
Bℓσσ∂яєιиα
Cela faisait déjà plusieurs minutes que je me présentais nue devant ma maîtresse. Elle m'examinait sous tous les angles et semblait réfléchir à quelque chose. Je devenais de plus en plus nerveux. Notamment parce que je devais porter une cage à pénis depuis dix jours et que je n'avais pas eu d'orgasme depuis. Ma maîtresse me pratiquait l'abstinence et je devais l'accepter bon gré mal gré.
"Tu vas te raser", a interrompu ma maîtresse dans le silence. Je me suis regardé, perplexe.
"Pas seulement ta queue, esclave. Tu n'auras plus aucun poil en dessous du cou. D'ici demain, tu te rases la poitrine, les jambes, les bras et les mains. Je vais contrôler ça"
J'ai hoché la tête et j'ai paniqué en me demandant s'il restait suffisamment de mousse à raser à la maison.
"Si tu as fait ça, tu pourras te branler ce soir en récompense" Elle a ouvert le Cage De chasteté et libéré mon pénis, qui s'est immédiatement raidi.
Le chemin vers la féminité
Le lendemain, j'ai présenté mon corps rasé à ma maîtresse. A part deux petites égratignures, le rasage n'avait pas non plus laissé de traces de sang. Elle a hoché la tête en signe d'approbation et m'a lancé quelque chose que j'ai attrapé par réflexe. J'ai ouvert ma main et j'ai été surprise de constater qu'il s'agissait d'un slip de femme. De la soie grise, avec des dentelles érotiques. Qu'est-ce que je devrais en faire ? La sentir ? L'enfiler par-dessus ma tête ?
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"Mets ça" Ma maîtresse sortit deux bottes à talons hauts. "Celles-là aussi. Je suis curieux de voir comment tu peux marcher avec"
Je passai laborieusement le slip et enfilai les bottes. Mes pieds protestaient à cause de la position inhabituelle et menaçaient de se crisper. Prudemment, je fis un pas en avant, perdis l'équilibre et faillis tomber de tout mon long.
"Ce n'était pas encore très érotique" Un rire froid se fit entendre. "Entraîne-toi, entraîne-toi, entraîne-toi. D'ici la semaine prochaine, tu pourras te déplacer sans problème et de manière sexy dans tes bottes, tu m'entends ?"
J'ai à nouveau hoché la tête, toujours soucieuse de me tenir fermement.
"Tu aimes les blondes ?" Elle jeta une perruque à mes pieds. "Mets ça !"
Rapidement, je fis ce qu'on me demandait. Je me sentais étranger et impuissant, mais ma queue battait d'excitation. Ma maîtresse l'avait également remarqué et l'interprétait comme une confirmation de ses mesures.
Quelque chose a de nouveau volé à mes pieds. Cette fois, il s'agissait d'un petit pot de poudre rouge. "Maquille tes joues", m'a dit ma maîtresse.
Les doigts tremblants, j'ai tripoté le bouchon jusqu'à ce que la boîte me tombe des mains. Une partie de la poudre a atterri sur le sol. J'en ai rapidement étalé un peu sur mon visage.
Ma maîtresse éclata de rire. "Tu dois aussi t'entraîner à cela, de préférence devant un miroir" Elle regarda le sol. "Lèche ça proprement"
Une fois la tâche accomplie, elle me fixa de ses yeux pénétrants. "Si ta féminisation forcée se passe bien dans une semaine, une récompense t'attend. Ma maîtresse tenait un strapon dans la main et me le présentait au visage. "Mais il n'y en a que pour les bonnes Sissy"
Au banc d'essai
Pendant toute une semaine, j'avais passé chaque minute de libre dans mes bottes. Une fois ma position enfin consolidée, j'avais même regardé des vidéos sur Youtube où l'on vous apprenait des pas de danse sexy. J'avais également regardé suffisamment de tutoriels de maquillage.
Je voulais impressionner ma maîtresse à tout prix. Si cela signifiait devenir le salaud transsexuel le plus sexy de la planète, c'est exactement ce que je voulais faire.
Je me suis donc finalement retrouvé devant elle et j'ai demandé de la musique. Elle m'a fait une faveur et j'ai commencé. D'accord, mon strip-tease n'était certainement pas un exploit et n'importe quelle femme peut le faire mieux que moi. Mais ma maîtresse a quand même eu l'air d'aimer ça. Peut-être avait-elle simplement pitié d'un petit esclave.
En tout cas, ses mains allaient régulièrement vers le strapon déjà sanglé et le touchaient. C'était comme si ma maîtresse se branlait sur ma danse. Quelle fierté j'avais. Exciter sexuellement ma dominatrice était la plus grande chose que je pouvais imaginer.
La baise de récompense
"Stop !" Ce mot me figea au milieu de mon mouvement. Ma maîtresse avait la main sur le strapon et le branlait comme s'il s'agissait d'une vraie queue. "Déshabille-toi, va jusqu'au pilier de sol et veille à ce que ton cul soit bien relevé"
Entre-temps, j'étais moi-même si excité que j'ai littéralement arraché mes vêtements et me suis précipité sur le sol. J'ai attendu dans la position commandée qu'elle s'approche de moi par derrière. Quelque chose d'humide et de gluant a été projeté sur mes fesses et réparti autour de la rosette. Il devait s'agir de lubrifiant.
Puis deux mains ont saisi mes fesses et les ont écartées. Quelque chose d'énorme a été douloureusement enfoncé dans mon cul et j'ai gémi.
"Félicitations, esclave. Je suis satisfait de ta féminisation"
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Bonjour, je ne fais rien de particulier pourtant maintenant je commence à avoir de la poitrine. Cela me surprend pour autant il est évident que dans la tête je suis de plus en plus une femelle
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Par une autre source on n'a dit que c'est relatif a une baisse de l'hormone testostérone
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20/07/25
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bonsoir et merci de me faire une toute peite place parmis vous
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Wendy ajusta son tee-shirt et vérifia qu'il mettait bien en valeur sa poitrine. Ses tétons pointèrent orgueilleusement sous le tissu, c'était parfait. Sur son string de dentelle, elle enfila un short en jean effrangé coupé très court qui dessinait parfaitement l'arrondi de ses fesses. Bien que mesurant 1,75m, elle choisit de se chausser de tennis à semelles expansées qui lui firent gagner 3cms. Elle aimait paraître vraiment plus grande (elle l'était pourtant déjà) que son petit ami Axel qu'elle s'apprêtait à aller chercher à la gare. C'était la première fois qu'elle semblait s'intéresser à un garçon. Elle avait 23 ans était responsable d'une boutique de sous-vêtements, et, jusque là, n'avait eu de relations sentimentales qu'avec d'autres filles. Elle avait ainsi rencontré la tante d'Axel, Zara, avec qui elle partageait des escapades sexuelles épisodiques et c'est cette dernière qui lui avait parlé de son neveu. Elle l'élevait depuis qu'à l'âge de cinq ans il avait perdu sa mère. Maintenant âgé de dix-neuf ans, c'était un garçon obéissant et sensible, et Zara s'était efforcée de développer cet aspect de sa personnalité en gommant chez lui toute trace de masculinité excessive. Elle désirait aujourd'hui aller plus loin et, pour ce faire, avait besoin de l'aide de Wendy.
Gracieux, poli et respectueux, Axel avait grandi dans l'admiration des femmes, de leur beauté et de la puissance qu'il leur supposait. Zara lui avait appris toutes les tâches qu'une tradition patriarcale avait dévolues aux femmes; elle estimait au contraire qu'un garçon devait tout aussi bien être capable de tenir sa maison qu'une fille. Axel n'était pas plus rebuté par le ménage que le repassage ou la cuisine. Il avait même développé un talent certain pour la couture. Sa nature fluette ne l'avait pas prédisposé aux pratiques sportives mais il ne dédaignait pas à l'occasion, accompagner sa tante et ses amies au bowling. Le samedi matin il apportait à Zara son petit déjeuner au lit et celle-ci le remerciait d'un bisou sur la joue en l'appelant "ma jolie sissy". Le compliment mettait le feu aux joues d'Axel.
C'est après une nuit d'amour particulièrement torride que Zara avait dressé un portrait complet d'Axel à Wendy. Celle-ci était joueuse, aimait les challenges et savait faire preuve d'autorité envers ses camarades masculins, c'est donc assez naturellement qu'elle accepta d'aider son amante à la sissyfication de son neveu. Et jouer la petite amie d'un garçon aussi féminin n'était pas pour lui déplaire. Zara organisa donc leur "rencontre" un soir, à l'occasion d'une partie de bowling.
Si Axel fut immédiatement séduit par cette grande jeune fille dont les formes étaient mises en valeur par une jupe courte en lamé et un bustier révélateur, Wendy n'en fut pas moins intéressée par ce garçon aux grands yeux clairs aux cheveux blond cendré, qui semblait très intégré au groupe de jeunes femmes qu'il accompagnait. Elle adressa un clin d'œil discret à Zara et passa à l'attaque. Elle le complimenta d'abord sur sa tenue. Il portait des leggings lavande et un tee-shirt à l'effigie d'une licorne kawaii arc-en-ciel. Elle admira ensuite sa posture au moment du lancer avant de réaliser elle-même un strike qui impressionna le jeune homme. Après la première partie, des consommations furent commandées et Axel se chargea de les servir. Quand il tendit son verre à Wendy, elle fit en sorte de caresser les doigts du garçon qui rougit en retour. Le manège amusa Zara qui suivait de loin le bon déroulement de son plan. Ce n'est qu'un peu plus tard, alors qu'Axel sortait des toilettes, qu'il trouva Wendy sur sa route. Elle l'embrassa en le plaquant contre le mur d'une alcôve, introduisant entièrement sa langue dans la bouche du garçon. L'érection d'Axel en retour fut un témoignage de son désir. Wendy se pressa un instant contre cette bosse qui tendait son pantalon puis retourna brusquement vers le groupe, laissant le garçon à la fois hébété et excité.
Dans les jours qui suivirent, alors qu'elles partageaient un après-midi intime chez Zara (Axel était en cours), et que celle-ci avait le visage entre les cuisses de sa compagne, Wendy lui raconta comment elle avait séduit son neveu.
"C'est parfait, ma chérie", lui répondit Zara, "à nous deux nous révèlerons Axel à lui-même. La sissy en lui ne demande qu'à éclore",
-"il a, enfin je veux dire, elle a, de bonnes dispositions. Tu as été une tutrice parfaite".
-"J'ai essayé d'en faire la fille que je voulais avoir. D'ici la rentrée je pourrais me débarrasser des stupides vêtements de garçon que les conventions m'ont obligée de lui faire porter pendant sa scolarité ".
-"Et c'est une jolie jeune fille qui fera son entrée en école de stylisme. Déjà, en garçon, elle est ravissante".
-"Mais, ma chérie ", et Zara entrecoupait ses réponses par des suçotements du petit bouton de sa compagne, "comment vas-tu gérer l'aspect physique de la chose?"
-"Oooh, continue, mmm, ma chatte adore ta langue". Et les spasmes de la jouissance firent se cambrer Wendy. Après une pose elle reprit:"Je laisserai Axel me caresser, je l'y autoriserai, d'une certaine manière. Après tout, une sissy est faite pour servir et donner du plaisir. Mais elle ne pourra pas utiliser sa bite avec moi comme le ferait un garçon. Si je la sens proche à exploser, je me sens capable de la traire, dans un premier temps. Ensuite, je lui apprendrai à jouir comme une fille".
-"oh, quelle vicieuse tu fais. Mais après tout tu as raison. Tu es sa petite amie à présent. Et sur cette partie là, c'est toi qui mène le jeu".
-"Je lui ai donné rendez-vous à la boutique, demain soir, à la fermeture. Je lui donnerai une première leçon de caresses. Et puis, si tu le permets, j'ai l'intention de l'inviter pour les trois premières semaines de ses vacances d'été. Cette petite à besoin d'un stage sissy intensif".
-"Tu veux dire dans la maison que tu partages avec Tina et Louison pour la saison?"
-"Oui, mes colocataires seront enchantées de faire sa connaissance".
-"Mmmm, je vois ça d'ici. Mais à ce compte-là, garde-la plus longtemps. Je vous rendrai visite de temps en temps pour voir les progrès de son dressage. Et profiter de ton minou aussi, ma chérie. Ce qui m'intéresse, c'est de récupérer une jeune fille accomplie à la rentrée".
-"Tu l'as déjà bien éduquée. Elle a de bonnes dispositions pour la soumission".
-"J'ai fait ce que j'ai pu. Et maintenant, viens, ma chatte a besoin de ta langue".
Le lendemain soir, Axel s'était présenté au bureau de Wendy avec un joli bouquet de roses roses et blanches. "Quelle délicate attention" avait-elle pensé, "cette sissy est vraiment un ange". Elle l'avait embrassée puis conduit dans son bureau. Là, elle s'était laissée caresser, par le garçon tout en le guidant, depuis le cou jusqu'à sa vulve humide, en lui octroyant un détour par son petit anus serré. Elle avait adoré son enthousiasme, son désir de bien faire, sans doute lié à la vénération qu'il semblait éprouver pour elle. Elle ne lui avait rien accordé en retour, à peine une caresse furtive sur son sexe tendu. Il devait dans un premier temps apprendre à ne trouver de satisfaction que dans le plaisir qu'il était susceptible de lui apporter. Elle l'autorisa cependant à se caresser en pensant à elle chaque fois qu'il le jugerait nécessaire. Et lui demanda de lui en faire le compte à leur prochain rendez-vous.
Leurs deux rencontres suivantes se déroulèrent peu ou prou de la même manière, elle se laissait caresser en guidant et dirigeant Axel. Elle le questionnait ensuite sur le nombre de fois où il s'était masturbé en pensant à elle:
-"Six fois"
-"En deux jours, c'est bien, Tu m'aimes donc un peu?"
-"oh, je t'adore, Wendy. Tu es si belle. Je pourrais toujours t'embrasser ".
-"C'est adorable. Tu es une gentille fille"
Elle utilisait le féminin à dessein et, voyant que le garçon n'osait rien lui objecter, le flattait d'une caresse sur la joue.
-"Et si tu venais passer une partie de tes vacances d'été à la maison du bord de mer? Nous aurions un peu plus de temps à nous consacrer. Des soirées, des nuits, des week-end entiers. Tu trouverais de quoi t'occuper dans la journée pendant que je suis au travail, il y a toujours de menus travaux à effectuer dans une maison. Et puis il y a la piscine, la plage, et mes amies Tina et Louison.
-"Ça serait super! C'est tellement gentil de ta part. Mais tante Zara peut avoir besoin de moi à la maison. Nous passons toujours nos vacances ensemble".
-"Oui, mais tu as une petite amie, maintenant, tu m'as moi. Et puis surtout, tu as dix-neuf ans."
Et Wendy accompagna cette remarque d'une caresse le long du sexe d'Axel, qui tendait le tissu de son pantacourt.
-"Quel joli clitty je sens là! Continue à le caresser le soir en pensant à moi, ma chérie ".
Après avoir simulé l'étonnement, Zara avait bien sûr accédé au souhait d'Axel de passer une partie de l'été chez Wendy en lui précisant: "Je vous rendrai visite, bien sûr, si tu le permets, ma chérie".
-"Oh oui, et tu adoreras Wendy!"
Zara sourit intérieurement, pensant: "Si tu savais comme je l'adore déjà, Axel!"
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Y a til des intéressés pour discuter d'une future rencontres ?
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Au début de nos aventures libertines, je n'avais probablement pas mesuré les risques que pouvait entraîner ce genre d'activité à leur juste niveau, et, de plus en plus attirée par le sexe, j'échangeais sur le net avant de me rendre parfois à des rendez-vous seule, sans mon mari.
Dans ces cas là, il s'arrangeait pour venir à proximité de l'endroit où j'avais rendez vous afin de surveiller, autant que faire se peut, le bon déroulement des opérations. Il rechignait à me laisser seule, mais nous étions convenus que je devais m'assurer par moi-même que cette activité me plaisait à moi-même et que je n'y participais pas seulement pour faire plaisir à mon mari.
J'échangeais ainsi avec un homme retraité de 68 ans, Fausto, voyageant beaucoup sur son bateau, sa vie étant partagée entre le nord de la région lyonnaise et ses voyages. Un visage émacié, buriné, peu de cheveux, pas très grand, mince... pas l'homme que l'on remarque vraiment, mais il savait m'exciter, au grand malheur de ma culotte...
Je jouais avec lui par mails, la fréquence de nos échanges étaient de plus en plus fréquente.
Après quelques mois de correspondances, il voulait me voir.
Il devait repartir en voyage sur son bateau et ne devait pas revenir avant plusieurs mois et j'ai donc finalement accepté de le rencontrer.
Nous avions rendez-vous dans un café de Villeurbanne vers 21 heures.
Je gare ma voiture devant. Il arrive juste à ce moment, à pied et nous commençons à parler alors que je sors de ma voiture et la ferme.
Je viens d'arriver et n'ai pas trouvé de place. Viens dans ma voiture, le temps d'en trouver une, si tu veux bien.
Vu son âge et son look, je ne pense pas risquer grand-chose. Et mon mari est assis dans le café : il doit me guetter. Nous prenons la voiture de Fausto, stationnée en double file au moment où une voiture de police arrive, manifestement pour verbaliser les stationnements gênants.
Il démarre, mais au lieu de rester dans le coin, il rentre dans le parc de Miribel. Je suis un peu étonnée, mais il se met à me parler et je ne me rends pas compte qu'il a l'air de chercher quelque chose, je pense à une place, mais il s'arrête à la hauteur d'un chemin qui s'enfonce dans le bois et le prend...
Il roule une centaine de mètres, et quand il s'arrête, je me retourne et constate qu'on ne nous voit plus de la route. Il éteint toutes ses lumières et se penche sur moi pour m'embrasser.
Je n'avais pas vraiment envie de l'embrasser ; me laisser caresser à la limite. Il me coince contre la portière et tente de déboutonner le haut de ma robe. Je suis bloquée. il est rapide. Quand je bloque une main, l'autre se place entre mes cuisses... Là, il résiste et y reste, ses doigts sont déjà en train de frotter ma chatte à travers ma culotte. Dans cette voiture, dans la pénombre, l'ambiance est assez propice, mais je me débats, je suis en colère.
Je ne suis pas de taille à résister. Il est bien conservé et est, bien sûr, beaucoup plus fort que moi : la pratique du bateau lui donne l'habitude de se battre avec les éléments!
De guerre lasse je le laisse me caresser par dessus la culotte, mais bien que je tienne cette main, il la passe en dessous et doit sentir que je mouille déjà...
Il entre ses doigts dans ma vulve et me fait du bien. Je me laisse aller le dos contre la portière, et le laisse faire. Il ouvre totalement ma robe boutonnée, remonte mon soutien-gorge au dessus de mes gros seins, les faisant jaillir... Il me les suce tout en me branlant... C'est tellement bon! Il s'y prend bien, le salaud! Puis il ouvre sa braguette et sort son sexe bandé, recule son siège, et passe sa main derrière ma tête pour la diriger sous le volant et me rentre sa queue dans la bouche.
Là encore, je ne peux résister. En ai-je d'ailleurs vraiment envie?...
Je suis complètement de biais. Pour plus de confort, je me mets à quatre pattes, les genoux sur le siège passager, Fausto en profite pour relever ma robe par derrière, le dos nu il peut passer sur le coté pour caresser mes seins qui pendent dans cette position. Il descend ma culotte jusqu'aux genoux, et plus à l'aise ainsi, il peut glisser sa main sur mes fesses, entre mes cuisses... Mais je réalise en même temps que, de ce fait, je dois avoir les fesses nues devant la fenêtre passager...
Il me fouille de ses doigts, devant, derrière... Je suis hyper excitée, le vieux vicelard sait y faire!
Je m'active sur sa bite... Il apprécie, s'arrêtant souvent de me caresser la chatte et le cul pour mieux se laisser aller sur le dossier, et profiter pleinement de ma langue sur sa pine...
Tout à mon affaire, je sens soudainement de l'air frais sur mes fesses. Je veux relever la tête, mais il me la maintient sur sa queue.
Je sursaute. Des mains me touchent les fesses, les cuisses, des hommes parlent entre eux, et je comprends que Fausto a ouvert la fenêtre à des voyeurs qui devaient être là à regarder depuis un moment. Mes fesses sont à la fenêtre et son esprit pervers n'a pas manqué de profiter de la situation.
Il continue à me maintenir, tirant même un peu plus ma robe que j'ai maintenant sur la tête, les voyeurs ont tout mon corps jusqu'au cou à leur disposition... Je ne sais pas combien ils sont mais je sens pas mal de mains qui me tripotent, mes grosses mamelles pendantes dans le vide, les cuisses, le ventre, et bien sûr ma chatte touffue et mes fesses...
Je mouille de plus en plus, Fausto bouge tout seul dans ma bouche à coup de reins...
Je n'ai plus le courage de m'occuper de sa bite... trop occupée à ressentir le plaisir d'être ainsi vue, fouillée, tripotée par tous ces mâles. Heureusement mon visage est sous la robe, je ne pourrais les regarder et ils ne pourront me reconnaître...
Fausto est au bout et se laisse aller dans ma bouche. Je ne pensais pas qu'il y serait resté, mais l'excitation de la situation, pour lui qui regardait ce que l'on me fait, a due être trop forte pour avoir le temps de sortir...
Surprise, je m'étrangle, et je pars en quinte de toux. Je suis obligée de me relever et de sortir la tête de la robe, rouge écarlate, assise sur le siège passager, j'essaie de reprendre mes esprits tout en regardant autour de moi... la robe ouverte, les tétasses sous le soutien-gorge, la culotte à mi-cuisses....
Un silence étonnant règne quelques secondes, le temps qu'ils me regardent. J'en vois trois qui matent, et un autre qui arrive et s'informe auprès des autres de la situation. Ils doivent se relayer les infos par SMS quand il se passe quelque chose, parce que je vois aussitôt deux autres mecs qui arrivent sortant de l'obscurité, d'une autre direction, devant la voiture...
Très inquiète, je m'affaire à essayer de boutonner ma robe, mais un pan est coincé sous mes fesses.
Je suis en train de les soulever quand ma portière s'ouvre d'un coup...
Je tourne la tête, l'un des voyeurs m'attrape le bras droit, m'empêchant de fermer ma robe. Aidé d'un autre, ils me sortent de la voiture. Je vois six hommes, le premier me tient par la taille sous la robe pendant que son complice tire la robe en arrière et l'enlève, puis vient le tour de mon soutien-gorge, ma culotte reste coincée aux genoux.
Aussitôt, celui qui me tient par la taille glisse ses doigts dans ma chatte déjà mouillée, ces mains que j'ai eu tort de laisser me tripoter par la fenêtre, mais la situation était tellement excitante que je ne pouvais rien faire, laissant encore une fois mon corps prendre le dessus sur ma raison.
Je ne sais pas quoi faire, j'ai été trahie par ce salaud de Fausto qui voulait jouer avec moi, et regarder d'autres le faire.
Je n'ai pas le temps de m'interroger sur ce qu'il va se passer. L'homme me retourne, me pousse contre la voiture et me fait allonger sur le siège passager. Il tire mes jambes dans le vide de telle sorte que mes fesses soient juste au bord du siège, offrant au choix, mes fesses et ma chatte à la portière. Ma culotte est tombée aussi, dernier rempart, symbolique depuis longtemps. Le 4x4 est haut, et ainsi positionnée, je suis à la bonne hauteur pour eux.
Ma tête est de nouveau près du volant, sur la cuisse de Fausto. Il ne fait rien et regarde.
Tout cela a été très vite, une ou deux minutes, pour que je me retrouve à disposition. Justement je sens une verge à l'entrée de ma chatte.
On me pénètre sans douceur, mais en fait j'accueille cette queue avec plaisir, car tout cela m'a bien excitée, et j'avais besoin de sentir cela. Mais je ne manifeste pas de satisfaction, et je suis quand même inquiète de la suite.
- Vas-y Gino, la dame n'attend que ça, que tu lui foutes ta pine dans la moule! Sa moule s'entrouvre rien qu'en pensant à la grosse enfilade qu'elle va prendre. Vas lui mettre ton zob dedans! Vas-y, je te dis!
Je suis secouée à plat ventre sur ce siège, je subis, je laisse faire cette queue qui me claque les fesses, mais il sort et envoie son sperme sur mes fesses, un autre entre aussitôt et me prend comme une chienne à grands coups.
Je vois devant moi que des hommes regardent aussi du coté chauffeur, je ne sais pas combien sont arrivés depuis tout à l'heure. L'attroupement autour de la voiture a dû en attirer pas mal d'autres.
Et mon manque de résistance les a encouragés à me prendre pour une bonne salope excitée.
Fausto sort de la voiture pour céder sa place. Un type s'assoit, la braguette déjà ouverte, le pieu dehors. Il m'oblige à le prendre. Je commence à gémir, je ne peux retenir le plaisir qui monte, qui monte, malgré les changements successifs. Les uns après les autres prennent ma chatte. Ils ne tiennent pas longtemps, trop excités à regarder, à attendre leur tour. Ils ne me pénètrent que pour baiser cette salope et se vider.
Pendant ce temps, celui qui s'est mis au volant bouge tout seul dans ma bouche en me tenant la tête. Je n'ai ni l'envie ni la force de réagir. Il jouit aussi dans ma bouche. Je crache le jus par terre, écœurée.
Un autre a pris sa place dans ma bouche. J'ouvre à peine les yeux pour voir. Je suis complètement en délire de ces queues qui me bousculent, se succèdent.
- Oh Mario, elle est chaude de la chatte! Tu devrais sortir de sa moule et aller voir si son cul est aussi douillet. Je suis sûr que c'est le cas!
Enfin, l'un d'eux s'intéresse à mon cul. Avec ses doigts il fait pénétrer le jus que j'ai pris sur les fesses. Délicatement il entre ses gros doigts, un puis deux dans le trou : il me prépare. Puis, je sens quelque chose d'énorme qui distend mon anneau. Et il insiste, au point que j'arrive à dégager ma tête pour me retourner, et là, un gros black souriant s'essouffle à essayer de m'enculer.
J'ai mon petit cul complètement rempli. Il pousse un peu et revient. Recommence. Il me pénètre de plus en plus, jusqu'à ce qu'il parvienne à tout rentrer. Je me cambre au mieux pour diriger mes fesses en fonction de la douleur. Il prend ça pour du plaisir et commence son va et vient dans mon fourreau. Je suis redressée sur mes coudes, mes seins pendent et ballottent au rythme de ses entrées sorties, le torse ainsi relevé est visible de tous ceux qui sont autour de la voiture, mes airbags, mon visage tendu vers le plafond, la bouche ouverte.
Je suis en pleine vue dans cette voiture, quelqu'un a allumé le plafonnier. Je continue à recevoir le sexe du black, de mieux en mieux. J'ai moins mal et je recommence à apprécier cette verge qui m'assène inlassablement ses coups de marteau, à fond. Je recommence à gémir.
Les yeux mi-clos, je vois les mateurs prenant des photos avec leurs téléphones.
- J'aime, continue!
Lui dis-je dans un souffle.
- Continue salaud! Bourre moi!
Les mecs rient ou commentent autour.
Je me connais, je suis partie, j'ai envie, envie, envie!
Excitée, je rebaisse la tête sur le pantalon du type au volant et je reprends cette bite, molle maintenant, mais mouillée que j'englobe. Je m'active, le lèche, le branle, le noeud enveloppé de ma langue, il ne résiste pas à ce traitement et se lâche dans ma bouche.
Voyant cette démonstration en pleine lumière, un autre mec fait sortir celui-ci qui vient de se vider pour se mettre à sa place Sa queue est prête, tendue, mouillée aussi : il me la rentre dans la bouche.
- Hé! La voilà qui se caresse la chatte! Quand je te dis que c'est une vicieuse! Et de l'autre main, elle me touche de nouveau la bite. Putain, je bande presque comme avant! Encore un peu et je vais pouvoir la tringler. Car c'est tout ce qu'elle veut, tout ce qu'elle attend. On ne me l'a fait pas à moi. Je suis sûr qu'elle n'a qu'une idée en tête : celle de se faire prendre par une bonne queue. Tu vas voir, je vais te donner ce que tu cherches, ma cochonne!
Le black hésite, et sort. Je suis étonnée. Je ne l'ai pas senti éjaculer, mais ma déception est courte car il rentre dans ma chatte trempée.
C'est délirant, j'ai encore sorti la verge de ma bouche, la branlant machinalement, accélérant, ralentissant, au rythme de mes pénétrations, mes sensations, la pressant en fonction de mes montées.
Le black me laboure, expression que je n'aime pas, mais il me laboure, je ne sais pas quoi dire d'autre, mon ventre est secoué de plus en plus violemment. Je me suis redressée encore, les deux bras tendus, appuyés sur le siège, le visage tourné vers le plafond, vers la lumière, bouche ouverte comme pour happer l'air, les yeux grand ouverts, en attente de l'orgasme qui arrive... Qui explose!
Je m'écroule et laisse mon visage revenir se reposer sur les genoux du type au volant. Il n'ose même pas me déranger. Je reste comme ça quelques minutes, imaginant que tous les yeux étaient fixés sur moi en pleine lumière, me voyant hurler de plaisir lorsque le plaisir atteignait son paroxysme, les seins tendus, la bouche ouverte, dressée et matée par la grosse queue du black...
Je me relève et sors péniblement de la voiture, totalement à poil. Ils ont tout vu donc...
Et dans l'assistance, je reconnais mon mari... Le salaud! Il avait clairement organisé le coup avec Fausto pour me faire démonter dans ce parc par les mateurs. Candauliste, il a dû autant prendre son pied que moi! Le salaud... Fausto a été payé en nature de son travail!
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Hello je cherche un(e) dominateur ou dominattrice j'ai 19 ans et si vous souhaitez discuter je vous attends en message pour faire plus enple connaissance 😘
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Bonjour à toutes et tous.
Ma Maîtresse m'a imposé la pompe à seins afin de développer ma poitrine. Je pense qu'Elle veut que je puisse branler ces messieurs entre mes nichons. Après deux mois de succion, j'ai l'impression que mes seins ont pris du volume mais ce n'est peut-être qu'une illusion. Certains ont-ils déjà essayé... et si oui, le résultat a-t-il été probant ?
Merci et bien cordialement.
Davina, pute et soumise de Maîtresse Léa.
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Bonsoir,
Des conseils pour trouver des gens qui féminisent autour de soi ?
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