Bonjour à vous tous.
Avec beaucoup de curiosité et d'envies je me lance dans ce qui est pour moi un nouveau rapport à la sexualité avec d'autres personnes que ma femme qui est deja très soumise .
Nous pratiquons deja du BDSM soft pour le moment car nous avons tendance à durcir nos actes et moi ma domination sur elle.
Je lui donne la liberté de voir de jeunes hommes parcontre je contrôle le "avant, pendant et apres" car ma confiance n'exclut pas son contrôle.
On joue à un jeu un peu dangereux.
Elle m'a exprimé que ça lui plairait beaucoup de me voir et ou entendre mes péripéties avec d'autres soumises.
D'ou mon existance sur ce site.
J'ai pour le moment une approche technique propre aux débutants dans ce domaine mais je l'accepte comme une étape obligatoire progressive .
Je n'ai pas encore tous les codes et expériences mais j' espère en apprendre d'avantage avec vous .
Artistes elle et moi, nous pouvons et devons créer nos univers pour changer notre approche du plaisir.
Le contexte compte beaucoup.
Ce qui est sur c'est que je suis un dominant qui commence à être mûr mais je retrouve pas forcément une case dans laquelle je pourrais être à l'aise .
Mon rapport au monde qui est très artistique m'empêche de poser un cadre définitif sur mes pratiques .
C'est très changeant mais avec beaucoup de domination.
Est ce qu'il faut avoir une feuille de route pré établi avec des codes propres au BDSM pour exister dans ce milieu ?
Faut il adopter une posture, une discrétion un dress code très précis pour habiter le personnage qui me correspond ?
Voici les questions que je me pose et que je pose ici.
Merci à vous de m'avoir lu
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Grand blond débutant cherche main (ou cuisse) ferme pour initiation piquante
Trentenaire curieux, blond, grand, yeux bleus, et tout juste débarqué dans l’univers merveilleux du BDSM, je suis à la recherche d’une dominatrice non vénale, sportive, de caractère, et de préférence dans ma tranche d’âge (30-35 ans), pour une exploration complice et sans pression… sauf quand elle est physique 😇
Je me découvre un goût prononcé pour :
les jeux de bordure (le juste avant, le presque trop)
la privation sensorielle (bandeaux, bouchons, tension…)
le facesitting (ce moment où l’oxygène devient un luxe)
les headscissors (aka la poésie musculaire des cuisses)
et tout ce qui touche à l’éveil des sens et la perte de contrôle.
Je suis respectueux, réactif, attentif… et consentant à beaucoup de choses tant qu’on en parle avant. Switch à mes heures, mais soumis par défaut, je suis ici pour découvrir, apprendre, servir, et peut-être… provoquer un peu, si tu sais comment recadrer un élève un peu trop joueur 😏
Ce que je cherche :
Une femme dominante, sportive ou active, bien dans son corps et ses désirs. Tu n’as pas besoin d’avoir 10 ans d’expérience, juste l’envie de guider, modeler, jouer, rire, faire trembler… et créer une vraie connexion, même taquine.
Pas de relation tarifée : je privilégie l’humain, la complicité, l’échange sincère.
Je suis dans l’Oise, mobile selon affinités.
Discrétions, limites, mots de passe : tout sera respecté.
Si mon profil t’amuse, t’intrigue, ou te donne envie de serrer (doucement ?) un cou curieux entre deux cuisses fermes… je t’attends
Terme français : agendre (rare et peu usité) — on utilise majoritairement le mot agender, même en français.
Définition :
Une personne agender est une personne qui ne s’identifie à aucun genre. Cela ne signifie pas forcément un rejet actif du genre, mais plutôt l’absence de sentiment d’appartenance à une identité genrée, qu’elle soit masculine, féminine, fluide ou autre. C’est une identité à part entière, souvent décrite comme une sorte de « vide serein », de neutralité identitaire, ou de détachement vis-à-vis de la binarité homme/femme.
Certaines personnes agender peuvent se dire neutres, sans genre, genre-nulles, voire sans étiquette, mais toutes ne revendiquent pas le même rapport à cette non-identité. Pour certain·es, c’est une libération. Pour d’autres, c’est une affirmation politique contre les normes de genre dominantes.
Usage dans les communautés queer et BDSM :
Dans les cercles BDSM, être agender peut influencer les dynamiques relationnelles et les rôles de pouvoir, sans forcément les conditionner. Une personne agender peut être dominante, soumise, switch, brat, Daddy Dom ou tout ce qu’elle souhaite — l’identité de genre ne détermine pas le rôle érotique. Cependant, beaucoup de personnes agender apprécient qu’on utilise des pronoms neutres (comme iel en français, they/them en anglais) et des titres dégagés de connotations genrées.
À retenir :
Agender n’est pas un « entre-deux » ou une « indécision », c’est une identité claire et affirmée.
Ce n’est pas toujours lié à la transition médicale ou corporelle.
On peut être agender et avoir n’importe quelle orientation sexuelle ou amoureuse
Le respect des pronoms et du langage neutre est essentiel.
Bonjour à tous-tes.
J'ai pas mal gravité de loin autour du monde BDSM, et je passe le cap de l'inscription sur un site dédié :)
J'ai 37 ans, en couple polyA, parisien, et depuis de nombreuses années maintenant adeptes de l'ondinisme et des jeu de régression. Plutôt à la recherche en général de domination bienveillante, je n'ai jamais passé le pas de la soumission contrainte.
Me voilà donc ici, plus ou moins au hasard de périgrination de liens en liens google, à me dire que les deux mondes ne sont pas forcément si loins l'un de l'autre, et que qui sait, de nouveaux horizons peuvent s'ouvrir, ou, à minima, des discussion ou rencontres intéressante ! :)
Au plaisir d'échanger :)
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