Je suis de retour. Mais j'ai aboli la limite d'age.
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Bonsoir à tous,
Homme dominant novice (expérience de quelques mois avec mon épouse), à la recherche d'une femme soumise (novice également) sincère pour exploration mutuelle à distance. Mon approche mêle bienveillance, tendresse et fermeté.
Si vous souhaitez explorer une soumission où le respect et le désir se renforcent mutuellement, parlons-en.
Au plaisir de vous lire !
Définition :
Un·e Dominant·e est une personne qui, dans une dynamique BDSM, prend le rôle de celui ou celle qui dirige, guide, impose ou contrôle le jeu, les pratiques, ou parfois certains aspects de la relation. C’est la figure d’autorité, celle qui pose le cadre, propose les règles, initie les rituels et tient la tension psychologique du rapport de pouvoir mais toujours avec le consentement explicite de la ou des personnes impliquées.
Mais attention : dominer ne signifie pas brutaliser, ni imposer un caprice. La domination BDSM est consensuelle, éthique, attentive et s'article autour de la communication. Elle peut être douce ou dure, structurée ou spontanée, cérémonielle ou sauvage… mais elle se fait toujours en responsabilité.
Un·e Dominant·e écoute, observe, construit la séance comme un·e metteur·se en scène sensuel·le. Il ou elle tient l’espace émotionnel, surveille les limites, et veille à l’intégrité du ou de la soumis·e pendant, mais surtout après le jeu.
Nuances :
Il existe des Dominants doux, qu’on appelle parfois, en anglais, gentle doms, ou des service dominants, plus orientés vers le soin.
D’autres adoptent une posture bien plus autoritaire, sadique, protocolisée.
La Domination peut aussi être temporaire (durant une séance) ou permanente (dans une dynamique 24/7, par exemple).
Certains ajoutent à ce rôle une étiquette genrée (Daddy Dom, Mistress, Domme, etc.)
À retenir :
Dominer, c’est un art et pas une excuse pour prendre le pouvoir sans le rendre.
Cela exige du contrôle de soi, une grande écoute, et un sens affûté de la responsabilité.
Le/la Dominant·e n’est pas infaillible : il/elle évolue avec son/sa partenaire, apprend, ajuste, grandit.
On ne naît pas Dominant·e : on le devient… avec soin, curiosité et ... humilité !!!
Définition :
La sécheresse vaginale désigne un manque de lubrification naturelle du vagin, entraînant une sensation d’inconfort, de brûlure, de tiraillement ou de douleur, notamment lors des rapports sexuels ou de certaines pratiques de pénétration. Elle peut être ponctuelle, cyclique ou chronique, et touche des personnes de tous âges, bien que plus fréquente pendant la ménopause, après un accouchement, ou en période de stress ou de prise de certains médicaments (comme les antidépresseurs ou les traitements hormonaux).
La sécheresse vaginale n’est ni une honte, ni une fatalité, et surtout pas un échec de la libido ou de la féminité. C’est une réalité physiologique, parfois hormonale, parfois psychologique, qui mérite écoute, bienveillance et… une bonne dose de lubrifiant.
Solutions courantes :
Lubrifiants à base d’eau, de silicone ou hybrides, à adapter selon les pratiques et la sensibilité personnelle
Gels hydratants vaginaux pour un usage régulier
Traitements hormonaux locaux (crèmes ou ovules à base d’œstrogènes, sous prescription)
Travail sur la détente, l’excitation, et l’environnement de confiance dans la relation
À retenir :
La sécheresse vaginale peut arriver à tout moment de la vie : ce n’est ni un « problème de vieille », ni un tabou à cacher.
Le BDSM peut parfois l’accentuer (stress, peur, pratiques prolongées), ou au contraire l’atténuer (si l’excitation mentale est forte).
Utiliser du lubrifiant n’est pas un échec, c’est une preuve d’amour pour son corps.
Écouter ses sensations, adapter ses pratiques, et consulter si besoin, c’est aussi ça, le vrai self-care.
Connexe :
https://www.bdsm.fr/forum/thread/7990/BDSM-et-m%C3%A9nopause/