A propos du groupe
Cage_de_chasteté
Créateur

Bonjour, Je crée ce groupe pour parler de ce qui m'attire dans le BDSM : le dressage du soumis (ou de la soumise), avec patience, fermeté et sur le long terme, afin de changer progressivement son comportement d'une manière quasi permanente et se rapprocher du but poursuivi par le Dominant ou la Dominante. Il s'agit d'un dressage qui possèdent des similitudes à celui utilisé pour dresser un "animal", même si cela est plus complexe, évidemment, au vue de la personnalité du soumis et de sa psychologie. Tout cela est consensuel dés le départ puisque le soumis a donné son accord oral ou écrit. A charge pour le Dominant ou la Dominante de bien gérer les étapes afin de ne pas effrayer le soumis en lui demandant trop et trop vite. Il existe des méthodes pour arriver au résultat recherché telles que le positive réinforcement et le négative réinforcement. Le positive réinforcement est l'ensemble des méthodes qui permettent de conditionner le mental afin de favoriser l'attitude et le comportement que l'on souhaite voir apparaitre chez le soumis. Et inversement, le négative reinforcement permet d'agir sur les comportements que l'on souhaite voir disparaitre chez le soumis. Il s'agit de méthodes de récompenses et punitions pour influencer et ancrer des comportements : il est facile de récompenser un soumis ... et encore plus facile de le punir. Il y a bien des façons de pratiquer le BDSM et si je suis attiré par cela, il doit certainement exister des Femmes Dominantes ressentant cette envie de dresser et faire évoluer un soumis sur le long terme. Et de se voir récompenser en observant les changements et les progrès du soumis au fur et à mesure qu'il progresse sur le chemin choisi par sa Maitresse. Je suis fasciné par les hommes et femmes soumis qui acceptent d'être marqués par un tatouage ou un branding, car je partage l'idée que la soumission doit se percevoir dans le mental et le physique du soumis. Un homme tatoué sur le pubis avec "XXX"'s Bitch ou "XXX"'s slave a renoncé à l'idée d'avoir une relation classique. Cette idée de renoncement, de cesser de lutter contre ses envies, de s'abandonner et de dépasser le point de non-retour est attirante, séduisante et tentante. Ce moment où le BDSM n'est plus un jeu mais un choix assumé et désiré de vie.

Mur de commentaires

Maîtresse Pamela
Trois jours ont passés, les jeux de domination avaient cessés, je me remettais un peu de ma dernière séance, riche en émotion, vécu avec Dame Sara. Karine avait l’air pour sa part radieuse, plus belle que jamais, satisfaite, elle me rendait heureux. Ce que je ne savais pas par contre, c’est qu’elle mijotait quelque chose, par l’entremise de Sara elle avait prit contact avec un autre soumis, parce que je ne lui suffisais plus ? Non pas du tout, comme elle avait bien appréciée faire l’amour avec Sara, elle se dit que l’expérience serait sûrement aussi bonne pour moi qu’elle l’avait été pour elle. Nous étions donc Samedi matin, j’allais sortir faire un peu de jardinage quand Karine m’interpella… – Éric, nous recevons à souper ce soir. – Et qui sont nos invités ? – En fait c’est un invité, il arrivera vers les 17 heures. – Un ? – Oui, un soumis qui m’a chaudement été recommandé par Dame Sara. – Un soumis Maîtresse, mais je ne comprends pas ? – Oui un soumis, un problème avec cette invitation Éric ? – Eeee non Maîtresse, je serai content de faire sa connaissance. – Très bien, tu sais que je t’adore mon amour. Et elle retourna vaquer à ses occupations, elle avait invité un autre soumis à notre table, je n’étais pas vraiment chaud à l’idée de voir la femme que j’aimais faire l’amour avec un autre homme, mais j’avais confiance en elle et je me dit qu’elle avait sûrement fait cela pour rencontrer d’autres personnes qui partageaient nos nouvelles pratiques. Mais toute la journée cette idée me hanta l’esprit, de quoi aurais-je l’air à côté de ce soumis sûrement très expérimenté, jamais auparavant je n’avais ressenti de la jalousie où de la compétition avec Karine, mais cette future rencontre ne me disait rien de bon. Le soir arriva, j’étais nerveux, Karine avait tenu à ce que je ne porte qu’un bas culotte de couleur beige, on pouvait voir ma queue au travers du collant, l’invité allait sûrement trouver ça bien drôle de me voir ainsi vêtu. On sonna à la porte… – Va ouvrir Éric, c’est sûrement lui. (et si ce ne l’était pas j’aurai l’air de quoi) – Oui Maîtresse ! Quand j’ouvris la porte, une homme d’a peut près le même age que moi apparu… – Bonsoir, je suis Éric – Bonsoir Éric, je suis Julien – Excuse ma tenue, ça doit te faire bien rire de me voir comme ça. – Non pas du tout Éric, tu sais je te trouve plutôt beau, moi – Puis-je entrer ? – Oh ! mais bien sur voyons, entre, j’en oublie ma politesse. Julien avait un sourire si franc, si dénué de toutes moqueries, pas du tout ce à quoi je m’attendais. Je guidai Julien jusqu’à la salle à manger, Karine n’y était pas encore, elle devait voir à ce faire belle. J’invitai Julien à s’asseoir et je pris place en face de lui, il était bel homme, des cheveux brun, des yeux de la même couleur, légèrement plus petit que moi mais de la même carrure. – Tu sembles nerveux Éric ? – Oui je le suis, c’est tout nouveau pour moi. – Je te comprend bien, tu sais j’ai moi aussi commencé un jour, mais voit cela comme un bon souper entre amies, tout ce passera bien. – Il y longtemps que tu pratiques ce genre de choses Julien ? – Je dirais environs 5 ans. – Tu pratiques avec ta copine toi aussi ? – Eeee non Éric, je suis seul, par contre j’ai une Maîtresse que j’adore, nous sommes bons amis. Je me sentais plus à l’aise devant Julien, il était gentil, mais surtout il partageais ma passion pour les jeux de domination, cela nous rapprochait je pense. – Bonsoir Messieurs, vous avez l’air de bien vous entendre, puis-je me joindre à vous ? Décidément Karine n’avait pas fini de me surprendre, elle portait de longues bottes à talons noires qui montaient jusqu’au milieu de ses cuisses, une jupe très courte noire et un top, aussi de couleur noire, une particularité que j’adorais était que le tout était fait de vinyle, c’était brillant, très chic. – Alors ça vous plaît ? – Oui beaucoup Maîtresse, vous être superbe. – Madame une tenue digne de votre rang. – Merci Julien, mais quelques chose ne marche pas ici, Éric, tu vas rejoindre Julien de l’autre coté de la table et place ta chaise prêt de la sienne. – Bien Maîtresse – Toi Julien, enlève tes vêtements comme il en a été convenu. – Pendant ce temps tu vas nous servir le repas Éric. Je parti à la cuisine en laissant Julien obéir aux ordres de ma Maîtresse. En revenant avec les plats je remarquai toute suite que Julien ne portait plus de vêtements, il était debout et portait exactement la même chose que moi, un simple collant beige. Je ne pouvais m’empêcher de le regarder et surtout qu’on voyait très bien au travers du nylon, tout comme moi. Quand Julien vu que je le regardais, il s’assit, comme s’il tenait à ce que je remarque qu’il était vêtu de la même manière que moi. Après avoir déposé les plats, je pris place aux côtés de Julien et tout le monde commença à manger. Nous avons discuté de divers sujets pendant le repas, j’en avais presque oublier ce que je portais, mais Karine eu vite fait de me rappeler ce que j’étais… – Allez, maintenant levez-vous que je puisse vous regarder tout les deux. – Hummm… magnifique, on dirait deux danseurs de ballet. – Allons au salon question de nous détendre un peu. Comme l’avait demandée Karine nous nous sommes rendu dans le salon et Karine prit place dans le fauteuil, moi et Julien attendions debout devant elle. – Tournez-vous l’un en face de l’autre. – Ensuite Julien, mets-toi à genou devant Éric – Je veux que tu le caresses, passe tes mains sur ses cuisses et ses fesses. – Éric, regarde moi ! Je pense que mes jambes tremblaient à ce moment, Julien me caressait comme Karine le lui avait demandée, des milliers de frissons parcourraient l’ensemble de mon corps, ses mains étaient douces, bien que j’aimais la sensation, le fait de me faire caresser ainsi par un autre homme me donnait un sentiment de honte, je pense que c’est parce que j’aimais ce qu’il me faisait que je sentais ainsi, nous sommes tous rempli de vilains préjugés qui ne font qu’alimenter ces pensées honteuses. – Alors Éric, tu aimes ? – Je ne sais pas Maîtresse. – Allons, avoue que tu aimes ça, si tu n’aimes pas, je lui demande toute suite d’arrêter. – Maîtresse, j’ai honte qu’il me fasse ça devant vous. – Je sais Éric, mais je veux savoir si tu aimes. – Je pense que oui Maîtresse. – Ah tu penses, regarde ta queue et redis moi ça à nouveau. Non, je ne pouvais pas le croire, elle était droite comme un militaire au garde-à-vous, j’étais dure comme la pierre, Karine souriait et ma honte n’en était que plus forte. – Alors Éric, tu penses toujours que tu aimes ? – J’ai…me Maîtresse. – Oh je sais que tu aimes, ta queue me le confirme, elle ne me ment pas « elle ». – Maintenant Julien, déscend le bas sous son sexe et suce le ! Julien fit exactement ce que Karine lui demandait, il baissa le bas et pris ma queue dans sa bouche, c’était chaud, c’était bon, il était très doux dans ces gestes et aussi dans sa fellation, il avait l’air de la déguster, comme si pour lui la seule chose qui contait était ma queue. Karine se leva alors debout et s’approcha de nous… – Alors mon amour, c’est bon ce qu’il te fait ? – Oui Maîtresse, mais… Je n’eu pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres vint rejoindre les miennes dans un long et passionnant baiser. Je savais maintenant que Karine m’aimait profondément et ma confiance en elle n’en était que plus forte. Karine se retourna à son fauteuil, enleva sa jupe et s’assit. Elle continuait de regarder le spectacle dont elle était le metteur en scène et écarta largement les jambes pour se masturber tranquillement. Ce qu’elle pouvait avoir l’air bien ma belle déesse ainsi, en parfait contrôle, prenant plaisir à regarder cette image homosexuelle que je commençais vraiment à apprécier… Plus la gêne et la honte disparaissait, plus je trouvais Julien beau et excitant et l’envie de lui prodiguer moi aussi cette caresse devenait de plus en plus forte. – Assez maintenant Julien, relève toi et embrasse Éric, je veux qu’il goûte la saveur de sa queue, fait lui apprécier les délices de tes lèvres. Julien se releva et posa sa bouche contre la mienne, un sentiment inconnu et excitant m’envahi, embrasser un homme était tellement différent d’une femme ou peut-être que ce ne l’était pas, reste que j’aimais, il força rapidement l’entrée de ma bouche avec sa langue pour venir enlacer la mienne. Le baiser se prolongeait, je pouvais entendre Karine gémir de plaisir, sa respiration était rapide, de l’entendre comme ça augmentait par le fait même mon propre plaisir. Moi et Julien étions collé l’un sur l’autre, ma queue touchait la sienne au travers du collant, une sensation forte agréable. Julien passait ses mains sur mes fesses, sur mon dos, dans mon cou et dans mes cheveux, je ne tardai pas à lui rendre ses caresses. Sa queue était aussi dure que la mienne, j’avais de plus en plus envie de la goûter, de la sentir dans ma bouche, de sentir son plaisir monter en elle, Karine exauça mon souhait… – Éric, c’est à toi maintenant, à genou et suce-le ! – À vos ordres Maîtresse. Elle n’eu pas besoin de me prier pour que je m’exécute, je me mis à genoux et baissai le collant sous sa verge. Je pris un instant pour la regarder, dure et gorgée de sang, prête à recevoir la chaleur et la douceur de ma bouche. Je posai mes lèvres dessus et fit entrer complètement le gland, un goût légèrement salé, mais qui ne dura pas. J’aimais le sucer et ça ne sembla pas non plus déplaire à Julien qui posa ses mains sur ma tête, comme pour encourager ma fellation. – Oh, mais on dirait qu’il aime ça en plus ! – Dit Julien, Éric est une bonne suceuse au moins ? – Oui Madame il fait très bien. – Je ne doutais pas de lui, il était déjà très bon avec sa langue entre mes jambes. – Mais je vais jouir s’il continue comme ça Dame Karine – Parfait ne te gêne surtout pas, jouis et profites en ! – Merci Madame. L’invitation que Karine venait de lancer à Julien me glaça légèrement les sens, je ne savais pas trop si j’étais prêt à recevoir sa semence dans ma bouche, mais je n’eus pas le temps de m’y préparer que je sentis les jets chaud venir frapper mon palais en abondance, salé, un peu acre, particulier, un peu de dégoût mais j’avalai tout de même complètement ce que Julien me donnais en soupirant de plaisir. Quand ce fut terminé je lâchai la queue devenue plus molle et je regardai en direction de ma Maîtresse, la tête basse… – Vient ici maintenant Éric. – Oui Maîtresse Je m’avançai jusqu’au fauteuil ou se trouvait Karine et elle me tendit ses doigts ruisselant de mouille… – Lèche ! Je pris ses doigts et les lécha un à un, c’était divin, le goût d’une femme, le goût de ma femme, un délice comme il n’en avait qu’un, ma queue connaissait bien ce jus et elle se redressa sur le champ. Quand j’eu fini de nettoyer les doigts de Karine, elle se saisit de ma verge et commença un rapide va et vient en me fixant dans les yeux. Le plaisir monta rapidement, c’est alors que Karine lâcha ma queue pour venir la frotter avec une de ses bottes… De sentir comme ça le vinyle la caresser tout en sachant que ces bottes étaient celle de ma Maîtresse fut suffisant pour faire jaillir de longs jets de foutre sur les bottes noires. Je dois dire que le résultat était assez beau à voir… – Qu’est ce que tu attends Éric, je ne vais pas rester comme ça, lèche tout ! Je me mis à genou pour lécher complètement mon propre sperme sur les bottes de Karine, une sensation de soumission total m’envahi alors, l’esclave nettoyant les bottes de sa Dominatrice, difficile de vous expliquer la sensation de d’apaisement et de bien être que cela procure, mais ça venait conclure ma première relation homosexuelle. Nous primes un dernier verre en compagnie de Julien, un garçon vraiment sympathique, que secrètement j’espérais revoir, mais pour ça je faisais confiance à Karine elle avait sûrement aimée le spectacle au point de vouloir le revoir.
6 personnes aiment ça.
Marc Nancy
Un récit très excitant
J'aime 29/08/25
soumise95pour femme
Merci pour ce délicieux récit qui je doit dire ne me laisse pas in
J'aime 30/08/25