A propos du groupe
Dom carina
Voici une histoire sexy… pleine d’orgasmes, de pipes, de plaisirs érotiques, de sexe, de sextoy, de sodomies, de soumises … l’histoire du long cheminement d’une femme, qui après s’être fait piéger, restera sans résistance et se laissera mener vers toutes transgressions et donnera libre court à tous ses fantasmes. Elle sombrera peu à peu dans les plaisirs, que certains trouveront sombres, que son sexe lui impose, jusqu’à devenir une indécente addicte pour son bonheur. Encadrée, esclave dressée par une jeune fille, puis par toute sa famille, père, mère, frère, elle subira tous les outrages, toutes les souillures… fouet, fessées, exhibée et pour finir pute mise sur le trottoir… Le récit se déroulera en trois livres et 19 chapitres. MADAME BESSON Livre premier CHAPITRE 01 Mme Besson était assise à son bureau et corrigeait les devoirs de ses élèves de terminale. Elle n’était pas pressée de rentrer chez elle, son mari était en déplacement et sa fille en camps de vacances jusqu’à la fin du weekend. Mme Besson était mariée avec Gabriel depuis 14 ans. Depuis qu’il avait eu sa dernière promotion, Gabriel partait souvent en déplacement à l’étranger pour de longues durées. Il était absent depuis maintenant deux mois et ne savait pas encore lorsqu’il il rentrerait, quant à Chloé leur fille, qui venait juste de fêter son 13ème anniversaire, entre l’école et ses activités diverses, elle était rarement à la maison. Avec des cheveux blonds, des yeux scintillants, un petit nez, quelques taches de rousseurs discrètes, une jolie bouche, des seins légers et fermes, un beau cul souvent moulé dans une jupe élégante, même si elle s’en défendait, Mme Besson sous ses airs bourgeois est bon chic bon genre. Elle disposait de beaucoup de temps libre. Aujourd’hui, elle en profitait pour terminer la correction des devoirs de sa classe et envisageait d’aller à la salle de gym après avoir terminé. Elle portait ce jour-là, un pull sur une jupe et des chaussures à petits talons. À 32 ans elle entretenait son corps avec régularité, elle était fière de ses 45 kg pour 1 m 67, mince, avec une superbe poitrine (95 C) qui attirait les regards, même si elle ne faisait rien pour cela. Ses jambes longues étaient galbées et sa taille fine. Mme Besson sortit de ses pensées en entendant un coup à la porte. Elle vit Léa Fournier, l’une de ses élèves de classes terminales. À 18 ans Léa était une élève intellectuellement brillante et qui avait un corps parfait. En raison de son attitude un peu arrogante, elle n’avait ni amie, ni copain et se sentait souvent seule. — Rentre Léa, mais je n’ai pas encore fini la correction de vos devoirs. — Ce n’est pas ce pourquoi je suis là Mme Besson. Il y a quelque chose que je voudrais vous montrer. — Bien sûr Léa, qu’est-ce ? — J’ai fait du rangement dans les archives en vrac du collège et regardez ce que j’ai trouvé… Léa chercha dans son sac et tendit un vieux magazine à sa prof. Mme Besson fut suffoquée, elle avait reconnu le journal… C’était un journal de nu des années 80 et Mme Besson avait toujours espéré que ce mauvais souvenir ne réapparaitrait pas. Léa ouvrit le magazine à la page central, on y voyait sa prof dévoilant complètement ses charmes, sans pudeur. Mme Besson avait posé nue, il y avait des années dans le collège, dans cette même classe pour des photos plus qu’érotiques, elle avait alors de gros besoins d’argent et avait espéré que personne ne le saurait. Mme Besson essaya de se calmer et avala sa salive. — C’est bien vieux et je ne suis pas fière de ce que j’ai fait, mais j’avais besoin d’argent pour terminer mes études, laissons cela, laissons le passé où il est. Léa reprit le magazine. — Je ne pense pas comme vous Mme Besson. Il faut que nous parlions. — Allez fermer cette porte Mme Besson, c’est un ordre ! Un peu agacée par le ton de son élève, Mme Besson se leva et alla fermer la porte le plus calmement possible. — À clef Mme Besson ! Dit Léa d’une voix forte en s’asseyant sur la chaise de sa prof derrière le bureau. Dès la porte close Mme Besson se retourna et vit Léa à sa place. Elle alla donc s’asseoir au premier rang des élèves. Ce qu’elle voyait sur le visage de Léa ne semblait pas encourageant. — Allez devant le tableau Mme Besson. — Je peux m’asseoir ici Léa. — J’ai dit devant le tableau Mme Besson ! Dit Léa d’un ton ferme. Mme Besson se dirigea sur l’estrade, fit face à son élève, assise dans le fauteuil de l’enseignante, ce n’était pas une position confortable, pour une prof… tout était inversé. — Aimez-vous enseigner ici ? — Oui Léa, j’aime enseigner ici. — Vous comprenez ce qui arriverait si ces photos étaient connues de tous ? — Non, je ne vois pas, — Voulez-vous que Chloé, les voit ? Demanda Léa en montrant les photos. — Non, dit Mme Besson en prenant conscience de sa situation vulnérable. — Bien Mme Besson, voilà donc trois raisons qui doivent vous faire réfléchir à ce que je vais vous dire et vous proposer. Désormais vous ferez et je dis bien TOUT ce que je vous ordonnerai. Si vous refusez ou si n’obéissez pas bien à mes ordres, que peut-il se passer ? Plus de travail, plus de famille et plus d’enfant car Chloé n’étant pas majeur, sera confiée à la DDASS. — Que voulez-vous Léa ? Dit Mme Besson d’une voix tremblante. — Vous, répliqua calmement Léa. -— Je veux que vous m’apparteniez, je veux que vous soyez mon jouet, je veux que vous m’obéissiez, que vous fassiez tout ce que je vous ordonne et sans vous poser de questions ! Je vais vous dresser et puis, je vais réfléchir pour voir ce que je ferai de vous après. Si vous refusez ou si vous obéissez mal, ce magazine sera rendu public, dans l’école, à vos amis, vos parents, votre mari et à son patron. Mais si vous acceptez cela restera notre secret. Mme Besson sentit ses genoux trembler, elle ne pouvait permettre que ces photos soient rendues publiques, elle tournait ses pensées dans la tête ne sachant comment s’en sortir. La voix de Mlle Fournier était douce et autoritaire en même temps, elle marquait son territoire. Mme Besson serait sa soumise. — Viens ici, approche ton cul ! Mme Besson voulait protester, mais les protestations restèrent dans sa tête. Elle s’est approché de son élève, le corps lui, était déjà soumis, ses jambes se sont écartées lorsque la main de Mlle Fournier a glissé à l’intérieur de ses cuisses. C’était la première fois que Mme Besson se faisait caressait par une femme. Mlle Fournier a su la tenir excitée, proche de l’orgasme, mais sans qu’elle l’atteigne. Ça a duré… Mme Besson, tu dois te maintenir ouverte, ouverte en permanence, ton sexe toujours à la disposition pour travailler, puis lui demanda, — Ai-je été assez clair Mme Besson ? — Je ne comprends pas, dis une Mme Besson déroutée. Je suis ton prof, tu ne peux pas agir comme cela. Écoutez Mme Besson, je me fous de ce que vous pensez, c’est très simple, si vous ne m’obéissez pas, vous ne seras plus la prof de personne, même plus une mère, ni une épouse. Vous me comprenez bien ? — Combien de temps cela durera-t-il ? — Aussi longtemps que je le voudrais Mme Besson, … le temps de ton éducation, le temps nécessaire à ton dressage pour devenir une belle salope. — Assez parlé. Tiens-toi droite. Les mains sur la tête, Ne sachant que faire, que dire et ne voulant pas contrarier sa jeune élève, Mme Besson fit ce qu’elle lui demandait. Léa se leva, alla vers prof qui tremblait et commença à lui tourner autour. — Vous comprenez bien que si vous me désobéissez, vous êtes ruinée, perdue ? Dit Léa en regardant sa prof dans les yeux, des yeux en pleurs. — Oui Léa, dit la pauvre Mme Besson, perdue, prise au piège de son passé, ne voulant risquer de ruiner son avenir et celui des siens. Une larme coula sur sa joue. — Bien ma petite salope, commençons, les rôles sont dorénavant inversés, désormais tu devras toujours m’appeler Mlle Fournier et me vouvoyer et moi je te tutoie. Sommes-nous d’accord ? — Oui Mlle Fournier, je comprends. Léa retourna derrière le bureau. — Ouvre ton chemisier et déshabille-toi, je veux voir comment tu es foutue ! — Mme Besson hésita. — S’il vous plait Léa, non, pas cela, Sautant de son siège, Léa gifla violemment sa prof, — C’est cela, ou je fais des dizaines de photocopie et tes photos seront largement diffusées ! Dépêche-toi salope ! — Tu es une putain. Tu fais ce que je dis et tu le fais maintenant ! Mme Besson se sentait comme gelée, elle ne pouvait bouger. — C’est bien, dès lundi les photos seront distribuées. Léa se dirigea vers la porte. — Attendez ! Léa s’arrêta, se tourna devant sa prof tremblante. — Oui ? — S’il te plait, Léa tu ne peux pas faire cela, je te donnerai de l’argent, s’il te plaît Léa, pleurnicha la prof en larmes. — Eh bien au revoir Mme Besson, dit Léa calmement en allant vers la porte. — S’il te plaît, Léa… Mlle Fournier, je vais le faire, ne partez pas, cria la prof terrifiée. Léa s’arrêta, se retourna devant sa prof qui s’inclinait. — Eh bien? Les mains de Mme Besson se dirigèrent vers les boutons de son chemisier. Elle commença à les défaire tous et se tint droite devant son élève, le visage en feu, perdue de honte. — Enlevez-le, dit Mlle Fournier en retournant au bureau. Mme Besson enleva son chemisier et le posa sur le bureau. Elle se tenait devant son élève, se demandant jusqu’où cela irait. — Maintenant le soutien-gorge, Mme Besson… Mme Besson enleva les agrafes et le soutien-gorge, dévoilant une poitrine avec de jolis seins fermes et opulents. — Allez la prof, tu mets ton soutien-gorge dans la poubelle, cela fera plaisir à l’homme d’entretien. Nue jusqu’à la ceinture, la prof se tenait devant son élève. Elle se sentait horriblement embarrassée, comment avait pu se retrouver dans une telle situation, pourquoi avait-elle accepté de poser pour ces photos et dans ce collège ? — Maintenant, Mme Besson, je veux que tu poses ta jupe sur le bureau. Sans plus réfléchir, Mme Besson ouvrit sa jupe, la laissa glisser sur le sol puis la posa sur le bureau. — Bien Mme Besson. Je vois que tu mets des dessous horrible, enlève immédiatement ces saloperies, collants et culotte et hop poubelle ! Mme Besson enleva ses collants et sa culotte et se tenait maintenant nue devant son élève âgée de 18 ans qui lui ordonnait des choses choquantes. Elle cherchait mais ne voyait pas comment se sortir de ce piège et… quelle serait la suite ? — Fais attention, tiens-toi droite, fais ressortir ta poitrine en mettant les mains sur la tête. Flash ! Léa se leva et fit le tour de sa prof pétrifiée de honte et lui pinça un téton. — Ils sont en érection, tu aimes donc cela Mme Besson ? Mary garda le silence, elle se sentait très excitée mais ne voulait pas l’admettre. Léa pinça plus fort la pointe des seins jusqu’à ce que Mme Besson gémisse. — Répond moi, Mme Besson, — Non, je n’aime pas cela, répondit-elle. Bien qu’elle dise ne pas aimer cela, elle se sentait inexplicablement excitée par ce traitement et elle sentait son sexe s’humidifier. Léa relâcha les seins de Mme Besson. Flash ! — Je pense que tu me mens Mme Besson et tu seras battue pour cela. Sans mari et sans fille, j’ai tout le temps pour commencer à m’occuper de ta formation pour le weekend. Mary fut terrifiée parce qu’elle croyait comprendre. — Après, je suis certaine que lundi, tu comprendras vraiment ce que je veux de toi, Car je crois que tu n’as pas compris ce que l’on attend de toi. Je vais t’apprendre à obéir. Tu dois être à genoux et tête baissée devant moi ou tes Maîtres à chaque fois qu’on s’approche de toi. Tu mets ton chemisier, ta jupe et tes chaussures, laisse deux boutons ouverts de ton chemisier et tu me suis. Habillée ainsi, Mary se sentait encore plus vulnérable. Nue sous son chemisier elle sentait ses tétons en érection danser sous le tissu du chemisier et cela la blessait. Le courant d’air qui caressait ses cuisses et son sexe nu sous sa jupe la déroutait… Les deux femmes se dirigèrent vers la sortie… Elles allaient commencer une nouvelle aventure… CHAPITRE 02 Léa se dirigea vers la porte, se retourna et dit à Mme Besson, — Tu me suis à deux pas derrière et sois normale, Comment pouvait-elle être normale ? À chaque pas, ses seins étaient blessés par le tissu de son chemisier, sa chatte nue sous sa jupe commençait à devenir humide pour sa plus grande honte. Avec les boutons ouverts de son chemisier, elle en montrait plus qu’elle ne l’avait jamais fait et que la respectabilité n’autorisait. — Oui Mlle Fournier, répondit-elle soumise. Léa ouvrit la porte et précéda sa prof dans le hall de l’école vers le parking. — Donnez-moi les clefs ! demanda Léa. Léa s’installa derrière le volant et Mme Besson se mit sur le siège passager. — Remonte ta jupe, Mme Besson remonta sa jupe à mi-cuisse. — Plus haut salope ! Tu n’es qu’une pute ! Mme Besson remonta si haut sa jupe qu’elle ne couvrait plus sa chatte humide. On pouvait voir ses cuisses blanches, bien ouvertes exhibant son sexe, sa fente et des poils fins. Léa démarra la voiture et se dirigea vers la maison des Besson. — Nous allons faire des courses sur le chemin. Le cœur de Mme Besson se serra en espérant que Léa ne l’obligerait pas à aller dans le magasin, sans soutien-gorge et sans culotte. — Dites-moi Mme Besson. Qu’as-tu comme sextoys chez toi ? Mme Besson ne pouvait croire que son élève ose lui poser cette question. Et pourtant elle répondit : — J’ai un gode, Mlle Fournier. — C’est tout ? C’est tout, Mlle Fournier. — Tu te branles ? — Oui Mlle Fournier, quelques fois dans les toilettes des filles du lycée. Léa gara la voiture sur le parking, c’était un super marché avec un rayon bricolage. — Viens, nous avons des achats à faire et n’oubliez pas de marcher deux pas derrière ! Mme Besson abaissa sa jupe sur ses cuisses et sortit de la voiture. L’air frais agressa ses tétons en érection et lorsqu’elle écarta les cuisses pour sortir de la voiture, son sexe dénudé s’ouvrit en dévoilant des lèvres luisantes et roses. Léa ne l’autorisa pas à mettre sa veste, elle dut courir pour suivre et les seins de la jeune femme étaient à la torture. — As-tu une carte de crédit ou de l’argent sur toi ? — Oui Léa, j’ai les deux. Léa s’arrêta et la fixa. — Je te l’ai dit deux fois! Qu’as-tu dit ? Comment m’as-tu appelée ? — Lé… Je suis désolée Mlle Fournier. — Ouvre un autre bouton ! — S’il vous plait Mlle Fournier, je suis désolée. — Tu ne veux pas ouvrir trois boutons ? — Si ! cria presque Mme Besson en ouvrant le troisième bouton de son chemisier. Si elle bougeait trop, Mme Besson savait qu’elle allait dévoiler entièrement sa poitrine. Elle comprit qu’elle allait devoir faire attention en marchant. — Prends un chariot ordonna Léa, comme elles entraient dans le magasin. Mme Besson fit ce que Léa lui ordonnait et la suivit dans les rayons jusqu’au département des animaux. — Trouvons un collier pour mon nouvel animal. Essaye celui-ci, dit Léa en lui tendant un collier de chien blanc avec des pierres de couleurs. — Ici ! ? — Mme Besson. Je n’aime pas avoir à me répéter, si tu ne fais pas ce que je te demande, je te le répète une dernière fois, tu peux rentrer chez toi, mais dès lundi matin toutes les photos, les anciennes, mais aussi les nouvelles seront distribuées, maintenant essaye ce collier ! Regardant autour d’elle Mme Fournier plaça rapidement le collier autour de son cou. — Cela semble aller, Mlle Fournier. — Mieux vaut s’en assurer, après tout c’est toi qui le porteras, ferme-le. Il lui allait parfaitement. — Maintenant, une laisse… attrape la rouge. Mme Besson voulut enlever le collier avant qu’on ne la voit, mais Léa lui tapa violemment sur les doigts. — Tu ne touches pas, c’est TON collier de chienne ! Mme Besson leva les bras pour attraper la laisse qui était en hauteur, elle comprit qu’en faisant cela elle dévoilait presque entièrement sa poitrine ! Mme Besson descendit rapidement, prit la laisse d’une main, l’autre fermant son chemisier pour cacher ses seins exposés, une claque sur sa main. Ne touche pas à ce chemisier… et le chemisier s’ouvrit laissant généreusement apparaître la poitrine et les superbes avantages de Mme Besson. Léa accrocha la laisse au collier. — Cela te va à merveille. Met-le dans le panier, dit Léa en partant. Mme Besson se dépêcha d’enlever le collier avant qu’on ne la voit et courut pour rattraper Léa, pour ne pas la mettre en colère parce qu’elle ne la suivait pas à la distance requise. Léa alla dans le rayon bricolage et acheta des chaines, des barres de fer, des cadenas… Léa lui dit d’aller payer à la caisse et de ne pas traîner. Mme Besson était gênée, car bien que ces objets semblaient innocents, elle se doutait de leur usage… et puis se présenter à la caisse avec son chemisier si ouvert… Elle paya le visage en feu, la chatte incroyablement humide et les tétons que l’on voyait sous l’étoffe avaient la pointe en érection. Mme Besson prit les achats et courut à la voiture où l’attendait Léa. — Jupe ! dit Léa et Mme Besson remonta vite sa jupe au ras de son volcan. — Nous allons dîner, que veux-tu manger ? — Je n’ai pas faim. Une claque. — Mlle Fournier ! ! ! Oh, je suis désolée Mlle Fournier… — Lève tes fesses et remonte ta jupe encore plus haut, Tu dois comprendre que tu y perdras toujours quelque chose lorsque tu ne me feras pas plaisir et bien sûr tu sais ce qui t’arrivera si tu refuses complètement de m’obéir. Léa quitta le parking pendant que Mme Besson remontait sa jupe si haut qu’elle dévoilait complètement sa chatte nue, son visage était rouge brique. Elle se sentait comme une enfant punie pour avoir mal agit. Mme Besson plongea dans le silence pendant que Léa conduisait. Elle commença à paniquer en voyant Léa entrer dans le parking d’un « drive in ». — Ne touche pas à cette jupe Mme Besson, que veux-tu manger ? — Rien, Mlle Fournier. La prof morte de honte plongea dans son siège pendant que Léa commandait un sandwich, des frites, et deux glaces au chocolat. En arrivant au guichet de paiement, Léa tendit sa main vers Mme Besson pour avoir de l’argent, Mme Besson plongea vite dans son sac et donna à Léa l’argent demandé en espérant que personne ne la reconnaisse. Il faisait noir et l’employé ne devrait pas y voir grand-chose, mais elle crut mourir en l’entendant dire: — Bonjour Mme Besson. Le type reconnaissait la voiture, — Bonjour, répondit Mme Besson. Elle aurait voulu disparaître dans le siège. Léa gara la voiture dans un coin sombre et commença à manger son sandwich. — Ouvre complètement ton chemisier. Mme Besson ouvrit avec appréhension son chemisier et dévoila sa poitrine nue. — Pendant que je mange, je veux que tu me distraies en te couvrant avec cette glace au chocolat. Fais attention de ne pas salir ton si joli chemisier… La prof humiliée assise dans la voiture sur un emplacement de parking, le chemisier grand ouvert obéit à son élève et commença à se frotter la glace sur les seins. Mme Besson ne voulait pas contrarier l’adolescente, car elle savait que celle-ci pouvait lui imposer, pouvait être encore pire, le froid de la glace sur ses seins les gonfla. — Mets en aussi sur ta chatte. Les doigts de la prof pleins de chocolat posèrent le bâton de glace sur son vagin. — Rentre le dedans. Son cœur se serra lorsque le chocolat glacé stimula sa chatte brûlante, ses doigts semblèrent échapper à son contrôle… cela dura dix minutes le temps que Léa termine son repas, Mme Besson jouait avec elle-même, se masturbait et elle se sentait de plus en plus chaude, malgré elle, elle arrivait au point de jouissance… mais Léa lui dit de s’arrêter et de lécher ses doigts pour les nettoyer. Lorsque Mme Besson commence à jouir, Léa le senti, elle jouait avec la frustration de Mme Besson, Léa est très douée. — Ne touchez plus à rien ! dit Léa en remettant la voiture en route. Mme Besson était là, torse nu, sa chatte exposée, bien visible et son corps couvert de chocolat… Elle avait léché ses doigts, pour les nettoyer, comme lui avait ordonné son étudiante et le goût du chocolat et de sa jouissance, la troublait. Elle était heureuse de n’avoir pas joui devant Léa, cela l’aurait tellement humiliée, mais son sexe était en feu, sa chatte voulait être satisfaite ! Elle voulait du sexe. Elles prirent le chemin de la maison de Mme Besson. La maison était un peu en retrait de la route, le jardin était derrière, mais avec un jardinet sur le devant. Il y avait peu de trafic dans la rue. — Ramasse toutes ces ordures et montre-moi la salle de bains, tu es un tas de merde Mme Besson ! CHAPITRE 03 Léa sortit de la voiture et sans jeter un regard sur la prof humiliée entra dans la maison, laissant Mme Besson, la poitrine à l’air, la jupe retroussée et le corps couvert de chocolat… Léa, lui avait interdit de salir ses vêtements, aussi elle ne pouvait pas s’habiller ! Léa était à la maison et l’attendait. Mme Besson ne voulait pas la contrarier encore, elle regarda autour d’elle, il n’y avait personne dans la rue, elle pouvait tenter de courir nue vers la maison. Elle ouvrit la portière et se précipita sous le porche, elle essaya d’ouvrir la porte. Fermée ! Mme Besson, sonna et frappa à la porte, un vent glacial courait sur son corps nu, elle commença à paniquer. — S’il vous plait Mlle Fournier, laissez-moi entrer ! Léa se tenait derrière la porte et quand, après dix minutes, elle l’ouvrit enfin… Flash — Tu as pris tes bagages Mme Besson ? Passe par la porte de service, par-derrière ! Et elle lui claqua la porte au nez. Bon sang pensa Mme Besson, elle courut quasiment nue vers la voiture. Elle prit son sac, ses achats, une voiture s’approchait, de justesse elle put atteindre la porte de service avec ses bras surchargés. La porte était ouverte et elle trouva Léa installée dans la cuisine. — Léa, je ne veux plus que vous preniez de photos ! Léa la gifla magistralement, — Combien de fois, faudra-t-il que je te dise, d’appeler ta supérieure par son nom de famille ! Et je n’ai rien à faire de ce que tu peux vouloir ! — Maintenant dépose ces affaires dans la chambre et viens me rejoindre dans la salle de bains et vite fait ! Mme Besson courut dans l’escalier jusqu’à sa chambre, déposa ses vêtements sur le lit et rejoignit Léa dans la salle de bains. Là coulait déjà une eau chaude… — Déshabille-toi, mon animal et prend une douche rapide. Laisse la porte ouverte ! Mme Besson enleva sa jupe, son chemisier et ses chaussures et se glissa avec délice sous l’eau. Léa s’approcha d’elle, baissa la puissance du jet, démonta le pommeau de douche, lui demanda d’écarter largement les jambes, puis fit remonter l’embout du tuyau verticalement entre les cuisses pour nettoyer ses orifices, jusqu’à pénétrer le vagin, puis aussi l’anus ! Le plaisir de sentir propre était loin de compenser l’humiliation éprouvée d’être ainsi traitée. Puis, après le nettoyage des trous de Mme Besson, Léa lui dit, — Savonne plus fort ta poitrine Mme Besson ! Mme Besson rougit et se savonna encore plus fort, insistant sur ses seins. Flash ! — Maintenant, assurez-toi que ta chatte est enfin propre ! Les mains de Mme Besson savonnèrent son pubis en insistant sur le vagin. Elle passa une main dans son sexe pour s’assurer d’avoir bien enlevé tout le savon. Flash ! Une sorte de choc électrique la parcourut lorsqu’elle effleura son clitoris. Qu’est-ce qui m’arrive, je deviens folle ! pensa-t-elle en retirant vite son doigt de sa chatte bien baveuse. Léa sourit et ordonna à la prof de sortir de la douche. — Lubrifie-toi le cul et met ce Plug anal, — Maintenant assied-toi sur le lavabo, Mme Besson s’assied sur le lavabo, en se demanda pourquoi. — Écarte tes cuisses, aussi grand que tu peux, Mme Besson fut choquée, mais elle écarta les cuisses. Mme Besson j’ai dit ouvre tes cuisses, le plus grand possible ! Écarte plus… Ouvre-toi plus chienne ! La voix était calme, directe, péremptoire… — Tu veux goûter du martinet ? Bien sûr, Mme Besson obéit immédiatement et en tremblant écarta au plus grand les cuisses… — Garde cette pose… Flash Léa posa une chaise entre les jambes ouverte de Mme Besson et s’approcha, un rasoir et une crème à raser à la main… — S’il vous plait Mme Fournier, ne faites pas cela, bafouilla, la pauvre prof. — Silence Mme Besson, dit Léa en couvrant avec insistance la jolie chatte de Mme Besson avec de la crème à raser. Cette caresse la fit tressaillir, elle n’avait jamais connu l’attouchement d’une autre femme. C’était si différent de ceux de son mari. Mme Besson sentit de nouveau ses tétons se dresser et une étrange sensation délicieuse l’envahir pendant que Léa, faisait courir le rasoir sur son pubis. Léa passa et repassa le rasoir sur le sexe de sa prof et peu à peu, au fur et à mesure que la mousse disparaissait, Mme Besson distingua ses lèvres vaginales complètement nues. Puis ce fut au tour du pubis. Léa lui demande de se retourner pour lui enlever le plug et c’est le rasage au tour de la raie entre les fesses. Lorsque tous les poils eurent été coupés, Léa passa une lingette tiède sur le sexe de Mme Besson et lui renfonça le plug. Mme Besson se regarde, elle est toute lisse. Léa s’approche d’elle et lui passa la main entre les cuisses, tout en lui caressant le clitoris Léa remarque que Mme Besson est fendue très haut. Mme Besson frémit sous la caresse… Que m’arrive-t-il, suis-je folle ? Léa se recula et lui dit, — Sourire Mme Besson, Flash ! — Ouvre ta chatte, écarte tes lèvres, Mme Besson savait qu’elle n’avait pas le choix et avec ses doigts ouvrit son sexe comme le lui demandait son étudiante. En fait, elle était surprise de désirer d’être ainsi offerte. Flash ! — Mme Besson, ta chatte coule… dit Léa en lui montrant la mouille qui s’écoulait du sexe rasé de sa prof. La mouille faisait briller les lèvres. Léa tendit un miroir à sa prof humiliée. — Regarde bien Mme Besson. Mme Besson regarda et vit son sexe rasé et étouffa un sanglot d’humiliation. Son corps lui semblait étranger et ne lui appartenait plus. — À partir de maintenant, en permanence, c’est un ordre, tu dois avoir le sexe rasé et bien épilé. Compris ? — Oui, Mlle Fournier. — Maintenant, assied-toi ici ! dit Léa en lui désignant une chaise. — Vous n’allez pas me tondre les cheveux, cria la prof paniquée ! — Bien sûr que non, je vais juste te faire une coupe. J’adore la coiffure et je pense que tu seras bien plus sexy avec les cheveux courts. Nouveau statut, nouvelle présentation ! Léa tailla les cheveux de Mme Besson… Léa lui ordonna de se regarder dans la glace, avec ses cheveux courts, elle semblait dix ans plus jeune et son sexe rasé lui donnait l’air d’une femelle très ”chaude”, elle ne se reconnaissait plus ! Elle ne pouvait en croire ses yeux ! Flash ! Léa lui tendit le collier. — Met cela Mme Besson, tu dois le garder toujours avec toi, lorsque tu seras seule tu devras le porter et si tu n’es pas seule, garde le dans ton sac, au cas où je t’ordonnerai de le porter ! — Oui Mlle Fournier, répondit la prof confuse en mettant le collier autour de son cou. Flash ! Léa attacha la laisse au collier. — Faisons le tour de la maison, Mme Besson — Oui Mlle Fournier. Répondit la prof en laisse, en se levant pour aller à la porte. Elle fut rapidement stoppée, par un coup sec sur le collier. — À genoux, animal, Mme Besson se jeta à genoux. — Maintenant, faisons la visite. La prof humiliée commença à se traîner de la chambre en chambre, au bout d’une laisse, tenue par son étudiante… Elle n’aurait jamais dû faire ces fameuses photos… — Commençons par la cave, nous reviendrons ici après, ordonna Léa qui contrôlait la situation. La descente fut pénible pour la pauvre prof. La cave était un endroit froid et désagréable. Mme Besson nue, les genoux sur le béton, tremblait de froid. Léa étudia, l’endroit et pensa à une utilisation ultérieure. Quand elle eut fini, elle ordonna à Mme Besson de remonter pour terminer la visite. Elle suivait Léa sur le côté et Léa souriante admirait la poitrine qui dansait et les fesses qui se tordaient en montant l’escalier. — Tu as un beau cul et tu sais bien le mettre en mouvement ! Tu vas avoir des admirateurs mon animal, Mme Besson aurait voulu être invisible, elle ne s’était jamais sentie aussi gênée de toute sa vie. Tout allait de mal en pis depuis qu’elle obéissait aux ordres de son élève qui la tenait sous son contrôle. — Allons, voir les chambres. Mme Besson rampa jusqu’au premier étage, toujours tenue en laisse par son élève. Elle sentait le regard de Léa sur ses fesses, ses seins qui ballotaient avec ses tétons dressés… Léa examina les chambres d’amis, celle de Chloé, la fille de Mme Besson et ordonna d’aller dans celle de Mme Besson. — Je suis curieuse de voir tes vêtements. CHAPITRE 04 En entrant dans la chambre, Léa ordonna à sa prof, vêtue d’un seul collier de chien, de rester à genoux au milieu de la pièce et de mettre les mains sur la tête. Léa ouvrit les armoires, les tiroirs, elle ne fit pas attention aux vêtements de monsieur Besson, mais elle trouva les sous-vêtements de Mme Besson, ses slips, ses soutient gorges. Ils furent tous jeté au milieu de la pièce. Mme Besson était embarrassée de voir un étranger fouiller dans ses affaires intimes. Léa s’intéressa à l’autre tiroir qui contenait des bas, des porte-jarretelles et des collants. Les collants furent jetés sur le sol, le reste fut remis en place dans l’armoire. Le dernier tiroir, contenait des chemises de nuits et des déshabillés, ils furent tous jetés sur le sol, excepté un petit ensemble qui lui avait été offert par son mari. Léa, lui ordonna de le mettre. Dans cette tenue, elle semblait encore plus nue. Flash ! Léa lui ordonna de marcher autour de la pièce. C’était un petit ensemble en dentelle noire, le haut était très moulant et contenait avec peine son 95 C, ses tétons pointaient au travers du fin tissus. L’ensemble s’arrêtait juste au-dessus de sa chatte épilée. Le string, très serré s’enfonçait dans ses fesses, ou il disparaissait, donnant encore plus de galbe à ses fesses hautes. Le devant dans un tissu presque arachnéen, moulait sa chatte et ne laissait rien ignorer de ses lèvres épilée… Léa s’intéressa ensuite aux chaussures de sa pauvre prof, elle écarta ballerines et autres chaussures, pour s’intéresser à une paire de sandales, à talon de 10 cm… Ainsi qu’à des chaussures de soirée noire au talon vertigineux… — Dites-moi, Mme Fournier ces talons ? — Je ne les ai mises qu’une fois, c’était pour Halloween, mais elles m’ont fait si mal aux pieds que je ne les plus jamais remises, dit la prof, à genoux sur le sol. Léa lui ordonna de se lever et de les mettre. Son étudiante, tourna autour d’elle en la regardant attentivement. — Elles sont très jolies, elles te font de jolies et grandes jambes et vos fesses sont encore plus rebondies, tentantes, marche un peu. Mme Besson se mit à marcher en faisant attention, elle se sentait comme une prostituée, elle essayait de faire attention, mais ses fesses se balançaient en un mouvement dansant, sa poitrine nue ballottait à chaque pas. Ses pieds la firent souffrir immédiatement et pour sa grande honte, elle sentait que son sexe rasé qui commençait à mouiller… Mais que m’arrive-t-il ? se demandait-elle. Qu’est ce qui se passe, je suis folle ! — Mlle Fournier, je crois que je ne pourrais pas marcher avec ces chaussures… — Ne t’inquiète pas, tu vas prendre l’habitude. Il ne restait sur le lit que quelques jupes et chemisiers ainsi que son vibromasseur et un livre sexy qu’elle lisait. Personne n’avait jamais vu ce vibromasseur, personne, même pas son mari. — Dites-moi Mme Besson, tu t’en sers souvent… ? — Uniquement lorsque mon mari est absent. — Et encore ? — Presque toutes les nuits, dit la pauvre Mme Besson cramoisie… — Allez sur le lit et montrez-moi comment tu t’en sers. Les mains de Mme Besson refusaient de lui obéir, elle avait froid et tremblait. C’en était trop ! — S’il vous plait, Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela… —Tu ne veux pas, ou tu ne peux pas ? Tu le fais, ou bien je pars d’ici, avec les photos… les anciennes… et les nouvelles… Tout le monde connaitra tes petits secrets ! Mme Besson en tremblant saisit le gode et les cuisses serrées, le posa sur le sexe. — Allons Mme Besson, ouvre moi ces jambes, je veux te voir en action, je suis sûre que tu sais y faire… Mme Besson essaya de se concentrer, depuis que son mari était en voyage, ce vibrateur était son unique moyen de plaisir. Elle écarta les jambes et s’introduisit le gode, dans son intimité si nue… Flash ! La pauvre prof qui se masturbait comprit en un instant que son destin était scellé ! Elle commença à faire entrer et sortir le sexe de plastique, une onde de plaisir la parcourue. Avec son autre main, elle se caressait la poitrine, ses tétons étaient en érection… Elle les pinçait… Flash ! Son sexe rasé lui semblait réagir différemment, les sensations étaient plus fortes. Sa respiration se fit plus intense au fur et à mesure qu’elle se masturbait plus fort, que le gode entrait de plus en plus dans sa chatte. Flash ! Son corps se couvrit de transpiration, elle oubliait tout, rien ne comptait que la jouissance que lui apportait ce sexe de plastique. Plus, plus fort… Flash ! Soudain Léa se leva et arracha le sexe factice de la chatte détrempée de sa prof. — Quoiiii ? — Mme Besson, je veux que tu comprennes vraiment la situation, tu êtes désormais totalement sous mon contrôle, lorsque tu manges, lorsque tu jouis, lorsque tu vas aux toilettes, tout ce que tu porteras, tout ce que tu feras, tout est sous mon contrôle ! Ta vie entière est sous mon contrôle ! — Avec ces photos, je suis la propriétaire de ton corps, mais aussi ton âme ! Tu me comprends bien ? Mme Besson comprit soudain que sa vie était ruinée, tout cela à cause de ces stupides photos, elle ne s’appartenait plus ! — Allons, ne sois pas en peine, Mme Besson. Aussi longtemps que tu feras ce que je t’ordonnerai, tout ira bien entre nous, évidemment si tu ne m’obéis pas, je serais contrainte de sévir… — Je suis à vous Mlle Fournier, je suis votre propriété, votre pute, votre salope, mais ne laissez personne voir ces photos, pleurnicha la prof honteuse et vaincue. — Maintenant Mme Besson, je veux que tu nettoies la salle de bains et que tu ailles mettre tous ces vêtements dans la cave, puis tu me feras à manger. Tu ne mettras qu’un seul couvert et tu porteras tes talons en permanence. — Oui Mlle Fournier. Encore une chose, Mme Besson n’essaye pas de te toucher, jamais, du moins sans ma permission. Tu as compris je l’espère. Si tu me désobéis, en quoique ce soit, tu seras fouettée ! Maintenant en route ! dit Léa en poussant Mme Besson hors de la chambre. CHAPITRE 05 Léa descendit dans le salon et s’installa confortablement en allumant la télévision. Mme Besson, nettoya la salle de bains de ses cheveux et de ses poils pubiens. Elle était frustrée de n’avoir pas pu terminer ce qu’elle avait commencé, son sexe lui semblait en feu, mais elle ne voulait pas prendre le risque de contrarier Léa. Léa ne montrait aucun signe de tendresse ou de compassion et elle ne voulait surtout pas la mettre en colère. Ses pieds commençaient vraiment à lui faire très mal avec ces hauts talons ridicules, mais elle savait qu’elle devait les porter. Elle alla dans la chambre et ramassa tous ses vêtements jetés sur le sol et les descendit à la cave, elle dut faire trois voyages, et comme elle n’avait rien pour les ranger, elle les posa à même le sol. — Mme Besson, je commence à avoir très faim ! Après tous ces voyages et avec ces talons de 12 cm, les pieds de Mme Besson étaient en feu, mais elle se précipita vers la cuisine, Que pouvait bien vouloir manger Léa, se demanda Mme Besson ? Tous les jeunes aiment les hamburgers et les frites… Elle prépara deux hamburgers, des frites et se rendit compte qu’elle avait faim, elle aussi. Elle mit la table et se rappela que Léa lui avait dit d mettre un seul couvert. Je ne mange, pas ? Lorsque le dîner fut prêt, elle appela Léa. — Mlle Fournier, votre dîner est prêt. Lorsque Léa entra dans la cuisine, elle vit celle qui avait été une prof respectable, désormais nue, en hauts talons, avec un collier de chien autour du cou… Cela la fit sourire. — Mets-toi devant moi, à genoux, les mains sur la tête pendant que je mange, La pauvre prof, affamée, assoiffée se mit à genoux devant son élève et la regarda manger toutes ces choses délicieuses. — Tu as soif Mme Besson ? Tiens, Léa verse le contenu d’un verre dans un grand plat et dit à Mme Besson de laper le liquide comme un animal. — Donne-moi un coca, Mme Besson. — Je n’ai que du Pepsi, Mlle Fournier. — Désormais, tu achèteras du Coca ! — Oui Mlle Fournier. — C’est très bon, veux-tu des frites ? — Oui, s’il vous plait Mlle Fournier. — Ouvre tes jambes Mme Besson, La prof, confuse et honteuse, écarta les cuisses. Léa prit une frite et la fit tourner autour, puis dans la chatte de Mme Besson… et la porta à hauteur de la bouche de sa prof. Mme Besson était morte de honte de sentir la caresse intime, qu’elle avait supportée de la part de son élève. — On ouvre grand ! Maintenant mâche ! La prof essaya de ne pas recracher pendant qu’elle mâchait la frite, trempée de sa mouille… — Maintenant Mme Besson, c’est à toi de continuer. Dans un état second, Mme Besson, saisit une frite, la trempa dans sa chatte humide. Flash ! Et la porta à sa bouche. Flash ! — Tu veux du hamburger, Mme Besson ? La pauvre prof, défaite, secoua la tête. — Non Mlle Fournier, — On le fait quand, même ! dit Léa en lui tendant un gros morceau de hamburger. — Et on trempe avant, bien entendu. — Mme Besson obéit mais elle était vraiment sur le point de vomir à cause du gout… mais aussi de l’humiliation de devoir faire cette chose horrible. — Nettoie la cuisine et viens me rejoindre avec un mètre, du papier et un crayon. Et ne traîne pas ! Mme Besson nettoya la cuisine et rejoignit Léa dans le salon. — Tiens-toi droite devant moi, tu baisses la tête avec tes mains dans le dos. Elle prit les mesures de la prof, nue devant elle. Elle les nota soigneusement. Poitrine, taille, et aussi longueur des jambes. Elle prit la mesure d’un point que Mme Besson estima à trente cm au-dessus de ses genoux. — Nous disons donc, trente cm… Désormais, tu ne porteras que des jupes arrivant trente centimètres au-dessus de tes genoux. Demain tu t’occuperas des robes et des jupes que j’ai posées sur la chaise et tu ferras les ourlets, d’autre part, tu couperas les trois premiers boutons de tes chemisiers. — Oui, Mlle Fournier. — Dites-moi, Mme Besson, as-tu aimé ton dîner ? — Non, Mlle Fournier, je ne l’ai pas aimé. — Dommage, tu devras apprendre à aimer ce goût. Est-ce que ton mari est un bon amant ? — Oui Mlle Fournier. Mme Besson était vraiment embarrassée de devoir parler de ses relations sexuelles avec une étudiante. — Est-ce qu’il t’encule ? — Absolument pas, je n’ai jamais eu ce type de relations. Léa sourit. — Est-ce que tu aimes le sexe ? La prof, nue devant son étudiante toute habillée, ne pouvait croire qu’elle répondait à ces questions. — Oui Mlle Fournier. — As-tu déjà sucé le sexe de ton mari ? Mari devint pivoine. — Oui Mlle Fournier. — Tu as aimé, cela ? — Oui Mlle Fournier. — Tu as avalé son sperme ? — Non Mlle Fournier, mais s’il vous plait, ne me posez plus ce genre de questions. — As-tu déjà trompé ton mari ? Avant ton mariage, combien as-tu eu d’amants ? La prof, nue devant son élève, dont la chatte était maintenant très mouillée, compta mentalement. — Trois — Et tu as sucé leur sexe? — Oui, mais je n’aimais pas, ils voulaient et je voulais leur faire plaisir. L’interrogatoire dura plus d’une heure. — Je suis très fatiguée, Mme Besson et nous avons à faire demain, nous allons élargir vos expériences. Venez en haut. En entrant dans la chambre Mme Besson remarqua les choses qu’elles avaient achetées. Léa prit la barre métallique et y glissa les cordes et Léa lui ordonna de se mettre à genoux au milieu de la pièce. Elle attacha chaque poignet de Mme Besson à ses chevilles et glissa la barre de fer au milieu. Cela eut pour effet de faire tomber Mme Besson, face contre terre, les jambes grandes écartées, les fesses en l’air. Maintenant Mme Besson, cette position, à deux avantages, elle t’empêchera de te tripoter cette nuit. Je vais te fouetter sur les fesses pour te rappeler que tu dois me respecter, que tu me dois reconnaissance, dévouement en toutes circonstances. obéir sans poser de questions ! Léa prit le fouet. Smack — Un, — Aie, s’il vous plait Mlle Fournier, NON, — Deux, Ses fesses étaient en feu, ses larmes coulaient… Léa souriait en voyant les fesses de sa prof rougir. — Sept. Cela suffira pour ce soir, Mme Besson, remercie-moi de t’apprendre le respect. Pour souligner la hiérarchie qui s’impose, tu dormiras au pied du lit… Léa se déshabille et se glisse dans le lit, laissant sa prof, attachée et pleurant sur la moquette. — Bonne nuit, Mme Besson. Et elle tend sa main et Mme Besson lèche consciencieusement la main qui la martyrise. Elle n’est plus qu’une pauvre prof brisée, les fesses en feu. CHAPITRE 06 Léa fut réveillée vers 8h30 par les gémissements de son enseignante, les yeux rouges et le visage marqué par les larmes. Gisant au sol près du lit, les bras et jambes toujours entravées et écartées par les liens et les menottes. — Qu’est-ce qui ne va pas, Mme Besson ? Mme Besson leva les yeux et vit Léa nue devant elle, qu’elle était belle, c’était une très jolie jeune femme, la poitrine ronde et les cuisses longues, fuselées, le sexe appelant la caresse. — Je n’en peux plus Léa. C’est trop pour moi, tout le monde pourra comprendre pourquoi j’ai fait ces photos. — Bien Mme Besson, alors regardons ces photos. Elle se leva, prit son livre et l’ouvrit devant Mme Besson. — Maintenant, tu vas me dire, comment tu pourras les expliquer. Elle lui mit sous le nez, la photo de Mme Besson en train de masturber son sexe rasé et sur son visage se lisait la jouissance… — Et celle-ci ? Elle lui présenta les pires photos et Mme Besson comprit qu’elle était vaincue et se mit à pleurer. Maintenant Mme Besson, que penses-tu pouvoir faire ? — S’il te plaît Léa, ne montre pas ces photos, je ferai tout ce que tu voudras. — C’est bien, mais je constate que tu as oublié les règles minimales de respect ordonnées. Comme les mains derrière le dos lorsque je te parle, les yeux toujours baissés, etc… Je crois devoir te rafraîchir la mémoire… Tu seras fouettée, Léa saisit violemment Mme Besson par les cheveux et lui mit la tête contre la moquette, les fesses tendues en l’air, les cuisses écartées. Tu es mignonne présentée comme cela, Tu as un beau cul, le sais-tu ? — S’il vous plaît, Mlle Fournier, ne me battez pas. — Ecarte tes cuisses, — Je veux bien te croire mais ne penses-tu pas que tu devrais être punie pour ce manquement ? Mme Besson ne savait que dire, elle voulait bien faire plaisir à son étudiante, mais ne voulait pas être encore frappée. D’une toute petite voix, elle dit, — Oui Mlle Fournier. — Tu n’as pas mérité une punition ? — Si Mlle Fournier, — Si quoi, salope ! — J’ai …mérité une punition Mlle Fournier. Bien, alors demande-moi de te flageller les fesses avec ce martinet afin de t’enseigner le respect. — la prof sanglotait… — S’il vous plaît Mlle Fournier, fouettez-moi, je dois apprendre à vous respecter, pleurnicha la pauvre prof. Léa avait le martinet en main et commença la flagellation tout le devant du corps. Les lanières s’abattaient sur son ventre, ses cuisses, ses seins et même parfois atteignaient des points extrêmement sensibles entre les cuisses. Cette correction faisait un mal de chien et rapidement, Mme Besson hurla, pleura, supplia Léa d’arrêter… en pure perte. La correction dura. Et quand elle cessa, elle demanda à Mme Besson, sans élever la voix, — Tu oublieras encore ma petite pute ? Veux-tu que je continue à la cravache sur tes mamelles ? — Oh non, par pitié, bégaya Mme Besson entre deux sanglots, ne me battez plus, je serai attentive, je ferai tout ce que vous voudrez, pleura la prof en larmes. Ses fesses étaient en feu. — S’il vous plaît Mlle Fournier, arrêtez. Léa retourna Mme Besson, la fit assoir, puis elle plongea un doigt dans le sexe ouvert de Mme Besson et le ressortit couvert de mouille… — Qu’est-ce que c’est que cela Mme Besson, tu aimes te faire battre demanda sa jeune élève ? Mme Besson ne sut que répondre, elle était si honteuse. Léa la détacha du pied du lit, lui enleva ses liens et la remit debout. — Maintenant Mme Besson, pendant que je vais prendre une douche, je veux que tu me prépares le petit déjeuner avec des toasts. Tu ne te touche pas, tu restes nue et tu mets tes talons ! ordonna Léa, en claquant les fesses rouges de Mme Besson. — S’il vous plaît, je voudrai aller aux toilettes Mlle Fournier. — Allez, prépare mes toasts. Si tu es sage, je t’autoriserai peut-être à faire pipi, après. Mme Besson descendit à la cuisine et Léa prit une longue douche et descendit à son tour, seulement vêtue d’un long débardeur. En entrant dans la cuisine, elle trouva Mme Besson, assise à table, en train de boire une tasse de café, — Qui t’as autorisée à t’asseoir ? Qui t’a donné la permission de boire un café ? Mme Besson, sauta sur ses jambes. — J’avais oublié, excusez-moi, Mlle Fournier. — Jette ce café et allonge-toi sur la table avec tes nichons à l’air. Immédiatement ! Smash ! Gifle, — Écarte grand tes cuisses. Mme Besson fit ce que Léa lui ordonnait mais cette position, avec ses talons de 12 cm, lui faisait atrocement mal aux jambes. Maintenant, reste comme cela, pendant que je bois mon café et que je réfléchisse à la façon de te faire enfin comprendre… Je t’ai dit que tu devais me demander ma permission en toute chose ! — Oui Mlle Fournier, j’avais oublié, Mlle Fournier. Léa s’assit et bu tranquillement son café et mangea les toasts préparés par Mme Besson. Dans cette position, Mme Besson commençait à avoir vraiment très mal, ses jambes la torturaient. Et sa vessie, son sexe ouvert… elle devait aller aux toilettes ! — Mlle Fournier, puis-je utiliser la salle de bains ? — Du calme, je prends mon petit déjeuner, encore une marque de ton manque de respect et c’est le fouet. Tu oses m’interrompre pendant que je déjeune… Mme Besson essaya de se contrôler, de penser à autre chose… Léa finit tranquillement son déjeuner et commença à marcher dans la cuisine. Flash ! Mme Besson ferma les yeux en imaginant ce qu’elle montrait sur cette photo. Elle entendit Léa ouvrir un tiroir, Smack ! La cuillère de bois s’abattit sur les fesses de Mme Besson qui sursauta et quitta sa position, pour protéger ses fesses. — Remets tes mains en place, tu dois apprendre à obéir et à être respectueuse. Smack ! — Je suis désolée, Mlle Fournier. Smack ! Sa deuxième correction en début de journée Mme Besson était effondrée, par la douleur, — Tu veux toujours utiliser les toilettes, Mme Besson ? — Oui, je le veux Mlle Fournier, Répondit la pauvre prof en larmes, elle espérait ne pas manquer de respect à son élève. Léa prit la laisse et l’accrocha au collier de sa prof. Elle se dirigea, vers la porte de derrière. — Allons faire ce que me demande mon animal, vas faire tes besoins… Mme Besson ne put croire qu’elle allait uriner dans le jardin et devant son élève ! Léa amena la prof écarlate au milieu de la pelouse et dit, — Faits tout ce que tu as à faire, c’est ta dernière possibilité avant que nous partions faire des courses. — Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela, ici, dit Mme Besson éperdue de honte. Mais elle n’avait pas été aux toilettes depuis hier soir et aujourd’hui cela lui était interdit. Elle en avait désespérément besoin. — Bien alors nous attendrons ce soir… Nous devons y aller. — Attendez ! Vaincue, — Oui, — Ne me corrigez plus Mlle Fournier, je vais le faire. — Alors vas-y, nous n’avons pas toute la journée ! Mme Besson essaya d’être gracieuse, écarta les jambes et commença à uriner devant son élève… sur la pelouse, sa propre pelouse, devant son élève, une élève de 18 ans… Ayant satisfait ses besoins, la prof humiliée mais soulagée dit, — J’ai terminé, Mlle Fournier. — Viens faire un câlin à ta maitresse mon animal et me remercier d’être si attentive à tes désirs, Mme Besson nue, avec son collier et la laisse pendante, roulant des fesses, vint se coller et frotter son sexe au corps de Léa qui lui caressa la croupe, comme on récompense une bête obéissante. Léa glissa sa jambe entre les cuisses de la prof pour venir en contact du sexe gonflé de Mme Besson. Mme Besson se frottait comme une chienne contre cette jambe. Emportée dans un tourbillon de plaisir Mme Besson pensait que Léa ne dira rien, mais elle savait aussi qu’il lui faut attendre l’ordre de sa maitresse. La réaction de Léa pouvait être imprévisible et violente. Mme Besson devait attendre avant de jouir. Léa devine tout, comme si elle détenait le pouvoir de lire dans les pensées de la prof. — Salope ! Tu meurs d’envie de te branler comme une chienne, hein ?… — Oui Mlle Fournier, ― Tu n’es pas là pour te branler petite salope, mais pour me servir. — Supplie-moi, salope ! La voix de Mme Besson est presque inaudible, tellement son émotion est intense, — Je vous en supplie Mlle Fournier, autorisez-moi à me branler sur votre cuisse ? Cette caresse qui ne peut aller jusqu’au bout devient un supplice. — Je peux Mlle Fournier ? Je vous en prie… Léa fait non de la tête, un petit sourire au coin des lèvres. — Continue de te branler comme ça, mais surtout, tu ne jouis pas pétasse ! Le plaisir est pour moi, pas pour toi ! Léa regrettait de n’avoir eu qu’une cuillère pour battre sa prof, mais elle savait que les coups appliqués sur le sexe auraient donné encore plus d’envies à sa prof… La menace d’une punition la rendait obéissante. Flash ! — Alors allons-y, nous allons faire bon usage de ta carte de crédit, Mme Besson. Mais il va falloir t’habiller car la plupart de tes vêtements ont été mis à la décharge. Tenu en laisse, elle entraîna sa prof dans la maison. — Prends une douche et rejoins-moi dans notre chambre et ne joue surtout pas avec ta chatte déjà bien humide ! Après une douche rapide, Mme Besson rejoignit Léa qu’elle trouva en jean et petit chemisier. — Assied toi ici, nous allons nous occuper de tes cheveux et de ton maquillage. Léa la coiffa et la maquilla beaucoup, dans un style qui lui donnait l’air d’une putain. Se regardant dans la glace, Mme Besson eut du mal à se reconnaître. — Maintenant, nous allons t’habiller, met ceci ! dit Léa, en lui jetant le porte jarretelle noire et des bas fumés. — Puis-je m’asseoir sur le lit. Mlle Fournier ? demanda Mme Besson, craignant de se faire encore punir. — Bien sûr, dit Léa en la regardant mettre ses bas. Flash ! — Met tes talons ! Nous veillerons à t’en acheter d’autres. Mme Besson attacha ses bas et glissa ses pieds douloureux dans les hauts talons. Se regarda dans la glace, elle put voir une femme nue vêtue de bas et d’une porte jarretelle, sans culote, ni soutien-gorge… l’image de la dépravation, de sa honte ! — Mme Besson, puisque tu n’as pas pu reprendre les ourlets de tes robes, il va falloir en acheter d’autres. En attendant, allons dans la chambre de Chloé. — Mlle Fournier, les affaires de Chloé sont bien trop petites pour moi. — Je sais madame Besson, mais tu portes des vêtements bien trop amples ! Léa entraîna Mme Besson dans la chambre de Chloé et attrapa une petite jupe vraiment très courte qui arrivait à peine à hauteur de ses bas et un petit top qui moulait sa poitrine. Ses tétons se dessinaient et marquaient le tissu. Flash ! C’était une tenue de salope, de putain… Se regardant dans le miroir, Mme Besson savait qu’elle allait devoir porter cette tenue infâme et perdre encore plus de sa dignité… Bien entendu, elle ne fut pas autorisée à mettre un slip ou un soutien-gorge. Léa lui mit ses lunettes de soleil, elle n’était plus reconnaissable, au moins personne ne pourrait reconnaître la digne Mme Besson… — Met ton collier et sa laisse dans ton sac à main et allons-y.
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Soumz
J’adore ! À quand la suite, Madame ?
J'aime 23/08/25
eurekat777
Bonsoir Madame... Toutes mes sincères Félicitations pour votre Qualité Exceptionnelle d'écriture et d'Esprit quant à l'intégralité de VOS MOTS... Il est nécessaire de Les déguster - un Par un - afin de pouvoir Les mériter ET également îmaginer parvenir à mériter un niveau digne de votre patience jusqu'à la prochaine étape que VOUS SEULE jugerez utile de publier lorsque nos/mes humbles et respectueux compliments mériteront ensuite j'espère de bénéficier de la suite de votre récit... Bien respectueusement Vôtre obligé...
J'aime 06/09/25
Toy
Bonjour à toutes et tous. Merci de m'accepter parmi vous.
Diaper35370
a partagé une photo
merci de m acceuillir sur ec hroupe ,mo soumsi en Bretagne dpt 35
Scalfone
Sur Cahors et sa région, suis à la recherche de mon alter égo. Bi actif/passif bien déluré-e open mind mais pas d'uro ni scato. Pour jeux medicaux et plaisirs partagés. A bientôt
###BANNI###Minom
Bonjour je cherche une dominatrice pour relation sérieuse
soumise frédérique
soumise frédérique
Bonsoir Maîtresse Je me permets de vouloir vous retrouver de ma soumission etre disponible
Bonjour Mademoiselle, je suis Guillaume 36 ans de Lille et je cherche une Soumise pour vivre une relation D/s. Si vous voulez discuter avec moi...
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AldaricSlave
Intéressant
J'aime 15/06/25
Hugin
Bonjour à vous et bonne chance pour votre recherche
J'aime 16/06/25
Vous avez ce désir de vous abandonner, ce désir d’obéissance afin d’étancher votre besoin de soumission, esclave pour votre plaisir, Vous vous reconnaissez ? Alors dialoguons. .:.
###BANNI###Maîtresse Luna
Suite Elle se flagella mentalement pour sa lubricité mais elle en voulait plus. Plus rien n'existait au monde sinon la recherche et la satisfaction de ce plaisir intense. Aussi ne réagit-elle pas lorsque son voisin introduisit deux doigts sous la culotte en coton et les promena le long de la fente baveuse. Solange haletait. Les yeux fermés, la nuque appuyée sur son dossier, la jeune fille s'abandonnait totalement au plaisir qui émanait de son bas-ventre. Après avoir vérifié que Patrick se trouvait toujours dans les bras de Morphée, elle avança son bassin au bord du siège et ne protesta pas lorsque le paysan se saisit de la culotte pour la faire glisser le long de ses jambes. Elle l'aida même en soulevant le bassin. A peine la culotte avait-elle atterri sur le lino que Solange écartait les cuisses autant que possible pour lui donner accès à son sexe en feu. L'homme reprit sa caresse avec dextérité. Il fit glisser ses doigts le long des grandes lèvres plusieurs fois. Puis, il mouilla son majeur et l'introduisit dans ce papillon de chair pour répéter le mouvement vertical avant de tourner sur le petit bouton de chair qui lui procurait tant de plaisir, arrachant un gémissement à la jeune fille. Que cet homme connaissait bien le corps de la femme, pensa Solange. Après plusieurs rapports, Patrick n'avait pas encore trouvé le clitoris. Cela lui donna encore plus envie de s'abandonner aux doigts de l'inconnu. Il continua son mouvement circulaire autour du clitoris et les hanches de la jeune fille commencèrent à se soulever toutes seules. Elle se laissa complètement aller au plaisir qui l'envahissait. En étouffant une plainte sans fin, elle jouit comme elle n'avait jamais joui. Ici, dans cet endroit de débauche, au milieu des déjections de la lie de l'humanité, Solange vécut le plus bel orgasme de sa vie de la main d'un inconnu qui avait l'âge de son père. Curieusement, la perversité de cette pensée décupla l'intensité de son plaisir. Elle referma ses cuisses précipitamment, Patrick venait de poser une main sur son genou. Solange réalisa qu'elle se trouvait à moitié dénudée avec les doigts de l'inconnu luisant de ses sécrétions sur son autel sacré. Elle se releva en vitesse pour remettre sa culotte et sa robe en place. Son cœur battait la chamade. Son fiancé était en train d'ouvrir les yeux. Elle respira, il n'avait rien vu. D'ailleurs, son attention était fixée sur l'écran où la Solange de cinéma suçait la verge de Mr. Finch comme si c'était un esquimau! Quelle horreur, même les animaux ne faisaient pas ça. Honteuse et envahie par la culpabilité, elle secoua son fiancé. - On s'en va. Je suis fatiguée, je veux me coucher. Patrick, la langue pâteuse, protesta: - Mais, le film n'est pas fini. - Bon, tu reste-là si tu veux, moi je rentre. Sur ce, elle se retourna, direction la sortie. En maugréant, le jeune homme se leva pour la suivre. Heureusement le paysan avait disparu. Arrivés à l'appartement, tous les deux s'assirent sur le lit avant de se déshabiller. Patrick lui fit tout à coup remarquer qu'un pigeon avait dû s'oublier sur son bel escarpin, il y avait une déjection blanchâtre sur le cuir. - Attends, je vais l'enlever. - Non! Solange comprit au visage de son fiancé qu'elle avait parlé très fort. - Excuse-moi, Chéri, je ne voulais pas te hurler dessus. Je vais à la salle-de-bain enlever cette tâche. Couche-toi. Sous la douche elle frotta son corps avec un gant de crin. Lorsqu'elle sortit de la salle-de-bain, Patrick ronflait sur son côté. Solange n'y prêta pas trop attention, trop de pensées se bousculaient dans sa tête. Submergée par les émotions, elle ressassait tous les événements de la soirée. La main du paysan entre ses jambes, sa verge dressée, Patrick se donnant du plaisir en public, son sosie, une femme de mauvaise vie,...Tous ces regards posés sur elle au restaurant et dans la rue, elle comprenait pourquoi maintenant, ils pensaient que c'était elle, cette femme dépravée. ''Mon Dieu, ils croient m'avoir vue nue!'' Comment pourrait-elle sortir dans la rue à partir de maintenant? La honte et la culpabilité la plongèrent dans d'affreux tourments jusqu'à ce qu'elle s'endorme.
###BANNI###Maîtresse Luna
1 Patrick et Solange sont jeunes, beaux et amoureux. Amis d'enfance, nés dans une petite ville de province, ils viennent de monter à Paris pour faire leurs études. Le père du jeune homme, bien que n'étant pas riche, leur loue un appartement sous les toits, dans le 9ème arrondissement de la capitale, près de la Place de Clichy. Aidés par la famille, les parents de Solange, petits notables, pourvoient au reste: la nourriture, les transports et l'argent de poche. Patrick prépare une école d'ingénieur et Solange étudie l'Histoire pour devenir enseignante. Ils se sont installés au début de ce mois d'août 1977. Ils explorent la ville tous les jours avec appréhension car leur petite cité de province ne les a pas préparés à ce tohu-bohu et cette agressivité. Pourtant, c'est le mois des congés payés, Paris s'est vidée de sa population. Mais tous ces bruits impromptus, ces véhicules qui circulent à toute allure, ces individus qui sifflent la jeune fille et lui font des propositions outrageuses leur donnent l'impression d'être des agneaux entourés de loups. En plus, il fait chaud, les deux jeunes gens transpirent sous les toits. Chez eux, la brise du soir apportait une fraîcheur bienveillante. Ici, ils étouffent, c'est pourquoi ls sortent autant que possible, dans la mesure de leurs moyens limités. Ce soir, c'est l'anniversaire de Solange, elle fête ses 19 ans. Ils ont décidé de manger au restaurant avant d'aller au cinéma. C'est la première fois car il n'y a pas de salle dans leur bourgade. Solange a revêtu sa plus belle robe, une Laura Ashley, achetée le matin avec sa marraine. La jeune fille, émerveillée par toutes ces jolies robes, avait jeté son dévolu sur un modèle qui la couvrait du cou à mi-mollet. Sa marraine, sans hésiter, lui avait déconseillé en disant qu'il faisait trop chaud pour porter une soutane. Elle l'avait alors dirigée vers une robe blanche à motif floral qui lui arrivait à mi-cuisse. - Celle-ci est parfaite, elle va très bien avec tes cheveux châtain foncé et tes yeux marrons. Solange, en l'essayant, s'était sentie un peu gênée car elle n'avait jamais porté quelque chose d'aussi léger et révélateur. Prude et timide, elle avait peur du regard des autres. ''Les gens vont penser que je suis une mauvaise fille''. Mais sa marraine avait insisté: - Regarde les clientes autour de toi, elles appartiennent à la noblesse du 6ème, à la riche bourgeoisie du 16ème, c'est la crème des beaux quartiers. Vois comme elles sont à l'aise. Crois-moi, la plupart rêverait d'avoir ta silhouette. Tu peux être fière de ton corps. N'oublie pas une chose, c'est la plus belle période de ta vie, alors profites-en. Puis, en regardant Solange de bas en haut, elle avait déclaré qu'il lui fallait une ceinture pour marquer sa taille. - Quand on est svelte comme toi, il faut se mettre en valeur. Son choix s'était vite porté sur une mince bande de cuir jaune. - Voilà, mets celle-ci, elle va très bien avec le bouton jaune des marguerites. Ne te change pas, va étrenner tout ça dehors et suis-moi, cette robe mérite des souliers adaptés. Elles avaient acheter des chaussures à talon. Oh, pas des hauts talons mais des escarpins à talons basiques moyens. Pourtant, en se regardant dans la glace, Solange avait éprouvé un choc. Devant elle, il n'y avait plus une adolescente empruntée mais une jeune fille presque adulte. Et cette adulte était beaucoup plus féminine, plus attirante. Les talons affinaient sa silhouette et allongeaient ses jambes. Marcher avait posé un challenge au début, c'était la première fois qu'elle portait des chaussures non plates. Quelques minutes plus tard, elle avait trouvé son équilibre. Sa démarche était plus chaloupée. Elle avait l'impression que son postérieur était animé d'un mouvement latéral exagéré qui ne convenait pas à une jeune fille sage. De plus, les talons et la ceinture accentuaient sa cambrure et faisaient ressortir sa poitrine, un bonnet D bien rempli. Comme si elle voulait faire passer le message qu'elle était une fille facile. Elle frissonna, une pensée salace venait de traverser son esprit: ''Avec mes fesses qui ressortent comme ça, j'ai l'air d'une chienne qui appelle le mâle pour se faire saillir''. Elle fut envahie par une brusque chaleur puis elle vit l'image de son fiancé et se fustigea pour ce qui venait de lui passer par la tête. Sans sa marraine, elle serait rentrée chez elle avec sa robe informe et ses mocassins fatigués. - Tu dois former tes chaussures à tes pieds maintenant. Je vais payer et tu continues à marcher pour t'habituer à tes escarpins. A contrecœur Solange avait fait ses premiers pas dans la rue en contemplant ses pieds. Puis, en levant les yeux, elle s'était aperçue que les gens ne la regardaient pas avec dédain mais plutôt avec envie. Avec un petit sourire satisfait, sa marraine lui dit: - Ce soir, tu seras la plus belle pour aller danser! Alors la jeune fille se redressa et se mit à marcher avec plus d'assurance. Elle ne se considérait pas comme une femme fatale, loin de là! Elle voyait juste que, grâce à cette robe et ces chaussures, le regard des gens sur elle avait changé. Elle était toujours la même, elle ne se voyait pas plus belle. Non, ce qui avait changé, c'était qu'elle se sentait plus libre. Plus besoin de se cacher sous des vêtements amples. Dans cette grande ville, personne ne la connaissait. Et si certains la jugeaient, elle ne s'en apercevrait pas; de toute façon, elle ne les verrait pas le lendemain. Elle fut tirée de ses pensées par sa marraine. - Maintenant nous allons chez le coiffeur. On dirait que tu sors du couvent avec cette queue de cheval informe. Je te verrai bien avec des vagues. Et après, on ira dans une parfumerie que je connais, il y a une très bonne maquilleuse. En rentrant chez elle, Solange se regardait dans les vitrines. Elle ne reconnaissait plus la jeune fille gauche et mal attifée qui venait de quitter sa province. Elle savait maintenant qu'elle était à sa place dans cette ville moderne et vive. Le maquillage était léger mais il mettait ses yeux en valeur. La coiffeuse avait raccourci ses cheveux et créé une ondulation qui faisait ressortir la beauté de son visage. Elle se demandait quelle serait la réaction de son fiancé en l'apercevant. La réaction fut au-delà de ses espérances. Il resta bouche bée, le cœur battant de fierté. Débarrassée de ses atours campagnards, sa fiancée personnifiait à présent la beauté et la sophistication parisienne. Lorsqu'ils sortirent le soir, il ne se rassasiait pas de l'admiration qui se peignait sur le visage des passants. Ils n'eurent pas besoin de faire la queue au restaurant, la beauté de Solange leur donna un passe-droit. Le garçon qui les conduisit à leur table lui demanda si sa femme était une actrice connue! Et le patron du restaurant leur offrit la bouteille de vin. Bienvenue dans le monde des privilégiés. En sortant de la brasserie, Solange vacilla légèrement. - Patrick, j'ai un peu trop bu. Et toi? - Euuuh, ça va mais j'ai l'impression que la rue tangue. A la vérité, il avait vidé les trois-quarts de la bouteille. Solange vit qu'il titubait. Il n'avait pas l'habitude d'ingurgiter autant de vin. Après avoir traversé un carrefour très encombré, elle s'inquiéta. - Et si on rentrait maintenant? - Ah non! On...on...euh...on na...na...on avait dit qu'on allait au...au ci...cinéma. En disant cela, il s'aperçut qu'ils se trouvaient à l'entrée d'une salle devant laquelle il passait chaque fois qu'il allait à la bibliothèque. A la différence des autres cinémas, il n'y avait pas de hall d'entrée, seulement des marches qui s'enfonçaient sous un immeuble, il n'y avait pas de fronton, il n'y avait ni affiches ni photos pour présenter les films, juste le titre en blanc sur fond rouge. Il lut à haute voix: - ''Indécences''. De quoi ça peut...peut bien parler? Solange était plus préoccupée par l'état de son fiancé que par le sens du titre. Elle se dit qu'il valait mieux qu'il soit assis devant un écran plutôt qu'en train de marcher dans ces rues pleines de danger. Aussi ne protesta-t-elle pas lorsqu'il lui dit: - A...a...allons voir. En se tenant à la rampe, il réussit à descendre sans trop de problème. En bas des marches, ils arrivèrent devant un guichet tenu par un gros bonhomme fatigué. Dès qu'il vit la jeune fille, ses yeux s'allumèrent et il posa sur elle un regard vicieux qui força Solange à tourner la tête. - Deux places, les amoureux? Patrick opina et paya sans dire un mot. Il avait bien vu le regard de convoitise du guichetier sur sa fiancée mais, dans son état d'ébriété, il n'y voyait qu'un hommage à sa beauté. Suivi de celle-ci, il se dirigea vers la salle. Après avoir poussé un battant, ils se trouvèrent plongés dans l'obscurité. Le jeune homme s'appuya sur sa dulcinée pour garder son équilibre. Solange discerna des spectateurs déjà installés, éclairés par la lumière de l'écran. Deux choses lui sautèrent aux yeux. Il n'y avait qu'une dizaine de spectateurs et ils étaient tous de sexe masculin. En plus, ils la regardaient d'une façon qui la fit frissonner. Elle n'eut pas le temps de se poser des questions, Patrick l'entrainait vers le fond de la salle dans un rang désert. Une fois assise, Solange fixa son attention sur l'écran. Le film avait déjà commencé. La scène se passait dans une cuisine. Une soubrette en uniforme essuyait le menton d'un type plutôt moche. Ce faisant, elle fit tomber une canne sur le sol. Accourut alors une femme qui semblait être la maîtresse des lieux. Le cœur de Patrick fit un bond, cette jolie brune était le portrait craché de Solange! Il se tourna vers elle. - Ca alors, tu ne m'avais pas dit que tu avais joué dans un film! C'est pour ça que le garçon croyait que tu étais une star de cinéma! Solange était fascinée. C'est vrai que cette actrice lui ressemblait beaucoup. Quant à Patrick, bluffé par la ressemblance, il envisageait sa fiancée sous un autre jour. - Elle a le même air innocent que toi, la même bouche, pleine et boudeuse, les mêmes yeux, la même coiffure. Si tu n'étais pas à côté de moi, je jurerais que tu étais rentrée dans l'écran. La patronne semblait furieuse. La bonne n'aurait pas dû accueillir son frère dans cette cuisine. Et ce type au visage narquois, ce Mr. Finch, il était séduisant dans son beau costume à rayures. Il racontait une histoire salace que Solange ne comprit pas car elle ignorait la signification du mot ''enculer''. La suite la troubla encore plus. La jolie patronne s'appelait Solange! La jeune spectatrice se tourna vers son fiancé; il avait la bouche ouverte et les yeux agrandis par la surprise. Patrick n'eut pas le temps de faire de commentaire, la situation dégénérait à l'écran, les rôles s'inversaient. La Solange du film devenait la bonniche. Elle semblait se laisser diriger par Mr. Finch. Il la fit assoir sur un canapé, à côté de lui. Il lui releva sa robe jusqu'en haut de la cuisse, découvrant des dessous très osés. La jeune fiancée n'avait jamais vu de tels dessous, des bas et un porte-jarretelle. N'était-ce pas le genre de sous-vêtements que les prostituées portaient? Elle ressentit une excitation sexuelle qui l'effraya. Elle venait de s'imaginer devant l'écran, uniquement vêtue de ces dessous obscènes, sous le regard avide des hommes présents dans la salle! Patrick, quant à lui, bandait comme jamais. Il avait l'impression qu'un autre homme que lui caressait sa fiancée, embrassait sa cuisse. Dans son état alcoolisé, il ne réfléchit pas à la perversion de cette pensée. Il banda encore plus lorsque Mr Finch déshabilla la jolie patronne. Ses dessous étaient incroyablement sexy. Il imagina que ce Don Juan était son voisin, le quadra qui vivait à côté du pavillon de ses parents. Récent divorcé, il suivait toujours Solange avec un regard malsain. Puis Mr. Finch dévoila la poitrine de sa victime. Il n'avait pas encore vu les seins de Solange mais il les imaginait semblables: pleins et fermes. Bombés même. Que cette actrice était belle! La Solange de la province n'en revenait pas. Dans quel film étaient-ils tombés? Jamais on ne montrait la nudité si crument à la télé. On ne la montrait pas du tout d'ailleurs. Cependant, elle se sentait encore plus excitée et continuait à avoir des pensées impures d'exhibition. Personne ne l'avait vue nue, ils faisaient l'amour dans le noir avec Patrick. L'idée qu'on la voit nue la perturbait. Elle aurait dû être scandalisée par ce fantasme ignoble mais c'était le contraire qui se produisait. Dans ce lieu où tout semblait permis, elle avait envie de devenir une autre. Elle attendit la suite du film avec impatience. Mr Finch avait pris Solange dans ses bras et entraînait sa partenaire à moitié dénudée dans une valse ensorcelante. Patrick faillit vomir à cause du mouvement tournant de la caméra. Sa jeune fiancée comprenait pourquoi Solange semblait passive et se laissait conduire par Mr Finch, il avait du charisme et beaucoup de charme. Elle se mit dans la peau de l'actrice et plongea son regard dans les yeux perçants du séducteur. Celui-ci se mit à embrasser les seins de la belle Solange qui se laissait toujours faire. Puis la jeune fille faillit tomber de son fauteuil, Un nouveau plan montrait une verge en train de s'enfoncer dans un vagin! On avait le droit de montrer ça? Le plan s'élargit pour dévoiler la jeune patronne allongée, nue, sur une table. Quoi, on pouvait faire l'amour sur une table? Devant d'autres personnes? Même si on ne le voyait pas, cela devait être Mr. Finch dont le sexe la pénétrait. Patrick et sa fiancée eurent la même pensée: les deux acteurs étaient sans doute mariés. Quand même, pour partager cet acte intime avec tout le monde, les valeurs morales de ce couple laissaient grandement à désirer. Cela n'empêchait pas les deux jeunes gens d'être hypnotisés par le spectacle. Patrick bandait tellement que sa verge, comprimée par le pantalon, lui faisait horriblement mal. L'alcool lui brouillant l'éducation chrétienne, il regarda à droite et à gauche puis il se débraguetta pour sortir sa bite douloureuse. Sa fiancée, estomaquée par l'audace du geste, regarda la chose, bouche bée. Surprise, elle découvrait cette colonne de chair qui la pénétrait lorsqu'ils faisaient l'amour. Puis, à son tour, elle regarda autour d'eux pour voir si quelqu'un s'était aperçu de ce geste outrageux. Ce fut à ce moment qu'elle découvrit qu'un homme plutôt âgé s'asseyait à côté d'elle. Son visage, ridé par des années d'exposition au soleil avait été rougi par l'alcool. Le béret sur la tête et sa veste de coutil trahissaient le paysan qui travaille dans les champs. Solange pensa brièvement qu'il ressemblait à son oncle par alliance Firmin, puis elle se rappela l'état de Patrick. Au moment où elle reporta son attention sur son fiancé, celui-ci éjaculait. Les jets de sperme vinrent maculer le dossier du fauteuil devant lui. Solange se retourna vers son voisin de peur qu'il n'ait vu cette abomination. Elle ne put retenir un cri de surprise, lui aussi s'était mis à l'aise et exhibait son sexe! Inconsciemment, elle remarqua qu'il était de dimension bien supérieure à celui de Patrick! Fascinée par l'engin, elle ne vit pas que l'homme la regardait d'un air goguenard. Elle sursauta lorsqu'il s'adressa à elle: - Je vois qu'elle te plaît. Prends-là dans ta main, ton copain ne s'y opposera pas. Effectivement, Patrick, affalé sur son siège, ronflait, un sourire béat sur les lèvres. Dieu merci, même s'il était toujours débraguetté, sa verge avait disparu dans son slip. La gorge nouée, le cœur battant, elle essaya d'ignorer son voisin et se concentra sur la scène qui se déroulait à l'écran. Mr. Finch devait être un bon amant car la jolie patronne n'arrêtait pas de gémir. Solange se posait des questions existentielles. Etait-elle aussi perverse que cette actrice qui gémissait de plaisir en s'accouplant avec un homme qui n'était pas son mari et qu'elle venait de rencontrer ? Solange avait chaud. Surtout entre les cuisses. C'était comme si elle était assise sur un siège chauffant. Et la chaleur la poussait à écarter les jambes. Machinalement, aidée par les vapeurs de l'alcool, elle commença à se frotter sur son siège. Elle s'imagina de nouveau à la place de l'actrice et son excitation décupla. Elle se vit les jambes écartées, accueillant le vît de Firmin. Ce fut comme si la foudre avait frappé son sexe. Toute son éducation répressive disparut sous la force de l'instinct. Tout à coup son voisin lui prit la main. Avant qu'elle ne proteste, il la posa sur son pieu de chair. Machinalement, elle referma ses doigts autour. C'était doux, plus doux que le velours. Et chaud. Et dur. Cependant, la bienséance lui ordonnait de retirer sa main. Mais le paysan la tenait fermement. Elle regarda autour d'elle, personne ne s'intéressait à eux et Patrick ronflait. L'homme imprima un mouvement vertical à leurs mains. Il se pencha vers elle et lui parla à l'oreille. Le souffle de sa bouche la fit frissonner. - Voilà, branle-moi comme ça. Elle ne pouvait pas accepter de toucher un inconnu si intimement, les bonnes manières lui interdisaient. Elle était une jeune fille bien. Que se passerait-il si Patrick la surprenait dans cet acte ignoble? Elle se tourna à nouveau vers lui. Il dormait à poings fermés. Elle se dit qu'il n'y avait personne pour lui reprocher d'obéir cet homme. Elle justifia ce qu'elle allait faire en se disant qu'elle n'avait pas le choix. Elle fut soudain envahie par un drôle de sentiment. L'excitation de transgresser un interdit alternait avec la honte de le faire. Faire ça à côté de son fiancé endormi, n'était-ce pas abject, digne d'une femme de mauvaise vie? Elle aurait voulu demander conseil à celui qui était toujours là pour l'aider mais il fallait être réaliste, il n'était pas le mieux placé ni en état de le faire. Les barrières de la bienséance disparurent, elle cessa de résister et laissa l'homme guider sa main. Instinctivement, elle comprit ce qu'elle devait faire et bientôt l'homme relâcha sa prise. Il commença à soupirer. Envahie par la fierté du travail bien accompli, Solange continua de le caresser. Plus elle pistonnait ce manche, plus elle se sentait à l'aise. Allait-il éjaculer comme son fiancé? - Oooooh, que tu fais ça bien, petite salope. L'insulte fit rougir Solange jusqu'aux oreilles. Pourtant elle continua son sacerdoce de salope. De temps en temps, elle jetait un coup d'œil aux alentours de peur de se faire pincer. Elle comprit que la possibilité que quelqu'un la voit accomplir ce geste défendu la stimulait encore plus. Tout à coup, l'homme enserra sa main dans son poing et accéléra le mouvement. Un grognement sortit de sa gorge et Solange sentit la verge se contracter pour expulser des jets de crème blanche sur le dossier du siège devant. La fièvre qui habitait le corps de la jeune salope aurait fait éclater un thermomètre. Elle réalisa que sa culotte était trempée. ''Mon Dieu, ma robe va être tachée. Que vont penser les gens quand je sortirai du cinéma?'' Sans réfléchir, la jeune fille souleva les fesses pour remonter sa jolie robe florale au-dessus de ses hanches. Le paysan prit ce geste pour une invitation. Aussi posa-t-il sa main gauche sur la cuisse découverte. Solange retint sa respiration puis se tourna vers Patrick. Il dormait toujours. Elle soupira, la main de l'homme glissait sur sa peau et faisaient naître des sensations charnelles délicieuses. C'était comme si des étincelles picotaient son épiderme au passage de la main calleuse et rappeuse. Elle rejeta la tête en arrière et se laissa aller à ces sensations. Elle en tremblait. Patrick ne l'avait jamais excitée comme ça. La main remonta le long de sa cuisse en la griffant légèrement avec les ongles, créant une traînée d'étincelles qui embrasa son sexe. Sous la force du plaisir, la jeune provinciale écarta les cuisses. Elle gémit lorsque la dextre enveloppa son sexe par-dessus la culotte.
###BANNI###Maîtresse Luna
2 Patrick et Solange sont jeunes, beaux et amoureux. Amis d'enfance, nés dans une petite ville de province, ils viennent de monter à Paris pour faire leurs études. Le père du jeune homme, bien que n'étant pas riche, leur loue un appartement sous les toits, dans le 9ème arrondissement de la capitale, près de la Place de Clichy. Aidés par la famille, les parents de Solange, petits notables, pourvoient au reste: la nourriture, les transports et l'argent de poche. Patrick prépare une école d'ingénieur et Solange étudie l'Histoire pour devenir enseignante. Ils se sont installés au début de ce mois d'août 2023. Ils explorent la ville tous les jours avec appréhension car leur petite cité de province ne les a pas préparés à ce tohu-bohu et cette agressivité. Pourtant, c'est le mois des congés payés, Paris s'est vidée de sa population. Mais tous ces bruits impromptus, ces véhicules qui circulent à toute allure, ces individus qui sifflent la jeune fille et lui font des propositions outrageuses leur donnent l'impression d'être des agneaux entourés de loups. En plus, il fait chaud, les deux jeunes gens transpirent sous les toits. Chez eux, la brise du soir apportait une fraîcheur bienveillante. Ici, ils étouffent, c'est pourquoi ls sortent autant que possible, dans la mesure de leurs moyens limités. Ce soir, c'est l'anniversaire de Solange, elle fête ses 19 ans. Ils ont décidé de manger au restaurant avant d'aller au cinéma. C'est la première fois car il n'y a pas de salle dans leur bourgade. Solange a revêtu sa plus belle robe, une Laura Ashley, achetée le matin avec sa marraine. La jeune fille, émerveillée par toutes ces jolies robes, avait jeté son dévolu sur un modèle qui la couvrait du cou à mi-mollet. Sa marraine, sans hésiter, lui avait déconseillé en disant qu'il faisait trop chaud pour porter une soutane. Elle l'avait alors dirigée vers une robe blanche à motif floral qui lui arrivait à mi-cuisse. - Celle-ci est parfaite, elle va très bien avec tes cheveux châtain foncé et tes yeux marrons. Solange, en l'essayant, s'était sentie un peu gênée car elle n'avait jamais porté quelque chose d'aussi léger et révélateur. Prude et timide, elle avait peur du regard des autres. ''Les gens vont penser que je suis une mauvaise fille''. Mais sa marraine avait insisté: - Regarde les clientes autour de toi, elles appartiennent à la noblesse du 6ème, à la riche bourgeoisie du 16ème, c'est la crème des beaux quartiers. Vois comme elles sont à l'aise. Crois-moi, la plupart rêverait d'avoir ta silhouette. Tu peux être fière de ton corps. N'oublie pas une chose, c'est la plus belle période de ta vie, alors profites-en. Puis, en regardant Solange de bas en haut, elle avait déclaré qu'il lui fallait une ceinture pour marquer sa taille. - Quand on est svelte comme toi, il faut se mettre en valeur. Son choix s'était vite porté sur une mince bande de cuir jaune. - Voilà, mets celle-ci, elle va très bien avec le bouton jaune des marguerites. Ne te change pas, va étrenner tout ça dehors et suis-moi, cette robe mérite des souliers adaptés. Elles avaient acheter des chaussures à talon. Oh, pas des hauts talons mais des escarpins à talons basiques moyens. Pourtant, en se regardant dans la glace, Solange avait éprouvé un choc. Devant elle, il n'y avait plus une adolescente empruntée mais une jeune fille presque adulte. Et cette adulte était beaucoup plus féminine, plus attirante. Les talons affinaient sa silhouette et allongeaient ses jambes. Marcher avait posé un challenge au début, c'était la première fois qu'elle portait des chaussures non plates. Quelques minutes plus tard, elle avait trouvé son équilibre. Sa démarche était plus chaloupée. Elle avait l'impression que son postérieur était animé d'un mouvement latéral exagéré qui ne convenait pas à une jeune fille sage. De plus, les talons et la ceinture accentuaient sa cambrure et faisaient ressortir sa poitrine, un bonnet D bien rempli. Comme si elle voulait faire passer le message qu'elle était une fille facile. Elle frissonna, une pensée salace venait de traverser son esprit: ''Avec mes fesses qui ressortent comme ça, j'ai l'air d'une chienne qui appelle le mâle pour se faire saillir''. Elle fut envahie par une brusque chaleur puis elle vit l'image de son fiancé et se fustigea pour ce qui venait de lui passer par la tête. Sans sa marraine, elle serait rentrée chez elle avec sa robe informe et ses mocassins fatigués. - Tu dois former tes chaussures à tes pieds maintenant. Je vais payer et tu continues à marcher pour t'habituer à tes escarpins. A contrecœur Solange avait fait ses premiers pas dans la rue en contemplant ses pieds. Puis, en levant les yeux, elle s'était aperçue que les gens ne la regardaient pas avec dédain mais plutôt avec envie. Avec un petit sourire satisfait, sa marraine lui dit: - Ce soir, tu seras la plus belle pour aller danser! Alors la jeune fille se redressa et se mit à marcher avec plus d'assurance. Elle ne se considérait pas comme une femme fatale, loin de là! Elle voyait juste que, grâce à cette robe et ces chaussures, le regard des gens sur elle avait changé. Elle était toujours la même, elle ne se voyait pas plus belle. Non, ce qui avait changé, c'était qu'elle se sentait plus libre. Plus besoin de se cacher sous des vêtements amples. Dans cette grande ville, personne ne la connaissait. Et si certains la jugeaient, elle ne s'en apercevrait pas; de toute façon, elle ne les verrait pas le lendemain. Elle fut tirée de ses pensées par sa marraine. - Maintenant nous allons chez le coiffeur. On dirait que tu sors du couvent avec cette queue de cheval informe. Je te verrai bien avec des vagues. Et après, on ira dans une parfumerie que je connais, il y a une très bonne maquilleuse. En rentrant chez elle, Solange se regardait dans les vitrines. Elle ne reconnaissait plus la jeune fille gauche et mal attifée qui venait de quitter sa province. Elle savait maintenant qu'elle était à sa place dans cette ville moderne et vive. Le maquillage était léger mais il mettait ses yeux en valeur. La coiffeuse avait raccourci ses cheveux et créé une ondulation qui faisait ressortir la beauté de son visage. Elle se demandait quelle serait la réaction de son fiancé en l'apercevant. La réaction fut au-delà de ses espérances. Il resta bouche bée, le cœur battant de fierté. Débarrassée de ses atours campagnards, sa fiancée personnifiait à présent la beauté et la sophistication parisienne. Lorsqu'ils sortirent le soir, il ne se rassasiait pas de l'admiration qui se peignait sur le visage des passants. Ils n'eurent pas besoin de faire la queue au restaurant, la beauté de Solange leur donna un passe-droit. Le garçon qui les conduisit à leur table lui demanda si sa femme était une actrice connue! Et le patron du restaurant leur offrit la bouteille de vin. Bienvenue dans le monde des privilégiés. En sortant de la brasserie, Solange vacilla légèrement. - Patrick, j'ai un peu trop bu. Et toi? - Euuuh, ça va mais j'ai l'impression que la rue tangue. A la vérité, il avait vidé les trois-quarts de la bouteille. Solange vit qu'il titubait. Il n'avait pas l'habitude d'ingurgiter autant de vin. Après avoir traversé un carrefour très encombré, elle s'inquiéta. - Et si on rentrait maintenant? - Ah non! On...on...euh...on na...na...on avait dit qu'on allait au...au ci...cinéma. En disant cela, il s'aperçut qu'ils se trouvaient à l'entrée d'une salle devant laquelle il passait chaque fois qu'il allait à la bibliothèque. A la différence des autres cinémas, il n'y avait pas de hall d'entrée, seulement des marches qui s'enfonçaient sous un immeuble, il n'y avait pas de fronton, il n'y avait ni affiches ni photos pour présenter les films, juste le titre en blanc sur fond rouge. Il lut à haute voix: - ''Indécences''. De quoi ça peut...peut bien parler? Solange était plus préoccupée par l'état de son fiancé que par le sens du titre. Elle se dit qu'il valait mieux qu'il soit assis devant un écran plutôt qu'en train de marcher dans ces rues pleines de danger. Aussi ne protesta-t-elle pas lorsqu'il lui dit: - A...a...allons voir. En se tenant à la rampe, il réussit à descendre sans trop de problème. En bas des marches, ils arrivèrent devant un guichet tenu par un gros bonhomme fatigué. Dès qu'il vit la jeune fille, ses yeux s'allumèrent et il posa sur elle un regard vicieux qui força Solange à tourner la tête. - Deux places, les amoureux? Patrick opina et paya sans dire un mot. Il avait bien vu le regard de convoitise du guichetier sur sa fiancée mais, dans son état d'ébriété, il n'y voyait qu'un hommage à sa beauté. Suivi de celle-ci, il se dirigea vers la salle. Après avoir poussé un battant, ils se trouvèrent plongés dans l'obscurité. Le jeune homme s'appuya sur sa dulcinée pour garder son équilibre. Solange discerna des spectateurs déjà installés, éclairés par la lumière de l'écran. Deux choses lui sautèrent aux yeux. Il n'y avait qu'une dizaine de spectateurs et ils étaient tous de sexe masculin. En plus, ils la regardaient d'une façon qui la fit frissonner. Elle n'eut pas le temps de se poser des questions, Patrick l'entrainait vers le fond de la salle dans un rang désert. Une fois assise, Solange fixa son attention sur l'écran. Le film avait déjà commencé. La scène se passait dans une cuisine. Une soubrette en uniforme essuyait le menton d'un type plutôt moche. Ce faisant, elle fit tomber une canne sur le sol. Accourut alors une femme qui semblait être la maîtresse des lieux. Le cœur de Patrick fit un bond, cette jolie brune était le portrait craché de Solange! Il se tourna vers elle. - Ca alors, tu ne m'avais pas dit que tu avais joué dans un film! C'est pour ça que le garçon croyait que tu étais une star de cinéma! Solange était fascinée. C'est vrai que cette actrice lui ressemblait beaucoup. Quant à Patrick, bluffé par la ressemblance, il envisageait sa fiancée sous un autre jour. - Elle a le même air innocent que toi, la même bouche, pleine et boudeuse, les mêmes yeux, la même coiffure. Si tu n'étais pas à côté de moi, je jurerais que tu étais rentrée dans l'écran. La patronne semblait furieuse. La bonne n'aurait pas dû accueillir son frère dans cette cuisine. Et ce type au visage narquois, ce Mr. Finch, il était séduisant dans son beau costume à rayures. Il racontait une histoire salace que Solange ne comprit pas car elle ignorait la signification du mot ''enculer''. La suite la troubla encore plus. La jolie patronne s'appelait Solange! La jeune spectatrice se tourna vers son fiancé; il avait la bouche ouverte et les yeux agrandis par la surprise. Patrick n'eut pas le temps de faire de commentaire, la situation dégénérait à l'écran, les rôles s'inversaient. La Solange du film devenait la bonniche. Elle semblait se laisser diriger par Mr. Finch. Il la fit assoir sur un canapé, à côté de lui. Il lui releva sa robe jusqu'en haut de la cuisse, découvrant des dessous très osés. La jeune fiancée n'avait jamais vu de tels dessous, des bas et un porte-jarretelle. N'était-ce pas le genre de sous-vêtements que les prostituées portaient? Elle ressentit une excitation sexuelle qui l'effraya. Elle venait de s'imaginer devant l'écran, uniquement vêtue de ces dessous obscènes, sous le regard avide des hommes présents dans la salle! Patrick, quant à lui, bandait comme jamais. Il avait l'impression qu'un autre homme que lui caressait sa fiancée, embrassait sa cuisse. Dans son état alcoolisé, il ne réfléchit pas à la perversion de cette pensée. Il banda encore plus lorsque Mr Finch déshabilla la jolie patronne. Ses dessous étaient incroyablement sexy. Il imagina que ce Don Juan était son voisin, le quadra qui vivait à côté du pavillon de ses parents. Récent divorcé, il suivait toujours Solange avec un regard malsain. Puis Mr. Finch dévoila la poitrine de sa victime. Il n'avait pas encore vu les seins de Solange mais il les imaginait semblables: pleins et fermes. Bombés même. Que cette actrice était belle! La Solange de la province n'en revenait pas. Dans quel film étaient-ils tombés? Jamais on ne montrait la nudité si crument à la télé. On ne la montrait pas du tout d'ailleurs. Cependant, elle se sentait encore plus excitée et continuait à avoir des pensées impures d'exhibition. Personne ne l'avait vue nue, ils faisaient l'amour dans le noir avec Patrick. L'idée qu'on la voit nue la perturbait. Elle aurait dû être scandalisée par ce fantasme ignoble mais c'était le contraire qui se produisait. Dans ce lieu où tout semblait permis, elle avait envie de devenir une autre. Elle attendit la suite du film avec impatience. Mr Finch avait pris Solange dans ses bras et entraînait sa partenaire à moitié dénudée dans une valse ensorcelante. Patrick faillit vomir à cause du mouvement tournant de la caméra. Sa jeune fiancée comprenait pourquoi Solange semblait passive et se laissait conduire par Mr Finch, il avait du charisme et beaucoup de charme. Elle se mit dans la peau de l'actrice et plongea son regard dans les yeux perçants du séducteur. Celui-ci se mit à embrasser les seins de la belle Solange qui se laissait toujours faire. Puis la jeune fille faillit tomber de son fauteuil, Un nouveau plan montrait une verge en train de s'enfoncer dans un vagin! On avait le droit de montrer ça? Le plan s'élargit pour dévoiler la jeune patronne allongée, nue, sur une table. Quoi, on pouvait faire l'amour sur une table? Devant d'autres personnes? Même si on ne le voyait pas, cela devait être Mr. Finch dont le sexe la pénétrait. Patrick et sa fiancée eurent la même pensée: les deux acteurs étaient sans doute mariés. Quand même, pour partager cet acte intime avec tout le monde, les valeurs morales de ce couple laissaient grandement à désirer. Cela n'empêchait pas les deux jeunes gens d'être hypnotisés par le spectacle. Patrick bandait tellement que sa verge, comprimée par le pantalon, lui faisait horriblement mal. L'alcool lui brouillant l'éducation chrétienne, il regarda à droite et à gauche puis il se débraguetta pour sortir sa bite douloureuse. Sa fiancée, estomaquée par l'audace du geste, regarda la chose, bouche bée. Surprise, elle découvrait cette colonne de chair qui la pénétrait lorsqu'ils faisaient l'amour. Puis, à son tour, elle regarda autour d'eux pour voir si quelqu'un s'était aperçu de ce geste outrageux. Ce fut à ce moment qu'elle découvrit qu'un homme plutôt âgé s'asseyait à côté d'elle. Son visage, ridé par des années d'exposition au soleil avait été rougi par l'alcool. Le béret sur la tête et sa veste de coutil trahissaient le paysan qui travaille dans les champs. Solange pensa brièvement qu'il ressemblait à son oncle par alliance Firmin, puis elle se rappela l'état de Patrick. Au moment où elle reporta son attention sur son fiancé, celui-ci éjaculait. Les jets de sperme vinrent maculer le dossier du fauteuil devant lui. Solange se retourna vers son voisin de peur qu'il n'ait vu cette abomination. Elle ne put retenir un cri de surprise, lui aussi s'était mis à l'aise et exhibait son sexe! Inconsciemment, elle remarqua qu'il était de dimension bien supérieure à celui de Patrick! Fascinée par l'engin, elle ne vit pas que l'homme la regardait d'un air goguenard. Elle sursauta lorsqu'il s'adressa à elle: - Je vois qu'elle te plaît. Prends-là dans ta main, ton copain ne s'y opposera pas. Effectivement, Patrick, affalé sur son siège, ronflait, un sourire béat sur les lèvres. Dieu merci, même s'il était toujours débraguetté, sa verge avait disparu dans son slip. La gorge nouée, le cœur battant, elle essaya d'ignorer son voisin et se concentra sur la scène qui se déroulait à l'écran. Mr. Finch devait être un bon amant car la jolie patronne n'arrêtait pas de gémir. Solange se posait des questions existentielles. Etait-elle aussi perverse que cette actrice qui gémissait de plaisir en s'accouplant avec un homme qui n'était pas son mari et qu'elle venait de rencontrer ? Solange avait chaud. Surtout entre les cuisses. C'était comme si elle était assise sur un siège chauffant. Et la chaleur la poussait à écarter les jambes. Machinalement, aidée par les vapeurs de l'alcool, elle commença à se frotter sur son siège. Elle s'imagina de nouveau à la place de l'actrice et son excitation décupla. Elle se vit les jambes écartées, accueillant le vît de Firmin. Ce fut comme si la foudre avait frappé son sexe. Toute son éducation répressive disparut sous la force de l'instinct. Tout à coup son voisin lui prit la main. Avant qu'elle ne proteste, il la posa sur son pieu de chair. Machinalement, elle referma ses doigts autour. C'était doux, plus doux que le velours. Et chaud. Et dur. Cependant, la bienséance lui ordonnait de retirer sa main. Mais le paysan la tenait fermement. Elle regarda autour d'elle, personne ne s'intéressait à eux et Patrick ronflait. L'homme imprima un mouvement vertical à leurs mains. Il se pencha vers elle et lui parla à l'oreille. Le souffle de sa bouche la fit frissonner. - Voilà, branle-moi comme ça. Elle ne pouvait pas accepter de toucher un inconnu si intimement, les bonnes manières lui interdisaient. Elle était une jeune fille bien. Que se passerait-il si Patrick la surprenait dans cet acte ignoble? Elle se tourna à nouveau vers lui. Il dormait à poings fermés. Elle se dit qu'il n'y avait personne pour lui reprocher d'obéir cet homme. Elle justifia ce qu'elle allait faire en se disant qu'elle n'avait pas le choix. Elle fut soudain envahie par un drôle de sentiment. L'excitation de transgresser un interdit alternait avec la honte de le faire. Faire ça à côté de son fiancé endormi, n'était-ce pas abject, digne d'une femme de mauvaise vie? Elle aurait voulu demander conseil à celui qui était toujours là pour l'aider mais il fallait être réaliste, il n'était pas le mieux placé ni en état de le faire. Les barrières de la bienséance disparurent, elle cessa de résister et laissa l'homme guider sa main. Instinctivement, elle comprit ce qu'elle devait faire et bientôt l'homme relâcha sa prise. Il commença à soupirer. Envahie par la fierté du travail bien accompli, Solange continua de le caresser. Plus elle pistonnait ce manche, plus elle se sentait à l'aise. Allait-il éjaculer comme son fiancé? - Oooooh, que tu fais ça bien, petite salope. L'insulte fit rougir Solange jusqu'aux oreilles. Pourtant elle continua son sacerdoce de salope. De temps en temps, elle jetait un coup d'œil aux alentours de peur de se faire pincer. Elle comprit que la possibilité que quelqu'un la voit accomplir ce geste défendu la stimulait encore plus. Tout à coup, l'homme enserra sa main dans son poing et accéléra le mouvement. Un grognement sortit de sa gorge et Solange sentit la verge se contracter pour expulser des jets de crème blanche sur le dossier du siège devant. La fièvre qui habitait le corps de la jeune salope aurait fait éclater un thermomètre. Elle réalisa que sa culotte était trempée. ''Mon Dieu, ma robe va être tachée. Que vont penser les gens quand je sortirai du cinéma?'' Sans réfléchir, la jeune fille souleva les fesses pour remonter sa jolie robe florale au-dessus de ses hanches. Le paysan prit ce geste pour une invitation. Aussi posa-t-il sa main gauche sur la cuisse découverte. Solange retint sa respiration puis se tourna vers Patrick. Il dormait toujours. Elle soupira, la main de l'homme glissait sur sa peau et faisaient naître des sensations charnelles délicieuses. C'était comme si des étincelles picotaient son épiderme au passage de la main calleuse et rappeuse. Elle rejeta la tête en arrière et se laissa aller à ces sensations. Elle en tremblait. Patrick ne l'avait jamais excitée comme ça. La main remonta le long de sa cuisse en la griffant légèrement avec les ongles, créant une traînée d'étincelles qui embrasa son sexe. Sous la force du plaisir, la jeune provinciale écarta les cuisses. Elle gémit lorsque la dextre enveloppa son sexe par-dessus la culotte.
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Bonjour le groupe
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Bonjour à tous les esclave gay
J'aime 23/04/25
Hugin
Bonjour et bienvenue
J'aime 25/04/25
Autiliser
Bonjour Monsieur Laurent
J'aime 25/04/25
Exigeante sur les bonnes manières (respect et vouvoiement) ne concevant un soumis à ma mesure que comme un gentleman (rigueur absolue sur l'hygiène et la ponctualité. je pratique ma domination avec fougue et passion, en étant une Maîtresse sexy et inaccessible (fétichisme plus que bienvenu) .:.
Iphigénie
Bonsoir, Ravie de rejoindre le groupe pour échanger et partager. À très vite
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Marc94
Bienvenue Iphigénie
J'aime 30/03/25
Hugin
Bonjour et bienvenue
J'aime 31/03/25
Marc Nancy
Bonjour à vous deux. Bonne chance dans votre recherche
J'aime 31/03/25
Bonjour
J'aime 31/03/25
sissy666
Toutes et tous je vous salue. Salut collégial aux uns salutations révérentielles aux autres. Je suis présent aujourd'hui devant vous me mettant donc de fait en situation d'un présent pour Qui aurait la curiosité de dénouer le bolduc, premier pas nécessaire pour nouer des liens ou tout simplement assouvir vos besoins de contrôler si ce qui me compose pourrait combler certains de vos intérêts, puis, vice versa... Je suis par nature très chaste, nature altérée par une alterité qui aiMe chaos, (Masoch Sacher que je vous suis cérébralement fidèle), d'où ma dépendance à Vous qui décideriez de me déballer et de tester mes capacités à m'emballer dès qu'on me met sous tension et que le courant passe ; alors je serais dans l'incapacité de faire volt-face et vous seriez aux commandes d'un jouet dernier cri, un soupirant aspirant soubrettissement à vous insuffler de grands airs supérieurs, airs sur lesquels je chante vos louanges. Aléa jacta est (traduction : le hasard n'est jamais complètement à l'ouest quand il s'exprime)
###PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL###Toy
Bonjour tout le monde. Merci de m'accepter parmi vous Je suis un homme soumis de 53ans de la région parisienne. J'aime être soumis à une autorité. Dociles salutations N'hésitez pas à venir vers moi pour toutes questions ou informations.Je suis à la recherche d'une Domina ou d'un Dom pour me soumettre, en ligne
Soyez la première personne à aimer.
###BANNI###Maîtresse Luna
Le Piège Innocent Sofia, une jeune étudiante de 19 ans au charisme audacieux et à la beauté éclatante, connaissait bien les couloirs de l'école qu’elle fréquentait depuis des années. Elle avait remarqué Marco, le concierge de 26 ans, un homme discret mais qui ne manquait pas de susciter un certain intérêt chez elle, notamment pour son fétichisme des pieds qu'elle avait découvert par hasard lors d'une conversation entendue derrière les portes de la salle des professeurs. Un jour d'automne, alors que les couloirs étaient presque vides et que le soleil lançait ses derniers rayons à travers les fenêtres hautes, Sofia mit son plan en action. Elle portait des sandales qui laissaient apparaître ses pieds parfaitement manucurés, accentuant la couleur rouge vif de son vernis. Prétextant avoir besoin d’aide pour retrouver un objet perdu sous un meuble dans une salle isolée, elle aborda Marco avec un sourire engageant. « Marco, pourrais-tu m’aider à chercher quelque chose ? Je crois que j’ai laissé tomber mon bracelet sous le bureau de la salle 103. » Sa voix était douce, presque chantante, difficile à refuser. Marco, naturellement serviable et inconscient du piège qui se refermait, acquiesça et la suivit dans la salle. Une fois à l'intérieur, Sofia s'assit sur une chaise, laissant "accidentellement" tomber son bracelet plus loin sous le bureau. « Oh non, il est vraiment trop loin pour moi, peux-tu voir si tu arrives à l’atteindre ? » demanda-t-elle en pointant du doigt l'espace confiné sous le bureau. Alors que Marco s'agenouillait pour récupérer le bracelet, Sofia déplaça discrètement ses pieds près de ses mains. Le décor était posé, le piège de Sofia prêt à se refermer sur le pauvre Marco qui n’avait encore rien vu venir. Partie 2: La Découverte Marco, concentré sur sa tâche, étendit la main sous le bureau pour récupérer le bracelet scintillant. Alors qu'il s'étirait plus loin, ses doigts effleurèrent sans le vouloir la peau douce des pieds de Sofia. Surpris, il se raidit un instant, mais un regard rapide en direction de Sofia le rassura lorsqu'il vit qu'elle ne semblait pas avoir remarqué. Il saisit le bracelet mais, au moment de se redresser, Sofia, avec un murmure presque inaudible, le stoppa. « Attends, Marco, depuis que tu es là, pourrais-tu me rendre un petit service ? Mes pieds me font terriblement souffrir aujourd'hui... » Sa voix était teintée d'une innocence feinte, et elle jouait avec ses cheveux d'une manière distrayante. « Pourrais-tu juste appuyer là, s'il te plaît ? Ça m’aiderait beaucoup. » Marco, bien que légèrement confus par la tournure des événements, acquiesça. Après tout, il était là pour aider, et il ne voulait pas paraître impoli en refusant une requête si simple. Il posa donc ses mains sur les pieds de Sofia, massant doucement, guidé par ses indications précises. « Un peu plus à gauche... oui, juste là. Oh, ça fait tellement de bien, merci, Marco, » soupira Sofia, fermant les yeux pour mieux savourer le moment. Marco, de son côté, commençait à ressentir une étrange excitation en réalisant qu'il était en train de caresser les pieds, cette partie du corps qu'il avait toujours secrètement admirée. Il continuait son massage, devenant de plus en plus consciencieux dans ses mouvements, chaque pression délibérée sur la plante et les orteils de Sofia le rapprochant dangereusement de ses propres limites. La situation prenait une tournure inattendue pour Marco, qui se trouvait désormais entraîné dans un jeu qu'il n'avait pas vu venir mais auquel il ne pouvait plus se soustraire. Sofia, observant avec satisfaction la transformation de son concierge, souriait intérieurement, sachant que le piège qu'elle avait soigneusement préparé était en train de se refermer parfaitement. Partie 3: L'Intensification Tandis que Marco continuait de masser les pieds de Sofia, il remarqua comment elle commençait à se tortiller légèrement sur sa chaise, un signe de satisfaction qu'il ne pouvait ignorer. Ses mains, initialement timides, devenaient plus audacieuses, explorant chaque courbe et chaque contour de ses pieds avec une précision croissante. « Tu es vraiment doué pour ça, Marco... Ça fait longtemps que quelqu'un n'a pas pris soin de moi de cette façon, » murmura Sofia, ses yeux mi-clos reflétant un mélange de plaisir et de malice. Elle écarta légèrement les jambes, offrant à Marco une vue plus provocante, bien que subtile. « Pourrais-tu masser un peu plus haut ? Mes chevilles sont aussi assez tendues. » Marco, son pouls s'accélérant à chaque nouvelle demande, obéit sans hésitation. Ses doigts glissèrent vers les chevilles de Sofia, effleurant la limite de ses bas. Chaque contact avec la peau légèrement plus douce au-dessus de ses pieds semblait électrifier l'atmosphère entre eux. « Oh, oui, juste là... Tu aimes toucher mes pieds, Marco ? » demanda-t-elle, un sourire en coin trahissant son jeu. Marco, pris au piège de ses propres désirs, ne pouvait que hocher la tête, incapable de formuler une réponse cohérente. « Bien, parce que j'aime vraiment quand tu le fais. Peut-être pourrais-tu... Hmm... Utiliser un peu plus de pression ? » Sa voix était devenue un souffle, chaque mot chargé d'une promesse non dite. Marco, encouragé par ses paroles, appuya plus fermement, ses pouces dessinant des cercles méthodiques sur ses chevilles, remontant progressivement vers les mollets. Sofia, à cet instant, décida de pousser le jeu un peu plus loin. « Marco, je me sens tellement détendue grâce à toi. Tu ne voudrais pas sentir mes pieds ? Ils sont si doux, tu ne trouves pas ? » Avant même qu'il puisse répondre, elle avait glissé un pied vers son visage, la pointe de son orteil frôlant doucement ses lèvres. Marco, submergé par l'odeur légère et sucrée du parfum de Sofia, se laissa aller à un moment de faiblesse. Il ouvrit la bouche, laissant l'orteil de Sofia s'y introduire doucement. Sa langue, presque par réflexe, commença à jouer avec, goûtant la peau douce et la courbe délicate de son orteil. « Ça te plaît, Marco ? Tu aimes le goût de mes pieds ? » chuchota Sofia, un frisson de plaisir parcourant son échine alors qu'elle observait Marco succomber à ses caprices. Leurs yeux se rencontrèrent, et dans le regard de Marco, il y avait un mélange de désir, de confusion, et d'un consentement muet à continuer ce jeu érotique. Sofia savait qu'elle avait maintenant le contrôle total, et elle comptait bien utiliser chaque seconde de ce pouvoir pour mener ce jeu à son paroxysme. Partie 4: Le Jeu de Pouvoir Avec Marco à genoux, étreignant les pieds de Sofia comme s’il découvrait un nouveau sanctuaire de plaisir, la jeune femme prit un malin plaisir à accentuer son contrôle sur lui. Ses orteils jouaient maintenant librement sur le visage de Marco, explorant ses lèvres, sa langue, et même se risquant parfois à frôler ses joues, laissant derrière eux une trace humide qui témoignait de leur passage. « Tu sembles vraiment apprécier ça, Marco. Je me demande... » commença-t-elle, sa voix traînante et chargée d'une promesse indéfinie, « combien tu serais prêt à aller loin pour moi ? » Son pied gauche, toujours engagé dans cette danse séduisante avec la bouche de Marco, pressa un peu plus fort, tandis que son autre pied se glissait sous le menton de Marco, le forçant à lever les yeux vers elle. Marco, dont le visage était maintenant rougi par l'excitation et une pointe de honte, fixait Sofia, cherchant une trace de remords ou d’hésitation. Mais il ne trouvait que détermination et amusement dans ses yeux. « Tout ce que tu veux, Sofia... » murmura-t-il, sa voix presque brisée par le désir. Sofia sourit, satisfaite de sa réponse. « Bien, alors prouvons-le. » Avec une agilité surprenante, elle se leva de sa chaise, se plaçant debout juste devant Marco, dominant la scène. « Embrasse mes pieds, Marco. Montre-moi à quel point tu les apprécies. » Marco, sans hésitation, embrassa d'abord le dessus de son pied droit, puis le gauche, ses lèvres déposant des baisers humides et bruyants sur chaque orteil, chaque coup de langue illustrant sa dévotion et sa soumission croissantes à ses désirs. Les soupirs de Sofia se mélangeaient aux bruits de ses baisers, créant une symphonie érotique qui résonnait dans la salle isolée. « Ça te plaît d'être à ma merci, n'est-ce pas ? » taquina-t-elle, tandis que ses mains jouaient avec ses propres cheveux, tirant légèrement sur les mèches pour accentuer chaque sensation. « Oui, Sofia... beaucoup, » répondit Marco, son esprit embrumé par le parfum et le goût de ses pieds. Profitant de cet avantage, Sofia dirigea alors Marco dans une danse encore plus intime. « Lèche mes chevilles, remonte le long de mes jambes. Je veux sentir ta langue partout... » ordonna-t-elle, chaque mot prononcé avec une autorité croissante. Marco obéit, sa langue traçant un chemin humide le long de ses chevilles jusqu'à ses mollets, explorant chaque parcelle de peau offerte avec une ardeur renouvelée. Les gémissements de plaisir de Sofia servaient d'encouragement, poussant Marco à se dépasser dans son rôle de serviteur dévoué à ses pieds. Sofia, debout au-dessus de lui, savourait chaque instant de ce pouvoir qu’elle exerçait, chaque soupir de Marco ajoutant à son excitation. Partie 5: L'Escalade du Désir Alors que Marco continuait d'explorer avec sa langue les jambes de Sofia, celle-ci, debout et dominatrice, commença à diriger ses mouvements avec plus de précision. Elle guidait sa tête d'une main ferme, accentuant la pression de ses doigts dans ses cheveux chaque fois qu'elle désirait une attention plus poussée sur une zone particulière. « Plus haut, Marco... ne t'arrête pas là, » commanda Sofia, sa voix tremblante de désir. Marco obéissait, sa langue lascive et obéissante glissant sur ses genoux, puis s'aventurant audacieusement vers l'intérieur de ses cuisses, là où la chaleur et le parfum de Sofia devenaient plus intenses. Sofia gémissait ouvertement maintenant, ses hanches ondulant légèrement pour rencontrer chaque coup de langue, chaque souffle chaud que Marco envoyait contre sa peau. Elle sentait l'excitation monter en elle, une vague de plaisir qui menaçait de la submerger à tout instant. « Tu aimes ça, n'est-ce pas ? Sentir comment tu me rends folle ? » lança-t-elle entre deux halètements. Marco, complètement emporté par le moment, ne pouvait que gémir en réponse, sa dévotion et son désir pour elle évidents dans chaque mouvement désespéré de sa langue. Sofia, alors, décida de prendre les choses encore plus en main. Elle se recula légèrement, poussant Marco à se mettre à quatre pattes, et dirigea son visage vers l'endroit où ses pieds avaient été il y a seulement quelques instants. « Maintenant, montre-moi à quel point tu adores chaque partie de moi. Commence par mes pieds, encore une fois. » Marco s'exécuta, embrassant et léchant ses pieds avec une ferveur renouvelée. Il remonta le long de ses jambes, chaque baiser laissé sur sa peau semblait brûler un message clair de soumission et de désir. Sofia, se sentant puissante et presque déifiée par l'attention que Marco lui portait, dirigea ses mains vers son propre corps, ses doigts jouant avec les bords de sa jupe. « Je veux que tu goûtes chaque partie de moi, Marco... ne me déçois pas, » souffla-t-elle, ses yeux brillant d'une lueur sauvage et contrôlante. Marco, guidé par les mots et les mains de Sofia, continua son exploration érotique, chaque mouvement de sa langue et de ses lèvres un hommage à la femme qui le dominait complètement. Alors qu'ils atteignaient un point de non-retour, Sofia murmura, « C’est juste le début, Marco... Je veux plus, beaucoup plus. » Partie 6: Nouveaux Horizons Sofia, avec un sourire malicieux et une étincelle de désir dans les yeux, guida Marco vers une vieille chaise en bois qui se trouvait au fond de la classe. « Assieds-toi ici, » ordonna-t-elle, pointant du doigt la chaise qui semblait presque témoigner de nombreux secrets inavoués. Marco s'exécuta sans hésiter, son cœur battant à tout rompre alors qu'il prenait place, son regard fixé sur Sofia qui semblait incarner à cet instant une déesse de la séduction. Sofia se dirigea vers le bureau du professeur, fouillant dans les tiroirs jusqu'à ce qu'elle trouve ce qu'elle cherchait : une règle en bois longue et robuste. Avec un sourire qui ne présageait rien de bon pour Marco, elle retourna vers lui, la règle à la main. « Cela nous sera utile pour mesurer à quel point tu es dévoué, » dit-elle en faisant claquer doucement la règle contre sa paume. Elle s'approcha ensuite de Marco, plaçant un pied sur ses genoux, lui offrant une vue imprenable sur ses pieds parfaitement soignés. « Je veux que tu me montres à quel point tu peux être bon pour moi, Marco. Je veux que tu fasses quelque chose de spécial avec ces pieds que tu aimes tant. » Marco, excité et en même temps nerveux par cette tournure de plus en plus audacieuse, acquiesça. Sofia positionna alors ses pieds sur le bassin de Marco, ses orteils jouant taquineusement avec la ceinture de son pantalon. Elle commença lentement à déplacer ses pieds, ses orteils agiles pinçant et tirant le tissu, créant une tension insoutenable pour Marco. Puis, avec une précision et un contrôle exquis, Sofia commença à donner à Marco un footjob. Ses pieds glissaient sur le tissu, pressant et caressant à travers le matériau, chaque mouvement calculé pour le mener au bord de la folie. Les orteils de Sofia manipulaient habilement la forme qui se dessinait sous ses pieds, pressant à intervalles réguliers pour maximiser l'effet de chaque toucher. Marco, submergé par le mélange de douleur et de plaisir, gémissait à chaque mouvement des pieds de Sofia, son corps tendu comme une corde prête à lâcher. Sofia, observant avec délice l'effet de ses actions, augmentait l'intensité de ses mouvements, sa cheville tournant et ses pieds frottant avec une précision qui ne laissait aucun doute sur son expertise. « Regarde-moi, Marco. Je veux que tu voies ce que tu aimes tant en action, » dit-elle, sa voix douce mais ferme. Marco levait les yeux, son regard capturé par l'image de Sofia dominante, contrôlant chaque aspect de son plaisir avec rien de plus que ses pieds habiles et cette règle en bois qui tapotait à chaque mouvement sur le sol, rythmant l'expérience comme un métronome de désir. Partie 7: La Domination Exquise Sofia, tout en maintenant ses pieds en action, saisit fermement la règle en bois, la faisant légèrement onduler dans l'air avant de la laisser retomber avec précision sur les cuisses de Marco. Le claquement sec de la règle contre sa peau se mélangeait aux gémissements de plaisir et de douleur qui s'échappaient des lèvres de Marco, créant un tableau de sensations mêlées. « Aime ça, Marco ? » demanda Sofia d'une voix suave, tout en administrant une autre petite gifle avec la règle. Elle ajusta son pied, le plaçant avec plus de force sur le bassin de Marco, pressant et frottant avec une intensité mesurée. « Oui, Sofia, s'il te plaît, continue... je t'en supplie, » répondit Marco, sa voix tremblante sous l'effet de l'intense plaisir mêlé à la douleur douce que lui infligeaient les pieds et la règle de Sofia. Les pieds de Sofia dansaient maintenant une valse experte sur le membre de Marco, encore caché sous ses vêtements mais clairement dessiné par les mouvements précis et méthodiques de ses orteils. Elle utilisait le gros orteil pour exercer une pression rythmée sur le dessus, tandis que les autres orteils jouaient autour, alternant pression et caresse, chaque mouvement calculé pour tirer le maximum de réactions de Marco. « Regarde comment tes pieds, ceux que tu aimes tant, te dominent complètement, Marco. Est-ce que ça te plaît d'être à ma merci ? » Elle accentua ses paroles avec un autre coup de règle, cette fois légèrement plus bas, frôlant l'espace où le plaisir se concentrait le plus intensément. « Oui, oui, Sofia... c'est incroyable. Je veux... je veux... » Marco luttait pour former des phrases complètes, sa concentration brisée par les vagues de plaisir qui déferlaient sur lui. « Tu veux quoi, Marco ? Dis-le moi. Dis-moi ce que tu veux que je fasse, » insistait Sofia, tout en continuant son traitement dual de plaisir et de douleur. Ses pieds accéléraient leur rythme, son gros orteil appuyant et tournant de manière presque torturante. « Je veux... je veux éjaculer, Sofia, s'il te plaît, laisse-moi... » supplia Marco, son corps tendu au point de rupture sous la pression croissante et les sensations presque insupportables que Sofia lui administrait. Sofia sourit, satisfaite de l'effet qu'elle avait sur Marco, et décida d'intensifier encore ses actions. « Peut-être... mais seulement si tu continues à être un bon garçon et à faire exactement ce que je dis. » Elle augmenta la pression avec ses pieds, ses orteils serrant et glissant avec une précision exquise, tout en continuant à donner de petites tapes avec la règle pour maintenir Marco sur le fil du rasoir entre douleur et plaisir. Partie 9: L'Apogée et la Soumission Ultime Sofia, maintenant pleinement en contrôle de la situation, observa Marco avec une satisfaction mêlée d'un désir impérieux. « Marco, déboutonne ton pantalon, » ordonna-t-elle, sa voix ferme et dénuée de toute hésitation. Marco, obéissant et dévoré par le besoin impérieux de se libérer des contraintes de son vêtement, s'exécuta rapidement, ses mains tremblantes alors qu'il libérait son membre tendu et prêt. Sofia intensifia ses actions, ses pieds travaillant avec une efficacité accrue. Elle positionna son pied droit de manière à ce que son gros orteil et le ballon de son pied pressent fermement contre lui, créant une friction exquise. Son pied gauche caressait et tapotait le bas de son abdomen, ajoutant une couche supplémentaire de sensations. Marco gémissait à chaque mouvement, chaque pression de Sofia. Il était au bord de l'abîme, chaque seconde le rapprochant du point de non-retour. « Sofia... je... je vais... » bégaya-t-il, incapable de compléter sa phrase tant l'intensité de ses sensations l'overwhelmait. « Fais-le, Marco. Fais-le maintenant, » commanda Sofia, son ton de voix trahissant une pointe d'urgence. Marco ne put résister davantage; avec un cri étouffé, il atteignit l'apogée, son corps secoué par des spasmes alors que l'éjaculation le libérait de la tension accumulée. Les gouttes de sperme s'éparpillèrent, certaines atterrissant sur la règle en bois que Sofia tenait toujours. Sofia, avec un sourire triomphant, ramassa une partie du sperme de Marco avec la règle, observant la texture et la brillance du liquide avec une curiosité presque scientifique. Puis, sans un mot, elle donna une gifle cinglante à Marco avec la règle enduite, marquant sa joue avec un mélange de douleur et de plaisir. « Voilà ce que signifie être à ma merci, Marco. Chaque fois que tu verras cette règle, tu te souviendras de ce moment, de la domination et du plaisir. Tu te souviendras de ton appartenance, » dit-elle doucement, presque avec affection, tandis que Marco, encore haletant, acquiesçait, une trace rouge sur sa joue et un regard de soumission absolue dans ses yeux. Sofia replaça ses pieds sur le sol, se redressa et ajusta sa tenue comme si de rien n'était. Marco, toujours assis, regardait Sofia avec une admiration mêlée de crainte, sachant bien que rien ne serait plus jamais pareil entre eux. Ceci conclut votre histoire érotique en neuf parties. Si vous souhaitez une autre narration ou explorer un autre scénario, n'hésitez pas à le demander.
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Gorparis
Aucun rapport avec le bdsm art de vivre. Je suis perplexe…
J'aime 21/02/25
###BANNI###Maîtresse Luna
Suite partie 1: Le cours de géographie de Sofia battait son plein dans une salle baignée de lumière naturelle. Assise à côté de la fenêtre, elle feignait une attention partielle, jetant occasionnellement des réponses à demi-sourire aux questions du professeur. Le vrai sujet de son intérêt n'était pourtant pas les plateaux et les vallées dont parlait le prof, mais plutôt les dynamiques plus personnelles et secrètes qu'elle entretenait. Un de ses camarades, Thomas, leva la main et posa une question complexe sur les impacts économiques du changement climatique sur les régions méditerranéennes. Pendant que le professeur se lançait dans une explication détaillée, Sofia profita de l'occasion pour se perdre dans ses pensées, revenant à leur dernière rencontre clandestine avec Marco. Sofia songea à tout ce qui s’était produit. Elle avait tendu un piège à Marco, ce dernier était tombé dedans comme un bleu. Elle se souvenait progressivement de tout ce qui s’était passé ce jour-là dans la salle 103. Elle avait dominé Marco, et ce dernier qui semblait en apparence si sûr de lui, était en fait séduit à l’idée qu’elle recommence. Elle se souvenait de la langue de Marco effleurant son gros orteil. Elle se souvenait de l’éjaculation de Marco, de la latte et… de la violente gifle que Sofia lui avait assénée. Il faut dire que Sofia était habituée à la violence. D’origine maghrébine, elle avait l’habitude de voir des bagarres dans sa rue étant jeune. Pour elle, une gifle c’était quelque chose d'insignifiant. Pourtant ce jour-là, la claque qu’elle avait assénée à Marco avait une signification profonde pour elle. Cette jeune étudiante dominant un homme. Sofia avait toujours prôné le féminisme, et cette gifle, le souvenir de cette gifle, réveillait en elle une excitation profonde. Tandis que Thomas continuait à dialoguer avec le professeur à propos des conséquences du changement climatique, Sofia regardait par la fenêtre le soleil embrasser la cour. Quand soudain… Son attention fut soudainement capturée par la silhouette de Marco qui traversait la cour visible à travers la grande fenêtre de la classe. Elle le vit pousser un chariot rempli d'outils et se diriger vers le bâtiment principal. Observant son allure décidée, elle sentit une vague de souvenir et d'anticipation monter en elle. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, il avait été question de confidences murmurées et de contacts furtifs dans une salle déserte, une rencontre qui avait laissé des traces indélébiles dans son esprit. Petit à petit, Sofia se mit à fantasmer sur des rencontres fictives avec Marco. Elle prenait beaucoup de plaisir à projeter tout ce qu’elle pourrait faire si l’occasion lui en était donnée d’avoir de nouveau Marco sous son joug. Cessant de rêvasser et se rappelant soudainement que Marco était en train de se diriger vers les toilettes pour une réparation, elle concocta rapidement un plan pour le rejoindre. Ainsi, quand le professeur marqua une pause, Sofia saisit sa chance. — Excusez-moi, Monsieur, je me sens un peu mal. Pourrais-je aller aux toilettes ? Sa voix, teintée d'un léger tremblement pour plus de crédibilité, fit son effet. Avec un signe de tête, le professeur lui accorda la permission de sortir. Sofia se leva avec empressement, ajustant discrètement ses Converses basses et tirant sur ses chaussettes noires. Elle sortit de la salle, son cœur battant à la perspective de ce qui pourrait suivre. Dans le couloir calme, elle accéléra le pas, se dirigeant vers les toilettes des filles où elle espérait trouver Marco. Son entrée fut silencieuse, les bruits des outils masquant son approche. Elle le trouva là, penché sous l'évier, concentré sur son travail. À ce moment précis, Sofia avait le regard d’un renard qui venait de mettre la patte sur un poulailler à découvert. Elle était rusée de nature et comptait bien se jouer de sa proie. Se glissant discrètement derrière lui, elle attendit le moment parfait pour annoncer sa présence. Lorsque Marco ajusta sa position, son reflet apparut dans le miroir, et Sofia en profita. — Marco, comment vas-tu aujourd'hui ? dit-elle, sa voix drapée d'un ton doucereux et chargé d'intentions. Marco sursauta visiblement, son visage reflétant une surprise totale mélangée à une pointe de rougeur, rappelant leur dernier échange plus intime et la dominance qu'elle avait exercée sur lui. Le jeu venait de recommencer, plus lentement, plus intentionnellement. Le renard est dans l’enclos… Partie 2 : Le renard pourchasse sa proie… ===================================== Marco, encore sous le choc de la soudaine apparition de Sofia dans les toilettes, mit quelques secondes à récupérer ses esprits. Son visage, rougi par la surprise et peut-être par le souvenir de leur précédente rencontre, s'illumina d'un sourire nerveux. — Sofia... tu m'as fait peur, dit-il enfin, une main sur le cœur, essayant de masquer son trouble. — Je vais bien, merci. Et toi, tout va bien ? Sa voix était légèrement tremblante, trahissant son agitation intérieure. Sofia s'avança d'un pas, réduisant l'espace entre eux, son expression pleine de malice. Marco se contrôlait pour ne pas laisser ses yeux distraits trahir son appréhension. — Oh, je n'ai jamais été mieux, répondit-elle doucement, son regard fixé sur lui, scrutant chaque réaction. — Mais dis-moi, Marco, te souviens-tu de notre dernier petit jeu ? Sa voix baissa, chargée d'une promesse implicite, tandis qu'elle jouait distraitement avec une mèche de ses cheveux noirs. Marco n’en revenait pas. Elle avait brisé ce tabou d’une traite, lui qui espérait qu’elle passerait l’affaire sous silence. D’un autre côté, le parfum de Sofia emplissait la pièce, un parfum agréable et fruité. Sa robe noire contrastait avec sa peau dorée, Marco sans s’en rendre compte, était de nouveau en train de se faire piéger. Marco avala difficilement sa salive, ses yeux ne pouvant s'empêcher de glisser sur la silhouette de Sofia. La robe moulante noire qu'elle portait accentuait ses courbes, et malgré les chaussettes noires, ses pieds semblaient inviter au toucher. — Je... oui, je m'en souviens très bien, admit-il, son regard un peu trop fixé sur les pieds de Sofia avant de remonter vers son visage. Profitant de son trouble évident, Sofia prit une démarche plus audacieuse. Elle se rapprocha encore, jusqu'à ce qu'ils soient presque nez à nez. — Et n'as-tu pas honte, Marco, de te laisser ainsi dominer par une simple étudiante !? Sa question, teintée d'un défi ouvert, fit rougir Marco encore plus profondément. Avant que Marco puisse formuler une réponse, Sofia se pencha vers le chariot d'outils à côté d'eux et en sortit un rouleau de scotch. — Je crois que nous devons ajouter un peu plus de piquant à notre jeu, murmura-t-elle. — Que comptes-tu faire avec ce scotch Sofia ? Remets-le où tu l’as trouvé ! balança Marco. Sofia, semblant indifférente à ces remarques, commença à lui ligoter les mains avec une expertise qui indiquait qu'elle avait bien réfléchi à ce moment. Elle répliqua aussitôt. — Marco, si tu ne veux pas que je révèle ce qu'il s'est passé la dernière fois, et que tu perdes ton travail, tu ferais mieux d'obéir, murmura Sofia tout près de son oreille, laissant le ruban adhésif s'enrouler avec précision autour de ses poignets. Son ton était doux mais ferme, son regard fixe transmettant la gravité de sa menace. Toute envie de se débattre quitta Marco, tant ce dernier était choqué par la phrase qu’il venait d’entendre. Perdre son travail ? Sofia était-elle réellement en train de lui faire du chantage ?! Marco, les mains maintenant solidement attachées, sentit son cœur battre à tout rompre. La situation lui échappait complètement, et l'excitation mêlée de peur le faisait frissonner. Il eut à peine le temps de digérer la nouvelle, que des idées sales lui traversaient l’esprit. Pour qui se prenait-elle cette gamine capricieuse au teint doré ? Malgré son indignation, Marco savait qu’au fond de lui son excitation n’allait pas tarder à exploser. Tel un rat dans laboratoire, il tenta tout de même de protester, refoulant les désirs de son inconscient. — Sofia, pour qui tu te prends ?! Sofia saisit l’occasion, elle saisit Marco par le menton avec sa main gauche, tandis que sa main droite lui offrit la plus belle des claques. — Tu tiens vraiment à ce que toute l’école soit au courant que le concierge s’est laissé masturber par une étudiante ? Les yeux de Marco trahirent sa résignation. De toute façon, n’était-ce pas ce qu’il voulait ? Au fond de lui, ne désirait-il pas exactement cette réaction ? Ne cherchait-il pas à exciter son bourreau, afin que ce dernier puisse mieux le servir, c’est-à-dire le punir ? — D'accord, Sofia, je ferai ce que tu veux, dit-il, sa voix étranglée par une tension palpable. Il savait qu'il n'avait pas vraiment le choix, capturé non seulement par les liens physiques mais aussi par le jeu psychologique que Sofia menait avec une habileté déconcertante. Sofia sourit, satisfaite de sa soumission. Elle se recula pour mieux l'observer, ses yeux parcourant le visage de Marco, cherchant des signes de rébellion ou de résignation. Trouvant ce qu'elle désirait, elle continua : — Maintenant, Marco, tu vas montrer ta dévotion à ta reine. Lentement, elle se pencha et retira ses Convers, exposant ses chaussettes noires trempées de sueur de la marche rapide et de la tension du moment. — Sniffe-les, ordonna-t-elle en pointant les Convers vers Marco. Hésitant mais finalement résigné, Marco obéit, son visage se tordant en une grimace à la senteur aigre-douce. Sofia plaqua le fond de sa chaussure contre le nez de Marco. — C'est bien, Marco, tu apprends vite, ricana-t-elle, puis continua : Maintenant, lèche-les. Montre-moi à quel point tu peux être une petite salope pour moi. Marco, poussé par un mélange de peur et d'excitation, fit ce qui lui était demandé. Il parcourut de sa langue les semelles humides des Converses. Cela l’excitait. De loin, on aurait cru voir un gamin dévorant une glace en plein été. Alors qu'il obéissait, Sofia se pencha pour saisir les clés qui pendaient à sa ceinture. Avec un cliquetis métallique, elle les décrocha et se dirigea vers la porte des toilettes, verrouillant soigneusement derrière eux. En entendant le bruit de la porte verrouillée, Marco redescendit sur Terre. Il avait les mains ligotées dans le dos, était en train de lécher les baskets d’une élève, qui venait tout juste de les enfermer dans les toilettes des filles. Avec le soleil qui laissait une empreinte brûlante sur la pièce, à travers les fenêtres, et qui rendait l’air de la pièce irrespirable, Marco s’interrogeait : était-il en enfer, et Lilith venait-elle pour le punir d’avoir péché ? — Maintenant, ces toilettes deviennent notre petit sanctuaire, dit Sofia en se tournant vers Marco avec un sourire rempli de promesses. Partie 3 : Féminisme et domination =============================== Marco n’en revenait pas. Il y a 20 minutes, il venait réparer les toilettes des filles. Il y a 5 minutes, Sofia s’introduisait dans la pièce, le surprenant devant le miroir. Comment la situation avait-elle pu lui échapper à une telle vitesse ? Avec les toilettes désormais verrouillées, transformant l'espace en leur arène privée, Sofia regarda Marco, ses yeux pétillant d'une excitation cruelle. Elle s'approcha de lui, ses pas résonnant sur le carrelage froid. — Tu sais, Marco, j'apprécie vraiment ton obéissance. Ça me fait réfléchir à toutes les possibilités, dit-elle, sa voix douce trahissant la menace sous-jacente. Marco, toujours les mains liées et maintenant visiblement anxieux quant à ce que Sofia pourrait exiger ensuite, la suivait des yeux, captivé malgré lui. — Que... que veux-tu de moi, Sofia ? demanda-t-il, sa voix ébranlée par une nervosité évidente. — Oh, beaucoup de choses, Marco. Mais pour l'instant, jouons à un petit jeu, proposa Sofia, en s'asseyant sur le comptoir à côté de l'évier. Elle croisa les jambes, laissant intentionnellement sa jupe remonter légèrement pour révéler plus de ses cuisses. Ces cuisses d’une teinte dorée, ces cuisses si jeunes, ces cuisses si appétissantes, Marco allait-il pouvoir y goûter un jour ? — Je veux que tu me dises exactement ce que tu ressens maintenant, sans mentir. Pense à ce que pourrait coûter une fausse réponse, ajouta-t-elle, un sourire malicieux éclairant son visage. Marco avala sa salive, son regard fixé sur Sofia. — Je me sens... impuissant. Pourquoi fais-tu cela ? Te rends-tu compte à quel point ce que tu fais est immoral, Sofia ? Sofia était très en colère. Les paroles que Marco venait de prononcer… pour elle se résumaient à de l’hypocrisie totale. Cet homme avait apprécié lui obéir au doigt et à l’œil, et maintenant il voudrait lui faire croire que ce qu’elle fait est immoral ? Restant de marbre face à ce plaidoyer court et peu crédible, elle répliqua : — Marco, le mensonge est un luxe que tu ne peux pas te permettre, dit Sofia en posant son pied avec une légère pression sur l’entrejambe de Marco. — Tu as raison… tout ceci m’excite au plus haut point, admit-il, les yeux fuyant de gêne. — Très bien, Marco. Honnêteté et vulnérabilité peuvent être si séduisantes, répondit Sofia, descendant du comptoir. Elle s'approcha de lui, et doucement, elle effleura sa joue avec le dos de sa main. — Je vais augmenter un peu les enjeux maintenant. Chaque fois que tu répondras correctement à mes attentes, tu seras récompensé. Et si tu ne le fais pas... Sa voix s'estompait, laissant la menace suspendue dans l'air. Sofia fit le tour de Marco, inspectant ses liens pour s'assurer qu'ils étaient sécurisés. Puis, s'arrêtant derrière lui, elle se pencha et murmura à son oreille : — Tu n'es pas prêt à savoir ce que c'est de vraiment perdre le contrôle... pas encore. Mais si tu continues à bien jouer, peut-être que je te montrerai. Elle se recula, le laissant absorbé par ses paroles et clairement troublé par la promesse de plus d'intensité à venir. Marco resta là, les émotions se bousculant dans son esprit, tandis que Sofia, satisfaite de l'impact de ses mots, se préparait pour la prochaine étape de leur jeu. Elle avait clairement établi les règles, et maintenant, le vrai test de leur dynamique allait commencer. Sofia attacha ses cheveux grâce à l’élastique qu’elle portait au poignet. Debout devant Marco, telle une Valkyrie devant sa proie. Partie 4 : Tout ou rien =================== La tension dans les toilettes montait à mesure que Sofia se préparait à pousser leur jeu de domination à un nouveau niveau. Elle observa Marco, les mains toujours solidement attachées, son visage reflétant un mélange de peur et d'anticipation. — Tu sais, Marco, j'ai longtemps réfléchi à la dynamique de pouvoir entre les hommes et les femmes, commença Sofia, sa voix calme mais ferme. Pour moi, le vrai féminisme, c'est prendre le contrôle, montrer que nous, les femmes, pouvons dominer. C'est exactement ce que je fais avec toi maintenant. Marco, troublé par ses paroles, tenta de protester. — Sofia, je... je ne suis pas sûr que ce soit vraiment du féminisme, dit-il, cherchant à contester sa logique. Les hommes ont toujours… Sofia, sans hésiter, s'approcha et lui asséna une gifle retentissante. — Ça, c'est pour remettre en question mes convictions. Je te montre la force d'une femme, Marco. Et tu vas apprendre à l'apprécier, à l'adorer même, répliqua-t-elle, son regard dur ne tolérant aucune rébellion. Marco, la joue encore rougie par la gifle, baissa les yeux, son expression mêlant douleur et confusion. — Les fenêtres sont ouvertes, si tu continues Sofia quelqu’un va finir par… tenta de murmurer Marco, interrompu par une nouvelle gifle de la part de sa maîtresse. — Je... Je comprends, Sofia. Montre-moi, je t'en prie, murmura-t-il, sa résistance semblant s'effriter sous l'intensité de son autorité. — Voilà qui est mieux, sourit Sofia. Elle s'approcha encore, inclinant la tête de Marco en arrière pour le regarder dans les yeux. — Dis-moi que tu aimes être ma petite salope, Marco. Dis-le ! exigea-t-elle, sa voix douce contrastant avec la dureté de ses mots. Marco, ses yeux plongés dans ceux de Sofia, respira profondément avant de répondre avec une hésitation qui s'estompait rapidement. — J'aime être ta petite salope, Sofia, avoua-t-il, chaque mot le libérant d'une partie de son fardeau traditionnel de masculinité. Satisfaite de son aveu, Sofia se recula, son visage s'éclairant d'un sourire triomphant. — Parfait, Marco. Maintenant que tu acceptes ta place, nous pouvons vraiment commencer à nous amuser. Elle fit le tour de lui, le frôlant légèrement, lui faisant sentir la proximité de son corps, la promesse de ce qui pourrait encore survenir. Elle continua de le manipuler avec une assurance croissante, chaque interaction les enfonçant plus profondément dans leur dynamique de pouvoir renversée. Marco, maintenant immergé dans son rôle de soumis, commençait à trouver un plaisir étrange dans sa soumission, découvrant des aspects de lui-même qu'il n'avait jamais confrontés auparavant. Partie 5 : Dans l’enclos … ====================== La tension dans l'air était palpable alors que Sofia continuait à explorer les limites de leur jeu de domination. Marco, visiblement à la fois terrifié et captivé, fixait Sofia alors qu'elle se penchait pour enlever lentement une de ses chaussettes noires. — Tu aimes mes pieds, Marco ? demanda-t-elle en agitant la chaussette devant lui. Tu vas apprendre à adorer les pieds de ta reine. Sa voix était douce mais impérieuse, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres. Marco hocha la tête, sa gorge sèche à la vue de la chaussette de Sofia. Il regarda, fasciné, alors qu'elle se rapprochait, faisant danser la chaussette devant ses yeux avant de la laisser effleurer doucement son visage. L'arôme légèrement acide mais indéniablement intime de ses pieds emplissait ses narines, augmentant son excitation malgré le contexte de leur interaction. Soudain, sans avertissement, Sofia prit l’initiative. Dans un mouvement rapide, elle leva la main et frappa Marco durement dans les testicules. La douleur fulgurante le fit se courber, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres tandis qu'il luttait pour reprendre son souffle. — C'est pour te rappeler qui est en charge, dit-elle froidement, observant Marco se tordre de douleur. Alors que Marco se remettait, respirant lourdement, Sofia s'agenouilla devant lui. — Ouvre la bouche, ordonna-t-elle. Marco, encore sous le choc, obéit sans hésiter. Sofia cracha alors dans sa bouche, affirmant sa domination de la manière la plus brutale et intime possible. Sans lui laisser le temps de réagir, elle enfonça la chaussette dans sa bouche, le forçant à goûter et respirer l'essence même de sa domination. — Tu kiffes hein Marco ? Avoir les chaussettes d’une étudiante de 19 piges dans la bouche, t’aimes ça hein ? Elles sont bien sales en plus, savoure petite salope que tu es. Marco, les yeux larmoyants mais étrangement en érection, acquiesça à son sort, sa résistance brisée par la cascade d'humiliations et de plaisirs contradictoires. Sofia, satisfaite de l'effet de ses actions, se redressa, son regard parcourant le corps secoué de Marco. — C'est juste le début, mon soumis, murmura-t-elle. Elle avait clairement des plans pour lui, des idées qui poussaient les frontières de leur entente toujours plus loin. Le cou du coq était maintenant coincé entre les mâchoires du renard. Cette conclusion intense laissait présager une suite encore plus provocante, où les limites seraient repoussées et où les rôles de pouvoir pourraient être explorés avec encore plus de profondeur. Si vous avez aimé cette histoire, n’hésitez pas à liker ! Je suis friande de vos feedbacks afin de vous satisfaire avec la suite. Je mettrai peut-être les deux scénarios auxquels j’ai pensé pour la suite en commentaire, vous êtes libres de me dire ce que vous en pensez ! J’espère sincèrement que vous avez apprécié.
7 personnes aiment ça.
softman4ladies
Cette histoire m'a excité. Je m'y suis projetté.
J'aime 17/02/25
Gorparis
Je ne juge pas la qualité du texte mais ce récit n’a aucun rapport avec le BDSM mode de vie…
J'aime 21/02/25
Bonjour à vous tous , voilà quelques jours que je suis ici et je n’ai toujours pas trouver de maîtresse ou de femme qui pourraient m’être soumise, j’aime beaucoup être switch et donc m’adapter au deux , un peu déçu de ne rien trouver j’espère trouver ici. Merci
Soyez la première personne à aimer.
Jeandom
Bonjour à tous
1 personne aime(nt) ça.
Hugin
Bonjour à vous
J'aime 26/01/25
Mtrsse Madee j'aime dresser éduquer punir et asservir au cours d'une relation suivie je ne suis pas contre un débutant si sa recherche est sérieuse reposant sur de solides motivations .:.
maitresse frédérique
4 personnes aiment ça.
Hugin
Une bien jolie photo
J'aime 05/01/24
Hugin
Avec plaisir Madame
J'aime 05/01/24
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