A propos du groupe
Ange--Bleu
Créateur
Maindemaitre
Bonjour, Il y a du monde des landes
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Tomdivari
Bonjour jolie les photos je suis de landes
J'aime 09/06/25
Dominants07
Bonjour en Ardèche nord Je cherche f ou couple pour hard extreme (en restant humain. Bien sûr) Homme accepte si très hard surtout cbt
4 personnes aiment ça.
Dominants07
Et tu recherche du bdsm hard ?
J'aime 19/08/24
Dominants07
À voir si tu passe par là
J'aime 21/08/24
Cordiste
Recherche BDSM hard
J'aime 04/06/25
Dominants07
D'accord @cordiste mais tu es pas proche de moi et je n'heberge pas
J'aime 05/06/25
Cordiste
Si je vais en vacances à Lyon . Je peut peut être faire un plan
J'aime 05/06/25
Cordiste
Effectivement nous sommes pas proche
J'aime 05/06/25
Marc14
Bonjour Toujours en recherche d’une dominatrice extrême ou d’un couple j’habite caen
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LaDame
Bonjour, je cherche actuellement un masochiste extrême pour toutes sortes de tortures.
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Marc14
Bonsoir madame je le suis mais vous êtes loin prenez vous à demeure Madame ?
J'aime 20/04/25
Karl Sarawa
Question du soir : est-ce qu''être masochiste c'est accepter de souffrir pour le plaisir de l'autre ou est-ce que c'est prendre du plaisir dans la souffrance ?
J'aime 20/04/25
Marc14
C’est prendre du plaisir dans la sou
J'aime 20/04/25
Mes respects Madame, je serai très intéressé, je vous contacte en MP. A bientôt
J'aime 21/04/25
Tav
Pour répondre à Karl, au sens littéral c’est trouver dû souffrir dans la souffrance, comme le sadisme c’est prendre du plaisir en faisant souffrir, mais il est vrai qu’e certains soumis acceptent de souffrir pour le plaisir du dominant, les deux aspects sont évidemment très liés ! Personnellement je suis assez maso et aime me faire souffrir tout seul! Cela fait 60 ans que ça dure et je n’essaie plus à m’expliquer cela, c’est dans ma nature !
J'aime 21/04/25
JuliaTV
Bonjour Madame , je suis maso , j'aime souffrir fortement , je suis déjà allé jusqu'à commencer a perdre connaissance .
J'aime 21/04/25
HLM42
Oulah, encore un vengeance sur la vie? lol
J'aime 27/05/25
Marc14
Bonjour Madame je suis maso extrême je vous donne mon corps pour torture extre
J'aime 27/05/25
Marc14
J’aimerais être marqué avec un cutter est-ce dangereux ?
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Karl Sarawa
Je préconiserai plutôt le scalpel, mais si vous le faites au cutter, prenez des lames neuves que vous désinfectez et dégraisser car elles sont souvent un peu huilé. Ensuite désinfecter bien la zone qui va être traité, je conseillerais à la personne qui le fait de porter des gants. Biseptine, compresse, gants sont à mon avis un minimum.
J'aime 20/10/24
Marc14
Merci mais j’avoue je frêne un peu car j’ai peur de plus je sais pas ou
J'aime 20/10/24
Pourtoi62172
Bonjour je suis le créateur du groupe " Branding " sur ce site aller le voir et vous y trouverez un Membre du nom de Cshe qui fait ce que vous recherchez et il a créé aussi un groupe sur ce site qui est " at the CrossRoad.s of BDSM "du Mystique à la Métaphysique via..." et dite lui que vous venez de ma part. Bien à vous.
J'aime 20/10/24
Ange--Bleu
Bonjour , #Portoi62172 à raison mieux vaut aller voir et prendre contact avec des personnes qi sont compétentes pour évité tout risque d'infect et ou de mauvaise manipulations qui pourrais engendré de sérieux problème de santé par la suite . Bien à toi
J'aime 25/10/24
HLM42
Evidemment que c'est dangereux, il faut du métal chirurgical déjà!
J'aime 27/05/25
Adelaide
Je me promène dans un grand magasin à flâner dans les rayons de vêtements quand j’aperçois une vision irréelle : un fessier magnifique. Il est bombé comme il faut, bien serré dans un pantalon ultra moulant mettant notamment en valeur des cuisses généreuses. Je reste scotché devant ce spectacle puis je fais le tour pour voir le devant de cette créature et je ne suis pas déçu de ce que je vois. Il s’agit d’une jolie jeune femme, la trentaine, avec un teint mat type sud-américaine et des yeux bleus vert d’une profondeur incroyable. Elle possède également une poitrine qui semble généreuse bien que fortement comprimée dans son chemisier. Je reste subjugué devant la beauté de cette latine. Je refais le tour pour pouvoir mater une nouvelle fois ses fesses rebondies. Puis au bout d’un moment, je fais quelque chose d’hallucinant et je vais la voir en lui disant : - Bonjour excusez-moi, c’est la première fois que je fais cela mais je voulais vous dire que vous avez les plus belles fesses que j’ai jamais eu l’occasion de voir - Merci, lui répond-elle absolument pas gênée. Ce n’est pas la première fois qu’on me le dit - Cela ne m’étonne pas vu cette perfection, elles sont divines - Merci me dit-elle avec un sourire ravageur Puis je continue mon chemin mais au bout de 2 minutes je ne peux m’empêcher de revenir en arrière. Je retrouve cette beauté et mate à nouveau son cul bombé. J’essaye le plus discrètement possible de déterminer ce qu’elle porte sous son pantalon. Mais malgré un regard persistant je n’arrive pas à savoir. C’est alors qu’elle remarque que je continue de la fixer et revient vers moi : - Ce que vous m’avez dit est flatteur mais là cela fait 5 minutes que vous matez mon cul c’est bon vous ne le voulez pas en photo non plus - Ah que si j’aimerais l’avoir en photo dans un magnifique tanga le mettant en valeur. Déstabilisé par cette remarque la jeune femme s’éloigne, se retourne avec un regard coquin, tourne dans un coin plus isolé du magasin puis se baisse pour attraper quelque chose en bas du rayon. Je la suis et vois alors que son pantalon est descendu au milieu de ses fesses laissant apparaitre un magnifique tanga rouge bordeaux, avec un papillon au milieu. Cette vision surréaliste me retourne complètement et je sens l’envie monter en moi de façon nettement visible. La belle se relève et reboutonne discrètement son pantalon. Il se trouve qu’elle l’avait volontairement déboutonné afin de laisser apparaitre ses sous-vêtements à ma vue. Elle vient vers moi et me dit avec un air coquin : - Alors verdict - Stupéfiant, mon pantalon est au bord de l’explosion, lui dis-je en entrouvrant mon manteau Le regard de la jeune femme se pose sur une énorme bosse qui déforme mon jean. Elle pose discrètement sa main sur la bosse et sent ce pénis très à l’étroit dans ce pantalon mais gonflé à l’extrême. Excitée par l’imagination de ce membre, elle me traine vers une cabine d’essayage et profite de l’absence de la vendeuse à l’entrée pour rentrer avec moi et tirer le rideau. Je prends alors les choses en main, la retourne, la plaque contre la paroi de la cabine et passe mes mains devant sa taille pour déboutonner son jean, que je lui baisse aussitôt laissant ses fesses magnifiques juste vêtues de ce magnifique tanga bordeaux. Je lui écarte brusquement les cuisses puis son string effleurant au passage son sexe déjà coulant de désir, puis je lui fais reculer les fesses contre mon membre toujours prisonnier. J’ouvre alors mon pantalon, sort mon sexe de mon caleçon, lui enfile un préservatif puis rentre en elle d’un coup lui faisant lâcher un râle puissant malgré le besoin de discrétion de la situation. Effectivement la belle ne s’attendait pas du tout à cela. Je commence à faire des va et vient en m’enfonçant de plus en plus profondément en elle. La jeune femme ne peut se retenir de lâcher des gémissements peu discrets. Je lui mets la main devant la bouche pour couvrir ses bruits et de l’autre main lui attrape le bassin afin de la serrer plus fort contre moi. Ses fesses rebondies font des vagues devant chaque coup de butoir que je lui inflige, m’excitant encore plus. Je regarde cette vision excitante dans le miroir de la cabine et continue ainsi à l’attraper de plus en plus fort. Je lâche alors sa bouche pour descendre sur sa poitrine et avec les deux mains fait sauter les boutons de son chemisier puis son soutien-gorge afin de libérer sa poitrine comprimée. Je dévoile alors une paire de seins bien plus grosse que ce que je pensais qui pendent joliment devant ce buste courbé. Cette vision m’excite encore plus et me fais donner des coups de reins intenses, faisant ballotter cette poitrine sous chaque secousse. Je mate alors cette vision, directement et à travers le miroir, de cette belle latine, seins nus, pantalon baissé, cuisses écartées, prise par derrière contre la paroi de la cabine avec ses fesses faisant des vagues à chaque secousse. Cela me fait me déverser dans un dernier coup profond. Sous ce dernier coup de butoir je vois le visage de ma partenaire se déformer totalement pour laisser expulser un soulagement de plaisir. Je me retire alors et enlève le préservatif. La jeune femme elle se relève difficilement, les jambes tremblantes du plaisir qu’elle vient de prendre et se retourne vers son amant du jour. Elle peut alors contempler ce pénis fièrement dressé. Elle s’exclame alors : - Madre Dios, quelle baise. On peut dire que tu sais te servir de ton sexe. J’en redemanderai bien. Rien que pour pouvoir le mettre dans ma bouche. Mon Dieu que c’était bon !!! - J’aime entendre cela. Plus ma partenaire prend de plaisir, plus j’en prends aussi - En revanche j’ai tellement été surprise que je n’ai pas réussi à avoir d’orgasme - Dommage car d’habitude ils sont surpuissants avec moi, dis-je avec assurance - C’est de belles promesses que j’aimerai bien mettre en pratique. Es-tu disponible la semaine prochaine pour une soirée torride ? - Ah désolé je ne suis que de passage en ville, je repars dès demain matin - Et tu reviens quand ? - Aucune idée je suis en voyage d’affaire et je n’en ai pas d’autres de prévu ici. Ce n’était donc qu’un coup d’une fois mais merci pour cette belle expérience. Maintenant je sors d’ici avant que nous ne nous fassions attraper. J’entrouvre le rideau, vérifie qu’il n’y a personne, et sors laissant ma partenaire à moitié nue dans la cabine d’essayage. Je reviens dans le magasin et continue mon shopping comme si de rien était. Puis je vois la belle jeune femme arriver vers moi, non sans avoir du mal à marcher ce qui m’esquisse un sourire. Elle me dit : - Je ne peux pas rester là-dessus. Il faut absolument que nous nous revoyons. - Je te l’ai dit je ne suis en ville que pour la journée - Ce n’est pas grave. J’avais normalement un rendez-vous ce soir mais je l’annule pour que nous passions la soirée ensemble. Est-ce possible ? - Je ne sais pas j’avais prévu des choses ce soir - Ne me laisse pas comme ça. Je te le promets tu ne le regretteras pas. Mes fesses t’appellent, dit-elle en se retournant pour que je puisse à nouveau regarder cette merveille de la nature Je réfléchis un peu, regarde à nouveau ces fesses et pendant que je médite sur la suite à donner la belle latine s’approche doucement de mon oreille et me susurre : - Tu verras j’ai des talents cachés, notamment j’ai une langue très habile…. Particulièrement adepte de bonnes fellations, cet argument finit de me convaincre et je dis : - OK je vais me libérer La jeune femme saute de joie devant ce rendez-vous très prometteur et répond : - Retrouve-moi chez moi au 555 Rue Gutenberg vers 20h. Et prépare-toi la nuit sera chaude Puis elle s’éloigne doucement, se retourne et me dit dans un regard complice : - Et au fait, je m’appelle Carmen Puis elle part. Je ne peux décrocher mon regard de son cul jusqu’à ce qu’elle disparaisse au tournant d’un rayon. Je suis particulièrement excité de cette rencontre impromptue mais jouissive et fantasme déjà sur la soirée qui s’annonce pleine de surprise. Je finis mon shopping puis rentre me préparer pour être prêt pour ma soirée. Pendant que je me prépare, en prenant une douche, je ne peux m’empêcher de repenser à ce moment de l’après-midi qui fut bref mais intense. Les fesses de Carmen envahissent mon esprit et font dresser mon sexe sur lequel l’eau coule chaudement. Je revois ce moment inattendu et insolite que je viens de vivre, la vision de ce corps bronzé, valsant sous mes coups de sexe et le plaisir visible sur le visage de ma partenaire me font frémir. Ce souvenir ainsi que l’imagination de la soirée qui m’attend m’excite à tel point que j’entreprends des caresses sur mon sexe. Celui-ci se dresse de plus en plus alors que j’entreprends des mouvements de va et vient. Je sens mon gland se gonfler de désir sous mes mains et grâce aux pensées torrides que j’imagine sous ma douche. J’essaie de prévoir comment je vais mener cette soirée afin de donner et de prendre le plus de plaisir possible. J’imagine les positions que je vais pouvoir prendre afin de faire ressentir à Carmen ma toute puissance. J’aime cette sensation de domination que je possède très souvent sur les femmes du fait de mon attitude. Sous le poids de l’eau ruisselant sur mon corps, j’ajuste le rythme de mes mains à mes sensations afin de faire monter le plaisir. Puis au moment où je l’ai décidé, j’accélère mes mouvements de va et vient et me déverse dans la douche sous de puissantes saccades. Satisfait de ce petit plaisir solitaire qui ne fera qu’augmenter ma performance du soir, je me prépare en prenant soin de bien choisir mes vêtements. J’enfile des sous-vêtements noir moulant parfaitement mes parties intimes, un pantalon à pince ainsi qu’une chemise blanche. Dans mon ensemble j’apparais être un homme d’affaire décontracté. Je prépare aussi mes accessoires pour passer une bonne soirée, c'est-à-dire stock de préservatifs et lubrifiants. Ainsi armé, je me rends alors chez la belle Carmen. J’arrive devant sa porte et sonne. J’entends le bruit de talons se dirigeant vers la porte puis le cliquetis de la clé dans la serrure. Au moment où la porte s’ouvre, j’ai une vision irréelle qui fait s’arrêter le temps. Carmen est totalement lookée différemment par rapport à notre première rencontre. Elle est vêtue d’une robe bleue qui met ses formes particulièrement en valeur. Elle souligne parfaitement sa poitrine qui prend tout son volume contrairement à son chemisier de l’après-midi qui la compressait. La robe laisse apparaitre en transparence les dessins de ce que je devine être un bustier. Celui-ci affine la taille de Carmen ce qui fait encore plus ressortir à la fois sa poitrine mais aussi son fessier. En effet ses courbes postérieures prennent toute leur ampleur sous cette robe moulée qui descend un peu plus bas que les genoux, laissant apparaitre des collants blancs ainsi que des talons de la même couleur que la robe. Cette tenue permet donc aux formes de Carmen, généreuses et voluptueuses, d’exploser à ma vue, ce qui ne manque pas de créer en moi à la fois de la subjugation et de l’excitation. Satisfaite de l’effet visuel qu’elle m’a provoqué, Carmen m’invite à rentrer. La porte d’entrée donne directement dans le salon plutôt moderne avec peu de meubles de style plutôt branché. Carmen me dit alors : - Bienvenue chez moi - Merci, tu es absolument superbe dans cette tenue - Je te remercie du compliment. Tu n’es pas mal non plus. Veux-tu boire quelque chose ? - Non merci. Là je n’ai envie que d’une chose. Tu te doutes de quoi, non ? - Oh oui. Je pense qu’on partage la même envie. Nous montons à l’étage ? - Je te suis Carmen se dirige vers l’escalier et commence à escalader l’escalier en bois. Chaque mouvement fait bouger sa robe très serrée ce qui fait ressortir les contours de ses sous-vêtements. Je peux ainsi aisément me délecter des courbes de Carmen et notamment de son phénoménal fessier qui est contenu dans cette robe, qui semble au bord de l’explosion. Les marques d’un string soulignent harmonieusement cette partie de son anatomie qui est particulièrement l’objet de mes désirs. Arrivé à mi-chemin dans l’escalier je ne peux m’empêcher d’attraper ses fesses qui se déhanchent juste devant mes yeux et de retenir Carmen. Elle se retourne, je me hisse à sa hauteur et la plaque violemment contre la rambarde de l’escalier afin de l’embrasser fougueusement. Mes mains descendent doucement de ses cheveux jusqu’au cou, puis effleurent sa poitrine généreuse, serre la taille de la belle latine avant de basculer sur son derrière et de l’agripper fermement. Après quelques caresses à la fois buccales et tactiles, je continue de descendre jusqu’à arriver au bas de la robe et commence à la remonter jusqu’à découvrir les fesses de Carmen. Je la retourne alors, la penche par-dessus la rambarde afin de pouvoir contempler cette merveille. Carmen porte des bas blancs finis par une jolie dentelle à mi-cuisse, un porte-jarretelle blanc et un string de la même couleur. Le contraste entre la blancheur de cet ensemble et la peau mate de la latine est saisissant et fait encore plus ressortir ses courbes voluptueuses. Je suis fou devant cette vision surréaliste et sens l’excitation monter à son paroxysme. J’attrape la tête de Carmen pour lui faire tourner et l’embrasser en me tenant derrière elle tout en collant mon bassin contre ses fesses dénudées. Puis j’embrasse son cou, ses oreilles, descends sur ses épaules puis saute directement à hauteur de ses fesses. Je lèche ensuite la partie des fesses laissée nue par les sous-vêtements tout en caressant subtilement ses cuisses de mes mains avant d’écarter le string délicatement afin de libérer les parties intimes de Carmen. J’écarte alors ses cuisses afin qu’elle soit complètement penchée sur la rambarde et entièrement ouverte à ma vue. Je m’accroupis et glisse ma langue sur les lèvres de la jeune femme qui sourit de se retrouver dans cette situation dont elle avait rêvé. J’embrasse tout d’abord avec douceur et attention l’intérieur de son être prenant soin de faire glisser ma langue alternativement sur ses lèvres et son clitoris. J’accélère ensuite petit à petit le rythme et les endroits visités selon les réactions de ma partenaire. Puis je fais glisser un doigt dans ma partenaire mais me rend compte qu’elle a tellement envie que cela n’est pas suffisant donc j’en mets un deuxième puis même un troisième. Pendant que je la pénètre ainsi de mes doigts, je fais glisser ma langue sur l’anus de Carmen et le titille du bout de la langue. Puis je me laisse glisser sous Carmen afin de pouvoir continuer à la doigter pendant que ma langue englobe son clitoris. Après quelques minutes de préparation buccales, Carmen jouit fortement tant au niveau sonore qu’au niveau écoulement de fluides. Satisfait d’avoir fait du bien à ma partenaire, je me relève, baisse mon pantalon et mon caleçon et attrape Carmen par derrière alors qu’elle est toujours penchée par-dessus la balustrade. N’étant pas du tout préparée à cela alors qu’elle pensait reprendre ses esprits, Carmen lâche un râle puissant à ce premier coup de sexe ce qui me fait sourire, vu que c’est ce que je recherchais. Je continue alors à m’introduire de plus en plus loin en elle, chaque coup de sexe étant agrémenter d’un cri, jusqu’à m’introduire totalement en elle. J’assène ainsi de forts coups avec mon membre gonflé à bloc tout en profitant de la vision de cette jolie femme, totalement à ma merci, et de ses sous-vêtements très sexy. Puis je relève le buste de Carmen et la couche sur les escaliers tout en continuant mes va et vient. J’attrape ainsi de toutes mes forces la belle ainsi totalement dominée en agrippant fortement son fessier et en le serrant contre moi à chaque fois que je m’introduis. Je continue ainsi jusqu’à ce que ma partenaire lâche à nouveau un cri jouissif signalant que j’ai réussi mon pari. Je sors alors d’elle, me relève et regarde Carmen allongée inconfortablement sur les escaliers mais satisfaite de ces premiers échanges torrides. Elle se relève alors, me regarde et me dit : - Maintenant mon salaud, tu vas voir de quoi je suis capable Elle s’approche de moi, attrape mon sexe d’une main et m’embrasse avant de descendre de deux marches afin de se retrouver le sexe au niveau de la tête. Elle englouti goulument le bout de mon sexe dans sa bouche et commence à me faire une fellation comme elle sait les faire. C’est un art qu’elle aime pratiquer. En effet sentir ce membre chaud et dur sous sa langue, faisant gémir son partenaire. Cela l’excite au plus haut point. Elle commence alors sa fellation doucement, embrassant mon gland gonflé de ses douces lèvres. Elle fait glisser sa langue le long de mon frein, le titille puis fait le tour de mon gland avant de remonter sur l’urètre. Elle appuie sur le gland pour ouvrir l’urètre en grand et glisse le bout de sa langue dedans. Puis elle engloutit mon sexe le plus profondément dans sa bouche. Elle se retrouve avec le sexe entier dans la bouche. Comme elle l’avait annoncé c’est une Gorge Profonde et continue avec fougue et beaucoup de salive sa fellation. Pendant ce temps-là, j’ai tout loisir de la regarder faire et de mater par-dessus son épaule ses fesses bouger sous son agitation. J’adore cette vision d’une femme s’affairant sur mon sexe pour mon seul plaisir. Et cette fois-là est particulièrement excitante pour moi entre la situation des escaliers, la tenue et la beauté de ma partenaire du jour. Puis elle reprend mon sexe dans sa bouche, fait tourner sa langue autour, puis le retire et entreprend une fouille de chaque cm² de mon sexe avec le bout de sa langue. Elle passe d’abord sur tout le gland, titille mon frein avant de descendre sur son long. Puis elle glisse sur mes testicules et fait glisser sa langue dessus avant de les englober délicatement. Elle continue ainsi de me lécher pendant de longues minutes, se donnant à fond pour me satisfaire. Ce moment est vraiment exquis, je prends un pied extraordinaire devant les talents buccaux de Carmen. Puis Carmen découvre ses seins et entreprend de se frotter avec mon sexe fièrement tendu. Elle serre ses seins et les fait bouger de façon à me masturber. Grâce à la taille de ses seins elle arrive à recouvrir mon pénis entièrement et ainsi le faire disparaitre. Puis quand elle me sent de plus en plus proche de l’explosion, elle reprend mon pénis dans sa bouche, fait quelques va et vient puis revient lécher la zone si particulière au niveau du frein. Devant cet acharnement, je finis par craquer. Le premier jet faible entre directement dans la bouche de Carmen. Puis le deuxième plus fort recouvre d’un trait son nez, l’œil gauche et finit sur ses cheveux. Le troisième encore plus fort reprend à quelque chose près le même trajet. Puis les suivants sont à nouveau moins forts mais continuent de repeindre le visage de Carmen. Puis les spasmes éjaculatoires se calmant, Carmen reprend goulument mon sexe dans sa bouche mais cette sensation chaude et humide inattendu me fait repartir dans une nouvelle saccade surpuissante qui finit directement dans la gorge de Carmen, ce qui l’oblige à enlever le pénis de sa bouche pour tousser. J’attrape alors mon pénis et l’astique frénétiquement pour finir de me décharger sur Carmen pendant qu’elle reprend ses esprits. Je jubile devant la vision dominatrice de ma partenaire, à genoux devant moi, le visage, les cheveux et les seins recouverts de mon liquide chaud. Carmen, elle, est encore sous le choc de cet orgasme puissant. Elle finit par dire : - Eh ben. Quel finish. J’en ai partout - Et ce n’est pas fini, la soirée ne fait que commencer - Humm ça promet alors Puis Carmen se relève, se rhabille et continue de monter les escaliers pour arriver sur un palier. Elle me dit de l’attendre et file directement dans la salle de bains pour essuyer son visage puis revient aussitôt pour finir la visite. Elle m’invite à la suivre et nous arrivons dans la chambre. C’est une grande chambre, plutôt moderne avec un grand lit au milieu. La décoration est de ton beige avec des pointes de bordeaux sur les rideaux. Une grande penderie avec miroirs prend tout le mur en face du lit et sur le mur à en face de l’entrée, un miroir imposant donne une impression de profondeur à la chambre. Je m’imagine déjà faire l’amour en regardant Carmen sous toutes les coutures grâce à ces miroirs. - Voici mon antre du plaisir, dit Carmen - Sympathique. J’adore tous ces miroirs. C’est très excitant. - Oui c’est fait exprès. J’aime avoir une vision large quand je fais l’amour. - J’ai hâte de tester cela. Dis-moi maintenant que nous avons passé l’excitation primaire, j’aimerais bien boire quelque chose. - Bien sûr, viens, nous redescendons dans le salon Nous repartons vers l’escalier, repassons devant le lieu de notre premier ébat torride puis arrivons dans le salon. - Qu’est-ce que tu veux boire : bière, vin, ou spiritueux ? - Si tu as je veux bien un verre de vin - Bien sûr. Je vais te chercher cela. Installe-toi je reviens. Carmen quitte la pièce. Je scrute le salon qui est dans le même esprit que la chambre, c'est-à-dire moderne et épuré. Une cheminée brûle amenant une chaleur dans la pièce. Voyant que le feu va bientôt s’éteindre, je me permets de remettre une buche puis Carmen revient avec deux verres de vin rouge et m’en tend un. - Merci beaucoup, tu as une bien belle maison - Merci. A la tienne, répond Carmen - Et à une nuit qui sera inoubliable, dis-je dans un sourire coquin - En tout cas c’est déjà bien parti pour, acquiesce Carmen - Je me suis permis de remettre une buche car le feu faiblissait - Tu as bien fait Puis après quelques discussions d’usage et de connaissance, Carmen se lève pour remettre à nouveau une buche. Je profite de cette vision de Carmen se penchant pour attraper une buche, son fessier bien moulé dans sa robe et les marques de son string ressortant de façon excitante. - Tu as vraiment un cul à se damner, dis-je en me levant et en allant me coller contre le cul de Carmen - Je sais merci, je suis moi-même amoureuse de me fesses - Tu m’étonnes, je bande à mort rien qu’en les regardant. Alors si je commence à les toucher, dis-je en passant mes mains sur les formes voluptueuses de Carmen - Sers-toi, je suis tout à toi, dit-elle en se relevant J’attrape alors Carmen par la taille d’une main et de l’autre tourne sa tête afin de pouvoir l’embrasser. Tout en l’embrassant je frotte mon bassin contre ses fesses et passe mes mains sur son ventre puis remonte sur ses seins que je libère de sa robe. Je me recule afin de pouvoir remonter sa robe sur sa taille. Carmen se retourne et prend ma main pour m’emmener sur le sofa, me pousse pour que je m’assoie et grimpe sur moi. Elle m’embrasse pendant que je passe mes mains sur son dos puis ses fesses où je m’amuse à dessiner les contours de son string. Puis après quelques instants dans cette position, Carmen se lève, déboutonne mon pantalon puis libère mon sexe gonflé da sa prison. Elle s’agenouille et commence à le prendre dans sa bouche. Elle débute alors une fellation passionnée avec comme objectif de me montrer ce dont elle est capable. Elle n’hésite pas à alterner entre prise en bouche, passage délicat de la langue sur tout le long ou titillement des zones les plus sensibles. Puis elle baisse mon pantalon et mon caleçon sans jamais enlever mon sexe de sa bouche. J’entreprends d’enlever aussi ma chemise et me retrouve donc entièrement nu devant cette belle encore entièrement vêtue. Je m’installe confortablement dans le canapé et écarte légèrement les cuisses afin de mettre toutes mes parties à l’aise. Carmen continue ses caresses buccales et manuelles pour descendre sur mes testicules. Elle les titille avec le bout de sa langue avant de les englober goulument. Je descends alors mes fesses afin de faciliter l’accès à mes globes. Carmen prend cela comme une invitation et fait donc gentiment glisser sa langue sur mon cul en faisant d’abord le tour de ma rondelle avant de venir chatouiller l’entrée de mon anus. Etant adepte de l’anulingus, je me laisse totalement aller sous les caresses buccales de ma partenaire. Sentant mon consentement total, Carmen continue son exploration en présentant un doigt devant mon œillet. Celui-ci, bien aidé par l’abondante salive utilisée par Carmen, rentre sans difficultés. Elle entreprend alors des va-et-vient tout en douceur et doigté pendant que sa bouche remonte le long de mon membre on ne peut plus dressé, jusqu’à englober de nouveau le gland dégoulinant de plaisir. En effet les caresses anales de Carmen m’ont excité et m’ont fait mouiller abondamment. A chaque coup de bouche mis sur mon pénis, Carmen introduit son doigt de plus en plus loin jusqu’à le rentrer en entier. Elle introduit alors un deuxième doigt qui rentre avec un peu plus de difficultés. Une fois totalement entré, elle entreprend alors un massage de la prostate ce qui me provoque une éjaculation incontrôlée et précoce. Carmen avale tout le sperme chaud qui s’est déversé dans sa bouche, nettoie le gland puis remonte à ma hauteur pour contempler l’effet de son action. Je suis littéralement affalé sur le canapé et peine à reprendre ma respiration. Carmen est alors toute heureuse d’avoir pu me faire craquer. Carmen me dit alors : - Tu vois je ne t’avais pas menti. J’ai des talents cachés et personne ne peut y résister - Effectivement d’habitude je ne craque pas aussi facilement. Ta langue et tes doigts sont très agiles. - Et encore tu n’es pas au bout de tes surprises, dit-elle avec un sourire malicieux - J’ai hâte de découvrir la suite alors. Mais maintenant à moi de prendre soin de toi, je renchéris - Vas-y je suis toute à toi - Si ça te va j’irai bien dans la chambre pour être plus confortable - Avec plaisir Je suis Carmen et ses formes divines laissant mes vêtements en bas. Nous arrivons dans la chambre et la pousse sur le lit. Je m’agenouille devant Carmen et remonte sa robe jusqu’à sa taille. J’écarte son string et vient délicatement poser ma langue sur la vulve de la belle latine. J’entreprends un baiser endiablé de ses lèvres et de son clitoris. Elle a encore un peu le gout de nos ébats dans l’escalier mais cela ne me dérange pas bien au contraire. Je continue d’embrasser langoureusement ses lèvres et remonte régulièrement sur son clitoris. Mes doigts viennent se joindre à la fête et je rentre deux doigts en elle. Vu comment elle mouille je suis persuadé qu’elle peut éjaculer aussi. Je me mets au défi alors de la faire gicler. Je crochète mes doigts et la pénètre tout en léchant son clitoris et en appuyant de mon front sur ses Monts de Vénus. Ma technique spéciale pour faire squirter une femme. D’abord un peu sur la retenue je sens que petit à petit elle se détend. Tant mieux cela facilitera ma tâche. Je continue en douceur. Je sens que ça y est, elle se relâche complètement. Mes doigts accélèrent alors le rythme. Juste la profondeur qu’il faut pour stimuler la bonne zone. Le bruit d’eau de mes doigts dans son vagin confirme qu’elle est en bonne voie. Elle gémit de plus en plus fort. Sa cyprine change de gout. Je sens qu’elle est proche de l’explosion. Je remonte ma tête pour me concentrer sur le travail de mes mains. Carmen lâche un râle continu jusqu’à un cri venant du fond du cœur. Cri accompagné par des expulsions de liquides corporels en abondance. Mes mains sont complètement trempées mais je ne m’arrête pas pour autant. Même ses mouvements de hanches compulsifs ne me font pas lâcher prise. Puis elle arrête de gesticuler et de crier donc je m’arrête aussi. Je laisse Carmen reprendre ses esprits et remonte contre elle. Puis elle retire sa robe puis ses sous-vêtements et me dit de m’installer confortablement pendant qu’elle va prendre une douche afin de se rafraichir après ce moment torride. Je regarde la belle s’éloigner vers la porte puis marche dans la chambre en scrutant les miroirs. J’entends au loin l’eau couler dans la salle de bains. Je fais glisser la porte coulissante de la penderie et découvre toutes les tenues de Carmen, toutes plus sexy les unes que les autres. Puis j’ouvre l’autre côté de la penderie où sont rangés ses sous-vêtements. Une farandole de sous-vêtements s’offre à moi de la culotte confortable, aux nombreux strings et tangas de toutes les couleurs. La collection est vraiment indécente. Dans le bas de la penderie, se trouvent deux coffres posés au sol. Je tire le premier et l’ouvre. Je découvre alors quelques accessoires coquins comme des menottes, cordes, films X ou encore bouquins érotiques. Je sens mon sexe commencer à se dresser sous ses diverses découvertes excitantes. Je me demande bien ce qu’il peut y avoir dans le deuxième sachant qu’il est plus dissimulé dans le coin de la penderie. Puis je ferme le coffre et me prépare à attraper le deuxième quand j’entends l’eau s’arrêter de couler. Je ferme la penderie et me dirige vers la salle de bains. Je vois Carmen dans sa douche, en train de se savonner alors que je pensais qu’elle avait fini. La douche est une grande douche à l’italienne, avec un double pommeau de douche afin de pouvoir profiter de douches coquines. J’observe le corps de cette déesse se tortiller pour se laver sous toutes les coutures. Devant ce spectacle majestueux, je décide de la rejoindre. J’entre dans la douche. Mon sexe est pour l’instant au repos. Je fais couler l’eau sur mon corps afin de le mouiller puis viens contre Carmen afin de me coller à elle et lui dis : - Tu as besoin d’un coup de main ? - Volontiers, répond-elle J’entreprends alors de masser son dos avec le savon descendant jusqu’aux fesses. Je continue de la caresser sensuellement, collant son corps contre le mien et passant mes mains sur l’opulente poitrine de Carmen. Mon sexe se réveille de ce contact sensuel. Loin de la bestialité de nos premiers ébats. Chaque geste est doux. Nous nous embrassons langoureusement alors que nos mains parcourent nos corps. Carmen attrape mon pénis maintenant en érection et le caresse de façon suave tout en m’embrassant. Après de longues et magnifiques minutes de caresses Carmen soulève sa cuisse pour présenter son sexe devant le mien. J’attrape sa cuisse et remonte mon bassin. Je la pénètre tout en continuant de l’embrasser. Je plaque son dos contre la paroi de la douche et la prends avec des mouvements amples mais doux. L’eau coule sur nos peaux comme pour les refroidir de nos désirs ardents. Je soulève la deuxième cuisse de Carmen pour la soulever et la prendre de façon plus sauvage. Elle semble apprécier mes initiatives. Je continue alors puis la repose et la retourne. D’elle-même elle met ses fesses en arrière. Elle sait très bien où je veux en venir et semble n’attendre que ça. Mais d’abord je m’agenouille et viens glisser ma langue sur son anus. Elle ondule du bassin sous mes coups de langue. De ma main je viens tâter son vagin toujours humide et récupérer un peu de cyprine pour venir ouvrir sa rondelle. Un doigt puis un deuxième y entre sans difficulté. Je pense que c’est une habituée. D’ailleurs quand je remonte et présente mon sexe devant son anus elle ne proteste pas. Je m’y engouffre en douceur jusqu’à être au fond. J’agrippe alors ses hanches et commence à la sodomiser de façon plus véhémente. Je colle ses seins à la paroi et fais reculer son bassin pour amplifier l’effet de mes coups. J’aime enculer une femme en position debout. Je trouve que c’est la meilleure position tant au niveau sensation corporelle que psychologique. Je me colle à elle et relève son buste pour attraper ses seins et l’embrasser. Je continue à appuyer sur son bassin. Ma main droite glisse jusqu’à son vagin et vient titiller son clitoris. Il ne faut pas plus de deux minutes dans cette position pour que Carmen jouisse de nouveau. Je m’extraie et nettoie mon pénis des petites traces qu’il présente. Puis nous finissons notre douche et retournons dans la chambre. J’ai hâte de pouvoir faire l’amour à cette déesse en la contemplant dans les miroirs. A peine arrivés dans la chambre cette fois c’est elle qui me pousse sur le lit. Elle me grimpe dessus et revient coller ses lèvres contre les miennes. Ses autres lèvres viennent frotter sur mon sexe puis s’ouvrir pour m’accueillir. Elle s’introduit sans difficultés jusqu’à la garde. Elle commence alors à me chevaucher en accélérant petit à petit le rythme. Ses seins rebondissent au gré de ses mouvements de hanches. Je me penche pour voir dans le miroir derrière elle le mouvement de ses belles fesses qui remontent puis plongent sur mon pénis. La vision est magnifique. J’adore. Carmen se redresse donnant toute la plénitude de sa féminité. Trouvant la scène un peu trop calme par rapport à ce que nous avons vécu aujourd’hui je décide de lui asséner une grande fessée. Elle proteste immédiatement me disant qu’elle n’aime pas ça. Dommage car moi oui. Pour me faire pardonner j’attrape ses hanches et la prends vigoureusement. Elle gémit alors que je donne tout ce que j’ai avant qu’elle ne s’effondre sur moi. Je la maintiens contre moi et fait une rotation de nos corps afin de me trouver sur elle. Je recommence à la pénétrer dans cette position où je maitrise les choses. Je l’embrasse tout en donnant les coups de hanches les plus virils que je puisse. Je caresse son corps au même temps puis relève ses cuisses. J’ai du mal à les remonter. Pas très souple comme femme. Dommage car j’aime prendre mes partenaires dans cette position. Peut-être un jour aurais-je la chance de pouvoir coucher avec une contorsionniste…. Ne trouvant pas beaucoup de plaisir dans cette position je sors et la fais mettre en levrette. Cette position est particulièrement adaptée à son fessier. Et je ne me trompe pas. Chaque coup fait onduler ses fesses et balloter ses seins. Je profite de la vision du miroir pour regarder la scène sous toutes les coutures. J’agrippe fermement ses hanches pour me donner encore plus d’élan. Je vois son visage se déformer de plaisir. Exactement ce qui me plait. Prendre du plaisir et en donner. Après de longues minutes à la baiser ainsi, je vois que Carmen faiblit. Je sors et elle me confirme fatiguer de cette journée de baise intense et que ça commence à chauffer pour elle. Elle me propose alors : - Vu que je suis magnanime je ne veux pas te laisser en plan - Madame est trop bonne. Tes talents avec ta bouche me conviennent très bien aussi - Je pensais à autre chose - Ah ! dis-je intéressé de savoir la suite - Je te propose quelque chose de…, elle marque une pause, disons de particulier - J’aime les propositions particulières - J’ai en ma possession des moyens de te faire jouir, dit-elle en se levant et en allant vers son placard. - J’ai hâte de découvrir lesquels - J’ai dans cette boite, me montre-t-elle avec la boite que je n’ai pas ouvert tout à l’heure, tout un tas de jouets - Coquine, je réponds en me doutant de la suite mais en faisant l’innocent. - Et dans ces jouets j’ai de quoi te faire craquer - Vas-y je suis à toi - Tu es sûr ? - Tant que tu ne fais pas de mal oui - Le mal est une notion subjective. - Si c’est du BDSM non merci - Non ce n’en est pas. Tu as aimé avoir mon doigt dans tes fesses ? - Oui c’était agréable. - Alors laisse-moi faire dit-elle en sortant un bandeau de la boite Elle s’approche de moi et me bande les yeux. Vu ses questions je sais où elle veut en venir. Et vu que cela fait partie de mes pratiques préférées je suis tout excité. J’essaie de ne pas le montrer même si mon sexe tout dur et déjà baveux me trahit. Elle le voit et me dit : - C’est que tu mouille petite coquine - J’aime perdre le contrôle - Alors je vais prendre le contrôle sur toi. Je vais faire de toi ma chose - La domination ne m’excite pas en revanche. Juste la perte de contrôle - C’est ce que tu dis mais tu vas voir tu vas adorer être à moi - Pas trop loin quand même - Non pas trop loin, je vais juste te baiser comme tu m’as baisé. As-tu déjà été baisé ? - Non je réponds tout en sachant que la réponse est fausse autant par des femmes que par des hommes. Mais je préfère lui faire croire que c’est elle la première. - Alors je vais y aller en douceur mais tu vas aimer j’en suis sûr - Je te fais confiance - Détends-toi, je vais te faire jouir comme jamais - Belles promesses !! je conclus avec un ton de défi Carmen grimpe sur le lit et vient à ma hauteur. J’attends dans le noir puis sens ses lèvres se poser sur les miennes. Elle vient m’embrasser et enserre mon sexe dans sa main. Je le sens couler de liquide au fur et à mesure de ses vas et vient. Elle doit en avoir plein les mains. Je sens d’ailleurs sa main venir s’essuyer sur mon anus et s’en sert de lubrifiant naturel. Puis elle lâche ma bouche et descend entre mes jambes. Elle vient englober mon sexe dans sa bouche tout en faisant des ronds autour de ma rondelle. Je tache de me contenir car j’aurais déjà envie d’éjaculer. Heureusement elle ne le fait pas trop et je sens sa langue glisser le long de ma queue jusqu’à mes testicules. Puis elle continue son chemin pour atteindre mon anus. Elle passe sa langue dessus et je sens beaucoup de salive couler. Elle rentre un doigt puis elle ressort. Je l’entends manipuler quelque chose puis revient avec un objet dur et froid. Je comprends qu’elle commence à me pénétrer avec un gode. Elle s’introduit petit à petit en moi sans grandes difficultés. Elle me signale que j’ai un cul à prendre des bites car cela rentre tout seul. Bizarre ce n’est pas la première fois que j’entends cela. Elle me pénètre ainsi puis se retire. Je la sens bouger sur le lit. Puis je sens de nouveau quelque chose contre mon anus. Mais cette fois cela semble plus gros. Et surtout je sens ses cuisses contre mes jambes. Je comprends qu’elle a enfilé un gode-ceinture. Exactement comme j’aime. Je sens qu’elle enduit son engin de lubrifiant puis revient contre moi. Son sexe en plastique glisse en moi. Cela m’ouvre un peu plus mais nous sommes loin des jouets que Nina utilisait de son temps. Donc pas de douleurs ni de problèmes à ce qu’elle me prenne entièrement. Une fois entrée entièrement Carmen commence à me prendre. Doucement d’abord. Normal, pour elle, c’est une première. Puis de plus en plus vite. Mon sexe ballotte sous les coups de hanches. Carmen l’attrape et commence à me branler au même temps qu’elle me pénètre à rythme régulier. J’aime être dans cette situation. Je prends beaucoup de plaisir et cela doit se voir à mon sourire. Carmen me dit des mots « doux » tels que « tu aimes être rempli coquin ! », ou « tu aimerais avec une vraie bite à prendre et à sucer ». Si elle savait que justement mes penchants vont vers là en ce moment. Je sens que je suis proche de l’explosion quand Carmen s’arrête. Dommage. Elle me fait tourner et me met en levrette. Elle s’introduit de nouveau en moi dans cette position. Pas ma préférée, loin de là. Mais je sens la fougue que Carmen y met et le plaisir qu’elle y prend. Je colle ma tête contre le lit et lève le cul bien haut comme j’aime prendre mes partenaires. Elle m’encourage en me disant que j’aime ça et que je suis ouvert comme une belle salope. Je n’aime pas ces mots mais prend trop de plaisir pour intervenir. Elle tape encore plus fort me faisant lâcher des gémissements, pardon des grognements lourds. D’un coup une déflagration retentit sur ma fesse droite. Carmen vient de m’administrer une fessée. Ma fesse me brule quand la deuxième reçoit le même traitement. Elle redouble d’efforts en commençant à m’insulter. Là je m’extraie en enlevant le bandeau et avec un regard noir en disant que je n’apprécie pas ça, que je veux bien être à elle mais pas molesté. Je vois à sa tête qu’elle est déçue mais j’ai besoin de me respecter. Je la fais allonger sur le lit pour changer de position. Je grimpe sur elle et m’empale sur son sexe de couleur arc-en-ciel. Dans cette position, je reprends un peu les commandes dans un premier temps, devant l’attitude un peu apathique de Carmen. Puis elle se déride et attrape mes fesses pour me donner le rythme. Je préfère nettement cette situation. Carmen appuie fort mes hanches vers le bas pour me faire sentir que c’est elle qui est aux commandes. Mais dans cette situation cela ne me dérange pas. Je me laisse aller à son alternance de fougue et de caresses. Je sens de nouveau le plaisir m’envahir. Mais cette fois pas question de le couper. Je me laisse submerger par cette vague de bonheur. Naturellement mes mains viennent se poser sur mon sexe pour le caresser. D’abord du bout des doigts. Puis de façon plus énergique. Je sens que je vais bientôt craquer. Carmen soulève ses hanches et tient fermement les miennes. Je sens la tension qu’elle met dans ses gestes. Cela me fait craquer. Je bloque mon éjaculation au maximum mais la pression devient trop forte. Un premier jet puissant atteint le visage de Carmen. Cela ne stoppe pas Carmen qui continue de me prendre alors que mes giclées repeignent son corps et son visage de sperme chaud. Une grande quantité malgré les nombreuses jouissances du jour. Une fois mon orgasme passé, je m’apprête à me lever mais Carmen en décide autrement. Elle attrape mes hanches et donne des coups rapides et forts. Mais venant de jouir je dois avouer que je ne suis plus trop dedans. Elle semble tellement à fond que je la laisse faire un peu puis cela commence à me bruler donc je la stoppe. Elle ne semble pas très contente et part en marmonnant à la salle de bains pour se nettoyer. Je m’allonge sur son lit en attendant qu’elle revienne pour lui faire un câlin. Mais à son retour elle me demande : - Tu attends quelque chose - Toi pour faire un câlin - Désolé mais je me lève tôt demain donc je vais te demander de partir - Ah bon nous baisons et puis tchao ? - Oui je n’aime pas dormir avec quelqu’un. Mais j’ai passé un bon moment - OK je ne m’attendais pas à ça. Eh bien je m’en vais - Peut-être à une autre fois - Je ne pense pas, je n’ai pas prévu de revenir ici. Ravi de t’avoir connu, dis-je en me rhabillant - Ravi de t’avoir baisé, me répond-elle avec désinvolture - De même - Claque la porte en partant Je finis de me rhabiller. Carmen ne prend même pas la peine de me raccompagner. Ça va que j’ai passé une très bonne soirée car la fin est quelque peu frustrante
Soyez la première personne à aimer.
Karl Sarawa
Profil féminin mais néanmoins texte écrit à la première personne, le narrateur étant un homme ! J'avoue que je trouve cela très étrange. De plus le texte est publié sur le groupe sm hard et extrême ; hors il n'y a pas une once de sm encore moins de hard ou extrême là dedans. Quel est le but de ce texte ?
J'aime 17/04/25
Adelaide
Tu manques de jugeote
J'aime 17/04/25
soumiseclara
Puisque vous avez bloqué mon compte pour que je ne puisse pas répondre à votre réponse, je vais me permettre de répondre via le compte de ma soumise que vous n'avez pas eu la jugeote de bloquer. Déjà, je ne vous permets pas de me tutoyer, nous n'avons pas élevé les cochons ensemble .Si vous n'êtes pas un mec qui se cache derrière un profil féminin, en mentant, rusant et en étant lâche, vous n'avez qu'à venir me parler via messagerie ? Faire un poste très ambiguë et faire une réponse de merde sans laisser l'autre ? Répondre, cela s'appelle la lâcheté. Bien sûr vous pouvez toujours bloquer le profil de ma soumise tout comme vous avez bloqué le mien pour que je ne vois pas votre réponse ; mais je trouverai toujours un moyen de voir votre réponse.
J'aime 18/04/25
HLM42
Ce qui est certain, c'est que c'est un sacré pavé, autant écrire un livre de nouvelles à ce niveau.
J'aime 27/05/25
Adelaide
Mon gland est passé au travers de l'anneau métallique épais qui vient trouver sa place à sa base. La main recouverte d'un gant de protection en latex tire bien sur la peau pour que celle-ci ne soit pas coincée, puis serre chacune des six vis qui s'enfoncent d'abord dans l'épaisseur de l'anneau, avant de percer dans ma chair fragile et sensible. Les vis sont pointues, pressent ma peau, provoquant une douleur insoutenable, je ne peux que hurler, crier, supplier, mais en vain. Elles viennent buter contre le plug métallique qui a été introduit dans mon urètre, sur plus de vingt centimètres, l'empêchant de bouger. Ce plug creux, me permet d'uriner sans quoi les vis auraient obturé mon canal. Ce n'est pas de bon augure, cela signifiait qu'elles seront là pour un long moment. La douleur dans mon sexe est vive, et terrible, provoquant un début d'érection, qui ne fait que la raviver et me faire tordre dans mes liens en tout sens, sans aucun effet apaisant. Je me suis toujours interrogé sur ce besoin de crier, pleurer, bouger quand, de façon évidente, rien ne peut venir pour me soulager. Une sorte de réflexe. La femme qui officie ne fait aucune attention à moi, et n'est qu'une opératrice pour me préparer. A quoi? La main gantée passe deux filins dans les deux œillets de l'anneau, reliés à un treuil à l'horizontal par rapport à ma position, à trois mètres environ. Rapidement mon sexe est étiré horizontalement, m'arrachant de nouveaux cris, et je comprends alors le dispositif contre lequel je suis appuyé, qui m'interdit d'arquer mon corps en direction du treuil : mes pieds sont attachés solidement au sol, et mon ventre retenu d'aller vers l'avant par un portique en métal, où mes mains sont attachées de façon écartées mais assez lâches. La tension sur mon pénis est atrocement douloureuse, et je couine comme un goret, à l'unisson du compagnon d'infortune, qui est dans la stalle à côté, et subi la même chose. Il y a trois portiques identiques, nous en occupons deux, le troisième est vide. L'homme est jeune, très beau et souffre le martyre comme moi. Les deux femmes qui s'occupent de nous, rient, nous insultent dans une langue que je ne connais pas, le roumain sans doute et s'amusent à augmenter la tension. Pour vérifier que tout est bien en ordre de ce côté-là, elles actionnent une commande, et dans une vision d'horreur, nous voyons le treuil aller et venir, étirant notre sexe avec les pointes acérées jusqu'au point de rupture, avant de revenir dans un rythme lent, à la position initiale. La machine va et vient, ma tortionnaire, teste les différentes vitesses, tandis que je hurle inutilement, convaincu que mon gland ne pourra résister et va se déchirer. Elle met le treuil sur pause, dans une position intermédiaire, je ne suis qu'un gémissement continu. Dans un français impeccable, elle plante ses yeux dans les miens que je baisse aussitôt : - Tu couines, mais cela ne fait que commencer, tu n'as pas idée, quand tu sortiras, tu ne sauras plus rien de qui tu étais, nous t'aurons complètement remodelé, ta femme sera très fière j'en suis certaine. *** Quelques semaines auparavant... L'image de ma femme vient occuper tout mon esprit. Océane m'a plu dès que je l'ai vue dans une soirée chez des amis. Elle n'est pourtant ni dans les canons, ni dans les miens qui sont très élevés. En surpoids qu'elle assume pleinement, elle peut être qualifée de ronde, avec des yeux perçants, et une beauté que je discerne au travers de ses formes qui me semblent comme un manteau ou un déguisement sur elle. Très farouche, il me faut beaucoup de temps pour arriver à l'inviter à dîner et bien plus encore à ce qu'elle accepte un baiser. Elle est difficile, exigeante, pas du tout intéressée par les hommes, et ne souhaitait faire aucun effort, ni adapter aucunement sa vie à un partenaire. Les choses sont claires. Peu m'importait, je vibre tellement en sa présence, c'est quelque chose de fou. Et finalement, ma patience, tout comme ma souplesse lui plurent et elle accepte alors une première nuit ensemble, sachant qu'elle choisit le lieu et les modalités. Elle se décide pour un palace parisien, je dois l'attendre nu dans la chambre, les yeux bandés et me laisser faire. Je sens le courant d'air de la porte, plus que je ne l'entends. Elle entre à pas de velours. Je suis sur le lit, à genoux, l'attendant, un peu honteux de mon sexe déjà très dur. Non qu'il soit petit, au contraire il est plutôt très gros et long, mais je trouve cela un peu indécent de bander avant même qu'elle n'arrive, tant j'ai envie d'elle. Je me suis pourtant masturbé dans les toilettes peu avant, pour être certain qu'un accident n'arrive pas, et gâche tout! Je sens une main caresser mon torse, pincer légèrement mes tétons, descendre sur mon ventre, caresser mon pubis. C'est doux, excitant, ma bouche s'ouvre dans un désir de baiser profond avec elle. Contre toute attente sa main s'arrête et ne descend pas sur mon sexe tendu et en manque. Une pression me fait comprendre de m'allonger sur le lit. Je me laisse faire, je m'allonge. Elle prend mes mains, les tire au-dessus de ma tête, et à ma grande surprise les menotte aux barreaux du lit, me gardant ainsi étiré, après avoir retiré l'oreiller qui soutenait ma tête. Je suis à sa merci. Elle ne dit rien, continuant à caresser mon corps doucement, évitant certes mon sexe, mais me couvrant maintenant de doux baisers. C'est tendre et très sensuel. Sa bouche aspire mon téton gauche, le titille de ses dents, la morsure se fait plus douloureuse, je me tends, je gémis, je ressens des décharges dans tout le corps, sensations inconnues pour moi. Elle passe à l'autre téton, les mêmes sensations, encore plus fortes tant la morsure est prolongée, je crie mais je ne cherche pas à m'échapper, je ne sais pas pourquoi. Sa main saisit alors fermement mon sexe, je bondis tant ce mélange de douceur et de douleur me plonge dans des émotions inconnues. Sans lâcher mon téton endolori, elle saisit mes couilles à pleine main, c'est si sensible, j'espère qu'elle le sait! Apparemment oui, et elle s'en moque, les dents sur mon téton, sa main serre progressivement mes couilles, j'écarte les jambes pour m'offrir, j'ai envie qu'elle fasse de moi ce qu'elle veut, mais je couine, je hurle après une pression bien trop forte, la douleur irradie, ne se calme pas. Sa bouche a quitté mon téton, la sensation est jouissive, mon sexe est plus dur que jamais, c'est le moment qu'elle choisit pour me chevaucher. Elle ne s'est même pas déshabillée, je sens une jupe sur mon torse et mes cuisses. Elle guide mon pénis dans son sexe dégoulinant, s'enfonce d'un coup, c'est indescriptible, je hurle un oui sonore, qu'elle sache que je suis au firmament. Elle se penche sur moi, ses lèvres effleurent les miennes assoiffées, je sens ses seins peser sur mon torse, je regrette mes mains attachées, j'aurais aimé les caresser, les malaxer. Mais je ne décide rien. Très vite elle se redresse, me sort de son sexe et se retourne. J'hallucine quand je comprends qu'elle vient s'enculer sur moi. La sensation est à nouveau folle, si je suis lubrifié, son cul est sec mais semble déjà un peu ouvert puisque mon gland trouve facilement sa place. Là aussi elle s'empale d'un coup, poussant enfin un grand cri (de souffrance? de plaisir? de victoire?). Cela m'a fait mal, en particulier au frein, mais je pense que ce n'est rien par rapport à elle. Ses va et vient sont de plus en plus fluides, je la sens se lubrifier, s'élargir, mon plaisir monte, irrésistible tandis que la douleur s'estompe, je n'arrive plus à le retenir, et je jouis en criant mon plaisir, remplissant son cul de ma semence, quelle baise! Je me sens un peu honteux de n'avoir pu me retenir plus longtemps. Je murmure un désolé qui reste sans réponse. Elle se décule, recule un peu et vient poser son cul directement sur ma bouche! Je voudrais la détourner mais je sens tout son poids sur moi qui m'écrase, et dans un réflexe incontrôlé, je lèche la mixture qui s'écoule, mélange de ses sécrétions, des miennes et je crains d'autres choses. Elle se soulève pour que je respire, et recommence longuement, jusqu'à ce que j'ai tout avalé. Cela m'excite terriblement, qu'elle ne dise rien, que je sois utilisé ainsi, que je fasse quelque chose d'aussi pervers. Mon sexe est à nouveau complètement bandé, j'espère qu'elle voudra continuer. Je la sens se retourner, accroupie devant moi. Je suis heurté par un jet chaud sur le visage, il me faut quelques instants pour réaliser qu'elle me pisse dessus! Cela gicle partout, je ferme la bouche, le jet rentre dans mon nez, je tousse, j'avale de l'urine, cela n'arrête pas. Heureusement mes yeux sont protégés par le bandeau. Je ne sais pas pourquoi, je ne dis rien, je suis juste halluciné. Le jet s'arrête enfin, je la sens descendre du lit, quelques mouvements, et la porte qui claque! J'appelle Océane, mais seul le silence me répond. J'essaie de détacher mes mains, en vain, je me fais juste mal aux poignets. Elle m'a laissé le visage couvert de mon sperme, et de sa pisse, nu sans pouvoir me détacher. J'ai froid maintenant, et rien pour me couvrir. Avec mes bras, j'arrive à enlever mon bandeau, trempé, mais c'est de peu de réconfort. Je vois la clé des menottes posée largement hors de portée, puisque le lit ne bouge pas d'un centimètre. Après une heure d'effort je suis obligé de m'avouer vaincu. Je ne bande plus du tout, juste terrifié de savoir comment je vais m'en sortir. J'ai passé la pire nuit de ma vie, dans l'hôtel le plus cher que je me sois offert. Je suis terrorisé quand j'entends une sonnette, puis une clé ouvrir la porte. La femme de ménage recule quand elle voit qu'il y a quelqu'un mais je l'interpelle pour qu'elle vienne me délivrer. Au lieu de cela, elle appelle un collègue, sans doute ayant peur d'une agression sexuelle. Je dois lui expliquer la blague de ma femme, qu'il ne juge pas de très bon gout, surtout avec le lit souillé de son urine. Il me libère et me demande de partir tout de suite, je ne peux même pas prendre une douche, je me sens dévasté et humilié comme jamais. Une fois dehors, j'éclate de rire, quelle expérience, quelles sensations! Jamais je n'aurais cru cette femme aussi joueuse. Peut-être cela explique-t-il mon attrait incroyable pour elle, attrait qui au lieu de faiblir n'a fait que s'accroître! Je lui envoie un message, la remerciant de cette nuit inoubliable, voulant m'assurer qu'elle était bien rentrée. La réponse vient après 24 heures de fébrilité, sans oser la relancer : Stop ou encore. Encore, évidemment, mille fois encore. Elle me demande alors de m'offrir. C'est curieux comme expression, cela me semble plus à une femme de s'offrir, mais cela m'excite cette passivité, sans savoir ce qu'elle a en tête, pensant m'être bien offert la première fois. Un palace sur la rive gauche cette fois-ci, elle va me ruiner. Heureusement que je prends des réservations en dernière minute à moitié prix! La bouteille de champagne demandée est prête, je l'ai apportée bien glacée. Je relis les instructions, somme toute simples : je débarrasse l'immense lit de tout draps, oreillers et couette. J'ouvre le champagne avec deux coupes prêtes à recevoir le liquide. Plus délicat je prends les bandes de steri-strip que je colle sur mes paupières pour les fermer. Trois pour chaque œil, je ne pourrais vraiment pas les ouvrir! Puis je tâtonne, referme les menottes de la dernière fois que j'ai gardées en souvenir, aux barreau du lit, après avoir laissé la clé hors de portée. Je suis offert comme elle le désirait. J'ai monté le chauffage pour ne pas avoir froid, je l'attends, mon sexe est tendu comme un arc. Elle m'a demandé de ne pas me toucher d'ici notre rencontre, et je me demande comment je vais faire pour ne pas jouir à la première caresse! Elle prend son temps pour s'approcher de moi cette fois. Je l'entends se servir un verre de champagne, s'asseoir sur le canapé pour me regarder. - Je ne veux pas que tu parles, si j'ai besoin je te demanderais, mais je ne veux entendre que tes gémissements, tes cris, tes supplications. Et tu ne jouis que quand je le veux, sinon je te punis. Sa voix m'électrise, je hoche la tête en signe d'assentiment, j'adore les règles du jeu, me laisser ainsi emmener est un délice. Je crois que je suis déjà amoureux de sa voix, elle est suave, douce, déterminée. Je ne sens aucune fêlure, aucune vulnérabilité. Je l'entends se déshabiller, mon cœur s'emballe, je ne peux qu'imaginer ses énormes seins, son ventre rebondi, ses cuisses épaisses. Rien de cela ne m'a jamais attiré, ce soir cela me rend dingue d'elle. Je sursaute et pousse un gémissement sonore. Contre toute attente, son premier contact a été buccal avec mon gland. Sa bouche est douce, elle m'englobe, jusqu'au fond de sa gorge, sa langue titille mon frein, je suis au paradis. Sa main saisit ma tige, me masse doucement, avant de venir caresser mes couilles, qu'elle presse doucement. Je ne peux résister plus de trente secondes et je jouis dans sa bouche, en hurlant mon plaisir. J'ai des étoiles dans les yeux, le corps traversé de spasmes. Elle ne dit rien, vient se pencher sur moi, ses lèvres ouvrent ma bouche dans laquelle elle recrache tout le sperme que je lui ai envoyé. Je comprends que je dois avaler, décidément, un peu dégouté mais au fond pourquoi ce serait à elle de l'avaler. Je sens ses tétons sur moi, la lourdeur de ses seins qui s'appuient sur moi, c'est délicieux. - Bad boy va devoir être puni Sa voix est restée aussi douce qu'excitante, je me demande quelle va être me punition! J'entends le zip d'un sac, puis deux mains attacher autour de ma cheville gauche un bracelet, puis autour de la droite également. Rapidement une traction me fait comprendre qu'elle m'attache les jambes très écartées, me tirant vers le bas du lit, je suis immobilisé, en tension, très vulnérable. Elle masse mes cuisses tendues, mon ventre étiré, sentant ainsi mes muscles tendus. - Tu vas voir, tu vas vite apprendre! Apprendre quoi? J'entends le sifflement avant de recevoir le coup sur une cuisse. Cela brûle mais c'est supportable. Elle es venue avec une cravache! Océane semble bien équipée, je me dis qu'elle semble avoir l'habitude de ces relations épicées! Je reçois cinq coups sur chaque cuisse, je ne dirai pas que c'est agréable, mais presque. Cela chauffe mes muscles bandés, je m'offre comme elle le veut. Les cinq qui suivent sur mon ventre semblent bien moins forts mais sont très douloureux. Malgré moi je crie. Je me sens déchiré. Mes cris ne semblent pas l'arrêter. Je suis soulagé qu'elle s'arrête enfin, la cravache glisse sur mon torse, les cinq coups suivants sont secs, forts, douloureux, très douloureux mais très supportables aussi, bizarre cette association. Sur le ventre c'était juste insupportable. - Une légère punition pour un débutant comme toi, ne t'avise pas à recommencer, cela ne serait plus la même chose! Je l'entends à peine, bercé par la prosodie de sa voix qui m'envoûte. Ses ongles suivent chaque marque que la cravache a dû laisser. Cela brûle, cela m'excite, mon sexe se redresse. Elle le reprend en bouche jusqu'à ce qu'il soit à nouveau dur et fier, et bientôt, comme la dernière fois s'empaler dessus. Quelle frustration de ne pouvoir ni voir ni toucher sa poitrine. Est-ce pour cela que j'ai les yeux fermés? La chevauchée est longue, je la sens mouiller de plus en plus, me demandant si elle va encore s'enculer sur moi? Elle saisit mes tétons avec ses ongles, les serre, les tourne, je gémis, je crie, ses mouvements sont plus rapides. Elle se couche sur moi, je sens ses seins s'écraser et s'étaler sur mes côtés, cela m'excite. Elle saisit un téton entre ses dents, j'ai peur, et j'ai raison, elle fait des mouvements du bassin pour se caresser sur mon sexe, en mordant mon téton, me faisant, crier, supplier. Elle se redresse, tirant encore plus fort, je perds la tête, j'ai tout le corps électrisé, le téton semble se déchirer, je crie pitié, mais rien n'y fait jusqu'à ce que je sente ses mouvements désordonnés annonciateurs d'un orgasme qui la secoue longuement, à mon détriment, ses dents ne lâchant rien de mon téton, je crie à son unisson mais de souffrance ne pouvant me remplir de son orgasme. Il nous faut quelques minutes pour revenir à nous. Une langue douce cette fois vient malaxer mon téton endolori, c'esr délicieux. Elle se relève, me colle son sexe gluant sur la bouche, elle est couverte de son excitation. Je la lèche, c'est un nectar. J'aimerais rentrer ma langue au fond de son sexe, je lèche doucement son clitoris sensible, elle se laisse faire, les mains accrochées aux barreaux du lit. Enfin elle se lève, je l'entends se servir une coupe de champagne, la boire, puis resservir les deux verres. - Il est bon ton champagne! Relève-toi un peu je vais te glisser un coussin pour que tu puisses boire. Interdiction d'en perdre une goutte! Elle approche la coupe, j'ai soif. Avant même que le liquide n'atteigne ma bouche, l'odeur m'avertit, je l'entends rire de sa blague. Docilement j'ouvre la bouche, qui se remplit de son champagne à elle. Décidément elle semble aimer cela, donner son urine. Je me sens humilié et rabaissé, mais aussi excité par toutes ces perversités, ses désirs si forts. Je bois, c'est chaud, le goût est léger. Elle me ressert, je bois tout encore plus facilement, je me remplis d'elle, la symbolique m'explose et j'en veux encore. J'en ai encore, plusieurs flutes, elle est ravie, me dit que je suis une bonne buveuse de pisse. Elle aime aussi m'humilier. M'aime-t-elle comme je commence à l'aimer? Suis-je juste un jouet ou beaucoup plus? Je n'ai d'autre choix que de me laisser porter par elle. Elle vient s'allonger contre moi, son corps est brûlant, lourd, ferme, doux. Quelle frustration terrible de ne pas pouvoir la caresser, je me retiens de lui parler, je me rappelle ses consignes. - J'aime ton corps, tes réactions, ton obéissance. C'est rare. En fait cela ne m'est jamais arrivé. Maintenant à moi de te donner du plaisir. Je me sens flatté, et excité par ce qu'elle va pouvoir faire. Elle détache mes deux chevilles, me fait retourner sur le ventre, ma queue bandée entre mes cuisses. Mes mains sont croisées, c'est un peu désagréable, mais sans plus. Elle se couche sur moi, je sens son poids, c'est délicieux. Elle m'embrasse, me caresse, c'est divin. Ses mains descendent sur mes fesses, s'immisce dans mon sillon, je me détends même si je crains pour mes couilles. Drôle de sentiment qu'elle a su insuffler en moi, la peur de la douleur qui peut venir à chaque instant. Mais ce ne sont pas mes couilles sa destination mais mon cul! Elle masse doucement mon anus, j'essaie de me détendre, veut-elle vraiment me sodomiser? La réponse vient vite quand je la sens prendre quelque chose, et un liquide couler directement sur mon trou, je sursaute. Je me retiens de ne rien dire. Son massage reprend, plus doux et plus agréable, son pouce éprouve ma résistance, je lève un peu les fesses, pour lui signifier ma coopération. Je n'ai jamais été sodomisé, et je comprends que cela sera aujourd'hui. Je n'en ai jamais eu envie, ni pas envie d'ailleurs, mais ce soir, avec Océane, c'est différent, c'est elle qui mène les débats, l'homme du couple! Elle s'absente quelques instants, le temps pour moi de me préparer, de me remplir d'elle. Quel dommage de ne pas pouvoir la regarder. Je ne suis pas surpris de la sentir à genoux entre mes cuisses. Elle glisse un coussin sous mes hanches, et pointe le bout d'un gode qu'elle doit porter avec une ceinture, directement sur mon petit cul vierge. J'ai peur, mais je sais que c'est pour beaucoup de personnes, jouissif, et je ne suis pas du tout dégouté. La pénétration est lente, elle guette ma respiration, me flatte de mon ouverture, griffe mon dos, mes fesses, j'ose des oh oui, pour l'encourager. Est-ce que j'en ai le droit? En tous cas pas de punition! Je sens sa culotte contre mes fesses, elle est pleinement rentrée. Je suis presque déçu, l'engin semble petit et pas très long, elle fait des allers et retours, c'est bon, c'est doux, c'est souple, c'est vraiment agréable, je crois que je vais aimer la sodomie!
LeBûcher
Nîmes, Homme maso, hétéro, 1m78, 80 kgs cheveux très courts cherche Donjon avec Dominatrice ou couple et/ou h dominateur sur thème médiéval et/ou endroit isolé pour reconstitution bûcher de l'inquisition : attaché nu à un arbre ou poteau, apprécie les pinces à sein. Tout est possible si réelles affinités.
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Good boy
Bonsoir à tous Alors comme il est dit je me décris Moi tout simplement de Bruay-la-Buissière J'ai 62 ans, je mesure 1,73 pour un un poids de 95 kg avec pour mon âge un peu de ventre, Sinon j'ai des cheveux très courts poivre et sel. Voilà ce que je cherche Je recherche un partenaire pour des séances de BDSM en tant que soumis. Fantasme, désir, plaisir sexuel, rêve donne envie de tenter une nouvelle expérience BDSM. Je précise que je ne peux pas recevoir, je préfère me déplacer. A bientôt j'espère
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Marc14
Recherche femme ou couple dominateur sévère
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Chloe
Salut 💓
J'aime 13/05/25
Chloe
Salut 👄
soumisSM62
a partagé une photo
Bonjour moi Soumis 6562 recherche dom homme femme pour des sceances bien hard du pas de calais grand amateur de la flagellation. electro . punition .punition bondage cbt .
bonjour à tous également
happy
BONJOUR a tous
Autiliser
Bonjour le groupe
LeBûcher
(NIMES)(Homme soumis)Fétichiste du bûcher de l'inquisition, espère sincèrement faire des rencontres SM hors du commun pour partager un scénario bien construit avec partenaire de jeu de rôle motivé(e) tendance sadique n'ayant pas froid aux yeux et aimant jouer avec le feu. Tout est possible si réelles affinités. Ne peut recevoir mais se déplace. Nombreuses années d'expériences sur ce thème.
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Qu’appelles-tu le bûcher de l’inquisition ?
J'aime 11/04/25
LeBûcher
Celui qui était dressé en place publique ou l'on brulaient vives les femmes et hommes accusés de sorcellerie ou d'hérésie
J'aime 14/04/25
Adelaide
Ils sont huit, entièrement nus, assis autour d’une grande table rectangulaire couverte d’une nappe blanche qui descend presque jusqu’au sol. Des assiettes fleuries égaient la surface immaculée comme de vrais bouquets, les entrées viennent juste d’être servies. Je n’ai ni assiette, ni couverts, et pourtant j’ai extrêmement faim. Je suis debout, je baisse les yeux : moi aussi je suis nue. Je les regarde, ils commencent à manger quand Étienne m’adresse la parole : — Léna, qu’est-ce que tu attends ? À table, dépêche-toi ! Je m’approche, soulève la nappe et je me glisse sous la table. Que le jeu commence ! À genoux, au centre, le cou tordu et la tête penchée, la table n’est pas assez haute pour me permettre une position confortable. Je regarde le bas de ces corps que je ne connais pas, sauf celui d’Étienne. Je suis entourée de sexes. Une ronde de perversion. Une queue plus grosse que les autres repose lourdement sur l’assise de sa chaise, une autre, pas très longue, mais assez large, bande déjà fort. Et il y a celle d’Étienne, et d’autres queues, une ribambelle de queues. Ça va être à moi, j’attends le signal. Étienne fait sonner la cloche et lance le chronomètre. J’ai cinq minutes devant moi. Je choisis celle qui s’est mise à bander avant le top du départ. En la regardant gonfler, j’ai tout de suite eu envie de la mettre dans ma bouche. J’ai interdiction formelle de faire du bruit. Je dois rester absolument silencieuse, au-dessus de la table les gens discutent et mangent, comme si de rien n’était. Je m’approche donc très délicatement et une fois en face de celle que j’ai choisie, je l’attrape dans ma main et la fourre dans ma bouche. Je l’enfonce bien au fond, la ressors, la lèche en silence, et je recommence les allées et venues. Je m’applique à sucer pendant cinq minutes ce membre raide. La cloche retentit, je m’arrête immédiatement et retourne au centre de la table. Les invités débattent, ils ont du mal à se mettre d’accord. Un homme est désigné. Perdu, ce n’était pas lui. La cloche retentit à nouveau. Je choisis une autre queue et je recommence à sucer. Cette bite est si large qu’elle tire sur mes lèvres. Au bout de quelques minutes, j’entends un gémissement. L’homme n’a pas pu se retenir. Il sait qu’il est démasqué, il sait qu’il va être éliminé. Perdu pour perdu, il attrape ma tête et m’invite à le pomper plus fort encore, je reçois son foutre en pleine bouche. La cloche sonne. Tout le monde le montre du doigt, il se lève et quitte la table. Éliminé. Je continue mon manège et à chaque tour, ma cible ne doit pas se faire repérer pour pouvoir rester à table. Chacun doit contenir son plaisir, ce qui, bizarrement, le rend encore plus fort. La vraie question est de savoir qui sortira vainqueur. Je décide de m’occuper d’Étienne, c’est le maître de cette cérémonie, mais ce n’est pas parce qu’il a organisé ce jeu qu’il ne doit pas y participer. Je le connais par cœur, je sais comment le rendre fou. Je lèche sa verge sur toute sa longueur et, en même temps, je regarde la queue de son voisin de table. Elle est à ma portée. Il me vient une envie irrésistible de la saisir. Je n’ai pas le droit de toucher deux personnes en même temps. C’est la règle. Et pourtant… Pendant que j’enfonce doucement le gland d’Étienne dans ma bouche, je dirige ma main vers ce deuxième sexe qui semble si chaud, si tendu. Je le frôle, je suis à deux doigts de le toucher, de l’empoigner. Mais je sais ce qui me retient : les règles du jeu, la punition. Alors, je fais semblant de branler cette bite pour me calmer, je m’imagine en train de le faire, mais j’agite seulement ma main autour d’elle. Pendant ce temps, je sens le corps d’Étienne qui commence à faiblir. Pourtant, je perçois sa voix, calme et posée qui explique aux invités ce qu’il a pensé du dernier film de Julia Ducournau. J’ai envie de te faire jouir Étienne, et ton voisin de table aussi. Je craque. Je prends cette bite défendue dans ma main, je sens le corps de l’homme avoir un sursaut, la cloche n’a pas sonné, je n’ai aucune raison de commencer à m’occuper de lui maintenant. Sa réaction risque de nous faire repérer, mais tant pis, je ne me contrôle plus. Je le branle bien. Je viens ajouter ma salive et ma bouche alors que j’astique maintenant Étienne. Je jongle entre ces deux queues, j’aimerais tellement les voir se vider, là sous cette table, à l’abri des regards sauf du mien. La cloche retentit, aucun des deux n’a joui. Je les lâche et je retourne au centre de la table. Je regarde ces sexes, si rouges et si durs, qui étaient à deux doigts de dégorger leur plaisir. Ce qui me plaît dans ce jeu, c’est qu’il n’y a pas vraiment de bonnes stratégies. Soit le joueur retient son orgasme, car il a peur que celui-ci lui laisse échapper un cri ou une grimace et là, c’est perdu, soit il se laisse aller en espérant cacher ses émotions. Risqué, ça oui ! Mais ensuite, la partie est presque gagnée, car sa période réfractaire lui permet de reprendre le contrôle un bon moment. Je tends l’oreille, je me demande comment va réagir Étienne qui a très bien compris que j’avais joué avec un autre en même temps que lui. D’ailleurs, tout le monde désigne cet homme à cause de son sursaut. Il se lève pour quitter la partie, mais Étienne lui demande de rester assis : — Non, reste. Tu n’es pas éliminé. Léna a triché sur cette manche, c’est à cause d’elle que tu t’es fait repérer. Sors de sous la table Léna, viens ici ! Je soulève la nappe et je rejoins Étienne les yeux tournés vers le sol. — Pourquoi as-tu branlé et sucé deux hommes en même temps ? — J’en avais trop envie. C’était plus fort que moi. — Tu aimes tellement la bite que tu es incapable de te retenir. Ma petite chienne. Il se lève et m’embrasse le front en souriant. J’ai triché, mais ma soif de sexe lui plaît beaucoup, je le sais. — Je vais t’administrer une punition à la hauteur de ta faute. Tourne-toi. Je regarde la tablée et je souris effrontément avant de me tourner. J’adore jouer. Je me demande bien ce qu’il va me faire. Je l’entends discuter à voix basse avec les invités. C’est très troublant, un léger sentiment de peur m’anime. Mais je sais que je n’ai qu’un mot à dire pour que la séance s’arrête immédiatement. Étienne reprend la parole : — Nous nous sommes mis d’accord. Tout le monde a voté « pour » concernant la punition : je vais t’attacher les mains dans le dos pour t’empêcher de recommencer. Autant te dire que ce ne sera pas très agréable, tu ne pourras pas t’aider de tes mains pour te déplacer ni pour le reste. Mais surtout, cela t’empêchera de branler plusieurs personnes en même temps. Tu n’auras que ta bouche. Approche, et ne bouge pas pendant que je t’attache. Je me laisse faire, la corde se serre sur mes poignets. Le sentiment que me donne cette nouvelle contrainte est de l’excitation pure. Étienne reprend sa place et m’invite à retourner sous la table. L’entrée est terminée, le plat principal arrive. Il avait raison, sans les mains c’est très inconfortable, je me mets en tailleur pour patienter et j’observe ces verges qui m’entourent. Je décide de choisir ma prochaine victime tandis qu’au-dessus de moi les bruits de fourchette se font entendre. Soit je m’attaque à quelqu’un qui bande fort en espérant l’achever, soit je viens déranger un sexe qui dort et qui se croit sauvé. Son de cloche, mon choix est fait. À genoux, je me dirige vers une queue flasque. Ils ont tous les jambes légèrement écartées, c’est la règle, afin de me faciliter l’accès. J’approche ma bouche, délicatement. Sans l’aide de mes mains, c’est vraiment compliqué. Sans un bruit, je dépose des baisers, de la base jusqu’au gland, sur les cuisses et les couilles. Après les baisers, je me mets à laper comme une chatte. Je mouille la queue de salive et c’est là, sous ma langue, que je la sens qui s’anime. Elle se soulève lentement. Je réveille son désir et je trouve ce spectacle magnifique. Voir une bite en train de durcir. Mon propre sexe se mouille et je n’avais pas anticipé ce détail : je ne peux plus me caresser. Je suis sûre qu’Étienne y avait pensé. Ça m’apprendra à désobéir. Je continue de m’atteler à la tâche, en me dandinant pour que le frottement de mes cuisses caresse un peu mon clitoris. Je prends enfin la bite entièrement dans ma bouche et je ressens son soulagement. Je fais quelques va-et-vient, mais la cloche sonne déjà. Alors je l’enfonce une dernière fois le plus loin possible dans ma gorge, comme pour lui dire au revoir. Ce monsieur a très bien contenu ses émotions. Personne ne l’a repéré. Il reste en lice. Je n’ai maintenant qu’une hâte, pouvoir y revenir. J’ai très envie d’aller au bout avec lui, je n’aurai de cesse de de le choisir tant qu’il n’aura pas joui. Les convives parlent maintenant de certaines célébrités, un rappeur que je ne connais pas. Ils n’ont pas l’air de partager les mêmes goûts. C’est marrant de les écouter débattre comme si de rien n’était. La cloche tinte, j’y retourne. Je n’hésite pas une seconde, je reprends là où je m’étais arrêtée. Monsieur est très excité, je recommence à le sucer. J’essaie d’aspirer un peu, mais je n’ai pas le droit de faire de bruit au risque de subir une nouvelle punition. Alors je suis vigilante, je m’applique. Ma salive déborde des commissures de mes lèvres. Je la vois dégouliner jusqu’à l’assise de la chaise. Ce sexe est de plus en plus gros, au début je pouvais le mettre presque entier dans ma bouche et maintenant j’ai du mal à dépasser la moitié. Quelqu’un pose une question à ma victime et je perçois que sa voix tremble. Alors j’accélère : pour chaque perdant c’est moi qui gagne et ma récompense est dingue. Il écourte sa réponse pour éviter de se faire remarquer et rester concentré sur son plaisir. Au son de la cloche, sa main se pose sur ma tête. Délicate, mais ferme. Je comprends qu’il est en train de venir. Alors je le suce encore un peu. Ma victime explose, par à-coups, son sperme se répand dans ma bouche et cela semble durer une éternité, mais j’en profite autant que lui, car son plaisir est aussi le mien. Une fois que j’ai tout avalé, j’embrasse sa cuisse comme pour lui signifier que son secret sera bien gardé et je retourne au centre, je reprends ma position en tailleur, les bras dans le dos. Ce jeu est en train de devenir mon préféré. Au moment de servir le dessert, il ne reste plus que trois participants sur huit, c’est le dernier round. À la prochaine élimination, le jeu sera terminé. Il faut que j’y arrive, s’il n’y a pas encore un éliminé avant la fin du dessert, c’est moi qui perdrai. Je regarde les trois sexes qui restent, ils sont tous durs. Il y a celui d’Étienne, celui qui a déjà joui un peu plus tôt sans se faire remarquer des autres, et un sexe que je n’ai sucé qu’une seule fois depuis le début du jeu. Cette queue était bonne, mais je n’ai pas eu l’occasion d’y retourner. C’est le moment ! Au son de la cloche, je m’approche, les mains toujours attachées et je la lèche. À ce stade du jeu, l’excitation est à son paroxysme. Les trois hommes sont au bord de l’explosion, galvanisés par l’esprit de compétition, je n’ai plus grand-chose à faire. Alors je me lance, confiante. Je salive, j’embouche, j’accélère, je ralentis. L’homme bande fort, mais il ne frémit pas un instant. Je commence à me dire que ça ne va pas être aussi simple. Je lèche le gland, les couilles, le périnée et je tente difficilement d’accéder à son anus. Si seulement j’avais mes mains pour m’aider. Ça semble lui plaire, je me rapproche de son point faible. J’aurais tant aimé lui enfoncer un doigt dans le cul pendant que je le tiens entre mes lèvres. C’est sûr que je l’aurais fait flancher comme ça ! La session se termine. Je retourne au centre de la table et je réfléchis. Il ne me reste plus beaucoup de temps pour gagner. Un ou deux tours, tout au plus. Il faut que je sois stratégique. Je pourrais reprendre avec celui que j’ai déjà fait jouir une fois, recommencer la même technique et le faire repérer. Mais il était si discret la première fois que ça me semble risqué. Étienne, je le connais bien, combien de fois a-t-il joui grâce à ma bouche ? Je ne compte plus. Je crois que c’est la meilleure solution si je veux pouvoir profiter de ma récompense. La cloche ! Étienne ! J’ouvre grand la bouche et je fais coulisser son gland jusqu’au fond de ma gorge. Je retiens les bruits de mes réflexes œsophagiens et je recommence. Il adore ça, j’adore ça. Encore, encore, allez Étienne, viens ! Laisse-toi aller ! Je le sens frémir, je pense que son visage va le trahir, que sa voix va trembler. C’est si bon de le manger, même s’il ne jouit pas, je crois bien que j’ai réussi à le faire remarquer. Pour la première fois depuis le début de la soirée, je ne retrouve pas son assurance légendaire, il se perd dans son plaisir, il s’enfonce, il se tend. Je sais que les convives ont senti quelque chose, car ils essaient de le faire parler, de le tester. Étienne comprend qu’il est pris au piège. Il doit me rester une ou deux minutes, alors je me retire et j’arrête, je le frustre. Mais ça ne plait pas à monsieur. Avec son pied, il vient caresser mon corps et mes seins pour m’inviter à revenir. Comment résister à ses avances ? Je me remets au travail, mais cette fois ce n’est plus du tout pour le jeu, c’est seulement pour nous. Je me doute que les cinq minutes se sont écoulées, mais Étienne a décidé d’en profiter encore un peu, il sait que c’est la fin du jeu. Après tout, c’est lui le maître de la soirée. Je le laisse venir, à son rythme, je reste là, la bouche grande ouverte, prête à recueillir ce qu’il a à me donner. Mes allers-retours sont réguliers, appuyés et efficaces. Avant de le sentir sur ma langue, je sens son sperme monter dans sa verge. Elle se contracte plusieurs fois et j’avale doucement, je continue de sucer quelques secondes pour le vider complètement. Étienne actionne la cloche, une dernière fois. Ses deux comparses le dénoncent, il plaide coupable. J’ai réussi à éliminer six convives avant la fin du repas. Étienne m’invite à sortir de sous la table, m’attrape par les épaules pour m’aider à me relever et détache les cordes de mes poignets. Il me prend dans ses bras et m’embrasse pour me féliciter. Il aime quand on joue et je crois que j’aime ça encore plus que lui — Bravo Léna ! Tu remportes la partie, dit-il en souriant. — J’ai même réussi à t’éliminer. — Tu es bien trop maligne. Tu connais ta récompense, alors allons rejoindre tout le monde au salon. Nous rejoignons les perdants qui attendent la deuxième partie de la soirée. Chacun en tenue d’Adam sirote un verre qui accompagne la détente. Un fond de musique classique enrobe l’espace, je crois reconnaître Schubert. Tout est si classieux, si beau. Les corps nus sont mis en valeur, magnifiés par la situation irréelle. Pourquoi passons-nous notre temps à nous couvrir de vêtements ? Qu’est-ce que ça peut être gracieux ces peaux, ces poils, ces bourrelets, ces muscles, ces sexes ! J’aime la diversité, je n’ai jamais eu de style de mec ou de nana. Je dirais même que je ne suis pas très attirée par ceux qui sont dans une forme de beauté s’approchant de la perfection. Ce soir, il y a tous les âges, tous les styles. Étienne me sert un gin tonic, j’en bois la moitié d’un trait pour me rincer la gorge. On discute un instant, il me dit que je suis une peste de l’avoir fait perdre ainsi. Il me dit aussi qu’il a pris un plaisir monumental et que ce n’est pas fini. Il est l’heure de profiter de ma récompense. Ces messieurs se lèvent et me cèdent la place sur le grand canapé noir. C’est à mon tour de faire tout ce que je veux. Je m’allonge et j’observe les huit hommes plantés devant moi. Rien que de les regarder et de réfléchir à ce que je vais leur faire faire et je sens monter une vague de chaleur dans ma poitrine. La plupart ne bandent pas, mais nous allons vite relancer la machine. Je porte mes doigts à ma bouche, je les suce et je les lèche. Quand ils sont bien humides, je descends jusqu’à mon sexe. Je me caresse lentement et je me concentre sur ce que je ressens. Je regarde ces hommes, je les désire. J’enfonce deux doigts pour aller stimuler mon point G. Ma mécanique est parfaite, je mouille vite et en abondance. Ma chatte devient chaude, elle se trempe pendant que leurs bites se lèvent. Étienne est assis dans un fauteuil et regarde le groupe de loin. Je sais qu’il aime le rôle de spectateur autant que celui d’acteur. J’ai le droit de leur demander tout ce que je veux, alors je choisis un homme qui me sourit et qui m’excite particulièrement. J’ai envie de le soumettre, de l’utiliser. Je le pointe du doigt, il s’approche et j’ordonne : — Lèche-moi la chatte. Il se met en place et plonge son visage entre mes cuisses. Il n’y va pas par quatre chemins. Il est bruyant, il est vif, il me fait beaucoup de bien. Je pointe du doigt un deuxième homme très beau, dont les cheveux bruns et courts font ressortir les yeux bleus. — Toi ! Mets-toi à genoux au pied du canapé. Et embrasse-moi, mets ta langue dans ma bouche. Je jette un coup d’œil à Étienne, il sourit et je vois ses lèvres remuer, j’arrive à déchiffrer un « Je t’aime ». Je l’aime aussi. Les deux langues qui m’envahissent, une dans ma chatte, une dans ma bouche, font monter en moi un sentiment de pouvoir, de puissance. Certains hommes ont commencé à se branler en nous regardant. Ils sont beaux et excitants. Repue de leurs manœuvres, je demande à ces deux langues de s’éloigner et je change de partenaire, tant qu’à pouvoir faire tout ce que je veux, autant m’amuser. — Toi ! Approche. Prends une capote sur la table. Encule-moi ! Je vois son regard s’enflammer. Je ne suis pas peu fière de mon petit effet. Je me mets à quatre pattes, je lui tends mon cul affamé. Il prend son temps pour me détendre avec ses doigts puis avec son gland et il s’introduit doucement. Il reste quelques instants immobile à moitié enfoncé en moi, étale du lubrifiant puis m’embroche entièrement d’un coup sec. Cette fois ça y est, je sens que c’est bon. Il entame des va-et-vient puissants. Je gémis de plaisir à chacun de ses coups de reins et certains hommes se rapprochent pour voir cela de plus près. Étienne leur demande de garder leur distance tant que je n’ai rien demandé, alors ils font un pas en arrière et ils respectent les règles. Je les regarde s’astiquer pendant que cette queue me remplit le cul. Cette situation est merveilleuse, intense, complètement dingue. J’en veux encore. J’en veux plus. Je demande à Étienne de venir et de s’assoir sur le canapé tandis que l’homme qui me labourait se retire. Bien installé dans le canapé, son sexe dressé par le spectacle qu’il vient de voir, il caresse ma joue. Je m’empale sur lui en retour. Il m’embrasse et fait coulisser sa queue en moi comme pour montrer à tout le monde comment il faut me prendre. Après quelques minutes, il attrape mes fesses, il les écarte et je demande à mon enculeur de revenir par-derrière. C’est plus compliqué, c’est plus serré, il faut de la place pour deux et la position n’a rien de très pratique. Mais sentir une deuxième queue entrer en moi me fait tourner la tête. Je ne sais plus qui je suis. Je ne suis plus que plaisir. Un plaisir qui dépasse l’entendement. Ils se mettent en mouvement à tour de rôle, un dans mon cul, l’autre dans ma chatte. Ils grognent, je crie. Ce sentiment d’être remplie me transporte. Dans les convulsions de ma jouissance, dans cette frénésie qui nous agite tous les trois, sous les yeux d’une assistance d’hommes en train de se branler, je ne peux m’empêcher de penser que j’ai hâte de découvrir le prochain jeu
10 personnes aiment ça.
donatienhard
Très agréable lecture
J'aime 13/03/25
Lazarus
Très bandant pour les salopes comme moi qui aiment la bites et les chattes .
J'aime 14/03/25
Ange--Bleu
Très beau récit qui laisse place a plein d'imagination
J'aime 15/03/25
rebeudomixtrem
] Bonsoir maître alpha sm Xtrem sans tabous autoritaire exigent pervers sadique hard recherche bonne lope ou soumise a dresser sans tabous sans limite Voir appartenance
6 personnes aiment ça.
lolomaso78
bonsoir Monsieur, votre annonce me plait bien , pouvons nous en discuter ?
J'aime 06/03/25
rebeudomixtrem
oui avec plaisir demande moi en amoi
J'aime 06/03/25
soumis001964
Bonsoir Monsieur, vous dominer à distance aussi ?
J'aime 06/03/25
Bonsoir monsieur, j'imagine que vous avez trouvez chaussure à votre pied ? Dans le cas contraire je serai des plus intéressé
J'aime 11/03/25
a partagé quelques photos
Femboy Soumise cherche a être dominé pour être féminisé et dilaté mon trou très ouverte en pratique A dominé dans le 62 pour m'ouvrir grand le cul
Adevergonder
bonsoir merci le groupe un plaisir de vous rejoindre aux plaisirsm de le vivre....
3 personnes aiment ça.
Ange--Bleu
Bonjour, un peu tard , Bonne Année de meilleurs vœux même les plus coquins et une très bonne santé. Je serais ravi de pouvoir échanger quelques mots pour faire plus ample connaissance . Au plaisir de vous lire Bonne journée
J'aime 06/02/25
Adevergonder
Mais je remercie tout le groupe pour cela et plus ...
J'aime 06/02/25
Bienvenue à toi...
J'aime 08/02/25
Adevergonder
Merci
J'aime 08/02/25
Avec plaisir
J'aime 09/02/25
Adevergonder
Plaisr de quoi????
J'aime 09/02/25
C étais une marque de politesse
J'aime 01/03/25
Adevergonder
Alors merci à vous
J'aime 02/03/25
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