A propos du groupe
soumise frédérique
soumise frédérique
Bonsoir Maîtresse Je me permets de vouloir vous retrouver de ma soumission etre disponible
Déesse Sonia
Je suis un homme arrivé à la cinquantaine. Je suis marié depuis longtemps. Mes enfants sont grands maintenant. J'ai un statut social enviable : un travail intéressant et ma foi fort bien payé, résidence principale et secondaire et ma femme mène elle-même une belle carrière dans laquelle elle s'implique beaucoup. Je fais tout pour cela car mes horaires sont moins étendus que les siens, ce qui me permet d'assure la majorité des taches ménagères que notre femme de ménage ne fait pas dans la journée : courses , cuisine, gestion administrative de la maison, bricolage etc... En revanche, notre vie sexuelle est bien moins glorieuse, entre le stress de son travail qui ne favorise pas l'envie de galipettes le soir, une certaine baisse de testostérone qui ne m'aide pas à être très performant et - il faut le dire- un manque de fantaisie dans nos rapports, nous ne faisons quasiment plus jamais l'amour. J'en suis réduit à lire beaucoup d'histoires érotiques sur internet, qui servent de support à des masturbations fréquentes. En revanche, afin de maintenir l'excitation, je lis des histoires de plus en plus « kinky » , ce qui a de plus fait évoluer mes goûts vers du sexe de moins en moins classique. Avec le temps je me suis découvert des penchants pour la soumission... J'adorerais partager cela avec ma femme car elle est plutôt de nature autoritaire. Une teinte FLR dans mon couple ne me déplairait pas. Hélas, en matière sexuelle, ma femme semble très classique et n'a pas l'air d'apprécier de mener le jeu... C'est d'autant plus bizarre que depuis quelques années, les seuls rapports que nous avons sont des cunnis que je pratique sur elle ... elle réclame un massage suivi d'un long cunnilingus. Elle est assez directive et me demande exactement ce qu'elle veut que je fasse avec un ton très directif. Après avoir joui bruyamment, elle s'endort égoïstement, ne daignant rien m'accorder de plus comme faveur sexuelle. Cela me convient car je me sens plutôt mari soumis dans ces moments mais j'aimerais plus. Tout cela aurait pu durer très longtemps... Cependant, il y a trois mois ma femme m'invite au restaurant un soir. Elle semble bizarre et commande deux cocktails qu'elle boit en rapide succession ... pour se donner du courage car elle m'annonce qu'elle me trompe depuis quelques mois avec le patron de la boite. Elle me dit que la situation actuelle aurait pu perdurer car elle a beaucoup d'affection pour moi mais que son amant-homme divorcé- est très jaloux et lui propose de vivre avec elle. En dehors de son statut (ce qui est d'ailleurs un problème pour elle professionnellement) , elle me dit que c'est un très bel homme mais surtout qu'il la fait jouir avec son sexe , ce que je n'ai jamais pu réellement faire. J'ai plutôt un petit sexe et plus très vaillant de nos jours. Lui est très bien monté et surtout la baise très virilement et la fait hurler de jouissance. Je ne l'ai jamais fait hurler avec ma petite queue... ma langue -elle- la fait jouir certes mais pas à ce niveau. Elle est semble -t-il accro et est désolée mais doit me quitter. Je suis un peu effondré car les enfants venant de partir de la maison depuis peu, je me voyais bien organiser ma petite vie avec elle. Le seul point positif est qu'elle garde de l'affection pour moi et que l'argent n'est pas un sujet ; le divorce se fait donc par consentement mutuel et est très rapide car nous prenons les devants en vendant notre belle maison qui part en deux jours, ce qui nous permettra de partager uniquement de l'argent quand le divorce sera finalisé. La résidence secondaire m'appartient en propre... Je dois donc trouver un logement rapidement car la vente sera effective ces jours-ci... Je trouve une petite maison dans une banlieue un peu quelconque mais qui a l'avantage d'être plutôt isolée et me permettant potentiellement de donner libre cours à mes fantasmes. Par ailleurs, je m'inscris sur plusieurs sites d'annonces afin de chercher la perle rare. Une femme plutôt dominante mais pas trop quand même...certaines histoires m'ont fait un peu peur... Plusieurs annonces attirent mon attention dont une particulièrement. Une femme, la Cinquantaine, veuve depuis quelques temps recherche un homme agréable et fiable pour être son compagnon « serviable » (uh oh?) et lui « rendre de menus services » . Quelques mails échangés plus tard, il en ressort que Madame s'appelle Diane et a envie de me rencontrer afin de voir « si nous serions compatibles ». Nous prenons rendez vous pour le vendredi suivant et nous nous rencontrons dans une grande brasserie Parisienne. J'essaye de faire bonne impression et je mets une belle chemise avec un Blazer. Je suis rasé de frais, parfumé, je pense être à mon avantage. Lorsque Diane rentre dans le restaurant, je suis scotché. Elle m'a dit avoir 50 ans mais elle en fait à peine quarante. Elle est grande et blonde avec des beaux yeux bleus rieurs, mais dégage aussi un air d'autorité tranquille. Elle a une queue de cheval, une veste en cuir, un pantalon du même tissu et des bottes. Elle ressemble à une cavalière et m'impressionne immédiatement. Je me lève pour lui serrer la main mais elle me rabroue d'un geste et me dit « assieds-toi ». Je suis désarçonné par cette phrase. Je m'assois donc. Je lui demande « veux-tu boire quelque chose? » mais elle me répond « oui avec plaisir, une coupe de champagne mais j'aimerais également que tu me vouvoies ». Je commande le champagne pour nous deux. Je ne sais que penser. Elle m'explique un peu qui elle est. Elle est chef d'entreprise et dirige un petit cabinet de conseil patrimonial d'une vingtaine de personnes. Elle fut mariée pendant 20 ans à un homme qu'elle aimait beaucoup d'un « amour non conventionnel ». Il avait lui-même hérité de sa famille et ne travaillait pas en dehors de la gestion de son patrimoine et consacrait son temps « à son bonheur, son confort et son plaisir à elle ». Cet homme était mort d'un cancer deux ans auparavant. Elle sortait d'une période de deuil et avait décidé de recommencer à vivre. Vint le tour de me présenter et je lui raconte alors succinctement ma vie. Ce qui l'intéresse beaucoup est mon investissement personnel pour la réussite de ma femme. Elle est alors assez cash avec moi : « Pourquoi ta femme est-elle partie? le sexe? » Je suis honnête et lui raconte mon insuffisance sexuelle, pensant que je ruinais ainsi tout espoir de relation avec elle. A ma grande surprise, son visage s'éclaire : « je le savais, j'ai vraiment le nez pour cela dit elle » « tu penses avoir perdu toutes tes chances... eh bien non tu te trompes car c'est exactement le contraire » « je recherche un homme pour me tenir compagnie certes mais le sexe , en tout cas pour lui, ne fait pas partie du deal. Il doit apprendre à être là pour moi...s'occuper de moi et surtout satisfaire mes besoin et mes envies » « Je penses que tu aimerais bien obéir à une femme non? Je me trompe? » Je rougis alors comme une jeune fille. Elle s'amuse, ses beaux yeux sont de plus en plus rieurs. « Bon j'ai compris ce qu'il y avait à comprendre. Si tu es intéressé, il te faut prendre une décision rapide. Je te propose trois étapes, une première période d'essai d'une semaine puis une autre de trois mois puis quelque chose de plus définitif ensuite. » « si tu es d'accord, tu dois venir habiter chez moi pour une semaine. Tu viendras dès demain. Tu pourras aller travailler en partant le matin de chez moi mais j'aimerais que tu poses au moins une journée le vendredi de la semaine prochaine ». « Ce week-end, je ne peux pas, j'ai une compétition de golf et je vois des amis samedi soir » « C'est ce week end ou rien, ce n'est pas négociable » « Bon je vais décommander » J'annonce à mes amis que je ne peux venir car j'ai attrapé la grippe... j'en fais de même à mes partenaires de Golf, la mort dans l'âme. « Je constate que tu es motivé, c'est bien et c'est nécessaire si tu veux faire partie de mon univers ». Elle s'approche de moi et - à ma grande surprise- me donne un léger baiser sur la bouche. « je compte sur toi, je t'envoie une voiture demain à 9 heures précises. Prépare des affaires pour une semaine car tu ne rentreras pas chez toi, tu iras à ton bureau en partant de chez moi » Je lui ai donné mon adresse mais pas elle. Je ne sais pas ou elle habite. Je fais rapidement mes affaires pour une semaine. La soirée est longue et plein de choses trottent dans ma tête. Dans quoi me suis-je fourré? Je suis à la fois excité et un peu inquiet. Je ne dors quasiment pas de la nuit... Le lendemain matin, je suis devant chez moi à 9 heures avec ma valise en main. Un gros SUV Mercedes s'arrête. Un homme en descend, il est habillé en chauffeur et a une casquette sur la tête. Il est grand et baraqué, il a l'air vaguement Maghrébin, en tout cas c'est plutôt un bel homme. Il est plus jeune que moi, probablement une très jeune quarantaine. Il ne sourit pas et me dit : « Mets ta valise dans le coffre et monte à côté de moi ». Je lui demande vers ou nous allons mais il ne répond pas. C'est un peu sinistre. Après une trentaine de minutes, nous arrivons dans une banlieue chic proche de Paris et nous nous arrêtons devant un portail entouré de hauts murs. Ce dernier s'ouvre lentement et nous pénétrons dans ce qui ressemble plus à un parc qu'un jardin. Nous passons devant une maison de gardien et arrivons devant une belle maison bourgeoise. Tout cela respire le luxe discret. Le chauffeur de dit de prendre ma valise et d'entrer. L'intérieur de la maison est surprenant. L'entrée est classique mais la cuisine ainsi que le salon sont très modernes et très lumineuses. Diane m'attend assise dans le salon. Je m'approche d'elle, et me penche pour lui rendre le smack de la veille mais elle me regarde dans les yeux et me dit : « Reste debout, ne t'attends pas à pouvoir m'embrasser à volonté. Le baiser d'hier était destiné à te motiver. Nous allons mettre les points sur les i». « Je recherche un bel homme pour m'accompagner chaque fois que la présence d'un homme à mes côtés sera nécessaire : évènements professionnels, réunions familiales, tu vois le genre. Cela évite les questions embarrassantes et les tentatives lourdaudes de séduction » « Le reste du temps ton rôle sera plus celui d'un domestique/homme à tout faire/masseur . J'attends de toi un dévouement complet et permanent. Si tu te poses la question de savoir si je parle d'une relation maitresse/soumis, la réponse est oui... » « Dans la hiérarchie de cette maison, tu es en bas de l'échelle, cependant je te demanderai des services que je ne demande ni à mon chauffeur Lyes, ni à mon gardien Michel que tu n'as pas encore rencontré. Tu devras me masser tous les jours, le corps et spécialement les pieds. Tu devras également me faire jouir avec ta bouche lorsque je te le demanderai » L'excitation me gagne, nous sommes dans le fantasme... « Autre chose, tu ne dormiras pas avec moi. Tu es mon domestique et mon soumis, pas mon mec. Tu auras ta propre chambre. Une dernière chose, tu peux t'en douter, il n'est pas question que tu te masturbes en pensant à moi. Tu devras porter une cage de chasteté en permanence. » « Avant que tu ailles t'installer, j'ai une dernière chose à régler avec toi. Tu seras puni si tu ne donnes pas satisfaction. Les punitions tourneront au dressage si tu décides de rester à l'issue de la semaine. Si la punition est trop dure, tu peux toujours utiliser le SafeWord « fin de partie » Dans ce cas, tout s'arrêtera mais tu seras immédiatement renvoyé chez toi et tu ne me verras plus jamais » Je suis quand même un peu sonné par ce que je viens d'entendre. Le chauffeur m'indique ma chambre. Elle se trouve dans un semi sous-sol enterre façon cour anglaise donnant sur l'arrière de la maison. Elle est très simple : un lit une place, une armoire et c'est tout. A cet étage semi enterré, il ya deux autres portes, celle d'une « salle de bain » avec un lavabo et bizarrerie, des toilettes à la turque, c'est-à-dire un trou dans le sol et un emplacement pour poser les pieds. Le confort est vraiment plus que minimal. L'autre porte, blindée celle-ci, est fermée à clef. J'apprendrai par la suite qu'il s'agit de la cave à vins, domaine reservé de l'ancien mari de Diane. Un escalier s'enfonce dans le sous-sol. Avec une certaine curiosité, je descends, les lampes s'allument automatiquement et je tombe sur un palier. Deux portes sont fermées à clef, la troisième est entrouverte. Cette pièce ressemble étrangement à une cellule. Il n'y évidemment pas de fenêtre mais Une sorte de lit en bois avec une vielle couverture poussiéreuse et un trou dans le sol dans un coin de la pièce. Des anneaux sont scellés au mur. Tout cela est fort inquiétant. Je remonte en vitesse et trouve Diane dans ma chambre. Elle me regarde fixement : « tu n'avais pas à descendre , tu découvriras bien assez tôt l'étage des châtiments » Elle a posé sur mon lit une boite qui contient manifestement une cage de chasteté. Elle me regarde et m'ordonne : « Mets la tout de suite » Je n'ai même pas eu le temps de me poser des questions. Je suis un peu gêné de devoir me déshabiller devant elle. « ne fais pas ta chochotte, j'aurais souvent l'occasion de te voir nu , dépêche-toi » J'enlève mon pantalon et mon boxer. La cage est en métal et très compacte. J'ai déjà eu l'occasion de m'amuser avec ce genre d'objet et je sais comment la mettre. L'anneau est assez confortable et la partie entourant mon sexe est très très petite mais j'apprendrai par la suite que c'est le meilleur moyen pour que son port soir facilité. Il n'y a pas de cadenas mais une serrure intégrée. Click. Je suis encagé. Alors que je pose la question, pour combien de temps, elle me répond, semblant avoir lu dans mes pensées « Tu es encagé pour toute la semaine. Je ne te libèrerai pas pour l'instant. Toute demande en ce sens aboutira à ce que ton expérience ici se termine » Alors que je commence à me rhabiller, elle intervient à nouveau : « Non, tu ne mets pas de boxer , tu n'y a plus droit , ton statut ici ne te permet que de mettre des petits culottes ou de strings. Elle prend mon boxer et me demande d'ouvrir ma valise. Elle prend tous mes sous-vêtements, boxers et chaussettes. Elle jette sur le lit, un sac plastique qu'elle avait à la main. Il est rempli de petites culottes et de strings. Ce sont des sous-vêtements bon marché, aux couleurs plutôt criardes et vulgaires. Il n'y a pas de chaussettes mais des bas de type auto-fixants mais noirs opaques. Je me demande alors ce que je vais faire avec et elle me répond, encore une fois devançant les questions «dans des chaussures de ville , ces bas totalement noir peuvent passer pour des chaussettes. De toute façon, c'est ton problème, pas le mien » Tu devras t'habituer à tout cela. Ce n'est qu'un début. Dans quel guêpier me suis-je fourré?
3 personnes aiment ça.
philou
Ça donne envie de la rencontrer..
J'aime 18/06/25
Marc Nancy
Beau récit. Impatient de découvrir la suite
J'aime 18/06/25
Merci ChatMOnYou d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
philou
Bonjour à toutes et tous ,merci de m avoir accepté dans votre groupe
Soyez la première personne à aimer.
Hugin
Bonjour et bienvenue
J'aime 18/06/25
Bonjour Mademoiselle, je suis Guillaume 36 ans de Lille et je cherche une Soumise pour vivre une relation D/s. Si vous voulez discuter avec moi...
1 personne aime(nt) ça.
AldaricSlave
Intéressant
J'aime 15/06/25
Hugin
Bonjour à vous et bonne chance pour votre recherche
J'aime 16/06/25
Maîtresse Luna
Suite Elle se flagella mentalement pour sa lubricité mais elle en voulait plus. Plus rien n'existait au monde sinon la recherche et la satisfaction de ce plaisir intense. Aussi ne réagit-elle pas lorsque son voisin introduisit deux doigts sous la culotte en coton et les promena le long de la fente baveuse. Solange haletait. Les yeux fermés, la nuque appuyée sur son dossier, la jeune fille s'abandonnait totalement au plaisir qui émanait de son bas-ventre. Après avoir vérifié que Patrick se trouvait toujours dans les bras de Morphée, elle avança son bassin au bord du siège et ne protesta pas lorsque le paysan se saisit de la culotte pour la faire glisser le long de ses jambes. Elle l'aida même en soulevant le bassin. A peine la culotte avait-elle atterri sur le lino que Solange écartait les cuisses autant que possible pour lui donner accès à son sexe en feu. L'homme reprit sa caresse avec dextérité. Il fit glisser ses doigts le long des grandes lèvres plusieurs fois. Puis, il mouilla son majeur et l'introduisit dans ce papillon de chair pour répéter le mouvement vertical avant de tourner sur le petit bouton de chair qui lui procurait tant de plaisir, arrachant un gémissement à la jeune fille. Que cet homme connaissait bien le corps de la femme, pensa Solange. Après plusieurs rapports, Patrick n'avait pas encore trouvé le clitoris. Cela lui donna encore plus envie de s'abandonner aux doigts de l'inconnu. Il continua son mouvement circulaire autour du clitoris et les hanches de la jeune fille commencèrent à se soulever toutes seules. Elle se laissa complètement aller au plaisir qui l'envahissait. En étouffant une plainte sans fin, elle jouit comme elle n'avait jamais joui. Ici, dans cet endroit de débauche, au milieu des déjections de la lie de l'humanité, Solange vécut le plus bel orgasme de sa vie de la main d'un inconnu qui avait l'âge de son père. Curieusement, la perversité de cette pensée décupla l'intensité de son plaisir. Elle referma ses cuisses précipitamment, Patrick venait de poser une main sur son genou. Solange réalisa qu'elle se trouvait à moitié dénudée avec les doigts de l'inconnu luisant de ses sécrétions sur son autel sacré. Elle se releva en vitesse pour remettre sa culotte et sa robe en place. Son cœur battait la chamade. Son fiancé était en train d'ouvrir les yeux. Elle respira, il n'avait rien vu. D'ailleurs, son attention était fixée sur l'écran où la Solange de cinéma suçait la verge de Mr. Finch comme si c'était un esquimau! Quelle horreur, même les animaux ne faisaient pas ça. Honteuse et envahie par la culpabilité, elle secoua son fiancé. - On s'en va. Je suis fatiguée, je veux me coucher. Patrick, la langue pâteuse, protesta: - Mais, le film n'est pas fini. - Bon, tu reste-là si tu veux, moi je rentre. Sur ce, elle se retourna, direction la sortie. En maugréant, le jeune homme se leva pour la suivre. Heureusement le paysan avait disparu. Arrivés à l'appartement, tous les deux s'assirent sur le lit avant de se déshabiller. Patrick lui fit tout à coup remarquer qu'un pigeon avait dû s'oublier sur son bel escarpin, il y avait une déjection blanchâtre sur le cuir. - Attends, je vais l'enlever. - Non! Solange comprit au visage de son fiancé qu'elle avait parlé très fort. - Excuse-moi, Chéri, je ne voulais pas te hurler dessus. Je vais à la salle-de-bain enlever cette tâche. Couche-toi. Sous la douche elle frotta son corps avec un gant de crin. Lorsqu'elle sortit de la salle-de-bain, Patrick ronflait sur son côté. Solange n'y prêta pas trop attention, trop de pensées se bousculaient dans sa tête. Submergée par les émotions, elle ressassait tous les événements de la soirée. La main du paysan entre ses jambes, sa verge dressée, Patrick se donnant du plaisir en public, son sosie, une femme de mauvaise vie,...Tous ces regards posés sur elle au restaurant et dans la rue, elle comprenait pourquoi maintenant, ils pensaient que c'était elle, cette femme dépravée. ''Mon Dieu, ils croient m'avoir vue nue!'' Comment pourrait-elle sortir dans la rue à partir de maintenant? La honte et la culpabilité la plongèrent dans d'affreux tourments jusqu'à ce qu'elle s'endorme.
Maîtresse Luna
1 Patrick et Solange sont jeunes, beaux et amoureux. Amis d'enfance, nés dans une petite ville de province, ils viennent de monter à Paris pour faire leurs études. Le père du jeune homme, bien que n'étant pas riche, leur loue un appartement sous les toits, dans le 9ème arrondissement de la capitale, près de la Place de Clichy. Aidés par la famille, les parents de Solange, petits notables, pourvoient au reste: la nourriture, les transports et l'argent de poche. Patrick prépare une école d'ingénieur et Solange étudie l'Histoire pour devenir enseignante. Ils se sont installés au début de ce mois d'août 1977. Ils explorent la ville tous les jours avec appréhension car leur petite cité de province ne les a pas préparés à ce tohu-bohu et cette agressivité. Pourtant, c'est le mois des congés payés, Paris s'est vidée de sa population. Mais tous ces bruits impromptus, ces véhicules qui circulent à toute allure, ces individus qui sifflent la jeune fille et lui font des propositions outrageuses leur donnent l'impression d'être des agneaux entourés de loups. En plus, il fait chaud, les deux jeunes gens transpirent sous les toits. Chez eux, la brise du soir apportait une fraîcheur bienveillante. Ici, ils étouffent, c'est pourquoi ls sortent autant que possible, dans la mesure de leurs moyens limités. Ce soir, c'est l'anniversaire de Solange, elle fête ses 19 ans. Ils ont décidé de manger au restaurant avant d'aller au cinéma. C'est la première fois car il n'y a pas de salle dans leur bourgade. Solange a revêtu sa plus belle robe, une Laura Ashley, achetée le matin avec sa marraine. La jeune fille, émerveillée par toutes ces jolies robes, avait jeté son dévolu sur un modèle qui la couvrait du cou à mi-mollet. Sa marraine, sans hésiter, lui avait déconseillé en disant qu'il faisait trop chaud pour porter une soutane. Elle l'avait alors dirigée vers une robe blanche à motif floral qui lui arrivait à mi-cuisse. - Celle-ci est parfaite, elle va très bien avec tes cheveux châtain foncé et tes yeux marrons. Solange, en l'essayant, s'était sentie un peu gênée car elle n'avait jamais porté quelque chose d'aussi léger et révélateur. Prude et timide, elle avait peur du regard des autres. ''Les gens vont penser que je suis une mauvaise fille''. Mais sa marraine avait insisté: - Regarde les clientes autour de toi, elles appartiennent à la noblesse du 6ème, à la riche bourgeoisie du 16ème, c'est la crème des beaux quartiers. Vois comme elles sont à l'aise. Crois-moi, la plupart rêverait d'avoir ta silhouette. Tu peux être fière de ton corps. N'oublie pas une chose, c'est la plus belle période de ta vie, alors profites-en. Puis, en regardant Solange de bas en haut, elle avait déclaré qu'il lui fallait une ceinture pour marquer sa taille. - Quand on est svelte comme toi, il faut se mettre en valeur. Son choix s'était vite porté sur une mince bande de cuir jaune. - Voilà, mets celle-ci, elle va très bien avec le bouton jaune des marguerites. Ne te change pas, va étrenner tout ça dehors et suis-moi, cette robe mérite des souliers adaptés. Elles avaient acheter des chaussures à talon. Oh, pas des hauts talons mais des escarpins à talons basiques moyens. Pourtant, en se regardant dans la glace, Solange avait éprouvé un choc. Devant elle, il n'y avait plus une adolescente empruntée mais une jeune fille presque adulte. Et cette adulte était beaucoup plus féminine, plus attirante. Les talons affinaient sa silhouette et allongeaient ses jambes. Marcher avait posé un challenge au début, c'était la première fois qu'elle portait des chaussures non plates. Quelques minutes plus tard, elle avait trouvé son équilibre. Sa démarche était plus chaloupée. Elle avait l'impression que son postérieur était animé d'un mouvement latéral exagéré qui ne convenait pas à une jeune fille sage. De plus, les talons et la ceinture accentuaient sa cambrure et faisaient ressortir sa poitrine, un bonnet D bien rempli. Comme si elle voulait faire passer le message qu'elle était une fille facile. Elle frissonna, une pensée salace venait de traverser son esprit: ''Avec mes fesses qui ressortent comme ça, j'ai l'air d'une chienne qui appelle le mâle pour se faire saillir''. Elle fut envahie par une brusque chaleur puis elle vit l'image de son fiancé et se fustigea pour ce qui venait de lui passer par la tête. Sans sa marraine, elle serait rentrée chez elle avec sa robe informe et ses mocassins fatigués. - Tu dois former tes chaussures à tes pieds maintenant. Je vais payer et tu continues à marcher pour t'habituer à tes escarpins. A contrecœur Solange avait fait ses premiers pas dans la rue en contemplant ses pieds. Puis, en levant les yeux, elle s'était aperçue que les gens ne la regardaient pas avec dédain mais plutôt avec envie. Avec un petit sourire satisfait, sa marraine lui dit: - Ce soir, tu seras la plus belle pour aller danser! Alors la jeune fille se redressa et se mit à marcher avec plus d'assurance. Elle ne se considérait pas comme une femme fatale, loin de là! Elle voyait juste que, grâce à cette robe et ces chaussures, le regard des gens sur elle avait changé. Elle était toujours la même, elle ne se voyait pas plus belle. Non, ce qui avait changé, c'était qu'elle se sentait plus libre. Plus besoin de se cacher sous des vêtements amples. Dans cette grande ville, personne ne la connaissait. Et si certains la jugeaient, elle ne s'en apercevrait pas; de toute façon, elle ne les verrait pas le lendemain. Elle fut tirée de ses pensées par sa marraine. - Maintenant nous allons chez le coiffeur. On dirait que tu sors du couvent avec cette queue de cheval informe. Je te verrai bien avec des vagues. Et après, on ira dans une parfumerie que je connais, il y a une très bonne maquilleuse. En rentrant chez elle, Solange se regardait dans les vitrines. Elle ne reconnaissait plus la jeune fille gauche et mal attifée qui venait de quitter sa province. Elle savait maintenant qu'elle était à sa place dans cette ville moderne et vive. Le maquillage était léger mais il mettait ses yeux en valeur. La coiffeuse avait raccourci ses cheveux et créé une ondulation qui faisait ressortir la beauté de son visage. Elle se demandait quelle serait la réaction de son fiancé en l'apercevant. La réaction fut au-delà de ses espérances. Il resta bouche bée, le cœur battant de fierté. Débarrassée de ses atours campagnards, sa fiancée personnifiait à présent la beauté et la sophistication parisienne. Lorsqu'ils sortirent le soir, il ne se rassasiait pas de l'admiration qui se peignait sur le visage des passants. Ils n'eurent pas besoin de faire la queue au restaurant, la beauté de Solange leur donna un passe-droit. Le garçon qui les conduisit à leur table lui demanda si sa femme était une actrice connue! Et le patron du restaurant leur offrit la bouteille de vin. Bienvenue dans le monde des privilégiés. En sortant de la brasserie, Solange vacilla légèrement. - Patrick, j'ai un peu trop bu. Et toi? - Euuuh, ça va mais j'ai l'impression que la rue tangue. A la vérité, il avait vidé les trois-quarts de la bouteille. Solange vit qu'il titubait. Il n'avait pas l'habitude d'ingurgiter autant de vin. Après avoir traversé un carrefour très encombré, elle s'inquiéta. - Et si on rentrait maintenant? - Ah non! On...on...euh...on na...na...on avait dit qu'on allait au...au ci...cinéma. En disant cela, il s'aperçut qu'ils se trouvaient à l'entrée d'une salle devant laquelle il passait chaque fois qu'il allait à la bibliothèque. A la différence des autres cinémas, il n'y avait pas de hall d'entrée, seulement des marches qui s'enfonçaient sous un immeuble, il n'y avait pas de fronton, il n'y avait ni affiches ni photos pour présenter les films, juste le titre en blanc sur fond rouge. Il lut à haute voix: - ''Indécences''. De quoi ça peut...peut bien parler? Solange était plus préoccupée par l'état de son fiancé que par le sens du titre. Elle se dit qu'il valait mieux qu'il soit assis devant un écran plutôt qu'en train de marcher dans ces rues pleines de danger. Aussi ne protesta-t-elle pas lorsqu'il lui dit: - A...a...allons voir. En se tenant à la rampe, il réussit à descendre sans trop de problème. En bas des marches, ils arrivèrent devant un guichet tenu par un gros bonhomme fatigué. Dès qu'il vit la jeune fille, ses yeux s'allumèrent et il posa sur elle un regard vicieux qui força Solange à tourner la tête. - Deux places, les amoureux? Patrick opina et paya sans dire un mot. Il avait bien vu le regard de convoitise du guichetier sur sa fiancée mais, dans son état d'ébriété, il n'y voyait qu'un hommage à sa beauté. Suivi de celle-ci, il se dirigea vers la salle. Après avoir poussé un battant, ils se trouvèrent plongés dans l'obscurité. Le jeune homme s'appuya sur sa dulcinée pour garder son équilibre. Solange discerna des spectateurs déjà installés, éclairés par la lumière de l'écran. Deux choses lui sautèrent aux yeux. Il n'y avait qu'une dizaine de spectateurs et ils étaient tous de sexe masculin. En plus, ils la regardaient d'une façon qui la fit frissonner. Elle n'eut pas le temps de se poser des questions, Patrick l'entrainait vers le fond de la salle dans un rang désert. Une fois assise, Solange fixa son attention sur l'écran. Le film avait déjà commencé. La scène se passait dans une cuisine. Une soubrette en uniforme essuyait le menton d'un type plutôt moche. Ce faisant, elle fit tomber une canne sur le sol. Accourut alors une femme qui semblait être la maîtresse des lieux. Le cœur de Patrick fit un bond, cette jolie brune était le portrait craché de Solange! Il se tourna vers elle. - Ca alors, tu ne m'avais pas dit que tu avais joué dans un film! C'est pour ça que le garçon croyait que tu étais une star de cinéma! Solange était fascinée. C'est vrai que cette actrice lui ressemblait beaucoup. Quant à Patrick, bluffé par la ressemblance, il envisageait sa fiancée sous un autre jour. - Elle a le même air innocent que toi, la même bouche, pleine et boudeuse, les mêmes yeux, la même coiffure. Si tu n'étais pas à côté de moi, je jurerais que tu étais rentrée dans l'écran. La patronne semblait furieuse. La bonne n'aurait pas dû accueillir son frère dans cette cuisine. Et ce type au visage narquois, ce Mr. Finch, il était séduisant dans son beau costume à rayures. Il racontait une histoire salace que Solange ne comprit pas car elle ignorait la signification du mot ''enculer''. La suite la troubla encore plus. La jolie patronne s'appelait Solange! La jeune spectatrice se tourna vers son fiancé; il avait la bouche ouverte et les yeux agrandis par la surprise. Patrick n'eut pas le temps de faire de commentaire, la situation dégénérait à l'écran, les rôles s'inversaient. La Solange du film devenait la bonniche. Elle semblait se laisser diriger par Mr. Finch. Il la fit assoir sur un canapé, à côté de lui. Il lui releva sa robe jusqu'en haut de la cuisse, découvrant des dessous très osés. La jeune fiancée n'avait jamais vu de tels dessous, des bas et un porte-jarretelle. N'était-ce pas le genre de sous-vêtements que les prostituées portaient? Elle ressentit une excitation sexuelle qui l'effraya. Elle venait de s'imaginer devant l'écran, uniquement vêtue de ces dessous obscènes, sous le regard avide des hommes présents dans la salle! Patrick, quant à lui, bandait comme jamais. Il avait l'impression qu'un autre homme que lui caressait sa fiancée, embrassait sa cuisse. Dans son état alcoolisé, il ne réfléchit pas à la perversion de cette pensée. Il banda encore plus lorsque Mr Finch déshabilla la jolie patronne. Ses dessous étaient incroyablement sexy. Il imagina que ce Don Juan était son voisin, le quadra qui vivait à côté du pavillon de ses parents. Récent divorcé, il suivait toujours Solange avec un regard malsain. Puis Mr. Finch dévoila la poitrine de sa victime. Il n'avait pas encore vu les seins de Solange mais il les imaginait semblables: pleins et fermes. Bombés même. Que cette actrice était belle! La Solange de la province n'en revenait pas. Dans quel film étaient-ils tombés? Jamais on ne montrait la nudité si crument à la télé. On ne la montrait pas du tout d'ailleurs. Cependant, elle se sentait encore plus excitée et continuait à avoir des pensées impures d'exhibition. Personne ne l'avait vue nue, ils faisaient l'amour dans le noir avec Patrick. L'idée qu'on la voit nue la perturbait. Elle aurait dû être scandalisée par ce fantasme ignoble mais c'était le contraire qui se produisait. Dans ce lieu où tout semblait permis, elle avait envie de devenir une autre. Elle attendit la suite du film avec impatience. Mr Finch avait pris Solange dans ses bras et entraînait sa partenaire à moitié dénudée dans une valse ensorcelante. Patrick faillit vomir à cause du mouvement tournant de la caméra. Sa jeune fiancée comprenait pourquoi Solange semblait passive et se laissait conduire par Mr Finch, il avait du charisme et beaucoup de charme. Elle se mit dans la peau de l'actrice et plongea son regard dans les yeux perçants du séducteur. Celui-ci se mit à embrasser les seins de la belle Solange qui se laissait toujours faire. Puis la jeune fille faillit tomber de son fauteuil, Un nouveau plan montrait une verge en train de s'enfoncer dans un vagin! On avait le droit de montrer ça? Le plan s'élargit pour dévoiler la jeune patronne allongée, nue, sur une table. Quoi, on pouvait faire l'amour sur une table? Devant d'autres personnes? Même si on ne le voyait pas, cela devait être Mr. Finch dont le sexe la pénétrait. Patrick et sa fiancée eurent la même pensée: les deux acteurs étaient sans doute mariés. Quand même, pour partager cet acte intime avec tout le monde, les valeurs morales de ce couple laissaient grandement à désirer. Cela n'empêchait pas les deux jeunes gens d'être hypnotisés par le spectacle. Patrick bandait tellement que sa verge, comprimée par le pantalon, lui faisait horriblement mal. L'alcool lui brouillant l'éducation chrétienne, il regarda à droite et à gauche puis il se débraguetta pour sortir sa bite douloureuse. Sa fiancée, estomaquée par l'audace du geste, regarda la chose, bouche bée. Surprise, elle découvrait cette colonne de chair qui la pénétrait lorsqu'ils faisaient l'amour. Puis, à son tour, elle regarda autour d'eux pour voir si quelqu'un s'était aperçu de ce geste outrageux. Ce fut à ce moment qu'elle découvrit qu'un homme plutôt âgé s'asseyait à côté d'elle. Son visage, ridé par des années d'exposition au soleil avait été rougi par l'alcool. Le béret sur la tête et sa veste de coutil trahissaient le paysan qui travaille dans les champs. Solange pensa brièvement qu'il ressemblait à son oncle par alliance Firmin, puis elle se rappela l'état de Patrick. Au moment où elle reporta son attention sur son fiancé, celui-ci éjaculait. Les jets de sperme vinrent maculer le dossier du fauteuil devant lui. Solange se retourna vers son voisin de peur qu'il n'ait vu cette abomination. Elle ne put retenir un cri de surprise, lui aussi s'était mis à l'aise et exhibait son sexe! Inconsciemment, elle remarqua qu'il était de dimension bien supérieure à celui de Patrick! Fascinée par l'engin, elle ne vit pas que l'homme la regardait d'un air goguenard. Elle sursauta lorsqu'il s'adressa à elle: - Je vois qu'elle te plaît. Prends-là dans ta main, ton copain ne s'y opposera pas. Effectivement, Patrick, affalé sur son siège, ronflait, un sourire béat sur les lèvres. Dieu merci, même s'il était toujours débraguetté, sa verge avait disparu dans son slip. La gorge nouée, le cœur battant, elle essaya d'ignorer son voisin et se concentra sur la scène qui se déroulait à l'écran. Mr. Finch devait être un bon amant car la jolie patronne n'arrêtait pas de gémir. Solange se posait des questions existentielles. Etait-elle aussi perverse que cette actrice qui gémissait de plaisir en s'accouplant avec un homme qui n'était pas son mari et qu'elle venait de rencontrer ? Solange avait chaud. Surtout entre les cuisses. C'était comme si elle était assise sur un siège chauffant. Et la chaleur la poussait à écarter les jambes. Machinalement, aidée par les vapeurs de l'alcool, elle commença à se frotter sur son siège. Elle s'imagina de nouveau à la place de l'actrice et son excitation décupla. Elle se vit les jambes écartées, accueillant le vît de Firmin. Ce fut comme si la foudre avait frappé son sexe. Toute son éducation répressive disparut sous la force de l'instinct. Tout à coup son voisin lui prit la main. Avant qu'elle ne proteste, il la posa sur son pieu de chair. Machinalement, elle referma ses doigts autour. C'était doux, plus doux que le velours. Et chaud. Et dur. Cependant, la bienséance lui ordonnait de retirer sa main. Mais le paysan la tenait fermement. Elle regarda autour d'elle, personne ne s'intéressait à eux et Patrick ronflait. L'homme imprima un mouvement vertical à leurs mains. Il se pencha vers elle et lui parla à l'oreille. Le souffle de sa bouche la fit frissonner. - Voilà, branle-moi comme ça. Elle ne pouvait pas accepter de toucher un inconnu si intimement, les bonnes manières lui interdisaient. Elle était une jeune fille bien. Que se passerait-il si Patrick la surprenait dans cet acte ignoble? Elle se tourna à nouveau vers lui. Il dormait à poings fermés. Elle se dit qu'il n'y avait personne pour lui reprocher d'obéir cet homme. Elle justifia ce qu'elle allait faire en se disant qu'elle n'avait pas le choix. Elle fut soudain envahie par un drôle de sentiment. L'excitation de transgresser un interdit alternait avec la honte de le faire. Faire ça à côté de son fiancé endormi, n'était-ce pas abject, digne d'une femme de mauvaise vie? Elle aurait voulu demander conseil à celui qui était toujours là pour l'aider mais il fallait être réaliste, il n'était pas le mieux placé ni en état de le faire. Les barrières de la bienséance disparurent, elle cessa de résister et laissa l'homme guider sa main. Instinctivement, elle comprit ce qu'elle devait faire et bientôt l'homme relâcha sa prise. Il commença à soupirer. Envahie par la fierté du travail bien accompli, Solange continua de le caresser. Plus elle pistonnait ce manche, plus elle se sentait à l'aise. Allait-il éjaculer comme son fiancé? - Oooooh, que tu fais ça bien, petite salope. L'insulte fit rougir Solange jusqu'aux oreilles. Pourtant elle continua son sacerdoce de salope. De temps en temps, elle jetait un coup d'œil aux alentours de peur de se faire pincer. Elle comprit que la possibilité que quelqu'un la voit accomplir ce geste défendu la stimulait encore plus. Tout à coup, l'homme enserra sa main dans son poing et accéléra le mouvement. Un grognement sortit de sa gorge et Solange sentit la verge se contracter pour expulser des jets de crème blanche sur le dossier du siège devant. La fièvre qui habitait le corps de la jeune salope aurait fait éclater un thermomètre. Elle réalisa que sa culotte était trempée. ''Mon Dieu, ma robe va être tachée. Que vont penser les gens quand je sortirai du cinéma?'' Sans réfléchir, la jeune fille souleva les fesses pour remonter sa jolie robe florale au-dessus de ses hanches. Le paysan prit ce geste pour une invitation. Aussi posa-t-il sa main gauche sur la cuisse découverte. Solange retint sa respiration puis se tourna vers Patrick. Il dormait toujours. Elle soupira, la main de l'homme glissait sur sa peau et faisaient naître des sensations charnelles délicieuses. C'était comme si des étincelles picotaient son épiderme au passage de la main calleuse et rappeuse. Elle rejeta la tête en arrière et se laissa aller à ces sensations. Elle en tremblait. Patrick ne l'avait jamais excitée comme ça. La main remonta le long de sa cuisse en la griffant légèrement avec les ongles, créant une traînée d'étincelles qui embrasa son sexe. Sous la force du plaisir, la jeune provinciale écarta les cuisses. Elle gémit lorsque la dextre enveloppa son sexe par-dessus la culotte.
Pas très expérimentée dans le BDSM je ne demande qu’à progresser, même si je ne m'oriente pas vers du hard. Soumise, je recherche un domi respectueux qui saura gagner ma confiance et auquel je serai ensuite dévouée .:.
Maîtresse Luna
2 Patrick et Solange sont jeunes, beaux et amoureux. Amis d'enfance, nés dans une petite ville de province, ils viennent de monter à Paris pour faire leurs études. Le père du jeune homme, bien que n'étant pas riche, leur loue un appartement sous les toits, dans le 9ème arrondissement de la capitale, près de la Place de Clichy. Aidés par la famille, les parents de Solange, petits notables, pourvoient au reste: la nourriture, les transports et l'argent de poche. Patrick prépare une école d'ingénieur et Solange étudie l'Histoire pour devenir enseignante. Ils se sont installés au début de ce mois d'août 2023. Ils explorent la ville tous les jours avec appréhension car leur petite cité de province ne les a pas préparés à ce tohu-bohu et cette agressivité. Pourtant, c'est le mois des congés payés, Paris s'est vidée de sa population. Mais tous ces bruits impromptus, ces véhicules qui circulent à toute allure, ces individus qui sifflent la jeune fille et lui font des propositions outrageuses leur donnent l'impression d'être des agneaux entourés de loups. En plus, il fait chaud, les deux jeunes gens transpirent sous les toits. Chez eux, la brise du soir apportait une fraîcheur bienveillante. Ici, ils étouffent, c'est pourquoi ls sortent autant que possible, dans la mesure de leurs moyens limités. Ce soir, c'est l'anniversaire de Solange, elle fête ses 19 ans. Ils ont décidé de manger au restaurant avant d'aller au cinéma. C'est la première fois car il n'y a pas de salle dans leur bourgade. Solange a revêtu sa plus belle robe, une Laura Ashley, achetée le matin avec sa marraine. La jeune fille, émerveillée par toutes ces jolies robes, avait jeté son dévolu sur un modèle qui la couvrait du cou à mi-mollet. Sa marraine, sans hésiter, lui avait déconseillé en disant qu'il faisait trop chaud pour porter une soutane. Elle l'avait alors dirigée vers une robe blanche à motif floral qui lui arrivait à mi-cuisse. - Celle-ci est parfaite, elle va très bien avec tes cheveux châtain foncé et tes yeux marrons. Solange, en l'essayant, s'était sentie un peu gênée car elle n'avait jamais porté quelque chose d'aussi léger et révélateur. Prude et timide, elle avait peur du regard des autres. ''Les gens vont penser que je suis une mauvaise fille''. Mais sa marraine avait insisté: - Regarde les clientes autour de toi, elles appartiennent à la noblesse du 6ème, à la riche bourgeoisie du 16ème, c'est la crème des beaux quartiers. Vois comme elles sont à l'aise. Crois-moi, la plupart rêverait d'avoir ta silhouette. Tu peux être fière de ton corps. N'oublie pas une chose, c'est la plus belle période de ta vie, alors profites-en. Puis, en regardant Solange de bas en haut, elle avait déclaré qu'il lui fallait une ceinture pour marquer sa taille. - Quand on est svelte comme toi, il faut se mettre en valeur. Son choix s'était vite porté sur une mince bande de cuir jaune. - Voilà, mets celle-ci, elle va très bien avec le bouton jaune des marguerites. Ne te change pas, va étrenner tout ça dehors et suis-moi, cette robe mérite des souliers adaptés. Elles avaient acheter des chaussures à talon. Oh, pas des hauts talons mais des escarpins à talons basiques moyens. Pourtant, en se regardant dans la glace, Solange avait éprouvé un choc. Devant elle, il n'y avait plus une adolescente empruntée mais une jeune fille presque adulte. Et cette adulte était beaucoup plus féminine, plus attirante. Les talons affinaient sa silhouette et allongeaient ses jambes. Marcher avait posé un challenge au début, c'était la première fois qu'elle portait des chaussures non plates. Quelques minutes plus tard, elle avait trouvé son équilibre. Sa démarche était plus chaloupée. Elle avait l'impression que son postérieur était animé d'un mouvement latéral exagéré qui ne convenait pas à une jeune fille sage. De plus, les talons et la ceinture accentuaient sa cambrure et faisaient ressortir sa poitrine, un bonnet D bien rempli. Comme si elle voulait faire passer le message qu'elle était une fille facile. Elle frissonna, une pensée salace venait de traverser son esprit: ''Avec mes fesses qui ressortent comme ça, j'ai l'air d'une chienne qui appelle le mâle pour se faire saillir''. Elle fut envahie par une brusque chaleur puis elle vit l'image de son fiancé et se fustigea pour ce qui venait de lui passer par la tête. Sans sa marraine, elle serait rentrée chez elle avec sa robe informe et ses mocassins fatigués. - Tu dois former tes chaussures à tes pieds maintenant. Je vais payer et tu continues à marcher pour t'habituer à tes escarpins. A contrecœur Solange avait fait ses premiers pas dans la rue en contemplant ses pieds. Puis, en levant les yeux, elle s'était aperçue que les gens ne la regardaient pas avec dédain mais plutôt avec envie. Avec un petit sourire satisfait, sa marraine lui dit: - Ce soir, tu seras la plus belle pour aller danser! Alors la jeune fille se redressa et se mit à marcher avec plus d'assurance. Elle ne se considérait pas comme une femme fatale, loin de là! Elle voyait juste que, grâce à cette robe et ces chaussures, le regard des gens sur elle avait changé. Elle était toujours la même, elle ne se voyait pas plus belle. Non, ce qui avait changé, c'était qu'elle se sentait plus libre. Plus besoin de se cacher sous des vêtements amples. Dans cette grande ville, personne ne la connaissait. Et si certains la jugeaient, elle ne s'en apercevrait pas; de toute façon, elle ne les verrait pas le lendemain. Elle fut tirée de ses pensées par sa marraine. - Maintenant nous allons chez le coiffeur. On dirait que tu sors du couvent avec cette queue de cheval informe. Je te verrai bien avec des vagues. Et après, on ira dans une parfumerie que je connais, il y a une très bonne maquilleuse. En rentrant chez elle, Solange se regardait dans les vitrines. Elle ne reconnaissait plus la jeune fille gauche et mal attifée qui venait de quitter sa province. Elle savait maintenant qu'elle était à sa place dans cette ville moderne et vive. Le maquillage était léger mais il mettait ses yeux en valeur. La coiffeuse avait raccourci ses cheveux et créé une ondulation qui faisait ressortir la beauté de son visage. Elle se demandait quelle serait la réaction de son fiancé en l'apercevant. La réaction fut au-delà de ses espérances. Il resta bouche bée, le cœur battant de fierté. Débarrassée de ses atours campagnards, sa fiancée personnifiait à présent la beauté et la sophistication parisienne. Lorsqu'ils sortirent le soir, il ne se rassasiait pas de l'admiration qui se peignait sur le visage des passants. Ils n'eurent pas besoin de faire la queue au restaurant, la beauté de Solange leur donna un passe-droit. Le garçon qui les conduisit à leur table lui demanda si sa femme était une actrice connue! Et le patron du restaurant leur offrit la bouteille de vin. Bienvenue dans le monde des privilégiés. En sortant de la brasserie, Solange vacilla légèrement. - Patrick, j'ai un peu trop bu. Et toi? - Euuuh, ça va mais j'ai l'impression que la rue tangue. A la vérité, il avait vidé les trois-quarts de la bouteille. Solange vit qu'il titubait. Il n'avait pas l'habitude d'ingurgiter autant de vin. Après avoir traversé un carrefour très encombré, elle s'inquiéta. - Et si on rentrait maintenant? - Ah non! On...on...euh...on na...na...on avait dit qu'on allait au...au ci...cinéma. En disant cela, il s'aperçut qu'ils se trouvaient à l'entrée d'une salle devant laquelle il passait chaque fois qu'il allait à la bibliothèque. A la différence des autres cinémas, il n'y avait pas de hall d'entrée, seulement des marches qui s'enfonçaient sous un immeuble, il n'y avait pas de fronton, il n'y avait ni affiches ni photos pour présenter les films, juste le titre en blanc sur fond rouge. Il lut à haute voix: - ''Indécences''. De quoi ça peut...peut bien parler? Solange était plus préoccupée par l'état de son fiancé que par le sens du titre. Elle se dit qu'il valait mieux qu'il soit assis devant un écran plutôt qu'en train de marcher dans ces rues pleines de danger. Aussi ne protesta-t-elle pas lorsqu'il lui dit: - A...a...allons voir. En se tenant à la rampe, il réussit à descendre sans trop de problème. En bas des marches, ils arrivèrent devant un guichet tenu par un gros bonhomme fatigué. Dès qu'il vit la jeune fille, ses yeux s'allumèrent et il posa sur elle un regard vicieux qui força Solange à tourner la tête. - Deux places, les amoureux? Patrick opina et paya sans dire un mot. Il avait bien vu le regard de convoitise du guichetier sur sa fiancée mais, dans son état d'ébriété, il n'y voyait qu'un hommage à sa beauté. Suivi de celle-ci, il se dirigea vers la salle. Après avoir poussé un battant, ils se trouvèrent plongés dans l'obscurité. Le jeune homme s'appuya sur sa dulcinée pour garder son équilibre. Solange discerna des spectateurs déjà installés, éclairés par la lumière de l'écran. Deux choses lui sautèrent aux yeux. Il n'y avait qu'une dizaine de spectateurs et ils étaient tous de sexe masculin. En plus, ils la regardaient d'une façon qui la fit frissonner. Elle n'eut pas le temps de se poser des questions, Patrick l'entrainait vers le fond de la salle dans un rang désert. Une fois assise, Solange fixa son attention sur l'écran. Le film avait déjà commencé. La scène se passait dans une cuisine. Une soubrette en uniforme essuyait le menton d'un type plutôt moche. Ce faisant, elle fit tomber une canne sur le sol. Accourut alors une femme qui semblait être la maîtresse des lieux. Le cœur de Patrick fit un bond, cette jolie brune était le portrait craché de Solange! Il se tourna vers elle. - Ca alors, tu ne m'avais pas dit que tu avais joué dans un film! C'est pour ça que le garçon croyait que tu étais une star de cinéma! Solange était fascinée. C'est vrai que cette actrice lui ressemblait beaucoup. Quant à Patrick, bluffé par la ressemblance, il envisageait sa fiancée sous un autre jour. - Elle a le même air innocent que toi, la même bouche, pleine et boudeuse, les mêmes yeux, la même coiffure. Si tu n'étais pas à côté de moi, je jurerais que tu étais rentrée dans l'écran. La patronne semblait furieuse. La bonne n'aurait pas dû accueillir son frère dans cette cuisine. Et ce type au visage narquois, ce Mr. Finch, il était séduisant dans son beau costume à rayures. Il racontait une histoire salace que Solange ne comprit pas car elle ignorait la signification du mot ''enculer''. La suite la troubla encore plus. La jolie patronne s'appelait Solange! La jeune spectatrice se tourna vers son fiancé; il avait la bouche ouverte et les yeux agrandis par la surprise. Patrick n'eut pas le temps de faire de commentaire, la situation dégénérait à l'écran, les rôles s'inversaient. La Solange du film devenait la bonniche. Elle semblait se laisser diriger par Mr. Finch. Il la fit assoir sur un canapé, à côté de lui. Il lui releva sa robe jusqu'en haut de la cuisse, découvrant des dessous très osés. La jeune fiancée n'avait jamais vu de tels dessous, des bas et un porte-jarretelle. N'était-ce pas le genre de sous-vêtements que les prostituées portaient? Elle ressentit une excitation sexuelle qui l'effraya. Elle venait de s'imaginer devant l'écran, uniquement vêtue de ces dessous obscènes, sous le regard avide des hommes présents dans la salle! Patrick, quant à lui, bandait comme jamais. Il avait l'impression qu'un autre homme que lui caressait sa fiancée, embrassait sa cuisse. Dans son état alcoolisé, il ne réfléchit pas à la perversion de cette pensée. Il banda encore plus lorsque Mr Finch déshabilla la jolie patronne. Ses dessous étaient incroyablement sexy. Il imagina que ce Don Juan était son voisin, le quadra qui vivait à côté du pavillon de ses parents. Récent divorcé, il suivait toujours Solange avec un regard malsain. Puis Mr. Finch dévoila la poitrine de sa victime. Il n'avait pas encore vu les seins de Solange mais il les imaginait semblables: pleins et fermes. Bombés même. Que cette actrice était belle! La Solange de la province n'en revenait pas. Dans quel film étaient-ils tombés? Jamais on ne montrait la nudité si crument à la télé. On ne la montrait pas du tout d'ailleurs. Cependant, elle se sentait encore plus excitée et continuait à avoir des pensées impures d'exhibition. Personne ne l'avait vue nue, ils faisaient l'amour dans le noir avec Patrick. L'idée qu'on la voit nue la perturbait. Elle aurait dû être scandalisée par ce fantasme ignoble mais c'était le contraire qui se produisait. Dans ce lieu où tout semblait permis, elle avait envie de devenir une autre. Elle attendit la suite du film avec impatience. Mr Finch avait pris Solange dans ses bras et entraînait sa partenaire à moitié dénudée dans une valse ensorcelante. Patrick faillit vomir à cause du mouvement tournant de la caméra. Sa jeune fiancée comprenait pourquoi Solange semblait passive et se laissait conduire par Mr Finch, il avait du charisme et beaucoup de charme. Elle se mit dans la peau de l'actrice et plongea son regard dans les yeux perçants du séducteur. Celui-ci se mit à embrasser les seins de la belle Solange qui se laissait toujours faire. Puis la jeune fille faillit tomber de son fauteuil, Un nouveau plan montrait une verge en train de s'enfoncer dans un vagin! On avait le droit de montrer ça? Le plan s'élargit pour dévoiler la jeune patronne allongée, nue, sur une table. Quoi, on pouvait faire l'amour sur une table? Devant d'autres personnes? Même si on ne le voyait pas, cela devait être Mr. Finch dont le sexe la pénétrait. Patrick et sa fiancée eurent la même pensée: les deux acteurs étaient sans doute mariés. Quand même, pour partager cet acte intime avec tout le monde, les valeurs morales de ce couple laissaient grandement à désirer. Cela n'empêchait pas les deux jeunes gens d'être hypnotisés par le spectacle. Patrick bandait tellement que sa verge, comprimée par le pantalon, lui faisait horriblement mal. L'alcool lui brouillant l'éducation chrétienne, il regarda à droite et à gauche puis il se débraguetta pour sortir sa bite douloureuse. Sa fiancée, estomaquée par l'audace du geste, regarda la chose, bouche bée. Surprise, elle découvrait cette colonne de chair qui la pénétrait lorsqu'ils faisaient l'amour. Puis, à son tour, elle regarda autour d'eux pour voir si quelqu'un s'était aperçu de ce geste outrageux. Ce fut à ce moment qu'elle découvrit qu'un homme plutôt âgé s'asseyait à côté d'elle. Son visage, ridé par des années d'exposition au soleil avait été rougi par l'alcool. Le béret sur la tête et sa veste de coutil trahissaient le paysan qui travaille dans les champs. Solange pensa brièvement qu'il ressemblait à son oncle par alliance Firmin, puis elle se rappela l'état de Patrick. Au moment où elle reporta son attention sur son fiancé, celui-ci éjaculait. Les jets de sperme vinrent maculer le dossier du fauteuil devant lui. Solange se retourna vers son voisin de peur qu'il n'ait vu cette abomination. Elle ne put retenir un cri de surprise, lui aussi s'était mis à l'aise et exhibait son sexe! Inconsciemment, elle remarqua qu'il était de dimension bien supérieure à celui de Patrick! Fascinée par l'engin, elle ne vit pas que l'homme la regardait d'un air goguenard. Elle sursauta lorsqu'il s'adressa à elle: - Je vois qu'elle te plaît. Prends-là dans ta main, ton copain ne s'y opposera pas. Effectivement, Patrick, affalé sur son siège, ronflait, un sourire béat sur les lèvres. Dieu merci, même s'il était toujours débraguetté, sa verge avait disparu dans son slip. La gorge nouée, le cœur battant, elle essaya d'ignorer son voisin et se concentra sur la scène qui se déroulait à l'écran. Mr. Finch devait être un bon amant car la jolie patronne n'arrêtait pas de gémir. Solange se posait des questions existentielles. Etait-elle aussi perverse que cette actrice qui gémissait de plaisir en s'accouplant avec un homme qui n'était pas son mari et qu'elle venait de rencontrer ? Solange avait chaud. Surtout entre les cuisses. C'était comme si elle était assise sur un siège chauffant. Et la chaleur la poussait à écarter les jambes. Machinalement, aidée par les vapeurs de l'alcool, elle commença à se frotter sur son siège. Elle s'imagina de nouveau à la place de l'actrice et son excitation décupla. Elle se vit les jambes écartées, accueillant le vît de Firmin. Ce fut comme si la foudre avait frappé son sexe. Toute son éducation répressive disparut sous la force de l'instinct. Tout à coup son voisin lui prit la main. Avant qu'elle ne proteste, il la posa sur son pieu de chair. Machinalement, elle referma ses doigts autour. C'était doux, plus doux que le velours. Et chaud. Et dur. Cependant, la bienséance lui ordonnait de retirer sa main. Mais le paysan la tenait fermement. Elle regarda autour d'elle, personne ne s'intéressait à eux et Patrick ronflait. L'homme imprima un mouvement vertical à leurs mains. Il se pencha vers elle et lui parla à l'oreille. Le souffle de sa bouche la fit frissonner. - Voilà, branle-moi comme ça. Elle ne pouvait pas accepter de toucher un inconnu si intimement, les bonnes manières lui interdisaient. Elle était une jeune fille bien. Que se passerait-il si Patrick la surprenait dans cet acte ignoble? Elle se tourna à nouveau vers lui. Il dormait à poings fermés. Elle se dit qu'il n'y avait personne pour lui reprocher d'obéir cet homme. Elle justifia ce qu'elle allait faire en se disant qu'elle n'avait pas le choix. Elle fut soudain envahie par un drôle de sentiment. L'excitation de transgresser un interdit alternait avec la honte de le faire. Faire ça à côté de son fiancé endormi, n'était-ce pas abject, digne d'une femme de mauvaise vie? Elle aurait voulu demander conseil à celui qui était toujours là pour l'aider mais il fallait être réaliste, il n'était pas le mieux placé ni en état de le faire. Les barrières de la bienséance disparurent, elle cessa de résister et laissa l'homme guider sa main. Instinctivement, elle comprit ce qu'elle devait faire et bientôt l'homme relâcha sa prise. Il commença à soupirer. Envahie par la fierté du travail bien accompli, Solange continua de le caresser. Plus elle pistonnait ce manche, plus elle se sentait à l'aise. Allait-il éjaculer comme son fiancé? - Oooooh, que tu fais ça bien, petite salope. L'insulte fit rougir Solange jusqu'aux oreilles. Pourtant elle continua son sacerdoce de salope. De temps en temps, elle jetait un coup d'œil aux alentours de peur de se faire pincer. Elle comprit que la possibilité que quelqu'un la voit accomplir ce geste défendu la stimulait encore plus. Tout à coup, l'homme enserra sa main dans son poing et accéléra le mouvement. Un grognement sortit de sa gorge et Solange sentit la verge se contracter pour expulser des jets de crème blanche sur le dossier du siège devant. La fièvre qui habitait le corps de la jeune salope aurait fait éclater un thermomètre. Elle réalisa que sa culotte était trempée. ''Mon Dieu, ma robe va être tachée. Que vont penser les gens quand je sortirai du cinéma?'' Sans réfléchir, la jeune fille souleva les fesses pour remonter sa jolie robe florale au-dessus de ses hanches. Le paysan prit ce geste pour une invitation. Aussi posa-t-il sa main gauche sur la cuisse découverte. Solange retint sa respiration puis se tourna vers Patrick. Il dormait toujours. Elle soupira, la main de l'homme glissait sur sa peau et faisaient naître des sensations charnelles délicieuses. C'était comme si des étincelles picotaient son épiderme au passage de la main calleuse et rappeuse. Elle rejeta la tête en arrière et se laissa aller à ces sensations. Elle en tremblait. Patrick ne l'avait jamais excitée comme ça. La main remonta le long de sa cuisse en la griffant légèrement avec les ongles, créant une traînée d'étincelles qui embrasa son sexe. Sous la force du plaisir, la jeune provinciale écarta les cuisses. Elle gémit lorsque la dextre enveloppa son sexe par-dessus la culotte.
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Autiliser
Bonjour le groupe
2 personnes aiment ça.
Bonjour à tous les esclave gay
J'aime 23/04/25
Hugin
Bonjour et bienvenue
J'aime 25/04/25
Autiliser
Bonjour Monsieur Laurent
J'aime 25/04/25
Iphigénie
Bonsoir, Ravie de rejoindre le groupe pour échanger et partager. À très vite
5 personnes aiment ça.
Marc94
Bienvenue Iphigénie
J'aime 30/03/25
Hugin
Bonjour et bienvenue
J'aime 31/03/25
Marc Nancy
Bonjour à vous deux. Bonne chance dans votre recherche
J'aime 31/03/25
Bonjour
J'aime 31/03/25
sissy666
Toutes et tous je vous salue. Salut collégial aux uns salutations révérentielles aux autres. Je suis présent aujourd'hui devant vous me mettant donc de fait en situation d'un présent pour Qui aurait la curiosité de dénouer le bolduc, premier pas nécessaire pour nouer des liens ou tout simplement assouvir vos besoins de contrôler si ce qui me compose pourrait combler certains de vos intérêts, puis, vice versa... Je suis par nature très chaste, nature altérée par une alterité qui aiMe chaos, (Masoch Sacher que je vous suis cérébralement fidèle), d'où ma dépendance à Vous qui décideriez de me déballer et de tester mes capacités à m'emballer dès qu'on me met sous tension et que le courant passe ; alors je serais dans l'incapacité de faire volt-face et vous seriez aux commandes d'un jouet dernier cri, un soupirant aspirant soubrettissement à vous insuffler de grands airs supérieurs, airs sur lesquels je chante vos louanges. Aléa jacta est (traduction : le hasard n'est jamais complètement à l'ouest quand il s'exprime)
Dozable
Bonsoir à toutes et à tous et merci de m'accueillir dans votre groupe
6 personnes aiment ça.
daniela_soumise
Bienvenue à vous.
J'aime 26/02/25
Soumise trav
Bienvenue
J'aime 27/02/25
Marc Nancy
Bonjour Madame Bonne chance dans votre recherche Bonne soirée
J'aime 27/02/25
###PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL######PROFIL EN SOMMEIL###Toy
Bonjour tout le monde. Merci de m'accepter parmi vous Je suis un homme soumis de 53ans de la région parisienne. J'aime être soumis à une autorité. Dociles salutations N'hésitez pas à venir vers moi pour toutes questions ou informations.Je suis à la recherche d'une Domina ou d'un Dom pour me soumettre, en ligne
Soyez la première personne à aimer.
Maîtresse Luna
Le Piège Innocent Sofia, une jeune étudiante de 19 ans au charisme audacieux et à la beauté éclatante, connaissait bien les couloirs de l'école qu’elle fréquentait depuis des années. Elle avait remarqué Marco, le concierge de 26 ans, un homme discret mais qui ne manquait pas de susciter un certain intérêt chez elle, notamment pour son fétichisme des pieds qu'elle avait découvert par hasard lors d'une conversation entendue derrière les portes de la salle des professeurs. Un jour d'automne, alors que les couloirs étaient presque vides et que le soleil lançait ses derniers rayons à travers les fenêtres hautes, Sofia mit son plan en action. Elle portait des sandales qui laissaient apparaître ses pieds parfaitement manucurés, accentuant la couleur rouge vif de son vernis. Prétextant avoir besoin d’aide pour retrouver un objet perdu sous un meuble dans une salle isolée, elle aborda Marco avec un sourire engageant. « Marco, pourrais-tu m’aider à chercher quelque chose ? Je crois que j’ai laissé tomber mon bracelet sous le bureau de la salle 103. » Sa voix était douce, presque chantante, difficile à refuser. Marco, naturellement serviable et inconscient du piège qui se refermait, acquiesça et la suivit dans la salle. Une fois à l'intérieur, Sofia s'assit sur une chaise, laissant "accidentellement" tomber son bracelet plus loin sous le bureau. « Oh non, il est vraiment trop loin pour moi, peux-tu voir si tu arrives à l’atteindre ? » demanda-t-elle en pointant du doigt l'espace confiné sous le bureau. Alors que Marco s'agenouillait pour récupérer le bracelet, Sofia déplaça discrètement ses pieds près de ses mains. Le décor était posé, le piège de Sofia prêt à se refermer sur le pauvre Marco qui n’avait encore rien vu venir. Partie 2: La Découverte Marco, concentré sur sa tâche, étendit la main sous le bureau pour récupérer le bracelet scintillant. Alors qu'il s'étirait plus loin, ses doigts effleurèrent sans le vouloir la peau douce des pieds de Sofia. Surpris, il se raidit un instant, mais un regard rapide en direction de Sofia le rassura lorsqu'il vit qu'elle ne semblait pas avoir remarqué. Il saisit le bracelet mais, au moment de se redresser, Sofia, avec un murmure presque inaudible, le stoppa. « Attends, Marco, depuis que tu es là, pourrais-tu me rendre un petit service ? Mes pieds me font terriblement souffrir aujourd'hui... » Sa voix était teintée d'une innocence feinte, et elle jouait avec ses cheveux d'une manière distrayante. « Pourrais-tu juste appuyer là, s'il te plaît ? Ça m’aiderait beaucoup. » Marco, bien que légèrement confus par la tournure des événements, acquiesça. Après tout, il était là pour aider, et il ne voulait pas paraître impoli en refusant une requête si simple. Il posa donc ses mains sur les pieds de Sofia, massant doucement, guidé par ses indications précises. « Un peu plus à gauche... oui, juste là. Oh, ça fait tellement de bien, merci, Marco, » soupira Sofia, fermant les yeux pour mieux savourer le moment. Marco, de son côté, commençait à ressentir une étrange excitation en réalisant qu'il était en train de caresser les pieds, cette partie du corps qu'il avait toujours secrètement admirée. Il continuait son massage, devenant de plus en plus consciencieux dans ses mouvements, chaque pression délibérée sur la plante et les orteils de Sofia le rapprochant dangereusement de ses propres limites. La situation prenait une tournure inattendue pour Marco, qui se trouvait désormais entraîné dans un jeu qu'il n'avait pas vu venir mais auquel il ne pouvait plus se soustraire. Sofia, observant avec satisfaction la transformation de son concierge, souriait intérieurement, sachant que le piège qu'elle avait soigneusement préparé était en train de se refermer parfaitement. Partie 3: L'Intensification Tandis que Marco continuait de masser les pieds de Sofia, il remarqua comment elle commençait à se tortiller légèrement sur sa chaise, un signe de satisfaction qu'il ne pouvait ignorer. Ses mains, initialement timides, devenaient plus audacieuses, explorant chaque courbe et chaque contour de ses pieds avec une précision croissante. « Tu es vraiment doué pour ça, Marco... Ça fait longtemps que quelqu'un n'a pas pris soin de moi de cette façon, » murmura Sofia, ses yeux mi-clos reflétant un mélange de plaisir et de malice. Elle écarta légèrement les jambes, offrant à Marco une vue plus provocante, bien que subtile. « Pourrais-tu masser un peu plus haut ? Mes chevilles sont aussi assez tendues. » Marco, son pouls s'accélérant à chaque nouvelle demande, obéit sans hésitation. Ses doigts glissèrent vers les chevilles de Sofia, effleurant la limite de ses bas. Chaque contact avec la peau légèrement plus douce au-dessus de ses pieds semblait électrifier l'atmosphère entre eux. « Oh, oui, juste là... Tu aimes toucher mes pieds, Marco ? » demanda-t-elle, un sourire en coin trahissant son jeu. Marco, pris au piège de ses propres désirs, ne pouvait que hocher la tête, incapable de formuler une réponse cohérente. « Bien, parce que j'aime vraiment quand tu le fais. Peut-être pourrais-tu... Hmm... Utiliser un peu plus de pression ? » Sa voix était devenue un souffle, chaque mot chargé d'une promesse non dite. Marco, encouragé par ses paroles, appuya plus fermement, ses pouces dessinant des cercles méthodiques sur ses chevilles, remontant progressivement vers les mollets. Sofia, à cet instant, décida de pousser le jeu un peu plus loin. « Marco, je me sens tellement détendue grâce à toi. Tu ne voudrais pas sentir mes pieds ? Ils sont si doux, tu ne trouves pas ? » Avant même qu'il puisse répondre, elle avait glissé un pied vers son visage, la pointe de son orteil frôlant doucement ses lèvres. Marco, submergé par l'odeur légère et sucrée du parfum de Sofia, se laissa aller à un moment de faiblesse. Il ouvrit la bouche, laissant l'orteil de Sofia s'y introduire doucement. Sa langue, presque par réflexe, commença à jouer avec, goûtant la peau douce et la courbe délicate de son orteil. « Ça te plaît, Marco ? Tu aimes le goût de mes pieds ? » chuchota Sofia, un frisson de plaisir parcourant son échine alors qu'elle observait Marco succomber à ses caprices. Leurs yeux se rencontrèrent, et dans le regard de Marco, il y avait un mélange de désir, de confusion, et d'un consentement muet à continuer ce jeu érotique. Sofia savait qu'elle avait maintenant le contrôle total, et elle comptait bien utiliser chaque seconde de ce pouvoir pour mener ce jeu à son paroxysme. Partie 4: Le Jeu de Pouvoir Avec Marco à genoux, étreignant les pieds de Sofia comme s’il découvrait un nouveau sanctuaire de plaisir, la jeune femme prit un malin plaisir à accentuer son contrôle sur lui. Ses orteils jouaient maintenant librement sur le visage de Marco, explorant ses lèvres, sa langue, et même se risquant parfois à frôler ses joues, laissant derrière eux une trace humide qui témoignait de leur passage. « Tu sembles vraiment apprécier ça, Marco. Je me demande... » commença-t-elle, sa voix traînante et chargée d'une promesse indéfinie, « combien tu serais prêt à aller loin pour moi ? » Son pied gauche, toujours engagé dans cette danse séduisante avec la bouche de Marco, pressa un peu plus fort, tandis que son autre pied se glissait sous le menton de Marco, le forçant à lever les yeux vers elle. Marco, dont le visage était maintenant rougi par l'excitation et une pointe de honte, fixait Sofia, cherchant une trace de remords ou d’hésitation. Mais il ne trouvait que détermination et amusement dans ses yeux. « Tout ce que tu veux, Sofia... » murmura-t-il, sa voix presque brisée par le désir. Sofia sourit, satisfaite de sa réponse. « Bien, alors prouvons-le. » Avec une agilité surprenante, elle se leva de sa chaise, se plaçant debout juste devant Marco, dominant la scène. « Embrasse mes pieds, Marco. Montre-moi à quel point tu les apprécies. » Marco, sans hésitation, embrassa d'abord le dessus de son pied droit, puis le gauche, ses lèvres déposant des baisers humides et bruyants sur chaque orteil, chaque coup de langue illustrant sa dévotion et sa soumission croissantes à ses désirs. Les soupirs de Sofia se mélangeaient aux bruits de ses baisers, créant une symphonie érotique qui résonnait dans la salle isolée. « Ça te plaît d'être à ma merci, n'est-ce pas ? » taquina-t-elle, tandis que ses mains jouaient avec ses propres cheveux, tirant légèrement sur les mèches pour accentuer chaque sensation. « Oui, Sofia... beaucoup, » répondit Marco, son esprit embrumé par le parfum et le goût de ses pieds. Profitant de cet avantage, Sofia dirigea alors Marco dans une danse encore plus intime. « Lèche mes chevilles, remonte le long de mes jambes. Je veux sentir ta langue partout... » ordonna-t-elle, chaque mot prononcé avec une autorité croissante. Marco obéit, sa langue traçant un chemin humide le long de ses chevilles jusqu'à ses mollets, explorant chaque parcelle de peau offerte avec une ardeur renouvelée. Les gémissements de plaisir de Sofia servaient d'encouragement, poussant Marco à se dépasser dans son rôle de serviteur dévoué à ses pieds. Sofia, debout au-dessus de lui, savourait chaque instant de ce pouvoir qu’elle exerçait, chaque soupir de Marco ajoutant à son excitation. Partie 5: L'Escalade du Désir Alors que Marco continuait d'explorer avec sa langue les jambes de Sofia, celle-ci, debout et dominatrice, commença à diriger ses mouvements avec plus de précision. Elle guidait sa tête d'une main ferme, accentuant la pression de ses doigts dans ses cheveux chaque fois qu'elle désirait une attention plus poussée sur une zone particulière. « Plus haut, Marco... ne t'arrête pas là, » commanda Sofia, sa voix tremblante de désir. Marco obéissait, sa langue lascive et obéissante glissant sur ses genoux, puis s'aventurant audacieusement vers l'intérieur de ses cuisses, là où la chaleur et le parfum de Sofia devenaient plus intenses. Sofia gémissait ouvertement maintenant, ses hanches ondulant légèrement pour rencontrer chaque coup de langue, chaque souffle chaud que Marco envoyait contre sa peau. Elle sentait l'excitation monter en elle, une vague de plaisir qui menaçait de la submerger à tout instant. « Tu aimes ça, n'est-ce pas ? Sentir comment tu me rends folle ? » lança-t-elle entre deux halètements. Marco, complètement emporté par le moment, ne pouvait que gémir en réponse, sa dévotion et son désir pour elle évidents dans chaque mouvement désespéré de sa langue. Sofia, alors, décida de prendre les choses encore plus en main. Elle se recula légèrement, poussant Marco à se mettre à quatre pattes, et dirigea son visage vers l'endroit où ses pieds avaient été il y a seulement quelques instants. « Maintenant, montre-moi à quel point tu adores chaque partie de moi. Commence par mes pieds, encore une fois. » Marco s'exécuta, embrassant et léchant ses pieds avec une ferveur renouvelée. Il remonta le long de ses jambes, chaque baiser laissé sur sa peau semblait brûler un message clair de soumission et de désir. Sofia, se sentant puissante et presque déifiée par l'attention que Marco lui portait, dirigea ses mains vers son propre corps, ses doigts jouant avec les bords de sa jupe. « Je veux que tu goûtes chaque partie de moi, Marco... ne me déçois pas, » souffla-t-elle, ses yeux brillant d'une lueur sauvage et contrôlante. Marco, guidé par les mots et les mains de Sofia, continua son exploration érotique, chaque mouvement de sa langue et de ses lèvres un hommage à la femme qui le dominait complètement. Alors qu'ils atteignaient un point de non-retour, Sofia murmura, « C’est juste le début, Marco... Je veux plus, beaucoup plus. » Partie 6: Nouveaux Horizons Sofia, avec un sourire malicieux et une étincelle de désir dans les yeux, guida Marco vers une vieille chaise en bois qui se trouvait au fond de la classe. « Assieds-toi ici, » ordonna-t-elle, pointant du doigt la chaise qui semblait presque témoigner de nombreux secrets inavoués. Marco s'exécuta sans hésiter, son cœur battant à tout rompre alors qu'il prenait place, son regard fixé sur Sofia qui semblait incarner à cet instant une déesse de la séduction. Sofia se dirigea vers le bureau du professeur, fouillant dans les tiroirs jusqu'à ce qu'elle trouve ce qu'elle cherchait : une règle en bois longue et robuste. Avec un sourire qui ne présageait rien de bon pour Marco, elle retourna vers lui, la règle à la main. « Cela nous sera utile pour mesurer à quel point tu es dévoué, » dit-elle en faisant claquer doucement la règle contre sa paume. Elle s'approcha ensuite de Marco, plaçant un pied sur ses genoux, lui offrant une vue imprenable sur ses pieds parfaitement soignés. « Je veux que tu me montres à quel point tu peux être bon pour moi, Marco. Je veux que tu fasses quelque chose de spécial avec ces pieds que tu aimes tant. » Marco, excité et en même temps nerveux par cette tournure de plus en plus audacieuse, acquiesça. Sofia positionna alors ses pieds sur le bassin de Marco, ses orteils jouant taquineusement avec la ceinture de son pantalon. Elle commença lentement à déplacer ses pieds, ses orteils agiles pinçant et tirant le tissu, créant une tension insoutenable pour Marco. Puis, avec une précision et un contrôle exquis, Sofia commença à donner à Marco un footjob. Ses pieds glissaient sur le tissu, pressant et caressant à travers le matériau, chaque mouvement calculé pour le mener au bord de la folie. Les orteils de Sofia manipulaient habilement la forme qui se dessinait sous ses pieds, pressant à intervalles réguliers pour maximiser l'effet de chaque toucher. Marco, submergé par le mélange de douleur et de plaisir, gémissait à chaque mouvement des pieds de Sofia, son corps tendu comme une corde prête à lâcher. Sofia, observant avec délice l'effet de ses actions, augmentait l'intensité de ses mouvements, sa cheville tournant et ses pieds frottant avec une précision qui ne laissait aucun doute sur son expertise. « Regarde-moi, Marco. Je veux que tu voies ce que tu aimes tant en action, » dit-elle, sa voix douce mais ferme. Marco levait les yeux, son regard capturé par l'image de Sofia dominante, contrôlant chaque aspect de son plaisir avec rien de plus que ses pieds habiles et cette règle en bois qui tapotait à chaque mouvement sur le sol, rythmant l'expérience comme un métronome de désir. Partie 7: La Domination Exquise Sofia, tout en maintenant ses pieds en action, saisit fermement la règle en bois, la faisant légèrement onduler dans l'air avant de la laisser retomber avec précision sur les cuisses de Marco. Le claquement sec de la règle contre sa peau se mélangeait aux gémissements de plaisir et de douleur qui s'échappaient des lèvres de Marco, créant un tableau de sensations mêlées. « Aime ça, Marco ? » demanda Sofia d'une voix suave, tout en administrant une autre petite gifle avec la règle. Elle ajusta son pied, le plaçant avec plus de force sur le bassin de Marco, pressant et frottant avec une intensité mesurée. « Oui, Sofia, s'il te plaît, continue... je t'en supplie, » répondit Marco, sa voix tremblante sous l'effet de l'intense plaisir mêlé à la douleur douce que lui infligeaient les pieds et la règle de Sofia. Les pieds de Sofia dansaient maintenant une valse experte sur le membre de Marco, encore caché sous ses vêtements mais clairement dessiné par les mouvements précis et méthodiques de ses orteils. Elle utilisait le gros orteil pour exercer une pression rythmée sur le dessus, tandis que les autres orteils jouaient autour, alternant pression et caresse, chaque mouvement calculé pour tirer le maximum de réactions de Marco. « Regarde comment tes pieds, ceux que tu aimes tant, te dominent complètement, Marco. Est-ce que ça te plaît d'être à ma merci ? » Elle accentua ses paroles avec un autre coup de règle, cette fois légèrement plus bas, frôlant l'espace où le plaisir se concentrait le plus intensément. « Oui, oui, Sofia... c'est incroyable. Je veux... je veux... » Marco luttait pour former des phrases complètes, sa concentration brisée par les vagues de plaisir qui déferlaient sur lui. « Tu veux quoi, Marco ? Dis-le moi. Dis-moi ce que tu veux que je fasse, » insistait Sofia, tout en continuant son traitement dual de plaisir et de douleur. Ses pieds accéléraient leur rythme, son gros orteil appuyant et tournant de manière presque torturante. « Je veux... je veux éjaculer, Sofia, s'il te plaît, laisse-moi... » supplia Marco, son corps tendu au point de rupture sous la pression croissante et les sensations presque insupportables que Sofia lui administrait. Sofia sourit, satisfaite de l'effet qu'elle avait sur Marco, et décida d'intensifier encore ses actions. « Peut-être... mais seulement si tu continues à être un bon garçon et à faire exactement ce que je dis. » Elle augmenta la pression avec ses pieds, ses orteils serrant et glissant avec une précision exquise, tout en continuant à donner de petites tapes avec la règle pour maintenir Marco sur le fil du rasoir entre douleur et plaisir. Partie 9: L'Apogée et la Soumission Ultime Sofia, maintenant pleinement en contrôle de la situation, observa Marco avec une satisfaction mêlée d'un désir impérieux. « Marco, déboutonne ton pantalon, » ordonna-t-elle, sa voix ferme et dénuée de toute hésitation. Marco, obéissant et dévoré par le besoin impérieux de se libérer des contraintes de son vêtement, s'exécuta rapidement, ses mains tremblantes alors qu'il libérait son membre tendu et prêt. Sofia intensifia ses actions, ses pieds travaillant avec une efficacité accrue. Elle positionna son pied droit de manière à ce que son gros orteil et le ballon de son pied pressent fermement contre lui, créant une friction exquise. Son pied gauche caressait et tapotait le bas de son abdomen, ajoutant une couche supplémentaire de sensations. Marco gémissait à chaque mouvement, chaque pression de Sofia. Il était au bord de l'abîme, chaque seconde le rapprochant du point de non-retour. « Sofia... je... je vais... » bégaya-t-il, incapable de compléter sa phrase tant l'intensité de ses sensations l'overwhelmait. « Fais-le, Marco. Fais-le maintenant, » commanda Sofia, son ton de voix trahissant une pointe d'urgence. Marco ne put résister davantage; avec un cri étouffé, il atteignit l'apogée, son corps secoué par des spasmes alors que l'éjaculation le libérait de la tension accumulée. Les gouttes de sperme s'éparpillèrent, certaines atterrissant sur la règle en bois que Sofia tenait toujours. Sofia, avec un sourire triomphant, ramassa une partie du sperme de Marco avec la règle, observant la texture et la brillance du liquide avec une curiosité presque scientifique. Puis, sans un mot, elle donna une gifle cinglante à Marco avec la règle enduite, marquant sa joue avec un mélange de douleur et de plaisir. « Voilà ce que signifie être à ma merci, Marco. Chaque fois que tu verras cette règle, tu te souviendras de ce moment, de la domination et du plaisir. Tu te souviendras de ton appartenance, » dit-elle doucement, presque avec affection, tandis que Marco, encore haletant, acquiesçait, une trace rouge sur sa joue et un regard de soumission absolue dans ses yeux. Sofia replaça ses pieds sur le sol, se redressa et ajusta sa tenue comme si de rien n'était. Marco, toujours assis, regardait Sofia avec une admiration mêlée de crainte, sachant bien que rien ne serait plus jamais pareil entre eux. Ceci conclut votre histoire érotique en neuf parties. Si vous souhaitez une autre narration ou explorer un autre scénario, n'hésitez pas à le demander.
4 personnes aiment ça.
Gorparis
Aucun rapport avec le bdsm art de vivre. Je suis perplexe…
J'aime 21/02/25
Maîtresse Luna
Suite partie 1: Le cours de géographie de Sofia battait son plein dans une salle baignée de lumière naturelle. Assise à côté de la fenêtre, elle feignait une attention partielle, jetant occasionnellement des réponses à demi-sourire aux questions du professeur. Le vrai sujet de son intérêt n'était pourtant pas les plateaux et les vallées dont parlait le prof, mais plutôt les dynamiques plus personnelles et secrètes qu'elle entretenait. Un de ses camarades, Thomas, leva la main et posa une question complexe sur les impacts économiques du changement climatique sur les régions méditerranéennes. Pendant que le professeur se lançait dans une explication détaillée, Sofia profita de l'occasion pour se perdre dans ses pensées, revenant à leur dernière rencontre clandestine avec Marco. Sofia songea à tout ce qui s’était produit. Elle avait tendu un piège à Marco, ce dernier était tombé dedans comme un bleu. Elle se souvenait progressivement de tout ce qui s’était passé ce jour-là dans la salle 103. Elle avait dominé Marco, et ce dernier qui semblait en apparence si sûr de lui, était en fait séduit à l’idée qu’elle recommence. Elle se souvenait de la langue de Marco effleurant son gros orteil. Elle se souvenait de l’éjaculation de Marco, de la latte et… de la violente gifle que Sofia lui avait assénée. Il faut dire que Sofia était habituée à la violence. D’origine maghrébine, elle avait l’habitude de voir des bagarres dans sa rue étant jeune. Pour elle, une gifle c’était quelque chose d'insignifiant. Pourtant ce jour-là, la claque qu’elle avait assénée à Marco avait une signification profonde pour elle. Cette jeune étudiante dominant un homme. Sofia avait toujours prôné le féminisme, et cette gifle, le souvenir de cette gifle, réveillait en elle une excitation profonde. Tandis que Thomas continuait à dialoguer avec le professeur à propos des conséquences du changement climatique, Sofia regardait par la fenêtre le soleil embrasser la cour. Quand soudain… Son attention fut soudainement capturée par la silhouette de Marco qui traversait la cour visible à travers la grande fenêtre de la classe. Elle le vit pousser un chariot rempli d'outils et se diriger vers le bâtiment principal. Observant son allure décidée, elle sentit une vague de souvenir et d'anticipation monter en elle. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, il avait été question de confidences murmurées et de contacts furtifs dans une salle déserte, une rencontre qui avait laissé des traces indélébiles dans son esprit. Petit à petit, Sofia se mit à fantasmer sur des rencontres fictives avec Marco. Elle prenait beaucoup de plaisir à projeter tout ce qu’elle pourrait faire si l’occasion lui en était donnée d’avoir de nouveau Marco sous son joug. Cessant de rêvasser et se rappelant soudainement que Marco était en train de se diriger vers les toilettes pour une réparation, elle concocta rapidement un plan pour le rejoindre. Ainsi, quand le professeur marqua une pause, Sofia saisit sa chance. — Excusez-moi, Monsieur, je me sens un peu mal. Pourrais-je aller aux toilettes ? Sa voix, teintée d'un léger tremblement pour plus de crédibilité, fit son effet. Avec un signe de tête, le professeur lui accorda la permission de sortir. Sofia se leva avec empressement, ajustant discrètement ses Converses basses et tirant sur ses chaussettes noires. Elle sortit de la salle, son cœur battant à la perspective de ce qui pourrait suivre. Dans le couloir calme, elle accéléra le pas, se dirigeant vers les toilettes des filles où elle espérait trouver Marco. Son entrée fut silencieuse, les bruits des outils masquant son approche. Elle le trouva là, penché sous l'évier, concentré sur son travail. À ce moment précis, Sofia avait le regard d’un renard qui venait de mettre la patte sur un poulailler à découvert. Elle était rusée de nature et comptait bien se jouer de sa proie. Se glissant discrètement derrière lui, elle attendit le moment parfait pour annoncer sa présence. Lorsque Marco ajusta sa position, son reflet apparut dans le miroir, et Sofia en profita. — Marco, comment vas-tu aujourd'hui ? dit-elle, sa voix drapée d'un ton doucereux et chargé d'intentions. Marco sursauta visiblement, son visage reflétant une surprise totale mélangée à une pointe de rougeur, rappelant leur dernier échange plus intime et la dominance qu'elle avait exercée sur lui. Le jeu venait de recommencer, plus lentement, plus intentionnellement. Le renard est dans l’enclos… Partie 2 : Le renard pourchasse sa proie… ===================================== Marco, encore sous le choc de la soudaine apparition de Sofia dans les toilettes, mit quelques secondes à récupérer ses esprits. Son visage, rougi par la surprise et peut-être par le souvenir de leur précédente rencontre, s'illumina d'un sourire nerveux. — Sofia... tu m'as fait peur, dit-il enfin, une main sur le cœur, essayant de masquer son trouble. — Je vais bien, merci. Et toi, tout va bien ? Sa voix était légèrement tremblante, trahissant son agitation intérieure. Sofia s'avança d'un pas, réduisant l'espace entre eux, son expression pleine de malice. Marco se contrôlait pour ne pas laisser ses yeux distraits trahir son appréhension. — Oh, je n'ai jamais été mieux, répondit-elle doucement, son regard fixé sur lui, scrutant chaque réaction. — Mais dis-moi, Marco, te souviens-tu de notre dernier petit jeu ? Sa voix baissa, chargée d'une promesse implicite, tandis qu'elle jouait distraitement avec une mèche de ses cheveux noirs. Marco n’en revenait pas. Elle avait brisé ce tabou d’une traite, lui qui espérait qu’elle passerait l’affaire sous silence. D’un autre côté, le parfum de Sofia emplissait la pièce, un parfum agréable et fruité. Sa robe noire contrastait avec sa peau dorée, Marco sans s’en rendre compte, était de nouveau en train de se faire piéger. Marco avala difficilement sa salive, ses yeux ne pouvant s'empêcher de glisser sur la silhouette de Sofia. La robe moulante noire qu'elle portait accentuait ses courbes, et malgré les chaussettes noires, ses pieds semblaient inviter au toucher. — Je... oui, je m'en souviens très bien, admit-il, son regard un peu trop fixé sur les pieds de Sofia avant de remonter vers son visage. Profitant de son trouble évident, Sofia prit une démarche plus audacieuse. Elle se rapprocha encore, jusqu'à ce qu'ils soient presque nez à nez. — Et n'as-tu pas honte, Marco, de te laisser ainsi dominer par une simple étudiante !? Sa question, teintée d'un défi ouvert, fit rougir Marco encore plus profondément. Avant que Marco puisse formuler une réponse, Sofia se pencha vers le chariot d'outils à côté d'eux et en sortit un rouleau de scotch. — Je crois que nous devons ajouter un peu plus de piquant à notre jeu, murmura-t-elle. — Que comptes-tu faire avec ce scotch Sofia ? Remets-le où tu l’as trouvé ! balança Marco. Sofia, semblant indifférente à ces remarques, commença à lui ligoter les mains avec une expertise qui indiquait qu'elle avait bien réfléchi à ce moment. Elle répliqua aussitôt. — Marco, si tu ne veux pas que je révèle ce qu'il s'est passé la dernière fois, et que tu perdes ton travail, tu ferais mieux d'obéir, murmura Sofia tout près de son oreille, laissant le ruban adhésif s'enrouler avec précision autour de ses poignets. Son ton était doux mais ferme, son regard fixe transmettant la gravité de sa menace. Toute envie de se débattre quitta Marco, tant ce dernier était choqué par la phrase qu’il venait d’entendre. Perdre son travail ? Sofia était-elle réellement en train de lui faire du chantage ?! Marco, les mains maintenant solidement attachées, sentit son cœur battre à tout rompre. La situation lui échappait complètement, et l'excitation mêlée de peur le faisait frissonner. Il eut à peine le temps de digérer la nouvelle, que des idées sales lui traversaient l’esprit. Pour qui se prenait-elle cette gamine capricieuse au teint doré ? Malgré son indignation, Marco savait qu’au fond de lui son excitation n’allait pas tarder à exploser. Tel un rat dans laboratoire, il tenta tout de même de protester, refoulant les désirs de son inconscient. — Sofia, pour qui tu te prends ?! Sofia saisit l’occasion, elle saisit Marco par le menton avec sa main gauche, tandis que sa main droite lui offrit la plus belle des claques. — Tu tiens vraiment à ce que toute l’école soit au courant que le concierge s’est laissé masturber par une étudiante ? Les yeux de Marco trahirent sa résignation. De toute façon, n’était-ce pas ce qu’il voulait ? Au fond de lui, ne désirait-il pas exactement cette réaction ? Ne cherchait-il pas à exciter son bourreau, afin que ce dernier puisse mieux le servir, c’est-à-dire le punir ? — D'accord, Sofia, je ferai ce que tu veux, dit-il, sa voix étranglée par une tension palpable. Il savait qu'il n'avait pas vraiment le choix, capturé non seulement par les liens physiques mais aussi par le jeu psychologique que Sofia menait avec une habileté déconcertante. Sofia sourit, satisfaite de sa soumission. Elle se recula pour mieux l'observer, ses yeux parcourant le visage de Marco, cherchant des signes de rébellion ou de résignation. Trouvant ce qu'elle désirait, elle continua : — Maintenant, Marco, tu vas montrer ta dévotion à ta reine. Lentement, elle se pencha et retira ses Convers, exposant ses chaussettes noires trempées de sueur de la marche rapide et de la tension du moment. — Sniffe-les, ordonna-t-elle en pointant les Convers vers Marco. Hésitant mais finalement résigné, Marco obéit, son visage se tordant en une grimace à la senteur aigre-douce. Sofia plaqua le fond de sa chaussure contre le nez de Marco. — C'est bien, Marco, tu apprends vite, ricana-t-elle, puis continua : Maintenant, lèche-les. Montre-moi à quel point tu peux être une petite salope pour moi. Marco, poussé par un mélange de peur et d'excitation, fit ce qui lui était demandé. Il parcourut de sa langue les semelles humides des Converses. Cela l’excitait. De loin, on aurait cru voir un gamin dévorant une glace en plein été. Alors qu'il obéissait, Sofia se pencha pour saisir les clés qui pendaient à sa ceinture. Avec un cliquetis métallique, elle les décrocha et se dirigea vers la porte des toilettes, verrouillant soigneusement derrière eux. En entendant le bruit de la porte verrouillée, Marco redescendit sur Terre. Il avait les mains ligotées dans le dos, était en train de lécher les baskets d’une élève, qui venait tout juste de les enfermer dans les toilettes des filles. Avec le soleil qui laissait une empreinte brûlante sur la pièce, à travers les fenêtres, et qui rendait l’air de la pièce irrespirable, Marco s’interrogeait : était-il en enfer, et Lilith venait-elle pour le punir d’avoir péché ? — Maintenant, ces toilettes deviennent notre petit sanctuaire, dit Sofia en se tournant vers Marco avec un sourire rempli de promesses. Partie 3 : Féminisme et domination =============================== Marco n’en revenait pas. Il y a 20 minutes, il venait réparer les toilettes des filles. Il y a 5 minutes, Sofia s’introduisait dans la pièce, le surprenant devant le miroir. Comment la situation avait-elle pu lui échapper à une telle vitesse ? Avec les toilettes désormais verrouillées, transformant l'espace en leur arène privée, Sofia regarda Marco, ses yeux pétillant d'une excitation cruelle. Elle s'approcha de lui, ses pas résonnant sur le carrelage froid. — Tu sais, Marco, j'apprécie vraiment ton obéissance. Ça me fait réfléchir à toutes les possibilités, dit-elle, sa voix douce trahissant la menace sous-jacente. Marco, toujours les mains liées et maintenant visiblement anxieux quant à ce que Sofia pourrait exiger ensuite, la suivait des yeux, captivé malgré lui. — Que... que veux-tu de moi, Sofia ? demanda-t-il, sa voix ébranlée par une nervosité évidente. — Oh, beaucoup de choses, Marco. Mais pour l'instant, jouons à un petit jeu, proposa Sofia, en s'asseyant sur le comptoir à côté de l'évier. Elle croisa les jambes, laissant intentionnellement sa jupe remonter légèrement pour révéler plus de ses cuisses. Ces cuisses d’une teinte dorée, ces cuisses si jeunes, ces cuisses si appétissantes, Marco allait-il pouvoir y goûter un jour ? — Je veux que tu me dises exactement ce que tu ressens maintenant, sans mentir. Pense à ce que pourrait coûter une fausse réponse, ajouta-t-elle, un sourire malicieux éclairant son visage. Marco avala sa salive, son regard fixé sur Sofia. — Je me sens... impuissant. Pourquoi fais-tu cela ? Te rends-tu compte à quel point ce que tu fais est immoral, Sofia ? Sofia était très en colère. Les paroles que Marco venait de prononcer… pour elle se résumaient à de l’hypocrisie totale. Cet homme avait apprécié lui obéir au doigt et à l’œil, et maintenant il voudrait lui faire croire que ce qu’elle fait est immoral ? Restant de marbre face à ce plaidoyer court et peu crédible, elle répliqua : — Marco, le mensonge est un luxe que tu ne peux pas te permettre, dit Sofia en posant son pied avec une légère pression sur l’entrejambe de Marco. — Tu as raison… tout ceci m’excite au plus haut point, admit-il, les yeux fuyant de gêne. — Très bien, Marco. Honnêteté et vulnérabilité peuvent être si séduisantes, répondit Sofia, descendant du comptoir. Elle s'approcha de lui, et doucement, elle effleura sa joue avec le dos de sa main. — Je vais augmenter un peu les enjeux maintenant. Chaque fois que tu répondras correctement à mes attentes, tu seras récompensé. Et si tu ne le fais pas... Sa voix s'estompait, laissant la menace suspendue dans l'air. Sofia fit le tour de Marco, inspectant ses liens pour s'assurer qu'ils étaient sécurisés. Puis, s'arrêtant derrière lui, elle se pencha et murmura à son oreille : — Tu n'es pas prêt à savoir ce que c'est de vraiment perdre le contrôle... pas encore. Mais si tu continues à bien jouer, peut-être que je te montrerai. Elle se recula, le laissant absorbé par ses paroles et clairement troublé par la promesse de plus d'intensité à venir. Marco resta là, les émotions se bousculant dans son esprit, tandis que Sofia, satisfaite de l'impact de ses mots, se préparait pour la prochaine étape de leur jeu. Elle avait clairement établi les règles, et maintenant, le vrai test de leur dynamique allait commencer. Sofia attacha ses cheveux grâce à l’élastique qu’elle portait au poignet. Debout devant Marco, telle une Valkyrie devant sa proie. Partie 4 : Tout ou rien =================== La tension dans les toilettes montait à mesure que Sofia se préparait à pousser leur jeu de domination à un nouveau niveau. Elle observa Marco, les mains toujours solidement attachées, son visage reflétant un mélange de peur et d'anticipation. — Tu sais, Marco, j'ai longtemps réfléchi à la dynamique de pouvoir entre les hommes et les femmes, commença Sofia, sa voix calme mais ferme. Pour moi, le vrai féminisme, c'est prendre le contrôle, montrer que nous, les femmes, pouvons dominer. C'est exactement ce que je fais avec toi maintenant. Marco, troublé par ses paroles, tenta de protester. — Sofia, je... je ne suis pas sûr que ce soit vraiment du féminisme, dit-il, cherchant à contester sa logique. Les hommes ont toujours… Sofia, sans hésiter, s'approcha et lui asséna une gifle retentissante. — Ça, c'est pour remettre en question mes convictions. Je te montre la force d'une femme, Marco. Et tu vas apprendre à l'apprécier, à l'adorer même, répliqua-t-elle, son regard dur ne tolérant aucune rébellion. Marco, la joue encore rougie par la gifle, baissa les yeux, son expression mêlant douleur et confusion. — Les fenêtres sont ouvertes, si tu continues Sofia quelqu’un va finir par… tenta de murmurer Marco, interrompu par une nouvelle gifle de la part de sa maîtresse. — Je... Je comprends, Sofia. Montre-moi, je t'en prie, murmura-t-il, sa résistance semblant s'effriter sous l'intensité de son autorité. — Voilà qui est mieux, sourit Sofia. Elle s'approcha encore, inclinant la tête de Marco en arrière pour le regarder dans les yeux. — Dis-moi que tu aimes être ma petite salope, Marco. Dis-le ! exigea-t-elle, sa voix douce contrastant avec la dureté de ses mots. Marco, ses yeux plongés dans ceux de Sofia, respira profondément avant de répondre avec une hésitation qui s'estompait rapidement. — J'aime être ta petite salope, Sofia, avoua-t-il, chaque mot le libérant d'une partie de son fardeau traditionnel de masculinité. Satisfaite de son aveu, Sofia se recula, son visage s'éclairant d'un sourire triomphant. — Parfait, Marco. Maintenant que tu acceptes ta place, nous pouvons vraiment commencer à nous amuser. Elle fit le tour de lui, le frôlant légèrement, lui faisant sentir la proximité de son corps, la promesse de ce qui pourrait encore survenir. Elle continua de le manipuler avec une assurance croissante, chaque interaction les enfonçant plus profondément dans leur dynamique de pouvoir renversée. Marco, maintenant immergé dans son rôle de soumis, commençait à trouver un plaisir étrange dans sa soumission, découvrant des aspects de lui-même qu'il n'avait jamais confrontés auparavant. Partie 5 : Dans l’enclos … ====================== La tension dans l'air était palpable alors que Sofia continuait à explorer les limites de leur jeu de domination. Marco, visiblement à la fois terrifié et captivé, fixait Sofia alors qu'elle se penchait pour enlever lentement une de ses chaussettes noires. — Tu aimes mes pieds, Marco ? demanda-t-elle en agitant la chaussette devant lui. Tu vas apprendre à adorer les pieds de ta reine. Sa voix était douce mais impérieuse, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres. Marco hocha la tête, sa gorge sèche à la vue de la chaussette de Sofia. Il regarda, fasciné, alors qu'elle se rapprochait, faisant danser la chaussette devant ses yeux avant de la laisser effleurer doucement son visage. L'arôme légèrement acide mais indéniablement intime de ses pieds emplissait ses narines, augmentant son excitation malgré le contexte de leur interaction. Soudain, sans avertissement, Sofia prit l’initiative. Dans un mouvement rapide, elle leva la main et frappa Marco durement dans les testicules. La douleur fulgurante le fit se courber, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres tandis qu'il luttait pour reprendre son souffle. — C'est pour te rappeler qui est en charge, dit-elle froidement, observant Marco se tordre de douleur. Alors que Marco se remettait, respirant lourdement, Sofia s'agenouilla devant lui. — Ouvre la bouche, ordonna-t-elle. Marco, encore sous le choc, obéit sans hésiter. Sofia cracha alors dans sa bouche, affirmant sa domination de la manière la plus brutale et intime possible. Sans lui laisser le temps de réagir, elle enfonça la chaussette dans sa bouche, le forçant à goûter et respirer l'essence même de sa domination. — Tu kiffes hein Marco ? Avoir les chaussettes d’une étudiante de 19 piges dans la bouche, t’aimes ça hein ? Elles sont bien sales en plus, savoure petite salope que tu es. Marco, les yeux larmoyants mais étrangement en érection, acquiesça à son sort, sa résistance brisée par la cascade d'humiliations et de plaisirs contradictoires. Sofia, satisfaite de l'effet de ses actions, se redressa, son regard parcourant le corps secoué de Marco. — C'est juste le début, mon soumis, murmura-t-elle. Elle avait clairement des plans pour lui, des idées qui poussaient les frontières de leur entente toujours plus loin. Le cou du coq était maintenant coincé entre les mâchoires du renard. Cette conclusion intense laissait présager une suite encore plus provocante, où les limites seraient repoussées et où les rôles de pouvoir pourraient être explorés avec encore plus de profondeur. Si vous avez aimé cette histoire, n’hésitez pas à liker ! Je suis friande de vos feedbacks afin de vous satisfaire avec la suite. Je mettrai peut-être les deux scénarios auxquels j’ai pensé pour la suite en commentaire, vous êtes libres de me dire ce que vous en pensez ! J’espère sincèrement que vous avez apprécié.
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softman4ladies
Cette histoire m'a excité. Je m'y suis projetté.
J'aime 17/02/25
Gorparis
Je ne juge pas la qualité du texte mais ce récit n’a aucun rapport avec le BDSM mode de vie…
J'aime 21/02/25
Bonjour à vous tous , voilà quelques jours que je suis ici et je n’ai toujours pas trouver de maîtresse ou de femme qui pourraient m’être soumise, j’aime beaucoup être switch et donc m’adapter au deux , un peu déçu de ne rien trouver j’espère trouver ici. Merci
Soyez la première personne à aimer.
desireuse d'une belle rencontre sensuelle et conviviale dans une atmosphère de luxure et de plaisirs partagés avec des personnes ayant le même état d'esprit joueur .:.
Jeandom
Bonjour à tous
1 personne aime(nt) ça.
Hugin
Bonjour à vous
J'aime 26/01/25
Yan Dom
Wendy a 43 ans. Elle est très séduisante, maquillée avec soin et ne porte que des vêtements de marque très chers. Son mari est riche, il travaille dans la finance. Ils possèdent un grand manoir avec une vue superbe sur un lac. Wendy n'a pas besoin de travailler et elle fait ce qu'elle veut. Son mari étant souvent en déplacement, elle passe ses journées à faire du shopping, déjeuner avec ses amies, puis refaire du shopping et aller au salon de beauté et chez le coiffeur. Elle aime l'art et fréquente souvent les galeries avec ses amies, achetant parfois des œuvres pour les exposer dans son manoir. Le prix n'est jamais un problème pour elle et elle achète ce qu'elle veut. Elle est riche, séduisante et obtient toujours ce qu'elle veut. Pour certains, ses manières brusques dénotent un caractère hautain et grossier. Toutefois, elle charme tous les hommes qu'elle rencontre. Ceux-ci remarquent toujours ses gros seins avant le reste. Elle sait que sa sexualité peut lui apporter tout ce qu'elle veut. Après tout, elle l'avait bien utilisée pour épouser son mari riche bien plus âgé. Le vieux fou. Elle a eu de nombreuses liaisons discrètes pendant les cinq ans de leur mariage. Elle aime tout ce qui est cher dans la vie. Nous sommes mardi et Wendy a son rendez-vous habituel chez son coiffeur. Elle conduit son cabriolet Mercedes jusqu'au parking client puis elle entre dans le salon. Elle remarque qu'il y a une nouvelle personne qui y travaille. - Qu'est-il arrivé à Linda? Demande-t-elle à la propriétaire, Mme Krueger. - Elle a dû retourner dans son pays, car sa mère est malade, donc nous avons un nouvel employé dans l'équipe. Il s'appelle Antonio, il est italien. Il est charmant et il a beaucoup d'expérience. Il va vous coiffer aujourd'hui si ça vous va? Wendy regarde Antonio de haut en bas. Il est grand, bien foutu, avec de larges épaules et un incroyable sourire. Wendy estime qu'il a juste un peu plus de vingt ans. Il y a une vraie aura sexuelle autour de lui. Des pensées vicieuses traversent l'esprit de la femme riche. Elle aime fantasmer sur l'idée d'être infidèle à son mari. Mais ce jeune homme n'a pas d'argent ni de position sociale. Elle ne baise que des hommes riches. Son mari n'a jamais de temps pour elle, il est toujours occupé par son travail et ses voyages d'affaires à l'étranger. Elle est prête pour une nouvelle aventure, mais pas avec Antonio. Toutefois elle dit : « un peu de flirt ne fait jamais de mal ». Elle aime exciter les hommes. Finalement elle répond à la propriétaire du salon de coiffure : - Oui bien sûr, Antonio peut me coiffer, ça sera parfait, merci! Le jeune coiffeur a déjà été informé que Wendy et l'une des meilleures clientes fortunées et qu'elle doit faire l'objet de toutes les attentions. Elle s'assoit sur la chaise et se présente à Antonio. Celui-ci répond avec un accent sexy : - Appelez-moi Tony. Il passe ses doigts dans ses cheveux et commence à lui masser le cuir chevelu. C'est agréable et elle s'enfonce un peu plus dans le fauteuil. Elle lui demande où il loge. Il lui dit qu'il a loué un appartement pendant six mois, non loin du salon. Il le partage avec quelques amis qui sont venus en Australie avec lui. - Mme Krueger m'a dit que vous aimiez l'art? Je suis un peu artiste en Italie, mais je commence. Dit Antonio. Wendy est intéressée. Alors il poursuit : - Je n'ai pas d'œuvres d'art ici, mais j'ai quelques photos si vous voulez les voir? Peut-être pourrions-nous prendre un café ensemble un jour et je les apporterai pour vous les montrer? Wendy a-t-elle bien entendu? Cet homme l'invite-t-elle à prendre un café? Ils viennent juste de se rencontrer, mais il est assez séduisant alors elle se dit « Pourquoi pas? » - Merci Tony, ça sera agréable. Mais vous devrez me laisser payer. Ils prennent rendez-vous pour le lendemain dans un endroit qu'elle ne fréquente pas souvent, mais qui est idéal pour passer un moment agréable dans des petits box qui offrent une certaine intimité aux clients. Le lendemain elle est excitée à l'idée de son rendez-vous avec Antonio. Elle est la quintessence de la femme fatale, alors elle s'habille en conséquence. Elle met une jupe très courte, mais élégante, un chemisier moulant, des chaussures et un sac à main assortie. La tenue vaut plus que ce qu'Antonio gagnera en trois mois à coiffer des riches femmes. En dessous de tout ça, elle porte un soutien-gorge et une culotte noirs. Au moment de partir, elle a une idée géniale. Elle s'arrête, remonte sa jupe et enlève sa culotte qu'elle laisse derrière elle en se disant : « Peut-être que Tony aimera avoir un aperçu de ce qu'il ne peut pas avoir » Elle retrouve le jeune garçon qui est à l'heure. C'est bien, elle aime la ponctualité. Elle le surprend à regarder ses jambes et ses seins, alors elle a une montée d'adrénaline . Elle adore manipuler les hommes. « Continue de regarder Tony! Tu ne pourras jamais me baiser, alors continue de rêver, pauvre petit rital coupeur de cheveux ». Ils s'assoient à la table qu'elle a réservée et le serveur prend leur commande. Elle croise les jambes et s'assure que Tony puisse bien voir le haut de ses cuisses. Elle est dans son élément. Ils commandent tous les deux du vin rouge et en boivent un verre avant que le repas arrive et qu'elle feuillette l'album photo des œuvres d'art du jeune homme. Au bout d'un moment Wendy s'excuse pour aller aux toilettes. Tony en profite pour remplir les verres de vin et il ajoute discrètement un liquide transparent dans le verre de la femme. Wendy revient, s'assoit et dit : - Je ne peux boire qu'un dernier verre de vin , Tony. Je conduis. Le repas arrive et ils parlent de choses et d'autres. Wendy flirte avec lui en faisant ressortir ses seins et en croisant et décroisant ses jambes. Elle laisse discrètement sa jupe remonter assez haut pour qu'il puisse voir sa chatte. Elle a l'habitude de jouer comme ça avec les hommes. Au bout d'une vingtaine de minutes, elle commence à avoir la tête qui tourne, comme si elle avait bu deux bouteilles de vin plutôt que deux verres. Elle dit : - Je ne comprends pas. Deux verres ne me font jamais ça. Tony lui propose alors de la raccompagner chez elle, car il ne veut pas qu'elle conduise. Elle paie l'addition et donne les clés de la Mercedes à Tony. Il lui prend le bras et l'accompagne jusqu'à la voiture. Il la fait asseoir sur le siège passager. Lorsqu'elle entre dans l'auto, sa jupe courte se retrousse presque à la taille. Antonio peut voir sa chatte sans problème, il voit qu'elle est soigneusement taillée et ses lèvres sont gonflées. Wendy ne se rend pas compte que sa jupe est complètement remontée, elle ne bouge plus. Tony prend la place du conducteur et démarre. Mais il ne la ramène pas chez elle. Il l'emmène à son appartement. A l'arrivée, il l'aide à sortir de la voiture. La drogue a bien fait son effet et elle est presque endormie. Cette drogue est conçue pour cela et rendre coopérative la personne. Il ouvre la porte de son appartement et il aide Wendy à aller dans la chambre où elle s'assoit sur le bord du lit. Elle sait qu'elle n'est pas chez elle, mais elle ne s'en soucie pas. Elle se sent vraiment bien et c'est tout ce qui compte pour elle à ce moment. Elle s'allonge sur le lit et perd connaissance. Quand elle se réveille, elle constate qu'il fait nuit dehors. Elle réfléchit qu'elle a bien dû dormir au moins six heures. Sa tête est embrumée, mais elle se sent bien. Puis elle a un choc. Il y a quatre personnes dans la pièce ainsi que de l'équipement vidéo et des caméras. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle est complètement nue. - Qu'est-ce qui se passe, bon sang? Demande-t-elle. C'est Tony qui répond : - Relaxe, salope! On t'a juste bien baisée et on a fait un film. Laisse-moi te présenter à mes amis, Mike, Sal et Théo. Les trois hommes lui font un signe de tête. - Les autres hommes qui t'ont baisée sont juste des gars que j'ai trouvés dans la rue. Ils t'ont baisée pour rien. Ça ne m'a pas coûté un centime. Wendy est en état de choc. Elle a été droguée et baisée comme une pute. c'est alors qu'elle se rend compte que sa chatte et son cul sont légèrement douloureux et que l'odeur inimitable du sperme couvre son corps. - Mon Dieu, vous m'avez tous violée! Je vais appeler la police! Elle se lève et se dirige vers le téléphone. - Doucement, sale pute! Tu veux peut-être regarder la vidéo avant. Je sais que ton mari aimerait la voir. Tony appuie sur un bouton et la vidéo commence sur la télévision. Wendy est debout et regarde se faire baiser et enculer par au moins douze hommes. Elle se voit sucer leur bite et elle a l'air d'aimer ça. Pour quiconque qui verrait ce film, il aurait l'impression qu'elle participe de son plein gré à ce gang-bang. - Tu as apprécié nos bites, salope. Bon sang, je pense que tu n'avais même pas besoin d'être droguée, tu nous aurais baisés quand même. Tu n'avais pas de culotte sous ta jupe de marque, donc je pense que tu voulais baiser le vieux Tony. Maintenant, parlons affaires! Wendy ne sait pas que faire. Si son mari met la main sur ce film, elle perdra tout y compris son train de vie luxueux. Mon Dieu, comment peut-elle être si stupide? Elle n'a pas d'autre choix que de coopérer. Tony Romano est un petit criminel à deux balles qui gagne de l'argent dans la prostitution, les paris illégaux, le chantage et la drogue. Ce n'est pas un gros bonnet, mais il connaît bien la rue ainsi que certaines personnes. Tony présente le contrat à Wendy. Elle doit déposer de l'argent chaque mois sur un compte bancaire, mais pas trop sinon son mari va avoir des soupçons. Elle doit juste déposer assez pour permettre à Tony et ses amis de vivre un peu mieux pendant un certain temps. - D'accord, je vous donnerai votre argent. Maintenant, rendez-moi mes vêtements pour que je puisse m'en aller. - Pas si vite salope! Tu dois faire quelque chose d'autre pour nous. - Quoi? Vous allez avoir votre argent! - Non, espèce de salope blanche stupide riche et coincée, tu vas vendre ta chatte et ton cul pour gagner de l'argent tous les jours. Les gars et moi ne sommes pas avares alors nous avons besoin de plus d'argent que tu pourras mettre en banque. Et tu as intérêt à être bonne ou nous ferons en sorte que ton mari ait une copie de la vidéo. Nous en enverrons aussi à tous tes amis riches et nous la vendrons sur internet. Tu comprends, sale pute? Wendy est piégée, elle ne voit pas d'échappatoire. Elle peut leur dire d'aller se faire foutre, partir et risquer de divorcer et tout perdre. Elle perdait même sa réputation et serait connue comme une vulgaire pute par tous ses amis riches. Mais devenir une prostituée? Non, elle doit jouer le jeu. - Tu peux commencer par nous baiser à nouveau tout de suite. Et ça a intérêt à être bien. Allume la caméra, Mike. Celui-ci obéit et les quatre hommes entourent Wendy, leur bite devant son visage. - Obéis salope! Suce nos putains de bite! Crie Tony. Elle prend la bite de Sal dans sa bouche et commence à la sucer. La queue est bientôt dure comme de la pierre et elle a du mal à la faire entrer dans sa bouche. - Fous-toi à quatre pattes maintenant qu'on puisse t'enculer! Dit Tony. Lentement elle obéit. Tony passe derrière elle et enfonce vicieusement sa bite dans le cul de la salope riche. Elle proteste bruyamment et reçoit immédiatement une claque sur son visage. - Ferme ta gueule, sale pute! La bite de vingt centimètres est entrée dans son cul jusqu'au bout. Tony commence à la retirer et l'enfoncer à nouveau violemment tout en claquant durement son cul. Wendy commence rapidement à pousser ses hanches en arrière pour répondre aux coups de boutoir de Tony. Commence-t-elle à aimer ça? Est-ce possible? Sal éjacule dans sa bouche et elle s'étouffe avec le sperme pendant un moment avant que Théo n'enfonce sa bite. Mike vérifie la caméra puis prend sa part. Il s'allonge sous elle et enfonce sa bite dans sa chatte de bourgeoise. Elle est baisée en double alors qu'elle doit sucer deux bites. La caméra continue de tourner. Tony la regarde et dit aux autres : - Les gars, je pense que nous avons une petite esclave soumise ici. Wendy se déhanche maintenant et suce goulûment les bites dures qui lui tombent sous la main comme une prostituée. Elle n'a plus besoin d'être obligée, elle en profite pleinement et tout est filmé. Les hommes continuent de l'utiliser comme une pute pendant encore une heure avant de s'effondrer d'épuisement. A ce moment-là il est 22 heures. Tony dit alors à Wendy : - Ton premier service va commencer, salope! Mets ça! Il lui jette une minuscule mini-jupe et un haut transparent. La jupe est si courte que l'on peut voir sa chatte et son trou du cul si elle se penche légèrement. Ses gros seins sont bien visibles à travers le tissu fragile de son haut. Elle ressemble vraiment à une prostituée et c'est exactement ce qu'ils ont prévu pour elle à l'avenir. Qu'elle soit une riche salope blanche hautaine, obligée de sucer des bites pour 5 dollars et de se faire enculer pour 10 dollars, ce sont les instructions spécifiques que Tony a reçues de son « client » inconnu, mais qui paye bien. Tony avait été engagé pour organiser tout ça, il s'était dit qu'elle avait dû vraiment déplaire à quelqu'un. Tony ordonne à Wendy de sortir de l'appartement et de marcher sur le trottoir pour le plaisir des hommes, sa jupe remontant et montrant sa chatte et son cul, l'intérieur des cuisses mouillé du sperme qui suinte de ses orifices bien baisés. Puis elle est poussée sur le siège arrière de sa voiture entre Sal et Mike. Tony se dirige vers le quartier le plus chaud où Wendy rencontrera ses premiers clients pour la nuit. Il y en aura d'innombrables autres. Tony arrête la voiture à un feu rouge et crie vers une bande de 15 libanais . Il leur fait signe de s'approcher. - Les gars, vous voulez une pute pour la nuit? Une salope blanche? Elle aime se faire enculer. Vous aimez les salopes blanches, n'est-ce pas? Les jeunes jettent un coup d'œil à l'arrière de la voiture et examinent Wendy. - Elle a de beaux nichons. Combien tu demandes? - Vous pouvez tous la baiser pour 50 dollars! Wendy remue sur le siège arrière de la voiture. Elle a déjà été bien baisée et elle est sur le point d'être vendue à cette bande de voyous étrangers pour 50 dollars. Mais sa chatte est inondée de jus, elle ne peut l'empêcher. « Qu'est-ce qui m'arrive? » Pense-t-elle, « Je suis vraiment une pute bon marché ». L'un des gars donne 50 dollars à Tony et Wendy doit sortir de la voiture. Sal l'escorte jusqu'à une chambre d'un motel minable qu'ils ont réservé pour la nuit. Il ordonne à Wendy de se déshabiller et de commencer à sucer des bites. Elle obéit avec diligence en faisant des bruits de succion avec sa bouche tout en branlant les gars qui attendent. Très vite, tous les gars ont sorti leur bite en attendant leur tour pour baiser cette pute blanche. D'énormes quantités de sperme éclaboussent le visage et les seins de Wendy alors que les bites se succèdent. On lui ordonne de présenter son cul et elle est rapidement sodomisée par les gars. Sal prend des photos. Il fait même la queue pour avoir une fellation et il l'encule une nouvelle fois. Il aime tant son cul serré. Après deux heures environ, la bande de jeunes, épuisée, se rhabille et part. - C'est une putain assoiffée de bites! Dit l'un d'eux à Sal en partant. La nuit de Wendy n'est pas encore terminée. Sal appelle Tony sur son portable, et, cinq minutes plus tard, la Mercedes s'arrête près du trottoir. - Je viens d'organiser d'autres réjouissances pour toi, salope! Tony vient de s'arranger pour que Wendy fasse un strip-tease dans une boite louche et ensuite elle doit se faire baiser par le public. Pour quel prix? Tony a vendu Wendy pour 40 dollars. Pour quel public? Pour une centaine de clients excités de pouvoir la baiser à fond. Le cœur de Wendy bat la chamade, sa chatte et son cul bien baisés palpitent. Elle pue le foutre et ses cheveux sont emmêlés avec du sperme séché. Mais Tony ne la laisse pas se nettoyer. Elle ne pense qu'à ce que ces hommes vont lui faire. Quelle quantité de sperme va-t-elle être obligée d'avaler? La boite est un repaire dégoûtant et délabré où les petits délinquants vendent de la drogue et où de vieilles putes se prostituent. C'est le genre d'endroit que Wendy n'a vu que dans des films. Jamais elle n'aurait pensé qu'elle serait obligée d'y travailler en suçant des bites et en se faisant enculer. Mon Dieu, comment son monde à changer en moins de 24 heures. De la riche femme mondaine et hautaine avec du style, elle est devenue une pute bon marché qui suce la racaille dans les rues et qui se fait baiser comme une chienne. Elle est fatiguée, sale et tout ce qu'elle veut, c'est pouvoir rentrer chez elle, dans sa belle maison. Mais Tony a d'autres plans. - Tu vas monter sur scène, danser et enlever ces putains de chiffons. Sois sexy pour que le public ait envie de te baiser. Compris Salope? Rugit Tony. Wendy acquiesce alors qu'il la pousse vers la scène. Elle peut entendre la foule bruyante. Elle sait qu'elle va être baisée comme jamais elle ne l'a été auparavant. Sa chatte commence à mouiller et son jus commence à couler. C'est comme si son sexe avait sa propre conscience et qu'il voulait toutes ses bites, que le cerveau de Wendy le veuille ou non. Une musique retentit et le rideau se lève. Tony lui met dans les mains deux godes vibrants géants en forme de bite et il lui dit : - Utilise ça dans ton cul et ta chatte, salope! Il la pousse sur scène et elle tombe à la renverse. Une voix crie : - Lève-toi sale pute! Et enlève tes putains de vêtements! Elle obéit, se lève et commence à se déhancher. Elle regarde le public. Il y a tous les pervers et dégénérés qui aiment se branler en regardant ce genre de choses. Elle pose les godes et enlève son petit haut. Ses gros seins nus sont accueillis pars des hurlements d'approbation. Elle se tourne et remue son cul en enlevant sa jupe. Elle l'écarte d'un pied et un homme s'en saisit comme souvenir. - Montre-nous ta chatte! Crie un sale bâtard. Elle obéit en se mettant à quatre pattes en en montrant son sexe et son cul au public. Les sifflements et les applaudissements sont presque assourdissants. Wendy peut voir Tony, hors de la scène, faire des gestes vers les godes. Elle prend l'un d'eux et commence à l'enfoncer dans sa chatte. Elle le fait vibrer à pleine vitesse et s'assoit dessus pour qu'il entre entièrement. Elle remue son bassin et il glisse plus profondément. Elle sent arrivé un orgasme puissant. A ce moment-là, Tony apparaît sur scène. Il prend l'autre énorme gode, verse du lubrifiant dessus et commence à l'enfoncer dans le trou du cul de Wendy. Celle-ci commence à protester, mais Tony crie : - Ferme ta gueule! Impitoyablement il enfonce le gode dans son cul jusqu'à ce qu'il y en ait deux tiers. Le gode est presque aussi gros qu'une canette de coca. Le cul de Wendy est distendu à l'extrême. Et c'est là qu'elle a un orgasme puissant, son corps convulsant comme un épileptique. - Tu aimes ça, n'est-ce pas? Puis il se lève et crie à la foule : - Elle est prête pour vous tous maintenant! Les hommes hurlent leur approbation et commence à se diriger vers la scène. Un agent de sécurité leur fait former deux queues à peu près égales, une au niveau du cul, une au niveau de la tête. Tony établit les règles : - Par-devant, vous avez droit à une pipe. Par-derrière vous la baiser dans son cul ou sa chatte. Ensuite, soit vous retournez faire la queue, soit vous rentrez chez vous! Tony retire les deux godes. Wendy regarde les hommes. Elle estime qu'il y a au moins 50 gars par queue. Une première bite est poussée dans sa bouche. - Suce salope! Demande son propriétaire. Une autre bite pénètre son cul. Elle sait que la plupart des gars vont vouloir l'enculer. Mais avec un peu de chance, ils ne mettront pas trop de temps à jouir.
2 personnes aiment ça.
Marc Nancy
Aucun rapport avec le Bdsm. Il s agit de drogue, de chantage, de viol et de proxénétisme
J'aime 26/11/24
Gorparis
On est bien dans la rubrique BDSM art de vivre ? C’est vraiment n’importe quoi . Quant à la teneur du récit, totalement opposée au bdsm
J'aime 11/01/25
maitresse frédérique
4 personnes aiment ça.
Hugin
Une bien jolie photo
J'aime 05/01/24
Hugin
Avec plaisir Madame
J'aime 05/01/24
MaîtreDesLiens
a partagé quelques photos
MaîtreDesLiens , dominant mature de 50 ans, entre Metz et Luxembourg, en quête d'une véritable soumise désireuse de s'abandonner pleinement à une relation D/s authentique. Je recherche une femme entre 25 et 40 ans , féminine, prête à explorer le chemin de la soumission totale , avec curiosité, respect et engagement. Débutante ou expérimentée, tant que le désir de découvrir, d'apprendre et de mériter chaque récompense brûle en toi, je saurai te guider. Mon approche est celle d'une domination progressive mais implacable : chaque geste, chaque mot est une étape vers une connexion profonde, où respect et confiance forgent les chaînes les plus solides. Je suis un homme sain, mature et puissant, capable de comprendre tes besoins sans qu'ils soient exprimés. Si tu sens cet appel à t'abandonner sous la main ferme d'un Maître capable de te révéler à toi-même, alors n'attends pas. Ose me contacter et franchir le premier pas vers une expérience transformatrice.
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