
Adelaide
J’ai rencontré Paco dans une bodega branchée de Madrid, un soir de pleine lune, suite à un rendez-vous fixé sur un chat de rencontres. Paco et moi entretenons de très bonne relations amicales depuis. Paco est un homme doux, tendre, attentionné. Pourtant il possède une particularité que tant d’autres personnes considèrent comme une tare ou un défaut chez un homme, et que je considère pour ma part comme un penchant idéal pour un homme : il aime être dominé. De mon côté, j’aime dominer les hommes dans les jeux de l’amour. Je suis une dominatrice née et j’entretiens ce penchant avec un grand intérêt. Nous nous retrouvons fréquemment, Paco et moi, dans un bar-club privé de Madrid pour des soirées dédiées à la domination. Je deviens alors Maîtresse Noria, Maîtresse absolu de mon esclave Paco, entièrement soumis à mes désirs les plus lubriques. Paco aime être traité comme une chose, recevoir des ordres, être humilié même. Je connais très bien mon esclave et je sais parfaitement jusqu’où je peux aller sans dépasser les limites de ce qui reste acceptable pour lui. Paco est mon ami avant d’être mon esclave et son amitié m’est plus chère que mes penchants lubriques. Arrivés dans le bar-club, nous nous isolons dans une pièce au décor de velours rouge. Je pose ma mallette de Maîtresse près du grand canapé rouge. Je l’ouvre délicatement et je donne mes premiers ordres à mon esclave.
« Tiens-toi debout, ici, et ôte tous tes vêtements. Montre à ta maîtresse que tu es un bon esclave. Si tu m’obéis comme je te le demande, tu pourras faire jouir ta Maîtresse. »
Je saisis un caleçon de cuir noir auquel est accrochée une laisse en fer blanc. Un orifice permet de laisser libres le sexe, les couilles et l’anus de l’esclave.
« Enfile cela, il faut que je te tienne en laisse car tu n’es qu’un chien à sa Maîtresse, un petit chien indiscipliné qui ne mérite pas qu’on lui ôte sa laisse. Tourne-toi, que j’attache à présent ton collier de cuir. Tu as tout intérêt à bien faire jouir ta Maîtresse comme elle en a envie, ou bien je devrais te punir »
Je m’assois sur le canapé rouge.
« A genoux devant moi, ôte mes chaussures maintenant, voilà comme cela. Lèche les pieds de ta Maîtresse maintenant, et applique-toi. »
Ahhh.. j’adore qu’il me lèche les pieds, les puissantes chatouilles que cela me procure se propagent rapidement le long de mes jambes fines et musclées, pour atteindre ma chatte blonde.
« Continue de bien lécher mes pieds, pendant que ta Maîtresse se caresse la chatte. Je la prépare un peu avant de te la donner à laper. Regarde bien la jolie chatte de ta Maîtresse, j’écarte volontairement mes lèvres pour que tu puisses voir mon clitoris. Tu as envie de le laper comme un jeune animal assoiffé, n’est-ce pas ? »
« Relève-toi maintenant, dépêche-toi, allez. Obéis. Branle-toi, voilà, comme ça, plus vite, plus vite j’ai dis. Comme tu as bien léché mes pieds, je vais te montrer mes jolis petits seins, regarde »
Je continue à me branler tout en caressant mes petits seins sensibles sous le regard de mon esclave. J’ôte complètement ma petite culotte trempée et la jette au visage de mon homme-objet qui continu à se masturber en attendant un nouvel ordre.
« Aspire tout le jus de ta Maîtresse, lave bien la culotte avec ta langue. Je veux qu’elle soit propre. Est-ce que tu as bien compris ? voilà, c’est bien.»
J’attrape la chaînette de fer qui sert de laisse et tire pour ramener mon esclave plus prêt de moi.
« Mets-toi à quatre pattes comme un petit chien docile et viens laper le minou de ta Maîtresse. Oui, c’est bien, c’est ça, c’est un bon chien ça, Ahhhh…continu, laaape-moi ouiii… »
« Tu m’as bien fait jouir, tu as droit à une petite récompense de ta Maîtresse. Relève-toi, ta Maîtresse va te faire éjaculer dans sa bouche. »
Je suce goulûment mon esclave en lui massant les couilles. Il ne tarde pas à éjaculer dans ma bouche. J’avale tout, c’est chaud et bon.
« A présent, assois-toi à mes côtés, installe-toi sur le canapé avec ta Maîtresse. »
Je me retourne pour lui présenter ma croupe, je suis à mon tour à quatre pattes.
« Enfonce le gode dans ma petite chatte blonde. Doucement, oui, comme cela. Accélère la cadence maintenant, accélère te dis-je. Je t’ai donné un ordre. Voilà, Ouii. Hhumm…encore, plus vite. Oh, je jouis. Attrape un autre gode, oui, celui-ci. Enfonce-le dans mon petit trou, sodomise ta Maîtresse, elle en a envie. Vas-y oui…plus viiiite. Ca y est, je jouis de partout. AAAHHhhhh…… »
« Voilà, ta Maîtresse en a assez. Range les instruments à présent. Et comme tu t’es bien comporté, je vais te branler jusqu’à ce que tu jouisses de nouveau. »
Je branle mon esclave qui éjacule de nouveau rapidement. Je sais qu’il en a envie, qu’il serait frustré si je ne le faisais pas. Paco est repu, moi aussi. Nous avons encore assouvi nos fantasmes respectifs avec brio. Nous nous rhabillons et quittons la boite pour aller écouter de la musique à la terrasse éclairée d’un café. Je ne suis plus Maîtresse Noria et Paco n’est plus un esclave. Nous sommes deux amis qui discutent et rient de tout et de rien, de vrais amis envers et contre tout.
3 personnes aiment ça.
Bonjour le groupe
2 personnes aiment ça.
pour un nouveau soumis franc-comtois décidé à s'investir dans un relation au long cours .:.
Il me l’a annoncé cet après-midi. Pour fêter mes 27 ans, nouvelle séance de 2 heures environ, dîner à la maison, une seule consigne : tenue publique.
Tenue publique fait partie du vocable du contrat : Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins assortis. Bien entendu, aucun sous vêtement. J’ai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure.
Le dress code « tenue publique » me laisse quelques options, jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons… Dîner à la maison signifie que nous ne sortirons pas. Je pourrais me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. J’hésite… Et me ravise : La consigne était simple et ne laissait aucune place à l’improvisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique.
Quelle imbécile ! Dans quoi j’étais embarquée et pourquoi j’avais commis cette erreur. La vie était simple et agréable, pas de gros moyens mais beaucoup de temps libre et puis cette sottise il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans d’amour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Qu’est ce qui m’a pris !
De l’abattement, il était passé à la colère, puis aux décisions : séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, c’est déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, j’essayais de relativiser, de faire peser ces sept années sans accroc. Sans aucun succès.
Il est 19 heures. C’est l’heure, je descends.
Comme à chaque fois, un sentiment m’envahit. L’appréhension : je n’ai aucune idée de ce qui va se passer.
J’ai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles, je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus. Mon Dieu, qui aurait dit que j’étais capable de faire ça ! Deux heures par semaine d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre.
Je suis en bas, je traverse l’entrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il m’accueille.
« Tu es très belle ma chérie ».
« Merci » (ça fait toujours chaud au cœur de l’entendre quand cela vient de l’homme qu’on aime)
« Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu le sais »
Oh, je sais ce que ça veut dire : séparation, vente, divorce. Affreux chantage mais bon, je m’y suis mise toute seule dans cette situation.
Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique, il m’est arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui ! Ça y est je l’ai dit. C’est compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination qu’il exerce sur moi me dégoûte. Mais…cette attention qu’il me porte pendant les séances pour que je n’ai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, me font perdre mes aprioris.
« Je suis prête » Je respire profondément.
Au rez de chaussée, l’entrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusqu’à huit convives. Quatre fenêtres s’ouvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse. Il s’assoit.
« Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! »
Depuis un mois, même à raison d’une fois par semaine, j’ai eu le temps d’apprendre les positions.
Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, j’écarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées.
« Oui monsieur ! »
Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qu’a sa voix, aux ordres qu’il me donne, et à la façon d’obéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà. Ça y est, ça commence : En relevant les bras pour mettre mes mains sur la tête, j’ai fait ressortir ma poitrine et j’ai senti le tissu glisser sur la pointe de mes seins. Pas assez pour m’emmener au septième ciel, bien sûr, mais comme je n’ai plus que ça en tête, j’ai l’impression que mes tétons ont commencé à durcir. J’ai les yeux baissés mais je sais que c’est précisément l’endroit de mon corps qu’il observe et cette fois ci, c’est sûr, malgré moi, mes tétons pointent à travers le tissu. Quelle Chienne !
Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A l’occasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que j’ai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : c’est fini ! Il ne m’aime plus du tout et même, il me méprise pour m’insulter de la sorte. J’ai vécu l’enfer pendant toute la première séance, persuadée que c’était la fin de notre amour.
« Bois un verre d’eau ! » Ah ? Bon !
« Oui Monsieur ! »
Le verre est là sur la table. Il l’avait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je n’avais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre d’eau ne m’a pas fait de mal.
« Place toi devant la fenêtre ! »
« Oui Monsieur »
J’avance vers la fenêtre, toujours les mains sur la tête. Je m’arrête devant la vitre, j’écarte légèrement les jambes.
Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour. Je sais que je suis visible de l’extérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce qu’il a de plus correct. Quand même, s’il y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position.
« Retrousse ta jupe pour que je puisse voir tes fesses ! »
« Oui Monsieur, je suis une bonne petite pute ».
Toujours le contrat : j’ai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute. C’est comme ça, j’ai signé. Et je ne dois pas manquer une occasion de le dire. A voix haute en privé, à voix basse en public. C’est le contrat.
Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à l’air. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant d’air me rappelle que je ne porte pas de culotte.
D’ordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue « érotique ». C’est même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donne plus de tracas que de plaisir. Je m’oblige à porter un soutient gorge alors que je n’en ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce qu’il le faut, donc je mets un vieux machin, voire un slip d’homme.
Je suis tentée de relever les yeux pour voir s’il y a des passants, mais, et c’est l’erreur que je commettais au début, je sortirais du scenario et reprendrais contact avec la réalité. Non ! Plus maintenant. Pour que cela fonctionne je sais qu’il faut que je respecte les ordres et que je me concentre dessus. Alors, voyons :
1- Il m’expose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas. Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons.
2- Il m’a fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et j’écarte un peu plus les jambes. Je sais qu’il apprécie quand je fais du zèle. S’il s’assoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte.
Que fait-il ? J’entends des bruits de cuisine, le tintement de verres. C’est un apéritif qu’il prépare ? Apparemment puisqu’il découpé des tranches de….
Ah ?… Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne.
D’ordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens l’air circuler sur chaque millimètre de ma chatte mais surtout, je sens que mon homme n’en rate pas une miette et que surement, je le fais bander.
Aaaah! …Faire bander les mecs !
Evidemment, pour une femme, c’est plutôt flatteur ! Quelque part cela veut juste dire qu’ils te trouvent désirable. Sauf que : si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu n’es plus « désirable » tu es une allumeuse, une salope. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, c’est très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser la foune, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça n’est pas pour plaire aux mecs, non, c’est parce que c’est plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment s’y retrouver ?
Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre qu’il a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait.
Le mois dernier, pendant les quatre premières séances, il m’a fait apprendre :
Les 5 positions.
La façon de m’habiller, de m’asseoir, de faire pipi.
Les réflexes de langage que je devais adopter.
Le tout avec des différences selon que l’on est en public ou en privé.
Il a aussi ajouté une grille au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur « J’accepte », mais au fil des séances j’avais modifié :
Port de pinces sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Port de pinces sur la chatte : J’accepte Ça m’excite X
Port d’un rosebud : J’accepte X Ça m’excite
Claques sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Claques sur les fesses : J’accepte Ça m’excite X
Claques sur la chatte : J’accepte Ça m’excite X
La grille s’était étoffée au fil des semaines :
Martinet sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Martinet sur les fesses : J’accepte Ça m’excite X
Martinet sur la chatte : J’accepte X Ça m’excite
Port d’un collier de chien : J’accepte X Ça m’excite
Être promenée en laisse : J’accepte X Ça m’excite
Boire dans une gamelle : J’accepte X Ça m’excite
Une nouvelle rubrique « exhibition » était apparue cette semaine.
Etre nue devant un inconnu : J’accepte X Ça m’excite
Séance devant un inconnu : J’accepte X Ça m’excite
Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si j’avais pu, j’aurais tout de suite cocher « Je n’accepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et donc perdre mon mari. J’avais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et j’étais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à l’air à attendre la suite.
Entre deux séances, j’ai le droit de demander à modifier la grille mais en dernière instance, c’est lui qui décide.
Le collier par exemple, c’était un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation d’étranglement. J’avais demandé à en changer. J’espère que…
Toc Toc Toc ! Je sursaute.
Tout s’entrechoque dans ma tête : Si quelqu’un est arrivé jusqu’à la porte d’entrée, c’est qu’il est passé devant la fenêtre et qu’il m’a forcément vue. De là où il est maintenant, la porte d’entrée étant vitrée, si la porte de la salle à manger est restée ouverte, il a vue sur mes fesses. Mon mari : d’accord mais un inconnu, c’est autre chose. Je lutte pour ne pas m’échapper. Les secondes sont des heures.
« Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf !
Il va vers la porte d’entrée. Je n’ai pas entendu la porte intermédiaire s’ouvrir. Aie ! Ça veut dire qu’elle était ouverte ? Et que mes fesses étaient bien visibles ? Ou alors, la porte était resté ent’ouverte et il n’a eu qu’à la pousser pour rejoindre l’entrée. Impossible de savoir.
Je rajuste ma jupe, me retourne. Cette fois, je suis dos à la fenêtre. Position n°3 c’est la position d’attente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite d’avoir choisi le chemisier opaque.
« Entre Laurent ! Juste à l’heure »
« Woua ! Quelle vue ! »
Le sang me monte à la tête. Est-ce qu’il parle de mes fesses ?
« Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage »
Mais non ! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu l’habiter en attendant de régler notre histoire. Devant les fenêtres, un peu de pelouse, la rue, et juste derrière, un terrain vague qui descend vers la plage et donc : la mer.
Laurent est dans l’entrée, je suis dos à une fenêtre de la salle à manger, dans l’axe de la porte d’entrée. Cette fois la porte intermédiaire est fermée mais l’était-elle tout a l’heure ? J’entends la voix de mon chéri.
« Tu permets ? J’ai un mot à dire à ma femme »
Il revient, laisse la porte intermédiaire ouverte cette fois. Je pourrais voir Laurent mais j’ai les yeux baissés. Je lutte pour ne pas les relever et essayer de lire sur le visage du nouvel arrivant s’il ne m’a pas vu à moitié nue.
« Va faire un tour jusqu’à la plage et reviens dans 10 minutes, marche doucement ! »
Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà n’était pas fermé jusqu’au col. Ce bouton en moins c’est déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par l’encolure et si je …. Qu’est-ce que ? Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait d’avoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge jusqu’au nombril. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui m’a peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui c’est vrai C’est le but. Il va falloir que je m’interroge sur la définition de ce mot : Salope. Dans certains cas c’est une insulte, dans d’autre c’est un compliment…. Compliqué. Mais ça n’est pas le moment. J’ai reçu un ordre, j’obéi, c’est simple.
« Oui Monsieur »
Toujours les yeux baissés, les bras croisés dans le dos, je passe devant Laurent qui s’efface. J’ai l’impression de sentir le feu sur mes seins. Je sors, contourne la maison, traverse la rue et m’engage sur le terrain vague.
Le savait-il qu’il y avait du vent ? Bien sûr que oui ! Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il m’avait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère. Il aime me mettre dans ces situations embarrassantes. Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage d’amour et c’est de ma faute s’il en a tant besoin. Il ne cherche pas à m’avilir mais il adore m’exhiber, comme on expose un beau bibelot chez soi et qu’on est fier de montrer. Je sais qu’il me trouve belle alors je veux qu’il soit fier de moi. Donc, j’y vais.
En cette soirée d’été, nombreux sont les touristes qui remontent de la plage, ainsi que les véliplanchistes qui plient leur matériel assis par terre et je suis là, en prise avec les courants d’air qui s’ingénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens l’arrière de ma jupe se soulever jusqu’à la taille puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presqu’à nu mon sein gauche. L’instant d’après, c’est le contraire : la jupe se soulève sur le devant et puis c’est mon sein droit qui apparait.
Je lutte pour ne pas replier les bras sur mes seins, retenir la jupe qui s’envole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute. J’ai confiance en lui et ça me détend.
« Marche doucement ! » Avait-il dit.
Malgré mes yeux baissés, je sens les regards. Moins ceux des touristes, tout à leurs préoccupations « tu as bien les clés de la voiture ? Tu as plié les serviettes ? ». Moins ceux des touristes donc, que ceux des planchistes qui eux, m’ont repérée dès mon arrivée. Certains, en apercevant furtivement mes fesses, se demandaient si je portais un string. Jusqu’à ce que le vent arrive dans l’autre sens et réponde à leur question.
En temps normal, je suis d’un naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue n’est pas fait pour m’exciter. Il y a deux mois, j’aurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si c’est possible.
Mais qu’est-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. J’ai une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles. Je l’ai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes. Deux jours ! à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui m’attendait. On ne peut pas dire que j’ai été prise en traître.
J’arrive au bout du terrain vague, après c’est la plage. Je doute qu’il ait envie que j’aille plus loin puisqu’il ne me verrait plus. Je sais qu’il veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité.
Je respire profondément, je vide mon esprit etc… etc…..
Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe s’est plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont remis en place. J’ai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui m’observaient. En effet, dans ce sens là, le vent aurait dû soulever le devant de ma jupe sur presque tout le trajet offrant ainsi la vue sur une chatte parfaitement épilée. Je crois savoir que c’est un spectacle que les hommes apprécient particulièrement.
Je marchais d’un pas tranquille, les bras dans le dos, les yeux au sol, en me demandant ce qui allait maintenant se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à l’heure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ? Ça y’est ! Je recommence à me poser des questions. Ce n’est toujours pas le moment. J’ai été une bonne soumise, j’ai répondu aux ordres de mon homme, je n’ai pas triché, je n’ai pas levé les yeux, je n’ai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.
Je frappe à la porte. Ben oui ! Ça n’est pas chez moi, ni chez nous d’ailleurs. C’est une sorte de terrain neutre ou ont lieu nos séances depuis deux mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. C’est pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît.
Il vient m’ouvrir :
« Viens nous rejoindre au salon ! »
«Oui Monsieur ! »
Je traverse l’entrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose qu’il me regarde, je ne sais pas, j’ai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon chéri. Vite je revois le contrat dans ma tête.
En public, si cela reste discret, je dois m’asseoir en relevant l’arrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même l’assise. C’est d’autant plus réalisable, quand je porte un manteau. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand c’est possible, faire en sorte qu’il ait vue sur ma chatte. Je choisi donc la place qui fait face à mon mari, tout en m’asseyant je relève l’arrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regarde ailleurs, il n’y verra que du feu. Sinon… Eh ben sinon, tant pis. Le cuir est un peu froid, c’est agréable. Le devant de ma jupe est remonté très en haut de mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. J’écarte un peu les jambes. Toute à mon calcul, j’avais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelqu’un situé à mon côté. Je sens le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps, les mains posées à plat sur les accoudoirs. Je ne cherche pas à cacher mes seins sinon je serais punie.
Alors !… C’est pareil. Les punitions, c’est compliqué. Parce que comme j’ai coché sur le contrat ce qui m’excitait, ben… quelque fois, j’ai juste envie d’être punie.
Il revient avec mon cocktail préféré qu’il pose devant moi.
« Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu t’es mis au tennis la semaine dernière ?» Passionnant !
Laurent semble gêné :
« Oui ……mais… excuse moi, mais….. Tu ne m’as pas présenté ta femme. C’est bien ta femme… enfin, c’est bizarre….. »
Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps d’avaler pour ne pas m’étouffer.
Mon chéri, très à l’aise :
« Qu’est ce qui est bizarre ? »
« Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a…. »
« Il y a quoi ? «
« Non rien, mais bon c’est bizarre … et puis elle ne dit rien »
« Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. »
Curieusement, j’ai envie de tout sauf ça. Je n’ai toujours pas levé les yeux sur Laurent mais après tout je m’en fiche de savoir à quoi il ressemble. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci !
Laurent reprend :
« Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? C’est un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?»
Mon homme opine :« Oui si tu veux. C’est un jeu à connotation sexuelle. »
Il ressert son invité
« Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à l’avance, d’obéir à tous mes ordres. Sans discuter. »
Je ne vois pas Laurent mais je sais qu’il me regarde. Incrédule.
« Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et qu’elle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ».
Mon chéri ne relève même pas.
« C’est ça ! Tu veux voir une démonstration ? »
« Ben…. Oui »
Nous y voilà ! Je comprends pourquoi la rubrique exhibition est apparue dans le contrat. Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. D’ailleurs, un ami ? c’est curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit.
Un ordre fuse :
« Mets-toi debout. »
« Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule.
« A quatre pattes et viens vers moi !»
« Oui Monsieur ! » J’obéi : je pose les genoux puis les mains au sol et j’avance lentement à quatre pattes vers lui. Laurent est maintenant juste derrière moi. N’importe quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je n’ai pas le droit. Si la jupe s’est mal repositionnée, j’offre actuellement une vue sur mes fesses, ma chatte et peut être même mon petit trou à un parfait inconnu. Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme. C’est le moment décisif. Soit Laurent s’offusque et tout se termine là, soit il se prend au jeu.
« Oui Monsieur ? Woua !!! ça a l’air trop cool »
Ah ! ces mecs, tu leur montre un bout de nichon et ils disjonctent.
« Aie !! » Une bonne claque sur les fesses. Mon chéri a dû deviner mes pensées. C’est vrai, je me déconcentre.
Je me cambre au maximum, j’écarte un peu plus les jambes. Je sens les lèvres de ma chatte se séparer. Je prie pourque ma jupe couvre bien mes fesses. J’ai des picotements tout autour du clito.
« Tu veux essayer ? »
Tu parles Charles. Bien sûr qu’il veut essayer.
Il se lance :
« Euh… Met-toi debout et Euh….Lève une jambe !»
« Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais qu’on en est qu’au début.
Mon homme intervient :
« Enlève ton haut. Position n°1 ! »
Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je n’oublie pas de dire, puisqu’il s’agit de mes seins :
« Je suis une petite chienne »
J’ai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous les cas il ne dit mot.
C’est la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari n’a pas cessé de me dire que j’étais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, j’ai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, j’ai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, d’aucun dirait que ma poitrine manque d’opulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je n’ai nul besoin et que je porte très rarement.
Mon mari reprend le contrôle :
Mets-toi en mode privé ! et position n°1 !»
« Oui Monsieur ! »
Alors… Le mode privé c’est entièrement nue. Bon sang ! Là c’est autre chose. Les seins d’accord, parce-que bon ! Il n’y a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que j’ai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de l’épilation intégrale. Avant, le sexe d’une femme, c’était principalement une touffe de poil à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c’est la petite bosse du mont de venus puis la fente, avec le renflement des deux grandes lèvres, et même un peu des petites qui dépassent en dessous. Plus nue c’est impossible. Mais bon ! J’ai signé.
Je respire mon esprit ?, Heu !…. Je vide profondé…. Bref, j’évite de penser. Ma jupe glisse jusqu’aux chevilles. Je ramasse le vêtement que je dépose sur un fauteuil.
Position 1 : les mains derrière la tête. Ça me fait drôle d’être entièrement nue devant deux hommes. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, j’offre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas s’en priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un moment pendant que les hommes discutent.
« Alors Laurent, qu’est-ce que tu en penses ? »
« Ben…Elle est super belle ! »
« C’est-à-dire ? »
Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux.
« Ben…moi j’aime les seins pas trop gros alors…et puis elle est entièrement épilée, on voit tout »
Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à m’échauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à l’entre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire qu’il a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais !
« Position n°2 ! »
Je ne sais pas si c’est le cocktail ou la situation, mais j’ai l’esprit un peu embrumé. Heureusement, j’ai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :
la tête, les mains sur la tête.
les seins, je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains.
le dos, bras croisés dans le dos.
la chatte, je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains
les fesses, je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains.
Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y.
« Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces.
C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec les clochettes. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur. Quand je les porte, j’entends les clochettes tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements. Quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon plus nette et j’adore ça.
Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées.
« Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne » J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie.
« Position n° 4 ! »
Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte. Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille.
Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte :
« Je suis une bonne petite salope »
Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt rentre facilement, je suis plus mouillée que je ne pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope.
Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est ! C’est les chutes du Niagara.
Quand il retire son doigt, il est trempé.
« Merci Monsieur »
« Assieds-toi et finis ton cocktail »
« Oui Monsieur »
En mode privé je dois m’asseoir d’une certaine façon : je pose mes fesses sur l’assise, j’écarte les jambes au maximum, je me penche d’un côté en écartant la fesse opposée avec une main, je me penche de l’autre côté en écartant l’autre fesse, de sorte que mon petit trou soit bien en contact avec le cuir. Ça c’est une trouvaille ! Assise comme ça, je sens mon petit trou qui touche le cuir frais. Pour parler crument, ça énerve mon trou du cul. Avec l’excitation, à chaque contraction de mon périnée, mon petit trou se décolle du cuir puis se recolle. J’ai alors pleinement conscience d’être une petite pute. Quand c’est le cas, puisqu’il s’agit de mes fesses cette fois, je dois dire :
« Je suis une bonne petite pute »
Je prends mon verre qu’il a rempli et je…Ah ! Ça y’est, j’ai compris ! il veut me faire boire mais pas pour m’enivrer, il a une autre idée en tête.
Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte.
Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus :
« Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? »
Mon homme explique :
« Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ».
« Et elle ? elle en a des fantasmes ? »
« Elle y réfléchit »
Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, les fesses disjointes sur le cuir d’un fauteuil, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Etonnement ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit male Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes.
Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant d’hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque ou le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer.
En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi.
Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ».
Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour aller à quatre pattes faire sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui.
Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la deuxième ou la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans un bol pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. Pour me retenir, je contracte mon périnée et….je sens mon petit trou qui se détache du cuir, ce qui me ramène à ma situation actuelle : entièrement nue, les jambes, la chatte et les fesses écartées avec une furieuse envie de faire pipi, pendant que deux hommes à côté et en face de moi devisent gentiment. J’attends une pause dans la conversation et je dis :
« Je suis une petite pisseuse »
Laurent en reste bouche bée, enfin je crois, je n’ai toujours pas levé les yeux.
Mon homme doit sourire.
« Va chercher ta gamelle »
Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle je mange parfois, je reviens et je m’installe debout devant mon homme.
« Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter »
Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses.
En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez. Toute à mon envie de faire pipi, je n’avais pas pris conscience de la situation. Nue devant deux hommes, le bassin tendu en avant, m’écartant la chatte au maximum et m’apprêtant à me soulager comme la dernière des chiennes.
J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues : Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant où on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même !
Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal. Les hommes se taisent, ils ont les yeux rivés sur ma chatte béante. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute.
Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne pisseuse » ensuite j’attends l’ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous ma chatte et les doigts mouillés de mon pipi.
Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter.
« Va ! »
Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent :
« Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? »
Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouse. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari.
J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon.
« Position n°5 ! »
Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4, 5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Donc je me mets dos à lui, je penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures.
Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente :
« Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? »
Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal :
« Oui moi aussi… Bla Bla …… Bla Bla….. » Et ce jusqu’à la porte , « Bon ben Salut » Le voilà parti.
Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses.
8 personnes aiment ça.
Bonsoir,
Ravie de rejoindre le groupe pour échanger et partager.
À très vite
5 personnes aiment ça.
Toutes et tous je vous salue. Salut collégial aux uns salutations révérentielles aux autres. Je suis présent aujourd'hui devant vous me mettant donc de fait en situation d'un présent pour Qui aurait la curiosité de dénouer le bolduc, premier pas nécessaire pour nouer des liens ou tout simplement assouvir vos besoins de contrôler si ce qui me compose pourrait combler certains de vos intérêts, puis, vice versa... Je suis par nature très chaste, nature altérée par une alterité qui aiMe chaos, (Masoch Sacher que je vous suis cérébralement fidèle), d'où ma dépendance à Vous qui décideriez de me déballer et de tester mes capacités à m'emballer dès qu'on me met sous tension et que le courant passe ; alors je serais dans l'incapacité de faire volt-face et vous seriez aux commandes d'un jouet dernier cri, un soupirant aspirant soubrettissement à vous insuffler de grands airs supérieurs, airs sur lesquels je chante vos louanges.
Aléa jacta est (traduction : le hasard n'est jamais complètement à l'ouest quand il s'exprime)
1 personne aime(nt) ça.
Bonsoir à toutes et à tous et merci de m'accueillir dans votre groupe
6 personnes aiment ça.
Bonjour tout le monde.
Merci de m'accepter parmi vous
Je suis un homme soumis de 53ans de la région parisienne. J'aime être soumis à une autorité. Dociles salutations
N'hésitez pas à venir vers moi pour toutes questions ou informations.Je suis à la recherche d'une Domina ou d'un Dom pour me soumettre, en ligne
Soyez la première personne à aimer.
Le Piège Innocent
Sofia, une jeune étudiante de 19 ans au charisme audacieux et à la beauté éclatante, connaissait bien les couloirs de l'école qu’elle fréquentait depuis des années. Elle avait remarqué Marco, le concierge de 26 ans, un homme discret mais qui ne manquait pas de susciter un certain intérêt chez elle, notamment pour son fétichisme des pieds qu'elle avait découvert par hasard lors d'une conversation entendue derrière les portes de la salle des professeurs.
Un jour d'automne, alors que les couloirs étaient presque vides et que le soleil lançait ses derniers rayons à travers les fenêtres hautes, Sofia mit son plan en action. Elle portait des sandales qui laissaient apparaître ses pieds parfaitement manucurés, accentuant la couleur rouge vif de son vernis. Prétextant avoir besoin d’aide pour retrouver un objet perdu sous un meuble dans une salle isolée, elle aborda Marco avec un sourire engageant.
« Marco, pourrais-tu m’aider à chercher quelque chose ? Je crois que j’ai laissé tomber mon bracelet sous le bureau de la salle 103. » Sa voix était douce, presque chantante, difficile à refuser.
Marco, naturellement serviable et inconscient du piège qui se refermait, acquiesça et la suivit dans la salle. Une fois à l'intérieur, Sofia s'assit sur une chaise, laissant "accidentellement" tomber son bracelet plus loin sous le bureau. « Oh non, il est vraiment trop loin pour moi, peux-tu voir si tu arrives à l’atteindre ? » demanda-t-elle en pointant du doigt l'espace confiné sous le bureau.
Alors que Marco s'agenouillait pour récupérer le bracelet, Sofia déplaça discrètement ses pieds près de ses mains. Le décor était posé, le piège de Sofia prêt à se refermer sur le pauvre Marco qui n’avait encore rien vu venir.
Partie 2: La Découverte
Marco, concentré sur sa tâche, étendit la main sous le bureau pour récupérer le bracelet scintillant. Alors qu'il s'étirait plus loin, ses doigts effleurèrent sans le vouloir la peau douce des pieds de Sofia. Surpris, il se raidit un instant, mais un regard rapide en direction de Sofia le rassura lorsqu'il vit qu'elle ne semblait pas avoir remarqué. Il saisit le bracelet mais, au moment de se redresser, Sofia, avec un murmure presque inaudible, le stoppa.
« Attends, Marco, depuis que tu es là, pourrais-tu me rendre un petit service ? Mes pieds me font terriblement souffrir aujourd'hui... » Sa voix était teintée d'une innocence feinte, et elle jouait avec ses cheveux d'une manière distrayante. « Pourrais-tu juste appuyer là, s'il te plaît ? Ça m’aiderait beaucoup. »
Marco, bien que légèrement confus par la tournure des événements, acquiesça. Après tout, il était là pour aider, et il ne voulait pas paraître impoli en refusant une requête si simple. Il posa donc ses mains sur les pieds de Sofia, massant doucement, guidé par ses indications précises.
« Un peu plus à gauche... oui, juste là. Oh, ça fait tellement de bien, merci, Marco, » soupira Sofia, fermant les yeux pour mieux savourer le moment. Marco, de son côté, commençait à ressentir une étrange excitation en réalisant qu'il était en train de caresser les pieds, cette partie du corps qu'il avait toujours secrètement admirée. Il continuait son massage, devenant de plus en plus consciencieux dans ses mouvements, chaque pression délibérée sur la plante et les orteils de Sofia le rapprochant dangereusement de ses propres limites.
La situation prenait une tournure inattendue pour Marco, qui se trouvait désormais entraîné dans un jeu qu'il n'avait pas vu venir mais auquel il ne pouvait plus se soustraire. Sofia, observant avec satisfaction la transformation de son concierge, souriait intérieurement, sachant que le piège qu'elle avait soigneusement préparé était en train de se refermer parfaitement.
Partie 3: L'Intensification
Tandis que Marco continuait de masser les pieds de Sofia, il remarqua comment elle commençait à se tortiller légèrement sur sa chaise, un signe de satisfaction qu'il ne pouvait ignorer. Ses mains, initialement timides, devenaient plus audacieuses, explorant chaque courbe et chaque contour de ses pieds avec une précision croissante.
« Tu es vraiment doué pour ça, Marco... Ça fait longtemps que quelqu'un n'a pas pris soin de moi de cette façon, » murmura Sofia, ses yeux mi-clos reflétant un mélange de plaisir et de malice. Elle écarta légèrement les jambes, offrant à Marco une vue plus provocante, bien que subtile. « Pourrais-tu masser un peu plus haut ? Mes chevilles sont aussi assez tendues. »
Marco, son pouls s'accélérant à chaque nouvelle demande, obéit sans hésitation. Ses doigts glissèrent vers les chevilles de Sofia, effleurant la limite de ses bas. Chaque contact avec la peau légèrement plus douce au-dessus de ses pieds semblait électrifier l'atmosphère entre eux.
« Oh, oui, juste là... Tu aimes toucher mes pieds, Marco ? » demanda-t-elle, un sourire en coin trahissant son jeu. Marco, pris au piège de ses propres désirs, ne pouvait que hocher la tête, incapable de formuler une réponse cohérente.
« Bien, parce que j'aime vraiment quand tu le fais. Peut-être pourrais-tu... Hmm... Utiliser un peu plus de pression ? » Sa voix était devenue un souffle, chaque mot chargé d'une promesse non dite. Marco, encouragé par ses paroles, appuya plus fermement, ses pouces dessinant des cercles méthodiques sur ses chevilles, remontant progressivement vers les mollets.
Sofia, à cet instant, décida de pousser le jeu un peu plus loin. « Marco, je me sens tellement détendue grâce à toi. Tu ne voudrais pas sentir mes pieds ? Ils sont si doux, tu ne trouves pas ? » Avant même qu'il puisse répondre, elle avait glissé un pied vers son visage, la pointe de son orteil frôlant doucement ses lèvres.
Marco, submergé par l'odeur légère et sucrée du parfum de Sofia, se laissa aller à un moment de faiblesse. Il ouvrit la bouche, laissant l'orteil de Sofia s'y introduire doucement. Sa langue, presque par réflexe, commença à jouer avec, goûtant la peau douce et la courbe délicate de son orteil.
« Ça te plaît, Marco ? Tu aimes le goût de mes pieds ? » chuchota Sofia, un frisson de plaisir parcourant son échine alors qu'elle observait Marco succomber à ses caprices.
Leurs yeux se rencontrèrent, et dans le regard de Marco, il y avait un mélange de désir, de confusion, et d'un consentement muet à continuer ce jeu érotique. Sofia savait qu'elle avait maintenant le contrôle total, et elle comptait bien utiliser chaque seconde de ce pouvoir pour mener ce jeu à son paroxysme.
Partie 4: Le Jeu de Pouvoir
Avec Marco à genoux, étreignant les pieds de Sofia comme s’il découvrait un nouveau sanctuaire de plaisir, la jeune femme prit un malin plaisir à accentuer son contrôle sur lui. Ses orteils jouaient maintenant librement sur le visage de Marco, explorant ses lèvres, sa langue, et même se risquant parfois à frôler ses joues, laissant derrière eux une trace humide qui témoignait de leur passage.
« Tu sembles vraiment apprécier ça, Marco. Je me demande... » commença-t-elle, sa voix traînante et chargée d'une promesse indéfinie, « combien tu serais prêt à aller loin pour moi ? » Son pied gauche, toujours engagé dans cette danse séduisante avec la bouche de Marco, pressa un peu plus fort, tandis que son autre pied se glissait sous le menton de Marco, le forçant à lever les yeux vers elle.
Marco, dont le visage était maintenant rougi par l'excitation et une pointe de honte, fixait Sofia, cherchant une trace de remords ou d’hésitation. Mais il ne trouvait que détermination et amusement dans ses yeux. « Tout ce que tu veux, Sofia... » murmura-t-il, sa voix presque brisée par le désir.
Sofia sourit, satisfaite de sa réponse. « Bien, alors prouvons-le. » Avec une agilité surprenante, elle se leva de sa chaise, se plaçant debout juste devant Marco, dominant la scène. « Embrasse mes pieds, Marco. Montre-moi à quel point tu les apprécies. »
Marco, sans hésitation, embrassa d'abord le dessus de son pied droit, puis le gauche, ses lèvres déposant des baisers humides et bruyants sur chaque orteil, chaque coup de langue illustrant sa dévotion et sa soumission croissantes à ses désirs. Les soupirs de Sofia se mélangeaient aux bruits de ses baisers, créant une symphonie érotique qui résonnait dans la salle isolée.
« Ça te plaît d'être à ma merci, n'est-ce pas ? » taquina-t-elle, tandis que ses mains jouaient avec ses propres cheveux, tirant légèrement sur les mèches pour accentuer chaque sensation. « Oui, Sofia... beaucoup, » répondit Marco, son esprit embrumé par le parfum et le goût de ses pieds.
Profitant de cet avantage, Sofia dirigea alors Marco dans une danse encore plus intime. « Lèche mes chevilles, remonte le long de mes jambes. Je veux sentir ta langue partout... » ordonna-t-elle, chaque mot prononcé avec une autorité croissante.
Marco obéit, sa langue traçant un chemin humide le long de ses chevilles jusqu'à ses mollets, explorant chaque parcelle de peau offerte avec une ardeur renouvelée. Les gémissements de plaisir de Sofia servaient d'encouragement, poussant Marco à se dépasser dans son rôle de serviteur dévoué à ses pieds.
Sofia, debout au-dessus de lui, savourait chaque instant de ce pouvoir qu’elle exerçait, chaque soupir de Marco ajoutant à son excitation.
Partie 5: L'Escalade du Désir
Alors que Marco continuait d'explorer avec sa langue les jambes de Sofia, celle-ci, debout et dominatrice, commença à diriger ses mouvements avec plus de précision. Elle guidait sa tête d'une main ferme, accentuant la pression de ses doigts dans ses cheveux chaque fois qu'elle désirait une attention plus poussée sur une zone particulière.
« Plus haut, Marco... ne t'arrête pas là, » commanda Sofia, sa voix tremblante de désir. Marco obéissait, sa langue lascive et obéissante glissant sur ses genoux, puis s'aventurant audacieusement vers l'intérieur de ses cuisses, là où la chaleur et le parfum de Sofia devenaient plus intenses.
Sofia gémissait ouvertement maintenant, ses hanches ondulant légèrement pour rencontrer chaque coup de langue, chaque souffle chaud que Marco envoyait contre sa peau. Elle sentait l'excitation monter en elle, une vague de plaisir qui menaçait de la submerger à tout instant.
« Tu aimes ça, n'est-ce pas ? Sentir comment tu me rends folle ? » lança-t-elle entre deux halètements. Marco, complètement emporté par le moment, ne pouvait que gémir en réponse, sa dévotion et son désir pour elle évidents dans chaque mouvement désespéré de sa langue.
Sofia, alors, décida de prendre les choses encore plus en main. Elle se recula légèrement, poussant Marco à se mettre à quatre pattes, et dirigea son visage vers l'endroit où ses pieds avaient été il y a seulement quelques instants. « Maintenant, montre-moi à quel point tu adores chaque partie de moi. Commence par mes pieds, encore une fois. »
Marco s'exécuta, embrassant et léchant ses pieds avec une ferveur renouvelée. Il remonta le long de ses jambes, chaque baiser laissé sur sa peau semblait brûler un message clair de soumission et de désir. Sofia, se sentant puissante et presque déifiée par l'attention que Marco lui portait, dirigea ses mains vers son propre corps, ses doigts jouant avec les bords de sa jupe.
« Je veux que tu goûtes chaque partie de moi, Marco... ne me déçois pas, » souffla-t-elle, ses yeux brillant d'une lueur sauvage et contrôlante. Marco, guidé par les mots et les mains de Sofia, continua son exploration érotique, chaque mouvement de sa langue et de ses lèvres un hommage à la femme qui le dominait complètement.
Alors qu'ils atteignaient un point de non-retour, Sofia murmura, « C’est juste le début, Marco... Je veux plus, beaucoup plus. »
Partie 6: Nouveaux Horizons
Sofia, avec un sourire malicieux et une étincelle de désir dans les yeux, guida Marco vers une vieille chaise en bois qui se trouvait au fond de la classe. « Assieds-toi ici, » ordonna-t-elle, pointant du doigt la chaise qui semblait presque témoigner de nombreux secrets inavoués. Marco s'exécuta sans hésiter, son cœur battant à tout rompre alors qu'il prenait place, son regard fixé sur Sofia qui semblait incarner à cet instant une déesse de la séduction.
Sofia se dirigea vers le bureau du professeur, fouillant dans les tiroirs jusqu'à ce qu'elle trouve ce qu'elle cherchait : une règle en bois longue et robuste. Avec un sourire qui ne présageait rien de bon pour Marco, elle retourna vers lui, la règle à la main. « Cela nous sera utile pour mesurer à quel point tu es dévoué, » dit-elle en faisant claquer doucement la règle contre sa paume.
Elle s'approcha ensuite de Marco, plaçant un pied sur ses genoux, lui offrant une vue imprenable sur ses pieds parfaitement soignés. « Je veux que tu me montres à quel point tu peux être bon pour moi, Marco. Je veux que tu fasses quelque chose de spécial avec ces pieds que tu aimes tant. »
Marco, excité et en même temps nerveux par cette tournure de plus en plus audacieuse, acquiesça. Sofia positionna alors ses pieds sur le bassin de Marco, ses orteils jouant taquineusement avec la ceinture de son pantalon. Elle commença lentement à déplacer ses pieds, ses orteils agiles pinçant et tirant le tissu, créant une tension insoutenable pour Marco.
Puis, avec une précision et un contrôle exquis, Sofia commença à donner à Marco un footjob. Ses pieds glissaient sur le tissu, pressant et caressant à travers le matériau, chaque mouvement calculé pour le mener au bord de la folie. Les orteils de Sofia manipulaient habilement la forme qui se dessinait sous ses pieds, pressant à intervalles réguliers pour maximiser l'effet de chaque toucher.
Marco, submergé par le mélange de douleur et de plaisir, gémissait à chaque mouvement des pieds de Sofia, son corps tendu comme une corde prête à lâcher. Sofia, observant avec délice l'effet de ses actions, augmentait l'intensité de ses mouvements, sa cheville tournant et ses pieds frottant avec une précision qui ne laissait aucun doute sur son expertise.
« Regarde-moi, Marco. Je veux que tu voies ce que tu aimes tant en action, » dit-elle, sa voix douce mais ferme. Marco levait les yeux, son regard capturé par l'image de Sofia dominante, contrôlant chaque aspect de son plaisir avec rien de plus que ses pieds habiles et cette règle en bois qui tapotait à chaque mouvement sur le sol, rythmant l'expérience comme un métronome de désir.
Partie 7: La Domination Exquise
Sofia, tout en maintenant ses pieds en action, saisit fermement la règle en bois, la faisant légèrement onduler dans l'air avant de la laisser retomber avec précision sur les cuisses de Marco. Le claquement sec de la règle contre sa peau se mélangeait aux gémissements de plaisir et de douleur qui s'échappaient des lèvres de Marco, créant un tableau de sensations mêlées.
« Aime ça, Marco ? » demanda Sofia d'une voix suave, tout en administrant une autre petite gifle avec la règle. Elle ajusta son pied, le plaçant avec plus de force sur le bassin de Marco, pressant et frottant avec une intensité mesurée.
« Oui, Sofia, s'il te plaît, continue... je t'en supplie, » répondit Marco, sa voix tremblante sous l'effet de l'intense plaisir mêlé à la douleur douce que lui infligeaient les pieds et la règle de Sofia.
Les pieds de Sofia dansaient maintenant une valse experte sur le membre de Marco, encore caché sous ses vêtements mais clairement dessiné par les mouvements précis et méthodiques de ses orteils. Elle utilisait le gros orteil pour exercer une pression rythmée sur le dessus, tandis que les autres orteils jouaient autour, alternant pression et caresse, chaque mouvement calculé pour tirer le maximum de réactions de Marco.
« Regarde comment tes pieds, ceux que tu aimes tant, te dominent complètement, Marco. Est-ce que ça te plaît d'être à ma merci ? » Elle accentua ses paroles avec un autre coup de règle, cette fois légèrement plus bas, frôlant l'espace où le plaisir se concentrait le plus intensément.
« Oui, oui, Sofia... c'est incroyable. Je veux... je veux... » Marco luttait pour former des phrases complètes, sa concentration brisée par les vagues de plaisir qui déferlaient sur lui.
« Tu veux quoi, Marco ? Dis-le moi. Dis-moi ce que tu veux que je fasse, » insistait Sofia, tout en continuant son traitement dual de plaisir et de douleur. Ses pieds accéléraient leur rythme, son gros orteil appuyant et tournant de manière presque torturante.
« Je veux... je veux éjaculer, Sofia, s'il te plaît, laisse-moi... » supplia Marco, son corps tendu au point de rupture sous la pression croissante et les sensations presque insupportables que Sofia lui administrait.
Sofia sourit, satisfaite de l'effet qu'elle avait sur Marco, et décida d'intensifier encore ses actions. « Peut-être... mais seulement si tu continues à être un bon garçon et à faire exactement ce que je dis. » Elle augmenta la pression avec ses pieds, ses orteils serrant et glissant avec une précision exquise, tout en continuant à donner de petites tapes avec la règle pour maintenir Marco sur le fil du rasoir entre douleur et plaisir.
Partie 9: L'Apogée et la Soumission Ultime
Sofia, maintenant pleinement en contrôle de la situation, observa Marco avec une satisfaction mêlée d'un désir impérieux. « Marco, déboutonne ton pantalon, » ordonna-t-elle, sa voix ferme et dénuée de toute hésitation. Marco, obéissant et dévoré par le besoin impérieux de se libérer des contraintes de son vêtement, s'exécuta rapidement, ses mains tremblantes alors qu'il libérait son membre tendu et prêt.
Sofia intensifia ses actions, ses pieds travaillant avec une efficacité accrue. Elle positionna son pied droit de manière à ce que son gros orteil et le ballon de son pied pressent fermement contre lui, créant une friction exquise. Son pied gauche caressait et tapotait le bas de son abdomen, ajoutant une couche supplémentaire de sensations.
Marco gémissait à chaque mouvement, chaque pression de Sofia. Il était au bord de l'abîme, chaque seconde le rapprochant du point de non-retour. « Sofia... je... je vais... » bégaya-t-il, incapable de compléter sa phrase tant l'intensité de ses sensations l'overwhelmait.
« Fais-le, Marco. Fais-le maintenant, » commanda Sofia, son ton de voix trahissant une pointe d'urgence. Marco ne put résister davantage; avec un cri étouffé, il atteignit l'apogée, son corps secoué par des spasmes alors que l'éjaculation le libérait de la tension accumulée. Les gouttes de sperme s'éparpillèrent, certaines atterrissant sur la règle en bois que Sofia tenait toujours.
Sofia, avec un sourire triomphant, ramassa une partie du sperme de Marco avec la règle, observant la texture et la brillance du liquide avec une curiosité presque scientifique. Puis, sans un mot, elle donna une gifle cinglante à Marco avec la règle enduite, marquant sa joue avec un mélange de douleur et de plaisir.
« Voilà ce que signifie être à ma merci, Marco. Chaque fois que tu verras cette règle, tu te souviendras de ce moment, de la domination et du plaisir. Tu te souviendras de ton appartenance, » dit-elle doucement, presque avec affection, tandis que Marco, encore haletant, acquiesçait, une trace rouge sur sa joue et un regard de soumission absolue dans ses yeux.
Sofia replaça ses pieds sur le sol, se redressa et ajusta sa tenue comme si de rien n'était. Marco, toujours assis, regardait Sofia avec une admiration mêlée de crainte, sachant bien que rien ne serait plus jamais pareil entre eux.
Ceci conclut votre histoire érotique en neuf parties. Si vous souhaitez une autre narration ou explorer un autre scénario, n'hésitez pas à le demander.
4 personnes aiment ça.
Suite partie 1: Le cours de géographie de Sofia battait son plein dans une salle baignée de lumière naturelle. Assise à côté de la fenêtre, elle feignait une attention partielle, jetant occasionnellement des réponses à demi-sourire aux questions du professeur. Le vrai sujet de son intérêt n'était pourtant pas les plateaux et les vallées dont parlait le prof, mais plutôt les dynamiques plus personnelles et secrètes qu'elle entretenait.
Un de ses camarades, Thomas, leva la main et posa une question complexe sur les impacts économiques du changement climatique sur les régions méditerranéennes. Pendant que le professeur se lançait dans une explication détaillée, Sofia profita de l'occasion pour se perdre dans ses pensées, revenant à leur dernière rencontre clandestine avec Marco.
Sofia songea à tout ce qui s’était produit. Elle avait tendu un piège à Marco, ce dernier était tombé dedans comme un bleu. Elle se souvenait progressivement de tout ce qui s’était passé ce jour-là dans la salle 103. Elle avait dominé Marco, et ce dernier qui semblait en apparence si sûr de lui, était en fait séduit à l’idée qu’elle recommence. Elle se souvenait de la langue de Marco effleurant son gros orteil. Elle se souvenait de l’éjaculation de Marco, de la latte et… de la violente gifle que Sofia lui avait assénée.
Il faut dire que Sofia était habituée à la violence. D’origine maghrébine, elle avait l’habitude de voir des bagarres dans sa rue étant jeune. Pour elle, une gifle c’était quelque chose d'insignifiant. Pourtant ce jour-là, la claque qu’elle avait assénée à Marco avait une signification profonde pour elle. Cette jeune étudiante dominant un homme. Sofia avait toujours prôné le féminisme, et cette gifle, le souvenir de cette gifle, réveillait en elle une excitation profonde.
Tandis que Thomas continuait à dialoguer avec le professeur à propos des conséquences du changement climatique, Sofia regardait par la fenêtre le soleil embrasser la cour. Quand soudain…
Son attention fut soudainement capturée par la silhouette de Marco qui traversait la cour visible à travers la grande fenêtre de la classe. Elle le vit pousser un chariot rempli d'outils et se diriger vers le bâtiment principal. Observant son allure décidée, elle sentit une vague de souvenir et d'anticipation monter en elle. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, il avait été question de confidences murmurées et de contacts furtifs dans une salle déserte, une rencontre qui avait laissé des traces indélébiles dans son esprit.
Petit à petit, Sofia se mit à fantasmer sur des rencontres fictives avec Marco. Elle prenait beaucoup de plaisir à projeter tout ce qu’elle pourrait faire si l’occasion lui en était donnée d’avoir de nouveau Marco sous son joug.
Cessant de rêvasser et se rappelant soudainement que Marco était en train de se diriger vers les toilettes pour une réparation, elle concocta rapidement un plan pour le rejoindre. Ainsi, quand le professeur marqua une pause, Sofia saisit sa chance.
— Excusez-moi, Monsieur, je me sens un peu mal. Pourrais-je aller aux toilettes ? Sa voix, teintée d'un léger tremblement pour plus de crédibilité, fit son effet.
Avec un signe de tête, le professeur lui accorda la permission de sortir.
Sofia se leva avec empressement, ajustant discrètement ses Converses basses et tirant sur ses chaussettes noires. Elle sortit de la salle, son cœur battant à la perspective de ce qui pourrait suivre. Dans le couloir calme, elle accéléra le pas, se dirigeant vers les toilettes des filles où elle espérait trouver Marco. Son entrée fut silencieuse, les bruits des outils masquant son approche. Elle le trouva là, penché sous l'évier, concentré sur son travail.
À ce moment précis, Sofia avait le regard d’un renard qui venait de mettre la patte sur un poulailler à découvert. Elle était rusée de nature et comptait bien se jouer de sa proie.
Se glissant discrètement derrière lui, elle attendit le moment parfait pour annoncer sa présence. Lorsque Marco ajusta sa position, son reflet apparut dans le miroir, et Sofia en profita.
— Marco, comment vas-tu aujourd'hui ? dit-elle, sa voix drapée d'un ton doucereux et chargé d'intentions.
Marco sursauta visiblement, son visage reflétant une surprise totale mélangée à une pointe de rougeur, rappelant leur dernier échange plus intime et la dominance qu'elle avait exercée sur lui. Le jeu venait de recommencer, plus lentement, plus intentionnellement. Le renard est dans l’enclos…
Partie 2 : Le renard pourchasse sa proie…
=====================================
Marco, encore sous le choc de la soudaine apparition de Sofia dans les toilettes, mit quelques secondes à récupérer ses esprits. Son visage, rougi par la surprise et peut-être par le souvenir de leur précédente rencontre, s'illumina d'un sourire nerveux.
— Sofia... tu m'as fait peur, dit-il enfin, une main sur le cœur, essayant de masquer son trouble.
— Je vais bien, merci. Et toi, tout va bien ? Sa voix était légèrement tremblante, trahissant son agitation intérieure.
Sofia s'avança d'un pas, réduisant l'espace entre eux, son expression pleine de malice. Marco se contrôlait pour ne pas laisser ses yeux distraits trahir son appréhension.
— Oh, je n'ai jamais été mieux, répondit-elle doucement, son regard fixé sur lui, scrutant chaque réaction.
— Mais dis-moi, Marco, te souviens-tu de notre dernier petit jeu ? Sa voix baissa, chargée d'une promesse implicite, tandis qu'elle jouait distraitement avec une mèche de ses cheveux noirs.
Marco n’en revenait pas. Elle avait brisé ce tabou d’une traite, lui qui espérait qu’elle passerait l’affaire sous silence. D’un autre côté, le parfum de Sofia emplissait la pièce, un parfum agréable et fruité. Sa robe noire contrastait avec sa peau dorée, Marco sans s’en rendre compte, était de nouveau en train de se faire piéger.
Marco avala difficilement sa salive, ses yeux ne pouvant s'empêcher de glisser sur la silhouette de Sofia. La robe moulante noire qu'elle portait accentuait ses courbes, et malgré les chaussettes noires, ses pieds semblaient inviter au toucher.
— Je... oui, je m'en souviens très bien, admit-il, son regard un peu trop fixé sur les pieds de Sofia avant de remonter vers son visage.
Profitant de son trouble évident, Sofia prit une démarche plus audacieuse. Elle se rapprocha encore, jusqu'à ce qu'ils soient presque nez à nez.
— Et n'as-tu pas honte, Marco, de te laisser ainsi dominer par une simple étudiante !? Sa question, teintée d'un défi ouvert, fit rougir Marco encore plus profondément.
Avant que Marco puisse formuler une réponse, Sofia se pencha vers le chariot d'outils à côté d'eux et en sortit un rouleau de scotch.
— Je crois que nous devons ajouter un peu plus de piquant à notre jeu, murmura-t-elle.
— Que comptes-tu faire avec ce scotch Sofia ? Remets-le où tu l’as trouvé ! balança Marco.
Sofia, semblant indifférente à ces remarques, commença à lui ligoter les mains avec une expertise qui indiquait qu'elle avait bien réfléchi à ce moment. Elle répliqua aussitôt.
— Marco, si tu ne veux pas que je révèle ce qu'il s'est passé la dernière fois, et que tu perdes ton travail, tu ferais mieux d'obéir, murmura Sofia tout près de son oreille, laissant le ruban adhésif s'enrouler avec précision autour de ses poignets.
Son ton était doux mais ferme, son regard fixe transmettant la gravité de sa menace. Toute envie de se débattre quitta Marco, tant ce dernier était choqué par la phrase qu’il venait d’entendre. Perdre son travail ? Sofia était-elle réellement en train de lui faire du chantage ?!
Marco, les mains maintenant solidement attachées, sentit son cœur battre à tout rompre. La situation lui échappait complètement, et l'excitation mêlée de peur le faisait frissonner.
Il eut à peine le temps de digérer la nouvelle, que des idées sales lui traversaient l’esprit. Pour qui se prenait-elle cette gamine capricieuse au teint doré ? Malgré son indignation, Marco savait qu’au fond de lui son excitation n’allait pas tarder à exploser. Tel un rat dans laboratoire, il tenta tout de même de protester, refoulant les désirs de son inconscient.
— Sofia, pour qui tu te prends ?!
Sofia saisit l’occasion, elle saisit Marco par le menton avec sa main gauche, tandis que sa main droite lui offrit la plus belle des claques.
— Tu tiens vraiment à ce que toute l’école soit au courant que le concierge s’est laissé masturber par une étudiante ?
Les yeux de Marco trahirent sa résignation. De toute façon, n’était-ce pas ce qu’il voulait ? Au fond de lui, ne désirait-il pas exactement cette réaction ? Ne cherchait-il pas à exciter son bourreau, afin que ce dernier puisse mieux le servir, c’est-à-dire le punir ?
— D'accord, Sofia, je ferai ce que tu veux, dit-il, sa voix étranglée par une tension palpable.
Il savait qu'il n'avait pas vraiment le choix, capturé non seulement par les liens physiques mais aussi par le jeu psychologique que Sofia menait avec une habileté déconcertante.
Sofia sourit, satisfaite de sa soumission. Elle se recula pour mieux l'observer, ses yeux parcourant le visage de Marco, cherchant des signes de rébellion ou de résignation. Trouvant ce qu'elle désirait, elle continua :
— Maintenant, Marco, tu vas montrer ta dévotion à ta reine.
Lentement, elle se pencha et retira ses Convers, exposant ses chaussettes noires trempées de sueur de la marche rapide et de la tension du moment.
— Sniffe-les, ordonna-t-elle en pointant les Convers vers Marco.
Hésitant mais finalement résigné, Marco obéit, son visage se tordant en une grimace à la senteur aigre-douce. Sofia plaqua le fond de sa chaussure contre le nez de Marco.
— C'est bien, Marco, tu apprends vite, ricana-t-elle, puis continua : Maintenant, lèche-les. Montre-moi à quel point tu peux être une petite salope pour moi.
Marco, poussé par un mélange de peur et d'excitation, fit ce qui lui était demandé. Il parcourut de sa langue les semelles humides des Converses. Cela l’excitait. De loin, on aurait cru voir un gamin dévorant une glace en plein été.
Alors qu'il obéissait, Sofia se pencha pour saisir les clés qui pendaient à sa ceinture. Avec un cliquetis métallique, elle les décrocha et se dirigea vers la porte des toilettes, verrouillant soigneusement derrière eux.
En entendant le bruit de la porte verrouillée, Marco redescendit sur Terre. Il avait les mains ligotées dans le dos, était en train de lécher les baskets d’une élève, qui venait tout juste de les enfermer dans les toilettes des filles. Avec le soleil qui laissait une empreinte brûlante sur la pièce, à travers les fenêtres, et qui rendait l’air de la pièce irrespirable, Marco s’interrogeait : était-il en enfer, et Lilith venait-elle pour le punir d’avoir péché ?
— Maintenant, ces toilettes deviennent notre petit sanctuaire, dit Sofia en se tournant vers Marco avec un sourire rempli de promesses.
Partie 3 : Féminisme et domination
===============================
Marco n’en revenait pas. Il y a 20 minutes, il venait réparer les toilettes des filles. Il y a 5 minutes, Sofia s’introduisait dans la pièce, le surprenant devant le miroir. Comment la situation avait-elle pu lui échapper à une telle vitesse ?
Avec les toilettes désormais verrouillées, transformant l'espace en leur arène privée, Sofia regarda Marco, ses yeux pétillant d'une excitation cruelle. Elle s'approcha de lui, ses pas résonnant sur le carrelage froid.
— Tu sais, Marco, j'apprécie vraiment ton obéissance. Ça me fait réfléchir à toutes les possibilités, dit-elle, sa voix douce trahissant la menace sous-jacente.
Marco, toujours les mains liées et maintenant visiblement anxieux quant à ce que Sofia pourrait exiger ensuite, la suivait des yeux, captivé malgré lui.
— Que... que veux-tu de moi, Sofia ? demanda-t-il, sa voix ébranlée par une nervosité évidente.
— Oh, beaucoup de choses, Marco. Mais pour l'instant, jouons à un petit jeu, proposa Sofia, en s'asseyant sur le comptoir à côté de l'évier.
Elle croisa les jambes, laissant intentionnellement sa jupe remonter légèrement pour révéler plus de ses cuisses. Ces cuisses d’une teinte dorée, ces cuisses si jeunes, ces cuisses si appétissantes, Marco allait-il pouvoir y goûter un jour ?
— Je veux que tu me dises exactement ce que tu ressens maintenant, sans mentir. Pense à ce que pourrait coûter une fausse réponse, ajouta-t-elle, un sourire malicieux éclairant son visage.
Marco avala sa salive, son regard fixé sur Sofia.
— Je me sens... impuissant. Pourquoi fais-tu cela ? Te rends-tu compte à quel point ce que tu fais est immoral, Sofia ?
Sofia était très en colère. Les paroles que Marco venait de prononcer… pour elle se résumaient à de l’hypocrisie totale. Cet homme avait apprécié lui obéir au doigt et à l’œil, et maintenant il voudrait lui faire croire que ce qu’elle fait est immoral ?
Restant de marbre face à ce plaidoyer court et peu crédible, elle répliqua :
— Marco, le mensonge est un luxe que tu ne peux pas te permettre, dit Sofia en posant son pied avec une légère pression sur l’entrejambe de Marco.
— Tu as raison… tout ceci m’excite au plus haut point, admit-il, les yeux fuyant de gêne.
— Très bien, Marco. Honnêteté et vulnérabilité peuvent être si séduisantes, répondit Sofia, descendant du comptoir.
Elle s'approcha de lui, et doucement, elle effleura sa joue avec le dos de sa main.
— Je vais augmenter un peu les enjeux maintenant. Chaque fois que tu répondras correctement à mes attentes, tu seras récompensé. Et si tu ne le fais pas... Sa voix s'estompait, laissant la menace suspendue dans l'air.
Sofia fit le tour de Marco, inspectant ses liens pour s'assurer qu'ils étaient sécurisés. Puis, s'arrêtant derrière lui, elle se pencha et murmura à son oreille :
— Tu n'es pas prêt à savoir ce que c'est de vraiment perdre le contrôle... pas encore. Mais si tu continues à bien jouer, peut-être que je te montrerai.
Elle se recula, le laissant absorbé par ses paroles et clairement troublé par la promesse de plus d'intensité à venir.
Marco resta là, les émotions se bousculant dans son esprit, tandis que Sofia, satisfaite de l'impact de ses mots, se préparait pour la prochaine étape de leur jeu. Elle avait clairement établi les règles, et maintenant, le vrai test de leur dynamique allait commencer.
Sofia attacha ses cheveux grâce à l’élastique qu’elle portait au poignet. Debout devant Marco, telle une Valkyrie devant sa proie.
Partie 4 : Tout ou rien
===================
La tension dans les toilettes montait à mesure que Sofia se préparait à pousser leur jeu de domination à un nouveau niveau. Elle observa Marco, les mains toujours solidement attachées, son visage reflétant un mélange de peur et d'anticipation.
— Tu sais, Marco, j'ai longtemps réfléchi à la dynamique de pouvoir entre les hommes et les femmes, commença Sofia, sa voix calme mais ferme. Pour moi, le vrai féminisme, c'est prendre le contrôle, montrer que nous, les femmes, pouvons dominer. C'est exactement ce que je fais avec toi maintenant.
Marco, troublé par ses paroles, tenta de protester.
— Sofia, je... je ne suis pas sûr que ce soit vraiment du féminisme, dit-il, cherchant à contester sa logique. Les hommes ont toujours…
Sofia, sans hésiter, s'approcha et lui asséna une gifle retentissante.
— Ça, c'est pour remettre en question mes convictions. Je te montre la force d'une femme, Marco. Et tu vas apprendre à l'apprécier, à l'adorer même, répliqua-t-elle, son regard dur ne tolérant aucune rébellion.
Marco, la joue encore rougie par la gifle, baissa les yeux, son expression mêlant douleur et confusion.
— Les fenêtres sont ouvertes, si tu continues Sofia quelqu’un va finir par… tenta de murmurer Marco, interrompu par une nouvelle gifle de la part de sa maîtresse.
— Je... Je comprends, Sofia. Montre-moi, je t'en prie, murmura-t-il, sa résistance semblant s'effriter sous l'intensité de son autorité.
— Voilà qui est mieux, sourit Sofia.
Elle s'approcha encore, inclinant la tête de Marco en arrière pour le regarder dans les yeux.
— Dis-moi que tu aimes être ma petite salope, Marco. Dis-le ! exigea-t-elle, sa voix douce contrastant avec la dureté de ses mots.
Marco, ses yeux plongés dans ceux de Sofia, respira profondément avant de répondre avec une hésitation qui s'estompait rapidement.
— J'aime être ta petite salope, Sofia, avoua-t-il, chaque mot le libérant d'une partie de son fardeau traditionnel de masculinité.
Satisfaite de son aveu, Sofia se recula, son visage s'éclairant d'un sourire triomphant.
— Parfait, Marco. Maintenant que tu acceptes ta place, nous pouvons vraiment commencer à nous amuser.
Elle fit le tour de lui, le frôlant légèrement, lui faisant sentir la proximité de son corps, la promesse de ce qui pourrait encore survenir.
Elle continua de le manipuler avec une assurance croissante, chaque interaction les enfonçant plus profondément dans leur dynamique de pouvoir renversée. Marco, maintenant immergé dans son rôle de soumis, commençait à trouver un plaisir étrange dans sa soumission, découvrant des aspects de lui-même qu'il n'avait jamais confrontés auparavant.
Partie 5 : Dans l’enclos …
======================
La tension dans l'air était palpable alors que Sofia continuait à explorer les limites de leur jeu de domination. Marco, visiblement à la fois terrifié et captivé, fixait Sofia alors qu'elle se penchait pour enlever lentement une de ses chaussettes noires.
— Tu aimes mes pieds, Marco ? demanda-t-elle en agitant la chaussette devant lui. Tu vas apprendre à adorer les pieds de ta reine.
Sa voix était douce mais impérieuse, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres.
Marco hocha la tête, sa gorge sèche à la vue de la chaussette de Sofia. Il regarda, fasciné, alors qu'elle se rapprochait, faisant danser la chaussette devant ses yeux avant de la laisser effleurer doucement son visage. L'arôme légèrement acide mais indéniablement intime de ses pieds emplissait ses narines, augmentant son excitation malgré le contexte de leur interaction.
Soudain, sans avertissement, Sofia prit l’initiative. Dans un mouvement rapide, elle leva la main et frappa Marco durement dans les testicules. La douleur fulgurante le fit se courber, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres tandis qu'il luttait pour reprendre son souffle.
— C'est pour te rappeler qui est en charge, dit-elle froidement, observant Marco se tordre de douleur.
Alors que Marco se remettait, respirant lourdement, Sofia s'agenouilla devant lui.
— Ouvre la bouche, ordonna-t-elle.
Marco, encore sous le choc, obéit sans hésiter. Sofia cracha alors dans sa bouche, affirmant sa domination de la manière la plus brutale et intime possible. Sans lui laisser le temps de réagir, elle enfonça la chaussette dans sa bouche, le forçant à goûter et respirer l'essence même de sa domination.
— Tu kiffes hein Marco ? Avoir les chaussettes d’une étudiante de 19 piges dans la bouche, t’aimes ça hein ? Elles sont bien sales en plus, savoure petite salope que tu es.
Marco, les yeux larmoyants mais étrangement en érection, acquiesça à son sort, sa résistance brisée par la cascade d'humiliations et de plaisirs contradictoires. Sofia, satisfaite de l'effet de ses actions, se redressa, son regard parcourant le corps secoué de Marco.
— C'est juste le début, mon soumis, murmura-t-elle.
Elle avait clairement des plans pour lui, des idées qui poussaient les frontières de leur entente toujours plus loin. Le cou du coq était maintenant coincé entre les mâchoires du renard.
Cette conclusion intense laissait présager une suite encore plus provocante, où les limites seraient repoussées et où les rôles de pouvoir pourraient être explorés avec encore plus de profondeur.
Si vous avez aimé cette histoire, n’hésitez pas à liker ! Je suis friande de vos feedbacks afin de vous satisfaire avec la suite. Je mettrai peut-être les deux scénarios auxquels j’ai pensé pour la suite en commentaire, vous êtes libres de me dire ce que vous en pensez ! J’espère sincèrement que vous avez apprécié.
8 personnes aiment ça.
Bonjour à vous tous , voilà quelques jours que je suis ici et je n’ai toujours pas trouver de maîtresse ou de femme qui pourraient m’être soumise, j’aime beaucoup être switch et donc m’adapter au deux , un peu déçu de ne rien trouver j’espère trouver ici.
Merci
Soyez la première personne à aimer.
Wendy a 43 ans. Elle est très séduisante, maquillée avec soin et ne porte que des vêtements de marque très chers. Son mari est riche, il travaille dans la finance. Ils possèdent un grand manoir avec une vue superbe sur un lac.
Wendy n'a pas besoin de travailler et elle fait ce qu'elle veut. Son mari étant souvent en déplacement, elle passe ses journées à faire du shopping, déjeuner avec ses amies, puis refaire du shopping et aller au salon de beauté et chez le coiffeur.
Elle aime l'art et fréquente souvent les galeries avec ses amies, achetant parfois des œuvres pour les exposer dans son manoir. Le prix n'est jamais un problème pour elle et elle achète ce qu'elle veut. Elle est riche, séduisante et obtient toujours ce qu'elle veut. Pour certains, ses manières brusques dénotent un caractère hautain et grossier.
Toutefois, elle charme tous les hommes qu'elle rencontre. Ceux-ci remarquent toujours ses gros seins avant le reste. Elle sait que sa sexualité peut lui apporter tout ce qu'elle veut. Après tout, elle l'avait bien utilisée pour épouser son mari riche bien plus âgé. Le vieux fou. Elle a eu de nombreuses liaisons discrètes pendant les cinq ans de leur mariage. Elle aime tout ce qui est cher dans la vie.
Nous sommes mardi et Wendy a son rendez-vous habituel chez son coiffeur. Elle conduit son cabriolet Mercedes jusqu'au parking client puis elle entre dans le salon. Elle remarque qu'il y a une nouvelle personne qui y travaille.
- Qu'est-il arrivé à Linda? Demande-t-elle à la propriétaire, Mme Krueger.
- Elle a dû retourner dans son pays, car sa mère est malade, donc nous avons un nouvel employé dans l'équipe. Il s'appelle Antonio, il est italien. Il est charmant et il a beaucoup d'expérience. Il va vous coiffer aujourd'hui si ça vous va?
Wendy regarde Antonio de haut en bas. Il est grand, bien foutu, avec de larges épaules et un incroyable sourire. Wendy estime qu'il a juste un peu plus de vingt ans. Il y a une vraie aura sexuelle autour de lui. Des pensées vicieuses traversent l'esprit de la femme riche. Elle aime fantasmer sur l'idée d'être infidèle à son mari. Mais ce jeune homme n'a pas d'argent ni de position sociale. Elle ne baise que des hommes riches. Son mari n'a jamais de temps pour elle, il est toujours occupé par son travail et ses voyages d'affaires à l'étranger. Elle est prête pour une nouvelle aventure, mais pas avec Antonio. Toutefois elle dit : « un peu de flirt ne fait jamais de mal ». Elle aime exciter les hommes. Finalement elle répond à la propriétaire du salon de coiffure :
- Oui bien sûr, Antonio peut me coiffer, ça sera parfait, merci!
Le jeune coiffeur a déjà été informé que Wendy et l'une des meilleures clientes fortunées et qu'elle doit faire l'objet de toutes les attentions. Elle s'assoit sur la chaise et se présente à Antonio. Celui-ci répond avec un accent sexy :
- Appelez-moi Tony.
Il passe ses doigts dans ses cheveux et commence à lui masser le cuir chevelu. C'est agréable et elle s'enfonce un peu plus dans le fauteuil. Elle lui demande où il loge. Il lui dit qu'il a loué un appartement pendant six mois, non loin du salon. Il le partage avec quelques amis qui sont venus en Australie avec lui.
- Mme Krueger m'a dit que vous aimiez l'art? Je suis un peu artiste en Italie, mais je commence. Dit Antonio.
Wendy est intéressée. Alors il poursuit :
- Je n'ai pas d'œuvres d'art ici, mais j'ai quelques photos si vous voulez les voir? Peut-être pourrions-nous prendre un café ensemble un jour et je les apporterai pour vous les montrer?
Wendy a-t-elle bien entendu? Cet homme l'invite-t-elle à prendre un café? Ils viennent juste de se rencontrer, mais il est assez séduisant alors elle se dit « Pourquoi pas? »
- Merci Tony, ça sera agréable. Mais vous devrez me laisser payer.
Ils prennent rendez-vous pour le lendemain dans un endroit qu'elle ne fréquente pas souvent, mais qui est idéal pour passer un moment agréable dans des petits box qui offrent une certaine intimité aux clients.
Le lendemain elle est excitée à l'idée de son rendez-vous avec Antonio. Elle est la quintessence de la femme fatale, alors elle s'habille en conséquence. Elle met une jupe très courte, mais élégante, un chemisier moulant, des chaussures et un sac à main assortie. La tenue vaut plus que ce qu'Antonio gagnera en trois mois à coiffer des riches femmes. En dessous de tout ça, elle porte un soutien-gorge et une culotte noirs.
Au moment de partir, elle a une idée géniale. Elle s'arrête, remonte sa jupe et enlève sa culotte qu'elle laisse derrière elle en se disant : « Peut-être que Tony aimera avoir un aperçu de ce qu'il ne peut pas avoir »
Elle retrouve le jeune garçon qui est à l'heure. C'est bien, elle aime la ponctualité. Elle le surprend à regarder ses jambes et ses seins, alors elle a une montée d'adrénaline . Elle adore manipuler les hommes. « Continue de regarder Tony! Tu ne pourras jamais me baiser, alors continue de rêver, pauvre petit rital coupeur de cheveux ».
Ils s'assoient à la table qu'elle a réservée et le serveur prend leur commande. Elle croise les jambes et s'assure que Tony puisse bien voir le haut de ses cuisses. Elle est dans son élément. Ils commandent tous les deux du vin rouge et en boivent un verre avant que le repas arrive et qu'elle feuillette l'album photo des œuvres d'art du jeune homme. Au bout d'un moment Wendy s'excuse pour aller aux toilettes.
Tony en profite pour remplir les verres de vin et il ajoute discrètement un liquide transparent dans le verre de la femme. Wendy revient, s'assoit et dit :
- Je ne peux boire qu'un dernier verre de vin , Tony. Je conduis.
Le repas arrive et ils parlent de choses et d'autres. Wendy flirte avec lui en faisant ressortir ses seins et en croisant et décroisant ses jambes. Elle laisse discrètement sa jupe remonter assez haut pour qu'il puisse voir sa chatte. Elle a l'habitude de jouer comme ça avec les hommes. Au bout d'une vingtaine de minutes, elle commence à avoir la tête qui tourne, comme si elle avait bu deux bouteilles de vin plutôt que deux verres. Elle dit :
- Je ne comprends pas. Deux verres ne me font jamais ça.
Tony lui propose alors de la raccompagner chez elle, car il ne veut pas qu'elle conduise. Elle paie l'addition et donne les clés de la Mercedes à Tony. Il lui prend le bras et l'accompagne jusqu'à la voiture. Il la fait asseoir sur le siège passager. Lorsqu'elle entre dans l'auto, sa jupe courte se retrousse presque à la taille. Antonio peut voir sa chatte sans problème, il voit qu'elle est soigneusement taillée et ses lèvres sont gonflées. Wendy ne se rend pas compte que sa jupe est complètement remontée, elle ne bouge plus.
Tony prend la place du conducteur et démarre. Mais il ne la ramène pas chez elle. Il l'emmène à son appartement. A l'arrivée, il l'aide à sortir de la voiture. La drogue a bien fait son effet et elle est presque endormie. Cette drogue est conçue pour cela et rendre coopérative la personne. Il ouvre la porte de son appartement et il aide Wendy à aller dans la chambre où elle s'assoit sur le bord du lit.
Elle sait qu'elle n'est pas chez elle, mais elle ne s'en soucie pas. Elle se sent vraiment bien et c'est tout ce qui compte pour elle à ce moment. Elle s'allonge sur le lit et perd connaissance.
Quand elle se réveille, elle constate qu'il fait nuit dehors. Elle réfléchit qu'elle a bien dû dormir au moins six heures. Sa tête est embrumée, mais elle se sent bien. Puis elle a un choc. Il y a quatre personnes dans la pièce ainsi que de l'équipement vidéo et des caméras. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle est complètement nue.
- Qu'est-ce qui se passe, bon sang? Demande-t-elle.
C'est Tony qui répond :
- Relaxe, salope! On t'a juste bien baisée et on a fait un film. Laisse-moi te présenter à mes amis, Mike, Sal et Théo.
Les trois hommes lui font un signe de tête.
- Les autres hommes qui t'ont baisée sont juste des gars que j'ai trouvés dans la rue. Ils t'ont baisée pour rien. Ça ne m'a pas coûté un centime.
Wendy est en état de choc. Elle a été droguée et baisée comme une pute. c'est alors qu'elle se rend compte que sa chatte et son cul sont légèrement douloureux et que l'odeur inimitable du sperme couvre son corps.
- Mon Dieu, vous m'avez tous violée! Je vais appeler la police!
Elle se lève et se dirige vers le téléphone.
- Doucement, sale pute! Tu veux peut-être regarder la vidéo avant. Je sais que ton mari aimerait la voir.
Tony appuie sur un bouton et la vidéo commence sur la télévision. Wendy est debout et regarde se faire baiser et enculer par au moins douze hommes. Elle se voit sucer leur bite et elle a l'air d'aimer ça. Pour quiconque qui verrait ce film, il aurait l'impression qu'elle participe de son plein gré à ce gang-bang.
- Tu as apprécié nos bites, salope. Bon sang, je pense que tu n'avais même pas besoin d'être droguée, tu nous aurais baisés quand même. Tu n'avais pas de culotte sous ta jupe de marque, donc je pense que tu voulais baiser le vieux Tony. Maintenant, parlons affaires!
Wendy ne sait pas que faire. Si son mari met la main sur ce film, elle perdra tout y compris son train de vie luxueux. Mon Dieu, comment peut-elle être si stupide? Elle n'a pas d'autre choix que de coopérer.
Tony Romano est un petit criminel à deux balles qui gagne de l'argent dans la prostitution, les paris illégaux, le chantage et la drogue. Ce n'est pas un gros bonnet, mais il connaît bien la rue ainsi que certaines personnes.
Tony présente le contrat à Wendy. Elle doit déposer de l'argent chaque mois sur un compte bancaire, mais pas trop sinon son mari va avoir des soupçons. Elle doit juste déposer assez pour permettre à Tony et ses amis de vivre un peu mieux pendant un certain temps.
- D'accord, je vous donnerai votre argent. Maintenant, rendez-moi mes vêtements pour que je puisse m'en aller.
- Pas si vite salope! Tu dois faire quelque chose d'autre pour nous.
- Quoi? Vous allez avoir votre argent!
- Non, espèce de salope blanche stupide riche et coincée, tu vas vendre ta chatte et ton cul pour gagner de l'argent tous les jours. Les gars et moi ne sommes pas avares alors nous avons besoin de plus d'argent que tu pourras mettre en banque. Et tu as intérêt à être bonne ou nous ferons en sorte que ton mari ait une copie de la vidéo. Nous en enverrons aussi à tous tes amis riches et nous la vendrons sur internet. Tu comprends, sale pute?
Wendy est piégée, elle ne voit pas d'échappatoire. Elle peut leur dire d'aller se faire foutre, partir et risquer de divorcer et tout perdre. Elle perdait même sa réputation et serait connue comme une vulgaire pute par tous ses amis riches. Mais devenir une prostituée? Non, elle doit jouer le jeu.
- Tu peux commencer par nous baiser à nouveau tout de suite. Et ça a intérêt à être bien. Allume la caméra, Mike.
Celui-ci obéit et les quatre hommes entourent Wendy, leur bite devant son visage.
- Obéis salope! Suce nos putains de bite! Crie Tony.
Elle prend la bite de Sal dans sa bouche et commence à la sucer. La queue est bientôt dure comme de la pierre et elle a du mal à la faire entrer dans sa bouche.
- Fous-toi à quatre pattes maintenant qu'on puisse t'enculer! Dit Tony.
Lentement elle obéit. Tony passe derrière elle et enfonce vicieusement sa bite dans le cul de la salope riche. Elle proteste bruyamment et reçoit immédiatement une claque sur son visage.
- Ferme ta gueule, sale pute!
La bite de vingt centimètres est entrée dans son cul jusqu'au bout. Tony commence à la retirer et l'enfoncer à nouveau violemment tout en claquant durement son cul. Wendy commence rapidement à pousser ses hanches en arrière pour répondre aux coups de boutoir de Tony.
Commence-t-elle à aimer ça? Est-ce possible?
Sal éjacule dans sa bouche et elle s'étouffe avec le sperme pendant un moment avant que Théo n'enfonce sa bite. Mike vérifie la caméra puis prend sa part. Il s'allonge sous elle et enfonce sa bite dans sa chatte de bourgeoise. Elle est baisée en double alors qu'elle doit sucer deux bites. La caméra continue de tourner. Tony la regarde et dit aux autres :
- Les gars, je pense que nous avons une petite esclave soumise ici.
Wendy se déhanche maintenant et suce goulûment les bites dures qui lui tombent sous la main comme une prostituée. Elle n'a plus besoin d'être obligée, elle en profite pleinement et tout est filmé.
Les hommes continuent de l'utiliser comme une pute pendant encore une heure avant de s'effondrer d'épuisement. A ce moment-là il est 22 heures. Tony dit alors à Wendy :
- Ton premier service va commencer, salope! Mets ça!
Il lui jette une minuscule mini-jupe et un haut transparent. La jupe est si courte que l'on peut voir sa chatte et son trou du cul si elle se penche légèrement. Ses gros seins sont bien visibles à travers le tissu fragile de son haut.
Elle ressemble vraiment à une prostituée et c'est exactement ce qu'ils ont prévu pour elle à l'avenir. Qu'elle soit une riche salope blanche hautaine, obligée de sucer des bites pour 5 dollars et de se faire enculer pour 10 dollars, ce sont les instructions spécifiques que Tony a reçues de son « client » inconnu, mais qui paye bien. Tony avait été engagé pour organiser tout ça, il s'était dit qu'elle avait dû vraiment déplaire à quelqu'un.
Tony ordonne à Wendy de sortir de l'appartement et de marcher sur le trottoir pour le plaisir des hommes, sa jupe remontant et montrant sa chatte et son cul, l'intérieur des cuisses mouillé du sperme qui suinte de ses orifices bien baisés.
Puis elle est poussée sur le siège arrière de sa voiture entre Sal et Mike. Tony se dirige vers le quartier le plus chaud où Wendy rencontrera ses premiers clients pour la nuit. Il y en aura d'innombrables autres.
Tony arrête la voiture à un feu rouge et crie vers une bande de 15 libanais . Il leur fait signe de s'approcher.
- Les gars, vous voulez une pute pour la nuit? Une salope blanche? Elle aime se faire enculer. Vous aimez les salopes blanches, n'est-ce pas?
Les jeunes jettent un coup d'œil à l'arrière de la voiture et examinent Wendy.
- Elle a de beaux nichons. Combien tu demandes?
- Vous pouvez tous la baiser pour 50 dollars!
Wendy remue sur le siège arrière de la voiture. Elle a déjà été bien baisée et elle est sur le point d'être vendue à cette bande de voyous étrangers pour 50 dollars. Mais sa chatte est inondée de jus, elle ne peut l'empêcher. « Qu'est-ce qui m'arrive? » Pense-t-elle, « Je suis vraiment une pute bon marché ».
L'un des gars donne 50 dollars à Tony et Wendy doit sortir de la voiture. Sal l'escorte jusqu'à une chambre d'un motel minable qu'ils ont réservé pour la nuit. Il ordonne à Wendy de se déshabiller et de commencer à sucer des bites. Elle obéit avec diligence en faisant des bruits de succion avec sa bouche tout en branlant les gars qui attendent.
Très vite, tous les gars ont sorti leur bite en attendant leur tour pour baiser cette pute blanche. D'énormes quantités de sperme éclaboussent le visage et les seins de Wendy alors que les bites se succèdent. On lui ordonne de présenter son cul et elle est rapidement sodomisée par les gars. Sal prend des photos. Il fait même la queue pour avoir une fellation et il l'encule une nouvelle fois. Il aime tant son cul serré.
Après deux heures environ, la bande de jeunes, épuisée, se rhabille et part.
- C'est une putain assoiffée de bites! Dit l'un d'eux à Sal en partant.
La nuit de Wendy n'est pas encore terminée. Sal appelle Tony sur son portable, et, cinq minutes plus tard, la Mercedes s'arrête près du trottoir.
- Je viens d'organiser d'autres réjouissances pour toi, salope!
Tony vient de s'arranger pour que Wendy fasse un strip-tease dans une boite louche et ensuite elle doit se faire baiser par le public. Pour quel prix? Tony a vendu Wendy pour 40 dollars. Pour quel public? Pour une centaine de clients excités de pouvoir la baiser à fond.
Le cœur de Wendy bat la chamade, sa chatte et son cul bien baisés palpitent. Elle pue le foutre et ses cheveux sont emmêlés avec du sperme séché. Mais Tony ne la laisse pas se nettoyer. Elle ne pense qu'à ce que ces hommes vont lui faire. Quelle quantité de sperme va-t-elle être obligée d'avaler?
La boite est un repaire dégoûtant et délabré où les petits délinquants vendent de la drogue et où de vieilles putes se prostituent. C'est le genre d'endroit que Wendy n'a vu que dans des films. Jamais elle n'aurait pensé qu'elle serait obligée d'y travailler en suçant des bites et en se faisant enculer.
Mon Dieu, comment son monde à changer en moins de 24 heures. De la riche femme mondaine et hautaine avec du style, elle est devenue une pute bon marché qui suce la racaille dans les rues et qui se fait baiser comme une chienne.
Elle est fatiguée, sale et tout ce qu'elle veut, c'est pouvoir rentrer chez elle, dans sa belle maison. Mais Tony a d'autres plans.
- Tu vas monter sur scène, danser et enlever ces putains de chiffons. Sois sexy pour que le public ait envie de te baiser. Compris Salope? Rugit Tony.
Wendy acquiesce alors qu'il la pousse vers la scène. Elle peut entendre la foule bruyante. Elle sait qu'elle va être baisée comme jamais elle ne l'a été auparavant. Sa chatte commence à mouiller et son jus commence à couler. C'est comme si son sexe avait sa propre conscience et qu'il voulait toutes ses bites, que le cerveau de Wendy le veuille ou non.
Une musique retentit et le rideau se lève. Tony lui met dans les mains deux godes vibrants géants en forme de bite et il lui dit :
- Utilise ça dans ton cul et ta chatte, salope!
Il la pousse sur scène et elle tombe à la renverse. Une voix crie :
- Lève-toi sale pute! Et enlève tes putains de vêtements!
Elle obéit, se lève et commence à se déhancher. Elle regarde le public. Il y a tous les pervers et dégénérés qui aiment se branler en regardant ce genre de choses.
Elle pose les godes et enlève son petit haut. Ses gros seins nus sont accueillis pars des hurlements d'approbation. Elle se tourne et remue son cul en enlevant sa jupe. Elle l'écarte d'un pied et un homme s'en saisit comme souvenir.
- Montre-nous ta chatte! Crie un sale bâtard.
Elle obéit en se mettant à quatre pattes en en montrant son sexe et son cul au public. Les sifflements et les applaudissements sont presque assourdissants.
Wendy peut voir Tony, hors de la scène, faire des gestes vers les godes. Elle prend l'un d'eux et commence à l'enfoncer dans sa chatte. Elle le fait vibrer à pleine vitesse et s'assoit dessus pour qu'il entre entièrement. Elle remue son bassin et il glisse plus profondément. Elle sent arrivé un orgasme puissant.
A ce moment-là, Tony apparaît sur scène. Il prend l'autre énorme gode, verse du lubrifiant dessus et commence à l'enfoncer dans le trou du cul de Wendy. Celle-ci commence à protester, mais Tony crie :
- Ferme ta gueule!
Impitoyablement il enfonce le gode dans son cul jusqu'à ce qu'il y en ait deux tiers. Le gode est presque aussi gros qu'une canette de coca. Le cul de Wendy est distendu à l'extrême. Et c'est là qu'elle a un orgasme puissant, son corps convulsant comme un épileptique.
- Tu aimes ça, n'est-ce pas?
Puis il se lève et crie à la foule :
- Elle est prête pour vous tous maintenant!
Les hommes hurlent leur approbation et commence à se diriger vers la scène. Un agent de sécurité leur fait former deux queues à peu près égales, une au niveau du cul, une au niveau de la tête. Tony établit les règles :
- Par-devant, vous avez droit à une pipe. Par-derrière vous la baiser dans son cul ou sa chatte. Ensuite, soit vous retournez faire la queue, soit vous rentrez chez vous!
Tony retire les deux godes. Wendy regarde les hommes. Elle estime qu'il y a au moins 50 gars par queue. Une première bite est poussée dans sa bouche.
- Suce salope! Demande son propriétaire.
Une autre bite pénètre son cul. Elle sait que la plupart des gars vont vouloir l'enculer. Mais avec un peu de chance, ils ne mettront pas trop de temps à jouir.
2 personnes aiment ça.
Aucun rapport avec le Bdsm. Il s agit de drogue, de chantage, de viol et de proxénétisme
4 personnes aiment ça.
MaîtreDesLiens , dominant mature de 50 ans, entre Metz et Luxembourg, en quête d'une véritable soumise désireuse de s'abandonner pleinement à une relation D/s authentique.
Je recherche une femme entre 25 et 40 ans , féminine, prête à explorer le chemin de la soumission totale , avec curiosité, respect et engagement. Débutante ou expérimentée, tant que le désir de découvrir, d'apprendre et de mériter chaque récompense brûle en toi, je saurai te guider.
Mon approche est celle d'une domination progressive mais implacable : chaque geste, chaque mot est une étape vers une connexion profonde, où respect et confiance forgent les chaînes les plus solides. Je suis un homme sain, mature et puissant, capable de comprendre tes besoins sans qu'ils soient exprimés.
Si tu sens cet appel à t'abandonner sous la main ferme d'un Maître capable de te révéler à toi-même, alors n'attends pas. Ose me contacter et franchir le premier pas vers une expérience transformatrice.
2 personnes aiment ça.
Cherche maîtresse ou maître qui fait du enligne pour la salope que je suis
3 personnes aiment ça.
L’expérience de la soumission
Il a commencé par me déshabiller rapidement, en me couvrant de baisers. J’ai senti qu’il était impatient de nous faire du bien, c’était incroyablement excitant. Il m’a attachée avec les menottes au cadre de notre lit. Déjà, l’excitation coulait en moi.
J’étais allongée sur le ventre, les bras devant moi, la position n’était pas particulièrement confortable, mais cela ajoutait à l’excitation du moment. Sans prévenir, il a commencé à me fouetter, pas très fort, mais avec une conviction palpable. Au premier coup de martinet sur mes fesses, j’ai senti tous mes sens s’évanouir.
Je n’avais jamais connu une telle excitation, c’était comme si je perdais le contrôle de moi-même. Sous ses coups de martinet, qui se succédaient, j’en perdais mon souffle, et à chacun de ses mouvements, je criais un peu plus fort, non pas de douleur, mais de désir. Il a continué ainsi pendant quelques instants, puis m’a retournée sur le lit. J’étais maintenant allongée face à lui, les bras toujours attachés au-dessus de ma tête. J’étais à sa merci.
L’extase du désir
Il a recommencé à m’embrasser partout, à me caresser, à me dire que j’étais belle et que je l’excitais. Il était très tendre, mais gardait dans sa main ce martinet que je ne pouvais pas quitter des yeux. Il a commencé à le faire glisser sur mon buste, doucement, à caresser mes seins avec les lanières, d’abord l’un, puis l’autre.
Puis, il est descendu vers mon sexe. Sans crier gare, il a recommencé à me fouetter, au niveau du ventre et des hanches. C’était reparti ! Ce mélange de tendresse et de fermeté était extrêmement excitant. Il a fini par me pénétrer d’un coup, et nous avons joui tous les deux très rapidement. Nous avions été tellement excités par ces préliminaires BDSM soft.
La suite de l’aventure
Depuis, on ressort régulièrement ce martinet et ces menottes, parfois ensemble, parfois l’un ou l’autre. On trouve ça très excitant. Je me suis révélée dans ce nouveau genre de sexualité, le BDSM soft fait tomber des barrières chez moi, c’est incroyable ce que je peux ressentir lorsqu’on le pratique.
La perspective d’explorer davantage
Mon mari adore ça aussi, bien sûr. Il est très à l’aise dans le rôle de dominant, même s’il n’a pas du tout ce tempérament dans le reste de nos vies. J’ai envie d’aller un peu plus loin, de tester un peu plus nos limit
es, peut-être en expérimentant le bondage, ou en proposant à une de nos connaissances libertines de nous rejoindre… Qui sait ?
Je vous tiendrai au courant de nos progrès et de nos découvertes, si mes aventures vous intéressent ! Mais à discuter avec vous régulièrement sur les forums, je vois bien que ce genre d’expériences vous intrigue autant que moi.
8 personnes aiment ça.
3 personnes aiment ça.
Le bondage est une pratique érotique ou sexuelle, qui consiste à attacher son ou sa partenaire avec des cordes, des chaînes, des bâillons... Il s'agit d'une pratique sadomasochiste et fétichiste.
10 personnes aiment ça.
je suis une dominatrice qui recherche une autre dominatrice afin d'échanger sur nos pratiques respectives tout en humiliant mon soumis Discuter sur la façon de vivre notre domination chaque jours
5 personnes aiment ça.