Bonjour,
mon soumis et moi cultivons depuis quelque temps un fantasme d'orties :) y a-t-il ici des personnes qui en ont déjà utilisé ? Mises en gardes spécifiques ? Je pense de toutes façons y aller progressivement afin de repérer d'éventuels soucis sur les zones sensibles. Je suis d'autant plus curieuse de mettre en pratique que l'idée le terrifie. Mais c'est aussi un masochiste en pleine éclosion, et sans aucun doute trop curieux pour son propre bien <3
Derniers sujets du forum
Bonjour
la question est dans le titre.
je m interroge à titree personelle cela me parait impossible mais peut etre que cela veux dire que je ne suis pas un dominant?
il me semble qu on doit avant de pouvoir dominer pousser une persone a ce realiser a aller de plus en plus loindans la recherche de ce qu elle est. On doit ressentir pour elle un setiment profond au moins de douceur de tendresse.
Bien le bonjour ! Je viens à la recherche de réponse avec argument diverse et varié !
On est d'accord qu'une dépression ou fatigue émotionnelle profonde, ou autre pathologie et soucis de santé mentale doit être vue et suivis par des professionnelles.
Il s'avère ici que ma partenaire, suite à une relation longue distance à cause du boulot, une stresse du a son boulot et des soucis familiales l'a amené à une sorte de burn-out social et total. Elle ne parle a plus personne, moi compris. Je pense être clairement le seul qui reçoit un message de bonjour et de bonne nuit, qui est un rituel imposé dans notre relation depuis la mise à longue distance (longue distance qui est finie bientôt). Voilà le souci, je la connais, je sais qu'elle a besoin d'espace et de temps et je lui en donne, mais d'un autre côté, je sais aussi que si j'allais la voir, je sais que j'ai l'influence et le pouvoir de l'aider (hors BDSM, je parle de sentiment et d'humain.) a passer cette épreuve plus rapidement.
La question est tendancieuse et elle est pile entre la limite éthique, limite psychologique et limite de pouvoir (cadre BDSM). Dois-je utiliser "ce pouvoir" qu'elle m'a offert sur elle pour l'aider de force (pas de manière physique et violente, mais juste de ma présence et passer par des "ordres") ? Mais cela n'est pas très éthique et peut aussi créer l'effet inverse ?
Je sais qu'elle est toujours raccord à nous, a notre relation. Car bien qu'elle ne me parle pas ou peu suivant les jours, entre les bonjours et au revoir, j'ai réussi à la forcer à m'appeler ce jeudi sous forme d'ordre qu'elle n'a clairement pas refusé en disant "je n'ai pas envie, mais je suis forcé". Donc indirectement, malgré tout, elle reste ancrée dans cette relation BDSM. et je sais qu'elle lutte contre elle même pour maintenir ce rituel. Je sais qu'elle n'ira pas voir un professionnelle. Et je sais que même si elle m'avais déjà fait cette crise il y a des années avant que notre relation, aussi bien physique que BDSM ne ce forme réelement, elle n'avait jamais été aussi profonde. De part ce faite j'ai peur qu'elle s'auto-sabote et détruit ça propre vie sociale quitte a regretter plus tard.
Je en saurais vraiment exprimer tout le contexte et émotion, mais en gros, je pense qu'elle a besoin d'espace et le mieux serait de la laisser aller, mais si je la laisse aller j'ai l'impression de l'abandonner dans ces ténébre alors que j'ai toujours dit que je serais là pour elle et que juste lui dire "si tu as besoin de moi je suis là" De l'autre j'ai parfois l'impression qu'elle a besoin que je lui tende physiquement la main que j'aille allez la chercher. Et utilisé ma place qu'elle m'a offert de dominant pour l'utiliser à l'aider. Du coup, pour la première fois de ma vie, je doute, je suis entre, ethique, humain, bdsm, je vois flou, je ne sais pas si je dois m'imposser aller la voir et l'aider, car si je demande je sais qu'elle refusera. Je ne sais pas si je dois juste attendre et si elle tombe je le regretterais. Fin bref, plein de possibilité, besoin de votre vision!
Merci et bonne soirée!
Préambule : ce qui suit à vocation à partager des opinions et des ressentis, et non à imposer une bonne ou une mauvaise façon de faire. Ce n’est donc qu’une opinion, basée sur une expérience personnelle, et ne prétend en aucun cas être un standard supérieur aux autres.
----------
Dans les relations de domination et de soumission, les rites et les symboles peuvent jouer un rôle fondamental, car ils permettent d'établir et de renforcer les dynamiques de pouvoir, de respect et de confiance entre les partenaires. Ces éléments sont souvent empreints de significations profondes et de traditions qui marquent l'engagement mutuel et l'appartenance à une relation unique et intense.
Nous avons toutes et tous des rites, et je vous invite à les partager en commentaire, ou à questionner les pratiques des autres. Car les rites et symboles sont nombreux, et peuvent prendre diverses formes, les plus répandues étant les appellations, les symboles de soumission et d'appartenance – colliers, etc… - ainsi que des séquences particulières ritualisées dans la relation. Ces rituels et symboles sont des moyens de transcender les limites ordinaires du plaisir et de la douleur, de l'autorité et de l'obéissance.
A titre personnel, j’accorde une très grande importance aux symboles et rituels, car ils participent pleinement à la création de l’univers lisible, particulier, épanouissant et stimulant que je souhaite établir. Et je partage avec vous l’exemple des lettres que je rédige et remets. Ce geste, bien que simple en apparence, revêt une signification profonde et multiple.
Tout d’abord parce que la rédaction de la lettre est en soi un acte cérémonial. J’écris à la plume, je prends le temps de choisir mes mots, de mettre en forme mes pensées et de les coucher sur le papier. Chaque mot écrit dans la lettre est une preuve de l'attention que je porte à celle qui va la recevoir. Il ne s'agit pas d'un message écrit à la hâte, mais d'une réflexion posée et profonde, montrant à quel point elle est importante à mes yeux.
Ce processus est en lui-même un rituel d'introspection, mais également une matérialisation de la façon dont je façonne mon lien avec une soumise : qu’elle sache que je prends le temps – un actif très précieux en ce qui me concerne – de me dédier à cette tâche est une réponse à sa propre dévotion.
Mais ensuite, la forme est essentielle. Le cachet apposé sur la lettre est un symbole de mon perfectionnisme, de mon autorité et de mon contrôle. Il indique que le contenu de la lettre lui est exclusivement destiné, et que le sceau ne pourra être rompu qu’à un moment précis, selon mes instructions, parfois plusieurs jours après la remise. Cette anticipation et cette attente renvoient celle qui reçoit une telle missive à son état de soumission.
Imaginons le moment où elle reçoit cette lettre. Le cachet de cire, portant ma marque, brille sous la lumière. Curieuse et respectueuse, prendre simplement la lettre lui fait immédiatement sentir le poids et la signification de ce geste. Car, soucieux du détail, tant la couleur que l’enveloppe que celle de la cire du sceau ont des significations précises, qui produisent d’autant plus leur effet qu’elle connait immédiatement la tonalité du message, mais va devoir patienter pour en connaitre la teneur précise.
Le moment venu, en ouvrant la lettre, elle découvre mes mots soigneusement choisis qui peuvent contenir des instructions, des réflexions sur notre relation, des appréciations sur son rôle, ou encore des ordres précis. Chaque phrase est une étreinte, chaque mot une caresse. Cette lettre devient un objet tangible de mon emprise, une relique qu’elle pourra chérir et relire pour se rappeler constamment de la profondeur de notre lien, particulièrement en mon absence.
Cet acte rituel est donc profondément personnel et émotionnel. Il est une preuve supplémentaire de mon attention, de mon affection, et une affirmation de mon style. Et d’expérience, tout ceci est facteur de stabilité, d’assurance et de renforcement de la confiance et de la dévotion.
Articles récents