A propos du groupe
Cage_de_chasteté
Créateur

Bonjour, Je crée ce groupe pour parler de ce qui m'attire dans le BDSM : le dressage du soumis (ou de la soumise), avec patience, fermeté et sur le long terme, afin de changer progressivement son comportement d'une manière quasi permanente et se rapprocher du but poursuivi par le Dominant ou la Dominante. Il s'agit d'un dressage qui possèdent des similitudes à celui utilisé pour dresser un "animal", même si cela est plus complexe, évidemment, au vue de la personnalité du soumis et de sa psychologie. Tout cela est consensuel dés le départ puisque le soumis a donné son accord oral ou écrit. A charge pour le Dominant ou la Dominante de bien gérer les étapes afin de ne pas effrayer le soumis en lui demandant trop et trop vite. Il existe des méthodes pour arriver au résultat recherché telles que le positive réinforcement et le négative réinforcement. Le positive réinforcement est l'ensemble des méthodes qui permettent de conditionner le mental afin de favoriser l'attitude et le comportement que l'on souhaite voir apparaitre chez le soumis. Et inversement, le négative reinforcement permet d'agir sur les comportements que l'on souhaite voir disparaitre chez le soumis. Il s'agit de méthodes de récompenses et punitions pour influencer et ancrer des comportements : il est facile de récompenser un soumis ... et encore plus facile de le punir. Il y a bien des façons de pratiquer le BDSM et si je suis attiré par cela, il doit certainement exister des Femmes Dominantes ressentant cette envie de dresser et faire évoluer un soumis sur le long terme. Et de se voir récompenser en observant les changements et les progrès du soumis au fur et à mesure qu'il progresse sur le chemin choisi par sa Maitresse. Je suis fasciné par les hommes et femmes soumis qui acceptent d'être marqués par un tatouage ou un branding, car je partage l'idée que la soumission doit se percevoir dans le mental et le physique du soumis. Un homme tatoué sur le pubis avec "XXX"'s Bitch ou "XXX"'s slave a renoncé à l'idée d'avoir une relation classique. Cette idée de renoncement, de cesser de lutter contre ses envies, de s'abandonner et de dépasser le point de non-retour est attirante, séduisante et tentante. Ce moment où le BDSM n'est plus un jeu mais un choix assumé et désiré de vie.

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Dom carina
Deux semaines après cette nuit torride, Angèle ne s'enlevait pas Loïc de son esprit, elle espérait qu'il revienne, et ne fermait plus cette fameuse porte arrière, au cas où, avec une petite étincelle d'espoir, d'ailleurs, elle ne connaissait pas son prénom. Mais, pas de nouvelle, pas d'apparition surprise, elle ne l'a même pas croisé en ville. Angèle commençait à perdre espoir, se disant que cela n'était qu'une histoire sans lendemain. Pour se changer l'esprit et tenter d'oublier son amant sur cette soirée, elle se mit à dévorer un livre, mélant romance et sensualité, la faisant rêvasser et se remémorer cette nuit improbable. Elle fini par poser son livre, les souvenirs de cette nuit était trop présents pour se concentrer, elle sentait sa chair frétiller, son corps entamait une fièvre de plaisir, elle glissa une main jusque ses cuisses, glissant timidement un doigt sur son petit bouton de chair, déjà tendu de plaisir. "Mais, qu'est ce que je suis en train de faire" pensa-t-elle, prude de nature, elle n'avait jamais entrepris de se caresser elle même, son ex-mari ne la touchait jamais, et n'avait pas eu d'autre expérience avant lui. Il "tirait" son coup, et s'endormait. Mais, Loïc lui avait fait découvrir une autre facette du sexe, celui où, les deux prennent du plaisir, s'unissant dans une fusion charnelle. Elle s'abandonnait à son propre plaisir, mais la fatigue prit le dessus et elle s'endormie. Une main se glissait entre ses cuisses, un souffle chaud dans son cou, un poids délicat écrasait son corps. Son corps frissonnait de plaisir, de désir. Sa respiration s'accélerait, son souffle devenait plus court. mais qu'est ce ce qui lui arrivait ? Elle ouvrit les yeux, et fut prise d'une grande déception quand elle ne vit personne, cela n'était qu'un des nombreux rêves qu'elle ne cessait de faire depuis cette nuit. Déçu elle s'enroula dans ses draps, cherchant à créer un espace de confort. Elle ne fermit pas les yeux de la nuit, repassant chaque instant de ce souvenir indélibile. Le désir était là, fort, elle espérait secrètement qu'il revienne, qu'il la reprenne mais plus sauvagement, elle était prête à se s'abandonner totalement à cet inconnu qui lui avait montré la puissance du plaisir. Plusieurs jours passèrent, elle tentait de reprendre une vie normale. Mais, un soir, en rentrant chez elle, éclairée par la faible lueure du lampadaire, une main se plaqua sur sa bouche, l'autre se posait contre son pubis. Etait-il revenu, elle était impatiente et espérait que ce soit lui. Il lui ordonna d'ouvrir la porte, en la pressant toujours plus contre lui. Elle en était sure, c'était lui, elle avait reconnu sa voix, voix qu'elle n'avait pas oublié. A peine rentrés, elle laissa tomber sa tête en arrière contre le torse de l'homme en laissant passer un gemissement, elle n'en pouvait plus, elle avait tant espéré son retour. L'homme glissa sa main dans le cou d'Angèle. "Je n'en pouvait plus, j'avais besoin de te revoir, de te sentir, te caresser à nouveau" lui chuchota-t-il, "Jespère que tu seras une bonne fille, docile et obéissante, car je serais plus bestial que l'autre fois, je vais te rendre addicte". "Je le suis déjà", souffla-t-elle entre deux halètement d'exitation. Il guida Angèle dans le salon, la poussant sur le canapé, et lui ôta sa veste et ses chaussures. Elle était habillée simplement, avec un jean moulant noir et un pull col roulé beige. Il glissa sa main sur sa jambe, et s'allongea sur elle, en l'embrassant. Il ne pouvait résister au charme de son amante, et, voulait la rendre accro, sur tout les points. Il lui ôta son haut, laissant frôler sa main sur sa poitrine généreuse. Angèle fremissait sous ces caresses délicates, elle appréciait ce côté gentleman et romantique. Il lui embrassa la naissance de la poitrine avant de glisser sa main sous son soutien-gorge, il remarqua que son téton était déjà très tendu, et ne tarda pas à lui faire remarquer. Angèle était déjà a bout de souffle, écrasé par ce corps, excitée par ces caresses, elle tenta de glisser sa main mais elle fut stoppée dans sa course. "Pas si vite ma belle, c'est moi qui commande, laisse toi emporter" lui glissa-t-il a d'oreille avant de lui embrasser délicatement la joue. Il glissa sa deuxieme main entre les cuisses d'Angèle, défaisant son jean au passage et y glissa la main. "Tu es déjà si humide, tu es si impatiente que cela" lui lança-t-il. "Oui" lui souffla elle entre deux gemissements. Il descendit en l'embrassant au fur et à mesure, la poitrine, le ventre..., lui retirant son jean au passage, puis il commença un travail doux et délicat, la faisant gémir de plus en plus fort. Il savait qu'elle était "facile", et cela ne tarda pas. Il senti son corps se crisper. Angèle sentait le plaisir monter de plus en plus, elle savait qu'elle ne pourrait lui résister. C'était si puissant, si intense. Elle passa la main dans les cheveux de son bourreau, celui qui la faisait crier de plaisir. Il remonta, et l'embrassant dans le cou et en lui caressant le corps. Elle se blottit contre lui, cherchant la chaleur de son corps. Il ôta son t-shirt et ouvrir son pantalon. Il était tendu comme un arc, prêt à lui offrir un nouvel orgasme. Il glissa son gland contre sa fente, la faisant s'impatienter, et sans prévenir, entra d'un coup sec, accompagné d'un long râle de plaisir. Elle était si humide que cela n'eu pas de mal à entrer. Angèle senti à nouveau ses chairs s'étirer, pour épouser la forme hors norme de son amant, au premier coup elle commençait déjà à perdre pied, serrant encore plus fort le torse de l'homme contre elle. Elle voulait le sentir contre elle, en elle, comme fusionnée avec lui. Loïc lui, la serra également contre lui, tout en s'afférant à un rythme soutenu et violent de vas-et-vient. Un second orgasme la prennait, son vagin se contractait, son corps se tendait, elle étouffa son cri dans le cou de son bourreau. Elle n'en pouvait plus, son corps entier s'est relaché, elle était comme embrumée par cette vague intense de plaisir. Il se releva, et il l'a porta contre lui, elle était dans un état presque second, il l'a porta jusque la chambre, et lui chuchota "Pour que l'on soit plus à l'aise ma belle, tu sembles si fatiguée, je vais veiller sur toi, et te donner du plaisir autant que tu ne le supporteras". Elle n'eu la force de lui répondre, mais fu surprise quand il l'a laissa glisser le long de son pieu, la pénétrant une nouvelle fois, elle serra ses jambes autour de sa taille, comme pour verrouiller cette emprise. Il s'allongea sur le lit, continuant de la tenir fermement. Elle était dans une sorte de fatigue et de plénitude, elle se laissait totalement aller. Elle gardait ses bras serrés autour de son cou, sa tête enfouie dans son épaule. Il reprit délicatement ses mouvements de bassin, glissant une main sur son clitoris. Il voulait lui faire autant de plaisir que la première fois, même plus, qu'elle en devienne dépendante. Mais il l'a sentait plus faible que la dernière fois, plus fatiguée, alors, il ralenti la cadence et lui chuchota "Je te sens fatiguée, veux tu te reposer ?", elle lui répondi faiblement "Oui je le suis, mais reste auprès de moi, je me sens en sécurité et tu me fais du bien... Reste en moi, reste auprès de moi". Il ralentit la cadence, mais ne s'arrêta pas, continuant de la faire gémir. Elle commençait à s'endormir, alors il se faisait de plus en plus doux, que cela ressemble à des caresses pour l'aider à s'endormir. Il se plaça en cuillière pour que la position lui soit plus confortable. Une fois endormie, lui ne pu trouver le sommeil, il était toujours en elle, dur comme un roc, il la caressait doucement, l'embrassait. Cela ressemblait étonnament être une relation entre deux êtres qui s'aimaient et non deux inconnus. Il continua de lui faire l'amour pendant encore une heure, avant de lui aussi s'endormir en elle. La serrant dans ses bras. Il ne l'avait pas lachée de la nuit. Les premières lueurs du jour le révéilla, il était déjà raide, la fameuse gaule du matin se disa-t-il. Il glissa la main entre les cuisses de sa belle endormie, et commença à la caresser délicatement, faisant attention à ne pas la réveiller. Bien qu'endormie, son corps ne trahissait pas l'envie, elle se mit à mouiller. Angèle était endormie, encore profondément, mais, une sensation de chaleur au niveau de son bas de ventre, une boule de plaisir la tirait doucement de son sommeil. Elle se reveilla en gémissant, au moment ou son amant commençait une pénétration douce et profonde. Cette fois-ci elle ne rêvait plus, c'était bien réel. Elle se cambra pour lui laisser plus ample liberté de mouvement. Loïc vu que sa belle se reveillait doucement, alors il accéléra le rythme avant de s'arrêter net, et de se redresser. Il l'a plaça en position de levrette, elle était sur les coudes, le visage enfouit dans son oreiller, avant de reprendre son oeuvre. Il entendait ses gémissements étouffés, il sentait son corps se contracter sous ses mains, il savait qu'elle appréciait cela, et pour accélerer les choses il commença a jouer avec son clitoris, ce qui ne lui tarda pas à déclencher le premier orgasme de la journée. Il resta ainsi pendant un long moment, ce qui semblait interminable pour Angèle, qui n'arrivait presque plus à reprendre son souffle entre chaque orgasmes. "C'est divin" souffla-t-elle, ce qui motiva encore plus Loïc. Ils eurent un orgasme au même moment, Angèle senti le liquide chaud se répandre au fond d'elle. Il se retira délicatement, ce qui provoqua quelques spasmes à Angèle. Elle se redressa et vint nettoyer la longue colonne de chair qui l'avait fait tant crier, elle se surprit elle même car, elle n'appréciait pas offrir ce genre de faveur à son ex mari, mais là, c'était différent, elle voulait lui rendre la pareille. Elle s'afféra, laissant glisser ses lèvres le long de la hampe de son amant, ce qui ne tardat dans de le redurcir ! Loïc passa délicatement sa main dans les cheveux d'Angèle, puis la remonta vers lui avant de l'embrasser. Laissant au passage quelques mains baladeuses explorer à nouveau ce corps dont il avait longtemps rêvé. Elle se cala dans ses bras et lui posa une question : "Comment t'appelles tu ?", "Loïc" lui reponda-t-il d'une voix calme en continuant de passer sa main dans les cheveux d'Angèle. Elle lui demanda donc "Pourquoi moi ? Et pourquoi avoir mit autant de temps à revenir ?", "C'est inexpliquable, la première fois que je t'ai vu, j'ai ressenti cette sensation, ce coup de foudre, je ne voyais plus que toi. Mais j'étais en couple, mais la tentation etait si forte alors, je veillais chacune de tes habitudes, et, un soir, je suis passé à l'action. Je ne suis pas revenu pendant autant de temps car, j'avais besoin de temps pour me décider, à quitter ma compagne, à changer de vie. Tu me rends fou, c'est inexplicable.". Angèle posa sa tête contre son torse et lui dit timidement, "Tu m'as fais vivre une expérience inoubliable, j'ai constamment pensé à toi, espérer secrètement que tu reviennes, j'ai laissé la porte arrière ouverte, chaque lui tu étais la dans mes rêves... Et la tu es là.". Il répondit par une étreinte pous forte la serrant plus fort contre lui en lui embrassant le front. "Apprenons à nous connaitre" lui lança-t-elle. Il la serra contre lui et lui chuchota, "Oui, si tu me laisses venir te prendre par surprise quand je le veux, c'est bien plus excitant. Je te réserverais une surprise car, tu sembles être moins prude que tu ne laises à désirer."