
Thania
Bianca était heureuse en femme soumise et surtout en pets. Quand son maître, un ambassadeur très doué avait été muté dans un pays du moyen orient, son coeur s’était déchiré. Bon prince, Maitre Carl rencontré sur XXX lui avait dit avec des larmes dans les yeux, qu’elle pouvait vivre sa vie. En guise de réponse, elle répondit simplement que les autres hommes ne l’intéressaient pas. Ce fut un grand moment de déchirement, quand la porte s’était refermée. L’un et l’autre n’arrivaient pas à rompre les dernières minutes, d’une relation idyllique.
Bianca sombra dans la déprime pendant quelques mois avant d’être rattrapée par la vie, avec sa mère sombrant dans la vie d’Alzheimer. Ce nouveau « loisir » si difficile à vivre poussa un peu la déchirure précédente. Après l’avoir placée en maison de retraite spécialisée, elle s’était retrouvée. Retrouvée seule sans obligation autre que son travail, seule sans envie particulière. Pendant le premier confinement, la solitude devint pesante, elle ne pouvait même plus aller boire un verre avec ses copines du travail.
« Dans nos appartements, nous sommes comme enfermés dans des cages » lui avait dit une copine au travail. Pour Bianca ce fut comme un déclic. Elle avait toujours sa cage, une vraie cage à chien que Maitre Carl lui avait laissée, avec toutes leurs petites affaires de pets-play et d’autres accessoires BDSM. Pendant tout le trajet en transport en commun, elle ne pensa qu’à ça. Malgré les masques, les voyageurs pouvaient apercevoir la détresse de cette femme perdue dans ses pensées.
Arrivée chez elle, mue par une impérieuse envie de revivre, Bianca se rendit au garage pour ouvrir la malle poussiéreuse, contenant leurs petits secrets achetés sur un sexshop en ligne Tout était là, soigneusement emballé dans des poches plastiques. Contre le mur, la cage démontée semblait lui faire de l’oeil. Elle eut comme une décharge électrique quand elle l’attrapa pour la rentrer dans la maison. En se traitant de folle, Bianca l’installa dans la chambre puis remonta tous les éléments de son futur lit. Sans même prendre sa douche, après s’être mise nue, elle rapporta la fameuse malle devenant magique. Après avoir posé son collier qu’elle serra plus que d’habitude, Bianca suça le rosebud du plug queue de chienne pour le lubrifier et se le mit dans les fesses.
Dans la folie de cette envie de revivre sa vie de pets, elle réinstalla les gamelles sur le sol dans la cuisine, l’une avec de l’eau, l’autre avec une boite de Corn flakes avec du lait. Comme si elle était pressée, Bianca fonça dans sa chambre pour attraper ses genouillères, les ceintures, sa cagoule de chienne. Assise sur le lit, elle mit les genouillères puis plia les jambes pour les bloquer avec les petites ceintures. Après avoir mis sa cagoule, pour lier ses bras pliés l’un sur l’autre avec les ceintures, elle galéra un peu en maugréant.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle se vit dans le miroir de sa penderie. « Ça y est, tu es enfin revenue » se dit-elle à voix basse avant de se gronder, une chienne ne parle pas, descends du lit, tu n’as pas le droit d’y monter sans permission.
« Quelle conne, je n’ai pas éteint la lumière » pensa Bianca après être descendu du lit avec prudence. Elle s’avança à quatre pattes en appui sur ses genoux et ses coudes pour aller faire la belle contre le mur afin d’appuyer sur l’interrupteur avec son nez. Dans la pénombre de la chambre, elle distinguait encore sa cage, son refuge. Elle s’y précipita alors qu’en d’autres temps, elle râlait un peu quand Maitre Carl ne la voulait pas dans son lit. Roulé en chien de fusil, elle attendit tristement le sommeil. Il tarda à venir, elle avait perdu l’habitude de sa cage, chacun de ses mouvements lui rappelant sa condition de chienne, une chienne abandonnée, livrée à elle même, même pas conduite à la SPA.
Au milieu de la nuit, rattrapée par une envie pressante, elle quitta la cage quasiment à l’aveugle pour aller toujours à quatre pattes se soulager dans la douche. Si Maitre Carl avait appris qu’elle avait quitté sa cage sans permission, il l’aurait grondée. Sur le chemin du retour, tenaillée par une petite faim, elle se rendit à la cuisine en se disant qu’il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’imposer de rester dans la cage. Avant il arrivait que son Maître la verrouille pour l’obliger à attendre. Elle devait trouver le moyen de revivre son passée de pets comblée. Le nez dans la gamelle, elle grignota un peu de Corn flakes puis but un peu d’eau en lapant avant de retourner se coucher.
Il était là, il la tenait par la laisse et la prenait en position Doggystyle. Elle s’entendit couiner, ce qui la réveilla. Triste retour à la réalité que de passer du rêve à la réalité. « J’ai la chatte qui me démange » pensa vulgairement Bianca. Cela faisait un an qu’il était parti, un an de deuil, un an sans le moindre orgasme, sans le moindre plaisir solitaire. S’être remise à jouer seule, lui ouvrit les yeux, elle avait le droit de vivre sa vie de femme. Cette dernière pensée déclencha chez Bianca, le besoin de rêver et de fantasmer à nouveau.
Vivre sa sexualité avec un autre homme n’était pas concevable. Elle décida de chercher de quoi s’amuser seule, se faire plaisir en version BDSM. C’est sur ses pensées aussi coquines que motivées, qu’elle quitta sa cage et se libéra. A la suite de quoi, elle prit sa douche et un café devant son ordinateur. Après avoir réactivé son compte sur le nouveau Fessestivites, elle se lança sur les forums qui sont surveillés et où l’on trouve de bonnes idées, de bons renseignements. C’est là qu’elle tomba sur la rubrique selfbondage. Bianca avait déjà parcourus quelques scénarios de selfbondage, avec comme idée de trouver des trucs pour s’offrir entravée à son Maître, comme cadeau d’anniversaire.
Dans sa tête, les idées s’entrechoquaient, un an de sagesse et privation libéré en une nuit, cela fait faire quelques folies. Elle commença par suivre le lien indiquant comment trouver des cadenas électroniques. Cela lui permettrait de fermer sa cage sur une durée et surtout, de s’interdire d’en sortir. Et là, elle découvrir que sur ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***, il y a aussi des scénarios de selfbondage qui sont proposés avec certains produits.
Prise dans sa folie des achats, elle téléphona au bureau pour dire qu’elle était souffrante et que, par précaution avec ce covid, elle ne viendrait pas travailler.
- Cliquets de corde pour bondage et selfbondage x 2- Collier BDSM métalliques avec cadenas x 1- Un coffre électronique de BDSM ABDL ou chasteté- 2 sangles 2 mètres pour vos bondage et selfbondage x 2- Menottes poignets en métal x 2- Cadenas électronique bondage et selfbondage x 2
Elle en était là quand elle consulta son panier sur ABCplaisir, quand elle tomba sur le Lot sex-machine complet 225 coups par minute. Ce fut sa dernière folie dans ses achats compulsifs ! ! !
Après avoir fait « fondre » sa carte bleue, Bianca revint sur Fessestivites. Elle dévora tous les scénarios de selfbondage qu’elle découvrir dans les articles. Son but était simple : se former, apprendre, trouver des trucs et des astuces ! Nue sous son peignoir de bain, elle constata que ses tétons pointaient. « tiens, ils se remettent à vivre eux aussi » se dit Bianca. Naturellement attirés par son entrejambe, ses doigts trouvèrent les lieux très humides. Presque honteusement, c’est en regardant les vidéos de selfbondage qu’elle décida de se caresser. Le plaisir fut au rendez-vous « des anciens de la vie », les retrouvailles des doigts solitaires avec son intimité furent généreux et même épuisants.
- J’ai fait des folies sur ABCplaisir ! Se dit soudain à haute voix Bianca une fois rassasiée.
Pour mettre un terme à ses moment d’égarement, elle s’habilla pour aller travailler avec plus de deux heures de retard. Elle allait soudain mieux....
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Le soir même, Bianca recommença ses petites folies solitaires en vivant sa vie de pets-girl célibataire. Pour ses bras, elle ne mit pas les ceintures pour cause de petites douleurs aux coudes mais enfila les moufles en cuir sur ses petites mains. Une heure plus tard, elles étaient retirées, surfer sur Fessestivites avec des moufles, ce n’est pas pratique. Elle commença à faire des scénarios à la façon de Petifou-Selfbondage.
- Comment m’attacher au radiateur en guise de punition avec mon bâillon os.
- Comment fermer la cage pour une nuit- Comment utiliser la sex-machine comme si je n’étais pas volontaire
Dans chacun de ses scénarios écrits sur des fichiers Word, Bianca notait méticuleusement tous les détails. Pour la nuit imposée en cage, pour s’éviter de dormir dans son urine, elle avait même prévu une couche pour personne incontinente alors qu’elle déteste ça. Pour le scénario avec la sex-machine, elle avait décidé qu’elle ne devait pas pouvoir se soustraire avant la fin du temps décidé. Ce fut le scénario le plus compliqué à écrire et lui imposant même de faire des tests de position. Dans un état d’excitation avancé, elle voulut s’interdire de se caresser avant que les nouveaux accessoires ne soient livrés. Cette résolution ressembla à toutes celles prises le premier janvier.... « J’aurai aussi du prendre une ceinture de chasteté » se dit Bianca en se traitant de S......
Par chance, le colis fut livré le samedi matin. Elle put le réceptionner sans aller faire deux heures de queue à la poste. Rien que d’ouvrir le carton la mit dans tous ses états, tout comme la vue de la sex-machine et son phallus soudain très attirant. « J’ai du cicatriser en bas » se dit Bianca avec humour.
Une fois la porte et les volets fermés, elle testa le collier en premier. Il ne la quitta plus jusqu’au lundi. Elle mit en charge les cadenas électroniques puis étudia le fonctionnement du coffre électronique qu’elle testa sur deux minutes. Conformément à ce que qui était indiqué, il était impossible à ouvrir avant la fin du compte à rebours. Pour bien démarrer son week-end de pets, Bianca mit sa combinaison de chienne et sa cagoule préférée. Elle fixa une paire de menottes au radiateur puis les clés dans le coffre électronique. Les clés des menottes étant attachées avec de la ficelle à ses menottes comme le conseille Petifou-Selfbondage, quand le coffre s’ouvrirait elle n’aurait qu’à tirer sur la ficelle pour récupérer les clés. Par peur que le coffre ne fonctionne pas et sécurité, elle attacha le deuxième jeu de clés de menottes à son rouleau de ficelle à rôti qu’elle déposa le plus loin possible.
Tout étant prêt et sécurisé, Bianca s’entrava une heure au radiateur avec les poignets menottés. cette heure lui parut longue, et en même temps, l’excita un peu par le fait de ne pouvoir fuir. Elle décida qu’il faudrait qu’elle s’achète une chaîne pour s’attacher par le cou comme une chienne ou qu’elle essaye de coincer la laisse avec les cadenas électroniques.
Toujours très prudente, Bianca teste ensuite les cadenas électroniques pour voir s’ils s’ouvrent comme prévu. A la suite de quoi, elle se penche sur la sex-machine. Après l’avoir branchée elle joue avec la télécommande et découvre en se pinçant les lèvres de gourmandise, que l’oeuf vibrant et le mini gode sont aussi puissants voir plus que son Magic Wand Massager. Elle en ouvre et ferme ses cuisses d’excitation.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence !
Bianca imprime son scénario puis se rend dans sa chambre pour l’installer. Placée au fond de sa cage, la machine ne pourra pas reculer. Pour s’interdire toute fuite en avant, elle a prévu de mettre une ceinture avec un cliquets de corde qui sera fixée au barreau. Avec deux autres cliquets de corde fixés également à sa ceinture, elle s’interdira de fuir sur les côtés.
Pour ses poignets, Bianca a prévu les deux paires de menottes, une de chaque côté de la cage avec les cadenas électroniques. Ainsi, si l’un tombe en panne, l’autre lui libèrera une main menottée ce qui lui permettra alors d’attraper les clés posées devant elle.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Bis)
Pour être encore plus dans l’ambiance de chienne couverte à un mâle assoiffé de sexe, elle se met son bâillon os. Au lieu de mettre sa queue de chienne, Bianca décide de se mettre l’oeuf vivrant de la sex-machine dans les fesses. Elle serre ses cuisses et ses jambes avec des ceinture pour avoir encore plus la sensation d’être prisonnière. Elle n’a pas besoin de lubrifiant quand elle entre à reculons dans la cage, le phallus glisse en elle sans difficulté. Avant de tendre les cliquets de corde, elle fait un petit essai et savoure avec délice les premiers mouvements. « Je vais m’éclater comme une folle » si dit Bianca en tendant un peu trop les 3 cliquets de cordes. Elle ne peut ni bouger sur les côtés ni avancer.
Dans son état d’excitation démesuré, elle règle les cadenas électroniques sur une heure puis, passe la menotte dans l’anneau du cadenas électronique. Elle démarre la sex-machine puis l’oeuf vibrant. Les yeux fermés et en mordant son bâillon, Bianca savoure les vibrations anales et le phallus s’enfonçant en elle à un rythme régulier. « Ça va être l’extase totale » se dit elle en décidant d’accélérer un peu la vitesse du phallus.
Elle décide donc de finir son selfbondage de pets à faire « couvrir » en fermant la deuxième paire de menottes. Elle a donc les bras écarté fixés aux angles de la cage, elle ne peut pas avancer ni même bouger sur les côtés, la ceinture et les cliquets de corde l’en empêchent.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Ter)
Toutes les conditions sont réunies pour qu’elle s’éclate et « se fasse défoncer » longuement en étant entravée. Sentant le plaisir arriver, sans penser à la durée, Bianca pousse la machine à son maximum ainsi que la puissance de l’oeuf dans le creux de ses reins. Et dans ce moment de folie, elle jette aussi loin que possible la télécommande. Grossière erreur ! ! !
Grossière erreur car 225 coups par minute c’est vraiment beaucoup. Si c’est extraordinaire sur une courte durée avant la jouissance, pendant la jouissance c’est ..... trop. Trop bon la première fois, puis, lorsque les jouissances s’enchaînent, c’est trop rapide, trop fort, trop puissant.
L’orgasme est fulgurant, Bianca mord le bâillon os comme une folle pour ne pas hurler. La machine ne ralentissant pas tout comme l’oeuf dans ses fesses, un autre orgasme arrive quasiment de suite. Elle essaye en vain d’attraper la télécommande pour ralentir la machine. Jetée trop loin, il lui est même impossible d’attraper le fil pour la tirer. Elle n’est qu’à une quinzaine de centimètre de ses doigts tendus. Foudroyée par un autre orgasme, elle abandonne cette idée et essaye de se libérer car une heure à ce rythme là, c’est inconcevable.
Ce n’est pas d’empiler les jouissances qui n’est pas concevable, mais les 225 coups « de bite » par minute pendant une heure. 13 500 coups calcule la chef comptable reine des chiffres, cela va me massacrer si cela ne me tue pas se dit Bianca. A bout de souffle avec un énième orgasme, la tête posée sur le sol, elle est à deux doigts de perdre connaissance. Tout son corps tremble, ses mains, ses jambes. Elle ruisselle de transpiration et bave lamentablement.
Pleurer de trop jouir semble fou, et pourtant, c’est ce qui arrive à Bianca épuisée physiquement et nerveusement. Elle en arrive parfois à se cogner la tête par terre. « Oh mon dieu, cela commence à chauffer dans ma chatte » se dit Bianca terrorisée à l’idée d’être brûlée. Soudain sa vessie lâche, le plaisir revient, elle jouit encore et s’écroule à pendre dans sa ceinture avec la tête posée sur le sol. Le carrelage froid finit par la réveiller, quand elle ouvre les yeux, il ne reste plus que deux minutes sur le cadenas électronique bloquant sa main droite, celle qui est si proche de la télécommande. Deux minutes de défonce, de vibration et enfin l’ouverture. Si elle ne peut se libérer de suite, elle peut au moins arrêter la sex-machine et les vibrations.
Son premier réflexe est ensuite d’ouvrir la ceinture et de s’allonger sur le ventre. Geste arrachant le phallus de son chaton enflammé. Il lui faut un moment pour parvenir à reprendre ses esprits. C’est à quatre pattes qu’elle se rend à la douche, se lever serait trop dangereux. L’eau froide heurte sa tête, la tire de son état semi comateux. L’eau se réchauffe progressivement elle reste couchée dessous dans sa douche à l’italienne pendant un petit moment avant de parvenir à couper l’eau.
- J’ai du rattraper un an de jouissances en une heure ! Dit Bianca à haute voix dans sa salle de bain.
Lorsqu’elle porte la main à son sexe, l’irritation est telle qu’elle n’envisage pas de se laver de suite. Une crème réhydratant est obligatoire avant toute chose. Arrivée à la cuisine avec peine, il lui faut manger, n’importe quoi mais manger. Bianca ouvre le réfrigérateur et attrape ce qui peut être consommé comme ça sans préparation. Le camembert innocent est mordu par une chienne affamée. La bouteille de Yop est presque vidée en une seule fois.
Une sonnerie bien connu se fait entendre sur son téléphone, c’est celle de Maitre Carl. Son coeur se serre soudain. Un an sans nouvelle, sans aucune réponse à mes messages, pourquoi lui répondre quand il claque des doigts ? Pense Bianca.
- Qu’il aille au diable !
Bianca se couche, dans son lit cette fois et dort douze heures d’affilées. En remontant sur Fessestivites le lendemain, elle découvre que Maitre Carl lui a adressé un message lui indiquant qu’elle devrait lire l’email qui lui a adressé. Email dont le contenu ne doit être dévoilé à personne.
Mue par la curiosité, Bianca se rend sur sa messagerie personnelle. A la lecture de l’email elle fond en larmes.
..........................
Ma chère Bianca, mon amour,
Ce message ne doit jamais être dévoilé pour éviter un scandale et une guerre diplomatique, je compte sur ta totale discrétion. Supprime-le après lecture.
Après mon départ, je ne suis pas arrivé à l’ambassade. On m’a enlevé à l’aéroport. J’étais en captivité et l’objet de négociations entre le Pakistan et la France. Je ne peux rien te dire de plus, je n’en ai pas le droit.
Je suis enfin de retour, je t’aime et tu me manques cruellement. J’ai eu tout le temps de penser à toi, à nous. Acceptes-tu de m’épouser si je m’engage à devenir sédentaire.
Si tu refuses, je comprendrai que un an sans nouvelle, a de quoi justifier un refus de ta part. je ne t’adresserai plus aucun message si tu ne me réponds pas. Peut-être as-tu refais ta vie, chose logique, un an, c’est long surtout si tu as pensé que je t’ai abandonnée.
« Ouaf »
...........................
Le mot « Ouaf » était un des jeux de communication entre eux, envoyé par texto il signifiait « je t’aime ». Deux « Ouaf » était un code signifiant « je te veux en chienne quand je rentrerai ».
EPILOGUE
Maitre Carl n’est plus jamais parti à l’étranger, hormis en vacances avec sa « chienne », évidement. La sex-machine a été utilisée, mais cette fois, n’a été que jouissive.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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Hidden Side
Bianca aurait dû mesurer un peu plus son impulsivité… mais on sait bien que dans l’excitation du moment, une erreur est vite commise. Morale ? Toujours commencer doucement et tester ! Merci pour ce récit « prenant » 
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20/12/25
Je me prénomme Fabien, j’ai 32 ans, aujourd’hui je suis bi à 200% mais mon parcours sexuel est un peu tordu… c’est le moins que l’on puisse dire !
J’ai réellement commencé ma vie sexuelle à l’âge de 17 ans, au bahut, fin septembre j’avais fricoté avec Elsa un petite brunette au cheveux longs qui me faisais kiffer grave, elle m’allumait bien et nous avons poursuivi notre aventure tous les deux pendant toute l’année scolaire, elle aimait le sexe la coquine, on découvrait mutuellement les plaisirs charnels, elle adorait me sucer longuement en me palpant les couilles, elle était douce et très tactile, nos ébats se produisaient la plupart du temps chez moi car mon père était parti toute la semaine sur les chantiers dont il avait la charge dans l’est de la France et ma mère travaillait en équipe de 13h à 20h dans une usine de textile de la ville, Elsa s’était totalement épanouie côté baise, nous avons testé pratiquement toutes les positions du Kamasutra et cette coquine m’a rapidement demandé de la sodomiser... Au départ j’étais très hésitant mais j’ai rapidement admis que c’était une nouvelle voie pour pleinement la satisfaire… ce qui fut le cas ! Nous baisions comme des malades dès que l’occasion se présentait.
Donc nos fins de cours étaient souvent transformées en plans « baise ». Nos ébats ont duré toute l’année scolaire, puis les parents d’Elsa ont déménagé en Bretagne, on se téléphonait au début mais rapidement les conversations ne remplaçaient pas nos ébats tendres, sensuels et vigoureux dans ma chambre ou au bord de la Loire… Ensuite je me suis fait quelques nanas du bahut mais jamais je n’ai retrouvé la fougue vécue avec Elsa… et par ailleurs aucune d’entre elles n’acceptait la sodo… moi qui en avait pris goût, j’étais un peu frustré !
A cette époque, aucun doute j’étais un vrai hétéro !
Puis mon orientation s’est trouvée chamboulée au cours d’une soirée entre potes, nous avions tous entre 19 et 20 ans, j’avais été invité à l’anniversaire de Yoan, un mec que je côtoyais au club de judo, je le savais gay et ça ne me dérangeait en rien, d’autant qu’il y en avait pas mal dans le club et quelques-uns avaient été invités pour l’occasion. La soirée en question s’était déroulée dans le grand délire, la musique, l’alcool et la fumette nous avaient bien chauffé et en milieu de nuit alors que nous étions une quinzaine dans un état bien avancé, Yoan qui était bien connu pour être un exhibitionniste en public, entrepris un striptease monté sur la table parmi les assiettes, les verres et les bouteilles vides… l’un de ses potes avait mis une musique de circonstance et bien sûr étant tous bien chauds nous l’encouragions par nos sifflets et nos applaudissements… Il balançait ses fringues au-dessus de nos têtes jusqu’à se retrouver en tanga blanc qui lui moulait son petit cul de pédé à la perfection et son service trois pièces formait une proéminence assez impressionnante que je me suis surpris à mater avec plaisir et insistance, chacun d’entre nous tout en le sifflant venaient lui caresser le cul et lui palper le paquet…ce qui déclencha rapidement chez lui une belle érection, jusqu’à ce que l’un de ses potes gay lui descende d’un coup son tanga jusqu’aux chevilles, Yoan continuait de se trémousser au son de la musique en exhibant avec fierté et excitation sa queue raide et sa paire de couilles pendantes, le tout rasé de près ! Son corps totalement imberbe était super beau… Ce con commençait à faire bander ses potes dans les calcifs, mais pas que, puisque moi aussi, ce petit con, m’avait déclenché la trique… Ce striptease improvisé avait surexcité toute l’assistance et ses potes gays ont tous commencés à se déshabiller aussi… Puis naturellement Yoan a soudainement crié : « Allez les mecs, tous à poil bande de pédés ! », et là personne n’a vraiment hésité… Même moi je me suis surpris à tout virer très vite, en moins de cinq minutes il y avait des culs et des queues à demi-molles ou raides qui se trémoussaient, on piétinait nos fringues jetées à même le sol et très vite la petite communauté homo a commencé à se sucer et se doigter… pour les quelques hétéros présents… nous n’avions pas de nanas à nous mettre sous la dent, donc presque naturellement nous avons suivi le rythme en nous caressant mutuellement les fesses… mais comme nous n’étions plus vraiment dans notre état normal, certains ont décidé de sucer ou de branler leur voisin… C’est ainsi que cette soirée anniversaire avait totalement dégénéré en partouze 100% masculine ! C’était la première fois que je découvrais des mecs s’enculer entre eux !... Et pour être franc, ça m’excitait beaucoup…
Pour ne pas être en reste je m’étais laissé me faire branler la queue par deux ou trois mecs et sucer par deux jeunes pédés que je qualifiais de super beaux mâles… J’ai même déchargé dans la bouche d’un blondinet aux cheveux bouclés qui, tout en me suçant goulument, me doigtait l’anus profondément avec son majeur… ce petit salaud… Et je découvris rapidement que ça me faisait bander !
Au cours de la soirée Yoan tout en me roulant une pelle et en me palpant l’entrejambe avait dans la foulée tenté de me pénétrer en m’enduisant généreusement le cul de gel, il n’a pas réussi, j’étais tellement stressé que mon anus s’était refusé à s’ouvrir à son pieu long et raide et son gland exagérément décalotté. Certains autres copains avaient réussi à « Sauter le pas » si j’ose dire, histoire de ne pas mourir idiots, d’autres s’étaient contentés comme moi de se faire pomper ou sucer une ou deux queues.
Cette soirée m’avait marquée, moi le Fabien baiseur de nanas… je m’étais retrouvé à terminer à poil au milieu d’une quinzaine de mecs en train de se sucer, se branler, se doigter et s’enculer sans vergogne, tout en exhibant mon corps nu sans aucune retenue !!!
Après cette expérience inattendue, je suis bien resté quelques mois sans sexe… Les nanas semblaient ne plus m’attirer plus que ça, mais par contre côté mecs… cette soirée inoubliable m’avait ouvert les yeux… Et pas que !... Je reconnaissais y avoir pris du plaisir, tous les soirs j’allais sur des sites gays et me branlais sans aucune retenue devant mon écran qui m’offrait de beaux mâles qui se suçaient et s’enculaient avec entrain… Je m’auto-pratiquais « l’edging » jusqu’à la douleur, rapidement j’ai acheté un plug métal puis un beau gode en silicone qui accompagnaient généreusement mes soirées en solo en projetant sur mon écran géant des scènes de gang bangs entre mecs montés comme des taureaux… J’avais basculé dans le monde gay.
A plusieurs reprises Yoan m’avait fait du gringue et un soir il m’avait entrainé pour prendre un pot dans un bar gay du Marais… et là je me sentais peu à peu attiré vers ce beau jeune homme châtain clair aux yeux verts amande et aux lèvres fines et bien dessinées, son regard et son sourire m’avaient conquis, nous sommes descendus en sous-sol dans le « dancefloor » où l’ambiance était nettement plus hot et là nous nous sommes enlacés, embrassés, roulés des pelles, tripotés… le tout devant des consommateurs mâles qui se palpaient l’entrecuisse en nous matant… Je pense que c’est à cette époque que je suis devenu de plus en plus « exhib ». Nous avions terminé la soirée chez lui… Et là, j’ai vraiment connu mon baptême du cul, il m’a godé avec délicatesse puis baisé à plusieurs reprises, je l’ai pompé comme jamais je n’aurai osé pomper une queue de mec, il m’a jouit dans la bouche et sans retenue j’ai avalé son nectar, ce jour-là je me suis dit que j’étais devenu un vrai pédé, même si j’avais hurlé de douleur au début, ce fut rapidement gémit de plaisir de me faire mettre par une belle queue bien raide ! Et de ce jour, j’éprouvais beaucoup de plaisir à avaler le sperme chaud que mon ou mes partenaires m’éjaculaient en bouche. Nous sommes restés amants plus de six mois, Yoan m’avait présenté ses potes gays, ils pratiquaient tous des gang bangs entre mecs, fréquentaient les saunas et bars gays… et moi je suivais toute cette bande de joyeux pédés et me faisais prendre pratiquement à chaque sortie nocturne, j’étais devenu une vraie chienne, parfois j’en enculais un, mais mon kiffe c’était surtout de jouer le passif soumis… Me faire tringler et avaler le nectar de ces jeunes tarlouzes en mal d’anus ou recevoir une bonne faciale par un ou plusieurs éjaculateurs dominants.
Du coup pendant près de huit ans je ne me suis fait pratiquement que des mecs, volontairement je m’étais fait pousser les cheveux jusqu’aux épaules… Je portais des Jean’s serrés déchirés au niveau des fesses ou des pantalons ou shorts « moule-bite », je portais des strings en lycra ou des jocks Addicted… Certainement une forme de féminisation inconsciente et recherchée, mon côté salope non totalement affirmé, mais au moins la volonté de montrer mon côté passif, j’étais devenu un adepte inconditionnel de la communauté gay branchée, j’étais vraiment devenu accro à la bite, il ne se passait pas une semaine où nous n’organisions pas une rencontre chaude entre quatre ou cinq homos, bar, soirée privée, club gay, sauna, hammam, ciné… et chaque fois mon envie de terminer la soirée dans les bras d’un mec… et surtout de me prendre un bon membre bien raide dans le fion ou pratiquer une gorge profonde avec une grosse dose de sperme épais à avaler !
Il m’est arrivé très rarement dans cette période « mecs » de me faire une nana à l’issue de quelques soirées entre amis mais rien de sérieux et surtout, il était évident que je ne m’éclatais plus à baiser une femme, d’abord parce que je trouve, toujours aujourd’hui, que les mecs sucent beaucoup mieux que les nanas et sont plus à même de donner le plaisir qu’ils en attendent eux-mêmes d’autres mecs et surtout désormais, la pénétration c’est moi qui aime la recevoir, sentir une queue s’introduire en moi, me labourer longuement et sensuellement et vivre un orgasme extrême… Recevoir les jets chauds et fournis dans mes entrailles ou recevoir des giclées de sperme chaud et gluant sur mon visage c’est un véritable bonheur indescriptible.
Pour être honnête, je ne savais plus trop me définir… Étais-je devenu un vrai pédé, un hétéro déçu ou en transit ? Ou bien peut-être plus exactement un bisexuel ?
C’est donc vers mes 28 ans après avoir renoué presque par hasard avec une nénette un peu nympho au look « garçonne », elle se prénommait Kathy, elle m’avait accaparé car soi-disant envoûtée par mon look de mâle ambigu avec mes cheveux longs, mes yeux verts-amande et mes sous-vêtements sexy, mon humour et curieusement par mon attirance pour les mecs… C’est là que j’ai officiellement admis que les deux sexes m’attiraient avec cependant une préférence assumée pour les beaux mâles, ce qui ne la choquait pas plus que ça puisqu’elle m’avait avoué se taper des gonzesses de temps à autre.
Son look de garçon manqué avec ses cheveux très courts qui tranchait avec mon look ambigu, sa poitrine quasi inexistante, en Jean moulant et sa démarche peu féminine a certainement joué pour mon rapprochement avec elle… Plus d’une fois, j’imaginais être avec un beau jeune minet… D’ailleurs je ne lui avais pas caché cette confusion des genres, ce qui ne lui déplaisait pas du tout, bien au contraire !
Elle aimait rencontrer mes potes de baise, avec elle j’ai dû me rééduquer à baiser correctement une nana, mais au moins maintenant je connaissais parfaitement le plaisir voire l’orgasme de se faire sodomiser, et d’ailleurs elle se faisait un plaisir de me goder avec de beaux gabarits que nous choisissions ensemble dans les sex-shops de la ville !... Elle me réclamait souvent la coquine et elle n’hésitait pas à me dire : « Vas-y sodomise-moi et imagine que tu encules un beau minet pédé comme un phoque ! »… Pour moi dans mon imaginatif ça fonctionnait parfaitement… Je bourrais le cul de Kathy en m’imaginant baiser un jeune minet passif, je peux même avouer que je bandais plus vigoureusement en pensant à un jeune pédé !
Puis petit à petit, je me suis fait au rythme de me faire la chatte de Kathy et la bite d’un pote, elle le savait et y trouvait apparemment une certaine excitation la coquine, jusqu’au jour où elle m’a demandé d’inviter un de mes potes à passer la soirée à la maison…. En me disant : « Tu me dis que tu aimes encore la bite, mais j’aimerais bien te voir en « live » branler et sucer un mec et te faire enculer ! »
Cette demande incongrue sur le coup, me paru audacieuse voire excitante… J’ai donc invité Maxime un beau brun de type méditerranéen d’à peine trente ans et bien monté pour le recevoir assez régulièrement en moi, lui est bi et aussi plutôt orienté mec, mais c’est un actif qui assure et ce qui ne gâche rien bien gaulé !
Donc un vendredi soir d’Avril, nous l’invitons avec ma chérie et après avoir consommé un brunch pas mal arrosé au salon, Kathy entre nous deux commença à me déboutonner ma chemise, dégrafer ma ceinture et ouvrir ma braguette laissant apparaître mon string cuir noir et ma bosse bien galbée… Puis elle vira son chemisier, se retrouvant en soutif de dentelles rouge, elle dégrafa son pantalon moulant et ouvrit largement sa ceinture pour y laisser apparaitre son tanga de dentelles… puis elle décida de faire subir le même sort que moi à Maxime qui se laissa faire sans sourciller, elle vira son tee-shirt, dégrafa sa ceinture et zippa sa braguette pour découvrir un jock jaune Addicted et une belle bosse entre les cuisses… les hostilités étaient lancées !
Une main dans chaque pantalon elle se mit à nous palper nos paquets respectifs, puis au bout de cinq à six minutes de palpations insistantes, nous virâmes pantalons et sous vêt afin de lui proposer nos queues raides et nos glands déjà humides… Elle se mit à genoux face à nous qui étions assis jambes écartées, elle entreprit de nous sucer en alternance, et moi, toujours attiré par les queues, je n’ai pas tardé à branler Maxime puis le sucer à mon tour. Nous avons tous terminé totalement à poil sur le grand canapé d’angle, Kathy s’engouffrant à tour de rôle nos teubs bien raides pendant que moi et Maxime nous nous roulions des pelles bien salivées. Cette petite chienne de Kathy se délectait de voir deux mecs se palucher et se rouler des pelles devant elle.
Soudain, Kathy a prié Maxime de la sauter devant moi… Comme je suis partageur… et voyeur, sa demande ne m’a pas choqué outre mesure, d’autant que la soirée était bien prévue pour quelques dérives sexuelles consenties… J’ai donc donné mon accord d’un clin d’œil complice à mon pote et me suis mis en mode observateur à les mater… Maxime a commencé à la doigter et lui lécher la chatte, engloutissant comme un vorace l’abricot bien épilé de ma petite chienne, puis je me suis délecté de les voir s’ébattre devant mes yeux brillants d’excitation et ma queue entre les mains, je me suis masturbé vigoureusement au rythme des gémissements de ma petite salope, puis excité par leur jeu, je me suis approché face à Kathy et lui ai enfourné ma queue en gorge profonde et lui baisa la bouche vigoureusement jusqu’à lui tapisser la gorge de mon nectar par grandes giclées pendant que Maxime lui limait la chatte avec virilité et lui balançait sa purée dans les entrailles.
Une fois ma nana remplie par les deux bouts et satisfaite de son sort, nous avons décidé de vider une bouteille de rhum arrangé au gingembre-coco… Puis après une bonne demi-heure de consommation, bien chargée, Kathy m’a exigé de me faire sodomiser par Maxime, elle rêvait depuis longtemps pour me l’avoir souvent demandé de me voir me faire mettre par un autre mec !
Elle sait la coquine, combien j’entre en transe lorsqu’elle m’introduit son gros gode dans le cul lors de nos relations… Elle n’hésite pas d’ailleurs dans ces cas-là à me traiter de tafiolle ou de chienne.
Pour moi ce challenge n’avait rien d’extraordinaire ou d’impossible puisque j’offrais régulièrement et depuis de nombreuses années mon anus aux queues qui le réclamaient, j’étais depuis quelques années une bonne lope avide de queues et de jus ! La seule grosse différence c’est que ce soir-là, j’allais me faire mettre devant ma copine !... Une première pour moi !
Une situation super excitante et une preuve irréfutable pour elle que je réunissais toutes les preuves de ma bisexualité affirmée !
Je ne me suis pas fait prier et me suis mis en position de vraie pute, en levrette, sur le tapis du salon, tendant exagérément mon cul à Maxime… Mon anus en demande était déjà bien ouvert, Maxime ne se fit pas prier non plus pour commencer à me lécher la raie goulument puis entreprit de m’enfoncer un, puis deux doigts, dans le fion qu’il avait pris soin de mouiller de sa salive histoire de bien me travailler le trou bien accueillant, cette séance de pré-enculage à durer au moins dix minutes, c’est un expert le Maxime, il sait exciter la prostate de ses proies masculines avec une dextérité experte… Dans ce cas les gémissements et supplications arrivent très vite… Puis il prit le gros gode noir et bien veiné que lui tendait Kathy pour me préparer l’anus à son introduction, il bandait comme un cerf en rut le salaud, c’est Kathy qui enduisit de gel le gros gode noir et Maxime me tartina aussi le cul du gel pour m’enduire abondamment le trou.
Elle, enchantée de vivre cette copulation masculine me lança : « Allez Fabien, ouvre bien ton trou de pédale et enfile-toi ce gode profondément avant de recevoir la belle bite de Maxou… Il baise comme un Dieu, je viens d’en profiter ! »
Le fameux Maxou, comme venait de le baptiser ma chérie m’enfila ce mandrin de silicone dans les entrailles en assurant des mouvements de va-et-vient bien rythmés après me l’avoir enfoncé avec délicatesse en plusieurs fois, les 22x5 me comblèrent rapidement, j’avais l’impression de me faire mettre par un black bien gaulé… après une bonne dizaine d’aller-retours et une fois retiré avant de le balancer au sol… mon anus avait une allure de grotte prête à être visitée, il m’enfila ses 18x4 bien tendus et son gland décalotté presque d’un seul coup, il faut dire que Kathy l’avait bien préparé en le branlant pendant la séance de godage qu’il m’avait fait subir, je sentis rapidement son gland en moi et sa grosse paire de couilles venir me taper les fesses à chaque coup de boutoir… Trop bon !!!
Durant cette séance sodomique entre mon pote et mon cul, Kathy n’avait pas résisté à faire une vidéo de son chéri qui se faisait enculer comme une pute par un de ses potes ! Elle riait aux éclats : « Oh c’est trop top, maintenant j’en ai la preuve, tu es vraiment un enculé de première mon petit Fabien !!! »
Cette salope se masturbait la chatte en nous filmant, j’étais sûr qu’elle partagerait prochainement cette vidéo avec sa meilleure copine Elsa… Encore une allumée du sexe celle-là !
Maxime termina de me labourer le cul avec une vigueur de ouf, j’avais le fion en compote tellement il m’avait enfoncé son pieu au plus profond avec des coups de boutoir trop viril pour moi pendant près de dix minutes, soudain je sentis plusieurs jets chauds en moi me tapisser les entrailles au moment où il envoya un râle de jouissance impressionnant tout en me serrant les fesses contre son bas ventre surexcité, puis au sortir de sa longue queue toute raide et bien veinée, son gland enduit de sperme continuait de cracher sa semence dans ma raie… et mon anus recrachait par saccades le trop-plein de foutre qui venait se perdre sur le tapis du salon.
Quel pied pour nous deux ! Et quel tableau réjouissant pour notre voyeuse-branleuse qui venait de voir son compagnon de lit se faire sodomiser comme une vraie chienne en chaleur.
Maxime poussa le vice à me lécher la raie pour nettoyer le surplus de sperme dégoulinant de mon anus martyrisé encore béant, puis dans la foulée me roula une pelle avec sa bouche pleine de mon sperme que nous avons avalé ensemble.
Après ces ébats gros consommateurs d’énergie, et tous les trois à poil dans l’appartement dont les radiateurs avaient été réglés volontairement sur 24°C, je suis allé chercher une bouteille de Champagne au frigo, après l’avoir versé dans les flûtes j’ai trempé ma queue à demi-molle dans ma flûte et l’ai fait lécher à mes deux compagnons de baise en guise de remerciements, puis nous l’avons dégusté tous les trois, tout en nous congratulant de cette soirée fort agréable. Ensuite direction la douche à l’italienne où notre trio se savonna mutuellement et généreusement les parties intimes… Kathy ayant poussé la plaisanterie de nous masturber à nouveau sous les jets chauds de la douche jusqu’à nous faire cracher une nouvelle fois nos dernières réserves de sperme en nous pressant les couilles pour s’assurer qu’elle nous avait bien vidé jusqu’à l’ultime goutte de nos nectars blancs et épais.
Je dois avouer que nous avons reproduit plusieurs fois ces rencontres bisexuelles avec Kathy, Coralie une de ses amies, Maxime et moi … Et toujours avec autant d’excitation dans le mélange des sexes…
Notre liaison intime avec Kathy a duré cinq ans, puis elle a fait connaissance d’un militaire plus jeune que moi et bien gaulé qui fut muté à Orange et elle l’a suivi, mais on communique souvent ensemble, son nouveau compagnon est lui aussi bi et elle continue de prendre son pied en club libertin en sa compagnie… Mon seul regret est de ne pas m’avoir fait ce beau militaire avant son départ.
Quant à moi, aujourd’hui je vis en célibataire… mais rares sont les semaines où mon lit XXL ne reçoit pas quelques invités qu’ils soient hommes ou femmes… ou les deux en même temps !
Lorsque je reçois, j’aime accueillir mes hôtes totalement nu sous mon tablier de cuisinier, en général ils aiment tous ça, je suis un fin cordon bleu, ce qu’ils apprécient tous, je prends mon pied à les recevoir ainsi, c’est vraiment super excitant de cuisiner à poil, j’adore qu’on me plote les fesses lorsque je prépare un plat qui mijote doucement ou qu’une main s’égare sur ma queue à demi-molle sous le tablier ou encore un doigt humide qui vient délicatement me sonder l’anus, sans renier évidemment une langue qui vient délicatement me lécher la raie alors que je touille avec amour une bonne sauce… Et avant que je largue la mienne !
Une fois cependant, ma confiance m’a trahi, car j’avais invité trois potes pour un dîner très rapproché… ils devaient arriver entre 18 et 19h, et vers 17h45 la sonnette retentit, je sortais tout juste de la douche et étais déjà à poil sous mon tablier en vue d’accueillir mes invités… Je vais ouvrir… et là surprise c’était un livreur de chez DHL qui me livrait une commande de fringues… Ô surprise pour nous deux ! Après un léger recul et une réaction de curiosité de mon jeune livreur black découvrant mon mini tablier rouge sur lequel une marmite fumante exhibait deux belles bites croisées en érection en guise de couverts, il s’est excusé de me déranger tout en me matant, étant très exhib, j’ai volontairement tourné sur moi-même et accroupi pour poser le colis histoire qu’il découvre bien mon cul derrière les petites cordelettes pendantes dans ma raie bien lisse… Un vrai plaisir pour moi car j’aime la provoc… Il me sourit, j’ai signé sa tablette et il est parti en me souhaitant une bonne soirée… Tout compte fait j’étais super content de moi !... Je l’aurai été doublement si en guise de pourboire il m’avait sucé, mais mon audace n’a pas été jusque-là… Je garde espoir que cela se produise un jour.
Inutile de vous dire que je me suis empressé de raconter cette anecdote à mes potes dès leur arrivée.
J’organise assez souvent des dîners de ce genre chez moi car ces soirées débutent souvent dans ma cuisine, chacun se délectant de me mater, me caresser, me palper, me lécher, me doigter, m’embrasser à tour de rôle alors que je prépare mes canapés ou mes petits plats gourmands, j’en ai fait pratiquement un rituel car ça m’excite un max et mes invités sont très réceptifs à ce scénario en guise de préliminaires à notre soirée…. En plus de savoir qu’ils vont saliver en dégustant mes petits plats préparés avec amour… Une belle bande de pédés-gourmets comme je les appelle.
Il arrive que ces soirées intimes soient mixtes mais jamais plus de six… Mon appart n’est pas un château !.. J’aime aussi inviter un couple inhabituel rencontré en club libertin, ça permet de varier les culs et les queues.
En général les nanas adorent le cul des mecs… et elles me le font bien savoir… et le mien, bronzé, lisse, doux et légèrement galbé, ne fait pas exception, ceci dit mes potes en sont aussi très friands !
La plupart du temps, lorsqu’ils arrivent, il ne s’écoule pas plus d’une demi-heure avant qu’ils ne se retrouvent tous en slip, boxer, jock ou string ou carrément à poil afin de ne pas faire tache dans le décor ! Ils commencent à se caresser et se palper en trempant leurs doigts dans la sauce ou en se badigeonnant les fesses de farine ou de sucre glace.
Dans ces conditions ça dégénère très vite en fellations !!! Une pipe au sucre-glace c’est un délice pour un mec ou une nana qui aime le sucré… et la bite évidemment…
Et en fin de repas mes invités apprécient aussi de se taper une queue au rhum arrangé en guise de dessert… Nous sommes en général très créatifs dans ce domaine.
Inutile de dire que mon tablier dans ces conditions se retrouve vite à l’horizontale… Je suis hyper fan de voir des mecs en sous-vêtements sexy aux contenus bien galbés, c’est pour moi la meilleure façon de débuter une soirée hot, mater les paquets et toucher le textile est un excitant naturel en ce qui me concerne qu’il soit lycra, dentelles, mesh, transparent, cuir ou élasthanne… je me mets à bander comme un taureau… et que ce soit une queue avec paires de couilles ou une chatte à l’abricot épilé à l’intérieur !
Et mes potes le savent car ils viennent toujours avec des sous-vêt à faire péter les braguettes, quant aux nanas elles me font entrer en transe avec des strings dentelles, bas sexy et porte-jarretelles… Je me serai bien vu vendeur dans un magasin de sous-vêtements en fait, pour ma part je suis un gros client dans ce genre d’achats.
Pour en revenir à ma cuisine, le plan de travail est souvent utilisé par mes potes (et moi-même) pour faciliter la sodomie, une jambe au sol et l’autre repliée sur le plan de travail et l’anus est parfaitement prêt pour une intro gourmande.
J’adore me faire prendre dans ma cuisine, j’ai vraiment tout d’une petite salope et mes potes en usent et en abusent pour mon plus grand plaisir… Et je peux vous assurer que l’huile alimentaire est un excellent produit de massage et de masturbation !... Plus d’une fois je me suis retrouvé avec le cul badigeonné d’huile d’olive pour faciliter l’intro d’une queue elle aussi bien huilée !... Ça rentre et ça sort avec une facilité déconcertante !... C’est Kathy qui m’avait habitué à ce rituel huileux avec sa collection de godes gros calibres.
Pour en revenir à mes activités bisexuelles, je fréquente régulièrement un ou deux clubs libertins de la région, j’y vais accompagné d’une ou deux copines et potes adeptes du sexe libre, rares sont les fois où la soirée ne se termine dans un des salons privés en partouze à quatre ou cinq ou je baise et/ou me fait baiser en fonction des partenaires et de leurs fantasmes à assouvir et de nos pulsions sexuelles réciproques.
Par ailleurs je pratique depuis peu le yoga nu dans un club masculin, une fois par semaine durant une heure et demie on se retrouve à huit ou dix pratiquants et un jeune coach indonésien de 28 ans, gay et beau comme un dieu et souple comme un roseau, c’est une pratique extrêmement sensuelle où nos corps nus se frôlent, se caressent dans des positions traditionnelles de yoga, une pratique où il y a de plus en plus d'adeptes à la recherche d'une connexion profonde avec soi-même et avec les autres… en l’occurrence, là ,avec d’autres hommes… Quel pied, on prône l'harmonie entre le corps et l'esprit et le tout accompagnés d’une musique zen… C’est véritablement un moment de grande sensualité, le dernier quart d’heure est souvent consacré aux attouchements plus intimes…et aux prises de rendez-vous coquins, J’adore ce concept !!!
Ainsi ma vie privée est rythmée par la pratique des deux sexes, je conserve volontairement un look ambigu avec mes cheveux longs et mes Jean’s moulants, je suis attiré par les nanas au look plutôt masculin et les mecs actifs entre 25 et 45 ans qui sont fans de sous-vêtements sexy, j’aime bouffer les clitos humides et pénétrer les chattes bien épilées, j’adore sucer les queues et les couilles rasées de près, bouffer des culs qu’ils soient masculins ou féminins, avaler le sperme chaud et épais, je me délecte d’une bonne faciale infligée par un ou plusieurs partenaires et sucer une chatte dégoulinante… mais ce que j’aime en priorité c’est offrir mon cul de passif à une belle queue garnie d’une belle paires de couilles bien lisses… C’est mon côté salope que je ne renierai jamais.
J’ai installé chez moi il y a six mois une barre de « Pole dance » dans mon salon, c’est devenu une attraction pour mes invités et surtout un ustensile utilisé pratiquement à chaque soirée un peu coquine entre potes ou nanas ! En effet rares sont les fois où la barre chromée n’attire pas une chatte en chaleur ou une queue bien raide qui viennent se masturber sur elle ! D’autant que la musique d’ambiance est toujours prête et les projecteurs à leds donnent rapidement le « La » pour transformer mon appart en club privé hyper hot en quelques secondes.
Je suis moi-même souvent l’allumeur de service en organisant des stripteases où les nanas ou les mecs viennent me déshabiller lentement avec sensualité !... Je commence en salopette déchirée et je fini évidemment à poil, la queue raide en tendant mon cul à qui veut en profiter… et en général c’est un bon préliminaire pour une ou deux pénétrations par mes amis mâles ou pour mes invitées qui viennent me sucer au pied de la barre et me goder longuement avant de recevoir ma pine dans leur chatte excitée.
Il ne faut pas croire, mes potes adorent utiliser cette barre et se transforment vite en gogo danseurs érotiques et allumeurs… Il n’y a pas que les nanas qui fantasment à venir se masturber la chatte sur ce gros calibre de métal !
Bref, vous l’avez compris, le sexe rythme ma vie privée, je prends mon pied à m’exhiber sur la plage, à la piscine et parfois dans la rue, me balader en Jean déchiré laissant apparaître mon bronzage fessier l’été est un véritable kiff, me faire baiser sur une plage gay derrière un rocher ou pilonner une chatte bien excitée sur une plage naturiste devant quelques voyeurs vicelards c’est trop bon et le top du top vous l’avez compris sont les soirées bi où tout en bouffant un clito tout mouillé de secrétions vaginales je me fais prendre par une queue bien raide et une paire de burnes qui viennent donner le rythme en venant me taper les fesses à chaque coup de boutoir et recevoir une bonne dose de jus en moi.
En fait, je me demande si la définition du nom « bipède » ne devrait pas être révisée par nos académiciens… Elle me correspondrait parfaitement : Un bi plutôt pédé… Non ?
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Chris chien puppy soumis du 36 sans collier à éduquer à dresser à dominer à soumettre à humilier à dépraver selon les exigences du Maître ou de la Maîtresse
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en recherche de mon futur soumis, vous devez être sans collier avec un net penchant pour la gynarchie et déterminé pour une relation pérenne .:.
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Depuis le début de ma soumission, je me considère comme une chienne, tant dans le sens lubrique, que le côté dressage et obéissance qui m’excite au plus haut point, c’est d’ailleurs ce type de vidéo que je regardais étant plus jeune et sur lesquelles je me donnais du plaisir.
Bref, j’ai ce fantasme de l’animalisation, sans non plus rentrer dans le masque, mais j’aime la queue, les oreilles et les ordres qui peuvent en résulter, qui m’excitent par l’humiliation et la domination psychologique.
L’idée d’avoir mes gamelles, de devoir parfois manger et boire dedans, avoir mon panier dans lequel Mon Maître m’ordonnerait d’aller me coucher, sont réellement un moteur d’excitation inépuisable ! Aboyer me demande énormément d’effort psychologiquement, c’est extrêmement dur mais ça vaut le coup par rapport à l’excitation et au plaisir que ça me procure !
Entre midi et deux, Mon Maître m’annonce que ce soir, je devrais l’attendre en position avec ma queue et remuer comme une chienne, pour lui montrer que je suis contente qu’il rentre. L’idée me trotte toute l’après-midi dans la tête, n’est-il pas tant de prendre des initiatives ? Juste la queue, c’est bien, mais si j’en fais un peu plus ? Est ce qu’il apprécierait ? Sachant que j’ai conscience que ce n’est pas un grand fan de pet play.
Je décide de tenter et de voir sa réaction, je m’apprête en me faisant deux couettes comme pour substituer à des oreilles, je fixe ma laisse sur mon collier, récupère mon jouet et l’attend en position, la laisse dans ma bouche comme une chienne qui attend Son Maître pour la promenade, les minutes s’écoulent, je rentre dans ma bulle, je me prépare mentalement à ce qui pourra se passer, l’humiliation que je vais ressentir entre autres… je suis déjà trempée.
La porte s’ouvre, il me découvre ainsi, il me dit qu’il ne s’attendait pas à tant, il est fier de moi, je remue de la queue, comme il me l’avait demandé sous ses caresses, il attrape mon jouet, me retire ma laisse car il ne trouve pas que ce soit très pratique dans notre appartement et Mon Maître me dit qu’il va jouer avec sa chienne, qu’il va me lancer pouicpouic et que je devrais le récupérer avant notre chat. Je m’exécute plusieurs fois, j’adore jouer avec Mon Maître, mon excitation est à son comble, je remue de la queue dès qu’il me caresse.
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Très jolie… hâte de la suite!! Merci pour le partage !! C’est superbe !!! Agréable à lire… et imaginer !!
dominatrice de coeur et de passion
glamour et raffinée j'exècre tout ce qui en rapport avec la vulgarité .:.
afin de me divertir, je recrute un nouveau sujet
mes goûts sont variés, hormis crade et extrêmes
je vous veux soigné, respectueux, doté d'un minimum de charme, avec la volonté de donner le meilleur de vous-même pour me satisfaire, et lâcher prise lové à mes pieds de reine .:.
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