A propos du groupe
Cage_de_chasteté
Créateur

Bonjour, Je crée ce groupe pour parler de ce qui m'attire dans le BDSM : le dressage du soumis (ou de la soumise), avec patience, fermeté et sur le long terme, afin de changer progressivement son comportement d'une manière quasi permanente et se rapprocher du but poursuivi par le Dominant ou la Dominante. Il s'agit d'un dressage qui possèdent des similitudes à celui utilisé pour dresser un "animal", même si cela est plus complexe, évidemment, au vue de la personnalité du soumis et de sa psychologie. Tout cela est consensuel dés le départ puisque le soumis a donné son accord oral ou écrit. A charge pour le Dominant ou la Dominante de bien gérer les étapes afin de ne pas effrayer le soumis en lui demandant trop et trop vite. Il existe des méthodes pour arriver au résultat recherché telles que le positive réinforcement et le négative réinforcement. Le positive réinforcement est l'ensemble des méthodes qui permettent de conditionner le mental afin de favoriser l'attitude et le comportement que l'on souhaite voir apparaitre chez le soumis. Et inversement, le négative reinforcement permet d'agir sur les comportements que l'on souhaite voir disparaitre chez le soumis. Il s'agit de méthodes de récompenses et punitions pour influencer et ancrer des comportements : il est facile de récompenser un soumis ... et encore plus facile de le punir. Il y a bien des façons de pratiquer le BDSM et si je suis attiré par cela, il doit certainement exister des Femmes Dominantes ressentant cette envie de dresser et faire évoluer un soumis sur le long terme. Et de se voir récompenser en observant les changements et les progrès du soumis au fur et à mesure qu'il progresse sur le chemin choisi par sa Maitresse. Je suis fasciné par les hommes et femmes soumis qui acceptent d'être marqués par un tatouage ou un branding, car je partage l'idée que la soumission doit se percevoir dans le mental et le physique du soumis. Un homme tatoué sur le pubis avec "XXX"'s Bitch ou "XXX"'s slave a renoncé à l'idée d'avoir une relation classique. Cette idée de renoncement, de cesser de lutter contre ses envies, de s'abandonner et de dépasser le point de non-retour est attirante, séduisante et tentante. Ce moment où le BDSM n'est plus un jeu mais un choix assumé et désiré de vie.

Diaper35370
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soumis a son Maitre
Dom carina
Il n’était pas rassuré. C’était la première fois qu’il la rencontrait, sa « maîtresse », celle avec qui il discutait depuis si longtemps. Ils avaient enfin décidé de franchir le pas. Ou plutôt, elle avait décidé, car c’était elle qui prenait les décisions. Depuis le début. Elle lui avait donné rendez-vous dans une chambre d’hôtel, qu’elle avait choisie et réservée. Un hôtel de luxe, cinq étoiles, avec spa et piscine intérieure. Elle lui avait dit qu’elle pourrait aller s’y délasser, une fois qu’elle en aurait fini avec lui. Peut-être pourrait-il venir avec elle. Mais pour l’instant, les choses n’en étaient pas là. Il était arrivé, s’était présenté à l’accueil et donné son nom. Le nom qu’elle lui avait donné. Son vrai nom. Jusqu’à présent, c’était Armelle. Ils avaient franchi un cap supplémentaire, dangereux, glissant. Le réceptionniste lui dit que Madame était bien arrivée, qu’elle l’attendait et lui remit une clé d’accès à la chambre. Paris était froide, humide. Il commençait à faire nuit. Mais Yann ne s’en rendait pas compte, il ne tremblait pas de froid mais d’excitation. Il n’avait jamais ressenti ça. L’ascenseur montait, quatrième étage, lentement. Lentement? Non, mais Yann voyait les étages défiler et se demandait si les condamnés à mort, à la guillotine, sur la place non loin de là, avaient ressenti cette impression de temps arrêté, de temps ralenti. Chaque seconde le rapprochait de ce qu’il désirait tant, au plus profond de lui. Il appréhendait la rencontre avec lui-même. La porte s’ouvrit. Sur un couloir cosy, tapissé, rouge, très élégamment décoré. Normal. Chambre 213. Yann se présenta devant. Première épreuve qui lui était imposée par Armelle. Se déshabiller. Devant la porte. Yann regarda à droite, à gauche, scruta les hauteurs du couloir pour y repérer d’éventuelles caméras. Rien. Bien, c’était l’heure. Il commença par son haut, sa veste de costume, puis sa chemise. Il poursuivit par ses chaussures, ses chaussettes, son pantalon et son boxer. Il déposa l’ensemble de ses vêtements dans la petite valise qu’Armelle lui avait demandé d’apporter, en sortit sa trousse de toilette, referma et posa le petit cadenas afin de ne plus pouvoir l’ouvrir. C’était les instructions de sa Maîtresse. Il se redressa et tenta de prendre une inspiration. Il n’y arriva pas. Souffle coupé par la pression. Il fit passer le badge devant la porte et vit la petite lumière verte clignoter sur la serrure. Il entra. La chambre était spacieuse, très spacieuse. Un petit salon en entrant, et sur le côté gauche, séparée, la chambre et Yann, le supposait, la salle de bains. Il s’avança, cala sa valise sur le côté et posa la clé du cadenas sur le petit meuble d’entrée, comme convenu dans les ordres qu’il avait reçus. Le salon était chauffé, il n’aurait pas froid. La suite était clairement définie : il devait se mettre à genoux, au milieu de la pièce, mains derrière la tête et tête contre le sol. Ils avaient tant parlé de cette position. Yann l’avait pratiquée, seul. Mais là, c’était différent. C’était pour de vrai. Et Armelle était là. Il ne s’en était pas rendu compte tout de suite. La lumière de la salle de bains était allumée. Son coeur commença à battre plus vite. Combien de temps resta-t-il dans cette position? Quelques minutes. Armelle apparut. Il ne vit immédiatement que ces pieds, fins, chaussés de magnifiques talons aiguilles. Il savait qu’elle n’en portait pas d’habitude, l’occasion avait dû lui paraître propice à ces accessoires. Il vit le début de ses jambes, blanches, élancées, galbées, revêtues d’un fin collant. Elle avança, lentement, avec une démarche de félin. « Bonjour Yann ». Cette voix. Féminine, assurée. Jeune. Quel délice d’entendre sa voix. Enfin. Il savait beaucoup de choses sur elle. Mais ce soir, il allait découvrir l’essentiel. Il n’avait pas droit à la parole. C’était convenu. Elle avança, récupéra la clé du cadenas, et la dissimula hors de la vue de Yann. « Enfin. Nous y voilà. Tu ne m’avais pas menti sur ton apparence physique. Fin, musclé, plutôt pas mal. Tu as bien ton âge. J’avais peur de me retrouver face à un petit vieux vicelard…je suis rassurée. Tu es à moi pour toute la soirée. Tu le sais. Tu y a consenti. Je n’ai aucune explication à te donner. Tu n’as pas ton mot à dire. Tu m’obéis. C’est écrit depuis le début entre nous. » Elle s’avança vers lui. Se pencha, passa sa main sur le dos de son soumis. Il frissonna. Sa main était fraîche, douce. Elle s’accroupit. Yann n’osa pas lever les yeux. Comment était son visage? Ses cheveux, ses seins? Que portait-elle sur elle? Son parfum sentait délicieusement bon. Elle approcha son visage de sa nuque. Il sentit sa respiration sur son cou. Elle approcha sa bouche de son oreille et lui dit : « J’espère que tu seras à la hauteur. » Elle recula, et Yann frémit. Elle alla se pencher pour examiner son penis et ses testicules. « Voilà donc le fameux paquet. Pas mal. Rien de fou. Mais ça ira. » Elle était désormais postée derrière lui. De sa main, elle s’empara de ses couilles et commença à les masser. « Nous y sommes Yann. Tu me disais que ta queue m’appartenait…voilà, ça y est. » Elle le caressait, sans ménagement. Pas pour lui, il le sentait, mais pour elle. Elle jouait, apprivoisait ses nouveautés. Il se mit à bander, fort, dur. Plus fort que lui. Elle se releva en riant. « Tout doux mon beau, tu n’imagines pas qu’on va y aller de suite, comme ça? Relève ton torse, pose les mains sur tes cuisses. On va parler. » Elle se plaça en face de lui, s’assit sur un fauteuil en cuir, lourd, confortable, imposant. Il se mit en position et put alors contempler sa magnifique maîtresse. Elle n’était pas grande. Mince. Ses cheveux châtain clair étaient bien coiffés, strictement. La peau de son cou, blanche et laiteuse descendait jusqu’à ses seins, pleins, fermes, d’une magnifique rondeur. Elle ne portait qu’un soutien-gorge, noir, en dentelle. Elle le regardait de ses yeux noisettes, fins, profonds, avec une attitude désinvolte et amusée. Elle croisa ses jambes, ne laissant qu’entrevoir sa culotte noire, et s’enfonça dans le fauteuil. Elle était belle. Il n’y croyait pas. Comment en étaient-ils arrivés là? « Approche, à genoux. » Elle tendit sa jambe gauche. « Ta soirée commence, lèche mon talon. » Yann prit avec délicatesse le talon de la chaussure et après une petite hésitation, le mit à la bouche. « Je vais faire ce que je veux de toi ce soir. Je vais bien m’amuser. Tout ce dont tu as toujours rêvé. Je te connais, bien, intimement, on a tant parlé. Je sais exactement ce que tu demandes, ce qu’il te faut. » « Caresse-toi en même temps. Allez. Tout de suite. » Yann, le talon à la bouche, Armelle faisant de légers allers-retours, commença à se toucher. Il était dur, il n’alla pas trop vite, ayant peur de ne pas pouvoir se retenir. Au bout d’une minute, Armelle, de son autre pied, commença à titiller ses couilles. Des petits coups, tout d’abord, puis une légère pression, ensuite de plus en plus forte, jusqu’à presque les écraser contre lui. Il émit de petits geignements, mais ne broncha pas. Il se branlait. « Arrête. Pose tes mains sur tes genoux. Non, mets les derrière ton dos. Comment trouves-tu ta maîtresse? » Il dut se racler la gorge. Les mots ne sortaient pas. « Tu es magnifique. Je n’aurais pas pu rêver mieux. » « Je te conviens? Je ne suis pas trop jeune? » répondit-elle, mi-amusée. « Non, tout est parfait. C’est parfait Maîtresse. » dit-il. « Bien. J’ai soif, va me chercher du champagne dans le mini-bar. Verse-moi un verre. » Il ne savait pas comment y aller. Pouvait-il se lever? Dans le doute, il resta à quatre pattes pour y aller. « C’est bien Yann. Même si je ne te donne pas d’ordre, tu sais t’y prendre. » Gauchement, il rampa, récupéra le champagne, l’ouvrit et remplit une coupe à disposition. Il l’amena vite. « Viens, approche. » Il s’approcha, lui tendit le verre. Elle le prit. Elle écarta les jambes. « Approche. Mets ta tête ici » dit-elle en lui montrant de sa main libre le rebord du fauteuil. Elle s’approcha de lui. Son intimité était soudain à proximité de son visage. Elle avait avancé ses fesses, les avait fait glisser sur le cuir et avait rapproché sa chatte des yeux, du nez et de la bouche de Yann. « Le spectacle te plaît mon soumis? » « Oui Maîtresse. » « Est-ce que je sens bon? » « Oui maîtresse ». Elle passa la main dans ses cheveux. « C’est bien. Ce n’est que le début. » Il restèrent dans cette position le temps qu’Armelle déguste son verre, lentement, un sourire aux lèvres. Elle le caressait. Yann ne bougeait pas, contemplait les moindres lignes de cette culotte. Devinait ce qu’il y a avait derrière. Cette chatte mystérieuse, vénérée, inaccessible. Mouillait-elle? Il ne voyait pas. « Yann, mains derrière le dos. » Il bandait, il était à sa place. « As-tu faim? Je n’ai pris qu’un léger repas à midi. Nous allons commander. Appelle le room service. Pour moi ce sera un club sandwich. Prends ce que tu veux. Et aussi, une bonne bouteille. Bourgogne blanc, tu le sais. » « Bien sûr. Je le savais » dit-il en souriant. Il se leva cette fois-ci. Elle ne dit rien. Il décrocha le téléphone et passa commande. « Et si nous passions aux choses sérieuses Yann? Approche. Mets-toi à genoux. » Armelle se cambra dans le fauteuil et écarta les cuisses. « Enlève-moi ma culotte. Sans les mains. » Yann hésita un instant puis entreprit d’attraper la culotte avec ses dents. Son visage frottait contre le ventre d’Armelle. C’était bon, c’était chaud. Après deux essais, il parvint à attraper fermement l’attache. Il ne la lâcha pas. Elle souleva légèrement ces fesses. La culotte descendit le long des cuisses de la maîtresse. Le visage de Yann se retrouva en contact avec la toison d’Armelle, pas très abondante, mais présente. L’odeur était chaude, musquée. Il sentit qu’elle mouillait. La culotte glissa le long des jambes de la jeune femme, jusqu’aux talons. Yann recula et posa la culotte sur le sol. « Viens entre mes jambes. Tout de suite. Applique-toi » Le soumis n’attendait que ça. Il se jeta sur le sexe de sa maîtresse avec avidité. Il commença par la lécher, langoureusement sur le dessus, puis descendit, de sa langue écarta les lèvres fines, jeunes, roses et s’introduit profondément. C’était bon, il léchait, se délectait. Il resterait le temps qu’il faut. Il poussait sa langue dans cette intimité. Armelle réagissait. Elle retenait de petits gémissements, mais son corps ne mentait pas. Elle aimait ça. Elle ne voulait pas trop le montrer, pour ne pas perdre son ascendant. Mais Yann était doué. « Branle-toi en même temps Yann, lentement, mais interdiction de jouir. » « Oui Maîtresse. » Cela dura longtemps. Yann, aux anges. Armelle, se délectant de cet homme soumis, offert, faisant tout ce qu’elle demandait. Elle se retenait de moins en moins. Ils durent revenir sur terre. Le repas était à la porte. Armelle se releva. Replia ses jambes. Et ordonna à Yann d’aller ouvrir. « Comme ça? Nu? » demanda-t-il apeuré.. « Non, bien entendu…mets-ma culotte…de toutes façons, tu n’as rien d’autre à te mettre! » dit-elle en riant. Yann resta quelques secondes interloqué puis se rendit compte qu’elle y comptait bien…Il ramassa la culotte et l’enfila. Elle était un peu serrée, lui rentrait dans les fesses, mais lui allait. « Allez, dépêche-toi, ne fais pas attendre notre garçon d’étage. » dit-elle amusée, tout en détaillant Yann des pieds à la tête. « Allez, ma petite salope » continua-t-elle en lui faisant un clin d’oeil. 
Yann, rouge, ouvrit la porte. Si pour lui, c’était une première, le serveur ne sembla pas étonné outre mesure. Yann se cachait tant bien que mal, mais cela n’empêcha pas le jeune garçon de remarquer les atours coquins de ce bel aventurier. La porte refermée, Yann posa le plateau sur la table du salon. Armelle s’assit. Il n’y avait qu’une chaise. « Bon, même cet hôtel a compris qu’il y avait ici une maîtresse et un soumis…à genoux. Sous la table. Et enlève ma culotte, tu vas la déformer. » Yann s’exécuta et se positionna sous la table. « C’est moi qui vais te donner à manger. Ouvre la bouche Yann. » Armelle coupa un bout de son club, le piqua à sa fourchette. Elle cracha dessus. Elle le descendit jusqu’à sa chatte. Le frotta, l’imbiba de son jus, qui coulait encore…puis mit le morceau dans la bouche de son soumis. Yann n’osa pas broncher. Il mâcha. Il avala. C’était sa maîtresse. Celle-ci répéta l’opération plusieurs fois. Yann, à genoux, sous cette table, mangeait les restes de sa maîtresse, au préalable salis et humectés par ses humeurs intimes. Il n’avait jamais fait ça. Quant à Armelle, elle n’avait pas réfléchi. Cette idée lui était venue, comme ça. « J’espère que ça t’a plu mon soumis… » lui dit-elle, un verre de vin à la main, en lui caressant la joue. « Ouvre la bouche, bois. Tu as de la chance, je partage mon verre » continua-t-elle. Il était désormais 22 heures. Armelle était détendu, l’alcool aidant. Yann avait débarrassé, nettoyé, sans poser de question, naturellement. Nu, privé de ses vêtements, en présence d’une splendide jeune femme débridée. Il était à sa place. « Yann, tout à l’heure, nous n’avons pas fini. Tu n’as pas été assez rapide. C’est ta faute. Tu mérites quoi? Une punition, oui… » Elle se dirigea vers le coin de la chambre. Il la suivit. Elle sortit de sa valise une tige, en bambou. « La voici, tu en as tant entendu parler. Je vous présente, vous allez faire connaissance » dit-elle en riant. « Reste debout. Ecarte les jambes. Mains derrière la tête. Tout de suite. » Yann obéit. Armelle passa derrière lui. Elle avait récupéré un bandeau, posé sur son lit. Elle s’approcha, très près de lui. Enleva son soutien-gorge, son collant. Ne remit que ses talons. Elle était nue, comme lui. Elle posa le bandeau sur les yeux de Yann, qui gardait le silence. Plus un mot, de part ni d’autre. Chacun concentré sur lui-même. Le premier coup tomba. Sur l’épaule. Pas trop fort, mais présent. La tige de bambou, souple, était parfaite. Elle n’infligeait pas une grande douleur. Juste ce qu’il fallait. Armelle continua. Plusieurs coups, sur le haut du dos de Yann, qui ne bougeait pas. Il subissait, sans dire un mot. Une pause, une éternité. Puis une nouvelle série de coups, sur les reins, plus forts, plus rapides. Nouvelle pause. La maîtresse s’enhardissait. Elle se déplaça, se versa un nouveau verre de vin, puis sans une parole, s’attaqua à l’entrejambe de Yann. Le premier coup arriva sur ces bourses. Rapide, sec. Yann sursauta. Il ne s’y attendait pas. Armelle le testait. Elle frappa. Plusieurs fois. Son soumis fit des petits bonds de douleur, mais surtout de surprise. Aveugle, il était à sa merci. S’en voulait-elle? Toujours est-il qu’elle s’approcha de lui. Par derrière, appuya ses seins contre son dos, passa ses mains devant, sur son sexe et le branla doucement d’une main, tout en caressant et pinçant ses tétons de l’autre. Elle caressa le sexe de Yann pendant deux minutes, jusqu’à ce qu’elle sente son soumis frémir d’excitation. A ce moment là, elle récupéra les quelques perles point de ce sexe dressé, et les passa sur les lèvres de son soumis. « Lèche mes doigts Yann, lèche. » Elle s’écarta et repris le bambou. Nouvelle flambée de coups, moins hésitants, plus précis, dos, sexe, fesses, testicules…Armelle se déchaîna. Il le voulait, elle le sentait. Les marques sur son corps commençaient à poindre. Elle s’arrêta. Cette fois-ci, se plaça devant Yann. Il ne la voyait pas, respirait vite, tremblait un peu. Elle s’agenouilla. Attendis quelques instants, en silence, puis approcha sa bouche du sexe de son soumis. De sa langue, elle lécha les couilles de Yann. Un lapement, une très légère caresse. Yann ne s’y attendait pas. Il sourit. Mais ce n’était pas pour durer. Armelle attrapa les bourses de Yann, les pressa et les tira vers le bas. Yann subissait toujours. C’était un bon soumis. Tout en maintenant ses couilles d’une main, Armelle le branla. Fort, vite. Jusqu’au bord de la jouissance. Elle le sentait, elle l’avait en mains, il était sien. Mais elle ne voulait pas le faire venir. De son côté, de sa main libre, elle se touchait. Elle était de plus en plus excitée. Elle se releva, porta sa main mouillée à la bouche de Yann. Elle aimait le faire lécher. Ce petit jeu dura encore quelques minutes, jusqu’à que la jeune dominatrice se lasse. « Ça va Yann? » « Oui Maîtresse » « Tu n’as pas trop mal? » « Non c’est parfait. » « J’ai envie de jouir Yann. Je ne tiens plus. Allonge-toi sur le lit. » Yann se posa sur le lit, un grand lit confortable, aux draps blancs immaculés. « Mets-toi sur le dos. Les mains sous tes fesses. Je ne veux pas les voir ». Yann s’exécuta. Il portait toujours son bandeau. Son sexe était dressé, prêt. Armelle monta sur le lit, à côté de cet homme offert et passa ses ongles sur son torse. Elle s’arrêta sur ses tétons, les titilla, les griffa. Une idée lui vint en tête. Une idée de domination, le pouvoir réel sur son soumis. Elle allait essayer. Elle se mit à califourchon sur son visage. Sa chatte posée sur sa bouche, bien posée, bien assise. Son corps était au dessus de Yann, tourné vers le bas, de sorte à ce qu’elle puis embrasser du regard la poitrine, les bras, le ventre, la queue son jouet. Le visage d’Armelle, qui avait gagné en chaleur, était positionné de manière à voir ce spectacle. « Yann, lèche-moi. Fais-moi jouir. » Yann ne pouvait pas parler…il s’attela à la tâche. Sa langue plongeait dans les profondeurs d’Armelle, dans son intimité languissante et excité de ce pouvoir qu’elle exerçait. Elle entreprit de mettre en oeuvre son idée et caressa de manière insistante les tétons de Yann. « Yann, tu vas jouir. » dit-elle. Elle attendit. « Tu vas jouir ». Répéta-t-elle. « Sans te toucher. » C’était son idée. Elle voulait le dominer totalement. Par la pensée. Elle voulait qu’il ait un orgasme juste parce que elle, Armelle, le lui demandait. Le pouvoir. « Je sais que tu peux le faire. Concentre-toi. » Elle poussa un gémissement involontaire. L’idée l’excitait follement. Elle se cambra, frotta sa chatte contre le visage de Yann de plus en plus fort, de plus en plus vite. « Soumis, prépare-toi, quand je te l’ordonnes, tu jouis. » Elle n’allait pas tarder, elle. Yann, les mains prisonnières, agitait sa queue aussi. Armelle la voyait se tendre. Le soumis s’agitait, allait-il arriver à réaliser l’ordre d’Armelle? Elle appuya encore plus fort sa chatte. Il ne pouvait plus respirer. « Yann. 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1…. » Elle jouissait, un orgasme puissant, profond. « Yann, jouis, c’est un ordre. Maintenant. C’est moi qui décide. Tout de suite, cria-t-elle dans un souffle de jouissance. » « VAS-Y. JE TE L’ORDONNE ». Pendant quelques instants, rien ne se passa. Puis Armelle vit la queue de son soumis s’agiter. Il éjaculait. Seul, sans ses mains, sans sollicitation. Juste parce que sa maîtresse lui avait intimé. Elle sourit. Son plan avait marché. Quel pouvoir avait-elle sur lui… Le jus se répandit sur son ventre. Abondant, blanc, laiteux. Armelle retira sa chatte du visage de Yann, lui donna une petite tape sur la joue, sourit et lui dit : « Ce n’est pas fini cher soumis… » Elle récupéra ce sperme étalé, avec sa main, et la porta à la bouche de son jouet. « Lèche, lèche bien petite salope. Tu es à moi, tu as vu? » Yann, quelque peu éberlué par ce qui venait de se passer, reprit peu à peu ses esprits. « Merci Maîtresse, c’était fantastique. » « Je sais. Tu as fait du bon travail. Tu sais faire de bons cunis soumis. » 
Ils s’assirent sur le lit. Sans rien dire. Elle lui fit une bise sur la joue. Un silence s’installa pendant quelques minutes, chacun reprenant ses esprits. C’est Armelle qui brisa le silence. « Va te laver soumis. Tu l’as mérité. » « Merci Maîtresse. » Comment se passa le reste de la nuit? Armelle, détendue, comblée et satisfaite de son pouvoir, déploya les draps du lit et se coucha, nue, heureuse. Yann? Où était-il? Au pied du lit. Avec un oreiller, pour pouvoir dormir plus confortablement, sa maîtresse n’étant pas si cruelle. Pouvait-il s’enfuir? Non, Armelle avait tout prévu : une sangle, en cuir, attachée au sexe de son soumis, qu’elle avait à l’autre extrémité, attachée à son propre poignet. En avait-elle fini avec lui? Non, bien sûr que non…
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Master S
Magnifique texte. Il laisse deviner une Domina ferme, subtile, joueuse et très cérébral. Cadeau exceptionnel pour son soumis et sa première "séance". Il devra s'en souvenir...
J'aime 07/09/25
soumise95pour femme
Bonjour Maîtresse, ce texte est vraiment magnifique. Beaucoup je pense, rêve de vivre cela. Mais la question est, normalement un soumis doit rester en frustration constante….? Faire jouir sa Maîtresse, en étant encagé? Dans tous les cas merci Maîtresse pour ce délicieux texte.
J'aime 08/09/25 Edité
eurekat777
Quel talent d'écriture Madame... Du même crû que Mme Besson et Melle Fournier... Dont j'attends la suite... Ici la suite n'est pas aussi fondamentale mais serait assez agréable... Mille mercis... Bien respectueusement Vôtre !
J'aime 13/09/25
Diaper35370
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Merci Maitre pour mon dressage
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trop envie d'être pareil
J'aime 08/09/25
soumis54
belle position inconfortable, le pied ca
J'aime 09/09/25
Ezraftm
Bonjour Je suis un homme trans, je suis dominant Je recherche un soumis à dresser, je recherche LA relation parfaite entre moi même, un Maître manipulateur, sadique, et un soumis, un misérable docile, je voudrais réellement trouver LE soumis qui m’offrira tout ce qu'il possède, je veux le pouvoir sur tout ce qu'il fait et tout ce qu'il pense, je veux un soumis fiable et 100% prêt à entrer dans une réelle relation ds Ajoute moi si ça t’intéresse
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soma06
Bonsoir de NICE !
J'aime 29/08/25
bonjour
J'aime 01/09/25
Diaper35370
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au service de ces Messieurs
Maîtresse Pamela
Trois jours ont passés, les jeux de domination avaient cessés, je me remettais un peu de ma dernière séance, riche en émotion, vécu avec Dame Sara. Karine avait l’air pour sa part radieuse, plus belle que jamais, satisfaite, elle me rendait heureux. Ce que je ne savais pas par contre, c’est qu’elle mijotait quelque chose, par l’entremise de Sara elle avait prit contact avec un autre soumis, parce que je ne lui suffisais plus ? Non pas du tout, comme elle avait bien appréciée faire l’amour avec Sara, elle se dit que l’expérience serait sûrement aussi bonne pour moi qu’elle l’avait été pour elle. Nous étions donc Samedi matin, j’allais sortir faire un peu de jardinage quand Karine m’interpella… – Éric, nous recevons à souper ce soir. – Et qui sont nos invités ? – En fait c’est un invité, il arrivera vers les 17 heures. – Un ? – Oui, un soumis qui m’a chaudement été recommandé par Dame Sara. – Un soumis Maîtresse, mais je ne comprends pas ? – Oui un soumis, un problème avec cette invitation Éric ? – Eeee non Maîtresse, je serai content de faire sa connaissance. – Très bien, tu sais que je t’adore mon amour. Et elle retourna vaquer à ses occupations, elle avait invité un autre soumis à notre table, je n’étais pas vraiment chaud à l’idée de voir la femme que j’aimais faire l’amour avec un autre homme, mais j’avais confiance en elle et je me dit qu’elle avait sûrement fait cela pour rencontrer d’autres personnes qui partageaient nos nouvelles pratiques. Mais toute la journée cette idée me hanta l’esprit, de quoi aurais-je l’air à côté de ce soumis sûrement très expérimenté, jamais auparavant je n’avais ressenti de la jalousie où de la compétition avec Karine, mais cette future rencontre ne me disait rien de bon. Le soir arriva, j’étais nerveux, Karine avait tenu à ce que je ne porte qu’un bas culotte de couleur beige, on pouvait voir ma queue au travers du collant, l’invité allait sûrement trouver ça bien drôle de me voir ainsi vêtu. On sonna à la porte… – Va ouvrir Éric, c’est sûrement lui. (et si ce ne l’était pas j’aurai l’air de quoi) – Oui Maîtresse ! Quand j’ouvris la porte, une homme d’a peut près le même age que moi apparu… – Bonsoir, je suis Éric – Bonsoir Éric, je suis Julien – Excuse ma tenue, ça doit te faire bien rire de me voir comme ça. – Non pas du tout Éric, tu sais je te trouve plutôt beau, moi – Puis-je entrer ? – Oh ! mais bien sur voyons, entre, j’en oublie ma politesse. Julien avait un sourire si franc, si dénué de toutes moqueries, pas du tout ce à quoi je m’attendais. Je guidai Julien jusqu’à la salle à manger, Karine n’y était pas encore, elle devait voir à ce faire belle. J’invitai Julien à s’asseoir et je pris place en face de lui, il était bel homme, des cheveux brun, des yeux de la même couleur, légèrement plus petit que moi mais de la même carrure. – Tu sembles nerveux Éric ? – Oui je le suis, c’est tout nouveau pour moi. – Je te comprend bien, tu sais j’ai moi aussi commencé un jour, mais voit cela comme un bon souper entre amies, tout ce passera bien. – Il y longtemps que tu pratiques ce genre de choses Julien ? – Je dirais environs 5 ans. – Tu pratiques avec ta copine toi aussi ? – Eeee non Éric, je suis seul, par contre j’ai une Maîtresse que j’adore, nous sommes bons amis. Je me sentais plus à l’aise devant Julien, il était gentil, mais surtout il partageais ma passion pour les jeux de domination, cela nous rapprochait je pense. – Bonsoir Messieurs, vous avez l’air de bien vous entendre, puis-je me joindre à vous ? Décidément Karine n’avait pas fini de me surprendre, elle portait de longues bottes à talons noires qui montaient jusqu’au milieu de ses cuisses, une jupe très courte noire et un top, aussi de couleur noire, une particularité que j’adorais était que le tout était fait de vinyle, c’était brillant, très chic. – Alors ça vous plaît ? – Oui beaucoup Maîtresse, vous être superbe. – Madame une tenue digne de votre rang. – Merci Julien, mais quelques chose ne marche pas ici, Éric, tu vas rejoindre Julien de l’autre coté de la table et place ta chaise prêt de la sienne. – Bien Maîtresse – Toi Julien, enlève tes vêtements comme il en a été convenu. – Pendant ce temps tu vas nous servir le repas Éric. Je parti à la cuisine en laissant Julien obéir aux ordres de ma Maîtresse. En revenant avec les plats je remarquai toute suite que Julien ne portait plus de vêtements, il était debout et portait exactement la même chose que moi, un simple collant beige. Je ne pouvais m’empêcher de le regarder et surtout qu’on voyait très bien au travers du nylon, tout comme moi. Quand Julien vu que je le regardais, il s’assit, comme s’il tenait à ce que je remarque qu’il était vêtu de la même manière que moi. Après avoir déposé les plats, je pris place aux côtés de Julien et tout le monde commença à manger. Nous avons discuté de divers sujets pendant le repas, j’en avais presque oublier ce que je portais, mais Karine eu vite fait de me rappeler ce que j’étais… – Allez, maintenant levez-vous que je puisse vous regarder tout les deux. – Hummm… magnifique, on dirait deux danseurs de ballet. – Allons au salon question de nous détendre un peu. Comme l’avait demandée Karine nous nous sommes rendu dans le salon et Karine prit place dans le fauteuil, moi et Julien attendions debout devant elle. – Tournez-vous l’un en face de l’autre. – Ensuite Julien, mets-toi à genou devant Éric – Je veux que tu le caresses, passe tes mains sur ses cuisses et ses fesses. – Éric, regarde moi ! Je pense que mes jambes tremblaient à ce moment, Julien me caressait comme Karine le lui avait demandée, des milliers de frissons parcourraient l’ensemble de mon corps, ses mains étaient douces, bien que j’aimais la sensation, le fait de me faire caresser ainsi par un autre homme me donnait un sentiment de honte, je pense que c’est parce que j’aimais ce qu’il me faisait que je sentais ainsi, nous sommes tous rempli de vilains préjugés qui ne font qu’alimenter ces pensées honteuses. – Alors Éric, tu aimes ? – Je ne sais pas Maîtresse. – Allons, avoue que tu aimes ça, si tu n’aimes pas, je lui demande toute suite d’arrêter. – Maîtresse, j’ai honte qu’il me fasse ça devant vous. – Je sais Éric, mais je veux savoir si tu aimes. – Je pense que oui Maîtresse. – Ah tu penses, regarde ta queue et redis moi ça à nouveau. Non, je ne pouvais pas le croire, elle était droite comme un militaire au garde-à-vous, j’étais dure comme la pierre, Karine souriait et ma honte n’en était que plus forte. – Alors Éric, tu penses toujours que tu aimes ? – J’ai…me Maîtresse. – Oh je sais que tu aimes, ta queue me le confirme, elle ne me ment pas « elle ». – Maintenant Julien, déscend le bas sous son sexe et suce le ! Julien fit exactement ce que Karine lui demandait, il baissa le bas et pris ma queue dans sa bouche, c’était chaud, c’était bon, il était très doux dans ces gestes et aussi dans sa fellation, il avait l’air de la déguster, comme si pour lui la seule chose qui contait était ma queue. Karine se leva alors debout et s’approcha de nous… – Alors mon amour, c’est bon ce qu’il te fait ? – Oui Maîtresse, mais… Je n’eu pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres vint rejoindre les miennes dans un long et passionnant baiser. Je savais maintenant que Karine m’aimait profondément et ma confiance en elle n’en était que plus forte. Karine se retourna à son fauteuil, enleva sa jupe et s’assit. Elle continuait de regarder le spectacle dont elle était le metteur en scène et écarta largement les jambes pour se masturber tranquillement. Ce qu’elle pouvait avoir l’air bien ma belle déesse ainsi, en parfait contrôle, prenant plaisir à regarder cette image homosexuelle que je commençais vraiment à apprécier… Plus la gêne et la honte disparaissait, plus je trouvais Julien beau et excitant et l’envie de lui prodiguer moi aussi cette caresse devenait de plus en plus forte. – Assez maintenant Julien, relève toi et embrasse Éric, je veux qu’il goûte la saveur de sa queue, fait lui apprécier les délices de tes lèvres. Julien se releva et posa sa bouche contre la mienne, un sentiment inconnu et excitant m’envahi, embrasser un homme était tellement différent d’une femme ou peut-être que ce ne l’était pas, reste que j’aimais, il força rapidement l’entrée de ma bouche avec sa langue pour venir enlacer la mienne. Le baiser se prolongeait, je pouvais entendre Karine gémir de plaisir, sa respiration était rapide, de l’entendre comme ça augmentait par le fait même mon propre plaisir. Moi et Julien étions collé l’un sur l’autre, ma queue touchait la sienne au travers du collant, une sensation forte agréable. Julien passait ses mains sur mes fesses, sur mon dos, dans mon cou et dans mes cheveux, je ne tardai pas à lui rendre ses caresses. Sa queue était aussi dure que la mienne, j’avais de plus en plus envie de la goûter, de la sentir dans ma bouche, de sentir son plaisir monter en elle, Karine exauça mon souhait… – Éric, c’est à toi maintenant, à genou et suce-le ! – À vos ordres Maîtresse. Elle n’eu pas besoin de me prier pour que je m’exécute, je me mis à genoux et baissai le collant sous sa verge. Je pris un instant pour la regarder, dure et gorgée de sang, prête à recevoir la chaleur et la douceur de ma bouche. Je posai mes lèvres dessus et fit entrer complètement le gland, un goût légèrement salé, mais qui ne dura pas. J’aimais le sucer et ça ne sembla pas non plus déplaire à Julien qui posa ses mains sur ma tête, comme pour encourager ma fellation. – Oh, mais on dirait qu’il aime ça en plus ! – Dit Julien, Éric est une bonne suceuse au moins ? – Oui Madame il fait très bien. – Je ne doutais pas de lui, il était déjà très bon avec sa langue entre mes jambes. – Mais je vais jouir s’il continue comme ça Dame Karine – Parfait ne te gêne surtout pas, jouis et profites en ! – Merci Madame. L’invitation que Karine venait de lancer à Julien me glaça légèrement les sens, je ne savais pas trop si j’étais prêt à recevoir sa semence dans ma bouche, mais je n’eus pas le temps de m’y préparer que je sentis les jets chaud venir frapper mon palais en abondance, salé, un peu acre, particulier, un peu de dégoût mais j’avalai tout de même complètement ce que Julien me donnais en soupirant de plaisir. Quand ce fut terminé je lâchai la queue devenue plus molle et je regardai en direction de ma Maîtresse, la tête basse… – Vient ici maintenant Éric. – Oui Maîtresse Je m’avançai jusqu’au fauteuil ou se trouvait Karine et elle me tendit ses doigts ruisselant de mouille… – Lèche ! Je pris ses doigts et les lécha un à un, c’était divin, le goût d’une femme, le goût de ma femme, un délice comme il n’en avait qu’un, ma queue connaissait bien ce jus et elle se redressa sur le champ. Quand j’eu fini de nettoyer les doigts de Karine, elle se saisit de ma verge et commença un rapide va et vient en me fixant dans les yeux. Le plaisir monta rapidement, c’est alors que Karine lâcha ma queue pour venir la frotter avec une de ses bottes… De sentir comme ça le vinyle la caresser tout en sachant que ces bottes étaient celle de ma Maîtresse fut suffisant pour faire jaillir de longs jets de foutre sur les bottes noires. Je dois dire que le résultat était assez beau à voir… – Qu’est ce que tu attends Éric, je ne vais pas rester comme ça, lèche tout ! Je me mis à genou pour lécher complètement mon propre sperme sur les bottes de Karine, une sensation de soumission total m’envahi alors, l’esclave nettoyant les bottes de sa Dominatrice, difficile de vous expliquer la sensation de d’apaisement et de bien être que cela procure, mais ça venait conclure ma première relation homosexuelle. Nous primes un dernier verre en compagnie de Julien, un garçon vraiment sympathique, que secrètement j’espérais revoir, mais pour ça je faisais confiance à Karine elle avait sûrement aimée le spectacle au point de vouloir le revoir.
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Marc Nancy
Un récit très excitant
J'aime 29/08/25
soumise95pour femme
Merci pour ce délicieux récit qui je doit dire ne me laisse pas in
J'aime 30/08/25
Maîtresse Pamela
Corvées domestiques et contrôles Laisser un commentaire / Initiation / Par Anonyme · Il semble aujourd’hui important d’évoquer les méthodes d’encadrement courantes pratiquées par les vraies femmes dominantes dans le quotidien des soumis, soumis confirmés et soumis-esclaves. · Il est toujours bon de le rappeler, ces méthodes ne concernent que les sujets en appartenance réelle à demeure et sous contrat. Le soumis de passage sauf organisation d’un jeu par après-midi pluvieux et en couple vanille …. n’est pas concerné par ce qui suit. · On s’en serait douté, un sujet en appartenance réelle n’a pas vocation à rester les bras croisés assis sur le canapé en attendant que sa Maîtresse lui donne une petite fessée, une fois de plus, les sites internet regorgent de vidéos très mal orchestrées et il sera facile pour les amateurs d’y trouver leur bonheur et de faire travailler leur imagination. La formation Un soumis en appartenance a généralement en charge 95% des travaux domestiques. Durant les toutes premières semaines de son intégration au foyer juste après les préparations d’usage , morales et physiques, le sujet reçoit une formation domestique complète et intense abordant chaque thème souhaité par la Maîtresse. Le sujet soumis devra être particulièrement attentif d’autant que la majorité des dominantes interdisent les prises de notes. Au-delà de l’acquisition de connaissance pour le bon fonctionnement des appareils ménagers, le sujet devra être très à l’écoute des habitudes et manies de sa Maîtresse. Cette dernière va se décharger totalement du travail domestique mais elle compte bien que cela se déroule de manière transparente et compte bien obtenir un service de qualité équivalent ou supérieur à ce qu’elle pourrait obtenir avec un tiers rémunéré. Le sujet en soumission et les corvées Dans les critères de sélection, la femme dominante va privilégier un sujet déjà familiarisé avec le travail domestique. Nettoyage des sols, aspiration, poussière, rangement, lavage main, lavage machine, gros repassage, vitres, nettoyage placards, nettoyage cuisine, nettoyage four et plaque de cuisson, literie, repassage effets vestimentaires délicats de Maîtresse, balais , entretien général de la maison, préparation des repas, vaisselle main, vaiselle machine, petites réparations, entretien des extérieurs si maison…… etc Dès le départ il faudra faire comprendre au sujet qu’il est là pour bosser et selon la cadence souhaitée par sa Maîtresse. Les dominantes n’envisagent pas de consacrer 10 heures par jour à jouer de la cravache. Les ordres Ils sont en général communiqués la veille inscrits sur le cahier de discipline ou affichés. Ils seront aussi donnés de façon aléatoire surtout dans les changements de planning sans délai de prévenance. En appartenance rien n’est stable et tout bascule d’une minute à l’autre sans prévenir. Exemple : « Tu arrêtes le lavage sol et tu files ranger la cave. Ensuite retour ici pour nettoyage WC et reprise des sols ! Plus vite !! » – Oui Maîtresse ! Le dressage au plan domestique On séparera le dressage et le dressage domestique. Pour ce dernier, il est facile de se fixer un objectif. « On commence ce jour ta formation-dressage domestique et cela pendant trois semaines. En conséquence je vais être sur ton dos en permanence pour noter tes faiblesses de compréhension et apporter les mesures correctives. Tu sais qu’ici en ce domaine en plus être mon soumis tu es ma bonniche et tu vas très vite comprendre ce que je souhaite : qualité, rapidité, masse de travail, obéissance, et silence. » Le décor est planté. Chaque jour et pendant trois semaines divers tests sont réalisés portant en particulier sur la rapidité à réaliser un travail. Les mesures correctives pleuvent. Exemple : Une Maîtresse dure mais calme et méthodique « On va travailler au chrono. Dans 3 minutes tu te tiens prêt dans la cuisine en position de discipline avec l’aspirateur et le nécessaire de nettoyage pour les sols. Tu retires ton tablier et tu travailles nu avec tes sandales. Quand je donnerai le top chrono tu auras 15 minutes pour nettoyer le carrelage et je reste là, assise pour noter ta manière de travailler. Si je vois la moindre trace il y aura des mesures correctives, et tu recommences à zéro, ensuite on passe aux travaux de repassage. Tu t’appliques, tu la boucles et tu concentres ton esprit sur ton travail sinon tu files en salle de discipline ! Quand tu auras terminé tu resteras debout en position de discipline en attendant que tout soit sec avant inspection ». Oui Maîtresse ! Exemple : Une Maîtresse plus colérique avec un soumis nouvellement intégré. « A genoux ! Tu as été formé pendant plusieurs heures pour bien maîtriser le repassage et le pliage de mes chemisiers. C’était un test. Je découvre à l’instant un véritable chiffon dans mon armoire. Tes mains croisées dans le dos et tu t’approches à genoux ! STOP !!! Ecartes toi de mes pieds sinon je ne peux pas gifler correctement ta tête d’abruti !! Une bonne série de 12 sur ta face de rat pour commencer, ensuite ce soir tu reprends cette pile de linge qui est là et tu y passeras toute la nuit s’il le faut ! Si ce n’est pas impeccable tu me refais tout !! Je vais t’en faire bouffer du repassage !! Dans une pile au moindre faux plis je fiche tout par terre en boule et tu refais tout. De plus, tu seras très sévèrement corrigé samedi. Comme hors d’œuvre tu vas chercher ton plug et la raquette de ping pong et tu viens ici sur mes genoux pour une bonne fessée pour bien te chauffer la raie ! « – Oui Maîtresse ! Les contrôles Une fois familiarisé avec les exigences de sa Maîtresse, le soumis commence à fonctionner normalement. Son planning sera particulièrement chargé lors des premiers mois toujours pour motif de test et de bonne formation. On distinguera les contrôles aléatoires et les contrôles annoncés. Les contrôles sont la hantise des soumis. Au plan aléatoires ils peuvent avoir lieu chaque jour et aux moments où le sujet ne s’y attend pas. Un exemple de contrôle. » Viens ici ! C’est comme ça que l’on fait un lit ? Tu as vu l’état de ma couette ? Tu arrêtes de suite le nettoyage de la salle de bain et tu refais ce lit correctement. Je reste là pour te voir travailler. » Dans cet exemple, le sujet fait face à de grandes difficultés pour intégrer correctement la couette dans sa housse. Il n’a jamais fait ça et la formation que lui a donné sa Maîtresse a été inutile car trop rapide. La couette semble se mettre en boule et donne un aspect disgracieux à la literie. A chaque tentative, la Maîtresse non satisfaite du résultat prendra un malin plaisir à ressortir la couette de son enveloppe et ainsi contraindre le sujet à tout recommencer. « Travail de porc, je retire la couette et tu recommences 10 fois s’il le faut jusqu’à perfection. Tu seras puni sévèrement de toutes les façons. Ce n’est pas pardonnable puisque tu as été formé, je t’ai expliqué comment faire. Tu n’es qu’une nullité tout juste bon à lécher mes pieds. » Autre type de contrôle mais cette fois programmé « Tu le sais, à 14h je fais une revue de cuisine, j’espère que tout sera impeccable sinon tu connais le tarif. Pour l’inspection tu seras prêt de moi. A la moindre trace tu briques jusqu’à ce soir, ça te fera du bien. Notations : Les notations hebdomadaires concernant la qualité des travaux ménagers débutent à partir du moment où la Maîtresse estime le dressage domestique terminé. Il faudra mettre en place des minimas en dessous desquels des sanctions plus ou moins dures seront appliquées. Il faut bien intégrer le fait que le soumis pour s’impliquer correctement doit sentir en permanence au-dessus de son crâne la menace des sanctions. Soumis présent depuis 6 mois : » A 17h00 tu te présenteras en position de discipline face à mon fauteuil de commandement en salle de dressage. Je vais te communiquer tes notes mensuelles au plan de tes travaux domestiques. Je puis déjà te dire que ce n’est pas brillant. Tu peux déjà t’attendre à un gros serrage de vis. »
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blous62
Bonjour Maîtresse Pamela, Je trouve très acceptable et normal que mon travail soit contrôlé en permanence et que les sanctions disciplinaires tombent si le résultat n'est pas satisfaisant ... Pour ma part, même le contrôle de ma blouse de bonniche obligatoire et le parfait boutonnage jusqu'au col claudine doivent intégrer mon éducation. L'uniforme et la blouse représentants mon infériorité et ma condition , peu mportent les variations de température... Toutes tâches devant être parfaitement achevées à la perfection, il me paraît évident d'être condamné a la recommencer indéfiniment jusqu'au parfait résultat . Évidemment, la tâche pourrait être rendue plus punitive si des entraves réduisent la liberté de mouvement de manière inversement proportionnelle à vôtre satisfaction. Moins vous êtes satisfaite et plus la tâche reprise sera délicate et pénible pour l'exécution....
J'aime 23/08/25
Benoît
Bonjour maîtresse pamela
J'aime 23/08/25
Tav
Bonjour Madame Pamela, merci pour votre texte qui ne laissera pas insensible tous les soumis, moi le premier…. Mais vous êtes une très jeune Maîtresse, et puis-je vous demander si vous avez déjà eu le bonheur de vivre une telle expérience ? Envisagez vous de vivre selon ce mode de vie? Avec un esclave entièrement dévoué à votre service ? N’est-ce pas le rêve de beaucoup de Maîtresse, et le souhait de nombreux mâle soumis!!
J'aime 23/08/25
Youky le soumis
Bonjour Madame Pamela, j'ai évoqué à ma femme, certes très maladroitement mon souhait de vivre sous son contrôle et devenir son serviteur (entendez par là son soumis). Elle n'a pas du tout la fibre dominante et interprétait cela plutôt pour une charge supplémentaire pour elle. Si je lui faisais lire votre notice présente, elle le verrait peut-être différemment. Tout me plait dans ce que vous écrivez là. Tout pour l'instant et mon excitation est à son comble mais vous décrivez très bien qu'il ne s'agit pas d'un jeu de fantasmeur mais bien d'un mode de vie à adopter et être près finalement à abandonner mon petit confort actuel. Je crois que j'aimerais bien qu'elle découvre ce site qui m'occupe beaucoup et qu'elle tombe sur votre texte. Mieux encore, qu'elle vous contacte en mp pour la rassurer.
J'aime 23/08/25
Tav
Bonjour Madame Pamela, vous avez aimé mon commentaire mais vous n’avez pas répondu à ma question, désolé pour mon insolence, aimeriez-vous acquérir, éduquer et dresser un mâle soumis ? Je suis certain que sous votre autorité il deviendrait un excellent esclave !
J'aime 25/08/25
Benoît
Pourquoi pas tav
J'aime 25/08/25
reformatoryspank
j'aimerais revivre un weekend entier ou je serai traité en écolier, leçons, exercice, avec d'autres élèves et recevoir la fessée devant toute la classe comme avant !
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Benoît
Pourquoi pas
J'aime 20/08/25
soumise95pour femme
Je ne suis pas trop école..! Lol...!
J'aime 21/08/25
Benoît
Vous êtes quoi alors
J'aime 21/08/25
soumise95pour femme
je suis plus dans le mode cagoule collier en laisse mis a la chaine, ou en cage, animalerie?
J'aime 21/08/25
Benoît
Moi je suis a la recherche d'une belle fessée
J'aime 21/08/25
SwitchLoicbidu59
Salut tu l à demandé en ami mais nous sommes trop loin en revanche en sept. Braderie de Lille si tu penses y venir profitons de nos corps
J'aime 21/08/25
Benoît
Dommage
J'aime 21/08/25
MasterParis11
Bonjour ! A Paris, Dominateur mûr, réel et expérimenté, hétéro... Directif... joueur, cérébral et imaginatif... Autoritaire et exigeant, mais absolument pas misogyne. Pas de violence extrême ni scato ... Je cherche une soumise, âge indifférent, débutante bienvenue ! J'aime les séances progressives, les scénarii très écrits mais aussi l'improvisation, au gré de mes désirs du moment et en écoute de la soumise. Respect, tact, discrétion, humour et hygiène de rigueur !
yu feing
Homme dominant – Rennes – Dressage de soumise Homme dominant, 30 ans, TBM (18x5), hétéro, expérimenté, passionné et respectueux. J’allie fermeté, rigueur et bienveillance dans un cadre sûr, discret et excitant. Je recherche une soumise – débutante curieuse ou déjà expérimentée – sur Rennes ou alentours, pour un dressage sur mesure, progressif et intense, mêlant discipline, obéissance et érotisme. Ouvert également aux femmes seules, MILFs, cougars, ou couples libertins/candaulistes souhaitant introduire ou perfectionner la soumission féminine dans leur dynamique. Pratiques et cadre : Apprentissage des positions, rituels et règles Bondage, contrôle, punitions adaptées, jeux de rôle Séances sensuelles ou intenses, selon le niveau et les limites Suivi et progression dans le temps pour une soumission authentique Discrétion absolue, respect des limites et de la sécurité Je peux recevoir ou me déplacer en toute discrétion. Annonce sérieuse, réservée aux personnes réellement motivées, ouvertes d’esprit, prêtes à s’engager dans un vrai processus de dressage. Si tu es prête à apprendre, obéir et te dépasser, contacte-moi en privé. réel uniquement, pas de virtuel.
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Tav
Voilà une belle proposition bien structurée ! J’espère que des soumises répondront présentes !
J'aime 09/08/25
Diaper35370
a partagé une photo
Je cherche un dominant unMaitre si rugulier c'est un plus ,moi besoin d obeir, de suir d etre humilier ( gayou bi ) en 35 proche du 53
Jct
En recherche d’emploi ne soumise
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EsclaveRevolver
Emploi?
J'aime 29/07/25
Passoun
Hétéroflexible, grisonnant, poilu, 1, 75 m et 98 kg. A dispo pour black, blanc, beur domi ou directif. Homme mur ou très mûr bien venu et pour relation plutôt suivie. Soumis, novice, assez discret à prendre en main, à éduquer/dresser et à faire évoluer entre autres pour servir de vide couille et à initier à l'uro... peu maso mais plus orienté domination humiliation, dégradation… Ouvert mais pas à tout... Sur la région de Nantes
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isabel38
P...heteroflexible ! Cette évolution des pratiques est stupéfiante ! Bon courage pour votre recherche, la même que 95% des mecs sur ce site 😉 (et encore c'est un chiffre minimum)
J'aime 22/07/25
Dany
isabel38, vous n'êtes pas souple... 1f602.png
J'aime 22/07/25
Passoun
Non je ne suis pas en couple sinon je ne serai point là... et avant d’être peu être un jour domi, je pense qu’un expérience de soumission est indispensable
J'aime 22/07/25
isabel38
Oui Dany moi je ne suis que homorigide lol
J'aime 23/07/25
Dany
1f602.png
J'aime 23/07/25
Soumise recherche maître. Belle fille à la peau douce de 23 ans. Je recherche un vrai mâle alpha dominant qui sache tirer profit de ma tolérance (et mon plaisir) à la douleur. Je suis novice et je veux appartenir à quelqu'un qui le mérite, et ce, sur le long terme. .:.
Passoun
Hétéroflexible, grisonnant, poilu, 1, 75 m et 98 kg. A dispo pour black, blanc, beur domi ou directif. Homme mur ou très mûr bien venu et pour relation plutôt suivie. Soumis, novice, assez discret à prendre en main, à éduquer/ dresser et à faire évoluer entre autres pour servir de vide couille et à initier à l'uro... peu maso mais plus orienté domination humiliation, dégradation… Ouvert mais pas à tout... Sur la région de Nantes
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Bonjour à tous ! je me présente je suis un homme trans soumis de 24 ans, et mon éducation est pour l'instant autodidacte. j'habite en campagne et je ne suis pour l'instant pas véhiculé, alors le seul moyen de faire des achats c'est de commander sur internet (mes courses, mes vêtements, mes sextoys, tout) je croise donc beaucoup de livreur et étant adepte de l'humiliation j'aimerai savoir si vous avez des idées d'humiliation discrète mais visible pour que ces livreurs s'aperçoivent de ma condition mais sans forcément que ça aille plus loin (pour l'instant) sachant que je prend aussi les transports en commun pour me rendre dans de plus grandes villes de temps à autres et que j'aimerai aussi des conseils pour me sentir humilié également lors de ces sorties ^^ je prend tous les conseils ! merci beaucoup à toustes !
Soyez la première personne à aimer.
soumis54
Bonjour une idée simple serait de porter un collier er sa laisse chaque fois que tu es susceptible de croiser ces personnes
J'aime 21/07/25
pour l'instant j'en ai pas ahah
J'aime 21/07/25
Bonjour. Je découvre un peu ce "forum" et ces divers parties (toutes plus intéressantes les unes que les autres). Néanmoins, n'étant pas du genre à tourner autour du trou (enfin, ça dépend lequel bien sûr), je suis à la recherche d'une soumise à éduquer. Qu'elle soit novice ne me pose aucun problème. Il faut juste qu'elle soit obéissante (ou pas mais dans ce cas, un petit rappel à l'ordre devra s'imposer). Je suis de Bruxelles et peux me déplacer. Merci pour les éventuelles réponses. Monsieur.
yu feing
a partagé quelques photos
voici une de mes précédente soumise d'ou ma recherche d'en chercher une et couple caudau soumis les 2 première et la dernière précédente soumise et les autre femme soumise marier cocu jespère que sa plaira a du monde et que sa en motivera pour me contacter et en parler et aussi j'ai des vidéo mes pour le privé uniquement et je cherche couple caudau et femme soumise a rennes et ses alentours je reçois et me déplace mon annonce es très sérieuse si vous etes intéresser ajouter moi en ami et on en parle et organise sa avec plasir
Maîtresse Amélia
Mélanie était fille unique. Ses parents la couvraient de sollicitude, mais leur éducation était extrêmement protectrice. Son papa, gendarme, avait souvent affaire à des jeunes à la dérive, et il exigeait de sa fille une droiture exemplaire. Bien qu'elle soit déjà majeure, Mélanie n'osait pas se rebeller contre l'autorité parentale. C'était une jeune femme de 18 ans, parfaitement normale, avec des désirs et des besoins. Ses parents surveillaient ses fréquentations, écartant toutes ses relations qui auraient pu dériver vers le sexe. Du coup, elle n'avait aucun ami intime. Et ses pulsions sexuelles étant croissantes, son seul soulagement était la masturbation. Cela avait commencé à l'adolescence, mais maintenant c'était devenu un besoin pressant. Mais peu importe le temps qu'elle y consacrait, cela ne calmait pas le désir qu'elle ressentait lorsqu'elle caressait son corps nu pour se procurer de multiples orgasmes. Elle rêvait d'être avec un homme, de caresser sa queue pour le faire bander, puis de s'offrir à lui. N'importe qui, un type anonyme qui pourrait satisfaire ses besoins. Il devenait de plus en plus difficile de trouver un endroit tranquille pour satisfaire ses besoins croissants. Elle a failli être découverte plusieurs fois. Elle a essayé de verrouiller la porte de sa chambre, mais son père a voulu savoir pourquoi elle s'enfermait. Sous la douche, sa mère lui a crié de se dépêcher, et de ne pas gaspiller l'eau. Sa frustration grandissante l'obsédait. Elle devait trouver un moyen sûr pour obtenir son soulagement sans être interrompue. Elle a dit à ses parents qu'elle voulait courir. Il y avait de grands bois près de chez eux. Son père n'étant pas enchanté par cette idée, il l'a accompagnée les premières fois. Sa curiosité satisfaite, et voyant qu'elle courait sérieusement, il la laissa y aller seule. Bien sûr, il savait exactement combien de temps il lui fallait, et il a dit à Mélanie qu'il chronométrerait. Bien sûr, il lui a dit que c'était pour pouvoir quantifier ses améliorations. Maintenant qu'elle courait seule, elle savait de combien de temps elle disposait. Elle avait même repéré un endroit discret, hors du chemin, où elle pourrait s'isoler. Elle partit en surveillant son temps au fur et à mesure. Arrivée à l'endroit adéquat, elle s'allongea à l'ombre d'un grand arbre. Ôtant rapidement son short et sa culotte, elle a commencé à se branler. Comme elle était très excitée, elle a joui très rapidement. Sans s'arrêter, elle s'approchait d'un deuxième orgasme quand elle entendit du bruit. Regardant dans la direction du bruit, elle vit une femme mûre sortant des buissons. Elle cria de peur. « N'aie pas peur de moi, je ne veux pas t'empêcher de te faire plaisir » Mélanie se rhabilla précipitamment. « Je suis désolée de t'avoir interrompue, ma chérie, c'est si bon de jouir » Mélanie ne savait pas quoi répondre. Mais la femme la pressait de question. Elle voulait comprendre la raison qui poussait Mélanie à venir se soulager ici. Mise en confiance par la sympathie que dégageait cette personne mature, Mélanie s'est ouverte et elle lui a expliqué ses problèmes, son manque d'intimité et son besoin de jouir. « Oh, je comprends tes besoins, ma chérie, mais la masturbation n'est pas une solution satisfaisante. J'ai, chez moi, un animal de compagnie qui est beaucoup plus performant qu'un homme. Si tu as du temps, ma maison est toute proche, et je peux te montrer cet être extraordinaire » Mélanie était perplexe. Elle consulta sa montre : « Je dois rentrer, mon père me chronomètre » « OK » a répondit la femme « mais si tu veux vivre une expérience divine, quelque chose de bien meilleur que tes doigts, je vis dans cette villa que tu vois là-bas » Mélanie a repris sa course et elle est rentrée chez elle : « Même temps qu'hier » a dit son père. Mélanie était songeuse en pensant à cette femme curieuse. Une femme entre deux âges, avec un gentil sourire, et une voix douce. Mélanie décida qu'elle pouvait lui faire confiance. Dès le lendemain, Mélanie partit à la recherche de réponses à ses questions. Qu'est-ce qui pouvait être bien mieux que ses doigts? Elle courut rapidement jusqu'à l'endroit où elle pensait trouver la femme. Il n'y avait aucun signe de vie autour de cette villa isolée. Mais juste au moment où Mélanie allait partir, elle est apparue. « Te voilà de retour, ma chérie. Bienvenue dans ma modeste demeure » dit-elle. Mélanie hésitait. Son esprit était troublé. Comment poser la question? Sa confiance était vacillante, elle voulait repartir, lorsque la femme lui a demandé si elle était venue pour découvrir son secret, et ce qu'était cet animal de compagnie bien meilleur que tout ce qui existe sur terre. Mélanie s'est demandée si elle pouvait lire dans ses pensées? Mais ses pensées n'étaient pas difficiles à deviner. La femme a ouvert la porte de son logis. « Entre, ma chérie, et tu auras les réponses à toutes tes questions » la femme l'a attrapée par le poignet pour l'entraîner à l'intérieur. Mélanie consulta sa montre. Encore beaucoup de temps. Elle suivit la femme dans un long couloir jusqu'à une porte : « Il vit ici. C'est la chambre de mon animal de compagnie » Mélanie prit une inspiration profonde, et demanda : « Vous avez un chien? » La femme lui a souri. Son sourire était doux, mais son regard brillait d'une flamme ardente : « Ce n'est pas un chien, ma chérie. C'est quelque chose de bien mieux. C'est mon animal de compagnie. Il est capable de satisfaire tous tes besoins, tous tes désirs, bien au-delà de ce que tu peux imaginer. C'est un être parfait. La réponse à toutes tes questions se trouve derrière cette porte. Déshabille-toi entièrement et entre » Mélanie fixait la porte fermée comme si elle pouvait voir à travers. Quelle était cet animal dont la femme parlait? Comment pouvait-il satisfaire ses désirs, ses besoins? Cela semblait impossible, et pourtant : « Je veux savoir » balbutia Mélanie. La femme souriait toujours : « Déshabille-toi, ma chérie. Et prépare-toi à vivre l'expérience la plus fabuleuse de toute ta vie. Tu es si belle. Mon animal de compagnie va t'aimer ! » Aussi étrange que cela puisse paraître, Mélanie a fait ce que la vieille femme lui demandait. Entièrement nue, Mélanie s'approcha de la porte, chaque seconde augmentant son anxiété. « Entre, ma chérie. N'aie pas peur. Ouvre la porte et entre découvrir le plaisir » Mélanie tourna lentement la poignée, et ouvrit la porte. La pièce était sombre. Elle hésita sur le seuil de la pièce. Elle entendit un chuintement, et sentit quelque chose s'enrouler autour de sa taille. Une sorte de lasso gluant qui l'entraînait à l'intérieur de la pièce. La porte a claqué derrière elle. Elle a crié et lutté pour s'échapper mais la force de cette chose était trop grande. Elle fut tirée au centre de la pièce et elle sentit d'autres cordes gluantes l'immobiliser. Il a fallu plusieurs secondes à ses yeux pour s'habituer à l'obscurité. Mélanie se débattait tandis que d'autres cordes intensifiaient leurs étreintes en s'enroulant autour de ses membres. Mélanie se sentait impuissante. Elle commençait à distinguer dans la pénombre la forme de cette chose qui la dominait. Elle hésitait entre une araignée géante et une grosse pieuvre. Bizarrement, elle n'avait pas peur. Les cordes gluantes ressemblaient à des tentacules. La forme ovale ne semblait pas avoir de tête. Elle ne voyait ni bouche, ni yeux. Puis une protubérance a jailli de cette forme bombée et s'est accrochée à son sein gauche. Elle a commencé à sucer le mamelon de Mélanie. Puis une autre s'est agrippée à son sein droit. Cela ressemblait vaguement à des bouches d'enfant, mais avec un pouvoir de succion beaucoup plus intense. Une sorte de liane visqueuse s'est faufilée entre ses cuisses. Impossible pour Mélanie de croiser les jambes, ou même de serrer les cuisses, les tentacules qui entouraient ses jambes les maintenaient écartées. Le tentacule entre ses jambes s'est glissé jusqu'à sa chatte, avant de se muer en bouche suceuse. Aussitôt, une sorte de langue en est sorti pour explorer sa fente. Dès qu'il a trouvé l'ouverture, il s'est faufilé à l'intérieur de Mélanie. Grossissant rapidement, le curieux appendice s'est mis à coulisser d'avant en arrière, et il a déchiré le pucelage de Mélanie. « Non » cria-t-elle, mais cela n'a servi à rien. Elle sentait le tentacule en forme de pénis se déplacer en elle en grossissant de plus en plus. Son cri d'angoisse se changea en gémissement de plaisir tandis que son corps acceptait l'intrusion. « Oh oui » gémissait-elle à présent. Un autre appendice en forme de pénis est venu lui caresser les lèvres. Elle voulait protester mais il plongea dans sa bouche. Son instinct féminin a pris le dessus, et elle commença à le sucer. Celui dans sa chatte la baisait énergiquement. Elle perdait tout contrôle, agitait ses hanches et sa tête pour baiser et sucer les appendices gluants. De nouveau, elle sentit une autre ramification se développer entre ses cuisses pour venir se frotter entre ses fesses. Elle voulait protester contre ces manières insolentes, mais les tentacules dans sa bouche et dans sa chatte avaient pris tellement d'ampleur et de vigueur, qu'elle perdait sa raison dans un tourbillon d'émotions. Le nouveau venu a commencé à pousser contre son anus, avant d'entrer dans son canal anal. Elle poussa un râle lorsque son sphincter a capitulé. Une série d'orgasmes, de plus en plus violents, a secoué son corps au fur à mesure que la créature remplissait successivement ses orifices envahis. Satisfait, le phénomène l'a relâchée. Mélanie, maintenant libérée et repue, tituba jusqu'à la porte. Son sourire montrait qu'elle avait apprécié cette séance d'initiation au plaisir. La femme vint la soutenir et la conduire jusqu'à la salle de bain. Mélanie était couverte d'une bave verdâtre, gluante et odorante. La femme l'a aidée à se laver, en profitant pour la tripoter un peu. En même temps, elle la complimentait sur ses formes parfaites. Mélanie s'est rhabillée, et s'apprêtait à prendre congé, lorsqu'on a frappé à la porte. La femme a ouvert la porte d'entrée. Debout sur le seuil, il y avait la mère de Mélanie. Mélanie s'est statufiée, paniquée. « Tiens, bonjour, Nathalie » dit la vieille femme. « Ça fait un moment que tu ne viens plus me voir » « Qu'as-tu fait à ma fille, salope? » criait Nathalie. Mélanie restait tétanisée. « Rien de plus que ce que tu venais faire chez moi autrefois, ma chérie. Telle mère, telle fille. Mélanie a adoré. Dois-je te préciser qu'elle n'est plus vierge? Sa bouche, son vagin et son anus ont été correctement déflorés, et abondamment utilisés » Nathalie a dévisagé Mélanie et a pu constaté que sa fille avait, en effet, vécu ce qu'elle avait elle-même adoré à plusieurs reprises. Son regard épuisé, son corps courbaturé, montraient à l'évidence que la séance avait été rude et intense. « Prends le temps de te déshabiller pour aller saluer mon animal de compagnie, il sera ravi de te revoir » Nathalie n'hésita pas longtemps. Elle se souvenait à quel point c'était bon. « Tu es vraiment une salope diabolique. Tu sais que je ne peux pas résister à ce monstre » Elle se déshabilla prestement et fila directement dans la chambre de l'animal de compagnie. Mélanie a été choquée devoir sa mère ouvrir la porte, et s'engouffrer dans la chambre sans aucune hésitation, preuve de sa dépendance à cet extraordinaire monstre. Un cri rauque s'est échappé de la pièce, puis des gémissements lorsque le monstre a pris possession de Nathalie. La vieille femme a entraîné Mélanie dans la pièce voisine et l'a faite asseoir sur un sofa. Elle l'a prise dans ses bras pour la caresser en lui parlant doucement. Une heure après, Nathalie est réapparue, couverte de bave visqueuse, épuisée mais souriante d'une oreille à l'autre. Mélanie est sortie de sa léthargie, le chemisier largement ouvert, la jupe troussée, et la culotte sur les chevilles. La vieille femme l'a libérée de son emprise et elle s'est rhabillée rapidement. Nathalie s'est engouffrée dans la douche comme sa fille avant elle. La vieille femme l'a suivie pour l'aider, comme elle l'avait fait pour Mélanie. La séance dans la douche a été un peu plus longue qu'avec Mélanie. « Viens Mélanie, nous devons rentrer, ton père va s'inquiéter. Cela n'a que trop duré » « Passez me voir de temps en temps » leur cria la femme depuis le pas de sa porte. Chez lui, le mari de Nathalie était en effet inquiet : « Où étais-tu passée? » rugit-il sur sa femme. « J'étais inquiète pour Mélanie, toute seule dans la forêt, alors je suis allée la chercher. Et nous avons fait un tour un peu plus grand » « Oui, je comprends. Cette forêt est dangereuse. Je n'aime pas que Mélanie y aille seule » « Eh bien, désormais, j'accompagnerai Mélanie à chacune de ses sorties, pour être tranquille » Nathalie se tourna vers sa fille pour accompagner sa décision d'un clin d'œil complice. Aller se promener en forêt, mère et fille, allait être une distraction très amusante dorénavant.
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TedS41
Magnifique histoire Une suite sa serai sympa
J'aime 30/06/25
Passact34
Quelle belle histoire une suite serait très bien, merci
J'aime 30/06/25
les Phantasie il n'y a pas limite
J'aime 30/06/25
Benoît
Moi je suis toujours un novice en vrai maîtresse Amélia
J'aime 01/07/25
Benoît
Vous avez dresser Mélanie
J'aime 01/07/25
Benoît
Oui ou non
J'aime 01/07/25
Comme d'habitude maintenant très beau, on attend la suite avec impatience 🤩
J'aime 14/07/25
Salut tout le monde je recherche une femme soumise sur le long terme virtuel
2 personnes aiment ça.
Benoît
Comment ça paul
J'aime 10/07/25
Yesman59
Dominique J'aimerais dominé un couple J'habite le nord près de Orchies Possibilité de recevoir
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Switcher
Je cherche plutôt une domina.
J'aime 01/07/25
Benoît
Magnifiques
J'aime 08/07/25
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