
ÉviDanse
Quand j'ai appris...
J'ai d'abord cru que j'étais anesthésiée, à nouveau...
C'est quand les larmes se sont invitées à mon petit déjeuner que j'ai compris.
Tristesse et souvenirs mêlés.
Aidée par les flots continus.
Ma peur que mes émotions aient à nouveau disparu, a disparu elle aussi.
Et c'est là que j'ai compris.
Face aux flashs de moments, de sourires et de ce surnom que seul toi me donnait...
Moi qui me sentais illégitime, vous m'avez tous fait une place. Légitime.
Maintenant je me rends compte.
Moi qui pensais n'avoir plus rien à perdre...
Ou plus beaucoup.
S'il y a bien quelque chose que le BDSM m'a appris.
C'est l'ambivalence des émotions.
Dans la douleur je ressens de la joie et de l'amour.
Ton départ définitif m'offre un ultime cadeau.
Une forme de renaissance.
Merci et repose en paix.
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Kathréptis
Vos mots révèlent avec justesse la complexité des émotions humaines.
Cette lucidité face à la perte, mêlée de sens et de transformation, force le respect.
Merci pour ce partage sincère
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Il y a 6 heure(s)

Lucifer-flame
Le chemin de la vie, qui sait avec envie nous dévoilé avec l'expérience que nous pouvons toujours ressentir, nous battre, partager.
Merci pour votre plume.
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Il y a 4 heure(s)

Diab
Merci pour vos mots et pour l'apprentissage qui en découle... Avec la renaissance on acquiert une force insoupçonnée qui permet à l'esprit une reconstruction solide... Bonne maçonnerie... et belle journée ÉviDanse...

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Il y a 56 minutes

Varsovie
Les premiers mots que j'ai envie de vous dire sont toutes mes condoléances !
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Il y a 5 minutes
Ô Toi
Ô Toi que j'ai tant aimé, mes mains ont embrasé ton absence.
Ô toi, à la surface de cet abyssal souffrance, je meurs en silence.
J'ai caressé ton doux visage.
J'ai - délicatement, déposé ton corps dans ce sépulcre de terre.
Ô Toi que je ne verrais jamais grandir, sourire et s'élever.
Ô Toi, si je pouvais te dire combien ton voyage m'a pétrifié.
Ô Toi, dont la pierre a recouvert mon amour endeuillé, je t'aime et je t'aimerais.
Ô Toi mon Hirondelle, tu ne sauras quel Père j'aurais été pour te protéger.
Ô mon Enfant, plus jamais, je ne reverrais ton doux visage,
A jamais mon âme est désertée,
A jamais mon âme est désertée...
-- Varsovie --
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A tord, j'ai pensé que vous l'aviez créée pour l'occasion. Je vous en prie, c'est la vie. Ce poème n'était pas une projection, mais l'expression d'une réalité. Le temps finit toujours par atténuer les maux bien qu'ils en existent des plus immondes. Il suffit de regarder vers les horizons de l'Asie et de l'Afrique pour moins souffrir...
"Should I stay or should I go" ?
Comme dit dans une chanson,
le Clash perso est à l'horizon
je n'arrive pas à trouver les mots
"Je vais et je viens, entre deux chemins"
pour copier un certain Serge
me revoilà sur la berge
avec des errances sans fin
Ici c'est un peu ma grotte
là où j'observe tout le monde
bruits de chaînes et traces de bottes
je doute que cela me corresponde
Trop de questions, pas assez d'horizon
encore une fois, je tourne en rond
j'hésite (encore) à m'en retourner
décidément ce sentiment, c'est pas le pied.
#doutes
#réflexions
#jesuismauxdits
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C'est dans le doute que ce trouve l'horizon, dans la question qu'est la clé de la réponse.
Entre deux chemin,, il y a forcément celui que vous créez, et qui vous correspond
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21/07/25
Il existe des moments où le monde tout entier semble se dissoudre, où les bruits du quotidien s'évanouissent pour ne laisser place qu’à une sensation suspendue.
Une bulle.
Un espace où le temps se fait fluide, imperceptible. Où, pour un instant, rien n’existe en dehors de cette connexion, pure et exclusive, entre deux âmes.
Dans cette recherche, il y a une certitude fragile : celle que l’on peut créer un lieu où tout disparaît, un lieu où tout ce qui compte c’est cette relation unique, cette danse silencieuse entre ce que l’on donne et ce que l’on accepte. Un espace où le "je" et le "tu" ne sont plus que des échos, où l’on devient simplement l’un pour l’autre, sans conditions, sans limites.
J’ai cru l’avoir trouvé.
La vérité, la liberté, ce Lien exceptionnel, là où rien d’autre ne compte que l’intensité de ce qui se tisse à chaque instant. Mais, parfois, le rêve s'effrite, la bulle se dissipe, et l’on se retrouve face à cette absence, ce manque, celui qui ne se comble pas facilement.
Ce manque n'est pas une perte.
C’est une quête.
Une recherche infinie d’une rencontre qui, peut-être, n'a pas encore eu lieu. Mais l’espoir persiste, comme une lumière douce qui jamais ne vacille. Parce qu’au fond, on sait que ce Lien, cette bulle intemporelle, n’existe qu’à la condition qu’il se fasse avec une personne qui, dans le secret de son regard, acceptera de devenir l’autre moitié de ce tout.
Et ainsi, la recherche continue.
Pas par manque, mais par l’appel d’un potentiel encore inexploré. Parce que ce Lien existe quelque part, au-delà de tout ce qui pourrait sembler tangible, et il attend d’être découvert, dans sa pureté, son exclusivité, et sa vérité.
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Vous avez raison mais cela s’est peu à peu transformé en nostalgie qui est vouée à l’oubli.
Merci, vous êtes adorable, je vous souhaite également cela à mon tour 🙂.
Votre retour me touche profondément. C’est un privilège de savoir que mes mots trouvent une résonance plaisante en vous.
Effectivement, le chemin peut s’avérer rude, mais c’est dans ces moments que l’on mesure la valeur de la lumière qu’on cherche. Que votre chemin, lui aussi, soit pavé de belles découvertes et de paix intérieure.
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09/07/25
Ses idées s’empilent et s’écharpent,
Dans sa tête, un bruit qui ne se tait.
Chaque fil l’entaille et la happe,
Dans un vide qu’elle croit combler.
Tout s’enlace, s’entrechoque, s’agite,
Les fils s’emmêlent, le tumulte la broie.
Ses nerfs se tendent et s’irritent,
Ses cris se perdent dans le dédale de sa voie.
Prise dans les fils, elle panique.
Dans sa tête mille voix s’amassent,
Chaque pensée écrase la précédente.
Dans son esprit les chaînes s’entrelacent,
Une angoisse sourde et persistante.
L’air manque dans ce labyrinthe.
Ses pas s’égarent et se perdent.
La lumière s’éteint, la peur se teinte,
Sa raison vacille, son souffle s’étrangle
Prise dans les fils, elle suffoque.
Alors elle laisse flotter ses idées,
Ne cherchant plus à les retenir.
Elle suit le fil, se laisse guider,
Sans lutter contre le délire.
Le chaos devient une clarté lucide.
Elle sourit à la toile avide.
Son corps cherche un chemin léger.
Les liens se tendent sans jamais céder.
Prise dans les fils, elle danse.
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Le fil décide et guide, le fil serré et protège, enlace et apaise.
Fil qui lie le réel au songe, la pensée à l'acte.
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Hier, 09:02:10
exquise domination et divins supplices ... je recrute un nouveau soumis prêt à ramper pour me mériter et à s'abandonner au coeur d'une sulfureuse relation .:.
Sensuelle noblesse, qui dans l'art de la suggestion devient Maître, loin des phares de ceux qui volent les likes par amitié, voilà la courbe douce de la sincérité.
Sans fard ni audace, braquant les sourires avec grâce, enflammant sous ses talons la rudesse mesquine, et d'un coup de poitrine bien placé se permettant même de faire taire bien des exhibitions forcée.
Il faut du courage pour être soi-même, pour affronter les remarques comme le ghosting, mais sans prétention, il faut être forte pour juste avancer, sur un chemin qu'on décide de se créer.
#texteperso
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Je m'égare dans ses pensées destructrice qui me consume doucement
Je vois Cette lumière obstrué par tant de doute et d'écorchures , je m'enfonce lentement
recroqueviller dans cette nouvelle phase de ma vie dans la solitude qui me pèse et me fait peur
Horrifié par ce sentiment d'anéantissement , je me noie peut à peut dans cette torpeur
Je ne sais plus si mon coeur peut toujours aimer, aimer d'un Amour comme les premiers jours
Je ne sais plus si j ai la carrure pour aimer, aimer d'un amour ou les roses fleurissent pour toujours
Ce sentir partir , ce sentir épuisé de Cette vie trop souvent tortueuses et cruel à la fois
Rien arrive par hasard, fatum !!!!, ce Mot si puissant, lugubre dans l'étymologie, tout est écrits
Non je ne vais pas bien, ce serait mentir que de dire le contraire, la pilule est dure à avaler ma fois
Non je ne vais pas bien, à avoir des pensées.., la vie peut être belle , pas pour tous a vrai dire
Savoir qui on est est compliqué sans savoir d'où on vient, l'abandon fait des dégâts étouffant
je crois en des choses qui n'arriveront pas , croire fait vivre, faut il vivre pour croire tout simplement
Je me marie doucement à cette solitude, par sa fidélité je devrais m'en réjouir
Devrais je abandonner cette quête, qui me torture la tête, ou bien la jeter aux oubliettes
Et ce faire une raison que ma passion impossible à atteindre, devient pour moi une contrainte
Devrais je dire adieu a tout ce Monde, et m'en aller dans les verte prairie de la solitude
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Absence momentanée
1 mois
Et 5 jours
Comme une année
Un flux continu de mots
Un torrent de sensations
Un paquet de doutes
Un sommeil qui s'envole
Des moments de rire
Des temps magiques
Des pas dans le réel
Des images de nous
Des larmes même
Mais surtout le lien qui s'est créé
1 mois comme une année, voire plus
Et aujourd'hui...
Rien
Le vide
Le silence
L'attente
Les mots qui résonnent dans l'absence
Votre absence
Rien de grave
Tout ça était prévu
Tout ça était connu
Tout ça était convenu
Ça fait partie du jeu
Ce sont les règles
Qu'on a pris soin de pouvoir contourner
Un peu...
Et oui, bientôt, le silence va se taire
Les minutes passent
Lentement
Les heures passent
Lentement
Les jours passeront
Lentement
Et chaque minute, chaque heure, chaque jour nous rapprochent...
De la fin du silence
En attendant ?
La vie...
Et vous
Dans ma tête
Dans mon cœur
Dans mon corps
Partout en réalité
Et derrière
La petite peur discrète,
Que le silence demeure...
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L’absence cette chose difficile a gérer... la frustration qu’elle procure... tourner en rond comme un lion en cage et pourtant parfois elle nous fait nous rendre compte de certaines choses, cette petite peur discrète n’est peut être rien quand on la compare au manque de cette absence ☺️
Très beau texte 🌺
L'attente c est comme le manque, elle nous fait gamberger, peux faire Mal également surtout quand il y a plus que du désir, il faut ce dire que les choses vont arriver, parfois l'attente est une chose également fascinante car les retrouvailles en son que plus belle et plus intenses, une personne me disait les bonne chose ont une fin c est pour cela qu'elles sont belle. Beau texte et plein de courage
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12/07/25
Quel plaisir de lire votre plume.. serait-ce ma première fois ?.. Je viens de perdre ma virginité je crois. Merci pour ce partage. Je vous souhaite de traverser cette absence malgré les tempêtes, à moins qu'elle ne soit déjà finie ?... et d'accueillir ce manque avec sérénité en dépit des ouragans qu'il peut provoquer. Parfois, l'absence permet de prendre conscience de certaines choses, de leur valeur, de leur intensité, de leur importance ; ou de leur futilité. Parfois, elle rapproche, dans l'euphorie des retrouvailles. Je crois que l'absence fait partie de ces (putains de) choses pour lesquelles les anciens nous disaient : "c'est un mal pour un bien".
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14/07/25
Bonsoir, Chère Poétesses et Poètes,
Aux plaisirs de lire vos mots, vos maux et vos pensées à l'encre
de vos âmes...
Au clair !
Je me mue en une créature hideuse,
Voluptueuse, vicieuse et cruelle,
Mon corps massif se réveille frêle.
Après une nuitée lubrique et charnelle,
Juteuse et dégoulinant son antre à merveille
Bourdonne et suinte de tout son miel.
Orgasmique osmose à en brûler nos ailes,
Mon dard mort se réveille près d'elle,
Je t'aime - féroce soumise, docile hirondelle.
Pose tes lèvres charnues sur mon hôtel,
L'insoumise dévouée a brisé son ombrelle,
Laisse surgir d'elle, l'indécente femelle.
Elle grogne, se cambre et se rebelle !
Elle jouit, hurle dans une ode irrationnelle.
Enfin, elle s'endort, mon ram-dao s’émerveille.
Au clair, je le rengaine et se fait airelle.
Ô ma douce soumise, tu es sans pareille.
Ô ma douce chapelle, tu es sans pareille.
-- Varsovie --
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Troublante errance qui se justifie dans l'indolence, et pourtant, sûrement, sans confiance l'illusion devient offense.
Alors que les mots pleuvent sur les sentiments, comme l'on subit la fougue des éléments, le temps fait son office, cherchant la voix des vies qui ne sauront exprimer la peine, la haine des instants. Loin s'en faut, foutu songe, de faire face à la dérive des moments et pourtant, voilà l'audace qui s'offre sans pressions.
Confiance et ego, sombre lumière qui se veut trop sincère, la troublante errance de cette connivence qui au final brisera le silence, quelques mots d'une voix cristalline, la force de dire non.
#penséeperso #incomplet
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Encore une fois, une dernière rencontre, un dernier échange et un dernier tour, la vie est empli de coïncidences étranges, comme cette première rencontre...
Les souvenirs affluent, alors que tout va se terminer, la pluie, la nuit, le hall à peine éclairé, et toi, cette robe devenue moulante par l'effet de cette pluie mutine, ton regard, la flamme et pourtant, tu m'as fait prendre conscience que la flamme peut s'éteindre à force de trop l'attiser.
La pluie, c'est comme les larmes, on s'en soucis tant qu'elles sont là, puis on oublie, on efface, et on avance... Non, c'est trop simple, et la rencontre était inévitable, discutons, abusons et offrons à cette relation un feu d'artifice aussi violent que bruyant, on se le doit, on y croyait bordel, on s'y sentait bien, alors pourquoi tu pars ? Pourquoi tu fuis si loin de ce lien ?
C'est ça l'envie ? On se baise et on se fuit ? Tu voulais, je désirais, on s'était dit que ça allait, et puis la distance, le temps et les envies, la folie qui devient routine. On se retrouve, on parle, on s'embrasse et on reprend ? Non, on baise, sans sentiments, juste la violence d'un mot et d'un acte, on s'enrage de se maudire autant, on se sait toxique et infâme, on se sait destructeur et venimeux, mais on s'éprend, s'apprend, se dépasse, souffrant dans ce qui aurait dû être du plaisir.
Alors ouais, on se regarde, nue devant le miroir, on s'éteint un peu, encore un peu, on souffle sur des braises déjà morte depuis l'hiver, et nous voilà, dans ce lit, comme la première fois, mais cette fois, tu ne dormiras pas dans mes bras. On se dit au revoir, une nouvelle fois, jusqu'à la prochaine fois ? Pas cette fois, cette fois, c'est la fin, et comme une bougie consommée, dans la fumée, on disparaît.
#texteperso
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Une relation cest avant tout un voyage à deux, un moment hors du temps pendant lequel je suis connectée à mon soumis en quête d'abandon .:.
Petit texte pas forcément très personnel mais je m’y retrouve…
Je parle, je m’ouvre, je donne.
On accroche, on se comprend, on rit et puis, sans prévenir, tu disparais.
Pour une broutille. Un mot, un silence mal placé, un rien. Et moi je reste là, à refaire le film, à chercher l’erreur.
Mais tu sais quoi ? J’en ai marre.
Marre de ces connexions express qui s’évaporent dès qu’il faut un peu de réel.
Marre de ces gens qui veulent du vrai, mais fuient à la première fissure.
Je ne suis pas là pour jouer.
Si tu veux juste combler un vide, passer le temps, t’échapper de ton ennui, passe ton chemin.
Moi, je veux du vrai. Même si ça secoue. Même si c’est imparfait. Mais pour ça, faut rester.
Faut parler. Faut oser.
Alors dis-moi : tu veux vraiment ça ?
Ou tu vas, toi aussi, t’évaporer ?
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Un texte qui parle à beaucoup je pense, à ceux qui cherche des réponses dans le silence
Je vois danser les lumières des phares
Imprégnant ta silhouette sur ma rétine
Image assassine
Je me gare
Tu t’approches perchée sur tes talons
L’asphalte fond sous tes pas
La nuit, ce soir, ne sera pas sage
Je sens la chaleur de ton corps
Ton désir transperçant ma peau
Je crois devenir fou
Tes mains sur le capot,
Ton regard m’accapare
Tu es le soleil qui me brûle
Respire à fond
Cette chaleur qui me démange
Face à tant de beauté
De toutes les louanges , tu es l’Ange
« Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérangent »
dédicace #MarcLavoine
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Sous la plume du Maître, elles s'envolent, nos pensées perverses, sous les mains du Maître, elles naissent, nos pensées vicieuses.
Nos mots ne sont que l'étoffe dont sont fait tes fantasmes, et sous le couvert des pratiques, je brode avec attention chacune de tes limites, dérives et excès. Loin de l'habitude, je fais naître avec ta connivence, le cadre de tes rituels, te cherchant avec passion, sous les coups des attentions, dans les espaces les plus sensuelle, dans les descentes les plus périlleuses.
Nos gestes sont les liens, nos ambitions sont ton chemin et dans les pas trop profonds, tu crées ta route, tu fais avec innocence feue de tes envies, lançant sous les ombres, la lumière de ton corps chauffée à blanc. D'ailleurs, n'est-ce pas étrange que ton corps rougissent plus vite que tes joues, quand je m'élance sur les terres de tes fantasmes, rendant plus réel les songes de la nuit, et t'éveille en pleins jours des merveilles de ton esprit ?
Alors, sous la plume gardienne, les mots se font légion, d'un réel qui se veut tentation, dictateur peut être, directeur sûrement.
#libresonge
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D'une douce chaleur embrasée
la voici qui chatoie, émoustillée,
perverse, elle veut se plonger
dans cette gourmandise sucrée
S'abandonner à nu, dans les abysses
là où le plaisir se glisse
tel un serpent mutin
réclamant sa part de festin
Brûler de jouissance qui terrasse
voilà son souhait le plus tenace
les affres de l'abandon
sont pour elle une bénédiction.
#quelquesmots
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Dans l'illusion des mots, j'apprends ta confiance, m'abandonne dans l'audace de tes envies profonde, je guette tes limites, sanctuaire de tes vices, je deviens avec délice le gardien de tes vices.
Une mélodie et je te rejoins, laisse moi faire disparaître tes maux, prends le pouvoir sur ton destin, laisse donc vivre le futur de tes mots.
Mon âme disparaît, sans pitié sous les assauts de tes mots, je fabrique le sanctuaire de nos pulsions idéales, dans l'endroit de nos fantasmes, tu n'as rien à me cacher, tes pensées les plus humides t'invitent à me rejoindre dans cette danse enivrée.
Parle moi, que ma voie t'emmène dans ce chemin des marques de nos douleurs, confiance et intuition crie donc mon nom, dans l'ego de nos désirs les plus pervers. La lumière peut être si forte que les ombres s'en enivre à toute heure, laisse donc de côté les fausses prophéties et promesses de négligence.
Laisse toi donc tenter par ma voix, qui saura guider la voie, sans mensonges et sans masques, je te demande juste d'être toi-même.
#texteperso
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Le bonheur c’est quoi? Je dirais tout simplement la paix intérieure, se savoir en sécurité, comprise et épanouie. #tout court# et puis : respirer profondément restera toujours mon maître - mot !
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Je pense que chacun a sa définition du bonheur, pour certains le bonheur est de réaliser les envies qu'ils s'est fixé, pour d'autres le bonheur peut être atteint pars des choses simples de la Vie, chacun est libre d'atteindre le bonheur qu'il désire et content que vous l'ayez atteint
Maintenant que vous me le faites remarquer, tant de choses si serrées me traversent l'esprit.... C'est malin, je ne vous félicite pas.... :-)
Mon voyeurisme
Identifié sur le tard.
Donc assumé tardivement.
Une forme de compersion.
Celle de prendre plaisir à voir les autres prendre plaisir.
Savourer les plaisirs de la chair surtout.
Mais pas que.
S'aimer.
Entre autre.
Vivre.
Les émotions se mêlent alors.
Sans enlever cette compersion.
Une graine triste germe parfois.
À vouloir participer plutôt que de regarder.
Une envie de fermer doucement la fenêtre et de tourner le dos à la fête un instant.
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N'est ce pas là, l'excitation pire du voyeur? Je veux dire, le plaisir de regarder avec l'envie de rejoindre, de participer à cette fête, d'en être un acteur plus immédiat.
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12/07/25
Brûlure incisive.
Ta main sur ma joue.
Ça résonne.
C’était fou.
Marque indélébile.
Tes crimes sur ma peau.
Ça dévore.
C’était Tout.
Morsure muette.
Tes mots dans ma tête.
Ça obsède.
C’était Toi.
Feu glacé.
Ton règne sur mon âme.
Ça consume.
C’était beau.
Ombre funeste.
Ton silence après tout.
Ça détruit.
C’était Nous.
8 personnes aiment ça.
La marque du temps et des liens, ma marque des mots et des silences, la marque des folies douces et des sages caresses, la marque du passé qui compose l'absence du présent, la marque d'un futur a construire.
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12/07/25
Parfois, ce n’est pas un regard qu’on croise.
C’est une vibration.
Un impact silencieux.
Quelque chose d’indicible qui traverse la peau, le mental, les certitudes, et vient frapper plus loin.
Au cœur. Ou plus bas. Ou plus haut. On ne sait pas exactement.
Mais on sait que plus rien ne sera pareil.
Ce n’est pas de l’amour.
Ce n’est pas du désir.
C’est ce qui précède tout ça.
Ce qui existe avant les mots, avant les définitions.
Un écho brut, pur, qui fait trembler l’âme et apaise en même temps.
Une sensation si précise qu’on ne peut plus la confondre avec le reste du monde.
Il n’y a pas de scénario.
Pas de rôle.
Pas de "toi" ou de "moi".
Juste deux présences qui s’éprouvent dans une vérité nue, libre, radicale.
C’est la fin du mensonge.
La fin des jeux.
Le début d’un abandon lucide, où chaque geste, chaque souffle devient une offrande.
C’est là que se révèle le divin.
Pas dans les cieux.
Mais dans cette intensité rare entre deux êtres qui ne s’attendaient pas…
Et qui pourtant, s’éveillent l’un à l’autre comme une Évidence déjà écrite ailleurs.
J’ai frôlé cela.
Un fragment seulement.
Mais suffisant pour sentir que le monde entier peut disparaître…
S’il me faut choisir entre tout et ce Lien, je choisis ce Lien.
Car dans ce tout, rien ne m'appelle autant.
Depuis, je vis autrement.
Pas dans l’attente, mais dans l’accueil.
Pas pour combler un vide, mais pour honorer ce plein, cette lumière brute, cette transcendance vivante qui ne se partage qu’avec une seule personne.
Et si un jour…
…nos présences à nouveau se reconnaissent,
ce ne sera pas une histoire.
Ce sera un sanctuaire.
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