Féminisation et BDSM : une pratique entre fantasme, pouvoir et identité

 

Féminisation, fantasme fardé ou jeu de pouvoir assumé ?

Porter des bas résille, des talons vertigineux ou un rouge à lèvres écarlate… Lorsqu’un soumis masculin explore la féminisation dans un cadre BDSM, il ne s’agit pas simplement d’un déguisement. C’est une métamorphose ritualisée, un jeu de rôle parfois intense, souvent chargé de symboliques profondes.

Mais que signifie vraiment se « faire féminiser » ? Est-ce un fantasme sexuel, une humiliation codifiée, une expression transitoire du genre ou une véritable mise en scène de la domination ? Décryptons ensemble cette pratique aussi fascinante que clivante.

Qu’est-ce que la féminisation dans le BDSM ?

 

Dans le vocabulaire BDSM, la féminisation désigne le fait de faire adopter à une personne, généralement un homme cisgenre soumis, une apparence et/ou un comportement codifiés comme féminins. Cela peut inclure :

  • des vêtements dits féminins (lingerie, robes, talons, etc.)

  • du maquillage, des perruques, des accessoires

  • un changement de nom ou de pronoms

  • des postures, voix ou attitudes connotées comme féminines

  • parfois, l'utilisation de sextoys associés à une pénétration « féminisée »

Il ne s’agit pas nécessairement d’un reflet d’identité transgenre bien que des personnes trans puissent aussi pratiquer la féminisation mais plutôt d’une mise en scène érotique du genre, souvent teintée de domination/soumission. Comme beaucoup de jeux BDSM, la féminisation se déroule dans un cadre clair : règles, rituels, noms choisis, postures imposées. Le dominant (souvent une Dominatrice, mais pas uniquement) orchestre la transformation, la guide, la contrôle. La symbolique est puissante : se voir retiré son genre social pour en recevoir un autre, imposé.

Féminisation et humiliation : entre clichés et subversion

Le stéréotype de la "sissy humiliation"

L’une des formes les plus médiatisées (et critiquées) de féminisation est ce qu’on appelle le “sissy play” ou “sissy humiliation” : un homme est habillé en soubrette, en bimbo ou en écolière sexy, et réduit à une posture de pure passivité, voire de "déchéance".

Ce type de jeu repose souvent sur une association sexiste : féminin = inférieur, donc bon à soumettre ou à ridiculiser. Il est compréhensible que cela suscite le malaise ou la critique — car il instrumentalise le féminin comme outil de rabaissement.

Mais réduire toute féminisation à cela serait un contresens profond.

Car la féminisation peut aussi être un outil de libération, de questionnement identitaire, voire de plaisir queer. Lorsqu’un soumis se laisse féminiser, il s’autorise des gestes, des esthétiques, des émotions qu’il s’interdit dans sa vie quotidienne.

Et lorsqu’une Dominante joue avec ces codes, ce n’est pas toujours pour humilier, mais pour déconstruire le mythe viril, moquer l’hétéro-normativité ou glorifier le pouvoir du féminin.

Féminiser, ce peut être dominer autrement. Plus psychologiquement. Plus intensément.

Féminisation : pour qui, pourquoi ?

Un outil de domination psychologique

Pour de nombreuses Dominantes, la féminisation est un levier de contrôle raffiné. Elle implique une transformation visible, parfois en public, toujours encadrée. Elle touche à l’intime : le regard, le corps, la honte, le désir.

C’est un acte de dépossession, mais aussi de recomposition : le soumis devient un autre, façonné par sa Maîtresse. Il y a là une intensité psychique rare.

Un fantasme de transgression

Pour le soumis, la féminisation est souvent un fantasme caché, parfois honteux — et c’est justement ce qui en fait un terrain fertile pour l’excitation. On ne devient pas femme, on devient “femme selon le regard du dominant” : sexualisée, stylisée, performée.

C’est une transgression érotique, une catharsis. Parfois une révélation.

Les pratiques associées : entre jeu de rôle et lifestyle

Accessoires et vêtements

  • Lingerie fine, collants, serre-taille

  • Perruques, faux cils, maquillage

  • Corsets, talons, accessoires typés "hyperféminins"

Jeux associés

  • Nomination : donner un prénom féminin au soumis

  • Dressage comportemental (voix, posture, langage)

  • Ordres humiliants ou exhibitionnistes

  • Envoi de photos ou vidéos à la Dominante

  • Contrôle à distance via listes de tenues ou missions

Féminisation forcée : un fantasme très codé

Attention, ici le mot “forcée” est un jeu de rôle. Tout est évidemment consenti. Le fantasme repose sur l’idée d’un homme réticent, “obligé” de devenir une femme sous les ordres d’un(e) dominant(e). Cela permet d’intensifier l’excitation par l’interdit, mais demande une solide communication.

Féminisation et identité de genre : une frontière poreuse

Il ne faut pas confondre pratique de la féminisation et parcours de genre réel. Cela dit, la frontière peut être floue, mouvante, poreuse. Certains hommes qui découvrent la féminisation dans un cadre BDSM y trouvent une première exploration de leur part féminine ou de leur fluidité de genre.

À l’inverse, certaines personnes trans peuvent utiliser le cadre BDSM comme lieu sécurisé d’expression de leur genre, sans devoir l’assumer socialement au quotidien.

Dans tous les cas, la féminisation n'est jamais anodine. Elle touche au corps, à l’identité, au regard. Et c’est ce qui en fait une pratique aussi puissante.


Pour en savoir plus, voir les photos et rencontrer, cliquez ici

A propos du groupe
#
Créateur
Adelaide
Ce soir, après une rude journée de travail, Anne-Ingrid Olssons m’annonce un « divertissement » BDSM. Par une porte dérobée, elle m’emmène dans une petite pièce aux murs capitonnés. Au centre, se trouve une cage à barreaux de fer dans laquelle un homme grossièrement déguisé en chien semble dormir. Une cagoule avec deux vagues oreilles de chien lui couvre la tête, percée de deux trous au niveau des narines et d’un plus gros qui laisse voir sa bouche. Pas de trous pour les yeux. Un pantalon « fesses à l’air » dont je devine facilement l’utilité, connaissant les caprices de la Maîtresse des lieux, muni d’une drôle de braguette, laissant libre les testicules et emprisonnant le sexe, une ceinture de chasteté ? Ça m’étonnerait de Madame, elle adore contempler les queues mâles bien dressées (aux deux sens du terme). Elle s’approche de la cage et réveille l’animal de quelques coups de talons aiguilles. – Jean-Louis, LÈVE-TOI IMMÉDIATEMENT ! C’est pas pour une trentaine de coups de fouet que tu vas roupiller comme un gros porc ! J’ai décidé de t’offrir un petit cadeau bdsm. Bon sang, je n’avais pas reconnu Jean-Louis ! Il ne bouge pas, dodeline de la tête plutôt comme un cheval qui dort. Depuis combien de temps est-il en cage ? bdsm Ce matin, j’ai vu Maîtresse, rouge de colère et pressée, le tirer par la cravate jusqu’aux toilettes. Mon bureau n’étant pas loin, je me suis approchée. Elle hurlait, ses insultes étaient rythmées par le sifflement d’un fouet, le claquement sec sur la peau de Jean-Louis gémissant vaguement à chaque fois « Merci Majesté » et les injures reprenaient, genre : – Crie plus fort, salope, ça m’excite ! Aarrh… SCHLACK ! Ouiiii, dis merci à ta Maîtresse bdsm, baisse les yeux quand ta Déesse te punit, salope ! Faut que je jouisse… hmmmm… SCHLACK ! ou encore : – T’as aimé sucer les pieds de la grosse pouffiasse ? TIENS ! SCHLACK ! Ordure minable ! C’est MOI la Reine BDSM, ici, rampe à mes pieds, sale chien, que je pisse sur ta gueule de fiotte ! bdsm worship Je ne les ai pas vus ressortir. Elle a dû l’enfermer dans cette cage après s’être soulagée. Toujours est-il qu’elle a repris le travail, détendue, toute souriante, ça allait beaucoup mieux ! Passant sa jambe (splendide, gainée de nylon beige) à travers les barreaux, Anne-Ingrid précise ses coups de talons, bien ajustés sur la braguette bizarre. Le chien bouge mollement. Agacée, Maîtresse remonte la jupe de son tailleur, et d’une main experte écarte sa culotte, puis lâche un filet d’urine sur la tête cagoulée. Ça semble marcher, Jean-Louis se met brusquement à quatre pattes en haletant, avec des claquements de langue, il avale la pisse comme un chien assoiffé et s’approche de la source chaude. Anne-Ingrid pose alors un talon près de son cou et le repousse avec brutalité. – Sale porc, tu penses que tu vas me lécher, moi la Déesse Anne-Ingrid ? Vermine, t’es malade ? Surtout que tu pues, avec ton érection sordide de chien bdsm en rut ! BDSM C’est vrai, la braguette reproduit en fait le sexe d’un chien, c’est une housse bdsm de cuir ouverte au bout, qui laisse maintenant passer le bout rose du pénis du soumis, une bite de chien plus vraie que nature ! Aveugle, sans défense, enfermé, animalisé, humilié, couvert de pisse ! ah, que j’aime voir un homme dans cet état ! Décidément, Maîtresse a le don de réveiller en moi la dominatrice BDSM, moi qui ne suis qu’une petite journaliste lesbienne soumise, notamment à ma rédactrice en chef. Les hommes m’étaient indifférents, je les croisais sans les voir, à présent je suis excitée de les dominer, de me faire lécher jusqu’à l’orgasme par une grosse langue d’esclave mâle, de les remercier par des gifles, de les piétiner sous mes talons, de leur pisser dessus comme la reine bdsm Anne-Ingrid… Là, je mouille. Je dois dire que c’est juste le ridicule de la situation qui m’empêche de me caresser. Mais (je commence à la connaître) Anne-Ingrid est chaude aussi, ça se voit, ça se sent à sa respiration, c’est sans doute parce qu’elle, elle connaît la suite. Sans un mot, elle me tend une cravache. Le chien Jean-Louis semble s’assoupir. Je me soulage un peu en le fouettant jusqu’au cri de douleur et au remerciement, hhmmm.. D’une autre porte, elle sort une deuxième cage bdsm roulante dans laquelle une femme à la peau foncée, masquée, nue, gémit une plainte de femelle en chaleur affolée. cage bdsm – Elle, c’est Muryelle. Ça fait deux jours qu’elle est en cage. Une sale truie métisse qui se prenait pour une Maîtresse sous prétexte qu’elle est grande avec de gros seins. Elle s’était mise à fouetter les secrétaires à la compta ! Là, elle pue parce que pendant deux jours elle s’est pissée dessus, je l’ai branlée avec un vibro jusqu’au bord de l’orgasme, elle couinait, je lui ai attaché les mains pour qu’elle ne puisse pas se finir. Elle s’est frottée sur les barreaux… Si elle tente de se caresser la chatte, tu la cravaches à fond… n’hésite pas, regarde : si je l’appelle « tigresse », c’est à cause des rayures que je lui ai faites au fouet… quelle salope, tu sens comme elle pue le sexe ? Quant à Jean-Louis, il m’a énervée ce matin, je me suis calmée comme tu viens de le faire, en le faisant crier. Là, je l’ai mis en conditions pour forniquer avec Madame Muryelle, on va assister à une saillie bdsm, tu vas voir comme c’est excitant ! Je leur ai fait mettre des cagoules bdsm opaques, ils ne peuvent absolument rien voir. Ils ont pour ordre de ne pas dire UN mot, sous peine de 10 jours de cage : Ça gémit, ça piaille, ça grogne comme des animaux Allez, on les lâche. Après leur avoir délié les mains, on libère les deux animaux en chaleur. Les cages vides sont repoussées le long du mur et c’est parti. La tigresse bondit hors de sa cage, comme furieuse. Elle est splendide, un peu plus que pulpeuse, disons opulente. Ses seins lourds aux tétons noirs pendent comme deux melons d’eau et sur ses cuisses fuselées, une couche de cellulite frémit comme de la gélatine. Jean-Louis s’approche et, comme par instinct, flaire les fesses rondes, donne un coup de langue, deux… la bite de chien rose ressort du fourreau. Je mouille de plus en plus. La belle commère se retourne, tout aussi animale, elle flaire à son tour le chien entre les cuisses, l’odeur semble l’exciter, elle se cambre, relève sa croupe, je vois son sexe tout gonflé… hhmmm, j’adore… la femelle se cambre encore plus, ses fesses s’écartent, sa main vient en-dessous, tripoter sa vulve noire avec frénésie… ma main à moi plonge dans ma culotte et mon doigt se précipite dans l’océan de ma chatte brûlante. – LAURE, BON DIEU ! La tigresse se branle ! Qu’est-ce que tu fais ? punition OOOps, trop excitée, moi. Je cingle la cravache, la tigresse affolée continue tout de même à peloter sa chatte noire… Deuxième coup deux fois plus fort… troisième, trois fois plus ! Elle crie et s’arrête, se retourne pour éviter les coups et avançant ainsi à quatre pattes ventre en l’air (nom d’une truie, elle répand une odeur… là, c’est la lesbienne en moi qui réagit, je mouille, je mouiiillle, je voudrais la bouffer) elle essaie d’approcher sa foufoune de l’endroit où elle croit situer le mâle… Pas besoin de le chercher, Jean-Louis-chien-en-rut renifle à grands bruits et s’approche de cette odeur qui semble le rendre fou… sa langue toute sortie se plante directement dans la touffe gluante, arrachant un feulement de plaisir à la tigresse… J’ai presque l’impression d’avoir crié en même temps qu’elle, mes deux doigts s’affolent dans mon jus, tirent mon pubis de l’intérieur… – MAIS LAAAAUUURE ! QU’EST-CE QUE TU FOUS ! Tu ne vois pas qu’il la lèche ? BORDEL, je VEUX un accouplement, voir des BÊTES FORNIQUER, TU PIGES ÇA, OUI ? Fouette-moi ce porc, à fond ! Je réalise que c’est « ce porc » qui se gave, que j’aimerais être à sa place… je le hais soudain… la force de mon bras décuplée, malgré ma main gluante sur le manche de la cravache, je le cingle à la base du cou, il hurle, je crois que j’explose dans ma culotte ! Qu’est-ce que c’est bon, un mâle bdsm qui criiiiie ! Réapparaissant hors de la gaine de cuir, la saucisse bande… troublant de voir un homme ressembler à ce point à un animal ! J’en oublie que c’est un être humain, je ne vois qu’un chien en rut. La belle cochonne éloigne avec grâce le groin de son lécheur fou et, toujours sur le dos, fait un demi-tour (j’allais dire un tête-à-queue) et prend le hot-dog en bouche… dois-je frapper ? Non : d’un coup d’œil vers Maîtresse, je constate qu’elle vient de glisser sa main entre ses cuisses, comme moi… La tigresse se dégage soudain et se remet à quatre pattes, se cambre en gémissant, obscène, essayant de fourrer ses fesses sous le nez du chien. Celui-ci plonge immédiatement dans le cloaque, langue en avant… elle pousse un long gémissement, c’est pas vrai, elle va pas jouir maintenant… une goutte de jus descend le long de ma cuisse : je ne mouille plus, je coule, j’ai envie d’intervenir, laissez-moi bouffer ce gros cul trempéééééé ! Ça y’est, enfin, le mâle monte sur la femelle… je vois son dard chercher l’entrée, glisser à côté, durcir, recommencer, glisser au-dessus, se tendre par spasmes, tâter, tenter d’enfoncer l’entrecuisse gluant, c’est obscène, affreusement obscène…… délicieusement obscène ! épouse dominatrice Une fois bien pénétré, ses deux mains plongent attraper les splendides mamelles, les pressent, les malaxent, provoquant des râles de plaisir chez Muryelle. Ce plaisir la rend voluptueuse, ses soupirs charment littéralement mes oreilles, comme son odeur mes narines, mon corps se remplit d’un désir puissant… Les coups de reins rapides démarrent, le braquemart sort, luisant de jus, et rentre avec un bruit visqueux… je… je n’en peux plus… j’y vais… je vais… faire n’importe quoi, mais j’y vais… mais… Mais Anne-Ingrid m’a devancée ! Je crois qu’elle a déchiré sa culotte, elle bondit sur la Tigresse et s’assied sur ses épaules, face à Jean-Louis qui pilonne furieusement la chatte noire… – Lèche-moi, esclave bdsm obsédé, bouffe la chatte de ta Maîtresse ! Fais-moi jouir, et défonce cette truie ! Bourre-lui ta queue de chien en rut et enfon… ah… aaaahhh… La main agrippée à la cagoule de chien de Jean-Louis, elle flageole, ouvre la bouche… se raidit… jouit… se renverse en arrière, toujours à cheval sur la tête crépue de la tigresse, sa main arrache une des oreilles de la tête du chien… Je me précipite derrière elle pour la retenir, d’autant que Muryelle fléchit sous les spasmes de sa jouissance… Je me glisse juste sous la bouche charnue de la belle… qui s’effondre sur ma chatte en feu, ne sentant même pas si elle la lèche ou si c’est moi qui me frotte, je jouis, je jouiiiiis, je jouiiiiiiiiis, la chienne part aussi dans l’orgasme, étouffée entre mes cuisses, avec le poids d’Anne-Ingrid qui appuie sur sa nuque…. Et le chien en rut qui continue de besogner la tigresse tout en léchant encore les jus d’Anne-Ingrid… la Maîtresse reprend ses esprits au moment où il commence à haleter… Le tenant par sa grotesque cagoule de chien, elle le gifle et le pousse à terre d’un geste puissant, puis se dresse dans toute sa splendeur de Domina BDSM et l’immobilise avec son escarpin, le pied sur son œil et le talon aiguille planté dans sa joue. Elle appuie chacun de ses mots d’une pression du pied, le stiletto s’enfonçant dangereusement dans la chair du soumis à travers la cagoule… – Finis-toi à la main, sale chien ! Branle-toi en pensant bien à ceci : tu es à moi, un objet qui m’appartient et dont je me sers quand je veux. Je me suis excitée en te faisant copuler comme un chien, mais tu jouis quand je t’en donne l’ordre, vu ? Tu jouis parce que je te crache dessus, comme ça : schhliccckt, tu jouis parce que je t’humilie, parce que je te fais mal, ok ? Tiens, SSSCHHLICKT ! Encore un crachat divin de ta déesse sur ta petite gueule de soumis-sous-merde ! Je te méprise et je me fous complètement de toi. Toi tu m’aimes, tu es amoureux fou de moi, tu ne peux pas te passer de mon autorité. Tu n’existe que pour m’obéir, je suis ta seule raison de vivre et tu feras TOUT pour que je te piétine encore, compris ? Maintenant, je t’ordonne de jouir, en rêvant à ta prochaine punition ! JE SAIS QUE TU RÊVES DE MANGER MA MERDE ! Ça viendra peut-être, tu m’appartiens… ça t’excite, hein, sale chien ? JOUIS MAINTENANT, c’est un ordre ! Un jet de près d’un mètre jaillit de son sexe, puis deux autres, moins puissants… Méprisante, Anne-Ingrid fait rouler le soumis bdsm puis se tourne vers moi. – Il faut de temps en temps le rappeler à l’ordre. Je t’expliquerai la séance de fouet de ce matin aux toilettes. Plus il est amoureux, plus j’aime l’humilier. Je veux qu’il jouisse uniquement quand je le fais souffrir, et uniquement sur mon ordre, point final. La tigresse s’applique à nettoyer ma chatte, le visage inondé de ma cyprine, le cul toujours en l’air et il me semble qu’elle se caresse de nouveau… Avec un regard d’aigle, impérieuse, impériale, Madame Olssons enfile son strap-on en fixant avec sévérité et avidité le cul de Muryelle… l’engin fait deux fois la longueur et deux fois le diamètre du sexe de Jean-Louis… Elle va le sentir passer. Trois claques cinglent sur les fesses en attente, Muryelle se redresse un peu en gémissant… c’est sûr, elle aime cette fessée. La Reine enfonce son pieu sans ménagements. À sa position et au cri de surprise de la tigresse, je devine qu’elle a choisi l’autre orifice… d’un geste étonnamment précis de l’index, m’ordonne ce que, de toutes façons, je m’apprêtais à faire : je me glisse en 69 sous la belle et m’accroche à sa croupe… Dominatrices J’ai dans le nez l’odeur enivrante de la sueur et du sexe, j’ai sous les yeux le spectacle de cet anus dilaté par le monstre BDSM de silicone, dans la bouche la douce chaleur salée de la chatte noire que je déguste, et je sens vibrer ses cris de douleur, ses plaintes, ses pleurs, étouffés là-bas dans ma chatte… Anne-Ingrid crache sur son engin d’en-haut (quand elle le rate, je suis dessous pour déguster son crachat). Sa salive forme un cercle blanc autour et dans les plis du trou de Muryelle, et j’admire la rage hargneuse de Maîtresse BDSM là-haut qui la défonce avec un sourire vicieux… rrrrhaaâââaaa… je suis au huitième ciel, cette ronde noire n’est pas une oie-blanche, je jouis, rapidement, en mode soft, au moment où Madame, les yeux révulsés, dans un soupir de déesse, s’effondre sur le dos de sa soumise, la tigresse, dont la jouissance se mélangeait aux cris de douleur depuis cinq minutes, me gratifiant d’une abondante sécrétion sucrée-salée… Jean-Louis… ronfle. Ça arrive aussi aux chiens.
Plaisiranal88
a partagé une photo
Petite lingerie récemment achetée
Adelaide
Lа sіssуfісаtіоn (рrосеssus роur dеvеnіr unе sіssу) sе dіstіnguе du trаvеstіssеmеnt сlаssіquе. Là оù lе trаvеstі sе соntеntе dе s'hаbіllеr vоlоntаіrеmеnt еn fеmmе роur аvоіr dеs rеlаtіоns sехuеllеs, lа sіssу а lе désіr dе DЕVЕNІR unе fеmmе sоus lа соntrаіntе еt lеs ехіgеnсеs d'unе fеmmе dоmіnаtrісе, с'еst се quе l'оn арреllе lа fémіnіsаtіоn fоrсéе. Lа fémіnіsаtіоn fоrсéе еst unе рrаtіquе bdsm vоlоntаіrе bіеn qu'іl s'аgіssе d'un fаntаsmе, d'un désіr d'êtrе trаvеstі еt fémіnіsé соntrе sоn gré, sоus lеs оrdrеs d'unе fеmmе dоmіnаtrісе. Сеttе рrаtіquе реrmеt à l'hоmmе sоumіs d'аssumеr sоn bеsоіn d'êtrе fémіnіsé mаlgré lа рrеssіоn sосіаlе еt fаmіlіаlе quі lе vоudrаіt mаsсulіn еt vіrіl. Dаns сеttе рrаtіquе sm dоuсе, lа sіssу dоіt réроndrе аuх ехіgеnсеs dе sа mаîtrеssе : роrtеr dеs vêtеmеnts fémіnіns, réроndrе à un рrénоm/surnоm fémіnіn, оbéіr à tоutе sоrtе d'оrdrе, subіr lа рénétrаtіоn аnаlе еtс. Соmmе nоus vоus l'аvоns rарреlé, tоutе rеlаtіоn bdsm dоіt êtrе vоlоntаіrе, іl s'аgіt dоnс dе défіnіr dеs lіmіtеs à nе раs déраssеr, un sаfесоdе реut êtrе mіs еn рlасе аfіn quе lа sіssу рuіssе sіgnаlеr à sа mаîtrеssе quе lа sіtuаtіоn nе luі соnvіеnt раs. Unе tеllе рrаtіquе іmрlіquе unе fоrtе соnfіаnсе mutuеllе. Іl s'аgіt d'unе rеlаtіоn dе соnfіаnсе еt dе sоumіssіоn à еnvіsаgеr sur lе lоng tеrmе. Еn еffеt, оn nе раrlе раs ісі dе séаnсе bdsm unіquе mаіs bеl еt bіеn d'un сhаngеmеnt dе sехuаlіté dе vіе. Dаns се gеnrе dе rеlаtіоn, lа sіssу еt sа mаîtrеssе évоluеnt еt рrоgrеssеnt еnsеmblе.
10 personnes aiment ça.
Hugin
Intéressant votre vision de la sissyfication Madame, comment décrirez vous la chose concernant une sissy et un homme dominant s'il vous plait ?
J'aime 20/05/25 Edité
sissy666
Bonsoir sOphie
J'aime 20/05/25
Adelaide
Lе tеrmе аnglо sахоn “sіssу” sіgnіfіе еffémіné еt déсrіt un hоmmе sоumіs еn tеnuе fémіnіnе vоуаntе еt sеху, vоіrе vulgаіrе, аuх соulеurs аffrіоlаntеs еt аguісhаntеs соmmе lе rоsе mаіs аussі dеs tеnuеs аuх соulеurs sоbrеs еt unіеs соmmе lа tеnuе dе sоubrеttе. Оn раrlе аussі dе “роulе mоuіlléе”, се tеrmе еst très utіlіsé dаns lе саdrе dе l'humіlіаtіоn dе sоn sоumіs trаvеstі. Аlоrs соmmеnt dеvеnіr unе bоnnе sіssу ? Vоus êtеs реut-êtrе tеnté еt іl еst tеmрs роur vоus dе frаnсhіr се раs еt déсоuvrіr сеttе nоuvеllе fасеttе dе vоtrе реrsоnnаlіté еt dе vоtrе sехuаlіté ! Еt bіеn іl nе fаut раs аvоіr реur dе соmmеnсеr ! Êtrе nоvісе nе dоіt раs êtrе un оbstасlе, vоtrе mоtіvаtіоn еt vоtrе sіnсérіté à ехрlоrеr vоtrе sоumіssіоn еt vоtrе fémіnіté sоnt d'іnсrоуаblеs mоtеurs à vоtrе nоuvеllе рrаtіquе bdsm. Іl vа fаllоіr trоuvеr lа bоnnе mаîtrеssе роur vоus guіdеr еt vоus mеttrе sur lа bоnnе vоіе. Sі lе fееlіng аvес vоtrе futurе “mаmаn” еst іmроrtаnt, іl еst аussі іndіsреnsаblе quе vоtrе mаîtrеssе rеsресtе vоtrе соnsеntеmеnt. Unе рsеudо mаîtrеssе quі nе rеsресtе раs сеlа еst à fuіr іmmédіаtеmеnt ! Еn еffеt іl еst рrіmоrdіаl dе роsеr vоs lіmіtеs аvес vоtrе dоmіnа, рlus vоtrе rеlаtіоn sеrа dе соnfіаnсе еt рlus vоus grаndіrеz еt vоus vоus éраnоuіrеz dаns vоtrе nоuvеllе vіе dе sіssу. N'hésіtеz раs à роsеr dеs quеstіоns, sоуеz сurіеuх еt mоntrеz vоtrе mоtіvаtіоn à dеvеnіr unе bоnnе sіssу. Vоus аllеz еnsuіtе роuvоіr сhоіsіr vоtrе рrénоm fémіnіn оu dеmаndеr à vоtrе dоmіnаtrісе qu'еllе еn сhоіsіssе un роur vоus. Vоus n'аurеz d'аіllеurs реut-êtrе раs lе сhоіх. Іl vоus fаudrа аussі défіnіr lе stуlе dе sіssу quе vоus sоuhаіtеz dеvеnіr, sur lе рlаn vеstіmеntаіrе соmmе sur lе рlаn mоrаl. Sоuhаіtеz-vоus êtrе unе sоubrеttе аuх оrdrеs dе vоtrе mаîtrеssе аutоrіtаіrе еt êtrе humіlіéе еt рunіе оu рréférеz-vоus êtrе соntrаіnt dе vоus hаbіllеr еn “рutе” еt êtrе оffеrtе à dеs hоmmеs, fеmmеs оu соuрlеs ? Sі vоus nе sаvеz раs quоі сhоіsіr оu quе vоus n'еn аvеz раs еnvіе, vоtrе mаîtrеssе sаurа lе fаіrе роur vоus, оn реut dіrе quе vоtrе sоumіssіоn n'еst déjà рlus à рrоuvеr ! Роur vоus trаnsfоrmеr еn bоnnе sіssу, іl fаut sаvоіr аllіеr lе сôté еsthétіquе à l'аsресt рsусhоlоgіquе. Оutrе l'аsресt vеstіmеntаіrе, іl vоus fаudrа аdорtеr unе сеrtаіnе рsусhоlоgіе fémіnіnе, vоus соnsіdérеr соmmе unе fеmmе, аdарtеr vоtrе fаçоn dе mаrсhеr, dе реnsеr еt dе vоus ехрrіmеr. Сеt аsресt “рsусhоlоgіе fémіnіnе” n'еst раs оblіgаtоіrе mаіs fоrtеmеnt rесоmmаndé sі vоus sоuhаіtеz dеvеnіr unе vrаіе еt ехсеllеntе sіssу.
12 personnes aiment ça.
sissy666
Merci pour cette synthèse très bien construite, plénière et exprimée très clairement.
J'aime 20/05/25
Nico60270
Très beau résumé
J'aime 20/05/25
Melanie Frosch
Au début de nos aventures libertines, je n'avais probablement pas mesuré les risques que pouvait entraîner ce genre d'activité à leur juste niveau, et, de plus en plus attirée par le sexe, j'échangeais sur le net avant de me rendre parfois à des rendez-vous seule, sans mon mari. Dans ces cas là, il s'arrangeait pour venir à proximité de l'endroit où j'avais rendez vous afin de surveiller, autant que faire se peut, le bon déroulement des opérations. Il rechignait à me laisser seule, mais nous étions convenus que je devais m'assurer par moi-même que cette activité me plaisait à moi-même et que je n'y participais pas seulement pour faire plaisir à mon mari. J'échangeais ainsi avec un homme retraité de 68 ans, Fausto, voyageant beaucoup sur son bateau, sa vie étant partagée entre le nord de la région lyonnaise et ses voyages. Un visage émacié, buriné, peu de cheveux, pas très grand, mince... pas l'homme que l'on remarque vraiment, mais il savait m'exciter, au grand malheur de ma culotte... Je jouais avec lui par mails, la fréquence de nos échanges étaient de plus en plus fréquente.
 Après quelques mois de correspondances, il voulait me voir. Il devait repartir en voyage sur son bateau et ne devait pas revenir avant plusieurs mois et j'ai donc finalement accepté de le rencontrer.
 Nous avions rendez-vous dans un café de Villeurbanne vers 21 heures. Je gare ma voiture devant. Il arrive juste à ce moment, à pied et nous commençons à parler alors que je sors de ma voiture et la ferme. Je viens d'arriver et n'ai pas trouvé de place. Viens dans ma voiture, le temps d'en trouver une, si tu veux bien. Vu son âge et son look, je ne pense pas risquer grand-chose. Et mon mari est assis dans le café : il doit me guetter. Nous prenons la voiture de Fausto, stationnée en double file au moment où une voiture de police arrive, manifestement pour verbaliser les stationnements gênants. Il démarre, mais au lieu de rester dans le coin, il rentre dans le parc de Miribel. Je suis un peu étonnée, mais il se met à me parler et je ne me rends pas compte qu'il a l'air de chercher quelque chose, je pense à une place, mais il s'arrête à la hauteur d'un chemin qui s'enfonce dans le bois et le prend... Il roule une centaine de mètres, et quand il s'arrête, je me retourne et constate qu'on ne nous voit plus de la route. Il éteint toutes ses lumières et se penche sur moi pour m'embrasser. Je n'avais pas vraiment envie de l'embrasser ; me laisser caresser à la limite. Il me coince contre la portière et tente de déboutonner le haut de ma robe. Je suis bloquée. il est rapide. Quand je bloque une main, l'autre se place entre mes cuisses... Là, il résiste et y reste, ses doigts sont déjà en train de frotter ma chatte à travers ma culotte. Dans cette voiture, dans la pénombre, l'ambiance est assez propice, mais je me débats, je suis en colère. Je ne suis pas de taille à résister. Il est bien conservé et est, bien sûr, beaucoup plus fort que moi : la pratique du bateau lui donne l'habitude de se battre avec les éléments! De guerre lasse je le laisse me caresser par dessus la culotte, mais bien que je tienne cette main, il la passe en dessous et doit sentir que je mouille déjà... Il entre ses doigts dans ma vulve et me fait du bien. Je me laisse aller le dos contre la portière, et le laisse faire. Il ouvre totalement ma robe boutonnée, remonte mon soutien-gorge au dessus de mes gros seins, les faisant jaillir... Il me les suce tout en me branlant... C'est tellement bon! Il s'y prend bien, le salaud! Puis il ouvre sa braguette et sort son sexe bandé, recule son siège, et passe sa main derrière ma tête pour la diriger sous le volant et me rentre sa queue dans la bouche. Là encore, je ne peux résister. En ai-je d'ailleurs vraiment envie?... Je suis complètement de biais. Pour plus de confort, je me mets à quatre pattes, les genoux sur le siège passager, Fausto en profite pour relever ma robe par derrière, le dos nu il peut passer sur le coté pour caresser mes seins qui pendent dans cette position. Il descend ma culotte jusqu'aux genoux, et plus à l'aise ainsi, il peut glisser sa main sur mes fesses, entre mes cuisses... Mais je réalise en même temps que, de ce fait, je dois avoir les fesses nues devant la fenêtre passager... Il me fouille de ses doigts, devant, derrière... Je suis hyper excitée, le vieux vicelard sait y faire! Je m'active sur sa bite... Il apprécie, s'arrêtant souvent de me caresser la chatte et le cul pour mieux se laisser aller sur le dossier, et profiter pleinement de ma langue sur sa pine... Tout à mon affaire, je sens soudainement de l'air frais sur mes fesses. Je veux relever la tête, mais il me la maintient sur sa queue. Je sursaute. Des mains me touchent les fesses, les cuisses, des hommes parlent entre eux, et je comprends que Fausto a ouvert la fenêtre à des voyeurs qui devaient être là à regarder depuis un moment. Mes fesses sont à la fenêtre et son esprit pervers n'a pas manqué de profiter de la situation. Il continue à me maintenir, tirant même un peu plus ma robe que j'ai maintenant sur la tête, les voyeurs ont tout mon corps jusqu'au cou à leur disposition... Je ne sais pas combien ils sont mais je sens pas mal de mains qui me tripotent, mes grosses mamelles pendantes dans le vide, les cuisses, le ventre, et bien sûr ma chatte touffue et mes fesses... Je mouille de plus en plus, Fausto bouge tout seul dans ma bouche à coup de reins... Je n'ai plus le courage de m'occuper de sa bite... trop occupée à ressentir le plaisir d'être ainsi vue, fouillée, tripotée par tous ces mâles. Heureusement mon visage est sous la robe, je ne pourrais les regarder et ils ne pourront me reconnaître... Fausto est au bout et se laisse aller dans ma bouche. Je ne pensais pas qu'il y serait resté, mais l'excitation de la situation, pour lui qui regardait ce que l'on me fait, a due être trop forte pour avoir le temps de sortir... Surprise, je m'étrangle, et je pars en quinte de toux. Je suis obligée de me relever et de sortir la tête de la robe, rouge écarlate, assise sur le siège passager, j'essaie de reprendre mes esprits tout en regardant autour de moi... la robe ouverte, les tétasses sous le soutien-gorge, la culotte à mi-cuisses.... Un silence étonnant règne quelques secondes, le temps qu'ils me regardent. J'en vois trois qui matent, et un autre qui arrive et s'informe auprès des autres de la situation. Ils doivent se relayer les infos par SMS quand il se passe quelque chose, parce que je vois aussitôt deux autres mecs qui arrivent sortant de l'obscurité, d'une autre direction, devant la voiture... Très inquiète, je m'affaire à essayer de boutonner ma robe, mais un pan est coincé sous mes fesses. Je suis en train de les soulever quand ma portière s'ouvre d'un coup... Je tourne la tête, l'un des voyeurs m'attrape le bras droit, m'empêchant de fermer ma robe. Aidé d'un autre, ils me sortent de la voiture. Je vois six hommes, le premier me tient par la taille sous la robe pendant que son complice tire la robe en arrière et l'enlève, puis vient le tour de mon soutien-gorge, ma culotte reste coincée aux genoux. Aussitôt, celui qui me tient par la taille glisse ses doigts dans ma chatte déjà mouillée, ces mains que j'ai eu tort de laisser me tripoter par la fenêtre, mais la situation était tellement excitante que je ne pouvais rien faire, laissant encore une fois mon corps prendre le dessus sur ma raison. 
 Je ne sais pas quoi faire, j'ai été trahie par ce salaud de Fausto qui voulait jouer avec moi, et regarder d'autres le faire. Je n'ai pas le temps de m'interroger sur ce qu'il va se passer. L'homme me retourne, me pousse contre la voiture et me fait allonger sur le siège passager. Il tire mes jambes dans le vide de telle sorte que mes fesses soient juste au bord du siège, offrant au choix, mes fesses et ma chatte à la portière. Ma culotte est tombée aussi, dernier rempart, symbolique depuis longtemps. Le 4x4 est haut, et ainsi positionnée, je suis à la bonne hauteur pour eux.
 Ma tête est de nouveau près du volant, sur la cuisse de Fausto. Il ne fait rien et regarde. Tout cela a été très vite, une ou deux minutes, pour que je me retrouve à disposition. Justement je sens une verge à l'entrée de ma chatte. On me pénètre sans douceur, mais en fait j'accueille cette queue avec plaisir, car tout cela m'a bien excitée, et j'avais besoin de sentir cela. Mais je ne manifeste pas de satisfaction, et je suis quand même inquiète de la suite. - Vas-y Gino, la dame n'attend que ça, que tu lui foutes ta pine dans la moule! Sa moule s'entrouvre rien qu'en pensant à la grosse enfilade qu'elle va prendre. Vas lui mettre ton zob dedans! Vas-y, je te dis! Je suis secouée à plat ventre sur ce siège, je subis, je laisse faire cette queue qui me claque les fesses, mais il sort et envoie son sperme sur mes fesses, un autre entre aussitôt et me prend comme une chienne à grands coups. Je vois devant moi que des hommes regardent aussi du coté chauffeur, je ne sais pas combien sont arrivés depuis tout à l'heure. L'attroupement autour de la voiture a dû en attirer pas mal d'autres. Et mon manque de résistance les a encouragés à me prendre pour une bonne salope excitée. Fausto sort de la voiture pour céder sa place. Un type s'assoit, la braguette déjà ouverte, le pieu dehors. Il m'oblige à le prendre. Je commence à gémir, je ne peux retenir le plaisir qui monte, qui monte, malgré les changements successifs. Les uns après les autres prennent ma chatte. Ils ne tiennent pas longtemps, trop excités à regarder, à attendre leur tour. Ils ne me pénètrent que pour baiser cette salope et se vider. Pendant ce temps, celui qui s'est mis au volant bouge tout seul dans ma bouche en me tenant la tête. Je n'ai ni l'envie ni la force de réagir. Il jouit aussi dans ma bouche. Je crache le jus par terre, écœurée. Un autre a pris sa place dans ma bouche. J'ouvre à peine les yeux pour voir. Je suis complètement en délire de ces queues qui me bousculent, se succèdent. - Oh Mario, elle est chaude de la chatte! Tu devrais sortir de sa moule et aller voir si son cul est aussi douillet. Je suis sûr que c'est le cas! Enfin, l'un d'eux s'intéresse à mon cul. Avec ses doigts il fait pénétrer le jus que j'ai pris sur les fesses. Délicatement il entre ses gros doigts, un puis deux dans le trou : il me prépare. Puis, je sens quelque chose d'énorme qui distend mon anneau. Et il insiste, au point que j'arrive à dégager ma tête pour me retourner, et là, un gros black souriant s'essouffle à essayer de m'enculer. J'ai mon petit cul complètement rempli. Il pousse un peu et revient. Recommence. Il me pénètre de plus en plus, jusqu'à ce qu'il parvienne à tout rentrer. Je me cambre au mieux pour diriger mes fesses en fonction de la douleur. Il prend ça pour du plaisir et commence son va et vient dans mon fourreau. Je suis redressée sur mes coudes, mes seins pendent et ballottent au rythme de ses entrées sorties, le torse ainsi relevé est visible de tous ceux qui sont autour de la voiture, mes airbags, mon visage tendu vers le plafond, la bouche ouverte. Je suis en pleine vue dans cette voiture, quelqu'un a allumé le plafonnier. Je continue à recevoir le sexe du black, de mieux en mieux. J'ai moins mal et je recommence à apprécier cette verge qui m'assène inlassablement ses coups de marteau, à fond. Je recommence à gémir. Les yeux mi-clos, je vois les mateurs prenant des photos avec leurs téléphones. - J'aime, continue! Lui dis-je dans un souffle. - Continue salaud! Bourre moi! Les mecs rient ou commentent autour. Je me connais, je suis partie, j'ai envie, envie, envie! Excitée, je rebaisse la tête sur le pantalon du type au volant et je reprends cette bite, molle maintenant, mais mouillée que j'englobe. Je m'active, le lèche, le branle, le noeud enveloppé de ma langue, il ne résiste pas à ce traitement et se lâche dans ma bouche. Voyant cette démonstration en pleine lumière, un autre mec fait sortir celui-ci qui vient de se vider pour se mettre à sa place Sa queue est prête, tendue, mouillée aussi : il me la rentre dans la bouche. - Hé! La voilà qui se caresse la chatte! Quand je te dis que c'est une vicieuse! Et de l'autre main, elle me touche de nouveau la bite. Putain, je bande presque comme avant! Encore un peu et je vais pouvoir la tringler. Car c'est tout ce qu'elle veut, tout ce qu'elle attend. On ne me l'a fait pas à moi. Je suis sûr qu'elle n'a qu'une idée en tête : celle de se faire prendre par une bonne queue. Tu vas voir, je vais te donner ce que tu cherches, ma cochonne! Le black hésite, et sort. Je suis étonnée. Je ne l'ai pas senti éjaculer, mais ma déception est courte car il rentre dans ma chatte trempée. C'est délirant, j'ai encore sorti la verge de ma bouche, la branlant machinalement, accélérant, ralentissant, au rythme de mes pénétrations, mes sensations, la pressant en fonction de mes montées. Le black me laboure, expression que je n'aime pas, mais il me laboure, je ne sais pas quoi dire d'autre, mon ventre est secoué de plus en plus violemment. Je me suis redressée encore, les deux bras tendus, appuyés sur le siège, le visage tourné vers le plafond, vers la lumière, bouche ouverte comme pour happer l'air, les yeux grand ouverts, en attente de l'orgasme qui arrive... Qui explose! Je m'écroule et laisse mon visage revenir se reposer sur les genoux du type au volant. Il n'ose même pas me déranger. Je reste comme ça quelques minutes, imaginant que tous les yeux étaient fixés sur moi en pleine lumière, me voyant hurler de plaisir lorsque le plaisir atteignait son paroxysme, les seins tendus, la bouche ouverte, dressée et matée par la grosse queue du black... Je me relève et sors péniblement de la voiture, totalement à poil. Ils ont tout vu donc... Et dans l'assistance, je reconnais mon mari... Le salaud! Il avait clairement organisé le coup avec Fausto pour me faire démonter dans ce parc par les mateurs. Candauliste, il a dû autant prendre son pied que moi! Le salaud... Fausto a été payé en nature de son travail!
Shanghai00
Hello je cherche un(e) dominateur ou dominattrice j'ai 19 ans et si vous souhaitez discuter je vous attends en message pour faire plus enple connaissance 😘
1 personne aime(nt) ça.
Hugin
Bonsoir, bienvenue et bonne recherche
J'aime 13/05/25
Davina
a partagé une photo
Bonjour à toutes et tous. Ma Maîtresse m'a imposé la pompe à seins afin de développer ma poitrine. Je pense qu'Elle veut que je puisse branler ces messieurs entre mes nichons. Après deux mois de succion, j'ai l'impression que mes seins ont pris du volume mais ce n'est peut-être qu'une illusion. Certains ont-ils déjà essayé... et si oui, le résultat a-t-il été probant ? Merci et bien cordialement. Davina, pute et soumise de Maîtresse Léa.
Soyez la première personne à aimer.
Bonsoir, Des conseils pour trouver des gens qui féminisent autour de soi ?
Soyez la première personne à aimer.
LASSYE
a partagé quelques photos
Effet des hormone début de développement de seins
1 personne aime(nt) ça.
Couplecuckold25000
Jolie
J'aime 29/04/25
Couplecuckold25000
Quelle hormone utilisez vous? Quelle.resultat sur parties intimes ?
J'aime 29/04/25
LASSYE
C est gel Sur mes parties intime je commence à avoir une réduction du penis
J'aime 29/04/25
Couplecuckold25000
Cherchons ce genre de traitement pour mon cocu
J'aime 29/04/25
LASSYE
Voulez vous que nous continuons en MP
J'aime 29/04/25
Couplecuckold25000
Oui ce sera plus pratique
J'aime 29/04/25
LASSYE
Je viens de vous faire une demande d amies
J'aime 29/04/25
Bonjour à tous
Autiliser
Bonjour le groupe
1 personne aime(nt) ça.
Shanghai00
Hello
J'aime 23/04/25
Kikou
J'aime 24/04/25
routierlopette
a partagé quelques photos
bonjour à tous.quelques photos de moi
mimichXJ
a partagé une photo
coucou
6 personnes aiment ça.
mimichXJ
merci ;-)
J'aime 05/12/24
Chimeria
Coucou
J'aime 10/04/25
LASSYE
a partagé quelques photos
Bonjour . Connaissez vous c est produit.
Soyez la première personne à aimer.
Chimeria
Non
J'aime 10/04/25
Chimeria
a partagé une photo
Coucou femme transgenre mûre. Je vous salue et vous souhaite une bonne semaine
LASSYE
Bonjour. Depuis 1 mois de gel au hormones sur mes seins et partie intime. On commence à voir un développement de les seins
dominatrice confirmée sévère, autoritaire, j'exulte à pervertir, à dépraver ainsi qu'à martyriser crescendo dans la domination il y a les règles, et surtout les miennes ! .:.
Shanghai00
Bonjour tout le monde je cherche des amis qui partage la même orientation que moi 😄
Bonjour, je suis en couple et de nature soumise. Ma domina n’apprécie pas trop que je me féminise, mais je suis de plus en plus attiré par cette pratique. J’ai déjà de faux seins et des talons aiguilles. Depuis peu, j’ai investi dans le maquillage. Je débute et c’est loin d’être évident….
3 personnes aiment ça.
Hugin
Bonjour, j'admets que le maquillage c'est compliqué au début. Le mieux c'est de commencer simple avec du rouge à lèvre et ajouter autre chose petit à petit. EN tous cas bonne découverte de tes plaisirs de travestissement.
J'aime 01/04/25
Galliane
Souvent c'est le soumis qui dirige la domina... dans le jargon BDSM, nous parlons de souminateur ... j'aime bien ce terme et en vous lisant j'y vois une certaine similitude ! Bon succès dans votre démarche ....
J'aime 01/04/25
Slutty - soumiss1966
Tenue imposée par Madame pour le dernier exercice. Merci Madame.
6 personnes aiment ça.
Très joli... avec le clito, en forme, qui dépasse
J'aime 20/01/25
Slutty - soumiss1966
Merci Cockin49 pour votre gentil commentaire.
J'aime 20/01/25
Slutty - soumiss1966
Merci papou60. Vous avez raison, elle à très bon gout. Merci Madame Kali.
J'aime 22/01/25
Sub-Mae
Bel ensemble, il vous va à ravir! Ah qu'est ce que j'aimerais partager cela avec madame.... amusez vous bien!
J'aime 14/03/25
Slutty - soumiss1966
Merci beaucoup Sub-Mae.
J'aime 15/03/25
LASSYE
Depuis début de ma transition en femme avec prise de hormone le chemin va etre long. Merci mon maitre
Voir les publications suivantes