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Ce lien si particulier entre le candauliste et son/sa partenaire... ^^ "Le candaulisme est une forme de multi-sexualité conjugale de moins en moins taboue. La personne candauliste, éprouve ainsi une intense stimulation érotique par le fait de voir, entendre ou savoir son/sa partenaire de vie éprouver du plaisir dans les bras d’un(e) complice du couple." (cf. candaulisme.com)

Cristal
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Dragosth
j'adore cocufier les jeunes couples
J'aime Hier, 02:07:21
Yan Dom
Je m'étais habillée avec une précision chirurgicale, savamment calculée pour envoûter sans jamais tomber dans la vulgarité. Mon top décolleté, raffiné mais audacieux, dévoilait juste assez pour susciter l'envie de s'approcher, pour imaginer ce qu'il y avait en dessous. Le dos nu était une invitation discrète, un appel au toucher. La jupe mi-longue, noire et fendue sur le côté, épousait mes hanches, révélant une jambe fuselée à chaque pas. Aux pieds, des talons vernis rouge qui me donnaient une démarche féline, conquérante. Sur mes lèvres, un rouge intense, provocant. Un rouge à lèvre qui disait : Approche si tu oses. Ma veste IKKS en satin glissait sur ma peau comme une caresse. Mon petit sac noir vernis, cadeau d'un amant passionné, pendait négligemment à mon épaule. Aux oreilles, des diamants qui captaient la lumière tamisée du restaurant-bar, lançant des éclats sensuels à chaque mouvement de tête. Un long pendentif tombait dans mon dos nu, chatouillant ma peau à chaque pas. Mes ongles rouges vernis complétaient l'ensemble, une touche finale de féminité assumée. Je me sentais irrésistible. Winnie était déchaînée, comme à son habitude. Pulpeuse, grande gueule à la "feuj", elle n'avait peur de rien ni de personne. Son audace m'excitait. Nous étions un duo de feu, un cocktail de séduction explosive. En entrant dans le resto-bar, tous les regards se sont tournés vers nous. Ou plutôt vers moi. Winnie captait l'attention par son exubérance, mais moi, c'était par mon aura. Un silence suspendu, des yeux qui brillaient de désir. Je les sentais se délecter de mes courbes, deviner le galbe de mes seins sous le tissu délicat, s'attarder sur cette fente audacieuse de ma jupe. Je savais que je les rendais fous. Nous avons pris place à une table cosy, ambiance tamisée. Je me suis installée sur la banquette, dominant la salle d'un regard feutré, tandis que Winnie tournait le dos, absorbant l'atmosphère chic avec une aisance naturelle. Nous étions les reines de la nuit. La première flûte de champagne a fait monter la chaleur en moi. Les bulles taquinaient mes lèvres, glissant doucement dans ma gorge. La tête me tournait légèrement, juste ce qu'il fallait pour me sentir enivrée, libérée. Winnie riait déjà, ses yeux pétillaient, complices. Nous étions prêtes à jouer. Le serveur était jeune, beau à en perdre la tête. Ses yeux glissaient sur moi avec une admiration presque naïve. Je pouvais deviner son désir dans la façon dont il tendait la main pour déposer nos plats, ses doigts tremblants d'envie. Puis vint le sommelier, plus mature, plus assuré. Son regard s'attardait sur Winnie, happé par son audace. Nous étions irrésistibles, et nous le savions. À côté de nous, deux hommes s'installèrent. Élégants, charismatiques. L'un avait ce sourire charmeur, presque enfantin, tandis que l'autre était sombre, magnétique, une aura à la "50 nuances de Grey". Tout en muscles, en maîtrise. Je pouvais sentir son regard caresser ma peau nue. Je sentais son désir brûler. Je jouais l'indifférente, feignant de m'intéresser uniquement à ma coupe de champagne. Mais je savais que j'avais déjà gagné. Winnie n'a pas résisté longtemps avant de les brancher, son humour décoiffant les faisant éclater de rire. La complicité s'installait. Naturellement, nos tables se sont rapprochées, ne formant plus qu'une seule île de tentation. Après un moment, je sentis le besoin de m'éclipser. Le champagne faisait son effet, et je devais me rafraîchir. En sortant des toilettes, le jeune serveur m'attendait. Ses yeux trahissaient son désir brûlant. -- « Une pause cigarette? » m'a-t-il proposé, sa voix tremblante d'excitation. -- « Volontiers », ai-je répondu, mon sourire promettant bien plus qu'une simple bouffée de nicotine. Dans l'arrière-cour, l'air frais de la nuit me frappa le visage, réveillant mes sens. Le serveur s'approcha, ses lèvres trouvant les miennes avec une fougue désespérée. Je me suis laissée faire. Sa bouche gourmande explorait la mienne, ses mains découvrant la douceur de mon dos nu. J'ai senti son désir se presser contre moi, dur, brûlant. Mes doigts ont glissé sur ses fesses fermes, l'attirant encore plus près de moi. Mon ventre se contracta sous la vague de chaleur qui montait en moi. Je n'avais pas de culotte. Mon excitation coulait déjà le long de mes cuisses. Je suis retournée à la table, le goût de ses lèvres encore sur les miennes, son désir encore vibrant dans mes veines. Winnie m'a jeté un regard complice. -- « Meuf... t'as une vraie tête de cochonne là... tu sens le sexe à plein nez. » -- « Ouais, je sais », ai-je répondu en riant. J'étais en feu. La soirée continua dans un tourbillon de séduction. Je jouais avec mes lèvres, mon décolleté s'ouvrant imperceptiblement, dévoilant un peu plus de cette peau qui les rendait fous. Je jouais avec eux comme une chatte joue avec ses proies. Sur la piste de danse, la musique nous envoûtait, nous poussant à nous déhancher de façon indécente. Winnie et son acolyte s'embrassaient déjà. Moi, je jouais encore, les aguichant de mes mouvements lascifs. Le mystérieux ne me lâchait pas du regard, ses yeux brûlant de désir, son corps tendu vers le mien. -- « Suis-moi », murmura-t-il, son regard ne laissant place à aucun doute. Nous nous éclipsâmes discrètement, retrouvant cette arrière-cour devenue mon terrain de jeu. Le mur froid contre ma peau nue, son corps chaud contre le mien. Il ne dit rien, ses mains découvrant mes jambes, remontant jusqu'à mon sexe déjà trempé. Il me pénétra lentement, avec une maîtrise exquise, ses mouvements lents et profonds m'arrachant des gémissements que je n'essayais même plus de retenir. Je n'étais plus qu'un corps de désir, offert, consumé. Cette nuit-là, j'ai joui sans retenue, plusieurs fois, mes cris étouffés par sa bouche affamée. J'étais sa proie, et il était mon prédateur. Nous n'étions que désir brut, sexe brut. Et j'en voulais encore. Le Retour à la Maison : Confession et Jouissance Le trajet du retour fut un supplice délicieux. Mes cuisses étaient encore trempées, la semence du mystérieux et du jeune serveur se mêlant à ma propre mouille. Je me sentais délicieusement sale, terriblement excitée. J'avais hâte de tout raconter à mon mari. Je franchis la porte, mes talons claquant sur le parquet alors que je déposais négligemment mon sac et ma veste IKKS. Il m'attendait dans le salon, vêtu simplement d'un pantalon de pyjama, un verre de whisky à la main, le regard brûlant d'une jalousie délicieuse. Il savait. -- « Alors... tu t'es bien amusée, ma salope? » demanda-t-il, sa voix rauque de désir. Un frisson me parcourut l'échine. Je me mordis la lèvre, avançant lentement vers lui, jouant encore de mes hanches moulées dans cette jupe fendue, le rouge à lèvres toujours impeccable, le sexe encore dégoulinant. -- « Deux... » murmurais-je en le regardant droit dans les yeux. Ses pupilles se dilatèrent, sa respiration s'accéléra. Il adorait ça. Je n'avais pas fini de prononcer le chiffre qu'il s'agenouilla à mes pieds, ses mains glissant le long de mes jambes jusqu'à mes fesses. Il releva ma jupe, découvrant mon sexe luisant, encore ouvert par les va-et-vient sauvages de mes amants. Je sentis son souffle brûlant sur ma chair humide. -- « Tu sens le foutre à plein nez... » souffla-t-il, ses narines s'emplissant de cette odeur de sexe. Il bandait déjà à mort. -- « Nettoie-moi... » ordonnais-je en écartant les jambes. Il n'attendit pas un instant de plus. Sa langue trouva mon clitoris gonflé, l'enveloppant de sa chaleur humide. Il léchait tout. La semence étrangère, ma mouille, le mélange indécent de cette soirée d'extase. Sa langue passait partout, s'immisçant dans les replis de mon sexe, recueillant chaque goutte de plaisir restée collée à mes cuisses. Il grognait de désir, léchant avec une ferveur animale, boire les traces de mes infidélités l'excitait au plus haut point. Je m'accrochais à ses cheveux, mon corps se cambrant de plaisir alors que sa bouche s'appliquait à me nettoyer. Ses doigts s'enfonçaient dans mes fesses, ses lèvres suçant mon clito avec avidité. Mes jambes tremblaient sous l'assaut de sa langue experte. -- « Putain... c'est trop bon... continue... lèche encore... » gémissais-je en me cambrant davantage, lui offrant tout mon sexe dégoulinant. Il ne s'arrêtait pas, son visage enfoui entre mes cuisses, ses yeux remplis de dévotion, de désir. Sa langue traçait des cercles, s'enfonçait dans mon vagin avant de revenir titiller mon clitoris. Il s'enivrait de moi, de ma saleté, de mon odeur de sexe mélangé. J'atteignis le bord du précipice. Mon corps entier se tendit, mes mains s'agrippant à ses cheveux alors que ma jouissance montait en moi comme une vague incontrôlable. -- « Je vais jouir... continue... lèche-moi encore... » Ses lèvres serrèrent mon clitoris et sa langue se mit à fouetter rapidement ce petit bouton de plaisir. Je hurlais de jouissance, me cambrant violemment alors que l'orgasme explosait en moi, une décharge électrique parcourant mon corps entier. Mon sexe pulsait sous sa langue, tremblant, dégoulinant encore plus alors que mon plaisir éclatait en vagues interminables. -- « Oh oui... putain... j'adore... continue... » Il ne s'arrêta que lorsque mes jambes se mirent à trembler, mes gémissements étouffés par mon propre bras, mordant ma peau pour ne pas réveiller tout l'immeuble. Il m'avait nettoyée à fond, bu jusqu'à la dernière goutte. Il se redressa enfin, ses lèvres luisantes, ses yeux brûlant d'envie. Son pantalon était tendu par son érection douloureuse, il voulait me prendre maintenant. -- « Tu es ma salope... ma reine... » murmura-t-il en caressant mes fesses. -- « Oui... et tu vas me baiser maintenant... » lui répondis-je en enlevant mon haut, dévoilant mes seins gonflés de désir. Je me cambrai contre le mur, écartant les jambes pour lui offrir à nouveau mon sexe encore tremblant d'orgasme. Son sexe dur glissa en moi sans résistance, je dégoulinais encore. Il me prit sauvagement, ses coups de reins frappant mes hanches avec force. J'étais son jouet, sa salope infidèle, sa reine à lui. Il me posséda jusqu'à l'aube, jouissant en moi à plusieurs reprises, marquant à nouveau son territoire. Ce soir-là, je lui avais offert mes pêchés, et il les avait bu avec un plaisir insatiable. Nous étions liés, par le sexe, par le désir, par cette complicité indécente. Et j'avais joui comme jamais.
yu feing
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voici une de mes précédente soumise d'ou ma recherche d'en chercher une et couple caudau soumis les 2 première et la dernière précédente soumise et les autre femme soumise marier cocu jespère que sa plaira a du monde et que sa en motivera pour me contacter et en parler et aussi j'ai des vidéo mes pour le privé uniquement et je cherche couple caudau et femme soumise a rennes et ses alentours je reçois et me déplace mon annonce es très sérieuse si vous etes intéresser ajouter moi en ami et on en parle et organise sa avec plasir
yu feing
bonjour j'ai 30 ans tbm je suis un homme dominant et je recherche femme et couple soumis de tout age pour du régulier selon affinité pour BSDM pour soumission soft ou hard a voir ma recherche es sérieuse j'aime attacher femme yeux bander et la mari mis dans regarde ou écoute plus de détail en privé et sur ma fiche si intéresse contacter moi en privé je me ferai une joie de vous répondre pas intéresser par les homme soumis et je recherche femme et couple caudaulisme soit pour prendre madame devant mr en humiliant et aussi une femme cocu seul je suis discret pour plus détail regarder ma fiche vous saurez tout se que je fais et se que je recherche si question nécessiter pas
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour à tous et toute, Nouvel arrivant dans le 79 je suis cocufieur, candau réel et sérieux. Je recherche un couple candau / cuckold dans le 79 et alentours. Au plaisir de discuter. Fabien
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driver34
## COCUFIEUR CANDEAU /CUKCOLD sur PAU et sa region Bonjour Cocufieur sérieux pouvant etre BI actif et réel ( et oui il faut le préciser ici), je serais régulièrement sur PAU a compter du 10 juin 2025. je recherche un couple candeau / cuckold idéalement pour une relation suivie, je peux recevoir ( hotel) mais aussi me déplacer ( dans la mesure du raisonnable) JE CHERCHE DU REEL Donc pas de bla bla interminable, on fait connaissance ici puis on passe a un autre moyen de dialogue suite aux très nombreux fakes pourrissant le site , un échange What app ( vidéos) sera indissociable d une rencontre physique Ma démarche est réelle et sérieuse
M Kriss
suite de mon experience candau je peux continuer sur ce qu il s est passé ensuite j etais a l etage depuis un bon moment et je suis descendu sans qu on me dise.. Quand je suis arrivé .. Ils avaient changé de place . Dorothée et son mari etait l un a coté de l autre et Azylis a droite de dorthée. Azylis se trouvait maintenant assise au milieu entre Dorothée et son meri . son chemisier etait bien ouvert montrant bien qui il avait éte ouvert et sa jupe etait bien remontée montrant bien le haut de ses bas et son porte jaretelles . Azylis avait éte caressée apparemment et elle me l a ensuite dit d ailleurs dorothée lui avait malaxé les seins et son mari avait glissé sa main dans sa culotte.. Elle etait bien serrée entre le couple et n avait pas osé bouger .. Je suis descendu trop tot je pense vu que tout s etait figé lorsque je suis descendu. Azylis avait juste sa main sur la cuisse de Dorothée et semblait s etre regalée en caressant les petits seisn d Azylis Je me suis assis en face d eux ..Dorothée et Azylis restaient les cuisses bien ouvertes naturellement et je puvais tout voir de leurs dessous et surtout ceux de Dorothée que je ne connaissais pas encore.. J ai un peu durci et est sentir que le coulais encore dans mon slip Dorothée a dit en souriant a ce moment là " tu te regales bien a mater nos entre cuisses je vois" Je ne savais plus ou me mettre me sentant humilié et aimant l être ainsi "tu ne verras pas plus " continua t elle .." qu en penses tu Azylis ? "" la regardant et lui caressant le bas et la cuisse.. nous avons dejuner ensemble sans plus et Dorothée a demandé a Azylis " maintenant c est a toi de dire si tu veux qu on se revoit " Azylis a été hésitante et a repondu d un petit oui timide
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Lymichel
Très excitante histoire
J'aime 27/05/25
M Kriss
Merci Lymichel
J'aime 27/05/25
M Kriss
mes rapports avec ma femme sont inexistants depuis plusieurs années maintenant.. Suite a un soucis cardiaque j ai eu des betabloquants pour mon coeur et ce medicament ma rendu presque impuissant par contre ma femme avait toujours des envies que je ne pouvaient pas satisfaire ne durcissant plus assez voulant qu elle trouve des plaisirs sexuels je me suis mis a lui chercher un amant je suis allé sur des sites en laissant une annonce .. j ai eu quelques contacts dont un couple qui cherchaient une complice pour eux deux . Etant attiré par le candaulisme et me sentant aussi un coté soumis j ai continué mes achanges avec eux mais particulierement avec sa femme je me suis lancé en en parlant avec ma femme qui a semblé un peu attiré avec l idée tout en restant sur ses reserves je lui ai proposé le chat de gmail vu qu elle avait aussi un compte la bas .pour pouvoir aussi discuter avec la femme apres plusieurs echanges avec la femme du couple qui s appelait Dorothée je lui ai proposé de discuter avec ma femme Je luis ai dit que j aimerais etre aussi present et cela a été un niet de Dorothée qui ne voulait qu azylis pour eux.. Azylis etant le prenom de ma femme Dorothée m a demandé des photos d Azylis qu elle a trouvé tres jolie et en a demandé de nouvelles mais en petites tenues .. j en ai parlé a Azylus et proposé d en faire quelques une d elles pour Dorothée suite a sa demande ..cela a un peu excitée que j en fasse d elle ainsi .. Apres avoir vu les photos Dorothée m a dit qu elle aimerait discuter avec elle par telephone.. Azylis a accepté mais apres pouvoir echanger avec elle et son mari sur le chat de gmail J ai un peu insisté avec dorthée en lui disant que j aimerais etre present durant leurs jeux elle m a repondu que pour les debuts ils voulaient Azylis que pour eux deux et sans ma presence pour ne pas qu elle se sente mal a l aise tmais qu ensuite cela pourrait s enviisager si elel etait d accord .. Mais que de toute maniere mon statut serait clair . soumis et cuckold .. quand Azylis discuté<ait en ligne avec Dorothée je la sentais excitée par la situation que dorothée lui expliquait au fil des echanges .. Elles ont echangé leur numeros de mobiles a partir de là les choses sont allées assez vite j avais aussi des echanges avec son mari et Dorothée qui me faisiaient comprendre qu Azylis jouerait avec eu et surtout Dorothée sans que je sois participant et son homme m a egalement confirmé que c etait a trois et non a 4 et qu Azylis etait d accord pour essayer ainsi mais que la porte n etait pas fermée pour moi pour plus tard. Par contre que je serais informé par Azylis ou Dorothée de ce qu il se passerait et quand Elles se sont appelés et ont convenu qu ils viendraient à la maison pour faire connaissance et que je serait là aussi cette fois là dorothée m a demandé d acheter une belle tenue pour Azylis vetements et sous vetements et qu ils la voulaient en jue ou robes avec bas porte jaretelle et belle petite culotte .. Qu elle aussi serait ainsi pour elle Je me suis exécuté et ai acheté de beaux sous vetements avec bas porte jaretelles et belle petite culotte avant qu ils viennent. Le jour de leur visite a été un lundi midi pour l apero.. de voir Azylis habillée tres sexy et maquillée .. elle voulait se faire belle pour eux cela se sentait.. J en etait excité et appréhendaitaussi comme elle d ailleurs vu qu elle est assez timide.. elle avait une belle petite robe courte que Dorothée avait demandé courte et un chemisier léger a boutons .. Dorothée avair deja un peu la main sur elle et sur moi aussi d ailleurs vu qu elle avait un coté assez persuasive tout en restant douce Le jour J ils sont arrivés a l heure.. au coup de sonnette c est elle qui est allée les acceuillir .. elles se sont fait naturellement la bises pour se dire bonjour comme si elles se connaissaient déja .. lui c etait un homme posé avec une longue barbe style druide qui intimidait un peu Dorothée et son mari se sont assis l un a coté de l autre sur le canapé et Azylis leur a proposé du Champagne ou autre chose .. Ils ont dit que cela leur allé tres bien.. L homme lui a dit laisse ton mari s en occuper et servir et viens t assoir sur le canapé avec nous je n ai pas bronché et me suis senti deja excité avec ce coté soumis que le meri me faisait deja comprendre .. Azylis s est aussi exécutée et ils ont commencé a discuter entre eux de chose et d autres en se presentant Dorothée a complimenté Azylis sur sa tenue et lui a dit qu elle la trouvait belle et c etait vrai.. Elle aussi l etait d ailleurs je les ai servi et me suis assis sur un fauteuil en face des trois et nous avons commencé notre discussion. elles etaient toutes les deux avec une robes courtes et en bas.. en face d elles je pouvais apercevir qu elle avait aussi un porte jaretelle et une petite culotte blanche.. c etait tres excitant au fil de la discussion je sentais l atmospphere se detendre et la discisson etait plus entre Azylis et Dorothée et son mari me parlait .. Jusqu au moment qu il dise " j aimerai smaintenant que tu montes a l etage nous avons a discuter en ete a tete avec Azylis .. on t appelera plus tard" a ce moment là j ai senti une boule d excitation dans mon bas ventre et ai juste dit " comme vous désirez" ma santant vraiment soumis et plus surement sous peu Azylis n a pas broché et ne m a pas retenu non plus.. et cela m a fait déja sentir ce coté cuckold je suis monté a l etage en restant comme un voyeur sur le palier pour essayé de les entendre discuter mais cela discutait peu.. j avais une boule au ventre et malgrés mon peu d erection je sentais que je coulais dans mon slip tellement j etait mentalement excité cela chuchautait un peu en bas.. le temps passé et les minutes me semblaient interminables ne sachant pas ce qu il se passait dans le salon je tournais en rond entre la chambre et le palier tendant l oreille pour entendre quelque chose vu qu il metait impossible de voir... j avais peur d etre surpris et ce sentiment de cuckold soumis se faisait de plus en plus ressentir et m excité encore plus en imaginant
7 personnes aiment ça.
Dominants07
Joli récit on attend la suite...
J'aime 26/05/25
Saly
La suite ! La suite 2665.png
J'aime 27/05/25
M Kriss
la suite est ex<crite et editée
J'aime 27/05/25
Dominants07
Oui c'est où ?
J'aime 27/05/25
M Kriss
Bonsoir .. Nous pourrons reprendre si vous desirez.. Ce serait un plaisir pour moi de vous raconter cette reelle situation que j ai connu .. Quand serez vous connecté pout que nous puissions echanger en meme temps ? mes rapports avec ma femme sont inexistants depuis plusieurs années maintenant.. Suite a un soucis cardiaque j ai eu des betabloquants pour mon coeur et ce medicament ma rendu presque impuissant par contre ma femme avait toujours des envies que je ne pouvaient pas satisfaire ne durcissant plus assez voulant qu elle trouve des plaisirs sexuels je me suis mis a lui chercher un amant je suis allé sur des sites en laissant une annonce .. j ai eu quelques contacts dont un couple qui cherchaient une complice pour eux deux . Etant attiré par le candaulisme et me sentant aussi un coté soumis j ai continué mes achanges avec eux mais particulierement avec sa femme je me suis lancé en en parlant avec ma femme qui a semblé un peu attiré avec l idée tout en restant sur ses reserves je lui ai proposé le chat de gmail vu qu elle avait aussi un compte la bas .pour pouvoir aussi discuter avec la femme apres plusieurs echanges avec la femme du couple qui s appelait Dorothée je lui ai proposé de discuter avec ma femme Je luis ai dit que j aimerais etre aussi present et cela a été un niet de Dorothée qui ne voulait qu azylis pour eux.. Azylis etant le prenom de ma femme Dorothée m a demandé des photos d Azylis qu elle a trouvé tres jolie et en a demandé de nouvelles mais en petites tenues .. j en ai parlé a Azylus et proposé d en faire quelques une d elles pour Dorothée suite a sa demande ..cela a un peu excitée que j en fasse d elle ainsi .. Apres avoir vu les photos Dorothée m a dit qu elle aimerait discuter avec elle par telephone.. Azylis a accepté mais apres pouvoir echanger avec elle et son mari sur le chat de gmail J ai un peu insisté avec dorthée en lui disant que j aimerais etre present durant leurs jeux elle m a repondu que pour les debuts ils voulaient Azylis que pour eux deux et sans ma presence pour ne pas qu elle se sente mal a l aise tmais qu ensuite cela pourrait s enviisager si elel etait d accord .. Mais que de toute maniere mon statut serait clair . soumis et cuckold .. quand Azylis discuté<ait en ligne avec Dorothée je la sentais excitée par la situation que dorothée lui expliquait au fil des echanges .. Elles ont echangé leur numeros de mobiles a partir de là les choses sont allées assez vite j avais aussi des echanges avec son mari et Dorothée qui me faisiaient comprendre qu Azylis jouerait avec eu et surtout Dorothée sans que je sois participant et son homme m a egalement confirmé que c etait a trois et non a 4 et qu Azylis etait d accord pour essayer ainsi mais que la porte n etait pas fermée pour moi pour plus tard. Par contre que je serais informé par Azylis ou Dorothée de ce qu il se passerait et quand Elles se sont appelés et ont convenu qu ils viendraient à la maison pour faire connaissance et que je serait là aussi cette fois là dorothée m a demandé d acheter une belle tenue pour Azylis vetements et sous vetements et qu ils la voulaient en jue ou robes avec bas porte jaretelle et belle petite culotte .. Qu elle aussi serait ainsi pour elle Je me suis exécuté et ai acheté de beaux sous vetements avec bas porte jaretelles et belle petite culotte avant qu ils viennent. Le jour de leur visite a été un lundi midi pour l apero.. de voir Azylis habillée tres sexy et maquillée .. elle voulait se faire belle pour eux cela se sentait.. J en etait excité et appréhendaitaussi comme elle d ailleurs vu qu elle est assez timide.. elle avait une belle petite robe courte que Dorothée avait demandé courte et un chemisier léger a boutons .. Dorothée avair deja un peu la main sur elle et sur moi aussi d ailleurs vu qu elle avait un coté assez persuasive tout en restant douce Le jour J ils sont arrivés a l heure.. au coup de sonnette c est elle qui est allée les acceuillir .. elles se sont fait naturellement la bises pour se dire bonjour comme si elles se connaissaient déja .. lui c etait un homme posé avec une longue barbe style druide qui intimidait un peu Dorothée et son mari se sont assis l un a coté de l autre sur le canapé et Azylis leur a proposé du Champagne ou autre chose .. Ils ont dit que cela leur allé tres bien.. L homme lui a dit laisse ton mari s en occuper et servir et viens t assoir sur le canapé avec nous je n ai pas bronché et me suis senti deja excité avec ce coté soumis que le meri me faisait deja comprendre .. Azylis s est aussi exécutée et ils ont commencé a discuter entre eux de chose et d autres en se presentant Dorothée a complimenté Azylis sur sa tenue et lui a dit qu elle la trouvait belle et c etait vrai.. Elle aussi l etait d ailleurs je les ai servi et me suis assis sur un fauteuil en face des trois et nous avons commencé notre discussion. elles etaient toutes les deux avec une robes courtes et en bas.. en face d elles je pouvais apercevir qu elle avait aussi un porte jaretelle et une petite culotte blanche.. c etait tres excitant au fil de la discussion je sentais l atmospphere se detendre et la discisson etait plus entre Azylis et Dorothée et son mari me parlait .. Jusqu au moment qu il dise " j aimerai smaintenant que tu montes a l etage nous avons a discuter en ete a tete avec Azylis .. on t appelera plus tard" a ce moment là j ai senti une boule d excitation dans mon bas ventre et ai juste dit " comme vous désirez" ma santant vraiment soumis et plus surement sous peu Azylis n a pas broché et ne m a pas retenu non plus.. et cela m a fait déja sentir ce coté cuckold je suis monté a l etage en restant comme un voyeur sur le palier pour essayé de les entendre discuter mais cela discutait peu.. j avais une boule au ventre et malgrés mon peu d erection je sentais que je coulais dans mon slip tellement j etait mentalement excité cela chuchautait un peu en bas.. le temps passé et les minutes me semblaient interminables ne sachant pas ce qu il se passait dans le salon je tournais en rond entre la chambre et le palier tendant l oreille pour entendre quelque chose vu qu il metait impossible de voir... j avais peur d etre surpris et ce sentiment de cuckold soumis se faisait de plus en plus ressentir et m excité encore plus en imaginant
driver34
bonjour a tous un "petit" texte écrit par une épouse lors d'une rencontre du long WE du 1er mai. c'est une idée de son maris , de lui faire raconter , par son regard notre rendez vous. il s'agit d un couple d'intellectuel lyonnais , assez "bobo". MME a donc pris son temps pour l'écrire, car pas très naturel pour d'exprimer se sentiments et ressenti, surtout sur la partie jouissance ou elle fait un vrais travail sur elle même pour exprimer son ressenti. J'espère que vous apprécierez a sa juste valeur l'effort de la dame : Me voilà. J’ai fini plus tôt aujourd’hui. Je me dépêche il est déjà 16h00, nous sommes le 30 avril L’homme qui va venir est spécial tu m’as dit : « tu vas connaitre un vrais ALPHA » C’est la première fois que tu choisis de faire venir ce type de personne. J’entre. J’ai respecté les consignes vestimentaires qu’il t’a transmis J’ai mis une robe d’été courte a fine bretelle et les talons sont les plus hauts que j’avais. J’ai enlevé ma culotte, mon soutien-gorge dans le parking. Je ne porte plus rien sous ma robe. Je sors dans la rue, croisent des inconnus, longe la rue …….. Je me surprends à apprécier d’être ainsi, dehors, nue, libre, d’avoir juste un léger tissu qui voile mon corps. Une sensation plutôt agréable, J’entre sous le porche. Je monte les escaliers, priant secrètement que personne ne monte derrière moi, Me voilà arriver, Je mets la clé dans la serrure, ouvre et entre. Je ferme la porte et pose mes clés sur la commode de l’entrée. Tu es la devant moi, nu, ton corp sublime exposé à ma vue Qu’est que tu es beau mon amour, c’est fou comme je peux t’aimer, aimer ce corps qui reflète tellement la complexité de ta personnalité, à la fois puissant et fragile. Je m’approche de toi, doucement pour t’embrasser, mais ton index se pose sur ma bouche. « Pas maintenant », « tu sais que tu dois faire quelque chose, car cette après-midi tu es la femme d’un autre homme, un vrais ! » C’est vrai ! J’avais oublié ! mais quelle frustration de ne pouvoir caresser ton corps, et puis quels mots étranges dans ta bouche : « un homme, un vrais » , mais tu es mon homme et tu n’es pas du tout faux ! Tu me tends l’objet, un objet d’un autre âge, une cage de chasteté, je ne connaissais pas cette pratique, mais tu m’as dit que tu en avais besoin pour t’aider a tenir ton rôle aujourd’hui. Je l’installe maladroitement, essayant de ne pas te faire mal, ce n’est pas évident. Je tâtonne, force un peu cet anneau a du mal à passer, puis fermer cette cage sur ton sexe qui, ton sexe que j’aime tant qui commence à durcir sous mes mains et qui se trouve enfermé tel un oiseau privé de liberté. Je verrouille et garde la clé Tu me regarde et souris, je lis dans ton regard combien je suis belle à tes yeux Tu as dans les yeux cette flamme magique de l’excitation géniale, et tant d’amour, Amour. Je te plais en call-girl. Je vais donc en jouer. Je sens si fortement cette aimantation irrésistible qui bouleverse nos vies. Ce truc incroyable qui se passe entre nous, cette simple joie d’être ensemble. La sonnette interrompt ce moment de grâce C’est lui, le voilà. Tu vas dans la grande pièce. Je reste seule, je referme la porte. Je vais lui ouvrir. Il est là, devant moi, dans la porte, grand, de belles épaules, brun, des yeux bleu sombre et autoritaires. Il a une vraie présence. Je m’écarte naturellement pour qu’il entre. J’ai un sentiment étrange face à lui, je me sens fragile, intimidée, soumise. Soumise ? Est-ce bien moi qui pense cela ? Je comprends mieux pourquoi tu as utilisé le terme « d’alpha », il y a une aura qui se dégage de lui. Il me regarde droit dans les yeux, que je baisse immédiatement Il referme la porte. Il me regarde de haut en bas. Ma petite robe à bretelle. Mes chaussures à talons de 12cm. Mes jambes. « Bonjour ,…., je constate que ton mari ne m’avait pas menti, tu es magnifique », me dis-t-il, d’une voix chaude grave et monocorde Je me surprends à rougir « Approche s’il te plait !» Je m’exécute, comme si sa voix était un aimant « Tu as quelque chose pour moi je crois » Je lui tends la clé de la cage qu’il met immédiatement dans la poche de sa veste. Puis il soulève ma robe, je ne dis rien, étrangement subjugué, je me sens comme un animal qu’on examine, « C’est bien ! » dis-t-il d’un ton satisfait Je souris légèrement. Je sens son bras s’enrouler autour de ma taille, me rapprochant de lui, je ne résiste pas, je ne peux pas, je ne veux pas… Il m’embrasse profondément en caressant mes fesses nues sous ma robe. Mon corps se cambre naturellement contre lui comme s’il ne me répondait plus. Je sens du désir comme une onde implacable en bas de mon ventre. Après ce long baiser, l’étreinte ferme se relâche délicatement, étonnamment je me rends compte alors qu’il ne me tenait que d’un seul bras. Il longe le couloir et entre dans la chambre. Notre chambre, mon cœur se met à battre la chamade, je sais que tu es la, dans la pièce , juste en face la porte fermée Je le suis. Je me tiens dans l’embrasure de la porte, la main contre le chambranle, et je le fixe. Provocante. Il a ôté sa veste, laissant apparaitre un buste large, sans être musclé à outrance Il revient vers moi. Et il m’embrasse encore M’enlaçant puissamment contre lui. Il touche ma poitrine Sa main couvre mon petit sein et mon teton durci presque immédiatement sous se contact virile Le baiser dur, langoureux, sa langue fouille ma bouche et je ne peux m’empêcher la mienne de lui répondre, c’est comme si mon corps s’abandonner a lui, cette force masculine Je sais que tu attends, nu dans la grande pièce. Je pense à toi. Il sort de la chambre, m’emmène avec lui vers toi. Il ouvre la porte, je te vois là, assis dans le fauteuil le de la grande pièce M’embrasse à nouveau devant toi. Il s’enhardi, ses mains me caresse mes fesses, mes seins, mes hanches mon corps entier réagit a cette situation érotique à l’extrême car tout cela se passe devant toi. Il t’appel, d’un ton ferme et sec, sa voix change quand il s’adresse a toi , plus autoritaire. « A genou » Tu t’exécute. Ses mains se pose alors sur mes épaules appliquant une pression douce mais ferme à la fois, je comprends se qu’il attend de moi. Je m’agenouille à tes côtés, que tu es beau. Mes mains ouvrent un à un les boutons sa braguette, puis je défais sa ceinture et baisse son pantalon. Je découvre alors un sexe en semi-érection, la taille semble légèrement supérieure à ma merveille encagée. Il pivote légèrement et se pressente face à toi « Suce ! montre à ta femme comment tu sais t’occuper d’une bite » Il te fait sucer sa queue. Longuement. C’est la première fois que je te vois faire ça ! La première fois que je te vois sucer le sexe d’un homme Celui-ci grossit et durci dans ta bouche Il m’aide à me relever pendant que tu continues à aller et venir sur son sexe. J’avoue avoir du mal a te quitter du regard, tellement bizarre comme image, voir ton mari sucer un sexe est plus que troublant. Mais un ordre sec me sort de mes pensés « Mets-toi a 4 pattes ! » Il met un préservatif. Il me demande alors mon aide. Je dois venir au-dessus de toi. Je dois écarter ton sublime cul pour que je voie mieux. Il va te pénétrer, te sodomiser. Je vois sa queue qui rentre doucement mais assez facilement dans ton cul, ton joli cul de mec qui m’affole … Tu gémis chéri, tu aimes qu’il te pénètre, t’offrir tel une femelle. Il entre jusqu’au bout, il est complètement en toi. Il commence ses vas et viens, il bouge en toi. D’abord lentement, tu gémis doucement. Ouvre-toi, Je perçois la maitrise du personnage, laisse-toi faire. Ressens bien et rappelle-toi ce que cela fait d’être pénétré amour. Ton corps pénétré, offert, ton corps réception. Ses vas et viens accélère et tes gémissements changent, plus aigüe, plus féminin, tu deviens femme sous ses coups de reins Je ne peux détacher mon regard de se sexe puissant qui maintenant pilonne ton cul que je tiens toujours écartés telle une automate. Je n’entends plus que ses cuisses claquées contre tes fesses immédiatement suivies d’un « han » de plaisir de ta pars. Je t’entends jouir, alors qu’il continue ses mouvements rapides et amples. Tu jouie mon amour, tu jouie d’être pénétré comme une femme, c’est nouveau et déroutant pour moi. Je ne saurais dire combien de temps cela a duré, mais sentant sa jouissance venir il me prit par le cou et m’embrassa dans un râle de plaisir. Il me relâche, je me redresse et regarde la scène, ne sachant plus quoi penser. Il est là, reprenant son souffle, à genou derrière toi, puis te repoussant tel un simple objet, te voila au sol sur le côté haletant de plaisir. Lui triomphateur retirant son préservatif et le déposant sur tes fesses tel un trophée. « Reste-la ! » ordonna-t-il en se relevant, de tout façon tu sembles épuisés mon ange. L’homme me prend par la main, m’emmène alors dans notre chambre, sur le lit. Il veut que tu nous entendes de loin. Que tu imagines ce qu’il me fait. Il me couche sur le dos, les fesses au bord du lit. Je suis encore habillée. Il relève bien haut ma robe, libérant mes jambes et mon ventre. Il commence à me lécher partout autour de la chatte, sur la chatte, dans la chatte, je dois t’avouer qu’il maitrise bien cette partie-là aussi. Il introduit ses ses doigts, sa glisse tout seul, il m’excite la zone du bas, le point G , quel savoir-faire ! Je sens la volupté d’être dans cet état, encore habillée, chaussures aux pieds. Indécente, mon corps ondule, bouge, se tord, demande. Je commence à gémir, à apprécier son empressement, à sentir monter une excitation de ce jeu qui devient plus que du jeu. Je voudrais que tu viennes regarder. Nos esprits doivent être en communion car il t’appelle. « Viens ! » claque-t-il Oui viens amour, viens me voir gémir, viens voir mon corps perdre pied sous les caresses de cet homme. Quand tu es là, d’un geste ferme il me déshabille. Ma robe a disparue en un instant. Je suis presque nue, je garde mes chaussures qui subliment les longues jambes. Il se place derrière moi Ecarte encore plus mes cuisses. Il Te demande te tenir fermement mes chevilles « MCI ? » demande tu humblement la tête baisser « Oui ! » répond t-il fermement ? MCI ? La fameuse caresse dont tu m’as parler et qui doit éveiller tous mes sens ? Me voila donc en place pour cette découverte L’homme se colle à moi, …… me tient fermement les chevilles. Ces 2 mains viennent à l’intérieur de mes cuisses ? L’une écartant habilement mes lèvres, l’autre commençant à caresser doucement mon clitoris d’un manière nouvelle et agréable. Mon sexe est tout ouvert sous ses mains. Il me caresse , lentement je gémis a nouveau pendant qu’il m’excite. A ma grande surprise mon désir, , mon plaisir monte plus rapidement que d’habitude, ce n’est pas le même plaisir, un plaisir qui rapidement m’amène a. une concentration extrême sur mes sensations pelviennes. Je suis entièrement obnubilée par ce qu’il me donne, comme si mon corps n’avait plus qu’une oreille, une oreille-sexe qui écoute, qui prête attention, qui apprécie, qui savoure, qui en redemande, qui s’ouvre et se contorsionne sous ces doigts, habiles, qui bougent et dansent en cadence sur mon sexe. Ces doigts puissants ont changé de rythme, tout s’accélère, la pression est plus forte. Des forces qui me dépassent maintenant m’entrainent très loin vers un domaine des sens exacerbés. Je le sens, je vais céder, laisser les digues s’écrouler, je décide de lâcher toute retenue. J’ai envie de tout hurler, tout ce mélange, plaisir ou douleur, jamais mon sexe n’avait été aussi sollicité, jamais on ne m’avait emmené si loin, le rythme est la pression augmente a nouveau, c’est trop fort, trop intense. Je veux resserrer les cuisses pour tout arrêter. « Tiens la bien ! c’est le moment fatidique ! » Sous ses ordres tu me tiens fermement les chevilles, il poursuite donc son ouvrage, sous ses doigts experts, mon corps franchis un cap, il n’hésite plus entre douleur et plaisir, se sera plaisir. De nouvelles sensations m’apparaissent, des ruissellements qui me parcourent, des spasmes intérieurs qui semblent à chaque secousse ouvrir des portes secrètes vers encore plus de plaisir. C’est une ouverture infinie vers le désir du désir, vers le plaisir du plaisir, vers toujours plus de profondeur qui élève… Quand il s’est met à toucher le bout de mon clitoris d’une façon incroyable, le plaisir qui était déjà très intense, monte encore, comme au bord des lèvres. Ça monte, et ça redescend comme dans un tourbillon sans fin, et je sens à chaque titillement de mon clito une vague puissante, un frisson d’un gout délicieux qui saupoudre la jouissance déjà si forte qui affleure au profond de mon ventre. Chaque attention précise de sa main sur mon sexe décuple la vague qui monte. Je m’abandonne maintenant, c’est irrépressible, et sous ton regard je vais jouir des gestes déterminés de cet homme. C’est un puissant jet de jouissance que mon sexe expulse, cela ne mettait jamais arriver ! Je jouis de si loin, c’est en cadeau pour toi amour, je te montre une jouissance des pays lointains où tu ne t’es jamais aventuré. Regarde-moi, regarde-moi bien, les hanches très cambrées pour ouvrir le passage encore plus et encore plus ma chatte sur ses doigts, offerte et entreprenante. Je crie, j’hurle de plaisir , j’inonde les draps d’un jet sans fin. Ma bouche cherche la sienne, aspirant follement sa langue quand je la trouve, jouissant à un degré qui dépasse toute mesure, au-delà des courbes de la normalité, marginale, libre, je m’envole au septième ciel essentiel, femelle totale. L’étreinte se relâche Pendant de longues minutes je reste à reprendre mon souffle, sur le côté, aux côtés de cet homme. Quel sensation intense, sublime, c’est donc cela jouir ? C’est donc cela un orgasme ? Mon amour tu es réellement cocu maintenant puisqu’ un homme ma emmener dans plaisir plus loin que tu n’en a jamais été capable, tu peux être heureux. Il me prend sous son bras, je me sens protégée sous son aile. Il m’embrasse, je l’embrasse. Longtemps. Tendrement. Nous Echangeons de longs et profonds de baisers. On se mange les lèvres. C’est troublant. Je ne suis pas en amour avec lui, et nous échangeons pourtant comme de l’amour qui circule de bouche en bouche, frais, aérien, léger, … Parfois, furtivement, nos regards se sourient. Peut-être juste cet amour humain qui nous manque tant, dans nos vies compartimentées, inhibées. Au milieu d’un océan de sexe et de chauds effluves, un filet pur d’amour humain qui se faufile, radieux. Tu me diras plus tard que tu aurais aimé juste à ce moment-là venir derrière moi tendrement, m’enlacer, me dire « je t’aime » en murmure à l’oreille… Ce moment précieux d’un amour si singulier. Partager L’homme insatiable dominant, mâles s’assoit au pied du lit et t’ordonne de le sucer pendant que je me repose. Je ferme les yeux sur cette scène ou tu es là au pied du lit, suçant le sexe de ce mâle. Est-ce pour le remercier de m’avoir fait jouir si fort ou en symbole de sa supériorité masculine tu m’avoueras le soir que c’était un mélange des 2, que tu te sentais inferieur a lui face a sa puissance sexuelle et que tu voulais le remercier. Je ne pensais pas m’être endormi, mais c’est le mouvement du lit un éclat reçurent qui me sortit de ma torpeur. Mes yeux s’ouvrirent sur ton visage, tu es la presque au-dessus de moi, gémissant, bougeant par à-coup. Et ce flash m’éblouissant de façon régulière ? C’est le soleil qui se reflète dans le métal de ta cage, cette cage qui bouge car tu es de nouveau sodomisé, il ne sait pas satisfait de ta bouche, il prend a nouveau ton doux cul de mec et de façon de plus viril que la première fois. Je te regarde tuas les yeux ferme, gémissant, couinant de plaisir. Tu jouie encore comme une femme, je m’étonne aimer ce moment, a t’aimer encore plus dans ce rôle de soumis, d’être possédé par un male et de te voir aimer ça ! Je m’amuse presque de voir balloter cette cage sous les coups de rein de cet homme Je me redresse pour le voir te prendre puissamment. « tu es réveillé » ? parfait, viens près de moi ! viens te lover contre moi pendant que je m’occuper de ta lopette de maris » « Lopette ? après tout, la situation si prêter bien » J’obéis donc à ses injonctions, et me rapproche de lui, ondulante, chatte. Il me prend fermement par la taille, me colle a lui, fesse se calle entre mes fesses, cherchant et trouvant le même orifice dont il s’occupe avec toi. Il m’embrasse fougueusement tout en continuant son œuvre, sa langue fouille ma bouche, son index mon anus, quel sensation érotique et étrange, de t’entendre gémir sous ces coups de rein puissant et gémir a mon tour sous la caresse de son doigt. C’est alors que ta vois change, tu lui demande d’arrêter, pire tu le supplie, ton cul n’est pas habitué à un tel traitement. Son baiser s’arrête, son regard bleu me dévisage « Je n’ai pas encore jouie tu te sens capable de prendre la suite ? » Je fais un petit hochement de la tête, il me faut libérer mon amour « Je n’ai pas compris ta réponse ? » dis t il en me serrant encore plus fort Je me lâche « Oui ! Oui, non seulement je m’en sens capable, mais je le désir au plus profond de moi-même » Il libère sa prise, et je vois se sexe encore dresser et dur sortir doucement de d’entre tes fesses. Il retire le préservatif et le pose a nouveau sur ton dos « Reste-la ! a 4 pattes lopette ! » Décidément se mot lui plait. Ça va être donc encore ma fête Mais tu es la cette fois ci a côté de moi et tu peux t’inspirer, te remplir la mémoire de ces danses brutes et sauvages que tu as initiées. Regarde !! Oui, car à présent l’homme invité est bien dans un rôle de d’alpha et il inlassablement, il reprend sa dureté travaillée. Je suis mise sur le dos à coté de toi. Il prend un autre préservatif qu’il met sans problème, étant toujours aussi dur, il ouvre mes jambes sans hésitation, me soulève les hanches ; mais au lieu de venir en moi par la grande porte, de pénétrer le palais somptueux du féminin grand ouvert, en conquérant qu’il est désormais il emprunte le petit corridor… Il s’invite dans mon cul, et plutôt facilement. Me voilà sodomisé à mon tour mon amour et devant toi. « Ça rentre facilement ! », comment t- il Ses allez et venues d’abord douces, prudentes, vont s’accélérer, de plus en plus vite, de plus en plus ample. Il s’active si fort ! Il tient fermement mes jambes en l’air maintenant, les pousse un peu, les met sur les côtés, mes genoux de chaque côté de mon corps, me voilà écartelé, ouverte comme jamais et ainsi, il me domine totalement et me rend folle de ces sensations d’impasse d’être prise, objet possédée. Cette sodomie déterminée dure longtemps, plus cela dure, plus cela l’excite ! Il en redemande, continue encore, il me met sa bite très profondément, jusqu’ aux bourses, virilement en vrais mâle qu’il est. Chaque coup de butoir me fait hurler, cambré, la tête en arrière, mais pas hurler de douleur. Non. Ce sont juste des gémissements haute fréquence de femelle qui communiquent leur message précis : « Oui, viens là, et entre où tu veux. Je suis à toi ! Je suis ta chose ! Ok, à l’instant, c’est open bar. Tout ce qui est chez moi est chez toi, fait de moi ce que tu veux, l’espace de ces instants privilégiés ». D’un coup je sentis comme un courant électrique parcourir ma colonne vertébrale de mes reins jusqu’à ma nuque, mes jambes se mirent à trembler sans que je puisse les contrôler, mes bras faire des geste désordonnés ma tête aller de droite à gauche, mon anus se contracte de plaisir sans que je puisse y faire quelque chose, je perdais le contrôle de de mon corp, à chaque pénétration, c’est une décharge électrique qui envahie mon système nerveux, je perds mon corps à chaque fois. Un coup ultime plus violent que les autres me fait comprendre que la fin est proche, il se contracte je le sens déchargé en moi, mon cul se resserre une dernière fois. C’est donc cela un orgasme anal. Il lâche mes cuisses qui naturellement vienne encercler sa taille, il pose ses mains de chaque côté de mon corps et se penche sur moi, me regarde dans les yeux. Je le regarde et je me rends compte que je ne vois plus l’homme, je vois mon Maitre, mon MALE. Il m’embrase dans un baiser tendre, je ne peux retenir un « je t‘aime mon amour ». Il sourit, se retour vers toi « Tu vois Lopette maintenant tu peux vraiment dire que tu es cocu ». Il s’allonge à côté de moi, je viens me lover naturellement contre lui, ma mais se baladant sur son torse et machinalement, descendit vers son sexe qui même s’il avait perdu de sa superbe, mais m’attiré indéniablement. Ma main caresser cet objet de plaisir quand il l’enleva dans un grand sourire « Je pense qu’il est tard, et que je dois vous laissez vous retrouver. Il se leva, pris une douche, s’habilla. Il nous retrouva dans le salon assis l’un à coté de l’autre, nous remettons de cette divine expérience, toujours nus. Il fouilla dans la poche de sa veste et sortie la clé de sa poche « Se sera plus facile avec ça ! » Il partie non sans nous promettre de venir nous revoir, bientôt. Nous nous retrouvons enfin, emplis de notre amour magnifique. Tu es mon mari magnifique, le dirai-je assez durant mon passage sur cette terre ? Il m’avait troublée cet homme par sa présence. Son regard étrange. Sa façon de jouer son rôle en l’incarnant totalement jouer-t-il d’ailleurs ? Je ne le pense pas. Je m’étais sentie emmenée dans son merveilleux univers, et j’avais cette fois-ci réellement envie de le retrouver. Après cette expérience, je l’ai fantasmé dans mon lit. Rejoué en esprit les scènes qui m’avaient surprise. Ses doigts experts. Sa puissance érotique et sexuelle. Son regard comme à travers moi, transpercée. Ton regard voyeur et aimant. Ton regard surtout. Ton plaisir à me voir baisée comme jamais tu n’as su le faire par un autre… Cette fois-ci, oui, j’avais joui, et en perdre conscience. A 43 ans j’ai enfin connu le vrai orgasme Devant toi, pour toi. Je me suis abandonné à lui, lui qui me fascine un peu, pour que tu me voies dans cet état. Je ne me lasse pas de le répéter, mille fois…. Mille et une fois, cette unième fois d’il était une fois …. Il était une fois mon présent du ciel, mon désir fabuleux, mon amour fou que je libère à chaque seconde, mon qui n’est pas « mon », mon qui me donne tant de joie de vivre ! Toi. Mes bras grands ouverts, mon cœur grand ouvert, mon amour qui augmente de son souffle l’espace et les couleurs de mon cœur, qui le fait fondre et le dilate sans limites, c’est à dire, sans peurs. Je n’ai pas le temps de vivre le manque, ce serait te manquer. Et pourtant je ressens humainement, douloureusement, ce manque à chaque difficile moment où je dois te quitter. Je m’emplis tellement de toi, de ta musique, de ton sourire, de ton espièglerie, de ta beauté d’être… de ton amour incroyable envers moi… Tu m’appelles mon ange, tu m’appelles ma chérie, mon amour, tu m’appelles mon cœur … Tous les noms si tendres que tu me donnes me créent littéralement, me transpercent amoureusement et m’inondent de douceur, me touchent au cœur qui est ton cœur. Là se rejoignent nos êtres, nos âmes. Quel bonheur. Je te retrouve avec tant de plaisir en amoureux. D’être bien chacun dans le corps de l’autre. Viens mon amour chéri, entre en moi. Retrouve-moi. Viens me pénétrer de tout ton être. Viens. Suspension paradisiaque. Je t’aime. Le 18/05/2025
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aziyad
L'amour reste le plus fort, mais quel récit haletant, prenant... J'ai bcp de mal à comprendre ce besoin de "subir" sa moitié, son amour possédée par un autre, mais ce récit, par ces mots d'amour, me font comprendre la richesse de telle pratique... Mais tout le monde n'en ressort pas sans égratignures... Très beau récit, merci.
J'aime 23/05/25
driver34
Merci mais le mérite en revient à Mme je luis remonterai l information lors de notre prochaine rencontre
J'aime 24/05/25
Lover57
Bonjour à vous, Ravi de rejoindre ce groupe :-) J'aimerais rencontrer des couples sur Metz pour réaliser un fantasme : soumettre madame devant les yeux de monsieur. L'idée serait de vous proposer un scénario a réaliser ensemble chez vous. mp moi !
Orion  ☀️ ☯️
Bonjour Je pourrais intéressé par un couple où l'homme serait un candauliste heureux de voir sa femme se faire baiser en virtuel. Une autre configuration intéressante serait que l'homme soit féminisable et que je baise virtuellement avec le couple selon mes désirs. Vous devez être exhibitionnistes et sans tabou sexuel. Bien à vous
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Sissy Géraldine
Mais pourquoi seulement en virtuel, c'est bien mieux en réel, non?
J'aime 03/05/25
Orion  ☀️ ☯️
@Sissy Géraldine évidemment que c'est mieux en réel, mais j'ai comme bien d'autres ici des contraintes personnelles, et donc il faut adapter les pratiques en conséquence
J'aime 03/05/25 Edité
Merci Lucietravsoumis d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Maîtresse Luna
Quand je dis "ma première fois", je ne veux pas dire qu'à 33 ans, j'étais encore vierge. Non, j'avais déjà fait l'amour avant. Et même de très bonnes relations sexuelles. Depuis une bonne dizaine d'années, toujours avec la même partenaire. Bianka, ma douce petite femme de rêve excitée ! Depuis un certain temps, nous cherchons de temps en temps à donner un nouveau coup de fouet à notre vie sexuelle. Il ne faut pas que cela devienne ennuyeux. Nous essayons beaucoup de choses dans le domaine du SM et du BDSM. Il y a quelques semaines, Bianca m'a tendu un Cage De chasteté. La chasteté était de rigueur. Ça n'a pas duré longtemps, je n'ai tenu que quelques jours. Mais la rédemption a été vraiment géniale ! Il y a quatre jours, elle m'a lu une histoire de cocu très érotique trouvée sur Internet. Mon Dieu, nous étions toutes les deux excitées par cette lecture. Il est clair qu'après cela, nous nous sommes immédiatement rendus sur les forums correspondants. Ma femme avait besoin d'un partenaire en chaleur qui la ferait vraiment jouir pendant que je la regarderais. Notre histoire de cocu commence Nous sommes en train d'écrire notre propre histoire de cocu. Assez rapidement, ma femme a trouvé un gars qui, d'après les photos, avait l'air très bien et dont le caractère semblait aussi correspondre. Aujourd'hui, Rick allait nous rendre visite. Ma femme est sortie de la salle de bain en se pavanant comme si elle était une reine. Sûre d'elle, la tête haute et le regard clair, elle s'est approchée de moi. Assis dans le fauteuil confortable de mon salon, j'avais du mal à respirer, tant elle me coupait le souffle par sa vue. Un corset rouge moulait avantageusement sa douce poitrine. Des bas jarretelles noirs avec des applications rouges faisaient paraître ses jambes encore plus longues que d'habitude. Les talons aiguilles de ses hauts talons ... comme j'aurais aimé les sentir une fois. Mais je n'avais pas le droit ! Je devais juste pouvoir les regarder. Rien de plus ! On sonna à la porte. J'ai ouvert et devant moi se tenait un Adonis masculin. La jalousie s'est emparée de moi. Cet homme voulait coucher avec ma Bianca. Après cela, elle ne voudrait plus jamais rien avoir avec moi ! Je l'ai laissé entrer à contrecœur. Nous nous sommes assis, avons bu du vin et avons fait un peu connaissance. Je commençais à maîtriser ma jalousie. C'est peut-être dû au fait que nous avons pris le temps de discuter de tous les détails. Au bout d'une heure et demie, nous avons quitté le salon pour montrer la chambre à coucher à notre séduisante et charmante invitée. Regarder peut être si excitant Je me suis installée dans un vieux fauteuil confortable, en face du grand lit. Notre nouvel ami s'est installé directement sur le lit et a attiré ma femme vers lui. Elle prit place à califourchon sur son corps. Ils se touchèrent doucement et se découvrirent, puis ils commencèrent à s'embrasser. D'abord en essayant, avec un léger sourire timide sur le visage. Puis en prenant de plus en plus d'assurance, en devenant plus entreprenants et plus avides. Le simple fait de la voir embrasser l'homme m'excitait déjà à mort ! Comme j'aimerais repousser ce type et prendre sa place. Mais d'une certaine manière, je me sentais aussi humiliée. Il avait l'air tellement plus sexy que moi. Et en plus, ma femme me regardait tout le temps pendant qu'elle goûtait les lèvres de ce type génial. Elle lui a maintenant pratiquement arraché sa chemise et s'est blottie contre ses muscles fermes. Elle descendit de lui, ouvrit son pantalon avec des doigts précipités pour laisser son sexe rebondi à l'air libre. Rick avait visiblement renoncé au slip. Sa grosse queue vous sautait littéralement dessus. Les yeux écarquillés, elle le lâcha, roula sur le côté et s'allongea à côté de lui sur le lit. Rick a pris le contrôle, a écarté les jambes de ma femme et l'a léchée jusqu'à ce qu'elle se mette presque à crier. Elle me regardait tout le temps pendant qu'elle se laissait gâter par l'autre. Entre-temps, elle fermait les yeux avec délectation. Je souhaitais tellement être à sa place. Je voulais aimer ma femme, et tout de suite ! Mais je ne pouvais pas ! Juste avant que Bianka n'atteigne définitivement l'apogée, Rick fit une pause. Il lui laissa un moment avant de la retourner sur le ventre et de lui faire prendre la position du chien. Pendant que Rick la pénétrait durement et avidement, Bianka me regardait avec plaisir et passion. Tout le temps, elle me regardait. Ma propre petite queue devenait de plus en plus grosse, de plus en plus dure. J'aurais tellement aimé me branler dessus. Mais je devais me préserver. Car une fois que Rick aurait fini, ce serait mon tour. L'entrée dans la relation avec le cocu Rick était parti et nous étions seuls tous les deux. La chatte de Bianca était encore chaude et humide quand j'ai enfin pu la toucher à nouveau. Avec une envie comme jamais auparavant, je l'ai prise. Elle m'appartenait. À moi toute seule ! Le partage n'était apparemment pas mon truc. Ou peut-être que si ? Quand je pense à quel point tout cela m'a excité, je me dis que nous allons peut-être commencer une vraie relation de cocu. Qui sait comment nous pouvons encore nous améliorer. Aujourd'hui, c'est un mec sexy que ma femme a pu baiser. Peut-être que la prochaine fois, nous en ferons jouir deux. Peut-être même que je pourrais participer directement. Nous verrons bien.
3 personnes aiment ça.
Super!...
J'aime 21/04/25
Fantasmallo
Récit très agréable à lire. Merci pour l'écriture.
J'aime 23/04/25
Kagna
Bonsoir, Au fil de mes échanges, ce soir je suis tombée sur un candauliste. C'est quelque chose qui ne m'avait alors jusqu'ici jamais vraiment intéressée l'associant au libertinage par ignorance. Et soyons clairs, je n'aime pas partager donc je n'ai jamais vraiment cherché plus loin que ça. Lors de cet échange, il m'a expliqué beaucoup de choses comme quoi, lui était fidèle à sa femme, n'avait qu'elle, ne voyait qu'elle et s'épanouissait en la voyant ou l'imaginant avoir du plaisir avec d'autres hommes. Que ce n'était pas forcément tromper et mal vu dans cette configuration là puisqu'il était d'accord et au courant. Petite curieuse que je suis, j'ai été fascinée par cette conversation et me voilà ici à vouloir en savoir plus. Et chercher cette déconstruction mentale qui me dit : " non, tu n'est pas juste une petite salope égoïste à ne pas vouloir partager ton partenaire mais toi si tu as l'occasion de t'amuser, c'est avec grand plaisir. " Je serais ravie d'en apprendre plus, sur vos ressentis, sur ce qui vous a amené à être candau. Comment vous le vivez et pourquoi pas plus ? En réponse à ce post ou en échange mp éventuellement mais pensez à mettre "candau" en début du message d'accompagnement pour m'aider à trier et ne pas vous refuser d'office sous la multitude de demande si nous n'avons jamais échangés. Merci, au plaisir d'échanger avec vous et de mieux comprendre.
Fantasmallo
Bonsoir à tous, Ravi de découvrir se groupe. Je fantasme depuis plusieurs années sur le thème du candaulisme. Pour le moment hormis des scénarios fictifs qu'on se raconte au lit, je n'ai pas réussi à la rassurer suffisamment pour lui donner envie d'aller plus loin, même virtuellement. Donc je me contente d'échanger avec des adeptes, couple candau et cocufieur, pour discuter de leur expérience, imaginer des scénarios, et avoir des idées ou conseils pour faire évoluer tout ça. Au plaisir de vous lire
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driver34
bonjour et bienvenue,
J'aime 07/04/25
driver34
Comme vous l'exprimez si bien le candaulisme est avant tout une question de complicité entre amant et l'épouse certes mais aussi et surtout entre le maris et l amant. Le candaulisme est , a mon sens, une extraordinaire preuve d'amour et de confiance entre le maris et l'épouse. Une fois cela posé laissez libre cours a votre imagination , suivant vos limites , il y a autant de façon de pratiquer le candaulisme qu il y a de couple, le triolisme , candau soft , hard, le cuckolding, le cuckolding soumis..... bref dialoguez entre vous avec votre épouse et peut être son futur amant pour établir d'où vous partez et ou vous voulez progresser , vers quoi vous voulez aller. J ai 23 ans de pratique en temps qu 'amant candauliste, j ai initier une 10n de couple et pratique tout les style donc n'hésitez pas a échanger en MP
J'aime 07/04/25
Fantasmallo
a partagé une photo
Bonsoir à tous, Ravi de découvrir se groupe. Je fantasme depuis plusieurs années sur le thème du candaulisme. Pour le moment hormis des scénarios fictifs qu'on se raconte au lit, je n'ai pas réussi à la rassurer suffisamment pour lui donner envie d'aller plus loin, même virtuellement. Donc je me contente d'échanger avec des adeptes, couple candau et cocufieur, pour discuter de leur expérience, imaginer des scénarios, et avoir des idées ou conseils pour faire évoluer tout ça. Au plaisir de vous lire
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Dominantitinerant
Jolie photo
J'aime 06/04/25
JojoServiable
Bonjour, Il y a 10 mois, ma femme et moi nous sommes lancés dans cette aventure. Pour elle, c'était une occasion de pimenter notrevie de couple via un "plan à trois". Pour moi, c'était l'occasion de scénariser ma soumission. Mais ça a vite dégénéré. Ils se sont attachés l'un à l'autre et mon couple pourtant vieux de 32 ans a volé en éclats. Aujourd'hui on se sépare. Je regrette de m'être lancé là-dedans.
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Dominants07
C'est le risque de cette tentative d'introduire une personne extérieure au couple... Désolé pour toi
J'aime 21/02/25
Anton CHIGURH
@JojoServiable tout mon soutien à vous! J’ai été dans la situation inverse, à savoir qu’en tant que Dom, ma compagne soumise voulait être plus humiliée et souhaitait donc être cocufiée à foison… elle a fini par se détacher de moi… et des fois encore maintenant, je me sens responsable d’avoir accédé à ses désirs…
J'aime 21/02/25
Anton CHIGURH
Je peux dire également qu’étant Bull/complice depuis plus de 12 ans, une des règles fondamentales est de ne pas s’immiscer dans le couple et/ou de chercher à remplacer le cocu… donc c’était pas du tout correct de la part du Bull auquel vous avez fait confiance, d’accepter la démarche de madame…. Il aurait dû vous en informer et partir en retrait pour vous laisser dialoguer!
J'aime 21/02/25
Dominants07
Oui mais si ils se plaisent, c'est imparable ! La connivence passe au dessus du couple d'origine
J'aime 21/02/25
Anton CHIGURH
Si c’est mutuel oui… je sais… mais c’est bien triste de balancer tant d’années ensemble, à se connaître et se chérir, simplement pour une queue…
J'aime 21/02/25
JojoServiable
C'est ça. Double langage du bull : à moi, c'est juste du cul, l'important c'est son couple ; à elle, elle le fait craquer un truc de fou...!
J'aime 21/02/25
Anton CHIGURH
J’aimerais pouvoir vous dire que ça va aller… mais j’ai bien idée de ce que ça fait… je peux seulement vous apporter mon soutien…
J'aime 21/02/25
driver34
je suis en phase avec Anton CHIGURH, c'est au Bull/amant de gérer cela, un vrais amant candauliste , sil sent l attachement de l'épouse doit couper court à la relation , nous ne sommes pas la pour briser des couples, Malheureusement vous êtes tomber sur une personne qui n'avait pas cette maturité d 'esprit celui ci , certainement, reproduira le même schema avec un autre couple et votre épouse en sera la 2nd victime vous étant la 1ere.
J'aime 21/02/25
JojoServiable
En fait, je crains qu'on ne soit pas les premiers. Il trompe sa femme depuis une quinzaine d'années avec différentes personnes au gré des opportunités. On est les derniers...
J'aime 22/02/25
Angagé
Moi ça fait plusieurs années que je côtoie un couple et aujourd'hui sa femme aimerait qu'on forme un troupe..
J'aime 22/02/25
driver34
la formation d un trouple est different , c'est a mon sens plus sain comme demarche
J'aime 24/02/25
driver34
c 'est egalement ce que je cherche a faire avec ma complice actuelle mais dans un format FHF
J'aime 24/02/25
ElieMaster
a partagé une photo
Salut je suis de la région parisienne qui aimerait voir ça femme ou mec en couple ce prendre ceci (ma bite) dans le cul
Butterfly
Bonjour Je suis à la recherche d’un couple candauliste pour m’occuper de Mme. Ouvert à différentes configurations. Au plaisir
Yan Dom
Sarah savait qu'elle avait de la chance d'avoir un mari qui gagnait tellement d'argent qu'elle pouvait rester à la maison et n'avait pas besoin de travailler, mais parfois elle s'ennuyait. Il n'y avait qu'un nombre limité de déjeuners avec les dames du Rotary club auxquels on pouvait assister. De plus, son mari Stephen travaillait si dur qu'il était souvent trop fatigué pour avoir des relations sexuelles. Elle était donc là, une femme au foyer ennuyée et excitée, une combinaison explosive. C'était une journée chaude fin septembre lorsque le nord de la Californie a eu sa canicule annuelle. Sarah avait l'habitude d'appeler cette période de l'année un "été indien", mais elle savait que cela ne sonnait pas bien dans la Bay Area politiquement correcte, alors elle a essayé de ne pas utiliser cette expression. Mais il faisait chaud alors elle a mis son bikini et allait sortir dans le jardin pour lire un roman d'amour à l'ombre quand elle s'est rendu compte que les paysagistes travaillaient là. Elle baissa les yeux sur son minuscule maillot de bain qui ne laissait pas grand-chose à l'imagination, puis sur les hommes latinos petits et trapus, à la peau brune et transpirant au soleil pendant qu'ils arrachaient les mauvaises herbes dans ses parterres de fleurs et tondaient la pelouse. Ça ne me semblait pas vraiment convenable d'aller défiler ainsi à moitié nue devant des ouvriers, pensa Sarah en hésitant. Samuel ferait certainement une crise s'il la surprenait en train de faire ça. Il pouvait être si jaloux parfois. Mais encore une fois, il n'était pas encore rentré avant des heures, et Sarah aimait plutôt l'idée de donner un peu de frissons à ces petits paysagistes mexicains. Après tout, quelqu'un devrait apprécier sa silhouette sexy si son mari était trop épuisé pour lui prêter attention. Alors Sarah a fait un sourire méchant et s'est promenée nonchalamment dans son bikini maigre juste devant les portes coulissantes en verre et dans la cour arrière devant l'ouvrier Ses seins rebondissaient et ses fesses étaient à moitié pendantes, alors elle a essayé d'accrocher son haut et tirez son bas de bikini vers le bas pour mieux couvrir ses fesses alors qu'elle marchait pieds nus et consciente d'elle-même sur l'herbe verte et fraîche. Elle sentit ses joues gonfler alors que tout travail cessa et que tous les yeux marron foncé du gang de la pelouse étaient fixés sur sa silhouette chancelante. « Caramba ! Mamacita ! s'est exclamé un camarade avec étonnement, laissant tomber sa houe alors qu'il désherbait le parterre de fleurs. "Calme-toi, pinche cabron", siffla un autre gaillard qui travaillait à ses côtés. Sarah gloussa en réponse. Son espagnol était rouillé, mais elle savait que le second avait dit un gros mot. « ¡Hola ! Ser educado en torno a una dama », dit-elle à celui qui jura. Elle lui disait d'être poli avec une dame et il ôta son chapeau en guise d'excuse et la regarda, intéressé qu'elle puisse parler sa langue. "Lo siento, señorita. Lo siento," dit-il en s'excusant abondamment. "Señora, Estoy casado," répondit-elle avec un sourire, lui faisant savoir qu'elle était mariée. "Eso está muy mal", a-t-il taquiné, suggérant qu'il souhaitait qu'elle soit célibataire. Sarah mesurait quelques centimètres de plus que le petit paysagiste et alors qu'ils se contemplaient, elle fut frappée par les différences entre eux. Elle était grande, mince et pâle, et il était petit, brun et musclé. Il lui rappelait une boulette de viande mexicaine, et il avait cette étincelle dans les yeux que certains hommes latinos avaient lorsqu'ils s'imaginaient être un homme à femmes. Elle n'allait pas normalement pour les types ethniques. Elle n'était sortie qu'avec des hommes blancs mais elle trouvait ce petit bonhomme charmant. Il avait un sourire contagieux. Ils ont conversé pendant quelques minutes en espagnol pendant que les autres gars retournaient au travail à contrecœur, regardant avec envie de temps en temps pendant que leur copain discutait avec la maîtresse sexy de la maison. Sarah a découvert que l'homme s'appelait Oscar et qu'il venait du Salvador, pas du Mexique. Elle lui a dit qu'il devait être fatigué de tout ce travail acharné, mais il a juste fait un signe de la main avec dédain et lui a dit que sa famille avait une ferme à la maison et que c'était un vrai travail, ce n'était rien. Il lui a parlé de leurs chèvres et de leurs cochons, et du labourage des champs avec un âne, et s'est vanté que le travail agricole l'avait rendu grand et fort. Il retroussa la manche de sa chemise et forma un muscle, invitant Sarah à le sentir. Elle a ri et l'a obligé, et elle a dû admettre qu'il avait un biceps assez dur. Elle remarqua qu'Oscar continuait à regarder son corps pendant qu'ils parlaient et, après avoir serré son bras musclé, il mit précipitamment sa main dans sa poche. Elle aurait pu jurer qu'il essayait de garder le contrôle de son érection pour que ça ne se voit pas et elle a décidé de le taquiner un peu. « Tu n'aimes pas mon bikini, Oscar ? lui demanda-t-elle en espagnol, lui tendant une hanche pour flirter. "Oh, oui, tu es magnifique," jaillit-il, la sueur perlant sur son front alors que sa main bruissait vigoureusement dans sa poche. « Qu'as-tu dans ta poche, Oscar ? demanda-t-elle innocemment, toujours en espagnol. « Est-ce quelque chose pour moi ? Il blêmit quand elle dit cela, et elle pensa qu'elle était allée un peu trop loin, mais elle réalisa alors qu'Oscar regardait la maison par-dessus son épaule. Sarah se retourna à temps pour voir son mari Stephen sortir en trombe par la porte arrière coulissante en verre, le visage assombri par la rage. "Pour Chrissake, Sarah, qu'est-ce que tu penses faire ?" il cria. « Je, euh, parlais justement à Oscar. Saviez-vous que sa famille possède une ferme au Salvador ? » balbutia Sarah sous le choc. Oscar baissa la tête et se mit à genoux à la hâte et commença frénétiquement à arracher les mauvaises herbes. "C'est putain de merveilleux, je suis tellement fasciné d'entendre ça", a hurlé Stephen. Il portait toujours son costume du travail et se tenait au-dessus du petit ouvrier dans son t-shirt sale et son jean. Stephen dominait le paysagiste à la fois physiquement et en termes de statut. « Ne crie pas, Stephen, tu lui fais peur », gronda Sarah. « Ne crie pas ? bredouilla-t-il d'indignation. « Regarde-toi Sarah, à moitié nue, fraternisant avec l'aide. A quoi penses-tu ? "C'est une belle journée, je voulais juste prendre un peu de soleil", a-t-elle déclaré sur la défensive. Elle a consciemment couvert son entrejambe avec son roman d'amour. Stephen regarda sa femme qui rétrécissait devant lui et sa colère se refroidit quelque peu et se durcit en une résolution d'acier. "D'accord mon cher, d'accord, mais ces petits Mexicains sont payés pour travailler, pas pour reluquer ma femme", a lancé Stephen. "Toi José, lève-toi, viens avec moi, on va aller discuter un peu avec ton patron." "Maintenant, Stephen, ne sois pas téméraire", a déclaré Sarah, regardant son mari avec peur. "Sarah, tu es douce. Tu es une femme. Mais ces travailleurs ont besoin d'une main ferme. Je ne les paie pas pour se relâcher et draguer ma belle femme", a déclaré Stephen, et il a donné à Sarah un gros bisou sur la joue. qu'elle essuya alors qu'il se détournait d'elle. « Allez, lève-toi, Don Juan », demanda Stephen en désignant Oscar avec impatience. « Qu'est-ce que ça veut dire ? demanda Oscar, regardant de Stephen à Sarah avec une expression inquiète. "Il ne parle pas anglais, Stephen," soupira Sarah. "Je quiere ir con l", expliqua-t-elle tristement à Oscar. Stephen lança un regard étrange à sa femme lorsqu'elle parla en espagnol à Oscar mais remarqua que le paysagiste s'exécutait. Oscar s'est levé et a brossé la saleté de son jean et a consciencieusement suivi Stephen dans la maison. Sarah traînait derrière, se tordant les mains anxieusement. Elle se sentait mal d'avoir causé des ennuis à Oscar avec son flirt frivole et elle espérait pouvoir intercéder en sa faveur. Stephen a traversé le salon en courant et a ouvert la porte d'entrée en criant pour le superviseur, Manuel. Manuel était un gros homme d'une cinquantaine d'années avec des cheveux grisonnants et un visage de gorille. Il a pris son temps pour entrer dans la maison. "Qu'est-ce qu'il y a, patron, qu'est-ce qu'il y a?" demanda-t-il avec impatience. "Nous avons encore trois travaux à faire aujourd'hui. J'essaie de finir ici pour que nous puissions passer à autre chose." Manuel vit Oscar debout sur le tapis et sursauta, puis il vit Sarah debout là dans son bikini et ses yeux lui sortirent presque de la tête. " ¿ Que pasó?, Oscar, ¿ que pasó?" "Nada, lo juro", insista Oscar en levant les mains sur la défensive. "Pouvons-nous parler anglais ici, s'il vous plaît?" cheveux." J'ai surpris votre homme ici en train de se détendre et de discuter avec ma femme. Je paie vos hommes pour qu'ils travaillent, pas pour flirter avec ma femme. » Manuel regarda Sarah de haut en bas avec lubricité et cela lui donna la chair de poule. Elle aurait aimé qu'elle ait un peignoir à enfiler. à moi aussi, » rit-il, agitant ses sourcils broussailleux vers Sarah et lui faisant une grimace. Sarah détourna le visage de dégoût et Oscar croisa son regard pour qu'il puisse hausser les épaules en signe d'excuse. « Quoi ? Quoi ?" bredouilla Stephen, choqué par l'insolence de l'homme. "Oscar a dit qu'il n'avait rien fait, et je le crois. Oscar est un homme bon. Il était dans l'armée, tu sais, dit Manuel. Ce n'est pas sa faute si ta coquine de femme se promène sans vêtements. Qu'est-ce qu'un homme est censé faire ? Faire un nœud à sa bite ? Ce sont des hommes là-bas, patron, pas des poules mouillées. Ils aiment voir un beau corps comme n'importe quel homme le ferait. Si vous voulez qu'ils travaillent, gardez votre femme à l'intérieur jusqu'à ce qu'ils aient fini." "Des animaux ! Vous n'êtes qu'une bande de sales bêtes ! s'exclama Stephen indigné. Je devrais trouver un autre paysagiste. pas du tout intimidé par Stephen.Sarah était mortifiée et voulait s'éloigner de cette scène tout de suite, mais elle voulait aussi s'excuser auprès d'Oscar pour tout cet épisode.Soudain, elle eut une idée. "Oh, Oscar, tu n'as pas dit que tu devais aller aux toilettes ?" dit Sarah à haute voix. " ¿ Qué ?" dit Oscar sans la comprendre. "Venez, je vais vous montrer où aller," dit-elle en le prenant par la main et en le conduisant vers les escaliers. "Que fais-tu?" a demandé Stephen quand il a vu sa femme conduire l'Oscar confus à l'étage par la main. "Je montre au pauvre Oscar où se trouve la salle de bain", a déclaré sa femme. « Qu'il utilise celui d'en bas », dit Stephen avec exaspération. "Il y a trop de cris ici", a reniflé Sarah en poussant Oscar à l'étage. Stephen était trop distrait pour se plaindre davantage alors que Manuel s'enfonçait dans ses talons. « Écoutez patron, nous avons un contrat, vous ne pouvez pas simplement nous virer pour une petite chose comme ça… » Les sons de la dispute s'estompèrent quelque peu alors qu'Oscar et Sarah montaient les escaliers et se tenaient sur le palier. Sarah regarda par-dessus la rampe et put voir les sommets des têtes de Stephen et Manuel. Elle conduisit Oscar plus loin dans le couloir. « Pourquoi m'as-tu amené ici ? demanda Oscar en espagnol, son visage un masque de confusion. "Votre mari va être suspect." "Je sais," admit Sarah. "Mais je me sentais tellement mal à propos de la façon dont mon mari agissait, que je voulais m'excuser." Elle ouvrit les bras pour recevoir un câlin. "Pas d'émotions fortes?" Oscar regarda son corps de haut en bas pendant un moment puis jeta un coup d'œil à la rampe qui surplombait le salon en dessous. Le son des voix de Stephen et Manuel était toujours perceptible alors qu'ils se disputaient. Il embrassa Sarah avec empressement et ils restèrent un instant dans une étreinte amicale. Sarah sentit un picotement dans son ventre lorsque l'odeur d'Oscar la frappa. Il sentait la terre et la sueur et ça l'excitait. Sa poigne était forte mais douce et elle pouvait sentir son érection presser contre sa cuisse alors qu'il devenait de plus en plus dur. "Oh, Oscar, je ressens ça", lui a-t-elle dit. "Tu aimes ça?" lui demanda-t-il, la regardant avec un sourire en coin, son menton appuyé sur sa poitrine. Elle se pencha et attrapa sa tige à travers son jean, le faisant crier de surprise. Mais, quand il a réalisé ce qui se passait, il a rapidement saisi les seins de Sarah et a commencé à lui pincer les mamelons à travers son haut de bikini. « Vilain garçon », le gronda-t-elle en continuant à serrer le renflement dur du jean d'Oscar. "Mon mari serait très en colère contre vous s'il vous voyait faire cela." "Oh, non, il comprendrait, j'en suis sûr", a ri Oscar. "Je pense qu'il m'aime bien." Sarah a ri de cela, puis a décompressé la braguette d'Oscar et a sorti son pénis raide. Stephen était tellement connard à propos de tout ça qu'elle ne se sentait pas vraiment coupable. De plus, c'était incroyablement pervers de branler le paysagiste pendant que son mari se disputait juste en bas. La bite d'Oscar était sombre et veinée et il grogna de plaisir alors qu'elle caressait son sexe de haut en bas. Il a cessé de caresser ses seins et a commencé à lui frotter la chatte, essayant de localiser son clitoris à travers le tissu fin de son bas de bikini. Sarah a repris son souffle et a senti son pouls s'accélérer et son entrejambe devenir humide alors qu'Oscar et elle se touchaient effrontément les organes génitaux à seulement cinquante pieds de son mari en colère. « Sarah, qu'est-ce que tu fous là-haut ? appela Stephen d'en bas et le cœur de Sarah lui sauta à la gorge. Elle mit ses doigts sur ses lèvres et relâcha à contrecœur la bite d'Oscar alors qu'elle se retournait et courait vers la rampe solide qui surplombait le salon. Sarah se pencha par-dessus la rambarde et appela son mari. « Je garde un œil sur ce type. Je ne veux pas qu'il vole quoi que ce soit », dit-elle dans un faux murmure. Juste à ce moment-là, une idée diabolique lui vint à l'esprit et elle enleva son bas de bikini et le laissa tomber sur ses talons. Stephen et Manuel pouvaient lever les yeux et la voir de la taille vers le haut, mais sa moitié inférieure était dissimulée par la rampe. "Oh allez, Oscar est un homme bon, il ne volerait rien", a insisté Manuel, clairement choqué par la suggestion même. Sarah gloussa et remua ses fesses nues vers Oscar et il comprit rapidement l'allusion. Il s'est glissé derrière Sarah et a poussé son pénis entre ses fesses rondes, poussant du coude avec la tête de son pénis, essayant de trouver l'entrée de ses lèvres. Elle haleta de surprise quand son gland trouva sa chatte glissante et il s'enfonça en elle, s'accroupissant derrière elle pour rester hors de vue des hommes en dessous. Heureusement, Stephen était distrait et n'a pas remarqué son halètement. "Hmm, je ne suis pas si sûr. Je ne fais pas confiance à ces immigrants mexicains, ils n'ont rien à perdre", a déclaré Stephen en se frottant le menton. "Mieux vaut qu'elle garde un œil sur lui." "Mon Dieu, il n'est même pas mexicain, il vient du Salvador", s'est plaint Manuel. "Aucune différence," renifla Stephen avec dédain. Pendant ce temps, Oscar pompait furieusement, glissant sa grosse bite dans et hors de Sarah tandis que ses jointures blanchissaient alors qu'elle agrippait la rampe de toutes ses forces. Elle haleta à nouveau alors qu'elle essayait de cacher son excitation. « Qu'y a-t-il, ma chère, vous semblez pâle », demanda Stephen en remarquant enfin sa femme. "Et tu trembles." Son front se plissa d'inquiétude. Sarah se mordit la jointure en luttant pour se contrôler alors qu'Oscar la pénétrait par derrière avec de plus en plus d'urgence, la faisant se balancer d'avant en arrière. Elle haleta et gémit malgré elle. "Je, je n'arrive pas à croire à quel point tu es raciste, Stephen," haleta-t-elle. Puis elle cria avec une démonstration d'émotion. "Ungh, c'est juste, oh mon Dieu, je peux à peine le supporter." Manuel et Stephen échangèrent un regard confus devant la soudaine explosion d'émotion de Sarah. Elle semblait être au bord des larmes. "Je suis, je suis désolé, chérie, je ne voulais pas que tu sois si bouleversée," balbutia Stephen contrit. "Je veux dire, je suis juste un con parfois je suppose." Oscar tendit la main et tripota le clitoris de Sarah jusqu'à ce qu'elle soit au bord de l'orgasme. Elle agrippa la rampe encore plus fort qu'elle ne l'aurait cru possible et baissa la tête, tremblant alors que l'orgasme arrivait. De là où il se tenait, il sembla à Stephen que sa femme pleurait littéralement et il lança un autre regard maladroit à Manuel. « Les femmes ! Allez comprendre », dit Manuel avec un haussement d'épaules. "Mais vous êtes raciste, cependant." "C'est ça, bébé, c'est ça", a chuchoté Oscar. "Maintenant c'est mon tour." Et le petit paysagiste d'El Salvador a pompé charge après charge de sa semence chaude à l'intérieur de la grande et magnifique épouse de Stephen tandis que le cocu pompeux regardait sa femme pâle et secouée avec inquiétude. "Oh ouais", a convenu Sarah, à Stephen et à Oscar. Elle se redressa et essuya son visage de façon dramatique. "D'accord, euh, j'ai besoin d'une minute pour moi en ce moment. Je n'arrive pas à croire ce qui vient de se passer ici. Je veux que tu réfléchisses au genre d'homme que tu veux être, Stephen", a-t-elle dit à son mari. Puis elle s'est éloignée de la rampe et s'est précipitée dans le couloir bras dessus bras dessous avec Oscar alors que le couple éclatait de rire nerveux et frénétiques. "Oh mon dieu, as-tu vraiment joui en moi?" demanda Sarah sous le choc, sentant la charge généreuse d'Oscar commencer déjà à suinter d'elle. « Juste un peu, » admit-il avec un modeste haussement d'épaules. "Oh merde, tu dois redescendre là-bas," dit Sarah. "J'ai besoin de temps pour me ressaisir." "Je vais juste leur dire que je laissais tomber une grosse charge", a-t-il dit avec un sourire diabolique. "Ne dites pas à Stephen que vous l'avez laissé tomber à l'intérieur de sa femme", gloussa Sarah, touchant affectueusement la poitrine épaisse d'Oscar alors qu'il fermait son jean.
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