A propos du groupe

La masturbation est une pratique sexuelle en solitaire ou à plusieurs, consistant à provoquer l'éjaculation ou le plaisir sexuel par la stimulation des parties génitales ou d'autres zones érogènes, généralement à l'aide des mains, ou parfois d'objets tels des godemichets ou autres jouets sexuels. Les variantes sont donc très nombreuses, et sans aucune discrimination. Il est évidemment important de ne pas oublier lors de ces pratiques de prendre toutes les précautions nécessaires pour se protéger des MST. Ceci étant dit, faites-vous plaisir.

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###PROFIL BANNI###Miss Fabiola
Au fil du temps, le désir sexuel qui existait entre ma femme et moi s'est estompé comme tout un chacun après de nombreuses années de mariage. Nos relations se sont espacées jusqu'à ce que, réalisant le danger que cette inactivité représentait pour notre couple, nous décidions de parler franchement de ce qui pourrait booster notre libido. C'est ainsi qu'on a mit sur la table nos fantasmes et tout ce dont nous n'avions jusqu'alors jamais osé parler. Mon épouse qui était encore très désirable du haut de ses quarante deux printemps m'avoua que l'un de ses fantasmes les plus excitants sinon le plus excitant serait que je l'offre à l'un de nos amis mais dans des circonstances particulières c'est-à-dire sans son consentement officiel si j'ose dire. Quand je lui en demandais plus, elle m'expliqua alors que dans son fantasme, je profitais du fait qu'elle prenne souvent des somnifères pour arriver à s'endormir profondément, pour amener un de nos amis dans notre chambre et, lui permettre de la posséder jusqu'à ce qu'il lui remplisse la chatte d'une énorme et épaisse quantité de foutre. Je n'en revenais pas qu'elle puisse avoir un tel fantasme mais loin de me déplaire, son scénario me mit dans un état d'excitation extraordinaire. Quand elle s'aperçut dans quel état ses confidences m'avait mis, elle accepta de me décrire dans le moindre détail, le scénario qu'elle imaginait lorsqu'elle avait envie de se masturber et jouir intensément. Souffrant d'insomnie, elle prend parfois des somnifères pour arriver à dormir profondément. Lorsque c'est le cas, il pourrait y avoir un tremblement de terre, sans que cela n'affecte son sommeil. Dans le scénario qu'elle a mis au point, je profiterai de ce qu'elle dorme à poings fermés pour dévoiler ses charmes à un de nos amis puis, la situation dégénérerait, échappant complètement à mon contrôle du fait d'une trop forte excitation. C'est ainsi que l'ami en question commencerait par lui tripoter la "foune", glisser un puis plusieurs de ses doigts dans son ventre et finalement, s'allonger sur elle pour la pénétrer et après l'avoir bien besogné, lui remplir le vagin de plusieurs giclées de sperme bien épaisses. Je lui avouais alors que le mien serait justement de la voir avec un autre homme en train de s'embrasser, se caresser voir plus si bien sûr l'ambiance et le lieu s'y prêtait. Je n'ai jamais été jaloux avec les compagnes qui ont partagé ma vie mais cela elle le savait déjà. Par contre, ce qu'elle ne savait pas, c'était l'excitation que j'éprouvais lorsque je remarquais un homme en train de la mater avec envie et essayer d'en voir plus que ce qu'elle lui proposait notamment lorsqu'elle bronzait à la plage. Fort excités par cette découverte d'un fantasme presque similaire, on se mit à en parler de plus en plus souvent afin de connaître les moindres détails de ce qui nous excitait particulièrement, comme si nous étions déjà en train de mettre au point un scénario suffisamment crédible pour pouvoir piéger une victime. A chaque fois qu'on en parlait, c'était inévitablement une partie de jambes en l'air torride où, au summum de l'excitation, je lui demandais d'imaginer lequel de nos amis elle aimerait sentir en train de lui planter sa queue dans son ventre. C'est ainsi que je me suis rendu compte qu'en réalité, ce n'était pas quelqu'un de particulier mais tout simplement un mâle pourvu qu'il soit équipé d'une bonne queue bien longue et bien épaisse entre les jambes. Ces jeux auraient pu en rester là jusqu'à ce qu'un soir, un ami très proche de notre couple, ne débarque à la maison, en piteux état, du fait d'une sérieuse dispute avec sa femme. Compatissants, on lui proposa de dormir dans la chambre d'amis, le temps d'y voir un peu plus clair. Mon épouse, qui pressentait des difficultés pour s'endormir avait déjà pris un somnifère juste avant son arrivée aussi, malgré tous ses efforts pour tenir la conversation, elle finit par s'endormir dans le grand canapé du salon, à quelques mètres de nous. Je n'y prêtais plus trop attention, trop occupé à remonter le moral de notre invité lorsque je m'aperçus que ce dernier ne semblait plus trop intéressé par notre conversation. Je compris rapidement la raison à ceci en réalisant que les pans de la robe de chambre de ma femme avaient glissé et ne cachaient plus grand-chose de son string en dentelle quasi transparent. Le fantasme que nous avions évoqué tant de fois me sauta à la figure et sans réfléchir aux conséquences, feignant un mal de dos récurant suite à des chutes en moto-cross, je lui demandais s'il voulait bien porter Elise jusqu'à notre chambre, lui expliquant qu'avec les somnifères elle ne se réveillerait pas et qu'avec mon dos, je ne pourrais pas le faire moi-même. Paul, puisque c'est son prénom, trop heureux du service que je lui demandais n'hésita pas un seul instant pour se lever et la prendre dans ses bras en me demandant où la déposer. Ce faisant, au lieu de la recouvrir, il s'arrangea pour que la robe de chambre s'ouvre encore un peu plus, jusqu'à découvrir un ventre appétissant. Ses yeux n'arrivaient plus à se détacher du ventre, glissant allègrement vers l'entrejambe de mon épouse dont la toison blonde pouvait facilement se voir à travers la fine dentelle. - Ta femme est une plume. Une ravissante plume. - Je sais. Elle est belle, non ? - Je dirais plutôt magnifique ! Je me laissais distancer volontairement dans le couloir menant à notre chambre, feignant de m'arrêter dans les WC, prétextant une envie pressante. J'espérais ainsi que profitant de mon absence, il se laisserait aller à quelques gestes déplacés sur mon épouse ce qui me permettrait d'en tirer parti pour la suite de ce que j'avais en tête. Je regardais mon ami pénétrer dans notre chambre avec Elise dans les bras tandis que je lui lançais : Je passe par les toilettes vite fait et je te rejoins. Paul était entré dans la chambre. La veilleuse de la table de chevet restée éclairée lui permettrait de mater Elise autant qu'il le voudrait. J'attendais quelques instants puis je montais sans faire de bruit les escaliers. Il s'était assis à côté d'elle, la dévorant des yeux, comme s'il avait oublié que j'étais censé arriver d'une seconde à l'autre. Je m'approchais doucement de lui sans faire de bruits. Il matait sans vergogne son ventre et surtout, son bas-ventre. Il s'était placé de manière à ne rien perdre des trésors de mon épouse. Je connaissais ces dessous et je savais qu'ils étaient tellement transparents qu'ils ne cachaient rien de son sexe. Il sursauta en se rendant compte que j'étais juste derrière lui. - Oh Frank, excuses-moi mais elle est tellement belle endormie comme çà, je n'ai pas pu résister la tentation de l'admirer. - Ne t'excuses pas, je suis flatté que tu mates ma femme comme çà. Je la trouve belle moi aussi et puis, tu sais entre nous, il m'arrive aussi, de mater la tienne. - Ouais, je sais, elle me la dit mais là, c'est un peu différent. - Elle te plaît ? - Si elle me plaît ? Je ne m'étais jamais imaginé qu'elle était aussi... - Bandante ? - Heu j'aurais pas dit ça mais comme c'est toi qui l'a dit, j'adhère tout à fait. Je m'asseyais alors à côté d'Elise et, ouvrait carrément son peignoir, découvrant ses seins lourds mais encore bien fermes. Paul écarquilla les yeux avant de me regarder d'un air interrogateur. - J'ai toujours eu envie de voir un mec, mater Elise de près. Vas-y, régales-toi, personne n'en saura jamais rien. Paul ne se le fit pas dire deux fois et, se méprenant peut-être sur mes propos, je le vis découvrir complètement le corps de ma petite femme puis, devant mon manque de réaction, écarter plus largement, la fourche de ses cuisses. Il était à quelques centimètres, les yeux rivés sur sa chatte. Une poussée d'adrénaline envahit mes veines. Les battements de mon cœur s'accéléraient, je commençais à avoir chaud. La tête dans un étau, je ne réagis pas plus lorsque je le vis tendre une de ses mains vers le minuscule morceau de tissu protégeant encore la fente d'Elise. C'était le moment d'intervenir avant que cela n'aille trop loin mais partagé entre l'envie de le voir continuer et, celle de l'en empêcher, je ne savais plus quoi faire. Ce temps d'hésitation était mis à profit par notre ami dont les doigts se glissaient déjà sous le fin tissu pour l'écarter. Il était trop tard, nous avions devant nos yeux, l'entrée d'une vulve débarrassée de sa dernière protection. Quand il revint à la charge pour écarter ses cuisses, mon cœur se mit à frapper tellement fort dans ma poitrine que je crus que j'allais faire un malaise. J'étais paralysé par l'audace de notre ami qui se plaça dans la fourche de ses cuisses pour mieux admirer sa petite chatte baillant légèrement. Je sursautais presque lorsque il m'annonça : - C'est fou mais on dirait qu'elle mouille. Je me penchais un peu et effectivement, elle mouillait. On voyait de la mouille dans un repli de ses chairs intimes, juste à l'entrée de sa vulve. C'est alors que tout s'est accéléré à une vitesse que je n'aurais jamais cru possible. En effet, avant que je ne puisse esquisser le moindre geste, prenant aux mots ce que je venais de lui dire, Paul tendit ses doigts vers le sexe offert puis sépara les grandes lèvres. L'entrée de sa chatte nous apparut complètement ainsi que ses petites lèvres. Ma respiration trahissait mon excitation. Je remarquais alors une bosse significative déformant l'entrejambe de notre ami. Ses soucis de couple devaient être loin à voir la trique qu'il se trimbalait. Nous aurions sans doute pu en rester là mais sans que rien de le laisse prévoir, il se pencha en avant, pour mettre son nez à quelques centimètres du sexe offert. - J'aime son odeur. Si je m'écoutais je goûterais bien à sa mouille. Ce n'était l'envie qui me manquait de lui dire « mais qu'est-ce que t'attends si t'en as tant envie » mais je me rendis compte que je préférais de loin que ce soit lui qui prenne l'initiative d'aller plus loin. C'était ça qui m'excitait encore plus que le fait de voir un autre homme tripoter le sexe de ma femme. Mon attente fut de courte durée. Mon silence valait acceptation pour moi comme pour lui puisque sans plus attendre, je le vis s'avancer encore en ouvrant la bouche, la langue dardée en avant. Ça y était. Il était en train de lui lécher le chaton. Je regardais sa langue épouser les moindres replis du con de ma femme puis, prenant de l'assurance, il se mit à s'aider de ses doigts pour écarter plus largement la fente et plonger dans l'entrée de sa vulve sans défense. L'excitation l'emportait sur la raison. Je m'abstenais d'intervenir d'autant que Paul venait de coller sa bouche à l'entrée de la vulve. Je devinais aux mouvements de sa gorge qu'il enfonçait sa langue dans la fente en grommelant des mots sans suite à mon intention : - Hummmmmmmmmmmmmmm! J'adore sucer la sucer comme çà. Il resta un bon moment à la lécher jusqu'à arriver à débusquer son clitoris étrangement gros, signe d'excitation évident malgré la respiration calme et sereine de sa propriétaire. - Elle mouille de plus en plus. Regarde. Effectivement, un filet s'échappait de sa vulve pour dégouliner entre ses fesses. Elise était excitée, ça ne faisait aucun doute pourtant, rien dans son attitude ne trahissait l'état dans lequel elle se trouvait. Paul lui glissa un puis deux doigts dans la chatte pour les faire coulisser doucement. Il avait carrément replier les genoux de ma femme, lesquels étaient retombés sur le côté dans une position d'offrande des plus excitantes. Je ne réagis pas lorsqu'il glissa un 3ème doigt puis voyant que ça coulissait sans aucun problème, un 4ème doigt. L'entrée nous apparaissait dilatée à l'extrême. Elise esquissa un mouvement en grognant mais Paul l'empêcha de se tourner sans qu'elle essaie à nouveau d'échapper à la possession. Je sortis ma queue pour commencer à me branler à quelques centimètres du visage de notre ami qui me regarda sans paraître étonné ou surpris. - ça t'excite, on dirait. - Ouais. Tes doigts dans sa chatte c'est ça qui m'excite. Paul ouvrit la bouche et avant que je ne puisse faire quoique ce soit, il enfourna mon gland congestionné. Surpris par la tournure des événements, le plaisir immédiat distillé par sa langue et ses lèvres en train de coulisser sur ma queue, a vite fait voler en éclats mes dernières réticences quant à me faire sucer par un homme. C'était la première fois. J'étais estomaqué de ressentir autant de plaisir dans la bouche d'un mâle. Pendant de longues secondes il me garda dans sa bouche en se contentant de me téter le gland tout en me faisant coulisser entre ses lèvres puis, il se mit à lécher la hampe en insistant sur le frein, les couilles qu'il pressait en même temps avec ses doigts. C'était énorme et avant que je ne puisse le prévenir, il m'avait fait atteindre le point de non-retour. J'allais jouir. J'essayais de me dégager mais il m'en empêcha. Il était trop tard, mon sexe était déjà en train de se raidir. Je fermais les yeux en grognant de plaisir : - Je jouis. Oh putain, putain. C'est trop bon. J'étais en train de me vider à grandes giclées dans cette bouche masculine et j'aimais çà. Paul sans hésiter m'enfourna tout au fonds de sa bouche pour mieux sentir mon éjaculation. Un, deux, trois puis quatre puissantes giclées. C'était démentiel. Notre ami était en train d'avaler ma semence au fur et à mesure de mon éjaculation. Quand ce fut terminé, il se mit à me charrier de cette éjaculation précoce. - Eh ben dis donc. On peut dire que ça t'excite de voir ta femme se faire fourrer devant toi. - Mais....... j'ne savais pas que... - Je suis bi, ça ne te choque pas j'espère. - Non enfin si un peu mais c'est surtout que tu ne m'en avais jamais parlé. Paul tout en parlant avec moi, s'était « désapé ». Il arborait une fière allure avec sa verge en pleine érection, frappant le haut de son nombril. Une longue bite fine avec un gland dont la peau encore présente le cachait presque en totalité. Il tira sur la peau tout naturellement puis en me parlant, s'installa entre les cuisses grandes ouvertes d'Elise. - Regarde maintenant je vais la baiser ta petite Elise. Regarde ma queue s'enfoncer dans son trou. J'suis sûr que ça, ça t'excite, je me trompe ? J'écarquillais les yeux pour ne rien perdre du moment où un autre gland, une autre pine que la mienne s'enfoncerait dans sa chatte. Je m'entendis lui dire : - Baises-là. Tu m'excites salaud. Baises ma femme. Il n'était pas pressé. Promenant la tête de son mandrin entre les lèvres luisantes de mouille, se frottant sur le clito pour aller ensuite s'incruster légèrement dans la fente. J'insistais. - Vas-y Paul. Mets-là lui. Elise était trempée. Il le savait, le voyait. D'un seul coup, il s'enfonça en elle presque entièrement. Sa bite n'en finissait pas de rentrer. Le souffle court, j'assistais à cette première pour mon plus grand bonheur. Ma queue se redressa presque aussitôt. - Tu bandes encore? T'es un sacré vicieux toi. Jamais j'aurais pensé que tu aimerais me voir tringler ta moitié? Je me branlais à pleine main, en serrant ma queue fermement pour calmer la puissance de l'excitation qui me submergeait. Elise poussa un grognement ou plutôt un gémissement tandis que notre ami s'était mis à la pilonner. Elle esquissa un mouvement voué d'avance à l'échec avec Paul calé entre ses jambes, la queue plantée aussi loin qu'il le pouvait dans son nid d'amour. J'étais sur le point de jouir une nouvelle fois en voyant qu'il la saisissait maintenant aux hanches pour l'attirer vers son pieu et la besogner devant moi. Je regardais les muscles de ses fesses se raidirent à chaque coup de reins. De la sueur commençait à perler dans son dos. Ma femme recevait le membre dans sa petite chatte sans faillir. A plusieurs reprises, ses paupières semblaient vouloir s'ouvrir mais sans succès. Le puissant somnifère remplissait son œuvre à merveille. Je sentis ma sève monter inexorablement quand il s'allongea sur elle en plaquant ses cuisses contre sa poitrine, faisant ressortir ses fesses un max pour une possession maximale. Il avait accéléré sa cadence, donnant de violents coups de reins qui faisaient bouger tout le corps de son amante au rythme de la possession. Je n'en pouvais plus. J'avais beau serrer fermement la base de mon gland entre mes doigts, rien n'y faisait. J'allais jouir. Je lançais : - Aaaaaaaaaaaaaaaaaahh, je vais jouir. - Moi aussi, elle est trop bonne ta petite femme. - Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je me libérais encore une fois laissant mon sperme gicler sur le ventre d'Elise ainsi que les draps qui ne la recouvrait pratiquement plus. Paul s'était arrêté le ventre collée à celui de ma femme, se contenant de donner des petits coups de reins rapides pour profiter à fonds de sa jouissance. Il grogna : - Je me vide, c'est trop bon. Prends tout ma petite Elise, boit tout mon sperme avec ta chatte. Puis s'adressant à moi : - Regardes-moi Frank. Regardes-moi en train de remplir la petite chatte de ta femme de mon jus. La tête embrumée, je regardais le spectacle de ma femme pratiquement pliée en deux sous le poids de son amant figé dans son ventre. Il resta un long moment sur elle puis se remit à genoux avant de se retirer doucement. Sa queue m'apparut luisante de leurs secrétions mêlées, encore à demi-bandée entre ses jambes. L'excitation retombait doucement. Je me régalais de la vision de cette chatte n'arrivant pas encore à cacher ses trésors, ouverte sur le vide laissé par son amant. Un filet de semence s'étirait déjà sur sa peau dans le sillon de ses fesses tandis qu'il s'éclipsait sans faire de bruit, se contentant de me remercier pour ce énorme cadeau que je venais de lui faire. Je lui recommandais de ne jamais faire d'allusions à ce qui venait de se passer en présence de ma femme car je lui dirais que c'était moi qui l'avait baisé durant la nuit. C'était terminé. Je venais d'assister à l'un de mes fantasmes les plus fous. Offrir ma femme à un autre mâle. Et en plus il m'avait sucé jusqu'à me faire jouir dans sa bouche. Le pied intégral. Ce n'est que plus tard dans notre chambre, en contemplant mon épouse dormant à poings fermés, que j'ai réalisé ne pas pouvoir lui cacher ce qui venait de se passer. C'était avant tout son fantasme qui venait de se réaliser. Comment allait-elle réagir à cela?
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soumyvbi
Oui , un pur et beau fantasme .Quoi que je n'aime pas trop le fait qu'Elle soit endormie .
J'aime 16/06/25