Bonjour à toutes et à tous,
Depuis peu arrivé sur ce site, j'ai plusieurs fois croisé au rythme de mes lectures, le terme de faux dominant.
Bien qu'ayant mon avis sur le sujet, j'aimerais avoir le votre.
Pour vous, qu'est ce qu'un faux dominant ? Qu'est ce qu'un mauvais dominant ? Quelle est la différence ?
J'ouvre les festivités avec un premier critère : selon moi un mauvais dominant est un dominant ne prenant pas en compte les désirs de sa partenaire. Se disant dominant uniquement dans le but de pouvoir assouvir ses pulsions. Se disant dominant pour les droits sur sa soumise sans en assumer les devoirs.
Qu'en pensez vous ?
Nathan
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Quel pourraient être les avantages d'épouser une sissy pour un homme ou une femme, plutôt que d'épouser une femme cisgenre. Bien évidement, une sissy n'aura pas de vagin, mais une chatte anale. Pour certains hommes c'est plus jouissif de passer par là. Sexuellement les deux pourront trouver du plaisir.
la différence est surtout au niveau mental. Une sissy a pour vocation première d'être soumise, de se rendre sexy et attirante, toujours disponible et même un peu conne. Cela excite les hommes, les femmes un peu connes qui ouvrent facilement les cuisses et se font sodomiser. Une sissy ne rechigne jamais ne rale pas, ne conteste pas.
Franchir le pas et se marier avec une sissy a un côté amusant. et même mimi, je trouve. C'est pas du tout mon truc mais j'ai trouvé ce sujet intéressant. Il s'agit d'une relation bdsm soft. Une épouse sissy me fait penser à une poupée dont il faut prendre soin. Les sissy aiment ressembler à la poupée barbie du début, en pastels doux.
Définition :
Une personne demiromantique (demiromantic en anglais, terme qui a été francisé) ne développe des sentiments amoureux qu’après avoir établi un lien émotionnel profond avec quelqu’un. Cela signifie que l’attirance romantique ne jaillit pas spontanément ou à la première rencontre, mais qu’elle émerge (parfois lentement, parfois intensément) à mesure que la relation se tisse dans la confiance, la complicité, et la proximité émotionnelle.
Ce n’est ni un « retard » ni une pathologie : c’est simplement une autre manière d’aimer. Nombreux demiromantiques se sentent en décalage avec les codes de la séduction traditionnelle, où l’attirance amoureuse est censée frapper comme la foudre. Ici, pas de feu d’artifice au premier regard : plutôt un feu de cheminée, qui prend doucement mais peut brûler très fort.
Le demiromantisme est à ne pas confondre avec :
Le demisexualité, qui concerne l’attirance sexuelle (et non romantique), même si les deux identités peuvent coexister.
L’aromantisme, avec lequel il partage un certain flou initial quant aux sentiments, mais où le développement romantique reste possible chez les demiromantiques.
À retenir :
Le demiromantisme est une orientation à part entière, pas un manque ni une immaturité.
Il est souvent invisibilisé dans une culture qui glorifie le coup de foudre.
Il peut être source de frustration dans les dynamiques rapides… ou d’une richesse rare dans les liens profonds.
Il invite à ralentir, à sentir, à laisser le lien se dévoiler à son rythme.
Définition :
Un·e looner est une personne qui éprouve une attirance fétichiste pour les ballons gonflables (ballons de baudruche). Cette attirance peut être d’ordre sexuel, sensuel, émotionnel, ou simplement esthétique. Pour certain·es looners, le plaisir vient du contact physique avec le ballon : sa texture, sa légèreté, la tension de sa surface. Pour d’autres, c’est l’acte de le gonfler, de le caresser, ou même de le faire éclater qui suscite l’excitation.
Ce fétichisme peut inclure des éléments de domination, de peur, de suspense, ou simplement une dimension ludique et régressive. Il n’a rien à voir avec l’enfance, même s’il joue parfois avec des objets associés à celle-ci. Certains looners s’identifient comme poppers (ceux qui aiment faire éclater les ballons), d’autres comme non-poppers (ceux qui préfèrent les garder intacts).
À noter :
Comme toutes les philias, le fétichisme des ballons est extrêmement varié dans ses expressions. Il peut être vécu de manière solitaire, intégré à des scènes BDSM ou mis en scène dans des vidéos fétichistes spécifiques. Il peut être discret, fantasmatique, ou au contraire très assumé.
À retenir :
Être looner n’est ni bizarre, ni risible : c’est une forme d’excitation profondément sensorielle.
Le ballon agit comme un objet transitionnel : fragile, rond, léger, parfois bruyant… il incarne le plaisir de la tension et du lâcher-prise.
Ce fétichisme peut s’exprimer en toute autonomie, sans partenaire, ou faire partie d’un jeu plus large dans une relation.
Comme toujours, le consentement, la sécurité (attention aux allergies au latex !), et l’écoute de soi restent essentiels.