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Melanie Frosch
Au début de nos aventures libertines, je n'avais probablement pas mesuré les risques que pouvait entraîner ce genre d'activité à leur juste niveau, et, de plus en plus attirée par le sexe, j'échangeais sur le net avant de me rendre parfois à des rendez-vous seule, sans mon mari. Dans ces cas là, il s'arrangeait pour venir à proximité de l'endroit où j'avais rendez vous afin de surveiller, autant que faire se peut, le bon déroulement des opérations. Il rechignait à me laisser seule, mais nous étions convenus que je devais m'assurer par moi-même que cette activité me plaisait à moi-même et que je n'y participais pas seulement pour faire plaisir à mon mari. J'échangeais ainsi avec un homme retraité de 68 ans, Fausto, voyageant beaucoup sur son bateau, sa vie étant partagée entre le nord de la région lyonnaise et ses voyages. Un visage émacié, buriné, peu de cheveux, pas très grand, mince... pas l'homme que l'on remarque vraiment, mais il savait m'exciter, au grand malheur de ma culotte... Je jouais avec lui par mails, la fréquence de nos échanges étaient de plus en plus fréquente.
 Après quelques mois de correspondances, il voulait me voir. Il devait repartir en voyage sur son bateau et ne devait pas revenir avant plusieurs mois et j'ai donc finalement accepté de le rencontrer.
 Nous avions rendez-vous dans un café de Villeurbanne vers 21 heures. Je gare ma voiture devant. Il arrive juste à ce moment, à pied et nous commençons à parler alors que je sors de ma voiture et la ferme. Je viens d'arriver et n'ai pas trouvé de place. Viens dans ma voiture, le temps d'en trouver une, si tu veux bien. Vu son âge et son look, je ne pense pas risquer grand-chose. Et mon mari est assis dans le café : il doit me guetter. Nous prenons la voiture de Fausto, stationnée en double file au moment où une voiture de police arrive, manifestement pour verbaliser les stationnements gênants. Il démarre, mais au lieu de rester dans le coin, il rentre dans le parc de Miribel. Je suis un peu étonnée, mais il se met à me parler et je ne me rends pas compte qu'il a l'air de chercher quelque chose, je pense à une place, mais il s'arrête à la hauteur d'un chemin qui s'enfonce dans le bois et le prend... Il roule une centaine de mètres, et quand il s'arrête, je me retourne et constate qu'on ne nous voit plus de la route. Il éteint toutes ses lumières et se penche sur moi pour m'embrasser. Je n'avais pas vraiment envie de l'embrasser ; me laisser caresser à la limite. Il me coince contre la portière et tente de déboutonner le haut de ma robe. Je suis bloquée. il est rapide. Quand je bloque une main, l'autre se place entre mes cuisses... Là, il résiste et y reste, ses doigts sont déjà en train de frotter ma chatte à travers ma culotte. Dans cette voiture, dans la pénombre, l'ambiance est assez propice, mais je me débats, je suis en colère. Je ne suis pas de taille à résister. Il est bien conservé et est, bien sûr, beaucoup plus fort que moi : la pratique du bateau lui donne l'habitude de se battre avec les éléments! De guerre lasse je le laisse me caresser par dessus la culotte, mais bien que je tienne cette main, il la passe en dessous et doit sentir que je mouille déjà... Il entre ses doigts dans ma vulve et me fait du bien. Je me laisse aller le dos contre la portière, et le laisse faire. Il ouvre totalement ma robe boutonnée, remonte mon soutien-gorge au dessus de mes gros seins, les faisant jaillir... Il me les suce tout en me branlant... C'est tellement bon! Il s'y prend bien, le salaud! Puis il ouvre sa braguette et sort son sexe bandé, recule son siège, et passe sa main derrière ma tête pour la diriger sous le volant et me rentre sa queue dans la bouche. Là encore, je ne peux résister. En ai-je d'ailleurs vraiment envie?... Je suis complètement de biais. Pour plus de confort, je me mets à quatre pattes, les genoux sur le siège passager, Fausto en profite pour relever ma robe par derrière, le dos nu il peut passer sur le coté pour caresser mes seins qui pendent dans cette position. Il descend ma culotte jusqu'aux genoux, et plus à l'aise ainsi, il peut glisser sa main sur mes fesses, entre mes cuisses... Mais je réalise en même temps que, de ce fait, je dois avoir les fesses nues devant la fenêtre passager... Il me fouille de ses doigts, devant, derrière... Je suis hyper excitée, le vieux vicelard sait y faire! Je m'active sur sa bite... Il apprécie, s'arrêtant souvent de me caresser la chatte et le cul pour mieux se laisser aller sur le dossier, et profiter pleinement de ma langue sur sa pine... Tout à mon affaire, je sens soudainement de l'air frais sur mes fesses. Je veux relever la tête, mais il me la maintient sur sa queue. Je sursaute. Des mains me touchent les fesses, les cuisses, des hommes parlent entre eux, et je comprends que Fausto a ouvert la fenêtre à des voyeurs qui devaient être là à regarder depuis un moment. Mes fesses sont à la fenêtre et son esprit pervers n'a pas manqué de profiter de la situation. Il continue à me maintenir, tirant même un peu plus ma robe que j'ai maintenant sur la tête, les voyeurs ont tout mon corps jusqu'au cou à leur disposition... Je ne sais pas combien ils sont mais je sens pas mal de mains qui me tripotent, mes grosses mamelles pendantes dans le vide, les cuisses, le ventre, et bien sûr ma chatte touffue et mes fesses... Je mouille de plus en plus, Fausto bouge tout seul dans ma bouche à coup de reins... Je n'ai plus le courage de m'occuper de sa bite... trop occupée à ressentir le plaisir d'être ainsi vue, fouillée, tripotée par tous ces mâles. Heureusement mon visage est sous la robe, je ne pourrais les regarder et ils ne pourront me reconnaître... Fausto est au bout et se laisse aller dans ma bouche. Je ne pensais pas qu'il y serait resté, mais l'excitation de la situation, pour lui qui regardait ce que l'on me fait, a due être trop forte pour avoir le temps de sortir... Surprise, je m'étrangle, et je pars en quinte de toux. Je suis obligée de me relever et de sortir la tête de la robe, rouge écarlate, assise sur le siège passager, j'essaie de reprendre mes esprits tout en regardant autour de moi... la robe ouverte, les tétasses sous le soutien-gorge, la culotte à mi-cuisses.... Un silence étonnant règne quelques secondes, le temps qu'ils me regardent. J'en vois trois qui matent, et un autre qui arrive et s'informe auprès des autres de la situation. Ils doivent se relayer les infos par SMS quand il se passe quelque chose, parce que je vois aussitôt deux autres mecs qui arrivent sortant de l'obscurité, d'une autre direction, devant la voiture... Très inquiète, je m'affaire à essayer de boutonner ma robe, mais un pan est coincé sous mes fesses. Je suis en train de les soulever quand ma portière s'ouvre d'un coup... Je tourne la tête, l'un des voyeurs m'attrape le bras droit, m'empêchant de fermer ma robe. Aidé d'un autre, ils me sortent de la voiture. Je vois six hommes, le premier me tient par la taille sous la robe pendant que son complice tire la robe en arrière et l'enlève, puis vient le tour de mon soutien-gorge, ma culotte reste coincée aux genoux. Aussitôt, celui qui me tient par la taille glisse ses doigts dans ma chatte déjà mouillée, ces mains que j'ai eu tort de laisser me tripoter par la fenêtre, mais la situation était tellement excitante que je ne pouvais rien faire, laissant encore une fois mon corps prendre le dessus sur ma raison. 
 Je ne sais pas quoi faire, j'ai été trahie par ce salaud de Fausto qui voulait jouer avec moi, et regarder d'autres le faire. Je n'ai pas le temps de m'interroger sur ce qu'il va se passer. L'homme me retourne, me pousse contre la voiture et me fait allonger sur le siège passager. Il tire mes jambes dans le vide de telle sorte que mes fesses soient juste au bord du siège, offrant au choix, mes fesses et ma chatte à la portière. Ma culotte est tombée aussi, dernier rempart, symbolique depuis longtemps. Le 4x4 est haut, et ainsi positionnée, je suis à la bonne hauteur pour eux.
 Ma tête est de nouveau près du volant, sur la cuisse de Fausto. Il ne fait rien et regarde. Tout cela a été très vite, une ou deux minutes, pour que je me retrouve à disposition. Justement je sens une verge à l'entrée de ma chatte. On me pénètre sans douceur, mais en fait j'accueille cette queue avec plaisir, car tout cela m'a bien excitée, et j'avais besoin de sentir cela. Mais je ne manifeste pas de satisfaction, et je suis quand même inquiète de la suite. - Vas-y Gino, la dame n'attend que ça, que tu lui foutes ta pine dans la moule! Sa moule s'entrouvre rien qu'en pensant à la grosse enfilade qu'elle va prendre. Vas lui mettre ton zob dedans! Vas-y, je te dis! Je suis secouée à plat ventre sur ce siège, je subis, je laisse faire cette queue qui me claque les fesses, mais il sort et envoie son sperme sur mes fesses, un autre entre aussitôt et me prend comme une chienne à grands coups. Je vois devant moi que des hommes regardent aussi du coté chauffeur, je ne sais pas combien sont arrivés depuis tout à l'heure. L'attroupement autour de la voiture a dû en attirer pas mal d'autres. Et mon manque de résistance les a encouragés à me prendre pour une bonne salope excitée. Fausto sort de la voiture pour céder sa place. Un type s'assoit, la braguette déjà ouverte, le pieu dehors. Il m'oblige à le prendre. Je commence à gémir, je ne peux retenir le plaisir qui monte, qui monte, malgré les changements successifs. Les uns après les autres prennent ma chatte. Ils ne tiennent pas longtemps, trop excités à regarder, à attendre leur tour. Ils ne me pénètrent que pour baiser cette salope et se vider. Pendant ce temps, celui qui s'est mis au volant bouge tout seul dans ma bouche en me tenant la tête. Je n'ai ni l'envie ni la force de réagir. Il jouit aussi dans ma bouche. Je crache le jus par terre, écœurée. Un autre a pris sa place dans ma bouche. J'ouvre à peine les yeux pour voir. Je suis complètement en délire de ces queues qui me bousculent, se succèdent. - Oh Mario, elle est chaude de la chatte! Tu devrais sortir de sa moule et aller voir si son cul est aussi douillet. Je suis sûr que c'est le cas! Enfin, l'un d'eux s'intéresse à mon cul. Avec ses doigts il fait pénétrer le jus que j'ai pris sur les fesses. Délicatement il entre ses gros doigts, un puis deux dans le trou : il me prépare. Puis, je sens quelque chose d'énorme qui distend mon anneau. Et il insiste, au point que j'arrive à dégager ma tête pour me retourner, et là, un gros black souriant s'essouffle à essayer de m'enculer. J'ai mon petit cul complètement rempli. Il pousse un peu et revient. Recommence. Il me pénètre de plus en plus, jusqu'à ce qu'il parvienne à tout rentrer. Je me cambre au mieux pour diriger mes fesses en fonction de la douleur. Il prend ça pour du plaisir et commence son va et vient dans mon fourreau. Je suis redressée sur mes coudes, mes seins pendent et ballottent au rythme de ses entrées sorties, le torse ainsi relevé est visible de tous ceux qui sont autour de la voiture, mes airbags, mon visage tendu vers le plafond, la bouche ouverte. Je suis en pleine vue dans cette voiture, quelqu'un a allumé le plafonnier. Je continue à recevoir le sexe du black, de mieux en mieux. J'ai moins mal et je recommence à apprécier cette verge qui m'assène inlassablement ses coups de marteau, à fond. Je recommence à gémir. Les yeux mi-clos, je vois les mateurs prenant des photos avec leurs téléphones. - J'aime, continue! Lui dis-je dans un souffle. - Continue salaud! Bourre moi! Les mecs rient ou commentent autour. Je me connais, je suis partie, j'ai envie, envie, envie! Excitée, je rebaisse la tête sur le pantalon du type au volant et je reprends cette bite, molle maintenant, mais mouillée que j'englobe. Je m'active, le lèche, le branle, le noeud enveloppé de ma langue, il ne résiste pas à ce traitement et se lâche dans ma bouche. Voyant cette démonstration en pleine lumière, un autre mec fait sortir celui-ci qui vient de se vider pour se mettre à sa place Sa queue est prête, tendue, mouillée aussi : il me la rentre dans la bouche. - Hé! La voilà qui se caresse la chatte! Quand je te dis que c'est une vicieuse! Et de l'autre main, elle me touche de nouveau la bite. Putain, je bande presque comme avant! Encore un peu et je vais pouvoir la tringler. Car c'est tout ce qu'elle veut, tout ce qu'elle attend. On ne me l'a fait pas à moi. Je suis sûr qu'elle n'a qu'une idée en tête : celle de se faire prendre par une bonne queue. Tu vas voir, je vais te donner ce que tu cherches, ma cochonne! Le black hésite, et sort. Je suis étonnée. Je ne l'ai pas senti éjaculer, mais ma déception est courte car il rentre dans ma chatte trempée. C'est délirant, j'ai encore sorti la verge de ma bouche, la branlant machinalement, accélérant, ralentissant, au rythme de mes pénétrations, mes sensations, la pressant en fonction de mes montées. Le black me laboure, expression que je n'aime pas, mais il me laboure, je ne sais pas quoi dire d'autre, mon ventre est secoué de plus en plus violemment. Je me suis redressée encore, les deux bras tendus, appuyés sur le siège, le visage tourné vers le plafond, vers la lumière, bouche ouverte comme pour happer l'air, les yeux grand ouverts, en attente de l'orgasme qui arrive... Qui explose! Je m'écroule et laisse mon visage revenir se reposer sur les genoux du type au volant. Il n'ose même pas me déranger. Je reste comme ça quelques minutes, imaginant que tous les yeux étaient fixés sur moi en pleine lumière, me voyant hurler de plaisir lorsque le plaisir atteignait son paroxysme, les seins tendus, la bouche ouverte, dressée et matée par la grosse queue du black... Je me relève et sors péniblement de la voiture, totalement à poil. Ils ont tout vu donc... Et dans l'assistance, je reconnais mon mari... Le salaud! Il avait clairement organisé le coup avec Fausto pour me faire démonter dans ce parc par les mateurs. Candauliste, il a dû autant prendre son pied que moi! Le salaud... Fausto a été payé en nature de son travail!
En tant que dominatrice passionnée, j’aime l’idée de l’homme objet, cet être inférieur que je transforme à ma guise en un gentil toutou, serviteur, esclave, salope, petite chose à mes pieds... bref en ce que je désire, afin qu’il assouvisse mes désirs, subisse mes caprices, et me montre sa dévotion et sa vénération. .:.