Questionnement un peu intrusif inspiré d'une publication sur le mur G. Mais questionnement récurrent chez moi. 
Que ressentent les personnes maso ? 
Je note et j'observe dans mon interprétation, différents types et degrés de masochisme. (Ai-je tort ? Raison ? Les deux à la fois ? C'est pas vraiment le propos)
Personnellement, je me considère à peine comme masochiste. Parce que dans l'idée que j'en conçois, un(e) maso aime avoir mal. Vraiment mal. 
Je me sens masochiste sexuelle et un peu masochiste dans la soumission. Bien qu'une récente expérience m'ait poussée à vivre une petite séance d'impact hors du lien D/s. Seul l'avenir et mes rencontres saura m'apporter des éclaircissements me concernant à ce propos.
Revenons à nos bobo (humour de qualité a revoir).
Je me demande souvent, ce que ressent une personne masochiste dans sa tête et dans son corps, quand il ou elle se fait mal. Ou vit une séance sado/maso.
Qu'est ce qui active ce besoin d'avoir mal à l'extrême ?
Qu'est ce que ça donne comme résultat (émotionnel, mental et sensitif) derrière ?
J'ai aussi observé que les hommes soumis vivent leur masochisme différemment. D'une manière encore plus "extrême" de mon point de vue. 
D'autant plus quand ils sont bi ou homosexuels (quel est le rapport Gisèle ? )
Le rapport est que c'est une observation que j'ai faite et elle peut être erronée. Je me questionne simplement sur les schémas de pensées et de comportements que je ne comprends pas.
N'y voyez aucun jugement mais plutôt un nouveau "pourquoi" qui se balade dans ma tête et me permet de mieux comprendre l'espèce humaine.
Note : n'y voyez pas un manque de respect si je mets du temps à répondre. La vie, le temps, la disponibilité cérébrale...
Note 2 : Azhara, Novicetime et Oérésie si vous passez par là.
Et puis si des maso du Murgé voient ce message, je suis curieuse de vos réponses.
Merci. 
 
 
            
            
            
        #JeNeSuisNiGoogleNiAlexa
Souvent en MP, certains d'entre vous me pose des questions sur tel ou tel point du BDSM, me demande mon avis sur telle ou telle expérience. 
Pour la plupart, vous êtes cordiaux et respectueux, et c'est un plaisir de vous répondre.
Et puis parfois, il y des personnes que je ne connais absolument pas et qui doivent me prendre pour une sorte de Google du BDSM… 
Comme hier soir où j’ai reçu un message d'une personne qui me demande ce que je "[...]pense des esclaves "totaux" propriété pleine et entière d'un maître ?[...]"
Que répondre d'autre que tant que c'est totalement voulu et consensuel, je n'ai rien à en penser, même s'il est clair que c'est un chemin qui ne me correspond pas, personnellement ?…
J’essaie cependant d’engager le dialogue, afin de savoir qui est cette personne qui dit me connaître, et ensuite pourquoi cette question. 
Je reçois alors non seulement une fin de non recevoir (en gros, ça ne me regarde pas), et lorsque je fais part de mon mécontentement d'avoir l'impression d'être juste prise comme "l'office des renseignements" cette personne m'accuse de me cacher derrière un pseudo et ne pas prendre position, afin de ne pas froisser mon auditoire. 
Sauf que… 
Je prends régulièrement position sur telle ou telle attitude ou personne quand cela me semble nécessaire. Et je suis suffisamment connue pour ça, voir même parfois détestée pour cette raison. 
Mais si je peux avoir un avis personnel sur des façons de vivre le BDSM et que ces façons ne correspondent pas à ma vision, il ne m'appartient pas de juger, ni de discuter de mon avis personnel avec des inconnus, tant que cette vision correspond à du BDSM SSC.
Quand on me pose une question, il faut s’attendre à avoir une réponse. Mais ce n’est pas ma faute si ce n’est pas celle que vous aviez envie d’avoir. 
Et n’en déplaise à certains, je ne suis pas une de ces “enceintes connectées” que l’on pourrait sonner d’un “Ok La Fille de Mars…”.
#LaFilleDeMars #LeMondeMerveilleuxDuBDSM #OKLaFilleDeMars #JeNeSuisNiGoogleNiAlexa            
        
    
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