bonjour à toutes et à tous,
je vis actuellement une relation épanouissante affectivement et sexuellement au sein d'un couple vanille exclusif (pour résumer schématiquement). mais, comme je l'ai écrit il y a quelques temps, l'envie d'ouvrir ce couple à d'autres partenaires de jeu se fait de plus en plus grande à mesure que la confiance en moi-même s'étoffe.
mais de manière un peu étrange, à ce jour, le scenario qui me semble le plus excitant (et en lien avec le site - et puis un harem de sublimes femmes dévouées, ça fait rêver mais faut pas déconner quand même..) serait de jouer en tant que couple dominant avec un homme soumis. je dis étrange car je ne ressens pas d'attirance sexuelle particulière pour le corps des hommes, par contre, je me projette nettement plus comme dominant vis à vis d'un autre homme que d'une femme, comme si je pourrais me permettre des actes et des mots plus durs, plus dégradants sur un homme. Bien sûr me direz-vous, ça ne change pas grand chose puisque le / la soumis(e) est consentant, mais il n'empêche que je ne me vois pas, je n'arrive pas à m'autoriser mentalement à violenter ou dégrader un femme même consentante, encore moins si j'ai des sentiments pour elle. et pourtant, la dynamique de domination et même plus précisément d'humiliation m'excitent et m'attirent.
je suis donc preneur de témoignages, questions, remarques afin de nourir ma réflexion préparatoire, puisqu'il sera évidemment question ensuite d'échanger à ce sujet avec ma partenaire (avec qui je n'ai pas encore parlé de BDSM ouvertement, je précise).
merci d'avance
et s'il y a des personnes éventuellement intéressées et patientes, car comme vous le comprenez, je suis encore loin d'être prêt à passer à l'action, vous savez comment me contacter
PS : j'ai bien avancé sur la supression des jugements négatifs auto-infligés car en relisant mon post, j'ai l'impression d'être un gay racoleur, mais je réussis à plutôt bien vivre avec cette impression nébuleuse
Derniers sujets du forum
Je suis encore en réflexion sur la manière de dominer ma copine et je m'interroge sur la place du sexe dans la domination.
Vos pratiques de bondage, punitions... sont elles majoritairement accompagnées d'une stimulation sexuelle ou déconnectez vous les 2 ?
Bonjour, je suis un soumis de 64 ans. Je cherche un dominateur ou une dominatrice, ou même plusieurs, pour des relations suivies ou non. Ou bien un autre soumis qui aurait des envies de domination éventuellement.
Mon truc à moi c'est l'humiliation, l'exhibition forcée par exemple. J'aime devoir faire des choses dégradantes, salissantes, en intérieur et surtout en extérieur. J'accepte d'être filmé et photographié.
N'étant pas attiré par les hommes, tout ce que je dois faire avec eux est humiliant pour moi, mais j'obéirai. Je n'ai pas souvent dérection dans le cadre de la soumission, bien que cela me plaise énormément.
Mes limites sont la douleur, la violence et le scato.
Je me déplace sur la région parisienne, et un peu plus loin éventuellement si le projet me plait vraiment. Je peux aussi recevoir chez moi à Gennevilliers (92).
N'hésitez pas à me contacter pour discuter ou pour une rencontre.
Respectueusement
Emile
🪶 **Quel est le rêve qui vous tient le plus à cœur ?**
Je pose cette question ici, non pour obtenir une pluie de réponses rapides, mais pour peut-être déclencher un écho chez d’autres.
Ce matin, je me suis réveillé encore imprégné d’un rêve à la fois troublant, émouvant et… délicieusement dérangeant.
J’y étais placé dans un **univers de pensionnat**, un peu hors du temps. Pas une école militaire, non… plutôt un lieu feutré, silencieux, chargé de règles implicites, où l’on obéit avec un mélange de crainte et de gratitude.
Il y avait **des figures d’autorité féminines** — douces mais strictes. J’étais réduit à une version plus fragile de moi-même. Peut-être un “moi intérieur”, plus jeune, vulnérable, presque enfantin dans son ressenti. Il y avait des codes, des tenues imposées, des punitions ritualisées.
Une scène en particulier m’a marqué : celle où, sans brutalité, on me prenait par la main pour m’amener au coin. Un coin réel, dans une salle nue, froide, le regard fuyant, les oreilles en feu. Humiliation consentie. Silencieuse. Supportée.
Et plus tard, une autre scène, bien plus vive, plus intense. Une punition douloureuse, méthodique, avec des mots choisis, prononcés lentement, presque comme un soin.
Mais j’en avais les fesses striées de rouge, et la pluie de coups de badine ont tellement brûlé mon arrière-train qu’il n’a pas été possible de m’asseoir par la suite.
Et pourtant… à chaque coup reçu, c’était une brûlure douloureuse, mais bien méritée, et en moi, je ressens une profonde gratitude pour cette expiation.
Je me souviens que quand cela m’est arrivé dans le réel, une part de moi remerciait silencieusement. Comme si, à travers cette douleur, je pouvais offrir quelque chose de moi-même en retour.
Ce n’est pas "juste du BDSM" — c’est plus profond. Une dynamique émotionnelle, un besoin de lâcher prise, de retour à un cadre, à des repères. De me fondre dans un univers où je n’ai plus à décider.
Et dans cette perte de contrôle... je me sens entier.
Et vous ?
Quel est **votre** rêve secret, celui qui vous trouble, vous appelle parfois dans vos songes ?
Pas forcément sexuel. Mais celui qui vous expose. Celui que vous n’avez encore confié à personne.
Je serais touché de lire vos mots.



