Ce thème "Jeux humides" résonne en moi avec une intensité certaine : en effet, j'apprécie beaucoup de recevoir l'onde intime, tiède, blonde, drue ou non, parfois odorante de l'une ou l'autre de mes partenaires dominantes : certaines dominatrices ne s'y sont pas prêtées, de par la crainte (raisonnée ou non ? = 1er sujet de débat) que ce liquide corporel soit source de contamination virale, bactérienne ou microbienne ... J'espère qu'une fois les portes mentales du BDSM franchies, ces portes mêmes qui inhibent les esprits de l'exhibition des corps et de leurs parties et fonctions intimes, ce ne sont pas des restes de pudeur qui empêcheraient ces dominatrices de s'adonner à cette "pisse and love"-party ... ! Quant à moi, être contrainte à recevoir, voire boire, le "champagne", c'est, dans l'abandon que représente cet acte de soumission, totalement au delà de l'aspect physique de la pratique uro :- certes on assiste à l'une des formes d'excrétions corporelles qui prêtent à interrogation et télescopent de plein fouet la pudeur liée à l'exercice de nos fonctions intimes, - en effet, je considère le don imposé de "champagne" comme une autre forme de "pénétration", puisque ce liquide intime (qui appartient à ma partenaire) prend possession de mon corps, voire le possède en s'immiscant en lui, oralement ou analement, - pour moi, et de façon à exclure vraiment toute excitation physique qui ferait que je "profiterais" de la vue du sexe de ma partenaire, cela va même jusqu'à apprécier d'avoir les yeux bandés, ce qui, de plus, décuple mes sens, car ils doivent anticiper et deviner la réception de l'onde blonde, et l'accueillir avec toute l'humilité et la reconnaissance qui conviennent ! Enfin comme un de(s) dessin(s) vaut(valent) mieux qu'un long discours (je tiens à souligner que ma démarche est humoristique, et ne se veut absolument pas provocatrice envers les croyants, dont je respecte la foi, quelle qu'elle soit !) :
