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Le "forced bi" (bi forcée) est une pratique BDSM où un dominant ou une dominante oblige un soumis ou une soumise a avoir un rapport sexuel avec une personne du même sexe. On parle également de "bi contraint", "bi encouragé" ou de manière plus académique de "bisexualité forcée".

La personne dominante peut emmener la personne soumise à pratique le "forced bi" de différentes manières, en fonction de son style de domination. Elle peut initier la relation en étant dure et humiliante avec la personne soumise. Mais la séance de forced bi peut être introduite de manière beaucoup plus douce, par exemple en incitant la personne soumise (homme ou femme) à s'adonner à une relation homosexuelle, avec des encouragements.

Lors d'une relation bi forcée, la personne soumise continue à jouer ce rôle de soumission tandis que la nouvelle personne prend le rôle du dominant. Le nouveau dominant peut pénétrer analement le soumis avec un pénis ou une sangle ou forcer le soumis à lui faire une fellation, par exemple. La personne dominante du couple observe souvent le déroulement de la rencontre sexuelle. Il peut même suggérer des façons dont le nouveau dominant pourrait interagir avec son partenaire, mais n'intervient que  rarement activement à la scène.

Les scènes de sexe forcé sont un moyen pour les  personnes dominantes d'affirmer leur contrôle sur la personne soumise. Elles donnent également au soumis une chance de démontrer leur obeissance. La personne dominante peut faire d'une rencontre de forced bi une forme de jeu d'humiliation.Ce type d'expérience renforce leurs rôles dans une relation BDSM. Certains soumis aiment aussi l'idée d'être "donnés" à une autre personne et utilisés pour leur plaisir sexuel. Pour certains soumis, le bi forcé peut être un moyen sûr d'explorer leur sexualité dans les limites d'une relation hétérosexuelle.

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Soumise Morgane
J'ai donc patienté toute la semaine dans un état d'excitation et de fébrilité. Il ne s'est pas passé une journée sans que mon esprit pense à cet instant passé et à la promesse à venir. Toujours en cage de chasteté, je suis en état de manque avancé et j'ai beaucoup de mal a le cacher. Maîtresse n'est pas en reste puisqu'elle me rappelle, chaque soir, que je vais me faire prendre par pleins d'hommes, que je vais mouiller comme une chienne en chaleur et que je vais prendre un pied d'enfer, offerte a de parfaits inconnus. Je suis partagée entre désir et crainte. Désir car cette première fois a été si intense que j'ai hâte de ressentir à nouveau un tel plaisir. Crainte car à plusieurs hommes sur moi, j'espère que l'effet de groupe ne les rendra pas bestiaux, sauvages, sans penser à moi. La soirée promise par ma Maîtresse est arrivée. Initialement, je pensais que la soirée se ferait le vendredi soir. Mais ne voyant rien venir, j'ai vite compris qu'il fallait 24h de plus pour que tout le monde puisse être réuni. Samedi soir, Maîtresse m'attache, me bande les yeux puis, elle me chauffe. Cette fois, je suis à cran, un rien peut me faire vaciller. Elle me caresse, me doigte, me fait sucer son gode-ceinture. Je ne cache pas mon appétit, mon désir profond, mais c'est long. Tellement long que j'ai de plus en plus peur d'exploser avant d'être prise par "mes amants". Lorsque Maîtresse décide que j'ai suffisamment sucé, plutôt que de me prendre, elle ramasse tout, me détache puis elle m'explique: "Tu n'auras rien de plus ce soir, ce week-end. Non, ce n'est pas annulé, c'est juste pas prévu pour ce soir. D'ailleurs, ça n'a jamais été prévu pour ce soir. Je voulais voir à quelle point tu pouvais être impatiente de faire ta salope. Et le moins que je puisse dire, c'est que je ne suis pas déçue de se que j'ai vue et de ton désir de te faire baiser. Je te jure que tu y aura droit, mais je ne te dirai pas quand. En attendant de t'offrir à mes amis, tu vas rester en cage de chasteté et je t'interdis de demander quoi que ce soit. Je ne veux pas t'entendre demander quand est-ce qu'ils viendront, quand est-ce que tu seras libéré ou tout autre demande lié a cette soirée. Si tu enfreins cet ordre, je décalerai la soirée d'un mois et ça inclus que tu resteras enfermé en cage de chasteté sur toute la durée allant jusqu'à cette soirée." Le reste du week-end, Maîtresse joue avec mon excitation déjà maximal et sur ma frustration de ne pas les avoir reçus. La semaine suivante, elle poursuit de m'exciter. Je suis clairement en manque. Je mesure chaque mot, chaque parole afin d'éviter de commettre une faute. Je me demande si, dans la punition promise, le report de leur venu n'a pas prit le dessus sur un allongement de ma chasteté. Je deviens dingue et ma frustration est visible. Quand arrive le week-end suivant, le vendredi soir est calme. Normal car nous avons travaillés et que la semaine a été compliquée, surtout pour moi. Mais le samedi soir, Maîtresse a prévue une tenue pour moi. Un rapide coup d'œil pour comprendre que je tiens le bon bout, ça va être pour ce soir. Cette tenue n'est ni plus, ni moins qu'une tenue de femme. Des bas, un ensemble de lingerie en dentelle rose comportant un porte-jarretelles, un string et un soutif, une poitrine bustier de bonnet D, une jupette plissée mi-cuisses noire, un chemisier blanc fin qui a du mal a cacher mon soutif, une petite veste grise, une perruque brune cheveux au carré et des escarpins talons de 8cm. Une fois habillée, Maîtresse me maquille puis elle ajoute quelques bijoux féminins pour un meilleur raffinement. Face au miroir, le constat est sans appel, je suis désirable, féminine et sexy. Il est 19h30 lorsqu'elle m'introduit un plug et qu'elle m'annonce: "Ce soir, tu es la reine du bal, le centre du monde. Tu vas faire un malheureux. Tu es prête pour ta soirée? - Oui Maîtresse, je suis plus que prête, j'en meurs d'envie. - Tant mieux car la soirée va être longue. Allons y." Allons y? Mais ça ne se fait pas à la maison? Je ne dis rien, de peur d'être punie et de voir la soirée être reportée. Dans la voiture, Maîtresse active le plug en moi. Tiens, il est connecté et vibrant. Manquait plus que ça. Sans donner le moindre détails, Maîtresse me promet une soirée mémorable que je ne suis pas prête d'oublier. Déjà, sortir habiller ainsi est une nouveauté, première raison pour ne pas l'oublier. Puis être offerte à plusieurs inconnus que je ne verrais pas complètera de rendre cette soirée mémorable. Je suis tellement excitée que ça peut que très bien se passer. J'ai hâte de voir la suite. Nous arrivons en plein centre ville. Mon cœur bat extrêmement vite car je ne vois pas ou peut se tenir une telle soirée. Mais surtout, je dois sortir de la voiture habillée en femme, à la vue de tout le monde. Mon stress est maximale et je ne prête même plus attention au plug qui continue son œuvre. Maîtresse m'indique une devanture comme lieu de destination. "Un restaurant, Maîtresse ? - Oui ma chérie, il faut bien manger." Nous entrons, accueillies comme deux femmes puis, une fois à table, nous passons un moment simple ou seules ma tenue et mon plug me rappel que je suis aux ordres et non un mari. Une fois le restaurant fini, Maîtresse poursuit de me faire languir puisque nous entrons dans un bar de nuit. Cet établissement n'est pas qu'un simple bar de nuit puisqu'il offre une piste de danse et que Maîtresse m'indique de ne pas rester dans mon coin. "Soit fière de celle que tu es ce soir, va danser!" Je commence à comprendre que la soirée prévue n'est pas celle que j'imaginais. Sur la piste, je ne tarde pas a être entourée, collée, serrée et plotée. Une sensation troublante, étrange, déroutante. Ces hommes ne peuvent ignorer que je ne suis pas une femme. Pourtant, ça ne semble pas les freiner dans leurs ardeurs. Je me sens si vulnérable, si fragile face à ces "prédateurs". Comme Maîtresse réussit à repousser tous ces males en manque? Un homme se montre plus adroit que les autres. Il réussit à me mettre en confiance et un dialogue s'installe entre nous. J'apprends que Thierry est à peine plus âgé que moi et qu'il n'est pas insensible à ma féminité, à ma beauté de l'instant. Tout en dansant, je lui apprends être soumis et que ma femme, ma Maîtresse est à l'initiative de ma présence ici et dans cette tenue. Lorsque je la désigne, il s'absente pour aller discuter avec elle. Durant de longues minutes, tout en me regardant régulièrement, ils vont parler, rigoler et à la fin, Maîtresse fera un oui de la tête qui me laisse songeur. De retour face à moi, Thierry pose ses mains sur mes joues et il m'embrasse sans détours. J'ai les yeux écarquillés, je n'oppose aucune résistance, aucun refus. Sa langue force, l'ouverture de ma bouche pour entrer au contact de ma langue. Un frisson, une décharge électrique me parcours le corps, les reins. Mon dieu, c'est donc ça? Mon temps de réaction à la situation est tel que je dois bien prendre une bonne minute pour réaliser que je me fais embrasser par un homme. Le plug reprend ses vibrations en vitesse maximale, me sortant de ma léthargie. Ma langue s'active pour rendre à mon amant le baisé qu'il m'adresse. Quand nous reprenons nos esprits, il m'annonce: "Tu me plais, j'ai envie de toi. Ca te dirais de venir chez moi passer la nuit, je te ferais l'amour autant de fois que tu en auras envie." A la base, je pensais être offerte à un groupe d'inconnus sans les voire ni savoir combien ils sont. Mon excitation est telle que je ne me sens pas capable de refuser sa proposition d'autant plus que la promesse contre mon bas ventre me rend dingue. Jumelé au plug que Maîtresse a activé en vitesse maximale, ma réponse ne tarde pas. "Oh oui, j'en serais ravie. Mais je dois avertir ma femme que je ... - Ne t'en fais pas, elle sait déjà. Je lui ai demandé avant de te le proposer et j'ai eu son accord. - Ah ... Tu sais donc que je ... - Oui tu es en cage de chasteté et actuellement, tu as un plug qui vibre dans ta petite chatte. - Et ça ne te dérange pas que je sois un homme? - Si c'était le cas, je ne te ferais pas cette proposition. Et puis, je ne vois pas un homme devant moi, je vois une femme qui souhaite se donner et qui est attirante." Je l'embrasse à nouveau comme pour le remercier pour ces compliments puis je me dirige vers Maîtresse qui m'attend tout sourire. " Et bien, je n'avais pas prévue ça pour cette soirée, mais je ne me vois pas le droit de te refuser d'aller t'amuser et de profiter de ton bel étalon. - De toutes façons, la soirée avec les inconnus n'était pas prévue pour ce soir? - Tu ne le saura pas et puisque tu viens de demander, je vais reporter la reporter d'un mois. Je t'avais prévenue que je ne voulais aucune question sur ce sujet. - Mais Maîtresse, non, pitié, la question était plus vis à vis de vous, pas pour moi. - Peu importe, je vais la reporter d'un mois. Et si tu continue à vouloir discuter, ça sera 2 mois ! - ... - Bien, tu as compris. Allez file t'amuser et profites bien de ton amant. Je ne veux pas te voir avant demain soir." Je pars au bras de mon chéri, laissant ma femme seule. J'ai le ventre nouée et mon stress reprend de plus belle. Durant le trajet, je n'ose par dire le moindre mot. Je finis par me demander si, finalement, tout ça n'était pas préparé par ma femme. Ca me parait trop surréaliste pour être vrai. Il me sort de mes songes : " Tu as un prénom de circonstance? - Comment ça? - Un prénom féminin. - Ah heu, non. Je n'ai jamais cherché à en avoir un. - C'est dommage. Tu sors comme une femme mais tu n'as pas de prénom. Il t'en faut un. - Ce n'est pas obligatoire. - Si car je ne vais pas t'appeler par un prénom masculin. C'est hors de question. que dirais-tu de Morgane? - Oui c'est joli. tu me vois en Morgane? - Oui, je trouve que ca t'irai bien. - d'accord, tu peux m'appeler Morgane." Un nouveau silence s'installe dans la voiture. J'échange avec Maîtresse pour lui annoncer le prénom qu'il m'a trouvé. Maîtresse se dit ravie du choix qu'elle trouve très bien. Ce prénom est donc adopté définitivement, lorsque je suis habillée en femme, je m'appelle Morgane. Je lui demande si elle à manigancé toute cette soirée et le faite que je me retrouve à aller chez Thierry. Elle me jure sur tout ce qu'elle a de plus cher qu'elle n'a absolument rien préparé de la sorte, que sa seule ambition était de me faire sortir en femme et qu'après le bar de nuit, nous serions rentrées toutes les deux pour qu'elle me calme au gode-ceinture, d'où le plug vibrant que je porte encore. Puis Maîtresse ajoute : " Morgane, tu te rends chez un homme car tu en as envie et que tu es excitée, en manque comme rarement tu l'as été depuis que tu es ma soumise. Si tu en es la ce soir, tu le dois qu'à toi et personne d'autre. Néanmoins, tu es et tu restes ma soumise et ce soir, cette nuit ou demain, je t'interdis de refuser ses avances. Tu dois répondre favorablement à toutes ses envies, ses désirs. Et si tu dois y passer 100 fois, alors qu'il en soit ainsi. - Bien Maîtresse, à vos ordres. De toutes façons, je suis tellement excitée que je ne me sens pas capable de lui refuser quoi que ce soit. J'ai trop envie de me sentir possédée, prise, désirée. - Alors commence à le sucer. - Quoi, maintenant? - Oui maintenant. - Mais nous sommes encore en voiture. - C'est un ordre, commence à le sucer maintenant et dépêches toi. Montres lui que tu as faim et que tu es excitée. - Bien Maîtresse, à vos ordres. - Bonne baise ma salope, bonne nuit Morgane." A peine les échanges finis avec Maîtresse, je pose ma main sur son pantalon, je le caresse, il ne tarde pas à réagir, à bander. J'ouvre sa braguette, détache sa ceinture et ouvre son pantalon pour mieux libérer son sexe déjà bien dur. Il me facilite la tache en soulevant son bassin. Il ne reste plus que son caleçon. La bosse m'annonce une belle promesse. Lorsque je libère son membre, je reste quelques seconde à l'admirer. Il est légèrement plus long que le mien mais surtout, il est très nettement plus large. L'idée de me le prendre augmente ma crainte. Je commence à le lécher, le titiller de ma langue. "Tu ne veux pas attendre d'être chez moi pour me sucer?" Ma seule réponse est de le prendre en bouche et de commencer à le sucer, obéissant ainsi à ma Maîtresse. La voiture ne tarde pas a s'arrêter, je lui demande si nous sommes arrivés. Il m'indique que non, mais il ne réussit plus à se concentrer donc il préfère arrêter la voiture pour apprécier ma gâterie. Alors que je le suce franchement, il me caresse les cheveux. "C'est ta Maîtresse qui t'a ordonné de me sucer?" Je réponds par un geste de la tête. Il ajoute qu'il a vu que j'échangeais avec elle et il en a déduit l'ordre. "Tu as d'autres ordres de sa part? Autant être franc avec toi, elle a mon numéro et elle va probablement m'avertir de tes obligations. - Je dois répondre à tous tes désirs, toutes tes envies sans rien te refuser. - Quelle délicate intention de sa part. Tu la remercieras de ma part." Je m'active sur sa queue comme une mort de faim, je sens qu'il se crispe de plus en plus. Ses mains sur ma tête me confirme qu'il ne tiendra plus très longtemps. Mon ventre me tiraille, je le veux en moi, il me rend folle. "J'espère que tu aimes le sperme, Morgane, car j'aimerais que tu avales." Pas le temps de répondre qu'il se tend et envoi de puissants jets au fond de ma gorge. Je ferme les yeux car la quantité est plus importante que lors de ma première fois avec l'inconnu de la maison. Contrairement à ma première, je n'avale pas la moindre goutte et le sperme s'additionne dans ma bouche. Je finis de récolter toute son éjaculation, un peu contrainte puisqu'il m'appuie sur la tête puis, je me redresse, la bouche pleine. Je ne réussis pas à avaler. J'ai beaucoup de doutes sur ma capacité à accepter le gout. Etrangement, la texture ne me dérange pas. Ceci dit, vaut mieux compte tenu de la quantité que j'ai en bouche. Il me regarde et comprends que j'ai encore la bouche pleine. "Tu n'as pas encore avalée? - (Je fais un non de la tête puis j'ouvre la bouche pour lui montrer tout le sperme qu'il m'a offert.) - J'imagine que ça ne doit pas être facile." Je ferme les yeux et me force puisqu'il désir que j'avale. Une première gorgée rapidement suivie d'une deuxième puis une dernière pour terminer les dernières gouttes. J'ai plus de mal avec le gout que lors de ma première fois. Pourtant, aucun haut le cœur n'est venu. Une fois tout avalé, je lui montre ma bouche vide, ce qui ne manque pas de le faire réagir: "Tu es incroyable, Morgane. C'est la première fois que je vois quelqu'un avaler le sperme en vrai. - Tu me l'as demandé et comme je dois répondre favorablement à tes demandes, je n'ai pas eu le choix. - C'est vrai." Nous reprenons la route jusqu'à son domicile, un petit pavillon simple dans un lotissement. il me laisse le temps de m'installer, de prendre mes marques puis il m'offre un verre de vin pour détendre l'atmosphère. Nous échangeons quelques banalités le temps du verre puis, il se fait plus précis et reviens me caresser. La main sous ma jupe, il vient au contact de ma cage de chasteté. Un nouveau frisson me parcours le corps. Sa main continue de découvrir mon corps et arrive sur le plug qu'il retire avec délicatesse. Un doigt puis un deuxième prennent possession de mon petit trou afin de finir de me préparer. Pour ma part, je ne reste pas inactive puisque je caresse sa verge qui a retrouvé de la vigueur. Empêchée d'aller plus loin, j'attends patiemment qu'il me dicte la suite qui ne tarde pas à arriver. Il change de position et je me retrouve face à son érection. Pas compliqué de comprendre la suite. Je le suce à nouveau pendant qu'il poursuit de me doigter. Au bout de plusieurs minutes, il se retire, nous filons dans sa chambre, il s'équipe d'une capote puis, en levrette, à 4 pattes sur son lit, il présente son pieu à l'entrée de ma petite grotte. Il m'agrippe par les hanches et centimètres par centimètres, il prend possession de mon corps sans jamais accélérer, ni se retirer. Lorsque la dernière résistance cède, il coulisse doucement jusqu'au fond. Je sens qu'il est entré vraiment très loin en moi, ses couilles touchant les miennes. Je me sens heureuse comme jamais. Je retrouve la sensation de plaisir de mon tout premier partenaire. Thierry se retire avec la même délicatesse, sans forcer. Une fois sorti, il me pénètre à nouveau tout en douceur jusqu'au fond. Procédé qu'il répète à 4 reprises. Ca à le don de me permettre de bien m'habituer à son épaisseur, sa longueur. " Ca va Morgane, tu n'as pas mal? - Oui ca va. Je n'ai aucune douleur. - Parfait dans ce cas, je vais pouvoir accélérer." Tenue par les hanches, il me pénètre avec une belle énergie. Loin de l'alternance de mon premier amant, Thierry me pénètre avec une grosse intensité. Il garde un rythme soutenu pendant de longues minutes sans jamais ralentir. Chaque coup de rein fait frapper sa verge au fond de ma chatte. Si douleur il pouvait y avoir au début de la pénétration, le gros tempo qu'il imprime me fait rapidement monter vers un orgasme fort. Je me surprends à couiner comme une véritable actrice porno sauf que moi, je ne simule pas. Je me sens littéralement possédée et envahie par un bonheur incroyable. Dans un rare moment de lucidité, je m'entends l'encourager à me baiser plus fort et plus longtemps. Satisfaite de l'amant qui me donne tout son amour. " Oh oui quelle est bonne ta queue, baise moi fort." Mais la réponse vient de Maîtresse. Jointe au téléphone par Thierry, elle réagit à mes paroles. "Et ben, Morgane! Si on m'avait dit que tu en serait là ce soir, je ne l'aurai pas cru. Tu es une véritable salope. - Oh oui Maîtresse, mais il me baise si bien. - Thierry, je t'offre ma soumise jusqu'à demain soir, tu me la ramène pour 19h, ca te laisse largement le temps de te vider les couilles autant de fois que tu veux, elle est toute à toi pour ça. - Je te remercie d'avoir accepté ma demande au bar, j'avoue que j'ai eu du mal à y croire quand tu m'as dit oui. Mais vu comment se comporte Morgane, je comprends mieux pourquoi tu as facilement accepté." La conversation reste en suspend, Maîtresse écoutant mes cris de plaisir reçu de la pénétration. Je décolle d'un coup, m'affalant totalement la tête dans l'oreiller pour atténuer mes cris de jouissance. Thierry ne faiblit pas et poursuit de me besogner. Malgré ma jouissance, mon plaisir remonte quasi instantanément. Thierry semble avoir accéléré dans ses coups de reins. Tel un male en rut, il ne pense plus qu'à son plaisir. La femelle passe au second plan. Une nouvelle montée d'adrénaline, de plaisir et une décharge qui me traverse tout le corps me faisant crier mon amour pour ce male qui me possède si bien. "Mon dieu qu'il me baise si bien. Et sa queue est si bonne, elle me rend dingue." Dans un dernier élan, il m'agrippe plus fermement et se plante bien au fond dans mon corps pour se vider, me laissant en suspend d'un plaisir inachevé. Il se retire, enlève sa capote puis la noud pour la jeter à terre. Affalée sur le lit, je quitte le peu de vêtements qu'il me reste pour m'allonger en string et bustier poitrine. Je ne mets pas longtemps à m'endormir dans les bras de mon chéri. Le lendemain, Thierry me fera l'amour à 2 reprises mais ça m'a laissée moins réceptive. Je n'ai clairement pas pris de plaisir sans pour autant ressentir de la douleur. Je le suce une dernière fois avant qu'il me ramène à la maison pour 19h, comme promis. En Thierry, j'ai trouvé un formidable amant que j'espère pouvoir revoir régulièrement. Une fois seul avec Maîtresse, elle me demande comment s'est passé cette incroyable nuit et ce dimanche. Si elle ne le dira pas ouvertement, elle se montre déçu par ce dimanche relativement calme. Mais pour une première fois de manière consciente avec un homme, elle n'a pas à être déçu par mon comportement. J'ai largement rempli mon coté chienne auprès de mon male. Le lendemain, Maîtresse revient sur le sujet du groupe qui m'est promis. Je confirme, plus que jamais, mon désir voir mon impatience d'être offerte à ce groupe. Elle me confirme qu'une date est bien fixée et que le délais d'un mois supplémentaire est acté par le groupe afin de répondre à la punition glanée le samedi soir. Face à ma mou, elle me rappel : "Tu as 4 semaines qui s'ajoute au délais initialement prévu avec tes baiseurs. Fallait pas être punie. A ce rythme, vu que tu es en cage de chasteté depuis déjà 3 mois, tu es certaine de dépasser ton record avec plus de 4 mois et plusieurs jours voir semaines ou mois, qui sait... - ... - Tu ne dis rien? - Je ne voudrais pas être punie d'avantage, Maîtresse. - C'est bien, tu as retenue la leçon. Mais il te reste beaucoup de temps d'ici à la soirée et tu seras tellement excitée que tu n'es pas à l'abri de commettre une bourde." La semaine se passe difficilement. Mon excitation liée à la chasteté revient au triple galop. Dès le mercredi, je suis clairement en chaleur et le soir, je me frotte à Maîtresse dans le lit. Ca ne manque pas de la faire sourire. Le samedi soir, je dois remettre la même tenue que la semaine précédente. Mais nous ne sortons pas et Maîtresse use de son gode-ceinture pour calmer mes chaleurs. Le samedi suivant, même tenue et cette fois, même sortie qu'il y a 2 semaines. Au bar, nous retrouvons Thierry qui ne manque pas de venir m'embrasser. Je succombe rapidement dans ses bras mais Maîtresse ne m'autorise pas à me rendre chez mon amant pour y passer la nuit. Je n'ose rien dire par peur d'être punie. Semaine suivante, dès le samedi matin, je suis habillée dans ma tenue de femme avec le plug vibrant. Le pauvre ne réussit plus à calmer quoi que ce soit. En fin de matinée, totalement attachée et les yeux bandés, elle me prend au gode-ceinture. Je suis totalement déboussolée, en chaleur, en recherche d'une pénétration. Début d'après-midi, elle remet ça pour les mêmes effets. Je suis à cran, totalement ouverte à la moindre sollicitation sexuelle. Après le repas du soir, je suis à nouveau totalement attachée et les yeux bandés. J'attends quelques instants que Maîtresse use de son gode-ceinture. Mon cœur s'emballe. Trois mains, quatre mains, cinq mains me parcourt le corps. Je suis en lingerie, à genoux, offerte et prête pour sucer le gode-ceinture. Mais cette fois, le gode-ceinture est ultra réaliste. La fameuse soirée prévue est pour maintenant. J'ai la queue d'un homme en bouche et plusieurs autres me caresse le visage, le corps. Je n'ai rien entendu, ils n'ont rien dit, je ne sais pas combien ils sont mais je vais me faire baiser par ces hommes. Je mouille follement, j'ai faim. Maîtresse m'installe un écarteur de bouche, elle ressert mes liens dans le dos puis elle m'annonce ce que j'ai compris : " Ta soirée tant promise est pour ce soir. Tu es offerte à plusieurs hommes. Ils ne diront rien, tu ne les verras pas et tu n'es pas en capacité de refuser quoi que ce soit. Tu vas vraiment te faire baiser fortement et pour un bon moment. J'espère que tu es suffisamment excitée pour y trouver ton plaisir car sinon, ça risque d'être long pour toi. Ton Safe Code se fera avec tes doigts puisque tu ne peux pas parler. Tu feras le chiffre 3 avec tes 2 mains en même temps pour mettre fin à ton gang bang. Je resterais vigilante sur ce point et uniquement sur ce point. Pour le reste, tu es la pour te faire baiser et vider des couilles. Un conseil: N'utilise pas ton Safe trop vite pour ne pas être frustrée, ni trop tard pour ne pas subir et être marquée. Ca doit rester du sexe partagé et du plaisir pour tout le monde, y compris pour toi. Amuses toi bien, Morgane et bonne baise! Messieurs, il est 21h12, elle est à vous pour toute la nuit s'il le faut! Baisez la, videz vous les couilles, je vous l'offre totalement." Pas un mot est prononcé mais déjà ma bouche est utilisée et mon bassin relevé pour y recevoir ma première pénétration. C'est la toute première fois que mon corps sert à 2 hommes en même temps. J'essaye bien de compter pour me donner une idée du nombre de participants, mais je perds rapidement le compte entre tous les participants. Dans ma bouche comme dans ma chatte, les hommes se succèdent rapidement comme pour gouter à la marchandise. J'en suis réduit à une poupée entre toutes ces mains viriles. Ils me manipulent, me pénètrent, me tourne, me retourne me baise tôt la bouche, tôt la chatte et mon plaisir qui monte crescendo au rythme des coups de reins. A chaque changement, l'homme qui me sodomise imprime un rythme fort comme pour dire "avec moi ça sera mieux". Je suis réduite à gérer mes propres émotions faute de pouvoir gérer celles de mes partenaires. Et mon plaisir violent, intense qui me traverse le corps progressivement jusqu'à mon premier orgasme anal. Un coït impressionnant et inédit mais il est loin d'être le dernier. Mes partenaires se succèdent et je découvre l'intensité d'un gang bang. Faute de connaitre l'heure, je me concentre sur mes sensations qui sont bonnes mais qui ne décollent plus. Je reçois régulièrement des éjaculations sur le visage ou en bouche, mais faute d'ordre précis, je n'avale pas. Alors que je ne décolle plus vraiment, Maîtresse indique sobrement : " Vous pouvez faire un premier essai." Toujours ce silence incroyable autour de moi ou aucun mot n'est prononcé par mes partenaires. Je suis manipulée pour être placée sur un homme allongé sur le dos. Je suis empalée sur sa queue puis basculée en arrière. Sans surprise, un homme prend possession de ma bouche. Mais la suite me fais peur. Ils veulent tester une double pénétration anale. Je refuse catégoriquement et Maîtresse vient à mon secours pour calmer les ardeurs de ces messieurs. Pourtant, les hommes vont poursuivre de me dilater et de m'amener à cette situation. Malgré moi et sans que Maîtresse ne réagisse, ils vont finir de me préparer et de me rendre apte. Maîtresse vient m'expliquer : "Morgane, ils vont essayer de t'offrir une double pénétration. Comme tu l'as sentie, ils t'ont préparée pour ça et cette fois, tu es vraiment dilatée pour recevoir un deuxième homme sans te déchirer. Je ne vais pas les en empêcher, c'était prévu depuis le départ. Je vais d'autant plus les laisser faire que tu ne décolle plus vraiment depuis quelques minutes. C'est pour ça que je vais les laisser te prendre en double. J'ai confiance en eux pour qu'ils y aille doucement et pour qu'ils te laissent t'habituer à cette nouveauté. Détends toi et ne te crispe pas. Tout ira bien, je te le promets. Et si je vois que ça ne va pas, je ferais tout arrêter, tu as ma parole." Pas le temps de tergiverser que je sens une forte dose de lubrifiant être appliqué à l'entrée de ma chatte pourtant comble d'une queue. Ma bouche est libre, sans doute pour me laisser me concentrer sur la double à venir. Une 2ème queue se présente à l'entrée de ma chatte, cette fois, je ne m'y oppose pas. Avec toutes les précautions nécessaires, une ouvertures est créée. Je me détends au maximum pour ne pas rejeter trop vite cette entreprise. Mais trop de douleurs font que les hommes renoncent. La soirée se finit au delà de 23h45, proche de minuit. Je suis totalement épuisée et sans aucune force. Maîtresse qui m'aide à m'allonger sur le lit puis elle laisse le temps aux hommes de se rhabiller pour partir tranquillement. Elle prend le temps de me nettoyer un maximum avant que je ne m'endorme paisiblement et sans résistance. Je ne sais toujours pas combien ils étaient ni qui ils étaient, s'ils me connaissent. Mais l'important était ailleurs pour moi tout comme pour Maîtresse.
8 personnes aiment ça.
Marc Nancy
Beau moment de complicité partagée entre la Maîtresse et son soumis
J'aime 10/11/25
biox
encore une histoire inventée ou volée , soyez un peu plus réaliste
J'aime 10/11/25 Edité
biox
je m'autorise à ce que je veux , c'est ce que je pense de toi ... ce n'est pas crédible , iréaliste , donc bidon
J'aime 10/11/25
biox
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J'aime 10/11/25