A propos du groupe
Cage_de_chasteté
Créateur

Bonjour, Je crée ce groupe pour parler de ce qui m'attire dans le BDSM : le dressage du soumis (ou de la soumise), avec patience, fermeté et sur le long terme, afin de changer progressivement son comportement d'une manière quasi permanente et se rapprocher du but poursuivi par le Dominant ou la Dominante. Il s'agit d'un dressage qui possèdent des similitudes à celui utilisé pour dresser un "animal", même si cela est plus complexe, évidemment, au vue de la personnalité du soumis et de sa psychologie. Tout cela est consensuel dés le départ puisque le soumis a donné son accord oral ou écrit. A charge pour le Dominant ou la Dominante de bien gérer les étapes afin de ne pas effrayer le soumis en lui demandant trop et trop vite. Il existe des méthodes pour arriver au résultat recherché telles que le positive réinforcement et le négative réinforcement. Le positive réinforcement est l'ensemble des méthodes qui permettent de conditionner le mental afin de favoriser l'attitude et le comportement que l'on souhaite voir apparaitre chez le soumis. Et inversement, le négative reinforcement permet d'agir sur les comportements que l'on souhaite voir disparaitre chez le soumis. Il s'agit de méthodes de récompenses et punitions pour influencer et ancrer des comportements : il est facile de récompenser un soumis ... et encore plus facile de le punir. Il y a bien des façons de pratiquer le BDSM et si je suis attiré par cela, il doit certainement exister des Femmes Dominantes ressentant cette envie de dresser et faire évoluer un soumis sur le long terme. Et de se voir récompenser en observant les changements et les progrès du soumis au fur et à mesure qu'il progresse sur le chemin choisi par sa Maitresse. Je suis fasciné par les hommes et femmes soumis qui acceptent d'être marqués par un tatouage ou un branding, car je partage l'idée que la soumission doit se percevoir dans le mental et le physique du soumis. Un homme tatoué sur le pubis avec "XXX"'s Bitch ou "XXX"'s slave a renoncé à l'idée d'avoir une relation classique. Cette idée de renoncement, de cesser de lutter contre ses envies, de s'abandonner et de dépasser le point de non-retour est attirante, séduisante et tentante. Ce moment où le BDSM n'est plus un jeu mais un choix assumé et désiré de vie.

Mur de commentaires

Annabelle
Tout commença à partir d’une simple annonce : « Femme célibataire et dominatrice cherche esclave soumis pour tâches domestiques quotidiennes et servitude à ses pieds en échange d’un hébergement. » Comment aurais-je pu me douter que j’allais bientôt être kidnappé ? En tant que simple étudiant, jeune garçon âgé de dix-huit ans, je cherchais un logement depuis déjà deux mois et je commençais à désespérer. Cependant, cette annonce m’émoustilla et attira immédiatement mon attention. Je ne saurais l’expliquer car je n’étais pourtant pas spécialement versé dans la soumission, même s’il m’était déjà arrivé de participer à des jeux coquins avec certaines amies, à base de menottes et de bandeaux de tissu sur les yeux. Je contactai donc l’auteur de l’annonce par téléphone et me présentai humblement. Elle m’indiqua que ce serait un contrat Slave Selection d’un an à signer et qu’il me serait impossible de le rompre. -Es-tu conscient de ce dans quoi tu t’engages ? me demanda-t-elle. -Oui, Madame. La rencontre En vérité, je l’ignorais totalement. Je m’imaginais sans doute que ce ne serait qu’un simple « délire » sexuel, mais j’étais bien loin de la vérité. Bien loin de penser que j’allais devenir moins qu’un humain, sous les pieds de ma logeuse. Nous nous mîmes d’accord pour nous rencontrer deux jours plus tard, dans un parc. Je l’attendis pendant quelques minutes, assis sur un banc, puis la vit arriver. Elle était magnifique. Agée d’une quarantaine d’année bien avancée, des cheveux noirs noués en un chignon strict sur le haut du crâne, des formes aguicheuses sous un jean serré et une veste de cuir, elle plongea ses yeux verts dans les miens et j’eus l’impression d’être une proie à proximité d’un prédateur. -Je m’appelle Samantha, dit-elle. -Et moi Jonathan. -Peu importe, me coupa-t-elle. A mon service tu n’auras plus le droit de porter un nom, sinon celui que je choisirais pour toi. -Très bien Madame. Madame me questionne. Elle me sourit d’un air affable. -Quelles études suis-tu ? -Des études de lettre Madame. -Bon… Je m’arrangerais pour qu’elles n’empiètent pas trop sur ta vie d’esclave. -Hum… Excusez-moi mais… Votre annonce était plutôt floue. Qu’entendez-vous par « esclave » ? -Oh, ne t’en fais pas… Passer le balais, faire la vaisselle… Me soulager de beaucoup d’efforts, donc. J’étais rassuré. Cela n’allait donc pas être si terrible. J’allais devenir un larbin, ce qui ne m’excitait pas énormément, mais au moins j’aurais un toit sur la tête et puis… Cette femme était extrêmement séduisante. Si j’arrivais à la charmer… Après tout, n’avait-elle pas inscrit « célibataire » dans son annonce, signe que tout était possible ? -Tu vis seul ? -Oui, Madame. Mes parents vivent à l’autre bout de la France. Je suis totalement indépendant. De toute façon, nous n’avons presque plus aucun contact. C’est à peine si nous nous appelons une fois dans l’année. -Excellent. Découverte de mon nouveau logement Nous discutâmes ainsi de tout et de rien pendant un bon moment avant qu’elle ne m’invite à venir chez elle. J’étais venu en bus mais elle en voiture, ainsi le chemin fut rapide. Elle habitait dans une grande et luxueuse maison, entourée d’un vaste jardin cerné par de hauts murs de pierre assez anciens. Une sorte de manoir familial, peut-être. L’endroit était très calme, en périphérie de ville. Personne dans les rues à part un chat se prélassant sous une voiture et une vieille dame traversant lentement le trottoir, vingt mètres plus loin. Samantha me fit signe de la suivre. Il faisait plus chaud à l’intérieur et je me réchauffai vite. C’était très beau. Les décorations témoignaient de véritables richesses chez ma logeuse. Elle me servit une tasse de thé et s’absenta alors que je m’asseyais dans un large fauteuil de cuir rouge. Quelle ne fut pas mon erreur d’en boire. A peine y eu-je trempé mes lèvres que je sentis ma tête tourner et le monde basculer autour de moi. Je m’écroulai de tout mon long sur le sol et entendis la tasse se briser en heurtant le parquet, à côté de moi. Le contact chaud du thé qui s’étalait autour de ma tête, sur les lattes de bois, fut la dernière des sensations dont je me souvins, avant de m’évanouir. Enfermé dans une cage Lorsque je m’éveillai, la première chose qui me sauta aux yeux fut les barreaux de la cage dans laquelle j’étais recroquevillé. Une seconde… Des barreaux ? Je tournai la tête, paniqué, et vis Samantha, assise dans un canapé noir à trois mètres de moi. Elle portait une tenue bien plus décontractée et les cheveux détachés. Les jambes croisées, elle ne faisait visiblement pas du tout attention à moi et lisait un magazine. Je gémis et tentai de bouger, mais en vain. L’espace était beaucoup trop restreint. Au moins, le bruit que je fis poussa Samantha à lever les yeux vers moi. -Oh, tu te réveilles. -Que m’avez-vous fait ?! -Un simple somnifère, calme-toi. Seulement deux heures se sont écoulées. -Que me voulez-vous ? -A ton avis ? Elle soupira. -Si tu es ici, c’est pour devenir mon esclave soumis. Pas un simple soumis comme on en rencontre sur le site de rencontre femdom.dating, non. Un véritable esclave soumis pour jeux bdsm sexuel. Et ce, à vie. -Qu… quoi ? -Ca a toujours été mon fantasme. Enlever un homme et le réduire à l’état d’esclavage bdsm réel, à mon service. Le former pour qu’il devienne mon jouet bdsm, mon objet bdsm. C’est ce que je vais faire avec toi. De manière très douloureuse, si tu résistes, bien entendu. Vois-tu, le problème avec les soumis c’est que lorsque tu les maltraites ou les utilises pour telle ou telle chose, tu dois te soucier de leurs envies et de leurs limites. Mais je veux pouvoir faire ce que je désire avec toi, sans me préoccuper de ce que tu en penses. -Vous êtes malade ! -Ta réaction est normale. Je te dresserais pour qu’elle change au fur et à mesure. -Sortez-moi de là ! -Je vais le faire. Mais avant tout, laisse-moi te prévenir que tu as quelque chose autour du cou. Le collier électrique Péniblement, je me tordis en deux pour pouvoir toucher mon cou. Je sentis un contact métallique très froid. Un collier bdsm. -Ce n’est pas qu’un simple collier, m’expliqua Samantha en devinant mes pensées. C’est un dispositif électronique très coûteux que je me suis procuré la semaine dernière. Vois-tu ce bracelet que j’ai au poignet ? Et ce petit bouton, au-dessus ? Eh bien si j’appuis là, tu recevras une décharge électrique très douloureuse. Son intensité dépendra de la force avec laquelle j’appuierais, et crois-moi, je ne me retiendrais pas. Enfin, tu vas bientôt t’en rendre compte. Au fait, la porte de la cage est ouverte, tu sais ? Sans attendre, je mis un coup de pied dedans. Effectivement, elle s’ouvrit sans effort. En roulant sur moi-même, je parvins à en sortir, à me relever et à courir vers la porte au fond de la pièce, probablement une sortie. Je devais absolument échapper à cette femme. Mais je n’eus pas le temps de faire trois pas qu’une décharge glaciale me traversa le dos. Paralysé, je tombai sur le sol et m’y cognai le front, me faisant un sévère bleu. -Pour information, me dit Samantha avec une pointe d’amusement dans la voix, ça correspond à une décharge « légère ». A toi de voir maintenant : Ou tu reviens gentiment me voir en te traînant au sol, ou tu tentes une deuxième fuite. Mais cette fois, je ne me contenterais pas d’une décharge légère. Tu le sentiras passer comme il faut. Ma vie va changer du tout au tout ! J’ignorais si elle bluffait. C’était probable. Mais je n’eus pas le cran de la provoquer. Penaud et choqué, j’obéis à son ordre et m’approchai d’elle en rampant sur le sol. Elle afficha un air satisfait. -Je suis « raisonnablement » sadique, Jonathan. Ce qui veut dire que j’aime faire souffrir, et je peux te garantir que tu vas souffrir, mais si tu es sage, que tu m’obéis sans rechigner et que tu assouvis mes fantasmes bdsm les plus inavouables, alors je ne te punirais jamais plus que nécessaire. Je gardais le silence, ne sachant que dire. Hier, j’étais un jeune étudiant plein d’avenir, et aujourd’hui, j’étais condamné à servir aux ordres d’une folle, en tant qu’esclave bdsm soumis. Ma vie allait changer du tout au tout… Mais non, il restait sans doute un espoir, un moyen pour moi de m’échapper et d’ôter ce satané collier bdsm. A un moment ou un autre, je profiterais d’une ouverture et… Début du dressage BDSM pour l’esclave soumis Elle fit claquer son talon par terre. -Debout, maintenant. Je vais commencer ton dressage d’esclave soumis ! J’obéis. -Déshabille-toi entièrement. C’est comme ça que tu passeras le reste de ta vie. Nu comme un chien doit l’être. Je veux pouvoir admirer ton corps à loisir. J’enlevai d’abord mon T-shirt, puis mon pantalon et mes chaussettes. Il ne me resta plus que mon caleçon et il me fut enlevé aussi. Honteux, je voulus couvrir mon sexe de mes mains mais Samantha tapa une nouvelle fois du pied par terre. -Tu vas devoir t’habituer à ne plus être pudique face à moi, esclave. Écarte tes mains. Cela fait elle me montra le sol du doigt. -A genoux. Ce sera ta position de base lorsque tu ne seras pas en déplacement, et, lorsque tu le seras, ce sera toujours à quatre pattes. -Oui… -Oui qui ? -Oui Madame. -Non, Maîtresse. Et elle me gifla. -J’écoute. -Oui Maîtresse. A suivre…
19 personnes aiment ça.
Passact34
Excellent, j'attends la suite en compagnie de mes maîtres !!!.
J'aime 29/10/25
soumise95pour femme
Superbe vivement la suite
J'aime 29/10/25
Quelle chance!
J'aime 29/10/25
EsclaveRevolver
Ce n'est plus vraiment du bdsm...il n'y pas de consentement , chose incontournable dans notre milieu. Comme l'expression " esclave soumis", si c'est un esclave forcément il est soumis... les 2 termes associés me laisse perplexe. Bien dommage la lecture était plaisante.
J'aime 29/10/25
Benoît
Bonjour maîtresse comment allez vous aujourd'hui
J'aime 30/10/25
Anne-Sophie
Bonjour à vous toutes et tous... Je trouve le récit excellent et l'écriture de qualité. Naturellement j'attends la suite de ce texte avec patience et j'anticipe le plaisir à venir... Avec tous mes remerciements anticipés... Bien respectueusement Vôtre Obligé... À vous lire...
J'aime 01/11/25