
Dom carina
Je m’appelle Karim j’ai 28ans, Je vis seule depuis quelques semaines après la rupture avec ma copine. Je suis svelte avec une corp plutôt androgyne.
Ce soir-là il est 21h00, je rentrais chez moi après un déplacement professionnel sous un froid et une pluie battante. A une vingtaine de kilomètre de ma ville je m’arrête pour pisser un coup. Au moment de repartir ma voiture ne répond plus, rien pas de jus. Je regarde autour de moi et je ne vois que des champs et sur la gauche une lumière de ce qui semble être une ferme avec une maison de plain-pied. Je décide d’aller demander de l’aide. Un Monsieur (qu’on va appeler Jean) d’environ 1.9m et baraqué comme un rugbyman ouvre la porte et me dit d’un ton autoritaire en regardant sa montre :
- Jean : oui c’est pourquoi ?
- Moi : bonsoir monsieur désolé de vous déranger, je suis tombé en panne juste là. Pourriez-vous m’aider
- Jean : c’est quoi le problème ?
- Moi : je me suis arrêté pour me dégourdir les jambes et au moment de repartir la voiture n’a plus de courant.
- Jean : vous dégourdir les jambes hein, allons voir ça de près
Il prend une lampe torche et me suit vers la voiture. Une fois arrivé il me dit :
- Jean : ouvrez le capot.
Je m’exécute il jette un œil sous le capot et me dit :
- Jean : il n’y a pas de batterie sur cette voiture ?
- Moi : si si, sur ce modèle ils l’ont mise dans le coffre.
- Jean : drôle de conception, ouvre le coffre.
J’ouvre le coffre et il y voit une petite valise et deux paires d’escarpins. Jean me dit :
- Jean : c’est a vous ça ?
- Moi : oui, enfin non c’est les affaires de mon ex petite amie qui m’a quitté, je devais m’en débarrasser mais je n’ai pas eu trop le temps.
- Jean : oui c’est ça
Apres une petite inspection de câbles de la batterie il me dit :
- Jean : tout a l’aire normal. Essayez de démarrer.
J’essaie mais toujours pas de courant.
- Jean : bon ça doit être plus grave. Il faudra attendre les dépanneurs demain.
- Moi : demain ? mais comment je fais moi je ne peux pas rester là jusqu’à demain.
- Jean : vous pouvez dormir chez moi si vous voulez
- Moi : oh c’est trop gentil
Je n’ai pas le temps de finir de le remercier qu’il me dit :
- Jean : mais il y a une condition
- Moi : ah bon ? c’est quoi je dois payer quelque chose ?
- Jean : la condition c’est que vous mettiez ça avec les fringues de la valise
Dit-il en me montrant les escarpins.
- Moi : vous n’êtes pas sérieux, je vous ai dis que ce ne sont pas mes affaires
- Jean : vous voulez dormir au chaud, prendre une bonne douche chaude et manger un bon repas chaud ? c’est la condition. Sinon je vous laisse.
Il se retourne et s’en va. Un éclair éclate, la pluie s’intensifie, Je n’ai pas envie de passer la nuit trempé dans ma voiture et je lui dis :
- Moi : c’est bon vous avez gagné je vais le faire.
- Jean : alors prends la valise et les escarpins et suis-moi.
En chemin sous la pluie je me dis vaut mieux ça que rester dans la voiture alors que je suis déjà tout trempé. Une fois à l’intérieur, il me dit en pointant du doigt la chambre à coucher :
- Jean : va prendre une douche chaude, tu trouveras sur le lit ce que tu devras porter.
Je prends une douche bien chaude et quand je sors je trouve sur le lit : une paire de collant noir, une robe noire un string noir et les deux paires d’escarpins au sol. J’hésite un moment, je réfléchis quand je l’entends dire à voix haute :
- Jean : dépêches toi le diner est prêt dans 15 minutes.
Je commence par me sécher et je mets le string en premier. Je sens la ficelle entre mes fesses. C’est une sensation bizarre. Je m’assoie sur le lit et commence à enfiler le collant. Sentir ce tissue me caresser les jambes a fait naitre en moi un frisson très agréable. Je finis par mettre la robe qui me colle au corps, puis les escarpins. Il y a deux paires une de 9cm et une de 12cm. J’ai mis les plus basses questions d’équilibre. J’en ai mis une fois dans le passé a l’occasion d’une soirée déguisée.
La porte de la chambre s’ouvre et Jean en me voyant dit :
- Jean : wow, j’en étais sûr, tout est à ta taille, tu es superbe
Il me prend par la main et m’emmène vers le miroir :
- Jean : regarde-toi, tu es magnifique
Je me regarde dans le miroir et je suis étonné par mon reflet. Sans maquillage ni perruque je ressemble a une nana.
Là il me donne une tape sur les fesses et me dit :
- Jean : allons-y le diner va refroidir
Normalement j’aurais dû réagir a cette claque sur mes fesses, mais j’étais tellement surpris et étonné par la sensation que ça m’a procuré que je n’ai rien dit.
On se met a table il nous serre du vin et il approche sa chaise près de la mienne et dit toujours d’un ton autoritaire :
- Jean : bonne appétit ma belle, mange
Pendant le diner, on discute de nos vies de nos jobs de l’actualité. A un moment il pose sa main sur ma cuisse galbée de nylon, la caresse et dit :
- Jean : tu as de magnifiques jambes, tu t’épiles ?
- Moi : non pas du tout
- Jean : elles sont si douces qu’on dirait que tu t’épiles.
C’est vrai que je suis de nature presque imberbe. Il continu de me caresser la cuisse, je ne réagis pas. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi : est ce que parce qu’il est dominateur et que je suis plutôt soumis, est ce parce que j’aime ça. Ou peut-être les deux.
On finit de diner et je l’aide à tout débarrasser. Il pose les assiettes et couvert près du lave-vaisselle et me dit toujours d’un air autoritaire :
- Jean : tiens mets les dans le lave-vaisselle.
Je m’exécute et pendant que je suis penché en train de remplir la machine, il vient derrière moi me prend par les hanches et se colle a mes fesses et dit :
- Jean : tu fais tout pour me chauffer hein petite salope
Je comprends que ma posture l’excite et j’essaie de me redresser. Il appuie sur mon dos et dit :
- Jean : finis de remplir la machine d’abord, salope
Son autoritarisme et ses injures ne me laisse pas de glace. Je ne sais pas pourquoi mais j’aime comment il me domine. Même avec mon ex petite amie j’étais un homme plutôt timide et soumis. Là c’est plus puissant vu que c’est un homme qui me donne des ordres. Je ne suis pourtant pas gay.
Je finis de remplir la machine, je me redresse, il lâche mes hanches et passe ses mains autour de moi et me serre contre lui. Je sens son sexe durcir sur mes fesses. Je sens son souffle près de ma nuque, il dépose plusieurs baisers sur ma nuque et derrière mon oreille. Je ne réagis toujours pas, je commence même a avoir une petite érection. Il me retourne face a lui comme une marionnette et me serre contre lui en déposant un baiser sur ma bouche. Puis il introduit sa langue dans ma bouche. Au début je reste sans réaction, mais vu comment il me serre et la fougue avec laquelle il m’embrasse, je lui rends son baiser en fermant les yeux. C’est aussi bon que d’embrasser une nana. Il me caresse le dos puis les fesses en me roulant une pelle d’enfer. Je me surprends à gémir comme une gonzesse.
Au bout d’un moment, il me relâche, me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Il me fait assoir sur le lit face a lui et commence a se déshabiller.
Je n’ai pas le temps de réaliser ce qui m’arrive que son énorme bite est déjà devant mon visage. Il me dit toujours avec autorité :
- Jean : vas-y lèche la salope
Il avance vers moi et me colle sa bite sur mes lèvres et dit en me donnant une petite gifle :
- Jean : lèche je te dis
Je sors ma langue et je lui lèche son pénis. Le liquide transparent qui en sort est légèrement salé et je le trouve étrangement bon. Apres quelques coups de langue il me dit :
- Jean : ouvre ta bouche allez, ouvre salle pute
J’ouvre ma bouche et il me pénètre. Il pousse doucement son pénis dans ma bouche et ressort lentement. Il est en train de me baiser le visage.
- Jean : regarde-moi quand tu suce salope.
J’avais vu ça dans des films porno, l’homme aime bien que sa pute le regarde pendant une fellation. Le lève les yeux vers lui pendant qu’il me baise par la bouche. Je suis dans un état second. C’est ma première fois avec un homme et j’adore comment il me contrôle. Apres un bon moment il me dit :
- Jean : ça suffit, monte sur le lit et met toi a 4 pattes salope
Je m’exécute sans broncher. Dès que je me positionne a 4 pattes il m’envois deux claques sur les fesses qui me font bondir et qui m’excite énormément. Il remonte ma robe, écarte mes fesses avec ses mains et viens me lécher mon intimité. Ça me met le feu au cul et ça m’excite comme pas possible. Jamais je n’aurais imaginé que mon trou de balle pouvait me procurer autant d’excitation.
Il me titille avec sa langue un bon moment, puis se relève et me dit en me mettant un doigt :
- Jean : tu aimes ça salope hein
Je ne réponds pas, mais vu ma façon de gémir et de me tortiller, il sait que j’aime ça. Il me travaille la rondelle avec un doigt, puis deux pendant quelques minutes. Il s’approche de moi m’attrape par les hanches et me pénètre d’un coup sec. Je pousse un cri de douleur et je me crispe. Il se colle à mes fesses en me tenant fort par les hanches et dit :
- Jean : ce n’est rien ça va passer petite salope. Tu as le cul bien serré hein. Relaxe-toi ça va aller
Quand il voit que je me relaxe à il entame un va et viens lent et régulier. La douleur a disparu laissant place a un plaisir indescriptible. Je gémis et je me cambre pour bien la sentir en moi, c’est incroyablement bon.
- Jean : je vois que tu aimes ça hein salle pute
- Moi : oui vas-y oui
Je ne sais pas mais ces mots sont sortis tout seul. Il me chevauche ainsi pendant dix bonnes minutes en m’insultant (salope, salle pute, pétasse…) jusqu’à ce qu’il envoie en moi plusieurs giclées de sperme chaud. J’éjacule presque en même temps sans même me toucher. On s’écroule tout les deux sur le lit. Il m’enlace et m’embrasse à nouveau et dit :
- Jean : wow c’était trop bon, tu es magnifique ma chérie
Il me caresse le visage et me regarde dans les yeux et dit :
- Jean : même sans maquillage tu es belle. C’est ton premier rapport avec un homme ?
Je réponds timidement :
- Moi : oui
- Jean : alors comment c’était ? Sans mentir
- Moi : sans mentir j’ai trouvé ça bizarrement bon.
- Jean : bon ? c’est tout
- Moi : trop, trop bon, j’étais loin de m’imaginer qu’on puisse prendre autant de plaisir ainsi
- Jean : j’ai vraiment pensé que tu étais travestie vu les affaires dans ta voiture.
- Moi : non je t’ai dit que c’était à mon ex
- Jean : oui mais comme tu n’as opposé aucune résistance j’ai cru que tu avais l’habitude
- Moi : en fait je suis de nature timide et soumis même avec mon ex copine je lui étais totalement soumis.
- Jean : oui j’ai vu ça tu aimes être dirigé et soumise. Tu vas être ma petite salope soumise alors.
- Moi : heu oui
……………………à suivre
4 personnes aiment ça.
Puis-je trouver quelqu'un qui fait des films pour adultes ? Ou est-il hésitant et aimerait voir une fille trans dans ses films ? Je suis une fille trans sans complexe, j'aimerais aussi jouer dans des films de ce genre, comme des gangbangs BDSM hard et autres.
Hello tout le monde 😄
1 personne aime(nt) ça.
Je m’appelle Karim j’ai 28ans, Je vis seule depuis quelques semaines après la rupture avec ma copine. Je suis svelte avec une corp plutôt androgyne.
Ce soir-là il est 21h00, je rentrais chez moi après un déplacement professionnel sous un froid et une pluie battante. A une vingtaine de kilomètre de ma ville je m’arrête pour pisser un coup. Au moment de repartir ma voiture ne répond plus, rien pas de jus. Je regarde autour de moi et je ne vois que des champs et sur la gauche une lumière de ce qui semble être une ferme avec une maison de plain-pied. Je décide d’aller demander de l’aide. Un Monsieur (qu’on va appeler Jean) d’environ 1.9m et baraqué comme un rugbyman ouvre la porte et me dit d’un ton autoritaire en regardant sa montre :
- Jean : oui c’est pourquoi ?
- Moi : bonsoir monsieur désolé de vous déranger, je suis tombé en panne juste là. Pourriez-vous m’aider
- Jean : c’est quoi le problème ?
- Moi : je me suis arrêté pour me dégourdir les jambes et au moment de repartir la voiture n’a plus de courant.
- Jean : vous dégourdir les jambes hein, allons voir ça de près
Il prend une lampe torche et me suit vers la voiture. Une fois arrivé il me dit :
- Jean : ouvrez le capot.
Je m’exécute il jette un œil sous le capot et me dit :
- Jean : il n’y a pas de batterie sur cette voiture ?
- Moi : si si, sur ce modèle ils l’ont mise dans le coffre.
- Jean : drôle de conception, ouvre le coffre.
J’ouvre le coffre et il y voit une petite valise et deux paires d’escarpins. Jean me dit :
- Jean : c’est a vous ça ?
- Moi : oui, enfin non c’est les affaires de mon ex petite amie qui m’a quitté, je devais m’en débarrasser mais je n’ai pas eu trop le temps.
- Jean : oui c’est ça
Apres une petite inspection de câbles de la batterie il me dit :
- Jean : tout a l’aire normal. Essayez de démarrer.
J’essaie mais toujours pas de courant.
- Jean : bon ça doit être plus grave. Il faudra attendre les dépanneurs demain.
- Moi : demain ? mais comment je fais moi je ne peux pas rester là jusqu’à demain.
- Jean : vous pouvez dormir chez moi si vous voulez
- Moi : oh c’est trop gentil
Je n’ai pas le temps de finir de le remercier qu’il me dit :
- Jean : mais il y a une condition
- Moi : ah bon ? c’est quoi je dois payer quelque chose ?
- Jean : la condition c’est que vous mettiez ça avec les fringues de la valise
Dit-il en me montrant les escarpins.
- Moi : vous n’êtes pas sérieux, je vous ai dis que ce ne sont pas mes affaires
- Jean : vous voulez dormir au chaud, prendre une bonne douche chaude et manger un bon repas chaud ? c’est la condition. Sinon je vous laisse.
Il se retourne et s’en va. Un éclair éclate, la pluie s’intensifie, Je n’ai pas envie de passer la nuit trempé dans ma voiture et je lui dis :
- Moi : c’est bon vous avez gagné je vais le faire.
- Jean : alors prends la valise et les escarpins et suis-moi.
En chemin sous la pluie je me dis vaut mieux ça que rester dans la voiture alors que je suis déjà tout trempé. Une fois à l’intérieur, il me dit en pointant du doigt la chambre à coucher :
- Jean : va prendre une douche chaude, tu trouveras sur le lit ce que tu devras porter.
Je prends une douche bien chaude et quand je sors je trouve sur le lit : une paire de collant noir, une robe noire un string noir et les deux paires d’escarpins au sol. J’hésite un moment, je réfléchis quand je l’entends dire à voix haute :
- Jean : dépêches toi le diner est prêt dans 15 minutes.
Je commence par me sécher et je mets le string en premier. Je sens la ficelle entre mes fesses. C’est une sensation bizarre. Je m’assoie sur le lit et commence à enfiler le collant. Sentir ce tissue me caresser les jambes a fait naitre en moi un frisson très agréable. Je finis par mettre la robe qui me colle au corps, puis les escarpins. Il y a deux paires une de 9cm et une de 12cm. J’ai mis les plus basses questions d’équilibre. J’en ai mis une fois dans le passé a l’occasion d’une soirée déguisée.
La porte de la chambre s’ouvre et Jean en me voyant dit :
- Jean : wow, j’en étais sûr, tout est à ta taille, tu es superbe
Il me prend par la main et m’emmène vers le miroir :
- Jean : regarde-toi, tu es magnifique
Je me regarde dans le miroir et je suis étonné par mon reflet. Sans maquillage ni perruque je ressemble a une nana.
Là il me donne une tape sur les fesses et me dit :
- Jean : allons-y le diner va refroidir
Normalement j’aurais dû réagir a cette claque sur mes fesses, mais j’étais tellement surpris et étonné par la sensation que ça m’a procuré que je n’ai rien dit.
On se met a table il nous serre du vin et il approche sa chaise près de la mienne et dit toujours d’un ton autoritaire :
- Jean : bonne appétit ma belle, mange
Pendant le diner, on discute de nos vies de nos jobs de l’actualité. A un moment il pose sa main sur ma cuisse galbée de nylon, la caresse et dit :
- Jean : tu as de magnifiques jambes, tu t’épiles ?
- Moi : non pas du tout
- Jean : elles sont si douces qu’on dirait que tu t’épiles.
C’est vrai que je suis de nature presque imberbe. Il continu de me caresser la cuisse, je ne réagis pas. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi : est ce que parce qu’il est dominateur et que je suis plutôt soumis, est ce parce que j’aime ça. Ou peut-être les deux.
On finit de diner et je l’aide à tout débarrasser. Il pose les assiettes et couvert près du lave-vaisselle et me dit toujours d’un air autoritaire :
- Jean : tiens mets les dans le lave-vaisselle.
Je m’exécute et pendant que je suis penché en train de remplir la machine, il vient derrière moi me prend par les hanches et se colle a mes fesses et dit :
- Jean : tu fais tout pour me chauffer hein petite salope
Je comprends que ma posture l’excite et j’essaie de me redresser. Il appuie sur mon dos et dit :
- Jean : finis de remplir la machine d’abord, salope
Son autoritarisme et ses injures ne me laisse pas de glace. Je ne sais pas pourquoi mais j’aime comment il me domine. Même avec mon ex petite amie j’étais un homme plutôt timide et soumis. Là c’est plus puissant vu que c’est un homme qui me donne des ordres. Je ne suis pourtant pas gay.
Je finis de remplir la machine, je me redresse, il lâche mes hanches et passe ses mains autour de moi et me serre contre lui. Je sens son sexe durcir sur mes fesses. Je sens son souffle près de ma nuque, il dépose plusieurs baisers sur ma nuque et derrière mon oreille. Je ne réagis toujours pas, je commence même a avoir une petite érection. Il me retourne face a lui comme une marionnette et me serre contre lui en déposant un baiser sur ma bouche. Puis il introduit sa langue dans ma bouche. Au début je reste sans réaction, mais vu comment il me serre et la fougue avec laquelle il m’embrasse, je lui rends son baiser en fermant les yeux. C’est aussi bon que d’embrasser une nana. Il me caresse le dos puis les fesses en me roulant une pelle d’enfer. Je me surprends à gémir comme une gonzesse.
Au bout d’un moment, il me relâche, me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Il me fait assoir sur le lit face a lui et commence a se déshabiller.
Je n’ai pas le temps de réaliser ce qui m’arrive que son énorme bite est déjà devant mon visage. Il me dit toujours avec autorité :
- Jean : vas-y lèche la salope
Il avance vers moi et me colle sa bite sur mes lèvres et dit en me donnant une petite gifle :
- Jean : lèche je te dis
Je sors ma langue et je lui lèche son pénis. Le liquide transparent qui en sort est légèrement salé et je le trouve étrangement bon. Apres quelques coups de langue il me dit :
- Jean : ouvre ta bouche allez, ouvre salle pute
J’ouvre ma bouche et il me pénètre. Il pousse doucement son pénis dans ma bouche et ressort lentement. Il est en train de me baiser le visage.
- Jean : regarde-moi quand tu suce salope.
J’avais vu ça dans des films porno, l’homme aime bien que sa pute le regarde pendant une fellation. Le lève les yeux vers lui pendant qu’il me baise par la bouche. Je suis dans un état second. C’est ma première fois avec un homme et j’adore comment il me contrôle. Apres un bon moment il me dit :
- Jean : ça suffit, monte sur le lit et met toi a 4 pattes salope
Je m’exécute sans broncher. Dès que je me positionne a 4 pattes il m’envois deux claques sur les fesses qui me font bondir et qui m’excite énormément. Il remonte ma robe, écarte mes fesses avec ses mains et viens me lécher mon intimité. Ça me met le feu au cul et ça m’excite comme pas possible. Jamais je n’aurais imaginé que mon trou de balle pouvait me procurer autant d’excitation.
Il me titille avec sa langue un bon moment, puis se relève et me dit en me mettant un doigt :
- Jean : tu aimes ça salope hein
Je ne réponds pas, mais vu ma façon de gémir et de me tortiller, il sait que j’aime ça. Il me travaille la rondelle avec un doigt, puis deux pendant quelques minutes. Il s’approche de moi m’attrape par les hanches et me pénètre d’un coup sec. Je pousse un cri de douleur et je me crispe. Il se colle à mes fesses en me tenant fort par les hanches et dit :
- Jean : ce n’est rien ça va passer petite salope. Tu as le cul bien serré hein. Relaxe-toi ça va aller
Quand il voit que je me relaxe à il entame un va et viens lent et régulier. La douleur a disparu laissant place a un plaisir indescriptible. Je gémis et je me cambre pour bien la sentir en moi, c’est incroyablement bon.
- Jean : je vois que tu aimes ça hein salle pute
- Moi : oui vas-y oui
Je ne sais pas mais ces mots sont sortis tout seul. Il me chevauche ainsi pendant dix bonnes minutes en m’insultant (salope, salle pute, pétasse…) jusqu’à ce qu’il envoie en moi plusieurs giclées de sperme chaud. J’éjacule presque en même temps sans même me toucher. On s’écroule tout les deux sur le lit. Il m’enlace et m’embrasse à nouveau et dit :
- Jean : wow c’était trop bon, tu es magnifique ma chérie
Il me caresse le visage et me regarde dans les yeux et dit :
- Jean : même sans maquillage tu es belle. C’est ton premier rapport avec un homme ?
Je réponds timidement :
- Moi : oui
- Jean : alors comment c’était ? Sans mentir
- Moi : sans mentir j’ai trouvé ça bizarrement bon.
- Jean : bon ? c’est tout
- Moi : trop, trop bon, j’étais loin de m’imaginer qu’on puisse prendre autant de plaisir ainsi
- Jean : j’ai vraiment pensé que tu étais travestie vu les affaires dans ta voiture.
- Moi : non je t’ai dit que c’était à mon ex
- Jean : oui mais comme tu n’as opposé aucune résistance j’ai cru que tu avais l’habitude
- Moi : en fait je suis de nature timide et soumis même avec mon ex copine je lui étais totalement soumis.
- Jean : oui j’ai vu ça tu aimes être dirigé et soumise. Tu vas être ma petite salope soumise alors.
- Moi : heu oui
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coucou tapette arabe effeminée et mari cocue
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J'habite en province, et je vais vous raconter ce qui m'est arrivé il y a deux ans.
Je m'étais fait pincer pour excès de vitesse en voiture.
N'ayant pas terminé mes études, j'avais peu de moyens financiers : le Tribunal se basant sur les revenus, j'ai donc pu choisir, à la place de l'amende salée, une petite amende forfaitaire et le reste converti en jours-amende.
Je devais dès lors purger 17 jours à l'ombre.
Je me retrouve donc dans une prison régionale. On m'inscrit, et s'ensuivent toutes les procédures d'entrée, etc... Puis on m'emmène à ma cellule.
Je dois accomplir ma peine dans une pièce de 5 x 4 m environ, très peu meublée :
des couchettes superposées, une table, une armoire avec des casiers, un évier et un WC.
Les murs sont tapissés de photos cochonnes, et trois autres détenus sont déjà là.
Je n'ai droit qu'à un minimum d'affaires personnelles.
Le gardien parti, je fais connaissance avec mes voisins de cellule.
Il y a Alain, un solide Alsacien camionneur qui a braqué une épicerie.
Abdel, une petite frappe arabe de Marseille, qui est là pour une série d'effractions.
Et Tounga, un immense Black, qui a dealé de la came.
Moi et mon petit excès de vitesse, ajouté à mon physique tout mince, je passe un peu pour le rigolo de service...
- T'es là pour combien de temps alors?
- Dix-sept jours.
Le temps passe, les autres m'expliquent deux-trois "règles" de la prison, et ainsi arrive le soir.
Ils sont assez sympas, même si je trouve qu'ils se sont faits pas mal de clins d'oeil en me regardant.
Les gardiens font l'extinction des feux, et tout le monde se couche.
J'entends Alain et Abdel, dans le lit superposé opposé, qui parlent un moment à voix basse.
Tounga, dans le lit inférieur en-dessous du mien, dort déjà je crois.
Je m'endors difficilement.
Mais vers le milieu de la nuit, je suis réveillé par des bruits dans la cellule. Les 3 gaillards sont debout, Abdel cherche quelque chose dans son casier, et ils ont allumé une petite bougie dans le fond de la pièce.
Je leur demande :
- Qu'est-ce qui se passe?
- Rien, rien, c'est juste l'heure de tirer un coup... On va te montrer une autre tradition de la prison, celle du "manche". C'est un bon moyen de baiser ici... rigole Alain.
- Le manche? Baiser, ici? Comment??? je demande.
Abdel sort un carton de son casier, puis un espèce de "bâton" fait de papier enroulé serré et rigidifié à la bande adhésive. Ce qui donne une sorte de manche oui, d'environ 30 cm par 3 ou 4 de diamètre...
"Le" manche.
- Tu vois ça, eh bien ici dans la prison chaque cellule s'est fabriqué son manche, comme ils peuvent, et la règle c'est... que les anciens puissent tirer leur crampe de temps en temps, parce qu'ils sont là depuis un moment.
Donc, le manche sert à ça...
Viens donc par là, qu'on te montre!
Curieux - et peut-être pas contre l'idée de tirer un coup, voyons voir - je descends de ma couche et m'approche de l'armoire, devant laquelle ils se tiennent.
Mais quand j'arrive à la hauteur d'Abdel, Tounga me saisit par les épaules, et je sens un tissu venir me bâillonner très fort!
Il me retourne et me flanque une monumentale gifle, qui me fait tomber à terre.
Il me maintient fort, et Abdel s'approche avec son carton.
Il en sort une paire de bas, un string, un soutien-gorge et un serre-tête assorti (!).
Comment ont-ils fait entrer ça ici, les posters de playmates OK, mais ça je me le demande.
Alain me montre le bâton :
- Tu vois, pour nous qu'on est là depuis des mois, c'est dur, alors chaque nouveau venu passe à la casserole.
Mais tu as de la chance, puisque tu ne restes pas longtemps, on ne te testera pas seulement au manche pour te refiler aux caïds de la taule, mais seulement entre nous.
Et nous on a amélioré le système, parce qu'on est pas pédés :
on veut une gonzesse, alors le bizut on en fait une vraie donzelle...
Tu vas mettre ces sous-vêtements de nana, et on va jouer au manche avec toi.
Hein?
Je crois faire un cauchemar, mais une seconde gifle de Tounga me remet les idées en place... Ils ne plaisantent pas.
Pas le choix, soit je fais ce qu'ils disent, soit je me fais casser la gueule.
J'enfile le string, la paire de bas, le soutien-gorge et je termine en posant le serre-tête sur mes cheveux châtains.
Être en lingerie devant eux, c'est au-delà de l'humiliation.
- Ouais, salope! Tourne-toi, tends ce cul...
C'est ça, montre-nous ces douces petites fesses!
- Sois pas timide!
Abdel semble content de l'effet obtenu, il commence à se branler, et Alain ramène le pot de savon du lavabo.
Tounga me fait me mettre à genoux, le cul en l'air, en sous-vêtements féminins...
Je devine sans peine la suite, ce qui m'attend...:
il va effectivement y avoir de la baise, sauf que c'est moi qui vais leur servir de casse-croûte!
Comme tout le monde, j'avais bien sûr lu des trucs sur ce qui se passait en prison, mais je n'y croyais pas vraiment. Je pensais que c'était une légende urbaine.
Là, on y était...
J'allais passer à la casserole.
Alain écarte le string et commence à me badigeonner les fesses avec le savon, s'attardant plus particulièrement dans ma raie, et complimente ce qu'il voit :
- Cette chienne est vraiment super bien foutue...
Regardez ce cul cambré, on dirait qu'elle s'impatiente! Tu vas voir, tu ne seras pas déçue!
Et de poursuivre son manège, le savon sur mon oeillet, les doigts qui se font plus précis sur mon anus, poussant pour y entrer... Il finit par y arriver, glissant facilement même maintenant avec tout ce savon.
Il introduit un doigt, le fait coulisser un moment pendant que Tounga et Abdel se branlent devant moi et viennent me présenter leurs queues.
Là aussi pas besoin d'un dessin, je devine ce qu'ils veulent...
Ils m'enlèvent le bâillon, une queue force ma bouche.
- Mmummpffff...! Gaak! SPLURT!
Je dois les sucer à tour de rôle, en levrette sur le sol de la cellule, le cul fouillé par un doigt, puis deux, puis trois doigts de ce salaud d'Alain qui force de plus en plus mon ventre.
Il se retire enfin, mais ce n'est que pour mieux y présenter à la place le fameux "manche", ce gode de fortune, énorme et dur...
Les doigts et le savon ont fait leur effet, l'engin s'enfonce et progresse en moi, m'arrachant quand même quelques râles de douleur.
-Aoooh... s'il vous plait, vous pouvez faire ça doucement...?...
Je n'ai jamais fait ça... Aaaaaah...!!!
Ma timide requête ne les calme pas, au contraire même elle semble les exciter, ils sont en train de se taper un cul vierge...
Les deux bites que j'ai alternativement en bouche durcissent, grossissent... celle de Tounga devient carrément gigantesque, jamais je n'aurais cru possible qu'une bite soit si grande, elle doit faire au moins 25 cm par 5 ou 6 de diamètre, elle est à la mesure de son colossal propriétaire!
Alain s'excite sur mon cul, faisant aller et venir le manche au fond de mes fesses.
PLOP PLOP PLOP
Et ma foi avec ce truc coulissant avec le savon dans mon derrière, je commence à me perdre dans des sensations mélangées, souffrance, trouille, inconfort, un semblant de plaisir indéfini, stress, terrible honte, trouble énigmatique...
- Cette pute est trop bandante... dit Tounga.
- Elle me rend dingue... Je vais me la faire! dit alors Abdel, quittant ma bouche pour venir se placer derrière moi.
Il retire le gode de papier, me fout 3 doigts dans le cul...
- T'as le cul bien ouvert ma poule!
Il ressort ses doigts, ajuste sa queue contre mon croupion, puis me pénètre d'un coup.
- Aah!
Violé et défloré en même temps, je trouve qu'il est quand même entré facilement... mais bon après ce que je viens de subir...
Il me tient par la taille, m'encule à grands coup de reins, son bas ventre claque contre mes fesses sans ménagement, pendant qu'Alain rejoint Tounga vers ma bouche.
Puis Abdel se retire et se pose sur le bord d'un des lits. Il me fait venir et m'assoir sur lui, en écartant les jambes au maximum.
Ce qui a pour effet de faire entrer sa queue tout au fond de mon ventre...
Je lui tourne le dos, ce qu'il voit et ce qu'il fait doit vraiment lui faire croire qu'il baise une femme :
- Aahouaaais, j'ai tout mis... Quelle bonne salope... Je te bourre bien, t'aimes ça pétasse, hein!?
Sa bite est complètement en moi.
Alain me fourre la sienne dans la bouche, debout face à moi, et Tounga se branle de plus belle, son énorme saucisse brune dépassant largement de sa main...
Je sens un liquide chaud se répandre au fond de mon cul, oh putain il jouit! Cet enfoiré d'Abdel éjacule dans mon derrière... J'ai les fesses trempées de foutre!
Alain prend alors la place de l'Arabe, il s'assied sur le lit, je comprends ce qu'il veut, je laisse tomber le string à mes pieds et le retire, et je m'empale à nouveau sur une queue.
- Ce cul putain... T'es qu'une pute à sauter!
Je nettoie la verge du Beur avec ma langue, elle a l'odeur de mon intérieur, et du sperme partout.
Abdel me fait aussi lécher le manche qu'ils m'avaient mis dans le cul, les salauds... il est sale et ça les excite.
Puis je dois sucer l'énorme queue du Noir, elle me prend toute la bouche, je manque m'étouffer Gaak! SPLURT!
mais je me surprends à apprécier, elle a un goût agréable, comme du chocolat.
Je lèche cet immense pieu d'ébène sur toute la longueur, titillant le sommet, l'enfournant ensuite le plus que je peux dans ma gorge, ma langue se fait coquine, je crois qu'il voit que j'aime ça... Slurp slurp SLURP!
Tounga veut prendre la place d'Alain :
- Viens t'assoir sur ma pine, gourmande!
Je me repositionne, descendant doucement, mon dieu comme elle est grosse, je ne pourrais jamais faire entrer ça dans mon cul!
Heureusement - et je comprends pourquoi - qu'il passe après les deux autres...
J'insiste, celle-là je la veux, et puis avec mes fesses glissantes, elle finit par entrer.
Centimètre par centimètre, je sens mon cul s'ouvrir de plus en plus, douloureusement, chaque veine de la bite de Tounga se fraie un passage entre mes fesses.
- Ooooooooh... mon dieu...
L'engin délirant me défonce littéralement, je me sens partir, la douleur s'en va, un plaisir ambigu la remplace, mon intestin complètement rempli de la chair africaine...
Je reste un moment ainsi, sodomisé profondément, les jambes écartées au maximum, je ferme les yeux, appréciant l'instant...
Puis je suce la bite d'Alain, cette bite qui vient de m'enculer avant.
Abdel est allé se laver au lavabo, il revient vers moi, me pelote partout, caresse mes bas, me tète les nénés, branle ma bite...
Je deviens fou, ou folle...
Je sens Alain partir, il sort de ma bouche, balance tout son foutre sur mon visage et mon torse, essuie sa queue sur mes joues...
- Quelle salope! Une bonne petite chienne!
Et Tounga qui me soulève et me laisse retomber sur son énorme pieu africain, ça n'en finit plus...
J'ai l'impression d'être embroché par un anaconda.
Je le chevauche ainsi dix minutes encore je crois, sa queue toujours aussi dure bien au fond de mes entrailles.
Puis il me lève très haut, sort sa pine de mon cul, me retourne à quatre pattes sur le lit et vient m'enfiler en levrette!
- Putain, comme j'aime être dans ton cul!
Aaaaah, je vais jouir s'il continue!
Après encore un moment de ce traitement délicieux, il ressort son chibre de mes fesses et me le fourre au fond de la gorge, je reconnais ce goût agréable de chocolat mélangé à mon odeur anale...
Je l'engloutis du mieux que je peux tellement il est grand, le léchant sur toute sa longueur.
Le grand Tounga lâche alors sa semence, aussi blanche qu'il est noir, abondante, en plusieurs jets au fond de ma bouche, sur mon visage et dans mes cheveux, sur ma poitrine, sans fin dirait-on.
Je lèche cette queue magnifique qui m'a donné tant de plaisir, avalant ce sperme au goût exotique.
- Je crois qu'on est tous d'accord qu'elle aime ça la petite! On va bien s'amuser ;-)
Ma première nuit en prison, la voilà...
Je suis passé par la tradition du "manche" avec mes codétenus.
Le deuxième soir quand ils ont ressorti leur petit carton secret, le fait d'enfiler le string, sentir la ficelle dans ma raie, la douceur des bas, le soutif sur ma poitrine plate, ça m'a excité.
J'ai remis le serre-tête et j'ai attaché mes cheveux en queue de cheval.
Ce soir-là ils m'ont enculé à tour de rôle et se sont retenus de jouir, pour m'éjaculer sur le visage les trois en même temps à la fin en me faisant me mettre à genoux devant eux.
J'avais l'impression d'être une de ces salopes des films pornos.
Le troisième jour, après la baise du soir, j'ai voulu garder les sous-vêtements pour dormir.
En fait, porter cette lingerie m'émoustillait.
Le lendemain matin, très excité dans cette lingerie portée toute la nuit, j'ai eu l'idée de les sucer.
Ils se sont donc réveillés avec une provocante salope accroupie entre leurs jambes, dont la bouche avalait leur raideur matinale.
Ils m'ont dit qu'il ne pouvait pas y avoir meilleure manière de débuter une journée ;-)
Leurs burnes déjà vidées à 6h30 du matin, il fallait voir leurs mines radieuses et triomphantes après au petit-déjeuner au réfectoire!
Je pense que toute la prison a deviné.
Le soir-là ils m'ont dit de me mettre sur le bord de ma couchette, le cul en l'air, et ils m'ont baisé comme ça en levrette sans s'arrêter, l'un après l'autre, en me tenant par les hanches.
Ils changeaient souvent, en plusieurs passages chacun, ce qui je pense leur permettait de "tenir" longtemps, mais pour moi ça n'arrêtait pas.
Ils m'ont sodomisé ainsi très fort, longtemps et bruyamment ; je crois que mes fesses les rendaient dingues!
- Ce soir on va te tapisser les parois du fondement avec nos spermatozoïdes!
Peut-être qu'on va même te mettre enceinte!!
- Quand tous les trois on aura joui dedans, ton cul sera à nous pour toujours!!!
Après m'avoir labouré le fion bien comme il faut, à leur dernier tour tous les trois ont joui en moi, crachant une grande quantité de foutre au fond de mon ventre.
Effectivement on aurait vraiment dit qu'ils voulaient me féconder.
Une sensation troublante.
Au bout du cinquième jour, mon popotin s'est mis à me démanger la journée, comme s'il réclamait une bite.
J'attendais avec impatience les saillies du soir...
Leurs couilles tapaient contre les miennes, leurs bites allaient si loin, glissant dans le sperme...
Oh putain oui, quand ils jouissaient, j'éjaculais aussi, mon dieu sans même me toucher, je jouissais si fort!!
Le huitième soir ils ont eu une idée :
comme je gardais déjà la lingerie pour dormir, ils ont décidé que je ne dormirais plus sur ma couchette. Mais que je passerais chaque nuit dans la couchette d'un des trois, à tour de rôle.
Donc après la baise avec les trois, j'allais me coucher avec un, et vu l'étroitesse du lit, nous nous mettions en cuillère. Vous vous en doutez, je ne tardais pas à sentir un gonflement se frotter à mes fesses. La ficelle tirée sur le côté, la rigidité entrait en moi...
Le gars me besognait encore un moment, tranquillement... jusqu'à ce que la fatigue nous gagne et que nous nous finissions par nous endormir, emboîtés.
Le gourdin du mec fiché dans ma rondelle.
Le matin on se réveillait accouplés, pareil ; sentir son érection dans mon rectum qui m'ouvrait en deux me foutait la trique, et lui avec sa gaule matinale en moi, n'avait plus qu'à commencer sa petite affaire. Les deux autres en se levant passaient au lavabo et venaient placer leurs sexes devant ma bouche, et je le leur suçais la teub en me faisant tringler.
- C'est bien, avale tout! Hmmmm c'est trop booon!
Le jour à peine levé, j'avais déjà le derrière et la bouche pleins de sperme.
Les trois nuits où ça a été le tour de Tounga et son monumental bâton planté dans mes reins, le lendemain matin j'avais mon petit trou en chou-fleur, toute la journée il restait béant et je n'arrêtais pas de péter de l'air ;-)
Chaque soir après la douche et dès qu'on rentrait en cellule, je faisais une queue de cheval haute et je plaçais le serre-tête, je mettais le string, enfilais les bas et le soutif, et pendant dix-sept nuits, ils m'ont défoncé le cul...
J'étais leur petite pute.
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Je n'aime pas... Au-delà de l'écriture et de la créativité et l'imaginaire du lieu...
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07/09/25
Bonsoir quelqu un aurai un bon site vous avoir des hormone féminisation.
Svp.
Car je viens de me faire avoir .
Par un site et j ai perdu 150 euro
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Le mieux est de passer par le médecin généraliste pour avoir un vrai suivi et avec les hormones, il faut prendre d'autres produits que seul un médecin peut prescrire.
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Cherche quelqun à féminisé
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Bonjour , j'ai crée un article aujourd'hui il allait peut être ici ... je ne sais pas trop encore comment fonctionne le site pour ça. On peut l'avoir sur plusieurs Groupes?
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Bonjour, chaque groupe est indépendant de l'autre. Il y a souvent des articles qui paraissent dans de nombreux groupes
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07/08/25
9 personnes aiment ça.



























