Tu as gainé tes formes généreuses de quelque dentelle et voile transparent
Je devine quelque lingerie bien choisie, piège à peine dissimilé pour ton amant
A cette vision, mon cœur bondit d’amour, tu devines mon désir ému
Je te voulais séduisante, je te vois désirable, je te veux déjà nue,
Tu es si belle, amante séduisante, hôtesse prévenante, maitresse délurée
Cette soirée est si douce mais si interminable de promesses inavouées
Alors je jouerai ton jeu, comme si c’était la première fois, je veux te conquérir
Plus que nos mains, nos mots d’abord innocents trahissent l’envie de séduire
Comme deux adolescents, nous retrouvons l’émotion de la première fois,
Comme deux amants, nous savons l’issue de cette rencontre avec émoi
Je vois chaque courbe de ton corps comme un nouvel horizon à conquérir
Je veux chaque parcelle de ta peau comme un territoire que je veux asservir
A chaque mouvement, tes bas crissent comme un archer sur mon impatience
À chaque pas, tes fesses à peine couvertes ondulent avec éloquence
A chaque regard, tes yeux sourient et enjôlent mon cœur avec défi
A chaque mot, tes seins frémissent et m’haranguent en autant de préavis
Tu es chatte qui joue avec la souris, je suis souris qui rêve de dévorer le chat
Je suis serviteur soumis à sa maitresse, tu es lionne en habits de geisha
A la lueur des bougies, tu deviens rêve, tu deviens ombre mystérieuse
La moindre courbe de ton corps se gave de cette lumière parcimonieuse
Je me repais de ta vision merveilleuse, je profite de ces instants préliminaires
Je frémis à notre future escarmouche, mais je suis déjà soumis à mon adversaire
Je sais déjà que je vais me rendre à ta raison, me soumettre docilement à ta loi
Je serai esclave servile de ton plaisir, tu seras concubine gardienne de ma foi
Mais avant de te concéder cette future victoire, il nous faut ouvrir la joute
Je dois lancer l’offensive, fourbir mes armes malgré mon inexorable déroute
Je suis mâle et tel est mon destin, je suis amant et telle est ma raison
Tu es femme et telle est ton attente, tu es amante et je te dois passion
J’effleure tes épaules fines vers ton cou frémissant à mes chuchotements
Je mordille tes lobes et lèche tes oreilles, tu trésailles de ravissement
Mes lèvres effleurent tes joues rosies et trouvent ta bouche entrouverte
Je t’embrasse et je savoure cette victoire de te trouver presque déjà offerte
Mes mains découvrent ton dos vers la douceur de tes fesses rebondies
Ta peau si fraiche me fait chavirer, ta chair si douce me met en appétit
Tes doigts viennent à la rencontre de mon désir, je te suis déjà dévoué
En quelques passes adroites, nous voici nus et nos corps sont libérés
Tu t’exhibes devant moi, mon désarroi t’amuse, tes mains soulignent ta nudité
Mes yeux rencontrent tes seins, ton ventre, tes cuisses et ton pubis rasé
Cette vision me trouble et je viens poser mes lèvres sur ton secret révélé
Tu agrippes mes cheveux pour guider mon visage contre ton ventre dévoilé
Puis tu rejoins le lit pour mieux m’attirer dans le piège de ton envie
Tu empoignes mon être, tu caresses mon membre dressé, tes yeux me défient
Tes mains flattent mes couilles frémissantes, tes lèvres effleurent ma queue,
Je m’accroche à tes cheveux, je regarde ta langue gravir mon épieu,
Soudain tu me gobes brutalement avec gourmandise et tu souris de me posséder
Je me rends à ta domination, je m’offre à ta possession, je suis ta chose, ton jouet
Ta bouche sur mon membre est si douce et chaude que mes sens me dévorent
Nos regards se croisent, alors que sans aucune pudeur tes mains m’explorent
Tes yeux m’interrogent avec provocation, tes doigts cherchent d’autres voies
Tu revendiques mon plus intime comme ton fief, je me soumets à cette nouvelle loi
Tu brandis le membre factice que je te destinais, ton nouvel allié traitre à ma cause
Ce gourdin prêt à en découdre, je le sens déjà en moi, je suis déjà sous son hypnose
J’implore toutefois ta clémence mais je suis déjà impatient de recevoir l’artifice
Tu es clémente, tu consens à lubrifier la chose pour assurer sa faculté de glisse
Tu affutes ta dague et tu l’enfonces en moi sans pitié en instrument de ton office
Je te reçois par son entremise, je t’accueille avec humilité tant tu forces mon orifice
A chaque offensive de ta bouche répond une charge du gredin expert entre mes reins
Je ne sais te résister, je ne sais te remercier, je ne sais que t’encourager, moi le pantin
Je caresse tes cheveux, je ne peux encore te montrer autrement combien je t’aime
Mon corps entier tremble de plaisir, mais je sais que ce n’est que le premier thème
Tu jubiles de cette empalement réciproque, duel sans vaincu mais à deux vainqueurs
Pourtant ton exploit n’est qu’un avant-goût de futures batailles aux enjeux supérieurs
Tu joues avec le feu qui me consume, tu ris de me voir pantelant sur ton glaive, déjà défait
Me sentant défaillir, tu t’écartes de mon fleuret et tu me tends un sourire brillant et satisfait
Non, c’est trop facile, tu exiges un adversaire à ta valeur, tu réclames la contre-offensive
Tu veux à ton tour subir ma charge, tu veux être à ma merci, subir ma loi possessive
Doucement, tu me quittes pour mieux m’inviter à t’assiéger, tu revendiques ton plaisir
Ton acolyte me délivre et s’écarte avec respect, pas trop loin, il peut encore servir
Tu t’étends sur le dos, ton ventre impudique exhibé, tes doigts jouent dans ta fente
Tes pieds gambadent sur mon ventre et s’emparent de ma queue si obéissante
Tu m’ordonnes de m’incliner, je deviens ton vassal, tu exiges preuve de ma dévotion
Je m’agenouille entre tes cuisses impatientes, ta fontaine dispense déjà sa douce potion
Alors que tu caresses ton ventre, que tes doigts initient ta vulve aux futurs mystères
Tu me souffles de te montrer adoration, tu m’intimes de te baiser depuis la terre
Mes lèvres entament l’ascension de tes jambes et glissent vers ta source inexorablement
Je suis la courbe de ta cheville, tu m’enserres de tes jambes, tu m’attires fermement
Le bas me fait barrage mais m’excite à la fois, bientôt j’atteins ta peau au goût de brise
Tu gémis lorsque je rallie ce nouveau territoire, tes cuisses me poussent en terre promise
Je parviens enfin au but, je flaire ta nudité, je goûte ta féminité, je suis au commencement
Je lape ton essence avidement, je suce ta chair et lèche ta substance avec ravissement
Ma langue s’aventure vers le plus intime de toi, mes doigts te fouillent et ton corps se tend
Tu saisis tes fesses pour t’écarteler encore et élargir la voie à mes hommages insistants
Tes reins ondulent du désir de mon exploration, tes gémissements se font encouragements
Ton sexe palpite du plaisir de ma perquisition, tes halètements deviennent commandements
Tu m’enjoins de te caresser au plus profond, tu m’ordonnes de maintenant te pourfendre
Je ne sais où te combler, dois-je me multiplier ? Je ne sais de quel instrument te prendre
Finalement je m’assure d’un précieux duo d’auxiliaires zélés, à ton impérieuse requête
J’enduis les duettistes et te pénètre doublement, alors que tu encourages ma conquête
Tu te laisses aller à cette double pénétration avec volupté, au comble du renoncement
Je me délecte du spectacle de ton corps ainsi supplicié, au comble du ravissement
Tu m’appelles près de toi, je te rejoins, tu me réclames et je m’approche plus
Ta demande est décidément gourmande, mais soit, j’autorise que tu me suces
Tu es belle ainsi criblée et j’exulte de te soumettre ainsi à mon asservissement
Je te vois esclave et je me crois bourreau mais l’évidence s’impose finalement
Je ne suis pas seigneur de ces tortures, tu es seule maitresse de ces instants précieux
Même alors que tu jouis avec violence et sans retenue, je ne suis qu’un laquais envieux
Haletante, tu réclames, tu appelles, tu convoques, tu m’ordonnes de te prendre
Je décide de me venger de ton plaisir, je veux l’initiative, je vais te faire attendre
Je chasse alors mes assistants tortionnaires devenus importuns et libère tes intimités
Ma langue tyrannique affole ton précieux bouton et je caresse ton minou détrempé
Avec délectation, je lèche une dernière fois le nectar de ta source en guise d’adieu
J’entreprends alors l’assaut de ton corps sans défense, seulement armé de mon pieu
Je rampe et arpente ton territoire nu, ma poitrine effleure ton chaton encore béant
Je ne suis pas pressé, je sais que bientôt mon sabre y trouvera un fourreau accueillant
J’atteins les douces collines de tes seins gonflés, tu me tends tes fiers mamelons
Je m’attarde, je mordille l’un, je lèche l’autre, je suce et je gobe tes tendres tétons
Puis je gravis ton cou, je croque tes lobes avant de conquérir ton visage
Tu me souffles des mots d’encouragement, je souris de te voir si peu sage
Je caresse tes lèvres de ma langue, je caresse tes lèvres de mon hampe
A bout de désir, tu coupes court à mon jeu, tu m’empoignes, impatiente
Un instant suspendu, tu sembles hésiter sur la destination du précieux membre
Tu palpites encore au souvenir de mes deux gredins, tu les sens encore te fendre
Je me glisse entre tes cuisses, je me présente contre ta vulve radieuse, tu frémis
Je me glisse entre tes fesses, je me propose contre ton œillet épanoui, tu gémis
Finalement à mon grand dam, tu guides résolument mon pal vers ta chatte
Comme je tergiverse, tu t’empares de mes fesses et m’enfonces à la hâte
Tes râles accompagnent ma poussée, ton corps se cambre pour me recevoir
Je commence à aller et venir en toi et tu gémis sous mes coups de boutoir
Ton sexe est si humide, si chaud, si accueillant, tu m’encourages à t’enfiler
Je te baise avec amour, je te fais l’amour avec violence, je t’aime à te déchirer
Mais cette bataille aussi n’a qu’un temps, bientôt nous aspirons à d’autres mêlées
Doucement, tu m’invites à basculer, je t’obéis et glisse hors de toi sur le coté
Tu m’enfourches brutalement, telle une amazone dans une farouche chevauchée,
Je te réclame patience et retenue, il est trop tôt pour exulter, je réclame ta pitié
Tu reviens à la raison, tu m’accordes répit et tu me montes alors avec chasteté
Tu joues de ton bassin, tu ondules en me souriant et te cambres, tu es majesté
Sur le champ de nos batailles, le calme salue ton avantage, la trêve est bienvenue
Mon amour, accordons-nous un instant de douceur, viens le long de moi avec retenue
Je caresse tes seins, tu caresses mon torse, je caresse tes fesses, tu m’embrasses
Nos sexes se fondent doucement, nos corps communient tendrement, je t’enlace
Dis-moi tes envies, chuchote-moi tes désirs, murmure-moi tes exigences
Je serai ton majordome servile, le domestique appliqué à ta seule jouissance
Tu me prends au mot, tu acceptes mon allégeance, tu seras donc ma souveraine
Tu te redresses, me domines de ta splendeur et décides de ma nouvelle peine
Je suis condamné à souffrir encore ton serviteur infatigable tandis que tu me recevras
Ma foi, cette condamnation me sied, j’imite la résignation accablée mais j’en salive déjà
De nouveau ton regard me défie, je te donne ma bénédiction et je me réjouis
De nouveau, tu convoques ton lieutenant qui doit être convenablement enduit
Je sens le coquin guidé par tes soins entre mes fesses, je feins le refus mais je capitule
Ton regard indomptable me transperce aussi fort que ton artifice implacable m’encule
Finalement, tu te lasses de me chevaucher, tu abandonnes mon dard pour te retourner
Tu te renverses pour m’offrir ton cul à lécher, et tu t’emploies à mieux me sodomiser
Je deviens fou lorsque tu me tends l’autre coquin et m’invites à te rendre la pareille
Mon application paye, vous êtes si humides qu’il n’est nul besoin d’enduire l’appareil
Alors que ma langue te lèche la chatte, le précieux auxiliaire me relaie au plus profond de toi
Sans autre forme de procès, ta bouche confisque mon phallus tendu tandis que je te bois
Tu me suces goulûment, tu me branles avidement, mon cul s’offre à ton appendice
Tes reins accueillent mon gode, je te masturbe ardemment, je te lèche avec délice
Alors que notre frénésie porte nos corps et nos âmes vers d’autres rivages
Notre plaisir nous rejoint au plus fort de notre soumission réciproque et sauvage
Tu te cabres comme une pouliche effrayée alors que tu laisses éclater ta jouissance
Ton plaisir m’inonde alors que ta bouche libère ma sève qui explose avec puissance
Ton plaisir s’écoule sur mon visage alors que tu t’effondres sur mon corps
Ma semence s’écoule de tes lèvres alors que tu me dévores
Je flatte ta croupe fourbue, mes mains pleines de ton essence caressent tes reins
Tu embrasses mon étalon harassé, tes doigts pleins de ma liqueur massent tes seins
Ta fontaine éventrée s’offre à mes derniers baisers, tu joues de mon manche brisé
Tu rampes pour venir te blottir dans mes bras, tu agaces mes tétons encore dressés
Je caresse tes fesses et glisse distraitement un doigt au plus humide de ta raie
Tu ondules pour ma faciliter l’accès à cette issue en toi trop rapidement délaissée
Tu poses ta cuisse en travers de moi, ton sexe ruisselle sur mon ventre
Tes doigts cajolent doucement ma verge déconfite et tremblante
Attention, je crois que ça pourrait me redonner envie de toi…
2 personnes aiment ça.
mia michael
femme soumise.
Vit à
Bruxelles, Bruxelles, Belgique.
Soyez la première personne à aimer.
… Elle est nue et me caresse le sexe durci. Docilement, elle le lape à petits coups comme une chienne. Je flatte sa croupe, titillant son sexe lisse. Elle écarte les cuisses et se cambre pour mieux offrir sa vulve déjà humide.
Elle s’applique sur mon vit quand d’une pression sur la tête je lui intime l’ordre de m’emboucher. Elle s’exécute avec abnégation et me gobe goulument. Je la prends aux cheveux et lui donne le rythme et la profondeur qu’elle adopte bientôt avec application. Je me laisse aller à cette pipe merveilleuse en fouraillant machinalement sa chatte maintenant trempée. Elle gémit de plaisir et se laisse un peu distraire de sa tâche. Je la gronde et sanctionne son manquement et lui claquant la fesse. Elle reprend son office avec empressement alors que j’introduis mes doigts et lui fouille le sexe.
Les doigts bien lubrifiés de sa mouille, j’explore maintenant son petit orifice bien serré. D’abord je masse l’œillet, puis le presse en tournant autour de la chair délicate. Elle gémit autant de plaisir et d’envie. Je pousse un peu et la corolle s’ouvre spontanément comme pour m’aspirer. J’enfonce mon doigt et masse son intérieur alors qu’elle me pompe avec empressement. Bientôt je lui besogne l’anus et l’encule du doigt enfoncé jusqu’à la garde, allant et venant au rythme de sa bouche sur ma queue, écartelant son orifice, sous ses halètements et ses gémissements.
Distraite, la chienne oublie son office pour se laisser aller à mon doigtage sodomite mais je ne la reprends pas. Elle est allongée en travers de mes cuisses, abandonnée, soumise à mon doigt qui l’encule, puis à deux puis trois doigts qui la pénètrent brutalement, qui l’écartèlent, qui la défoncent avec gourmandise. Elle s’abandonne et néglige ses devoirs de suceuse et elle sait que je la punirai sévèrement pour cela, mais je m’en réjouis d’avance et savoure déjà la pénitence que je lui imposerai.
Je la sens venir et de fait, elle est aussitôt tétanisée d’un orgasme violent, son premier orgasme anal. Elle gémit, crie, se cabre, m’encourage et proteste, me remercie et me supplie. Je continue de lui défoncer le cul en lui enfonçant presque ma main entière, savourant son abandon et ses dispositions à la sodomie.
Elle retombe bientôt, fourbue et pantelante, le corps ruisselant et le regard reconnaissant. Je la prends en levrette en veillant à ne pas la faire jouir une seconde fois…
6 personnes aiment ça.
Je suppose qu'elle avait été déjà fisté n'est-ce pas à moins qu'il ne s'agisse que d'un récit de fiction au demeurant très bien écrit ?😊💋👠
J'aime
25/07/23
Et bien alors elle a des capacités de dilatation peu commune car normalement déjà y arriver en une fois ce n'est pas évident du toutmais aussi rapidement que vous semblez le dire est proprement extraordinaire car normalement le fist anal, cad rentrer totalement la main entière requiert une progression plus étalee dans le temps .... J'en sais quelque chose !!😏💋👠
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27/07/23
si vous lisez bien, vous verrez qu'il ne s'agit pas du tout de fist...
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27/07/23
Oui tout dépend en effet de ce que vous entendez par "presque ma main entière" moi je voyais les 5 doigts mais s'arrêtant à mi-chemin ce qui est déjà une très belle performance pour une personne qui n'a jamais subie une telle intrusion en si peu de temps !👍😊
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27/07/23
ktycat35
femme soumise.
Vit à
RENNES, Bretagne, France.
Soyez la première personne à aimer.
bonjour d'un amateur novice
Oui, je sais, un simple bonjour, c'est un peu court en somme, alors j'ajoute "amateur" car je suis séduit par les choses du BDSM, même si dit comme ça, c'est un peu facile et ça ne mange pas de pain... Et "novice" parce que malgré tout, j'ai peu d'expériences, très réussies cependant.
Par ces expériences, je me suis découvert le goût et des dispositions pour la domination, et quelques péchés mignons, comme la fessée avec ou sans accessoires, les entraves, l'électro-stimulation, le travail de seins et bien d'autres encore.
Et comme je suis habile de mes mains et collectionneur, les qualités techniques et esthétiques des objets du BDSM m'ont amené à me constituer une belle collection, par acquisitions ou réalisations personnelles.
Bref, j'aimerais échanger sur ces thèmes et peut-être rencontrer une soumise pour explorer mes pratiques et développer mon expérience...
Au plaisir de vos réponses...
3 personnes aiment ça.
Soyez la première personne à aimer.
… Elle est nue et me caresse le sexe durci. Docilement, elle le lape à petits coups comme une chienne. Je flatte sa croupe, titillant son sexe lisse. Elle écarte les cuisses et se cambre pour mieux offrir sa vulve déjà humide.
Elle s’applique sur mon vit quand d’une pression sur la tête je lui intime l’ordre de m’emboucher. Elle s’exécute avec abnégation et me gobe goulument. Je la prends aux cheveux et lui donne le rythme et la profondeur qu’elle adopte bientôt avec application. Je me laisse aller à cette pipe merveilleuse en fouraillant machinalement sa chatte maintenant trempée. Elle gémit de plaisir et se laisse un peu distraire de sa tâche. Je la gronde et sanctionne son manquement et lui claquant la fesse. Elle reprend son office avec empressement alors que j’introduis mes doigts et lui fouille le sexe.
Les doigts bien lubrifiés de sa mouille, j’explore maintenant son petit orifice bien serré. D’abord je masse l’œillet, puis le presse en tournant autour de la chair délicate. Elle gémit autant de plaisir et d’envie. Je pousse un peu et la corolle s’ouvre spontanément comme pour m’aspirer. J’enfonce mon doigt et masse son intérieur alors qu’elle me pompe avec empressement. Bientôt je lui besogne l’anus et l’encule du doigt enfoncé jusqu’à la garde, allant et venant au rythme de sa bouche sur ma queue, écartelant son orifice, sous ses halètements et ses gémissements.
Distraite, la chienne oublie son office pour se laisser aller à mon doigtage sodomite mais je ne la reprends pas. Elle est allongée en travers de mes cuisses, abandonnée, soumise à mon doigt qui l’encule, puis à deux puis trois doigts qui la pénètrent brutalement, qui l’écartèlent, qui la défoncent avec gourmandise. Elle s’abandonne et néglige ses devoirs de suceuse et elle sait que je la punirai sévèrement pour cela, mais je m’en réjouis d’avance et savoure déjà la pénitence que je lui imposerai.
Je la sens venir et de fait, elle est aussitôt tétanisée d’un orgasme violent, son premier orgasme anal. Elle gémit, crie, se cabre, m’encourage et proteste, me remercie et me supplie. Je continue de lui défoncer le cul en lui enfonçant presque ma main entière, savourant son abandon et ses dispositions à la sodomie.
Elle retombe bientôt, fourbue et pantelante, le corps ruisselant et le regard reconnaissant. Je la prends en levrette en veillant à ne pas la faire jouir une seconde fois…
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