée pour avaler...Concernant mon état physique, pour optimiser mon utilisation ou mon exploitation, il suffira d'examens vétérinaires comme pour soigner un animal, toute hospitalisation serait décidée par vous uniquement, ou l'euthanasie cas échéant, mon vœu serait à ce moment d'être démembré pour nourrir d'autres sous-males ou à défaut les porcs sauvages, lorsque mon existence ne sera plus d'aucune utilité. S'il me faut demeurer entièrement nu 7j/7 en réclusion, vous seule jugerez de la nécessité de me préserver du froid ou des intempéries, que ce soit en m'enfermant attaché par l'anneau dans les narines dans une étable ou une porcherie, ou les poignets et chevilles cadenassés ensemble dans une cellule sinistre, une cave obscure humide, ou encore dans un trou creusé dans la terre grouillant d'insectes et accessible par une trappe, sinon simplement en me réchauffant à coups de fouet.Vous pourrez me faire porter votre collier aux yeux de tous, bien évidemment me numéroter au fer rouge comme le bétail, me raser intégralement de la tête aux pieds et vous divertir d'enflammer les poils indésirables à la bougie, m'affubler d'un anneau entre les narines pour m'attacher, me faire déplacer uniquement à quatre pattes sans jamais poser genoux à terre, les couilles toujours bien exposées aux coups de fouet. Durant votre sommeil paisible, m'imposer un carcan (humbler) pour cadenasser mes couilles douloureusement étirées à mes poignets et mes chevilles.Pour m'exploiter, vous pourrez me contraindre à travailler 7j/7 dans une ferme pour recycler les déchets humains, non seulement devoir tirer péniblement à quatre pattes et par les couilles uniquement des charriots lourdement chargés, mais aussi m'obliger à tracter par le humbler cadenassé à mes couilles toutes les personnes assises sur un buggy lors de leurs visites dans votre domaine, il va de soit en me motivant à coups de puissantes décharges électriques dans l'anus pour me faire avancer plus vite.Il va de soit que vous pourrez vous divertir avec vos connaissances à mes douloureux dépends. Il m'est arrivé régulièrement d'être maintenu empalé sur les pointes de pieds avec les couilles alourdies de sérum physiologique devant une porte d'entrée durant des heures, les invités m'écrasaient les testicules à pleine main en me faisant couiner à tour de rôle comme un porc à l'agonie pour prévenir leur arrivée. Pour me récompenser, vous pourrez me faire mâchouiller avec gratitude tous les tampons hygiéniques après usage, manger par terre vos rognures d'ongles, bien évidemment me contraindre à ouvrir docilement la bouche pour avaler le vomi, les lavements, ou même la chiasse de n'importe qui. Pour mon équilibre alimentaire, il va de soit que vous pourrez m'imposer de me nourrir de nourriture pour animaux, une délicieuse poignée d'avoine dans votre pisse matinale, ou manger quotidiennement une soupe copieuse dans la cuvette posée continuellement au fond des toilettes, vos déchets et épluchures mixés avec les excréments et la pisse sans savoir de qui, ce ne sera évidemment pas négociable pour moi puisque c'est déjà le régime qui me convient depuis plusieurs années. Avec l'espoir de pouvoir lécher en votre présence l'anus qui se présentera à ma bouche pour nettoyer, et de ramper misérablement à vos pieds pour vous exprimer ma reconnaissance.
Pratiques
Fétichisme, Shibari / bondage, Contrainte (menottes, chaînes ...), Discipline (Fessée, fouet, cravache...), Enfermement (placard, cage, coffre...), Asservissement (valet, soubrette ...), Exhibition forcée, Suspension (harnais, cage ...), Brûlure (cire ...), Electro-stimulation, Piétinement (pieds nu ou talons ...), Pet-play (travestir en chien, cheval ...), Chasteté (cage/ceinture ...), Momification (cellophane, d'adhésif), Etouffement maîtrisé, Urolagnie, Scatophilie, Facesitting, Adoration (cérémonial, dévotion ...), Autres pratiques (voir "Ce que je cherche")
En quête de
Une Maîtresse, Une relation durable
Orientation sexuelle
Bi
Résultat BDSMTest.fr
Resultats du test www.bdsmtest.fr 100% Voyeur100% Attaché(e)/Rope bunny100% Animal de compagnie91% Soumis(e)90% Esclave 87% Masochiste85% Non-monogame83% Expérimentateur/teuse81% Dégradé(e)/Humilié(e)72% Exhibitionniste72% Chassé(e)/proie39% Ageplayer33% Daddy/Mommy (Parent)27% Dégradeur/dégradeuse17% Sale gamin(e) (Brat)15% Propriétaire d'animal12% Dominant(e)12% Vanille8% Sadique6% Little0% Chasseur/prédateur0% Maître/Maîtresse0% Attacheur/attacheuse (Rigger)0% Switch0% Dresseur/euse de "sale gamin(e)"* https://bdsmtest.fr/test-results/openqzpd7A/show *
Info de base
Statut de situation sentimentale
Séparé(e)
Genre/Type:
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