A propos du groupe
Cage_de_chasteté
Créateur

Bonjour, Je crée ce groupe pour parler de ce qui m'attire dans le BDSM : le dressage du soumis (ou de la soumise), avec patience, fermeté et sur le long terme, afin de changer progressivement son comportement d'une manière quasi permanente et se rapprocher du but poursuivi par le Dominant ou la Dominante. Il s'agit d'un dressage qui possèdent des similitudes à celui utilisé pour dresser un "animal", même si cela est plus complexe, évidemment, au vue de la personnalité du soumis et de sa psychologie. Tout cela est consensuel dés le départ puisque le soumis a donné son accord oral ou écrit. A charge pour le Dominant ou la Dominante de bien gérer les étapes afin de ne pas effrayer le soumis en lui demandant trop et trop vite. Il existe des méthodes pour arriver au résultat recherché telles que le positive réinforcement et le négative réinforcement. Le positive réinforcement est l'ensemble des méthodes qui permettent de conditionner le mental afin de favoriser l'attitude et le comportement que l'on souhaite voir apparaitre chez le soumis. Et inversement, le négative reinforcement permet d'agir sur les comportements que l'on souhaite voir disparaitre chez le soumis. Il s'agit de méthodes de récompenses et punitions pour influencer et ancrer des comportements : il est facile de récompenser un soumis ... et encore plus facile de le punir. Il y a bien des façons de pratiquer le BDSM et si je suis attiré par cela, il doit certainement exister des Femmes Dominantes ressentant cette envie de dresser et faire évoluer un soumis sur le long terme. Et de se voir récompenser en observant les changements et les progrès du soumis au fur et à mesure qu'il progresse sur le chemin choisi par sa Maitresse. Je suis fasciné par les hommes et femmes soumis qui acceptent d'être marqués par un tatouage ou un branding, car je partage l'idée que la soumission doit se percevoir dans le mental et le physique du soumis. Un homme tatoué sur le pubis avec "XXX"'s Bitch ou "XXX"'s slave a renoncé à l'idée d'avoir une relation classique. Cette idée de renoncement, de cesser de lutter contre ses envies, de s'abandonner et de dépasser le point de non-retour est attirante, séduisante et tentante. Ce moment où le BDSM n'est plus un jeu mais un choix assumé et désiré de vie.

Mur de commentaires

Dom carina
Il n’était pas rassuré. C’était la première fois qu’il la rencontrait, sa « maîtresse », celle avec qui il discutait depuis si longtemps. Ils avaient enfin décidé de franchir le pas. Ou plutôt, elle avait décidé, car c’était elle qui prenait les décisions. Depuis le début. Elle lui avait donné rendez-vous dans une chambre d’hôtel, qu’elle avait choisie et réservée. Un hôtel de luxe, cinq étoiles, avec spa et piscine intérieure. Elle lui avait dit qu’elle pourrait aller s’y délasser, une fois qu’elle en aurait fini avec lui. Peut-être pourrait-il venir avec elle. Mais pour l’instant, les choses n’en étaient pas là. Il était arrivé, s’était présenté à l’accueil et donné son nom. Le nom qu’elle lui avait donné. Son vrai nom. Jusqu’à présent, c’était Armelle. Ils avaient franchi un cap supplémentaire, dangereux, glissant. Le réceptionniste lui dit que Madame était bien arrivée, qu’elle l’attendait et lui remit une clé d’accès à la chambre. Paris était froide, humide. Il commençait à faire nuit. Mais Yann ne s’en rendait pas compte, il ne tremblait pas de froid mais d’excitation. Il n’avait jamais ressenti ça. L’ascenseur montait, quatrième étage, lentement. Lentement? Non, mais Yann voyait les étages défiler et se demandait si les condamnés à mort, à la guillotine, sur la place non loin de là, avaient ressenti cette impression de temps arrêté, de temps ralenti. Chaque seconde le rapprochait de ce qu’il désirait tant, au plus profond de lui. Il appréhendait la rencontre avec lui-même. La porte s’ouvrit. Sur un couloir cosy, tapissé, rouge, très élégamment décoré. Normal. Chambre 213. Yann se présenta devant. Première épreuve qui lui était imposée par Armelle. Se déshabiller. Devant la porte. Yann regarda à droite, à gauche, scruta les hauteurs du couloir pour y repérer d’éventuelles caméras. Rien. Bien, c’était l’heure. Il commença par son haut, sa veste de costume, puis sa chemise. Il poursuivit par ses chaussures, ses chaussettes, son pantalon et son boxer. Il déposa l’ensemble de ses vêtements dans la petite valise qu’Armelle lui avait demandé d’apporter, en sortit sa trousse de toilette, referma et posa le petit cadenas afin de ne plus pouvoir l’ouvrir. C’était les instructions de sa Maîtresse. Il se redressa et tenta de prendre une inspiration. Il n’y arriva pas. Souffle coupé par la pression. Il fit passer le badge devant la porte et vit la petite lumière verte clignoter sur la serrure. Il entra. La chambre était spacieuse, très spacieuse. Un petit salon en entrant, et sur le côté gauche, séparée, la chambre et Yann, le supposait, la salle de bains. Il s’avança, cala sa valise sur le côté et posa la clé du cadenas sur le petit meuble d’entrée, comme convenu dans les ordres qu’il avait reçus. Le salon était chauffé, il n’aurait pas froid. La suite était clairement définie : il devait se mettre à genoux, au milieu de la pièce, mains derrière la tête et tête contre le sol. Ils avaient tant parlé de cette position. Yann l’avait pratiquée, seul. Mais là, c’était différent. C’était pour de vrai. Et Armelle était là. Il ne s’en était pas rendu compte tout de suite. La lumière de la salle de bains était allumée. Son coeur commença à battre plus vite. Combien de temps resta-t-il dans cette position? Quelques minutes. Armelle apparut. Il ne vit immédiatement que ces pieds, fins, chaussés de magnifiques talons aiguilles. Il savait qu’elle n’en portait pas d’habitude, l’occasion avait dû lui paraître propice à ces accessoires. Il vit le début de ses jambes, blanches, élancées, galbées, revêtues d’un fin collant. Elle avança, lentement, avec une démarche de félin. « Bonjour Yann ». Cette voix. Féminine, assurée. Jeune. Quel délice d’entendre sa voix. Enfin. Il savait beaucoup de choses sur elle. Mais ce soir, il allait découvrir l’essentiel. Il n’avait pas droit à la parole. C’était convenu. Elle avança, récupéra la clé du cadenas, et la dissimula hors de la vue de Yann. « Enfin. Nous y voilà. Tu ne m’avais pas menti sur ton apparence physique. Fin, musclé, plutôt pas mal. Tu as bien ton âge. J’avais peur de me retrouver face à un petit vieux vicelard…je suis rassurée. Tu es à moi pour toute la soirée. Tu le sais. Tu y a consenti. Je n’ai aucune explication à te donner. Tu n’as pas ton mot à dire. Tu m’obéis. C’est écrit depuis le début entre nous. » Elle s’avança vers lui. Se pencha, passa sa main sur le dos de son soumis. Il frissonna. Sa main était fraîche, douce. Elle s’accroupit. Yann n’osa pas lever les yeux. Comment était son visage? Ses cheveux, ses seins? Que portait-elle sur elle? Son parfum sentait délicieusement bon. Elle approcha son visage de sa nuque. Il sentit sa respiration sur son cou. Elle approcha sa bouche de son oreille et lui dit : « J’espère que tu seras à la hauteur. » Elle recula, et Yann frémit. Elle alla se pencher pour examiner son penis et ses testicules. « Voilà donc le fameux paquet. Pas mal. Rien de fou. Mais ça ira. » Elle était désormais postée derrière lui. De sa main, elle s’empara de ses couilles et commença à les masser. « Nous y sommes Yann. Tu me disais que ta queue m’appartenait…voilà, ça y est. » Elle le caressait, sans ménagement. Pas pour lui, il le sentait, mais pour elle. Elle jouait, apprivoisait ses nouveautés. Il se mit à bander, fort, dur. Plus fort que lui. Elle se releva en riant. « Tout doux mon beau, tu n’imagines pas qu’on va y aller de suite, comme ça? Relève ton torse, pose les mains sur tes cuisses. On va parler. » Elle se plaça en face de lui, s’assit sur un fauteuil en cuir, lourd, confortable, imposant. Il se mit en position et put alors contempler sa magnifique maîtresse. Elle n’était pas grande. Mince. Ses cheveux châtain clair étaient bien coiffés, strictement. La peau de son cou, blanche et laiteuse descendait jusqu’à ses seins, pleins, fermes, d’une magnifique rondeur. Elle ne portait qu’un soutien-gorge, noir, en dentelle. Elle le regardait de ses yeux noisettes, fins, profonds, avec une attitude désinvolte et amusée. Elle croisa ses jambes, ne laissant qu’entrevoir sa culotte noire, et s’enfonça dans le fauteuil. Elle était belle. Il n’y croyait pas. Comment en étaient-ils arrivés là? « Approche, à genoux. » Elle tendit sa jambe gauche. « Ta soirée commence, lèche mon talon. » Yann prit avec délicatesse le talon de la chaussure et après une petite hésitation, le mit à la bouche. « Je vais faire ce que je veux de toi ce soir. Je vais bien m’amuser. Tout ce dont tu as toujours rêvé. Je te connais, bien, intimement, on a tant parlé. Je sais exactement ce que tu demandes, ce qu’il te faut. » « Caresse-toi en même temps. Allez. Tout de suite. » Yann, le talon à la bouche, Armelle faisant de légers allers-retours, commença à se toucher. Il était dur, il n’alla pas trop vite, ayant peur de ne pas pouvoir se retenir. Au bout d’une minute, Armelle, de son autre pied, commença à titiller ses couilles. Des petits coups, tout d’abord, puis une légère pression, ensuite de plus en plus forte, jusqu’à presque les écraser contre lui. Il émit de petits geignements, mais ne broncha pas. Il se branlait. « Arrête. Pose tes mains sur tes genoux. Non, mets les derrière ton dos. Comment trouves-tu ta maîtresse? » Il dut se racler la gorge. Les mots ne sortaient pas. « Tu es magnifique. Je n’aurais pas pu rêver mieux. » « Je te conviens? Je ne suis pas trop jeune? » répondit-elle, mi-amusée. « Non, tout est parfait. C’est parfait Maîtresse. » dit-il. « Bien. J’ai soif, va me chercher du champagne dans le mini-bar. Verse-moi un verre. » Il ne savait pas comment y aller. Pouvait-il se lever? Dans le doute, il resta à quatre pattes pour y aller. « C’est bien Yann. Même si je ne te donne pas d’ordre, tu sais t’y prendre. » Gauchement, il rampa, récupéra le champagne, l’ouvrit et remplit une coupe à disposition. Il l’amena vite. « Viens, approche. » Il s’approcha, lui tendit le verre. Elle le prit. Elle écarta les jambes. « Approche. Mets ta tête ici » dit-elle en lui montrant de sa main libre le rebord du fauteuil. Elle s’approcha de lui. Son intimité était soudain à proximité de son visage. Elle avait avancé ses fesses, les avait fait glisser sur le cuir et avait rapproché sa chatte des yeux, du nez et de la bouche de Yann. « Le spectacle te plaît mon soumis? » « Oui Maîtresse. » « Est-ce que je sens bon? » « Oui maîtresse ». Elle passa la main dans ses cheveux. « C’est bien. Ce n’est que le début. » Il restèrent dans cette position le temps qu’Armelle déguste son verre, lentement, un sourire aux lèvres. Elle le caressait. Yann ne bougeait pas, contemplait les moindres lignes de cette culotte. Devinait ce qu’il y a avait derrière. Cette chatte mystérieuse, vénérée, inaccessible. Mouillait-elle? Il ne voyait pas. « Yann, mains derrière le dos. » Il bandait, il était à sa place. « As-tu faim? Je n’ai pris qu’un léger repas à midi. Nous allons commander. Appelle le room service. Pour moi ce sera un club sandwich. Prends ce que tu veux. Et aussi, une bonne bouteille. Bourgogne blanc, tu le sais. » « Bien sûr. Je le savais » dit-il en souriant. Il se leva cette fois-ci. Elle ne dit rien. Il décrocha le téléphone et passa commande. « Et si nous passions aux choses sérieuses Yann? Approche. Mets-toi à genoux. » Armelle se cambra dans le fauteuil et écarta les cuisses. « Enlève-moi ma culotte. Sans les mains. » Yann hésita un instant puis entreprit d’attraper la culotte avec ses dents. Son visage frottait contre le ventre d’Armelle. C’était bon, c’était chaud. Après deux essais, il parvint à attraper fermement l’attache. Il ne la lâcha pas. Elle souleva légèrement ces fesses. La culotte descendit le long des cuisses de la maîtresse. Le visage de Yann se retrouva en contact avec la toison d’Armelle, pas très abondante, mais présente. L’odeur était chaude, musquée. Il sentit qu’elle mouillait. La culotte glissa le long des jambes de la jeune femme, jusqu’aux talons. Yann recula et posa la culotte sur le sol. « Viens entre mes jambes. Tout de suite. Applique-toi » Le soumis n’attendait que ça. Il se jeta sur le sexe de sa maîtresse avec avidité. Il commença par la lécher, langoureusement sur le dessus, puis descendit, de sa langue écarta les lèvres fines, jeunes, roses et s’introduit profondément. C’était bon, il léchait, se délectait. Il resterait le temps qu’il faut. Il poussait sa langue dans cette intimité. Armelle réagissait. Elle retenait de petits gémissements, mais son corps ne mentait pas. Elle aimait ça. Elle ne voulait pas trop le montrer, pour ne pas perdre son ascendant. Mais Yann était doué. « Branle-toi en même temps Yann, lentement, mais interdiction de jouir. » « Oui Maîtresse. » Cela dura longtemps. Yann, aux anges. Armelle, se délectant de cet homme soumis, offert, faisant tout ce qu’elle demandait. Elle se retenait de moins en moins. Ils durent revenir sur terre. Le repas était à la porte. Armelle se releva. Replia ses jambes. Et ordonna à Yann d’aller ouvrir. « Comme ça? Nu? » demanda-t-il apeuré.. « Non, bien entendu…mets-ma culotte…de toutes façons, tu n’as rien d’autre à te mettre! » dit-elle en riant. Yann resta quelques secondes interloqué puis se rendit compte qu’elle y comptait bien…Il ramassa la culotte et l’enfila. Elle était un peu serrée, lui rentrait dans les fesses, mais lui allait. « Allez, dépêche-toi, ne fais pas attendre notre garçon d’étage. » dit-elle amusée, tout en détaillant Yann des pieds à la tête. « Allez, ma petite salope » continua-t-elle en lui faisant un clin d’oeil. 
Yann, rouge, ouvrit la porte. Si pour lui, c’était une première, le serveur ne sembla pas étonné outre mesure. Yann se cachait tant bien que mal, mais cela n’empêcha pas le jeune garçon de remarquer les atours coquins de ce bel aventurier. La porte refermée, Yann posa le plateau sur la table du salon. Armelle s’assit. Il n’y avait qu’une chaise. « Bon, même cet hôtel a compris qu’il y avait ici une maîtresse et un soumis…à genoux. Sous la table. Et enlève ma culotte, tu vas la déformer. » Yann s’exécuta et se positionna sous la table. « C’est moi qui vais te donner à manger. Ouvre la bouche Yann. » Armelle coupa un bout de son club, le piqua à sa fourchette. Elle cracha dessus. Elle le descendit jusqu’à sa chatte. Le frotta, l’imbiba de son jus, qui coulait encore…puis mit le morceau dans la bouche de son soumis. Yann n’osa pas broncher. Il mâcha. Il avala. C’était sa maîtresse. Celle-ci répéta l’opération plusieurs fois. Yann, à genoux, sous cette table, mangeait les restes de sa maîtresse, au préalable salis et humectés par ses humeurs intimes. Il n’avait jamais fait ça. Quant à Armelle, elle n’avait pas réfléchi. Cette idée lui était venue, comme ça. « J’espère que ça t’a plu mon soumis… » lui dit-elle, un verre de vin à la main, en lui caressant la joue. « Ouvre la bouche, bois. Tu as de la chance, je partage mon verre » continua-t-elle. Il était désormais 22 heures. Armelle était détendu, l’alcool aidant. Yann avait débarrassé, nettoyé, sans poser de question, naturellement. Nu, privé de ses vêtements, en présence d’une splendide jeune femme débridée. Il était à sa place. « Yann, tout à l’heure, nous n’avons pas fini. Tu n’as pas été assez rapide. C’est ta faute. Tu mérites quoi? Une punition, oui… » Elle se dirigea vers le coin de la chambre. Il la suivit. Elle sortit de sa valise une tige, en bambou. « La voici, tu en as tant entendu parler. Je vous présente, vous allez faire connaissance » dit-elle en riant. « Reste debout. Ecarte les jambes. Mains derrière la tête. Tout de suite. » Yann obéit. Armelle passa derrière lui. Elle avait récupéré un bandeau, posé sur son lit. Elle s’approcha, très près de lui. Enleva son soutien-gorge, son collant. Ne remit que ses talons. Elle était nue, comme lui. Elle posa le bandeau sur les yeux de Yann, qui gardait le silence. Plus un mot, de part ni d’autre. Chacun concentré sur lui-même. Le premier coup tomba. Sur l’épaule. Pas trop fort, mais présent. La tige de bambou, souple, était parfaite. Elle n’infligeait pas une grande douleur. Juste ce qu’il fallait. Armelle continua. Plusieurs coups, sur le haut du dos de Yann, qui ne bougeait pas. Il subissait, sans dire un mot. Une pause, une éternité. Puis une nouvelle série de coups, sur les reins, plus forts, plus rapides. Nouvelle pause. La maîtresse s’enhardissait. Elle se déplaça, se versa un nouveau verre de vin, puis sans une parole, s’attaqua à l’entrejambe de Yann. Le premier coup arriva sur ces bourses. Rapide, sec. Yann sursauta. Il ne s’y attendait pas. Armelle le testait. Elle frappa. Plusieurs fois. Son soumis fit des petits bonds de douleur, mais surtout de surprise. Aveugle, il était à sa merci. S’en voulait-elle? Toujours est-il qu’elle s’approcha de lui. Par derrière, appuya ses seins contre son dos, passa ses mains devant, sur son sexe et le branla doucement d’une main, tout en caressant et pinçant ses tétons de l’autre. Elle caressa le sexe de Yann pendant deux minutes, jusqu’à ce qu’elle sente son soumis frémir d’excitation. A ce moment là, elle récupéra les quelques perles point de ce sexe dressé, et les passa sur les lèvres de son soumis. « Lèche mes doigts Yann, lèche. » Elle s’écarta et repris le bambou. Nouvelle flambée de coups, moins hésitants, plus précis, dos, sexe, fesses, testicules…Armelle se déchaîna. Il le voulait, elle le sentait. Les marques sur son corps commençaient à poindre. Elle s’arrêta. Cette fois-ci, se plaça devant Yann. Il ne la voyait pas, respirait vite, tremblait un peu. Elle s’agenouilla. Attendis quelques instants, en silence, puis approcha sa bouche du sexe de son soumis. De sa langue, elle lécha les couilles de Yann. Un lapement, une très légère caresse. Yann ne s’y attendait pas. Il sourit. Mais ce n’était pas pour durer. Armelle attrapa les bourses de Yann, les pressa et les tira vers le bas. Yann subissait toujours. C’était un bon soumis. Tout en maintenant ses couilles d’une main, Armelle le branla. Fort, vite. Jusqu’au bord de la jouissance. Elle le sentait, elle l’avait en mains, il était sien. Mais elle ne voulait pas le faire venir. De son côté, de sa main libre, elle se touchait. Elle était de plus en plus excitée. Elle se releva, porta sa main mouillée à la bouche de Yann. Elle aimait le faire lécher. Ce petit jeu dura encore quelques minutes, jusqu’à que la jeune dominatrice se lasse. « Ça va Yann? » « Oui Maîtresse » « Tu n’as pas trop mal? » « Non c’est parfait. » « J’ai envie de jouir Yann. Je ne tiens plus. Allonge-toi sur le lit. » Yann se posa sur le lit, un grand lit confortable, aux draps blancs immaculés. « Mets-toi sur le dos. Les mains sous tes fesses. Je ne veux pas les voir ». Yann s’exécuta. Il portait toujours son bandeau. Son sexe était dressé, prêt. Armelle monta sur le lit, à côté de cet homme offert et passa ses ongles sur son torse. Elle s’arrêta sur ses tétons, les titilla, les griffa. Une idée lui vint en tête. Une idée de domination, le pouvoir réel sur son soumis. Elle allait essayer. Elle se mit à califourchon sur son visage. Sa chatte posée sur sa bouche, bien posée, bien assise. Son corps était au dessus de Yann, tourné vers le bas, de sorte à ce qu’elle puis embrasser du regard la poitrine, les bras, le ventre, la queue son jouet. Le visage d’Armelle, qui avait gagné en chaleur, était positionné de manière à voir ce spectacle. « Yann, lèche-moi. Fais-moi jouir. » Yann ne pouvait pas parler…il s’attela à la tâche. Sa langue plongeait dans les profondeurs d’Armelle, dans son intimité languissante et excité de ce pouvoir qu’elle exerçait. Elle entreprit de mettre en oeuvre son idée et caressa de manière insistante les tétons de Yann. « Yann, tu vas jouir. » dit-elle. Elle attendit. « Tu vas jouir ». Répéta-t-elle. « Sans te toucher. » C’était son idée. Elle voulait le dominer totalement. Par la pensée. Elle voulait qu’il ait un orgasme juste parce que elle, Armelle, le lui demandait. Le pouvoir. « Je sais que tu peux le faire. Concentre-toi. » Elle poussa un gémissement involontaire. L’idée l’excitait follement. Elle se cambra, frotta sa chatte contre le visage de Yann de plus en plus fort, de plus en plus vite. « Soumis, prépare-toi, quand je te l’ordonnes, tu jouis. » Elle n’allait pas tarder, elle. Yann, les mains prisonnières, agitait sa queue aussi. Armelle la voyait se tendre. Le soumis s’agitait, allait-il arriver à réaliser l’ordre d’Armelle? Elle appuya encore plus fort sa chatte. Il ne pouvait plus respirer. « Yann. 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1…. » Elle jouissait, un orgasme puissant, profond. « Yann, jouis, c’est un ordre. Maintenant. C’est moi qui décide. Tout de suite, cria-t-elle dans un souffle de jouissance. » « VAS-Y. JE TE L’ORDONNE ». Pendant quelques instants, rien ne se passa. Puis Armelle vit la queue de son soumis s’agiter. Il éjaculait. Seul, sans ses mains, sans sollicitation. Juste parce que sa maîtresse lui avait intimé. Elle sourit. Son plan avait marché. Quel pouvoir avait-elle sur lui… Le jus se répandit sur son ventre. Abondant, blanc, laiteux. Armelle retira sa chatte du visage de Yann, lui donna une petite tape sur la joue, sourit et lui dit : « Ce n’est pas fini cher soumis… » Elle récupéra ce sperme étalé, avec sa main, et la porta à la bouche de son jouet. « Lèche, lèche bien petite salope. Tu es à moi, tu as vu? » Yann, quelque peu éberlué par ce qui venait de se passer, reprit peu à peu ses esprits. « Merci Maîtresse, c’était fantastique. » « Je sais. Tu as fait du bon travail. Tu sais faire de bons cunis soumis. » 
Ils s’assirent sur le lit. Sans rien dire. Elle lui fit une bise sur la joue. Un silence s’installa pendant quelques minutes, chacun reprenant ses esprits. C’est Armelle qui brisa le silence. « Va te laver soumis. Tu l’as mérité. » « Merci Maîtresse. » Comment se passa le reste de la nuit? Armelle, détendue, comblée et satisfaite de son pouvoir, déploya les draps du lit et se coucha, nue, heureuse. Yann? Où était-il? Au pied du lit. Avec un oreiller, pour pouvoir dormir plus confortablement, sa maîtresse n’étant pas si cruelle. Pouvait-il s’enfuir? Non, Armelle avait tout prévu : une sangle, en cuir, attachée au sexe de son soumis, qu’elle avait à l’autre extrémité, attachée à son propre poignet. En avait-elle fini avec lui? Non, bien sûr que non…
4 personnes aiment ça.
Master S
Magnifique texte. Il laisse deviner une Domina ferme, subtile, joueuse et très cérébral. Cadeau exceptionnel pour son soumis et sa première "séance". Il devra s'en souvenir...
J'aime 07/09/25
soumise95pour femme
Bonjour Maîtresse, ce texte est vraiment magnifique. Beaucoup je pense, rêve de vivre cela. Mais la question est, normalement un soumis doit rester en frustration constante….? Faire jouir sa Maîtresse, en étant encagé? Dans tous les cas merci Maîtresse pour ce délicieux texte.
J'aime 08/09/25 Edité
eurekat777
Quel talent d'écriture Madame... Du même crû que Mme Besson et Melle Fournier... Dont j'attends la suite... Ici la suite n'est pas aussi fondamentale mais serait assez agréable... Mille mercis... Bien respectueusement Vôtre !
J'aime 13/09/25