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Quand les pulsions s’enlacent à la poésie, quand la fessée s’illustre à la gouache, quand les chansons sentent le cuir chaud : bienvenue dans le groupe BDSM.fr le plus indécent… et le plus raffiné. Un nom qui ne ment pasIl fallait oser. Et ils l’ont fait. « De l’art et du cochon » n’est pas un simple jeu de mots malicieux : c’est une déclaration d’intention. Ici, l’on honore la grande famille des arts — peinture, poésie, chanson, littérature, photographie, dessin ... en y injectant ce grain de sel (ou de foutre ?) typiquement BDSM : l’ambigu, le sulfureux, le vibrant, le politiquement incorrect. C’est un groupe à part dans la galaxie BDSM.fr, qui ne court pas après les likes mais provoque des élans plus profonds : désir de créer, besoin de ressentir, plaisir d’admirer. Une communauté affûtée, libérée, cultivéeLes membres du groupe ne se prennent pas au sérieux, mais prennent l’art très au sérieux. C’est ce qui fait toute la différence. On y trouve des œuvres classiques réinterprétées par un regard D/s, des textes personnels qui mêlent lyrisme et luxure, des croquis de culottes baissées dans des poses de martyre antique, et des playlists musicales qui sentent le latex chaud et l’encens noir. Mais surtout, on y trouve une communauté active et complice, qui commente, suggère, rebondit. Il n’y a pas de hiérarchie entre celles et ceux qui créent et ceux qui goûtent — chaque publication est une invitation au jeu, au dialogue, à la stimulation intellectuelle et sensorielle. L’érotisme en majesté : entre Georges Bataille et Georges BrassensIl y a quelque chose d’un peu anachronique, délicieusement désuet dans ce groupe : on y cite Apollinaire autant que Brassens, Sade autant que Pauline Réage, on y évoque Schiele ou Rops à côté de dessins érotiques faits à main levée sur un coin de nappe. L’érotisme n’y est pas un produit visuel, mais un langage, une esthétique, une attitude. Et surtout, le BDSM y est représenté dans toute sa diversité émotionnelle : tantôt cruel, tantôt comique, tantôt tendre, tantôt mystique. On y parle de soumission comme d’un état d’âme, de domination comme d’un théâtre intérieur, de cordes comme de vers libres. Le fouet devient pinceau, le bâillon devient silence poétique. Des créations maison qui décoiffentCe n’est pas qu’un musée, c’est aussi un atelier. Une grande partie des contenus publiés dans « De l’art et du cochon » sont créés par les membres eux-mêmes. Textes érotiques, nouvelles BDSM, fragments de journaux intimes, dessins, caricatures, collages numériques, chansons ( le groupe est un laboratoire tout en effervescence, où la pratique BDSM se sublime dans la forme artistique). Et si tout n’est pas toujours techniquement parfait, tout est authentique, incarné, vibrant. Les œuvres partagées respirent la chair, le vécu, la complicité avec le lecteur ou la lectrice. On lit, on regarde, et on se dit : « Ce texte sent la cire chaude et les draps froissés ». Un humour salé qui fait du bienCar oui, on rit aussi dans ce groupe. C’est même l’une de ses signatures les plus précieuses. Loin du fétichisme compassé ou du BDSM dramatisé à l’excès, « De l’art et du cochon » revendique une part d’autodérision joyeuse. On y détourne des œuvres classiques avec des légendes grivoises. On y poste des chansons à double sens, des gravures coquines, des jeux de mots paillards. On s’y amuse de nos propres fantasmes avec tendresse et lucidité. Cette capacité à rire de soi sans rien désacraliser du désir est, disons-le, hautement subversive. Dans un monde où l’érotisme est souvent soit aseptisé, soit surjoué, cette approche est une bouffée d’air (et de sueur). Pourquoi il faut s’y attarder (et y participer)Parce que le BDSM est un art. Un vrai. Et ce groupe en est la preuve joyeuse et ciselée. Il rappelle que la domination peut s’écrire en vers, que la soumission peut s’esquisser au fusain, que le sadomasochisme est aussi une dramaturgie, un art de la narration et de la suggestion. C’est un espace où l’on n’a pas besoin de performer, mais juste de partager ce qui nous émeut, nous excite, nous interroge. Un espace où l’on cultive son imaginaire, son regard, ses références. À vos plumes, vos pinceaux, vos playlistsVous aimez les métaphores filées et les chaînes bien serrées ? Les allitérations sensuelles et les bouches bâillonnées ? Les toiles érotiques et les nuits sans sommeil ? Alors, ne restez pas spectateur·rice : venez nourrir ce cabinet de curiosités BDSM qu’est « De l’art et du cochon ». 🎨 Postez un texte. Un extrait de roman. Une chanson fétiche. Un dessin griffonné après une séance. Parce que l’art, comme le sexe, est plus intense quand il est partagé..... |
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