A propos du groupe
SélèneTG
Créateur

Fanpage dédiée à tous les pratiquants de la Fessée qu'elle soit éducative, punitive ou simple jeu.

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wam05
Promise depuis trop longtemps, voici le compte rendu de cette dernière expérience où j'ai du recevoir une fessée. le rendez-vous évoqué il y a quelques temps étant tombé à l'eau à cause d'un facheux, j'ai eu à coeur de relancer une annonce sur internet afin de me faire punir au moyen d'une fessée administrée par un homme ou une femme, longtemps, intensément. Je crois avoir insisté sur mon endurance quant au controle de la douleur en matière de fessée, une prétention ne servant qu'à éloigner les moins habitués ou ce-lles-ux pensant qu'il ne s'agirait que d'une facade. Un homme a pris contact avec moi, par mail. Laconique et précises, ses réponses ou ses demandes de compléments laissaient imaginer une rencontre sèche, claquante, efficace. Nous avons pris rendez-vous le jour même, à son domicile. consigne était donnée de m'y rendre, de sonner, de monter à son étage, d'entrer par la porte laissée entrouverte et, une fois dans l'appartement, de ne pas parler, de me mettre en caleçon et d'aller poser les mains sur la table, attendant la suite. Je me suis exécuté après avoir pénétré un appartement plutot moderne, qui aurait pu sembler sans âme s'il n'y avait eu cette grande bibliothèque, remplie de livres. Mon hôte était assis sur une chaise, à la table. Il ne m'a pas regardé quand je suis entré. Ni tandis que je me déshabillais. Il n'a réagi qu'une fois que j'ai été installé. Alors que j'étais presque nu, les deux mains sur le meuble, depuis quelques secondes, il s'est levé sans rien dire et s'est positionné derrière moi. Il a passé ses mains sur mon dos violemment, et a agrippé mes fesses, puis mon sexe, violemment. Il a appuyé sur ma nuque afin que je me cambre plus et que je relève mon postèrieur. Il a commencé par des frappes puissantes mais tranquilles sur mon calecon. Le tissu empéchant les claquements, il s'est appliqué quelques instants à cogner mes fesses avec le plat de sa main, avant de brusquement descendre mon sous-vêtement à mes chevilles. Nu chez un inconnu qui ne m'avait toujours pas adressé la parole, offert, le sentiment d'humiliation et de gêne n'était interrompu que par les claquements de ses grandes mains sur ma peau blanche. Il était troublant ce silence parce qu'il ne permettait même pas de se raccrocher à l'hypothèse d'un scénario, d'un rôle à tenir ou d'une phrase à mal jouer qui viendrait rappeler que, finalement, tout ceci n'est qu'une vague pièce de theâtre. Ici il n'y avait que les claquements, la douleur qui commencait à se faire plus forte à chaque coup et la pleine certitude d'être entrain de me faire traiter comme un objet. Un objet qui a demandé à être là et à être traité comme tel. Alors les coups se faisant plus assurés et nombreux, les ruptures de rythme et les pauses n'ont plus suffit à faire oublier la douleur. J'ai commencé à gémir et à marquer chaque coup d'un couinement plus ou moins contenu. Pour ne pas briser le silence je suppose. Quand cela a eu assez duré, mon hote a saisi une badine de bois souple. En tatant l'intérieur de mes jambes il m'a fait comprendre qu'il me fallait ouvrir plus les cuisses. Je me suis éxécuté et alors les coups ont plus. Cinglant mes fesses, je ne pouvais retenir mes cris à chaque fois que la baguette s'abattait sur moi. Il me semblait qu'on mordait, qu'on griffait. Et la douleur, aigue, qui ne se taisait plus. Ce fut au tour de l'intérieur de mes cuisses de rentrer dans le jeu et mon hôte et maître alternait les endroits ou frapper, laissant à peine se reposer les chairs endolories pour mieux les maltraiter à nouveau. Chaque coup était un souffle coupé et chaque seconde de répit une angoissante attente, fébrile. Je ne crois pas avoir subi la baguette très longtemps. L'homme n'était pas patient ou joueur et le rythme était intense, aussi avec ce genre d'accessoire, j'ai vite trouvé ma limite. N'en pouvant plus, tremblant, j'ai du commencer à faire du bruit. Il m'a alors saisi par les cheveux, mis à genoux et m'a amené avec lui vers la chaise où il se tenait plus tôt. Lorsque j'étais encore habillé, lorsque j'avais encore la possibilité de ne pas être un objet. Lorsque je n'avais pas encore consenti totalement à ce jeu. Il a collé ma tete sur son jean et m'a demandé de renifler son entrejambe. Puis d'enlever son pantalon et de continuer sur son calecon. Il m'a ensuite ordonné de commencer à lécher son sexe durci à travers le calecon puis d'enlever ce dernier pour pouvoir le prendre en bouche et le sucer. C'est alors que mon hote a commencé à me parler. Il m'a rappelé que j'étais venu pour me mettre à ses ordres, à ma demande et m'a confirmé que j'avais probablement eu ce que je méritais. Les mots utilisés étant aussi abrupts et cuisants que les coups infligés plus tôt. La fin de cette rencontre n'est plus dans l'objet de ce groupe mais la situation toute entière et le sentiment terrible et grisant d'être totalement à l'endroit du désir et du fantasme (la question de savoir s'il s'agissaitt du mien ou de celui de mon hôte ayant été réglée dans le silence de nos approbations réciproques et mes halètements) a permis à mon Maître du moment de me demander plus que ce que je n'accepte d'habitude et je finis cette rencontre au milieu de la pièce, au sol, au milieu de ma bave et de nos semences réciproques tandis que lui se tenait debout, près de la table. Il ne fit rien pour engager la conversation. A peine me proposa-t-il des mouchoirs et sembla ensuite attendre que je me rhabille et que je parte. Toujours en silence, dans la confortable et troublante intimité du secret et du corps meurtri quand ils retrouvent la rue.
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wam05
me relisant, je note que des fautes d'ortographe ont résisté à mes relectures. Les plus exigeant-e-s m'en excuseront. Ou pas. auquel cas je me tiens à leur disposition... 1f609.png
J'aime 30/04/18