Grand blond débutant cherche main (ou cuisse) ferme pour initiation piquante
Trentenaire curieux, blond, grand, yeux bleus, et tout juste débarqué dans l’univers merveilleux du BDSM, je suis à la recherche d’une dominatrice non vénale, sportive, de caractère, et de préférence dans ma tranche d’âge (30-35 ans), pour une exploration complice et sans pression… sauf quand elle est physique 😇
Je me découvre un goût prononcé pour :
les jeux de bordure (le juste avant, le presque trop)
la privation sensorielle (bandeaux, bouchons, tension…)
le facesitting (ce moment où l’oxygène devient un luxe)
les headscissors (aka la poésie musculaire des cuisses)
et tout ce qui touche à l’éveil des sens et la perte de contrôle.
Je suis respectueux, réactif, attentif… et consentant à beaucoup de choses tant qu’on en parle avant. Switch à mes heures, mais soumis par défaut, je suis ici pour découvrir, apprendre, servir, et peut-être… provoquer un peu, si tu sais comment recadrer un élève un peu trop joueur 😏
Ce que je cherche :
Une femme dominante, sportive ou active, bien dans son corps et ses désirs. Tu n’as pas besoin d’avoir 10 ans d’expérience, juste l’envie de guider, modeler, jouer, rire, faire trembler… et créer une vraie connexion, même taquine.
Pas de relation tarifée : je privilégie l’humain, la complicité, l’échange sincère.
Je suis dans l’Oise, mobile selon affinités.
Discrétions, limites, mots de passe : tout sera respecté.
Si mon profil t’amuse, t’intrigue, ou te donne envie de serrer (doucement ?) un cou curieux entre deux cuisses fermes… je t’attends
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Terme français : agendre (rare et peu usité) — on utilise majoritairement le mot agender, même en français.
Définition :
Une personne agender est une personne qui ne s’identifie à aucun genre. Cela ne signifie pas forcément un rejet actif du genre, mais plutôt l’absence de sentiment d’appartenance à une identité genrée, qu’elle soit masculine, féminine, fluide ou autre. C’est une identité à part entière, souvent décrite comme une sorte de « vide serein », de neutralité identitaire, ou de détachement vis-à-vis de la binarité homme/femme.
Certaines personnes agender peuvent se dire neutres, sans genre, genre-nulles, voire sans étiquette, mais toutes ne revendiquent pas le même rapport à cette non-identité. Pour certain·es, c’est une libération. Pour d’autres, c’est une affirmation politique contre les normes de genre dominantes.
Usage dans les communautés queer et BDSM :
Dans les cercles BDSM, être agender peut influencer les dynamiques relationnelles et les rôles de pouvoir, sans forcément les conditionner. Une personne agender peut être dominante, soumise, switch, brat, Daddy Dom ou tout ce qu’elle souhaite — l’identité de genre ne détermine pas le rôle érotique. Cependant, beaucoup de personnes agender apprécient qu’on utilise des pronoms neutres (comme iel en français, they/them en anglais) et des titres dégagés de connotations genrées.
À retenir :
Agender n’est pas un « entre-deux » ou une « indécision », c’est une identité claire et affirmée.
Ce n’est pas toujours lié à la transition médicale ou corporelle.
On peut être agender et avoir n’importe quelle orientation sexuelle ou amoureuse
Le respect des pronoms et du langage neutre est essentiel.
Bonjour à tous-tes.
J'ai pas mal gravité de loin autour du monde BDSM, et je passe le cap de l'inscription sur un site dédié :)
J'ai 37 ans, en couple polyA, parisien, et depuis de nombreuses années maintenant adeptes de l'ondinisme et des jeu de régression. Plutôt à la recherche en général de domination bienveillante, je n'ai jamais passé le pas de la soumission contrainte.
Me voilà donc ici, plus ou moins au hasard de périgrination de liens en liens google, à me dire que les deux mondes ne sont pas forcément si loins l'un de l'autre, et que qui sait, de nouveaux horizons peuvent s'ouvrir, ou, à minima, des discussion ou rencontres intéressante ! :)
Au plaisir d'échanger :)
Pourquoi s'inflige-t-on tout ces supplices, pourquoi aime-t-on se faire attacher, pourquoi aime-t-on recevoir l'impact, pourquoi aime-t-on cet inconfort, pourquoi aime-t-on toutes ces tortures ?
C'est une question que je vous pose mais je la pose aussi à moi même. Certes, c'est une question pour les soumis mais les dominants peuvent aussi apporter leurs pistes de réflexion.
La question est simple mais la réponse n'est pas triviale.
Oui, un fantasme, tres certainement. Les effets des hormones libérée dans le cerveau lors de ces pratiques, peut être. Autre chose, pourquoi pas. La question est ouverte.
Je suis curieux de lire les réflexions de chacun sur le sujet.
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