Bonjour à tous,
Ma copine me parle depuis quelques temps de son désir d'être dominée. Les discussions avec elle ont piqué ma curiosité et me poussent à explorer ce monde qui m'est inconnu. J'ai cependant peur de faire des erreurs et j'aimerais échanger avec des personnes expérimentées pour éviter que ces temps vécus ne se passent pas bien.
Au plaisir de vous lire et d'échanger avec vous.
Petite travesti crédible très soumise ayant déjà eu quelques colliers souhaite reprendre du service,me déplace dans un rayon de 100kms de Nevers
Peu de tabous et très motivé
Bonjour à toutes et tous.
Voici une question à deux réponses attendues: Doms et soums.
Messieurs les Doms, est-ce un jeu qui fait partie de votre panoplie ? Y pensez vous ? et comment ?
Mesdames les soumises, est-ce également partie de vos fantasmes/Jeux, et comment envisagez vous ces possibles prêts ?
Pour ce qui me concerne, j'ai plusieurs fois prêté ma soumise, à des Doms que nous connaissions tous les deux, et toujours en ma présence.
Je ne pourrais l'offrir sans que je sois là pour elle. Et à peu près tout le temps aux commandes.
Même si je laisse le Dom aux initiatives, elles sont pré-cadrées par mes soins aux fins que ma Belle ne subisse jamais l'inacceptable, parce que je suis absent et que j'ai oublié un détail, ce qui peut arriver, mais dans ce cas, étant présent, je verrais la chose arriver et corrigerais avant que cela ne se fasse.
Et vous ??
Merci d'avance de votre participation.
:smiley:
Dans un post du murgé décrivant une relation dite CNC, j'ai lu dans des commentaires polémiques, le rappel du consentement, de la bienveillance, du respect en étendards éthiques et le safeword et la communication comme remparts aux dérives.
Je ne vois pas comment on peut lâcher prise, et le pouvoir, être sous emprise (parce que sinon je ne vois pas bien à quoi on joue, ou plutôt je verrais bien qu'on joue) en réclamant le respect, la bienveillance et le consentement. Ces 3 composantes doivent être suffisamment digérées, intégrées, assimilées en amont, au niveau de la relation humaine, pour être oubliées au moment de l'expression de sa domination.
Je ne veux pas de sa bienveillance, je ne veux pas qu'elle me respecte et respecte mes limites, je veux son arbitraire et son emprise. Chez nous, pas de limite verbalisée, pas de safeword, pas de scenario à approuver sinon... bah on joue et je ne suis pas dominé. Pourquoi je me soumettrais si elle ne me domine pas ?
Elle ne sait qu'elle a franchi une limite dure qu'après coup, parce qu'à ce moment là, je l'informe, je communique.
Et si elle se plante, si elle dépasse mes capacités, ma résilience, je sors de son emprise. Et comme nous avons une relation humaine en amont de son expression bdsm, où règne la bienveillance, le respect et le consentement, elle s'en rend compte et en tient compte.
C'est la façon dont nous ressentons la domination, son arbitraire qui s'impose. Et puisqu'il faut des cases, je pense qu'on est dans le CNC.
Suis-je vraiment une victime d'une perverse parce que tout se passe au delà de mon choix ?
Edit : En fait, la question posée était purement rhétorique et inappropriée, je sais justement qu'elle n'est pas perverse et que si je lui exprimais mes désirs et mes limites à priori, elle en tiendrait compte et orienterait ses demandes.
Les questions sous jacentes seraient plutôt, est-ce que demander et respecter le consensus ne bride pas la domination, ou ne pas demander ou respecter une limite, est-ce éthique ou pervers ?